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Titre de l'album : Neeting life 2 (fin) Scenariste de l'album : Tetsuya Tsutsui Dessinateur de l'album : Tetsuya Tsutsui Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Le confinement élevé au rang d'art de vivre ! Un grain de sable s'est glissé dans la routine bien huilée de Kentaro : une jeune streameuse semble s'être installée dans le logement à côté du sien, et ses lives de Waste World sont incroyablement bruyants. Pour protéger son quotidien douillet, le chômeur va jusqu'à prendre contact avec l'étudiante sur sa chaîne... mais pas moyen de la convaincre d'acheter une cabine insonorisée ! Les deux joueurs finissent néanmoins par se rapprocher, et leurs sessions du soir deviennent des moments privilégiés pour Kentaro, qui s'ouvre tant sur sa vie de tous les jours que sur ses traumatismes passés. Seulement, cette nouvelle amie est-elle réellement digne de confiance ? À une époque où tout est à portée de clic, c'est si simple de devenir un ermite... mais peut-on vraiment échapper aux dangers du monde extérieur ? Le maître du thriller Tetsuya Tsutsui apporte un élément de réponse avec ce dernier tome de Neeting Life. Critique : On avait laissé notre héros dans un moment de suspicion ultime, il avait en effet découvert une caméra miniature planquée dans un colis. Trop tard hélas pour éviter de dévoiler certains aspects de son installation à ceux qui le surveillent. Peu de temps après, ces mystérieux prédateurs passent à l’action en entrant par effraction dans son minuscule appartement, une surprise de taille pour Kentaro à plus d’un égard ! Avec la tension qui montait dans le 1er tome et l’étau qui se resserrait autour de Kentaro, j’avais commencé à imaginer plein de scénari mais pas celui-là !! Donc, j’ai vraiment eu une grosse surprise mais pas délirante non plus quand on y pense, j’aurais pu voir venir le déroulement… Mais l’important c’est surtout comment Kentaro arrive à gérer la situation et tout ce qu’il a prévu pour se défendre. La réclusion de Kentaro prend un autre tournant dans la deuxième moitié du livre amenant ainsi le personnage principal à se questionner sur des questions un peu plus existentielles. Questions qui sont finalement posées au lecteur comme si l’auteur nous poussait à trouver un sens à notre vie. En tout cas, en seulement 2 tomes, Neeting Life nous met face à un renouveau culturel et sociétal qui montre bien que la crise sanitaire a laissé des traces. Un manga assez intéressant à découvrir. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/neeting-life-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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On avait laissé notre héros dans un moment de suspicion ultime, il avait en effet découvert une caméra miniature planquée dans un colis. Trop tard hélas pour éviter de dévoiler certains aspects de son installation à ceux qui le surveillent. Peu de temps après, ces mystérieux prédateurs passent à l’action en entrant par effraction dans son minuscule appartement, une surprise de taille pour Kentaro à plus d’un égard ! Avec la tension qui montait dans le 1er tome et l’étau qui se resserrait autour de Kentaro, j’avais commencé à imaginer plein de scénari mais pas celui-là !! Donc, j’ai vraiment eu une grosse surprise mais pas délirante non plus quand on y pense, j’aurais pu voir venir le déroulement… Mais l’important c’est surtout comment Kentaro arrive à gérer la situation et tout ce qu’il a prévu pour se défendre. La réclusion de Kentaro prend un autre tournant dans la deuxième moitié du livre amenant ainsi le personnage principal à se questionner sur des questions un peu plus existentielles. Questions qui sont finalement posées au lecteur comme si l’auteur nous poussait à trouver un sens à notre vie. En tout cas, en seulement 2 tomes, Neeting Life nous met face à un renouveau culturel et sociétal qui montre bien que la crise sanitaire a laissé des traces. Un manga assez intéressant à découvrir.
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Titre de l'album : Tu ne me connais pas aujourd'hui Scenariste de l'album : Moco Tonda Dessinateur de l'album : Moco Tonda Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Ono est un étudiant brillant qui ne peut pas être honnête. Pour une raison quelconque, il est toujours froid avec Mikuni. Au début, Mikuni était mécontent, mais il a soudainement craqué pour le sourire et le comportement d'Ono. Cependant, après avoir été témoin de son agression par un professeur dans la classe, il est incapable de le traiter de la même manière qu'avant et l'évite. Puis une nuit, il apprend qu'Ono s'est suicidé... Mikuni est désespéré, mais l'instant d'après... Il retourne dans le temps, le vendredi précédant la mort d'Ono... Critique : En premier lieu, j’aurai mis le titre dans l’autre sens « aujourd’hui, tu ne me connais pas », histoire d’être dans une construction grammaticale française correcte, enfin, ce n’est pas la seule bourde du livre… D’un autre côté, j’ai vu un webtoon dont le titre est « pas mon enfant, destin ! »… Un peu de relecture ne serait pas du luxe !! Concernant le récit, je trouvais le synopsis intéressant avec une boucle temporelle pour sauver Ono. Il y a même une très belle originalité dans le développement en entremêlant le destin des deux personnages à travers le temps. Il y a cependant quelques petites fautes d’exécution : une explication finale pas très nette et quelques incohérences. Mais le plus important dans cette histoire, c’est la volonté de sauver l’autre, d’être prêt à tout pour changer le destin quitte à mettre son propre avenir en péril. De ce point de vue c’est une belle histoire. Le manga aurait sans doute mérité un peu plus de finesse pour la partie fantastique. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tu-ne-me-connais-pas-aujourd-hui?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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En premier lieu, j’aurai mis le titre dans l’autre sens « aujourd’hui, tu ne me connais pas », histoire d’être dans une construction grammaticale française correcte, enfin, ce n’est pas la seule bourde du livre… D’un autre côté, j’ai vu un webtoon dont le titre est « pas mon enfant, destin ! »… Un peu de relecture ne serait pas du luxe !! Concernant le récit, je trouvais le synopsis intéressant avec une boucle temporelle pour sauver Ono. Il y a même une très belle originalité dans le développement en entremêlant le destin des deux personnages à travers le temps. Il y a cependant quelques petites fautes d’exécution : une explication finale pas très nette et quelques incohérences. Mais le plus important dans cette histoire, c’est la volonté de sauver l’autre, d’être prêt à tout pour changer le destin quitte à mettre son propre avenir en péril. De ce point de vue c’est une belle histoire. Le manga aurait sans doute mérité un peu plus de finesse pour la partie fantastique.
