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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 01/05/2021 dans toutes les zones

  1. Titre de l'album : Ne reste que l'aube Scenariste de l'album : Thierry Murat Dessinateur de l'album : Thierry Murat Coloriste : Thierry Murat Editeur de l'album : Futuropolis Note : Résumé de l'album : Thierry Murat revient avec le dernier volet d'un triptyque explorant la création artistique à travers les genres littéraires. Avec Ne reste que l'aube, il revisite le genre littéraire du récit de vampire et aborde les thèmes de l'art et de l'immortalité... En choisissant de situer son histoire dans un futur proche, il porte un regard aiguisé sur l'avenir de notre monde, devenu déshumanisé par la montée des réseaux sociaux, un monde où l'humanité se trouve peut-être là où on ne l'attend plus. Jørgen Nyberg est un peintre célèbre de la deuxième moitié du XXIe siècle. Il a installé sa notoriété grandissante avec des peintures de scènes intimistes aux formats gigantesques. D'une modernité implacable, ses toiles ont la particularité d'être exécutées avec une technique très ancienne de la Renaissance italienne. Ses oeuvres font autant parler d'elles sur le Workin'glass, le réseau social dominant, que la volonté de l'artiste de ne jamais apparaître en public. Avant d'être Jørgen Nyberg, il fût l'une des figures marquantes du Cinquecento, Giacomo della Fenice. Malheureusement, il meurt à 46 ans, en 1531, en Toscane, mordu à mort dans une ruelle de Sienne. L'immortalité lui est offerte par son agresseur, un vampire et collectionneur d'art qu'il n'a jamais revu. Cinq siècles plus tard, il vit et travaille dans un immense loft au 153e étage d'une tour de Stockholm où il réside, la lumière de l'aube y étant plus confortable. Un jour, Yris, l'intelligence artificielle qui gère son lien avec le monde extérieur, lui conseille vivement d'accepter un rendez-vous avec Niels, un jeune artiste étudiant fasciné par l'oeuvre et la troublante personnalité de Jørgen Nyberg. Une rencontre qui va bouleverser leurs vies. Critique : Ne reste que l’aube, ou quand Thierry Murat reprend Entretien avec un vampire et calle l'histoire au XXII ieme siècle. Ça devrait vous suffire non ? Car qui dit Thierry Murat dit forcement de sublime illustration. Des dessins sur des grandes cases qui mettent en valeur le travail graphique effectué. Qui dit Entretien avec un Vampire dit Vampire, avec sa vie nocturne et appuie le choix d'un ouvrage en teintes de noir et gris, mais dit aussi réflexion sur l'immortalité et le poids des ans. Ce poids que l'on cherche mais que l'immortalité de notre Vampire rend pesant. Et qui dit XXII ieme siècle dit, en regardant notre XXI ieme siècle, une dérive des réseaux sociaux, une fin de la vie privée et permet à Thierry Murat de confronter cette globalité au besoin d'indépendance et de secret du Vampire. Une sublime réflexion sur l'idée d'immortalité et les dérives futurs des réseaux sociaux et de leurs pouvoirs. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ne-reste-que-l-aube?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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  2. Desolé désolé je suis en congé "fin de travaux + garde de gosses" 😛 Donc la trilogie est pour moi : Ne reste que l'aube + Animabilis + Etunwan Mais c'est une "trilogie" parce que l'auteur le dit. Il cherche a revisiter le Western, le mythe du loup garou et du vampire de facon artistique. Mais Thierry Murat c'est 100% d'albums sublime de toute facon ! J'ai adoré Etunwan
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