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Nickad

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  1. Nickad

    Les récits d'Obana

    A l’origine des Récits d’Obana se trouve Fuyumi ONO, une romancière qui a déjà remporté plusieurs prix littéraires notamment pour sa série Les Douze Royaumes. Les récits d’Obana, originellement composé de 3 livres, ont été adaptés en manga par la non moins célèbre Kazue KATO, l’autrice de Blue Exorcist. Le recueil est composé de 6 récits qui mettent en scène des personnes normales confrontées à des phénomènes paranormaux, souvent liés à la présence d’une âme en peine (un fantôme). On verra ainsi une porte qui s’ouvre toute seule, des pleurs d’enfant dans un garage, des bruits de pas dans un grenier, un jardin où les plantes dépérissent, une femme en deuil les jours de pluie ou encore la présence d’un petit vieux qui se cache dans une maison. A chaque chapitre, on commence par découvrir la situation qui est toujours liée à un lieu d’habitation, puis en dernier lieu arrive Obana, un bricoleur spécialisé dans les travaux d’entretien et d’amélioration qui propose une solution. Ce dernier ne fait pas d’exorcisme, il aménage le lieu pour pouvoir répondre à la fois à la demande de son client mais aussi à celle de l’esprit qui est présent. Kazue KATO nous propose un joli crayonné, plus mature et sombre que dans Blue Exorcist, elle joue sur les ombres et les trames pour faire ressortir les angoisses sans jamais tomber dans l’horreur. La narration est intéressante, contrairement à d’autres mangas « fantomatiques » où souvent on a soit l’élimination de l’esprit soit l’horreur sans autre objectif que de générer de l’effroi, Les récits d’Obana offre une autre possibilité, celle de faire cohabiter les différents protagonistes. Ces six histoires sont prenantes et donnent même l’envie d’y retourner. A lire.
  2. Titre de l'album : Mon fils semble avoir été réincarné dans un autre monde tome 4 Scenariste de l'album : KANEMOTO Dessinateur de l'album : SHIBATA Hikari Coloriste : Editeur de l'album : Mana Books Note : Résumé de l'album : Dis-moi comment faire pour retrouver mon fils, maintenant qu'il est parti dans un autre monde. " La seule chose que je veux t'entendre dire, c'est que Taïga est mort. Et tu vas le faire devant ce qu'il reste de lui. " Mio est terrifiée par l'apparition soudaine de son mari. Elle retourne auprès de Dobara, mais une dernière confrontation, laide et violente, approche à grands pas. Est-ce la fin pour tous les deux ?! Une aventure humaine drôle et touchante d'une mère déterminée, qui refuse de faire le deuil de son fils disparu. Série terminée en 5 tomes Critique : La situation entre Mio et Dobara s’est détériorée ; il n’a pas su mentir quand elle lui a demandé s’il croyait vraiment en l’existence d’un autre monde. Jusqu’à présent, il l’accompagnait dans l’espoir que petit à petit elle abandonnerait cette idée pensant ainsi pourvoir l’aider dans son deuil mais aujourd’hui il ne sait plus trop ce qu’il aurait dû faire. De son côté Mio culpabilise aussi d’avoir emmené Dobara dans sa démarche. Tandis que le mari de Mio se met en marche pour la ramener manu militari à la maison, ils décident de finir leur démarche en vérifiant une par une les possibilités de passer dans un autre monde. Mio prend conscience que sa situation et sa disparition ont causé du tort à son entourage, elle les remercie néanmoins de leur sollicitude. Mais quand elle se retrouve face à son mari qui veut lui faire dire que leur fils est mort on sent le drame arriver et la fin approcher. Certes elle n’est pas la seule à souffrir de cette disparition et elle s’est enfermée dans l’idée d’une réincarnation, une façon inconsciente et détournée d’échapper à la vérité. Seulement, un jour ou un autre, il faudra qu’elle y fasse face et ce sera brutal. La tension monte tout au long de ce 4eme volume, il va être temps d’affronter la réalité. Mio va devoir accepter la mort de son fils mais quand on a fui pendant des semaines en se raccrochant à un fol espoir, est-ce que cela va lui permettre de mieux digérer la situation ou est-ce que le contrecoup sera encore plus violent ? Réponse dans le prochain et dernier tome de la série. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mon-fils-semble-avoir-ete-reincarne-dans-un-autre-monde-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. La situation entre Mio et Dobara s’est détériorée ; il n’a pas su mentir quand elle lui a demandé s’il croyait vraiment en l’existence d’un autre monde. Jusqu’à présent, il l’accompagnait dans l’espoir que petit à petit elle abandonnerait cette idée pensant ainsi pourvoir l’aider dans son deuil mais aujourd’hui il ne sait plus trop ce qu’il aurait dû faire. De son côté Mio culpabilise aussi d’avoir emmené Dobara dans sa démarche. Tandis que le mari de Mio se met en marche pour la ramener manu militari à la maison, ils décident de finir leur démarche en vérifiant une par une les possibilités de passer dans un autre monde. Mio prend conscience que sa situation et sa disparition ont