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Titre de l'album : Nonolulu tome 1 - L'île super perdue Scenariste de l'album : Paule BATTAULT Dessinateur de l'album : Loïc MEHEE Coloriste : Loïc MEHEE Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Après le naufrage de leur bateau, Nonolulu et ses amis ont trouvé refuge sur une île paradisiaque et complètement déserte. Leurs parents leur envoient régulièrement des bouteilles avec des messages : ils arrivent les chercher, qu’ils ne fassent pas de bêtises en attendant ! C’est mal connaître Nonolulu qui, bien trop contente d’avoir une nouvelle vie sans parents, compte bien profiter des plaisirs de cette île fabuleuse, en entraînant ses copains dans toutes ses idées farfelues. Au programme : manger des kilos de bananes bien sucrées, faire une collection de coquillages bizarres et percer le mystère de la grotte qui parle. Critique : Nonolulu c’est un peu Robinson Crusoé version enfant et avec plus d’humour ou plutôt Deux ans de vacances, une aventure sur une ile perdue où des enfants se retrouvent seuls sans les parents. Il ne faut surtout pas chercher la vraisemblance de l’histoire surtout quand on voit un enfant bâtir une cabane en bois ou quand la communication avec les parents se déroulent via des bouteilles jetées à la mer ! Il faut aborder ce livre avec ses yeux d’enfants comme lorsque l’on joue aux super héros, aux pirates, à l’aventurier. C’est vraiment dans cet état d’esprit que les auteurs ont créé cette histoire, un divertissement avant tout ! La construction du livre est assez simple : on a le contexte général, celui d’enfants échoués sur une île déserte où ils doivent se débrouiller pour survivre. Et puis, il y a les saynètes, les petites anecdotes de leur quotidien : des petites histoires allant de 1 à 3 pages ayant chacune une chute humoristique. Si le livre est évidemment fait pour les enfants en mettant en avant leurs préoccupations et leur niveau culturel, il n’est pas déplaisant pour les adultes et il est souvent amusant. Ils n’apprécieront peut-être pas toutes les histoires mais le livre ne leur ai pas vraiment destiné ! Quant à Nonolulu, c’est la petite rebelle du groupe, celle qui n’en fait qu’à sa tête, qui n’est pas vraiment fiable et à travers laquelle on peut imaginer toutes les bêtises. Ainsi, elle ne mangera que des bananes, se fera passer pour un requin, adoptera un putois et surtout aura toujours le bon mot pour plaisanter et faire rire son auditoire. Au final, on a une sympathique BD jeunesse plaine d’aventures qui plaira assurément aux enfants. Autres infos : Editions AUZOU Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : http://www.bdfugue.com/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Nonolulu c’est un peu Robinson Crusoé version enfant et avec plus d’humour ou plutôt Deux ans de vacances, une aventure sur une ile perdue où des enfants se retrouvent seuls sans les parents. Il ne faut surtout pas chercher la vraisemblance de l’histoire surtout quand on voit un enfant bâtir une cabane en bois ou quand la communication avec les parents se déroulent via des bouteilles jetées à la mer ! Il faut aborder ce livre avec ses yeux d’enfants comme lorsque l’on joue aux super héros, aux pirates, à l’aventurier. C’est vraiment dans cet état d’esprit que les auteurs ont créé cette histoire, un divertissement avant tout ! La construction du livre est assez simple : on a le contexte général, celui d’enfants échoués sur une île déserte où ils doivent se débrouiller pour survivre. Et puis, il y a les saynètes, les petites anecdotes de leur quotidien : des petites histoires allant de 1 à 3 pages ayant chacune une chute humoristique. Si le livre est évidemment fait pour les enfants en mettant en avant leurs préoccupations et leur niveau culturel, il n’est pas déplaisant pour les adultes et il est souvent amusant. Ils n’apprécieront peut-être pas toutes les histoires mais le livre ne leur ai pas vraiment destiné ! Quant à Nonolulu, c’est la petite rebelle du groupe, celle qui n’en fait qu’à sa tête, qui n’est pas vraiment fiable et à travers laquelle on peut imaginer toutes les bêtises. Ainsi, elle ne mangera que des bananes, se fera passer pour un requin, adoptera un putois et surtout aura toujours le bon mot pour plaisanter et faire rire son auditoire. Au final, on a une sympathique BD jeunesse plaine d’aventures qui plaira assurément aux enfants.
