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  • Tsubaken tome 1


    Nickad
    • Scenariste: ZEN Dessinateur: ZEN Coloriste: ZEN Editeur: Vega-Dupuis Note :
      Résumé:

      Outfit City. Dans une société maîtrisée par le pouvoir en place, où la télévision insipide endort les masses, la bonne vieille culture lowtech se vend illégalement par l'intermédiaire de gangs de jeunes proposant des animés interdits sur CD. Parmi eux : Barlog, le caïd du lycée Gloves, où arrive un nouvel élève, Kenrick, coiffé d'une invraisemblable masse de cheveux. Barlog a aussitôt dans l'idée d'humilier Kenrick. Un bizutage, quoi... Sauf que ce dernier, placé dans un foyer, a été renvoyé de très nombreux lycées pour violence... Et malgré sa volonté de ne pas rater sa dernière chance d'être scolarisé - sans quoi il sera jeté à la rue - Kenrick sent vite ses poings le démanger... Il ne se doute pas que cette fois, cela va le mener plus loin que de la baston de cantine, vers de gros problèmes avec les gangs, la police, la vie ! Les poings de Kenrick seront-ils suffisants pour le sortir de là ?

      Type: Manga L'acheter sur bdfugue Genre: Action Prix: 16 Nb de pages: 224
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    Au premier abord, Tsubaken est le genre de livre dont la couverture ne m’attire pas du tout et que je n’irai pas acheter. Pourtant, sans être un coup de cœur, j’ai passé un agréable moment et je lirai la suite avec plaisir.

    Kenrick est un orphelin bagarreur avec une énorme coupe afro qui s’est déjà fait renvoyer de plusieurs lycées. C’est sa dernière chance, au prochain renvoi, le foyer ne s’occupera plus de lui et il retournera à la rue. Il essaye donc de faire profil bas en intégrant Gloves high school mais il ne peut rester sans rien faire quand il voit qu’un de ses camarades, Milo, le premier à lui avoir adressé la parole, se fait racketter par un gang.

    Si Tsubaken est un webtoon de bagarre avec des gangs ce n’est pas la partie la plus intéressante du récit. En effet, l’histoire prend place dans un monde où les médias (livres, CD, DVD, consoles…) ont disparu et font l’objet d’un trafic au marché noir. Ici, les gangs ne vendent pas de la drogue mais des objets devenus collectors ou des copies. L’autre sujet qui sera développé concerne les origines de Kenrick car contrairement aux autres orphelins, il n’y a aucune information sur sa naissance et on sent que c’est un point qui risque d’avoir de l’importance par la suite.

    Les plus de ce webtoon : les illustrations humoristiques de chaque début de chapitre autour du Courouge Gang et des objets devenus cultes et un historique en fin de tome qui reprend les différentes étapes du parcours de l’auteur et de la création de Tsubaken.

    Finalement, on a un bon shonen distrayant et agréable à lire qui devrait plaire aux adolescents.

    Tsubaken01_8.jpg

    Tsubaken01_4.jpg

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  • Dernières Critiques

    • Calédonia - Tome 2 - Le mur d'hadrien
      Note :
      Ce Caledonia nous propose une série sur la Rome antique confrontée en Angleterre à de terrifiantes divinités. Mais Rome est un empire qui ne compte pas se laisser abattre du moment que l'adversaire peut saigner. On avait laissé nos deux héros mal en point à l'issue du tome 1. Ce tome 2 reprend directement à l'issue de la fin du tome 1 et nous amène quelques révélations de taille. On plonge définitivement dans le fantastique et c'est plutôt réussi. Seuls bémols, je trouve les personnages un peu trop fades à mon goût et leur relation un peu trop téléphonée. Bon, cela ne nous empêche pas de découvrir ce nouvel univers avec plaisir. 

      J'ai par ailleurs eu du mal avec le dessin, malgré une jolie colorisation. J'ai eu du mal avec le dessin d'Emmanuel Despujol que j'avais pourtant plutôt apprécié sur Side Show. Ici j'ai trouvé que cela manquait un peu de peps, de vitalité, de mouvements, et que les visages me semblaient un peu lisses et pas si expressifs au final. C'est sûr que je suis un peu dur en disant cela, et je ne veux manquer de respect à personne car l'on sent qu'il y a du travail derrière, mais les goûts et les couleurs ne se commandent pas bien et cela m'a un peu refroidit dans ma lecture de ce Caledonia. Alors allez le feuilleter et faites vous votre idée ! 
      • 0 réponse
    • Cyborgs - Tome 2 - Steel
      Note :
      Hop vous connaissez Soleil, quand ils sortent une nouvelle série concept, on peut s'attendre à un album tous les 6 mois. Que l'on aime ou pas le modèle est celui-ci avec une multitude d'auteurs au dessin afin de tenir ces délais de fous.