causé du tort à son entourage, elle les remercie néanmoins de leur sollicitude. Mais quand elle se retrouve face à son mari qui veut lui faire dire que leur fils est mort on sent le drame arriver et la fin approcher. Certes elle n’est pas la seule à souffrir de cette disparition et elle s’est enfermée dans l’idée d’une réincarnation, une façon inconsciente et détournée d’échapper à la vérité. Seulement, un jour ou un autre, il faudra qu’elle y fasse face et ce sera brutal. La tension monte tout au long de ce 4eme volume, il va être temps d’affronter la réalité. Mio va devoir accepter la mort de son fils mais quand on a fui pendant des semaines en se raccrochant à un fol espoir, est-ce que cela va lui permettre de mieux digérer la situation ou est-ce que le contrecoup sera encore plus violent ? Réponse dans le prochain et dernier tome de la série.
  4. Titre de l'album : Quality assurance in another world tome 1 Scenariste de l'album : SATO Masamichi Dessinateur de l'album : SATO Masamichi Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : Nikola, jeune habitante d'un paisible petit village, voit soudain débouler dans les prés d'énormes dragons ! Terrifiée, elle est secourue par Haga, un homme qui semble mener de mystérieuses recherches. Ce que Nikola ignore, c'est que Haga n'est autre qu'un testeur, coincé dans le jeu qu'il était censé débugger... Et qu'elle-même n'est qu'un PNJ ! De plus, si Haga est dévoué à son travail, ce n'est pas le cas de tous ses collègues... Critique : Haga est un débuggeur, il a été envoyé dans un jeu vidéo avec des collègues pour vérifier le bon fonctionnement et signaler tous les bugs qu’il pourrait trouver. Seulement voilà, ils se retrouvent tous coincés à l’intérieur du jeu sans pouvoir se déconnecter. Pour les autres joueurs et les PNJ, ils sont appelés des King’s seeker, des personnages missionnés pour enquêter sur des phénomènes étranges. C’est comme ça qu’il en vient à faire équipe avec une PNJ qui n’aurait jamais dû quitter son village. Mais si Haga continue de faire bien son travail, les autres King’s seeker ont plutôt laissé tomber et certains profitent grandement du jeu et de leur privilège de débuggeur pour régner et abuser de leurs pouvoirs. La série veut rendre hommage aux joueurs qui aiment explorer leur jeu vidéo de fond en comble pour découvrir tous les secrets et toutes les anomalies qu’il pourrait y avoir. Du coup, cela entraine des comportements absurdes et des situations cocasses. Le personnage de Haga est hyper sérieux dans sa mission, cela lui permet aussi de ne pas sombrer dans la folie vu qu’il est coincé dans le jeu. Il teste les scenarios plusieurs fois et recherche les erreurs, il n’est pas surprenant de le voir se frotter à une muraille dix fois de suite ! La séries est humoristique et regorge de petites trouvailles, elle est sympathique à lire même pour ceux qui ne jouent pas et qui ne sont pas familier avec l’univers des jeux vidéo. Le scénario ne se limite pas qu’à la recherche des bugs, Haga va devoir affronter les King’s seeker qui ont mal tourné et aussi trouver une solution pour sauver son équipe, dont certains sont coincés dans des anomalies. C’est original et plutôt distrayant. A suivre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/quality-assurance-in-another-world-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Haga est un débuggeur, il a été envoyé dans un jeu vidéo avec des collègues pour vérifier le bon fonctionnement et signaler tous les bugs qu’il pourrait trouver. Seulement voilà, ils se retrouvent tous coincés à l’intérieur du jeu sans pouvoir se déconnecter. Pour les autres joueurs et les PNJ, ils sont appelés des King’s seeker, des personnages missionnés pour enquêter sur des phénomènes étranges. C’est comme ça qu’il en vient à faire équipe avec une PNJ qui n’aurait jamais dû quitter son village. Mais si Haga continue de faire bien son travail, les autres King’s seeker ont plutôt laissé tomber et certains profitent grandement du jeu et de leur privilège de débuggeur pour régner et abuser de leurs pouvoirs. La série veut rendre hommage aux joueurs qui aiment explorer leur jeu vidéo de fond en comble pour découvrir tous les secrets et toutes les anomalies qu’il pourrait y avoir. Du coup, cela entraine des comportements absurdes et des situations cocasses. Le personnage de Haga est hyper sérieux dans sa mission, cela lui permet aussi de ne pas sombrer dans la folie vu qu’il est coincé dans le jeu. Il teste les scenarios plusieurs fois et recherche les erreurs, il n’est pas surprenant de le voir se frotter à une muraille dix fois de suite ! La séries est humoristique et regorge de petites trouvailles, elle est sympathique à lire même pour ceux qui ne jouent pas et qui ne sont pas familier avec l’univers des jeux vidéo. Le scénario ne se limite pas qu’à la recherche des bugs, Haga va devoir affronter les King’s seeker qui ont mal tourné et aussi trouver une solution pour sauver son équipe, dont certains sont coincés dans des anomalies. C’est original et plutôt distrayant. A suivre.
  6. Nickad