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ah ben bravo, tu as perdu la moitié des lecteurs à la première ligne avec ton mot "recension" 🤣 et après tu te plains que le FIBD soit trop élitiste ... 🤣🤣
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elle voulait vraiment ces livres ou c'est toi qui utilises son pass ?? 😄
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C’est parce qu’il fait froid dans la bibliothèque du lycée que les deux jeunes filles en charge demandent à leur camarade de leur servir de bouillotte. Ce dernier ne semble pas craindre le froid vu qu’il se promène en chemise en plein hiver. Mais se blottir contre lui ne permet pas que de se réchauffer les mains, cela réveille aussi la libido des jeunes adolescents encore novices en la matière. Quoi de mieux que d’explorer sa sexualité en condition réelle tout en se réchauffant ? Ne vous y trompez pas, on est bien dans un hentai donc l’innocence est toute relative… Si nos tourtereaux sont bel et bien innocents au début du livre, ils ne sont pas naïfs et vont aller découvrir leur corps et celui de leur partenaire en augmentant leurs expériences jusqu’à perdre leur virginité. Ils vont même au-delà car après y avoir goûté, ils en redemandent !! Le point fort de ce manga c’est l’égalité fille-garçon. Ils sont au même niveau d’expérience au début et il n’y en n’a pas un qui prend l’avantage sur un autre : chacun à tour de rôle prend l’initiative, chacun est donneur et receveur et chacun achète des préservatifs ! Ça aussi c’est bien de la souligner car souvent la protection des rapports n’est pas le fort de ce genre de littérature ! Côté graphisme, on apprécie qu’il n’y ait pas d’extravagance, nos jeunes sont plutôt bien lotis mais tout reste dans la limite du possible. Et côté scénario, il y a une petite touche coquine supplémentaire en faisant se dérouler leurs ébats au cœur d’une bibliothèque, parfois dans un rayon peu fréquenté… un fantasme pour certains. Au final, on a une histoire agréable à lire et à regarder, classique sans en faire trop qui a un certain charme, celui de l’innocence qui s’épanouit peut-être…
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Titre de l'album : Please ! Freeze ! Please ! Scenariste de l'album : Shiwasunookina Dessinateur de l'album : Shiwasunookina Coloriste : Editeur de l'album : NihoNiba Note : Résumé de l'album : Qui a dit que les préliminaires étaient surfaits ? Dans une société où on s'interroge de plus en plus sur la validité de faire tourner nos rapports sexuels uniquement autour de la sacro- sainte pénétration, Shiwasu no Okina nous propose de redécouvrir avec émerveillement tout ce qui l'entoure. Dans le calme feutré d'une bibliothèque, on surprend un trio de jeunes adultes dont la libido débordante n'a d'égale que la curiosité. Et progressivement, de rendez- vous en rendez-vous, telle une vicieuse petit souris, regardons-les s'initier mutuellement aux plaisirs sexuels sous toutes leurs formes... Critique : C’est parce qu’il fait froid dans la bibliothèque du lycée que les deux jeunes filles en charge demandent à leur camarade de leur servir de bouillotte. Ce dernier ne semble pas craindre le froid vu qu’il se promène en chemise en plein hiver. Mais se blottir contre lui ne permet pas que de se réchauffer les mains, cela réveille aussi la libido des jeunes adolescents encore novices en la matière. Quoi de mieux que d’explorer sa sexualité en condition réelle tout en se réchauffant ? Ne vous y trompez pas, on est bien dans un hentai donc l’innocence est toute relative… Si nos tourtereaux sont bel et bien innocents au début du livre, ils ne sont pas naïfs et vont aller découvrir leur corps et celui de leur partenaire en augmentant leurs expériences jusqu’à perdre leur virginité. Ils vont même au-delà car après y avoir goûté, ils en redemandent !! Le point fort de ce manga c’est l’égalité fille-garçon. Ils sont au même niveau d’expérience au début et il n’y en n’a pas un qui prend l’avantage sur un autre : chacun à tour de rôle prend l’initiative, chacun est donneur et receveur et chacun achète des préservatifs ! Ça aussi c’est bien de la souligner car souvent la protection des rapports n’est pas le fort de ce genre de littérature ! Côté graphisme, on apprécie qu’il n’y ait pas d’extravagance, nos jeunes sont plutôt bien lotis mais tout reste dans la limite du possible. Et côté scénario, il y a une petite touche coquine supplémentaire en faisant se dérouler leurs ébats au cœur d’une bibliothèque, parfois dans un rayon peu fréquenté… un fantasme pour certains. Au final, on a une histoire agréable à lire et à regarder, classique sans en faire trop qui a un certain charme, celui de l’innocence qui s’épanouit peut-être… Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/please-freeze-please?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : No game no life - Eastern Association tome 1 Scenariste de l'album : Yû KAMIYA Dessinateur de l'album : Ryû NAITÔ Coloriste : Editeur de l'album : Ototo Note : Résumé de l'album : Sora et Shiro, deux gamers de génie pour qui les jeux n'ont plus aucun secret, débarquent dans le monde parallèle de Disboard, un univers où la violence est bannie et tous les problèmes résolus en jouant. Ils se retrouvent mêlés sans le vouloir, mais pour leur plus grande joie, aux querelles existantes entre les seize races de l'Exceed, chacune se disputant la légitimité de leur monde. Après être devenus les nouveaux souverains d'Imanity, la race la plus faible de la hiérarchie, Shiro et Sora décident cette fois de s'attaquer aux Warbeasts et à la Fédération de l'Est, la troisième plus grande puissance de Disboard, peuplée de jolies filles aux oreilles toutes velues !! Critique : En 2018 sortait en France, le manga No game No life en 2 tomes, un titre très attendu notamment grâce à son anime. Ce titre entrainait deux joueurs légendaires imbattables, les frères et la sœur Sora et Shiro, dans un monde parallèle où tous les conflits se