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  • poseidon2
    • Scenariste: Tom King Dessinateur: Jorge Fornés Coloriste: Dave Stewart Editeur: Urban Comics Note :
      Résumé:

      Cela fait 35 ans qu'Ozymandias a téléporté un monstre tentaculaire sur New York, tuant des milliers de personnes et détruisant une fois pour toutes la confiance du public dans ses protecteurs. Depuis cette catastrophe, Rorschach est devenue une icône culturelle fascinante, symptôme d'un monde en perte de repères. Lors de la tentative d'assassinat d'un candidat populiste, on abat un homme portant le masque de Rorschach. Qui est l'homme derrière le masque, et surtout quelles étaient ses motivations ? L'inspecteur chargé de découvrir la véritable identité du tueur abattu s'engage alors dans une enquête qui l'entraîne dans un méandre de conspirations, d'invasions extraterrestres, de bienfaiteurs en disgrâce, de visions mystiques et même de bandes dessinées. Contenu vo : Rorschach #1-12.

      Type: Comic L'acheter sur bdfugue Genre: Polar Prix: -- Nb de pages: --
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    Décidément, en plus d'être bon, Tom King devient prolifique. Pour le plaisir du plus grand nombre, il reste sur un format one-shot qui part d'une figure du comics connus pour en faire une histoire global et accessible à tous ceux... qui aime les comics aux scenarios travaillés et à la mise en page originale.

    Et, encore une fois, ce Rorschach coche toutes les cases : Le scénario est très bon et change des habituels de Tom King.  Ici par de psychologie du héros. C'est un pur polar à l'ancienne. Un polar dans l'univers de Watchmen mais un vrai polar. Un assassinat déjoué. Des tueurs qui semblent être des fous. Le meilleur des enquêteurs mis sur leurs traces pour être sûr qu'il n'y a rien de plus… et qui part dans une enquête à tiroir des plus surprenantes. 

    Ce qui est aussi marquant dans ce Rorschach, c'est le travail de mise en page. On passe de chapitre complet qui ne sont que des récits de correspondances, à un autre chapitre, on suit trois récits parallèles, coloriés avec trois couleurs et présentant des scènes quasiment identiques, et on finit par un subtil mélange des époques où les cases entre passés et présent se mêlent habilement en fonction des pensées de notre enquêteur.

    Encore un sublime travail pour le maitre des one shot en comics.

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    Commentaires recommandés

    pffff...Jsuis foutu pour celui-là aussi...

     

    à l’instant, VladNirky a dit :

    Ya des chose à lire en suite /préquels ou assimilés des watchmen ? ^^

    Je ne sais pas si ça répond à ta question mais il y a before the watchmen (préquel) et doomsday clock (suite)

    Modifié par kvin
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    EN sachant que les deux sont assez inégaux: Doomsday clock c'ets un trip de mélange Watchmen + super héros DC. Pour Fan

    Le 'avant Watchmen parle des minutemen, les précurseurs qui apparaissent dans les journaux de Watchmen.

     

    Et puis la mise à part savoir qui est Rorschach....

     

    Il y a 22 heures, Kevin Nivek a dit :

    Bon , j'ai compris .....

    Chance ou non, un nouveau King sort debut juillet 🙂 Je te dirais 😉 Encore un one shot et sur Wonder Woman cette fois

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    C'est méchant pour Rorschach, Mister miracle et Adam Strange. On dit des seconds couteaux 😄 😄😄 😄

     

    Mais oui c'est aussi un challenge... et le dessin est... differents... j'ai hate de depiler pour en arriver a celui la 😛

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    Pff , je viens de le finir , Tom King est vraiment un monstre du scénario , quel régal ! Pas toujours évident de suivre avec ces ramifications et ces cases mélangées passé/présent/pensée , mais tout s'explique à la fin et c'est juste génial . C'est vrai que les mises en pages sont innovantes et nous plongent littéralement dans le récit , vraiment un super moment de lecture . Gros potentiel de relecture aussi car , pour tout digérer !!!