    Love coach tome 1

    Titre de l'album : Love coach tome 1 Scenariste de l'album : MIASA Rin Dessinateur de l'album : MIASA Rin Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Eiko, une jeune femme célibataire de 29 ans, passionnée de jeux vidéo, se sent de plus en plus seule car toutes ses copines la lâchent les unes après les autres pour se marier. Un beau jour, Koigakubo, un splendide jeune homme, débarque dans sa vie professionnelle. Lors d'une soirée arrosée entre collègues, ce dernier lui fait une proposition étonnante : devenir son coach en amour ! Critique : Ah j’ai eu peur, les premières pages étaient similaires à deux mangas assez récents : une jeune femme part du boulot à 18H pétantes pour aller jouer en ligne !! Heureusement, la suite s’oriente différemment et on ne passe pas notre lecture à regarder la protagoniste en train de jouer dès qu’elle le peut ! Eiko, bientôt la trentaine n’a que très peu de relations sociales, en fait c’est une geek. Dès qu’elle sort du boulot elle passe son temps à jouer. Elle n’a jamais réussi à s’intégrer dans les différents groupes, que ce soit à l’école comme au travail, elle n’a jamais eu de flirt non plus. Le jour où elle apprend que sa meilleure amie ne pourra plus jouer comme avant car elle va se marier, cela lui met un coup au moral. Là-dessus arrive une collaboration inter entreprise avec un beau jeune homme de 23 ans qui finit par lui proposer, après quelques verres, de lui donner des leçons en amour. Finalement Love Coach est une comédie romantique avec tout ce qu’il faut là où il faut : de l’innocence, du romantisme, de la séduction, des rougissements, de la légèreté et des personnages qui vont vite aller vers un schéma classique. C’est néanmoins très bien fait, avec un scénario agréable (et pas trop de jeu vidéo) et un graphisme tout en rondeur qui est plaisant à regarder. Une belle romance qui commence… Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/love-coach-koigakubo-kun-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Nickad

    Love coach tome 1

    Ah j’ai eu peur, les premières pages étaient similaires à deux mangas assez récents : une jeune femme part du boulot à 18H pétantes pour aller jouer en ligne !! Heureusement, la suite s’oriente différemment et on ne passe pas notre lecture à regarder la protagoniste en train de jouer dès qu’elle le peut ! Eiko, bientôt la trentaine n’a que très peu de relations sociales, en fait c’est une geek. Dès qu’elle sort du boulot elle passe son temps à jouer. Elle n’a jamais réussi à s’intégrer dans les différents groupes, que ce soit à l’école comme au travail, elle n’a jamais eu de flirt non plus. Le jour où elle apprend que sa meilleure amie ne pourra plus jouer comme avant car elle va se marier, cela lui met un coup au moral. Là-dessus arrive une collaboration inter entreprise avec un beau jeune homme de 23 ans qui finit par lui proposer, après quelques verres, de lui donner des leçons en amour. Finalement Love Coach est une comédie romantique avec tout ce qu’il faut là où il faut : de l’innocence, du romantisme, de la séduction, des rougissements, de la légèreté et des personnages qui vont vite aller vers un schéma classique. C’est néanmoins très bien fait, avec un scénario agréable (et pas trop de jeu vidéo) et un graphisme tout en rondeur qui est plaisant à regarder. Une belle romance qui commence…
  8. Titre de l'album : Fou comme le chapelier Scenariste de l'album : BONNO Nuis Dessinateur de l'album : BONNO Nuis Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : " Si tu m'aimes, il faut que tu l'acceptes. " Igarashi a pour mauvaise habitude de fourrer son nez dans les affaires des autres... Mais il ne pensait pas que cette fois, cette manie le conduirait à s'immiscer dans la relation étrange de deux colocataires. Critique : Une rencontre, une amitié ensuite, des liens qui se resserrent entre le très « droit » Igarashi et le très enjoué Keigo. Si tout semble aller pour le mieux, Keigo a d’étranges penchants et un colocataire encore plus étrange. Igarashi se retrouve malgré lui pris au piège de ses sentiments et va devoir prendre la place qu’on lui laisse dans cette relation déroutante. Attention, ce manga est à réserver à un public adulte et averti, certaines relations sont non consentantes et peuvent choquer. D’une manière générale, ce qui se passe dans la tête des personnages (Keigo et son colocataire) est assez bizarre, voire malsain. Ici, la morale n’a pas sa place, il s’agit d’amour exclusif de la part de l’un qui a entrainé le second sur des pentes dangereuses. Keigo en est conscient, c’est pourquoi il cherche à éloigner Igarashi qui, contrairement à son apparence, est un bon garçon épris de justice et de morale. Le manga porte bien son nom, il y a une folie ambiante et les personnages sont pris dans ce tourbillon. Une curiosité à découvrir en connaissance de cause. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/fou-comme-le-chapelier?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Nickad

