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  • Tatari tome 1


    Nickad
    • Scenariste: Watari Dessinateur: Watari Editeur: Glenat Note :
      Résumé:

      Tatari, le chat yokai vengeur ! Jadis, dans l'ancienne capitale de Kyoto, vivait Tatari, un grand yokai chat métamorphe qui terrorisait la population. Mille ans plus tard, c'est en simple chat de gouttière qu'il vit non loin de chez Takeru et sa petite sœur Yuki. Ils s'entendent à merveille et, malgré leur pauvreté, mènent une existence heureuse dans un appartement miteux. Jusqu'au jour où Takeru est froidement éliminé... Tatari décide alors de prendre la place du garçon pour tenter de découvrir l'identité des assassins !

      Type: Manga L'acheter sur bdfugue Genre: Action Prix: 7.20 Nb de pages: 208
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    Si les histoires avec des yokais sont assez courantes dans les mangas, la manière dont ils sont mis en place et l’importance qu’ils ont dans le récit font toute la différence. Les européens, plus ou moins familiarisés avec le folklore japonais, peuvent facilement s’y ennuyer. Tatari frappe donc fort avec son approche ! D’autant plus si on n’a pas lu le résumé, ce qui n’est pas votre cas si vous êtes en train de lire cette critique…

    Tout commence par la narration du chat, Tatari, qui raconte son quotidien avec son ami Takeru et sa petite sœur malade Yuki. Une fratrie pauvre mais heureuse malgré l’adversité. Un aspect tranche de vie qui va vite basculer dans le thriller car Takeru va être assassiné ! C’est là que l’on apprend que Tatari est un yokai mythique qui avait une grande puissance jadis, un yokai qui n’avait que faire des humains et qui était craint de tous, un yokai qui fut enfermé par des onmyogis.

    Plus qu’une simple histoire de vengeance, c’est le lien qui existait entre Takeru et Tatari qui importe. Un lien tellement fort que Tatari est prêt à tout pour en préserver ce qu’il en reste. Il va ainsi se faire passer pour son ami auprès de Yuki mais aussi enquêter pour trouver les responsables de ce carnage.

    La narration est particulièrement intéressante et l’on voit bien la montée en puissance du scénario. Même si on se doute un peu de la suite, ce premier tome m’a embarquée et j’ai vraiment hâte de lire la suite !

    Tatari 1 p4.JPG

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  • Dernières Critiques

    • Rook exodus tome 1
      Note :
      Alala certains disent que les vacances ne sont pas le bon moment pour trouver des pépites.

      Et bien ne les écoutez pas et rendez hommage à Urban qui nous sort l'une des meilleurs BD d'aventure / SF de l'année en plein durant les vacances.

      Cette aventure est top ! Les dessins sont super beaux et l'histoire est digne des meilleurs scenarios hollywoodiens. Exactement ce qu'il faut pour les vacances. De l'aventure, du suspens, un héros badass mais blasé, une mythologie plutôt sympa et un gros volume de pages pour un tome un qui forme presque un one shot complet.

      L'histoire est bien expliquée et même si elle ne réinvente pas le genre "SF Colonisateur", Geoff Johns ajoute une variation  importante : Notre héros peu, grâce à un casque, contrôler les corbeaux... Et il n'est pas le seul à pouvoir contrôler certains animaux.

      Cela offre énormément de possibilités scénaristiques bien exploitées par Geof Johns qui nous livre sans conteste l'un des albums d'actions les plus prenant depuis la fin de Lazarus
      • 0 réponse
    • Orgies barbares tome 8
      Note :
      Déjà le tome 8 pour cette saga débutée il y a un peu plus de 10 ans par l'espagnol Erich Hartmann ! Il conserve le principe de minis histoires mettant en scène de jolies femmes dans ce monde "érotic-fantasy", avec des dialogues savoureux. N'ayant pas lu les tomes précédents j'ai été un peu perdu parfois dans cette farandole de protagonistes féminins, les annexes en fin d'album portant sur une présentation des héroïnes fut la bienvenue. Qu'à cela ne tienne, même si je n'ai pas bien tout compris, les enjeux restent assez sommaires et indubitablement portés sur la bagatelle. Oubliez l'érotisme des autres sorties BD du catalogue Tabou, ici on est dans un vrai porno avec gros plans, prises multiples (oubliez le bricolage hein), en solo, couples lesbiens, c'est en effet un large tour d'horizon s'offrant à vous ! J'en oublie presque la scène introductive avec un démon doté de deux membres, je vous laisse imaginer la suite 😉 . La magie opère dans ces lieux de luxure où les corps s'abandonnent aux divers plaisirs sexuels. A noter le trait délicieux de l'artiste espagnol avec ces poses lascives des corps embrasant les yeux des lecteurs, habillées ou dénudées les femmes dégagent une grande sensualité à travers son style tout en rondeur et préservant les proportions "humaines", à l'exception parfois des membres masculins "surhumains" 😉 . Une découverte des us et coutumes de ce monde médiéval magique en empruntant de nombreuses portes dérobées dans les couloirs étroits et sombres des châteaux, avec en plus des intrigues de palais. Oserez-vous pénétrer ces lieux ? 