règlent au travers des jeux. Représentant la race humaine qui n’avait plus qu’n petit territoire limité à une grande ville, ils finissaient par améliorer la situation et devenaient les souverains du royaume d’Imanity. Dans cette nouvelle saison, on les retrouve dans leur nouvelle vie, entre oisiveté et jeux car il faut bien défendre le pays !! Si je n’en dis pas plus sur l’histoire c’est qu’il n’y a rien de vraiment nouveau par rapport à la saison 1. J’avais bien aimé la nouveauté de l’histoire en 2018, notamment que tout se règle par des jeux et la façon dont la fratrie arrivait à s’en sortir. Ces deux tomes m’avaient un peu laissée sur ma faim et j’étais impatiente de lire la suite. Hélas, j’ai été déçu par cette lecture !! Si les nouveaux « ennemis » sont différents, le concept reste le même. On a un Sora fainéant et chouineur dès qu’il ne s’agit pas de jeux, une Shiro impassible qui entretient une relation toujours aussi douteuse avec son frère et une Steph qui se fait mener par le bout du nez. Bref, je me suis ennuyée. Un livre pour les fans de la série uniquement et passez votre tour si vous n’avez pas lu la saison 1. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/no-game-no-life-saison-2-eastern-union-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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En 2018 sortait en France, le manga No game No life en 2 tomes, un titre très attendu notamment grâce à son anime. Ce titre entrainait deux joueurs légendaires imbattables, les frères et la sœur Sora et Shiro, dans un monde parallèle où tous les conflits se règlent au travers des jeux. Représentant la race humaine qui n’avait plus qu’n petit territoire limité à une grande ville, ils finissaient par améliorer la situation et devenaient les souverains du royaume d’Imanity. Dans cette nouvelle saison, on les retrouve dans leur nouvelle vie, entre oisiveté et jeux car il faut bien défendre le pays !! Si je n’en dis pas plus sur l’histoire c’est qu’il n’y a rien de vraiment nouveau par rapport à la saison 1. J’avais bien aimé la nouveauté de l’histoire en 2018, notamment que tout se règle par des jeux et la façon dont la fratrie arrivait à s’en sortir. Ces deux tomes m’avaient un peu laissée sur ma faim et j’étais impatiente de lire la suite. Hélas, j’ai été déçu par cette lecture !! Si les nouveaux « ennemis » sont différents, le concept reste le même. On a un Sora fainéant et chouineur dès qu’il ne s’agit pas de jeux, une Shiro impassible qui entretient une relation toujours aussi douteuse avec son frère et une Steph qui se fait mener par le bout du nez. Bref, je me suis ennuyée. Un livre pour les fans de la série uniquement et passez votre tour si vous n’avez pas lu la saison 1.
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Titre de l'album : Serial killer land tome 1 Scenariste de l'album : Nokuto Koike Dessinateur de l'album : Nokuto Koike Coloriste : Editeur de l'album : Komikku Note : Résumé de l'album : Le monde horrifique des tueurs en série ! NOKUTO KOIKE fait son retour chez Komikku ! Tragédie dans un lotissement en plein jour : meurtre et blessure d'une mère et de son fils. Dix ans ont passé depuis. La tête de la mère n'a toujours pas été retrouvée. Sô Erimine, seul survivant du drame, s'efforce de faire son deuil en étudiant les tueurs en série du passé et en rédigeant des ouvrages sur le sujet pour essayer de les comprendre. Il reçoit un jour une lettre à son nom qui bouleverse son destin... Critique : Quand il était enfant, Erimine a été gravement blessé lors d’une intrusion d’un meurtrier dans son domicile, meurtrier qui a décapité sa mère en emportant sa tête. Dix ans après, Erimine s’est plongé dans l’écriture de romans policiers, il espère ainsi dépasser son traumatisme en comprenant la psychologie des serial killer. Un jour il reçoit une drôle d’enveloppe noire contenant une lettre originale de Jack l’éventreur. A partir de ce moment, il entend une voix dans sa tête, une voix qui le pousse à commettre l’irréparable. On avait déjà vu dans Pétales de réincarnation, des phénomènes de possession d’un être humain par un personnage célèbre. Ici, si le phénomène semble proche, on sent qu’il va y avoir des différences, notamment dans l’être qui vient posséder. Sans en être sûr pour le moment, on a l’impression qu’il ne va s’agir que de grands criminels. Cela va permettre au scénario de développer deux points : l’étude de la psychologie des criminels (on en a déjà un bel aperçu quand Erimine ressent certaines pulsions) et les modes opératoires des serial killer. Attention, cet aspect contient des scènes violentes, morbides et choquantes pouvant heurter la sensibilité. En plus de cela, il y a aussi un côté thriller car on se demande pourquoi Erimine, qui est une victime et a priori quelqu’un d’innocent, a été choisi. La fin du volume donne déjà une piste qu’il faudra confirmer par la suite. Serial killer land est un manga d’action violent rythmé qui est suffisamment intrigant pour avoir envie de lire la suite. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/serial-killer-land-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Quand il était enfant, Erimine a été gravement blessé lors d’une intrusion d’un meurtrier dans son domicile, meurtrier qui a décapité sa mère en emportant sa tête. Dix ans après, Erimine s’est plongé dans l’écriture de romans policiers, il espère ainsi dépasser son traumatisme en comprenant la psychologie des serial killer. Un jour il reçoit une drôle d’enveloppe noire contenant une lettre originale de Jack l’éventreur. A partir de ce moment, il entend une voix dans sa tête, une voix qui le pousse à commettre l’irréparable. On avait déjà vu dans Pétales de réincarnation, des phénomènes de possession d’un être humain par un personnage célèbre. Ici, si le phénomène semble proche, on sent qu’il va y avoir des différences, notamment dans l’être qui vient posséder. Sans en être sûr pour le moment, on a l’impression qu’il ne va s’agir que de grands criminels. Cela va permettre au scénario de développer deux points : l’étude de la psychologie des criminels (on en a déjà un bel aperçu quand Erimine ressent certaines pulsions) et les modes opératoires des serial killer. Attention, cet aspect contient des scènes violentes, morbides et choquantes pouvant heurter la sensibilité. En plus de cela, il y a aussi un côté thriller car on se demande pourquoi Erimine, qui est une victime et a priori quelqu’un d’innocent, a été choisi. La fin du volume donne déjà une piste qu’il faudra confirmer par la suite. Serial killer land est un manga d’action violent rythmé qui est suffisamment intrigant pour avoir envie de lire la suite.