    Fou comme le chapelier

    Une rencontre, une amitié ensuite, des liens qui se resserrent entre le très « droit » Igarashi et le très enjoué Keigo. Si tout semble aller pour le mieux, Keigo a d’étranges penchants et un colocataire encore plus étrange. Igarashi se retrouve malgré lui pris au piège de ses sentiments et va devoir prendre la place qu’on lui laisse dans cette relation déroutante. Attention, ce manga est à réserver à un public adulte et averti, certaines relations sont non consentantes et peuvent choquer. D’une manière générale, ce qui se passe dans la tête des personnages (Keigo et son colocataire) est assez bizarre, voire malsain. Ici, la morale n’a pas sa place, il s’agit d’amour exclusif de la part de l’un qui a entrainé le second sur des pentes dangereuses. Keigo en est conscient, c’est pourquoi il cherche à éloigner Igarashi qui, contrairement à son apparence, est un bon garçon épris de justice et de morale. Le manga porte bien son nom, il y a une folie ambiante et les personnages sont pris dans ce tourbillon. Une curiosité à découvrir en connaissance de cause.
  10. Nickad

    L'hôtel de tous les plaisirs

    Dans cet hôtel de luxe, certains employés portent un badge spécial qui permet au client de la suite Whittaker de demander n’importe quelle faveur. Ryûsen est venu faire passer des entretiens d’embauche, devant le manque de personnel, le concierge en chef Kashiro l’aide. Ryûsen décide de le débaucher et devant le refus de ce dernier, utilise l’avantage du badge. Dans ce one shot, vous aurez deux histoires de couple qui se déroule dans le même hôtel et qui s’entrecroisent. Celui de Ryûsen et Kashiro, le premier étant prêt à tout pour conquérir Kashiro, y compris venir travailler à l’hôtel. Le second, celui du directeur de l’établissement, Ron, un célèbre acteur avec un mystérieux prince arabe. Si l’histoire n’est pas déplaisante, elle souffre parfois d’un manque de développement, notamment concernant l’enquête de police sur les affaires de prostitution. Le graphisme est agréable mais on aurait aimé s’étendre un peu sur le fonctionnement de cette suite très spéciale !
  11. Titre de l'album : L'hôtel de tous les plaisirs Scenariste de l'album : YAN Dessinateur de l'album : YAN Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Ron est un célèbre acteur, et le propriétaire d'un hôtel de luxe au coeur de Londres. Il offre à ses clients les plus fortunés un service spécial : une unique nuit d'amour et de plaisir avec tout membre du personnel porteur d'un badge spécial. Un jour, il reçoit la demande du mystérieux prince arabe Rana, qui souhaite passer cette nuit de volupté avec nul autre que Ron lui-même. Il s'exécute, mais Rana est-il vraiment celui qu'il prétend être ? Parallèlement, Ryûsen, un homme d'affaires de Singapour, bénéficie lui aussi des services spéciaux de l'hôtel avec le concierge en chef, Kashiro. Critique : Dans cet hôtel de luxe, certains employés portent un badge spécial qui permet au client de la suite Whittaker de demander n’importe quelle faveur. Ryûsen est venu faire passer des entretiens d’embauche, devant le manque de personnel, le concierge en chef Kashiro l’aide. Ryûsen décide de le débaucher et devant le refus de ce dernier, utilise l’avantage du badge. Dans ce one shot, vous aurez deux histoires de couple qui se déroule dans le même hôtel et qui s’entrecroisent. Celui de Ryûsen et Kashiro, le premier étant prêt à tout pour conquérir Kashiro, y compris venir travailler à l’hôtel. Le second, celui du directeur de l’établissement, Ron, un célèbre acteur avec un mystérieux prince arabe. Si l’histoire n’est pas déplaisante, elle souffre parfois d’un manque de développement, notamment concernant l’enquête de police sur les affaires de prostitution. Le graphisme est agréable mais on aurait aimé s’étendre un peu sur le fonctionnement de cette suite très spéciale ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-hotel-de-tous-les-plaisirs?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Nickad