      On a donc avec ce Cyborgs  une série dans le standard habituel de Soleil en science-fiction ou en héroïc fantasy : un univers connu et cohérent, des one shots qui peuvent se lire séparément mais qui apportent ensemble pas mal d'éléments à l'univers, et une galerie de personnage qui se croisent et se recroisent mais sans prépondérance d'un personnage en particulier au fil des albums. Petite différence de taille cette fois-ci, chaque album fait bien avancer une intrigue globale et est centré sur le recrutement et l'intégration d'un nouveau personnage à une équipe tout en faisant progresser la mission commune de la dite équipe. Bon dit comme ça on est un peu sur Th Expendables en bd, mais cela donne au moins un fil conducteur intéressant et plus ambitieux car il ne se limite alors plus aux scénarios des seuls one shots. Tant mieux, c'est une bonne idée.

      Les dessins de Valentina Pinti et du Studio Arancia sont bien même si la colorisation et les décors sont un peu trop bruts pour moi. Ceci dit c'est souvent le cas en science fiction. Si l'ensemble ne brillera guère par son originalité, c'est efficace et servi par un découpage de qualité.

      Les amoureux d'univers de science fiction façon Travis ou Carmen seront servis car il ne s'agit pas ici de space opéra mais d'un futur terrien un peu calamiteux et très technologique quand même. L'action est assez soutenu même si cette fois-ci l'album est peut être un peu plus bavard. 
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      • 2 réponses
    • La vie d'artiste... n'a pas que de mauvais côtés
      Note :
      Fabio Jacomelli dévoile la vie érotique d'un artiste peintre/dessinateur, ou du moins expose ses phantasmes dans trois histoires à ne pas montrer aux yeux innocents 😉 . Tout commence à Milan en 1985, par une nuit pluvieuse d'octobre, Fabio ne parvient pas à travailler envahi par le syndrome de la page blanche version dessinateur. Soudain, le téléphone sonne et Claudia l'appelle avec l'envie pressante de le voir. Les retrouvailles vont prendre un virage inattendu, l'étudiante en "langues appliquées" fera montre de ses talents experts pour le plus grand plaisir de Fabio ! Puis nous nous retrouvons en 1986 à l'école de Bande dessinée de Milan, une élégante inconnue nommée Laura demande à Fabio de participer à une séance privée de photographies. Ils se retrouvent dans une chambre d'hôtel aux murs rouges habillés de nombreux miroirs ! Là aussi, point de photos mais des ébats passionnés cherchant le bon angle dans le reflet des miroirs. Enfin, deux années s'écoulent et on retrouve Fabio faisant la rencontre de Elena au cours d'une soirée. Apprenant son métier d'artiste, elle lui propose vite de venir peindre sur les murs de son appartement. Une fois encore, l'objet initial de la visite trouvera une toute autre issue, dénudée et enchevêtrée ! L'auteur italien nous gratifie ses "exploits" sur des planches soignées avec un trait élégant et fin. Les corps sont "humains", point de membres disproportionnés ou encore de poitrines énormes. Il dégage une grande sensualité des trois ébats, avec pour chacun un vécu différent. Il parvient à donner une belle expressivité aux visages avec de l'intensité dans les regards, le tout est bien mis en couleurs par Claudia Guiliani, l'histoire ne dit juste pas de quelle Claudia il s'agit 😉 . 
      • 0 réponse
    • Interview de Jean-François Di Giorgio et Cristina Mormile pour Samourai t18
      Dans le cadre de la sortie du tome 18 de Samouraï, Jean-François Di Giorgio et Cristina Mormile ont accepté de répondre à notre interview. Cristina nous à même fait l'honneur de nous dessiner un renard !

      Interview et renard à retrouver ici !

      Bonn lecture !
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    • Vavam Vampire tome 1
      Note :
      Qui est Ranmaru Mori ? c’est certes un samurai à l’époque d’Oda Nobunaga mais c’est surtout l’employé des bains de la Carpe au Japon contemporain. Un employé un peu spécial car derrière son comportement d’employé modèle, c’est surtout un vampire qui lorgne sur le fils de famille, il attend depuis une décennie que ce dernier atteigne la majorité avent de la croquer car pour lui, rien n’est plus délicieux que le sang d’un adolescent encore vierge qui s’ouvre à ses premiers émois !

      Mais son plan risque de tomber à l’eau le jour où le garçon vit son premier coup de foudre : Ranmaru compte bien se débarrasser de la gêneuse !

      Voici un vampire bien différent de ceux que l’on a l’habitude de voir dans les mangas. Oublié le vampire séduisant au cœur des shojo ou le vampire puissant et combatif des shonen ! Ran ne rentre dans aucune case connue : il n’est pas imbu de lui-même, ne joue pas au mystérieux (il dit ouvertement qu’il est un vampire), il est prêt à faire n’importe quel travail ou action pour atteindre son objectif.

      Au final, on a un scénario original, un personnage intéressant et beaucoup de pointes d’humour qui font de cette série un pur moment de divertissement sans prise de tête.

      Pour information l’anime est sorti en janvier 2025 au Japon et diffusé en simulcast sur Netflix, il y aura aussi un long métrage qui devrait sortir sur les écrans nippons cet été. En attendant, vous pouvez vous offrir la version collector du premier tome avec une jaquette alternative et un standee de Ranmaru.
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