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Titre de l'album : Les combats invisibles tome 2 Scenariste de l'album : Karim Alliane Dessinateur de l'album : Mashi Coloriste : Editeur de l'album : Vega-Dupuis Note : Résumé de l'album : Gabriel et ses potes, les « Cavaliers de l'apocalypse » comme ils se surnomment eux-mêmes, terrorisent le lycée en jugeant et humiliant les filles tout en espérant les pécho. Léa, lycéenne au caractère bien trempé, refuse de se laisser faire. Mais face à cette meute aussi bête que dangereuse est-il seulement possible de se défendre ? De leur faire comprendre la gravité de leurs actes ? Critique : 2eme tome de cette série et pas le moindre. Après la montée des tensions et le drame qui en a découlé à la fin du 1er tome, ce second livre revient sur les événements passés du point de vue des harceleurs. Si ce sont surtout le groupe des 4 garçons intitulé « les cavaliers de l’apocalypse » qui sont les principaux coupables, le récit montre aussi que l’environnement social a eu une grande influence. Léa s’est suicidée. Quels sont les événements qui l’ont amené à cette extrémité ? On verra que cet évènement n’est que le final à une succession de faits qui pourraient paraitre anodins ou de moindre importance au premier abord mais qui ont eu de l’importance dans la montée de la haine et du mépris. Il y a d’abord eu un crush (une attirance physique et émotionnelle) d’un garçon pour une fille, une attirance non réciproque devenue comme une obsession. Mais surtout, il y a la puberté et la fierté de se pavaner devant ses potes, l’envie de frimer, de montrer qu’on est adulte avant les autres. Perdre sa virginité est comme un trophée, c’est une reconnaissance sociale et surtout le moyen de passer pour le mec cool du bahut. Mais surtout, que ce soit pour les filles ou les garçons, il y a ce phénomène de groupe : suivre le mouvement pour ne pas être mis de côté. Suivre le mouvement pour ne pas être la prochaine victime !! Ce qui est aussi marquant c’est de voir que tous ces jeunes, victimes ou bourreaux, sont prisonniers du système, des réseaux sociaux. Se rebeller c’est passer pour un traitre, une pookie (balance), c’est perdre ses camarades. Derrière un graphisme plutôt doux aux couleurs pastels, on découvre l’escalade des événements, des sentiments. On comprend pourquoi il y a une montée en puissance, on comprend pourquoi les jeunes ne se confient pas, coincés entre leur vie sociale et des parents pas toujours compréhensifs qui se mettent parfois des œillères. Mais surtout on ressent le désarroi et l’impuissance dans lequel se trouvent les personnages. Les combats invisibles et un livre à lire absolument, mais c’est surtout un ouvrage pour ouvrir le débat, pour communiquer, pour faire prendre conscience que ces situations ne sont pas normales et pour tenter d’agir avant qu’il ne soit trop tard. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-combats-invisibles-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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2eme tome de cette série et pas le moindre. Après la montée des tensions et le drame qui en a découlé à la fin du 1er tome, ce second livre revient sur les événements passés du point de vue des harceleurs. Si ce sont surtout le groupe des 4 garçons intitulé « les cavaliers de l’apocalypse » qui sont les principaux coupables, le récit montre aussi que l’environnement social a eu une grande influence. Léa s’est suicidée. Quels sont les événements qui l’ont amené à cette extrémité ? On verra que cet évènement n’est que le final à une succession de faits qui pourraient paraitre anodins ou de moindre importance au premier abord mais qui ont eu de l’importance dans la montée de la haine et du mépris. Il y a d’abord eu un crush (une attirance physique et émotionnelle) d’un garçon pour une fille, une attirance non réciproque devenue comme une obsession. Mais surtout, il y a la puberté et la fierté de se pavaner devant ses potes, l’envie de frimer, de montrer qu’on est adulte avant les autres. Perdre sa virginité est comme un trophée, c’est une reconnaissance sociale et surtout le moyen de passer pour le mec cool du bahut. Mais surtout, que ce soit pour les filles ou les garçons, il y a ce phénomène de groupe : suivre le mouvement pour ne pas être mis de côté. Suivre le mouvement pour ne pas être la prochaine victime !! Ce qui est aussi marquant c’est de voir que tous ces jeunes, victimes ou bourreaux, sont prisonniers du système, des réseaux sociaux. Se rebeller c’est passer pour un traitre, une pookie (balance), c’est perdre ses camarades. Derrière un graphisme plutôt doux aux couleurs pastels, on découvre l’escalade des événements, des sentiments. On comprend pourquoi il y a une montée en puissance, on comprend pourquoi les jeunes ne se confient pas, coincés entre leur vie sociale et des parents pas toujours compréhensifs qui se mettent parfois des œillères. Mais surtout on ressent le désarroi et l’impuissance dans lequel se trouvent les personnages. Les combats invisibles et un livre à lire absolument, mais c’est surtout un ouvrage pour ouvrir le débat, pour communiquer, pour faire prendre conscience que ces situations ne sont pas normales et pour tenter d’agir avant qu’il ne soit trop tard.
