
Cinquième tome de la collection printanière Marvel de Panini , avec Natasha Romanoff aka Black widow , dans un polar citadin .Pour le réaliser , un tandem 100% féminin avec deux auteures talentueuses , ayant même gagné une sélection aux prestigieux Eisner Awards . Nombreux sont les points positifs de cette aventure menée tambour battant par l'espionne russe crée en 1964 . En premier lieu , le dessin de Elena Casagrande , ultra-réaliste pour mieux coller à une aventure sans magie ni supers-pouvoirs . Son trait fin et élégant lui permet une certaine ambition dans ses cases avec énormément de mouvements ! Elle décortique les actions et autres scènes d'éclats de l'espionne russe avec brio dans un découpage survolté . On peut suivre les mouvements au coup par coup , et je pèse mes mots par "coup" , car elle en donne , bien aidée parfois par d'illustres héros bien connus des amateurs de films MCU . Les couleurs , bien que "digitales" donnent beaucoup de modernité et permettent de sacrés effets spéciaux , en attestent les explosions très réalistes . A bon dessin , il faut un bon scénario , et Kelly Thomson distille une histoire aux faux airs de Total Recall . On commence avec Black widow en pleine mission , puis la croyant morte , on la découvre à San-Franciso avec un mari et un fils , dans une vie loin des tumultes qu'elle a l'habitude de vivre . Pire , elle semble avoir tout oublié de sa vie passée . Rassurez-vous , ses réflexes sont bel et bien là en revanche 🙂 ! Je n'avais jamais lu de comics sur elle , et bien j'ai pris un réel plaisir à parcourir cette aventure d'espionnage .
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