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  • Dernières Critiques

    • The department of truth tome 5
      Note :
      Pour l'instant James Tynion IV est le scénariste très tendance avec toutes ses histoires aux thématiques originales et surprenantes. The department of Truth fait partie de ses meilleurs productions, avec la mise en avant du contrôle de masse des populations en partant d'une idée précise que l'on développe avant qu'elle ne prenne forme et devienne l'histoire que l'on connait. Dans cette ambiance complotiste, nous suivons la brigade du département de la vérité dirigée évidement par Lee Harvey Oswald. Ce nouvel épisode se consacre entièrement à Lee Harvey Oswald avec le fameux jour de l'assassinat de Kennedy à Dallas. A ce moment précis, on reconnait tout le savoir-faire de James Tynion IV pour nous embarquer dans une autre réalité avec des explications à la clé. 
      La partie graphique est absolument incroyable sur cette série, la mise en couleur et tous les éléments rajoutés par-dessus les planches fonctionnement à merveilles. Les couvertures sont très représentatives des planches intérieurs. Dans cet album, plusieurs dessinateurs sont invités à apporter leur contribution avec des styles différents.
      The department of Truth est une des meilleures série que je lis actuellement en comics.
      • 0 réponse
    • Empires tome 3 - La compagnie de la croix blanche
      Note :
      Nous poursuivons la découverte de cet univers dark fantasy avec le troisième tome consacré à la compagnie blanche. Tout commence par la découverte des personnages et notamment Arun et sa famille. Ils vivent paisiblement à l'écart de tout danger, menant une existence paisible tout en cultivant leurs terres. On perçoit assez rapidement le désir d'aventures d'Arun et son frère, aussi lorsqu'une mystérieuse troupe saccage leur logis et viole leur soeur, les deux frères seuls survivants de ce massacre, partent à la rencontre du monde animés par un profond désir de vengeance ! Mais il s'avère vaste et semé d'embûches, leurs pérégrinations vont les mener au bagne de Kaltë où leur existence prendra un tournant inattendu et bien sombre. Un drame, un parcours initiatique, un soupçon de magie noire, un désir de vengeance, vous l'avez compris on retrouve les thèmes habituels des sagas de fantasy de la mouvance actuelle. Un scénario convenu donc, avec la voix off l'accompagnant et un dessin détaillé et précis de l'artiste italien Marco Pelliccia. Son trait réaliste s'inscrit dans la lignée des tomes précédents, il est magnifié par les couleurs sublimes d'Elodie Jacquemoire. Il faut souligner une fois de plus l'excellent travail des coloristes chez Oxymore, les effets visuels sont superbes, au diapason d'une lumière aux nombreux reflets donnant de la vie au dessin. 3 tomes pour trois histoires indépendantes, deux tomes sont encore prévus, voyons où ce collectif d'auteurs nous mène !
      • 2 réponses
    • Duck and Cover
      Note :
      Rafael Albuquerque et Scott Snyder les deux auteurs de la série American vampire collaborent de nouveau ensemble le temps d'un one shot. Scott Snyder écrit une histoire de science-fiction horrifique en hommage aux pulps des années 50-60, on retrouve les extraterrestres dans des tripodes, des insectes géants ou encore des calamars mutants. Le titre Duck and cover est en référence au film d'animation projeté pour les enfants américain durant la guerre froide avec les réflexes à avoir en cas de frappe nucléaire. Dans ce climat particulier, on retrouve une bande de jeune adolescents devant rester dans une classe isolés des autres élèves en punition. A ce moment précis, le récit classique bascule dans le fantastique et durant quatre chapitres, nous avons droit à l'action et de revenir sur chaque membre de la bande partant au combat contre l'invasion extraterrestre. On reconnait bien le style de Rafael Albuquerque avec des planches de grande qualité.

      Les références sont nombreuses comme la guerre des mondes ou encore Mars attacks créant une ambiance fantastique avec beaucoup d'action rythmée. On pourra reprocher des textes explicatifs de situations trop importants et n'apportant pas grand chose à l'histoire qui ralentissent la lecture. Duck and cover comblera les amateur de récit de série B et la fin reste ouverte pour d'autres aventures.
      • 0 réponse

    • Amour & désir
      Note :
      Kei est un jeune homme en marge de la société, il a perdu ses parents étant jeune puis a vécu avec sa grand-mère qui est décédé à son tour. Mais avant de partir et devant le caractère distrait et le manque de discernement de son petit-fils, elle avait pris des mesures pour qu’il puisse vivre comme il l’entendait sans se soucier du côté financier. C’est ainsi qu’il vit en hikikomori depuis deux ans. Son oncle, inquiet, envoie Noa, un étudiant allemand-japonais, veiller sur lui pour le sociabiliser.

      Amour & désir est l’histoire d’une rencontre entre deux personnalités opposées mais aussi entre deux univers distincts. D’un côté, il y a Kei qui représente le côté japonais traditionnel, le calme, la solitude, le deuil et le mystère et de l’autre, Noa, qui est enjoué, sociable, plein de vie et lumineux. Chacun est une énigme pour l’autre et les liens vont se créer très naturellement et en toute discrétion au fur et à mesure de leurs interactions.

      Quant au titre, il vient de Kei, qui ignorant du monde, ne sait pas mettre de mot sur ses sentiments naissants confondant amour et désir. Toute l’histoire se déroule dans une certaine harmonie avec beaucoup de douceur, parfois le temps se fige comme les réflexions de Kei… Une jolie histoire sans prétention mais avec beaucoup de tendresse.
      • 0 réponse
    • Dans le sens du vent, nord nord-ouest tome 7
      Note :
      Presque qu’un an et demi avant d’avoir ce nouveau volume… C’est certes lent mais on devrait s’estimer heureux que la série se poursuive et ne soit pas interrompue prématurément comme cela arrive souvent. Rappelons que l’éditeur peut arrêter un titre dès que ce dernier ne fait plus suffisamment de vente.

      On avait laissé Kei dépité, face à la mort présumée de son frère mais n’y croyant pas. De retour au Japon avec son grand-père, il tient à découvrir la vérité entre ce qu’il connaissait de Michitaka et ce que le policier lui a dit. Pour cela, il n’a qu’une solution : partir à la découverte de son frère, reprendre son parcours, aller voir les personnes qui l’ont connu et entendre leur vision de son frère. Son ami d’enfance, Kiyoshi, l’accompagne et lui fait aussi comprendre que Michitaka est peut-être un meurtrier.

      Ce 7e tome s’ouvre sur une galerie graphique autour de Lilja, la jolie musicienne, et se referme aussi sur elle, nous ramenant dans les vastes paysages sauvages de l’Islande et nous ramenant surtout vers l’ambiance de la série qui manque un peu dans ce tome. Car oui, on est dans une partie du récit plus terre-à-terre avec une enquête dans une ville japonaise avec des rencontres de lycéens et des cours de cuisine de gyozas !

      Mais au fur et à mesure des témoignages et des plongées dans leur passé, on voit que Kei se rapproche d’une vérité que nous, lecteurs, connaissons déjà. On attend le moment où il comprendra que son frère possède lui aussi certains pouvoirs.

      Ce volume est certes un peu moins envoûtant que les précédents mais on apprécie toujours autant le trait de l’autrice, fin et précis ainsi que le scénario qui nous emmène dans des contrées inconnues.
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