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Bonjour, Le Festival International de la bande dessinée d’Angoulême et les éditions Ki-oon ont l’honneur de recevoir Gou TANABE à l’occasion de la 52e édition du Festival d’Angoulême ! L’évènement qui se déroulera du 30 janvier au 2 février approchant à grands pas, il est temps de revenir en détail sur les différents rendez-vous qui accompagneront la venue de l’auteur des Chefs-d’œuvre de Lovecraft. Tout d’abord, Gou TANABE donnera une masterclass au théâtre d’Angoulême le jeudi 30 janvier à 15h, à laquelle il est possible d’assister sur réservation. Vous pourrez aussi rencontrer l’auteur à l’occasion de séances de dédicaces qui auront lieu sur le stand Ki-oon, à Manga City, jeudi 30 janvier, vendredi 31 janvier et samedi 1er février de 10h30 à 12h30 ! Pour accéder aux dédicaces, un ticket sera à retirer le jour même sur le stand Ki-oon à partir de 10h : un tirage au sort déterminera si vous bénéficierez d’une dédicace dessin ou d’une signature. Mais ce n’est pas tout ! Une conférence croisée entre Gou TANABE et François Baranger aura lieu le vendredi 31 janvier à 15h30 sur la scène de Manga City, entrée libre avec le pass du Festival. Une rencontre exceptionnelle entre deux auteurs fascinés par l’imaginaire de H. P. Lovecraft… Enfin, nous vous donnons rendez-vous à l’espace Franquin pour une immersion au cœur des œuvres du mangaka grâce à une incroyable exposition, Gou Tanabe x H.P. Lovecraft : visions hallucinées. Vous pourrez y découvrir les méthodes de travail de Gou TANABE ainsi que ses interprétations des grands récits de H. P. Lovecraft. Plus d’une centaine de dessins originaux et d’extraits des textes originels seront ainsi présentés à travers une scénographie monumentale… Cerise sur le gâteau, en plus du splendide catalogue de l’exposition et de l’affiche officielle du festival, la boutique de l’expo proposera une expérience de réalité virtuelle qui vous transportera directement dans l’univers sombre et déroutant de La Couleur tombée du ciel… Nous vous attendons du 30 janvier au 2 février au Festival d’Angoulême pour une plongée vertigineuse dans l’imaginaire lovecraftien en compagnie de l’immense Gou TANABE !