      https://www.tabou-editions.com/bandes-dessinees/71048-orgies-barbares-volume-7-9782359542202.html

       

       

       
      • 4 réponses
    • Dred Scott - Tome 1 - New York 1893
      Note :
      Dred Scott a tout de la bonne idée. D'abord un thème peu exploité, à part gangs of new york, je n'ai pas en tête beaucoup d'oeuvres connues de ce côté de l'atlantique pour avoir exploré le New York du XIXème siècle. Ici on se situe après la fin de la guerre de secession, et c'est la seconde bonne idée. Nous proposer un récit tout en nuances de gris, absolument pas manichéens, ou le lecteur doit rester constamment éveillé pour ne pas se faire avoir par les scénaristes. 

      Bravo donc au duo d'auteurs Tom Graffin et Jérôme Ropert qui nous offrent un second chouette récit ce mois-ci à New York après la sortie du tome 2 de Ange Lecca. 

      Seul bémol sur ce Dred Scott, je trouve le dessin un cran en dessous des dernières sorties chez Grand Angle. Attention c'est propre et loin d'être mauvais, mais que ce soit le dessin ou la colorisation je trouve qu'il y manque le petit supplément de charme et d'âme qui donne envie, probablement par manque de temps car le talent est bien là. Dommage car je trouvais la couv' très réussie et pleine de promesses... C'est tout de même avant tout une question une nouvelle fois de goûts et de couleurs. 

      Ceci dit ce Dred Scoot est vraiment agréable à lire et cache de jolis rebondissements qui nous feront en attendre la suite avec impatience.
      • 1 réponse
    • 1, 2, 3 Piccard - Pionniers du ciel et des abysses
      Note :
      Belle découverte que l'histoire de ces Piccard. Pour être très transparent, je n'avais jamais entendu parler d'eux. La ou, en tant que bon français, j'ai entendu parler de Jacques Yves Cousteau mais pas des inventeurs du bathyscaphe. Et si seulement c'était uniquement le bathyscaphe....

      C'est ce qui est dingue dans cette histoire de famille. Nos trois générations de Piccard ont inventé énormément de trucs connus et ayant aidé à repousser les limites de la science et de la connaissance humaine.

      Du premier vol stratosphérique, en ballon, au premier tour du monde dans un avion entièrement solaire, cette famille d'ingénieur "self made" est passé du plus haut dans le ciel au plus profond des océans, en ayant toujours pour objectif la promotion de la science.

      Des aventuriers de la science qui montre de l'on pouvait (et l'on peut surement encore) se lancer des défis alliant prouesse scientifique et courage, et cela, même à l'air d'Elon Musk et consort.
      • 0 réponse

    • The new gate tome 5 & 6
      Note :
      Shin continue d'essayer de recoller les morceaux sur les événements qui se sont produits lors de la fin du jeu et cherche toujours une porte de sortie pour retrouver son véritable univers.

      Pour ce faire il reprend contact avec d'anciens partenaires toujours vivants... mais vieux de 500 ans. Après l'euphorie de retrouver sa force mais aussi Shnee, il se heurte à la mortalité et la vieillesse des personnes qui sont, eux, restés là durant ces 500 ans.

      Bref un tome 5 qui conclue l'arc du retour du héros et nous lance vers un tome 6 qui lance un nouvel arc ou un ennemi semble pointer le bout de son nez. Ce qui nous fait remarquer que les premiers tomes ont été super agréables à lire, alors même qu'il n'y avait que des gentils.

      Un manga toujours porté par une nostalgie super présente et une bienveillance de tous les instants de notre héros qui n'abuse pas de ces pouvoirs, se contentant de continuer son exploration du monde.
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