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Titre de l'album : Dark moon the blood altar tome 1 Scenariste de l'album : Hybe Corporation Dessinateur de l'album : Hybe Corporation Coloriste : Editeur de l'album : Neotoon Note : Résumé de l'album : Suha a toujours été accusée d'être un vampire à cause de son don particulier. Elle réussit à entrer à la prestigieuse académie Decelis, connue pour ne pas laisser entrer de vampires dans son enceinte. Là-bas, elle rencontre un groupe de sept garçons aux pouvoirs étranges qui décident de s'occuper d'elle. Leur destin était peut-être scellé depuis bien plus longtemps qu'on ne l'imagine et le monde risque d'être chamboulé par leurs véritables natures. Critique : Après 7Fates:Chakho, Dark moon the blood altar est le deuxième webtoon de Neotoon lié à la K-pop. Vous retrouverez donc les 7 membres du groupe Enhypen dans une histoire fantastique de vampires. Cependant c’est autour du personnage féminin de Sooha que l’histoire s’articule. Cette dernière a toujours eu une force surhumaine depuis sa naissance ce qui l’a mis au ban de la société à tel point que tout le monde l’évitait la traitant de vampire. Son seul ami d’enfance, Chris, a été tué par un vampire quand il avait 12 ans. C’est pourquoi Sooha a choisi d’entrer à l’académie Decelis réputée pour avoir un contrôle absolu pour ne laisser entrer que des humains. C’est là que Sooha va rencontrer un groupe de 7 garçons un peu à part possédant aussi un pouvoir. Se sentant moins seule, elle va sympathiser avec eux ignorant que ce sont des vampires. Contrairement à 7fates qui est un peu plus mature, Dark moon est facile d’approche même s’il commence par l’image d’un enfant dans un cercueil avec un énorme pieu dans le cœur (emoji). Il a d’abord un dessin très shojo avec des personnages aux grands yeux et aux contours arrondis. Sa mise en scène est très nette : chaque image est parfaitement compréhensible, le dynamisme des scènes d’action est simple et la colorisation utilise toute les gammes de couleur. Le tout rend la lecture fluide et agréable. Concernant le scénario, on a un schéma plutôt classique avec une jeune fille entourée de beaux garçons mystérieux et la dose vampirique qui fait toujours son effet. Classique donc mais efficace !! Un bon premier tome. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dark-moon-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Après 7Fates:Chakho, Dark moon the blood altar est le deuxième webtoon de Neotoon lié à la K-pop. Vous retrouverez donc les 7 membres du groupe Enhypen dans une histoire fantastique de vampires. Cependant c’est autour du personnage féminin de Sooha que l’histoire s’articule. Cette dernière a toujours eu une force surhumaine depuis sa naissance ce qui l’a mis au ban de la société à tel point que tout le monde l’évitait la traitant de vampire. Son seul ami d’enfance, Chris, a été tué par un vampire quand il avait 12 ans. C’est pourquoi Sooha a choisi d’entrer à l’académie Decelis réputée pour avoir un contrôle absolu pour ne laisser entrer que des humains. C’est là que Sooha va rencontrer un groupe de 7 garçons un peu à part possédant aussi un pouvoir. Se sentant moins seule, elle va sympathiser avec eux ignorant que ce sont des vampires. Contrairement à 7fates qui est un peu plus mature, Dark moon est facile d’approche même s’il commence par l’image d’un enfant dans un cercueil avec un énorme pieu dans le cœur (emoji). Il a d’abord un dessin très shojo avec des personnages aux grands yeux et aux contours arrondis. Sa mise en scène est très nette : chaque image est parfaitement compréhensible, le dynamisme des scènes d’action est simple et la colorisation utilise toute les gammes de couleur. Le tout rend la lecture fluide et agréable. Concernant le scénario, on a un schéma plutôt classique avec une jeune fille entourée de beaux garçons mystérieux et la dose vampirique qui fait toujours son effet. Classique donc mais efficace !! Un bon premier tome.
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@Kevin Nivek il y a un problème sur ton lien bdfugue tu mets que c'est un comics, sur bdfugue il y a indiqué bd et sur ankama, roman graphique... alors, je le mets dans quoi ?
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- meurtres
- monde animalier
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(et 2 en plus)
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c'est parce que l'édition est plus proche d'une bd que d'un webtoon, c'est comme les Lore Olympus mais 4 tomes seulement
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Mon oncle est une star de K-pop est une version moderne du conte de fée où la bonne fée marraine exauce votre vœu le plus cher, sauf qu’ici le vœu se fait via une application et la fée est une I.A. ! Nous voici donc avec Lee Woo-jin, 28 ans, qui n’a pas été épargné par la vie : son frère et sa belle-sœur sont décédés lors d’un accident laissant une petite fille, son père est mort peu après et sa mère est malade. Il n’a pas pu poursuivre ses études et enchaine les petits boulots pour subvenir aux besoins de sa famille. Autant dire qu’il a laissé tomber ses rêves depuis longtemps !! C’est ainsi qu’un soir de déprime, il répond à un questionnaire sur l’application « star.com » et voit arriver une petite sphère (matérialisation de l’I.A.) qui va l’aider à réaliser son rêve : devenir une star !! On pourrait penser que la situation est un peu trop cheatée et que l’I.A. va tout faire à sa place. Détrompez-vous ! Même si l’I.A. agit un peu sur son physique elle ne fait pas tout et Woo-Jin s’entraine beaucoup à chanter et ne ménage pas ses efforts. Et ce sera l’intérêt principal de la série : nous permettre d’entrer dans les coulisses de la K-pop et découvrir comment se fabrique une star. On ne va pas se mentir, l’histoire est aussi de la pure distraction destinée à faire rêver les amateurs de shojo et de K-pop. Le récit ne manque pas d’humour, on appréciera notamment la transformation de Woo-jin qui n’a aucun sens de la mode !! Côté graphisme, on aurait aimé que le dessin des planches soit aussi beau que celui de la couverture mais hélas, il est un peu plus quelconque, ce qui ne gêne pas la lecture. Un bon premier tome agréable à lire pour une série à suivre.
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Titre de l'album : Mon oncle est une star de Kpop tome 1 Scenariste de l'album : HUH Wonjin Dessinateur de l'album : NOPNI Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - KBooks Note : Résumé de l'album : Le rêve de Woo-jin s'est brisé le jour où son frère et sa belle-sœur sont morts dans un accident. Son père a succombé à la tristesse, le laissant en charge de sa mère malade et de sa jeune nièce. Contraint de prendre un job alimentaire, tout change quand il répond à un spam qui lui promet de l'aider à rejoindre le monde des stars de Kpop ! Il n'est jamais trop tard pour réaliser son rêve ! Critique : Mon oncle est une star de K-pop est une version moderne du conte de fée où la bonne fée marraine exauce votre vœu le plus cher, sauf qu’ici le vœu se fait via une application et la fée est une I.A. ! Nous voici donc avec Lee Woo-jin, 28 ans, qui n’a pas été épargné par la vie : son frère et sa belle-sœur sont décédés lors d’un accident laissant une petite fille, son père est mort peu après et sa mère est malade. Il n’a pas pu poursuivre ses études et enchaine les petits boulots pour subvenir aux besoins de sa famille. Autant dire qu’il a laissé tomber ses rêves depuis longtemps !! C’est ainsi qu’un soir de déprime, il répond à un questionnaire sur l’application « star.com » et voit arriver une petite sphère (matérialisation de l’I.A.) qui va l’aider à réaliser son rêve : devenir une star !! On pourrait penser que la situation est un peu trop cheatée et que l’I.A. va tout faire à sa place. Détrompez-vous ! Même si l’I.A. agit un peu sur son physique elle ne fait pas tout et Woo-Jin s’entraine beaucoup à chanter et ne ménage pas ses efforts. Et ce sera l’intérêt principal de la série : nous permettre d’entrer dans les coulisses de la K-pop et découvrir comment se fabrique une star. On ne va pas se mentir, l’histoire est aussi de la pure distraction destinée à faire rêver les amateurs de shojo et de K-pop. Le récit ne manque pas d’humour, on appréciera notamment la transformation de Woo-jin qui n’a aucun sens de la mode !! Côté graphisme, on aurait aimé que le dessin des planches soit aussi beau que celui de la couverture mais hélas, il est un peu plus quelconque, ce qui ne gêne pas la lecture. Un bon premier tome agréable à lire pour une série à suivre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mon-oncle-est-une-star-de-kpop-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Freaking romance tome 2 Scenariste de l'album : SNAILORDS Dessinateur de l'album : SNAILORDS Coloriste : Editeur de l'album : Neotoon Note : Résumé de l'album : Chaque relation a ses propres obstacles. Pour ce couple, ils sont cosmiques. Après avoir mis les choses à plat, Zylith et Zelan cherchent à comprendre comment et surtout pourquoi ils sont les seuls à pouvoir se voir. De théorie en théorie, les deux colocataires se rapprochent peu à peu. Lorsque la jeune artiste se retrouve une nouvelle fois face à son père manipulateur et violent, Zelan décide d'agir. Peut-être ont-ils davantage en commun qu'il n'est prêt à l'admettre ? Critique : Zylith a enfin compris que Zelan pouvait la voir et l’entendre. Voici venu le temps des explications. Zelan, féru de science-fiction, lui explique qu’ils sont dans deux dimensions parallèles et qu’il y aurait une faille dans l’appartement leur permettant de se voir. Après avoir fait plus ample connaissance, Zelan propose à Zylith de l’aide pour écrire son webtoon de romance mais la tâche s’annonce ardue vue que cette dernière semble avoir une forte aversion dans ce domaine. La suite du récit nous expliquera pourquoi. La relation entre les deux personnages principaux est mignonne, on sent qu’une confiance mutuelle s’installe même s’il y a une part d’ombre chez Zelan. Ce deuxième tome met en avant un aspect très intéressant et important dans les relation parent-enfant. On découvre ainsi que le père de Zylith est ce que l’on appelle un père abusif / toxique qui est un maitre de la manipulation. C’est dans ce genre de passage que l’on voit que Snailords a plus d’une corde à son arc et qu’elle est capable de donner de la profondeur à ses personnages tout en s’inscrivant dans des préoccupations actuelles. L’histoire s’enrichit et se diversifie donnant une autre dimension à une romance qui s’annonce à la fois magnifique et impossible. Je tiens à souligner la qualité de l’édition qui nous propose un livre relié joliment verni et un papier de qualité. Un bel bien ouvrage à mettre dans votre bibliothèque pour une histoire transcendant la réalité. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/freaking-romance-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Zylith a enfin compris que Zelan pouvait la voir et l’entendre. Voici venu le temps des explications. Zelan, féru de science-fiction, lui explique qu’ils sont dans deux dimensions parallèles et qu’il y aurait une faille dans l’appartement leur permettant de se voir. Après avoir fait plus ample connaissance, Zelan propose à Zylith de l’aide pour écrire son webtoon de romance mais la tâche s’annonce ardue vue que cette dernière semble avoir une forte aversion dans ce domaine. La suite du récit nous expliquera pourquoi. La relation entre les deux personnages principaux est mignonne, on sent qu’une confiance mutuelle s’installe même s’il y a une part d’ombre chez Zelan. Ce deuxième tome met en avant un aspect très intéressant et important dans les relation parent-enfant. On découvre ainsi que le père de Zylith est ce que l’on appelle un père abusif / toxique qui est un maitre de la manipulation. C’est dans ce genre de passage que l’on voit que Snailords a plus d’une corde à son arc et qu’elle est capable de donner de la profondeur à ses personnages tout en s’inscrivant dans des préoccupations actuelles. L’histoire s’enrichit et se diversifie donnant une autre dimension à une romance qui s’annonce à la fois magnifique et impossible. Je tiens à souligner la qualité de l’édition qui nous propose un livre relié joliment verni et un papier de qualité. Un bel bien ouvrage à mettre dans votre bibliothèque pour une histoire transcendant la réalité.
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