    Game of familia tome 8

    Toujours dans leur quête de rechercher des alliés pour combattre les Dead Mells, Sasae et sa familia entendent parler de « dragon », des êtres surpuissants qui se seraient réincarner dans ce monde. Hélas ces dragons ne sont pas toujours bienveillants et certains ont même causé de grandes guerres par le passé. Il est temps d’envoyer une équipe de reconnaissance pour savoir ce qu’il en est mais cette mission réserve une surprise de taille. Début d’un nouvel « arc » dans Game of Familia avec un tome qui met en place de nouveaux personnages. Si ce tome de transition n’est pas exceptionnel, il permet de donner un aperçu de la suite, une suite qui risque fort d’entrainer notre Familia dans une situation extrême et un conflit interne. Voilà qui changera un peu des combats habituels et qui permettra de pimenter un peu l’histoire.
  13. Titre de l'album : Game of familia tome 8 Scenariste de l'album : YAMAGUCHI Mikoto Dessinateur de l'album : D.P Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Le dernier pays est gouverné par les " réincarnés " ! L'arc du dragon maléfique de Hilmzeld commence !! Grâce à sa confiance en sa Familia, Sasae a pu vaincre Ode Seeker et signer un accord de paix avec l'État magique de Laiknel. Des quatre grands pays du continent, le seul à lui être encore opposé est Hilmzeld, un État instable régi par des " dragons ", nom donné aux êtres humains réincarnés du même monde que Sasae. Adulés comme des dieux, ces dragons peuvent aussi bien faire régner la paix que faire couler le sang à Hilmzeld selon leur tempérament. Sugar et ses camarades sont ainsi envoyées en mission de repérage afin de découvrir quel est le caractère du dernier dragon né, mais la rencontre avec ce dernier révèle une chose inattendue... Critique : Toujours dans leur quête de rechercher des alliés pour combattre les Dead Mells, Sasae et sa familia entendent parler de « dragon », des êtres surpuissants qui se seraient réincarner dans ce monde. Hélas ces dragons ne sont pas toujours bienveillants et certains ont même causé de grandes guerres par le passé. Il est temps d’envoyer une équipe de reconnaissance pour savoir ce qu’il en est mais cette mission réserve une surprise de taille. Début d’un nouvel « arc » dans Game of Familia avec un tome qui met en place de nouveaux personnages. Si ce tome de transition n’est pas exceptionnel, il permet de donner un aperçu de la suite, une suite qui risque fort d’entrainer notre Familia dans une situation extrême et un conflit interne. Voilà qui changera un peu des combats habituels et qui permettra de pimenter un peu l’histoire. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/game-of-familia-tome-8?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Titre de l'album : Confidences nostalgiques tome 1 Scenariste de l'album : Tomata TAGAWA Dessinateur de l'album : Tomata TAGAWA Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : Une fois arrivés à l’âge adulte, quel regard portons-nous sur nos amours de jeunesse ? Qu’elles aient été tendres ou difficiles, joyeuses ou tristes, enrichissantes ou teintées de regrets, elles finissent inlassablement par se rappeler à notre bon souvenir. Entrez dans l’intimité de jeunes adultes prêts à vous livrer les secrets de leurs relations passées... Critique : Confidences nostalgiques est un recueil de petites histoires autour d’une même thématique : des histoires d’amour perdues. C’est la nostalgie du premier amour, le récit de rencontres, de séparations, l’ambition de la nouveauté et des premiers émois qui donnent des ailes et qui font penser que tout est possible. Des jeunes femmes reviennent sur leur passé et nous dévoilent des amours perdues qu’elles chérissent encore. Il y a les relations qui s’étiolent avec le temps ou avec la distance, celles qui finissent car les amants n’ont pas les mêmes objectifs, celle où parfois l’amitié dérape… Chaque histoire est agréable à lire, différente, belle dans sa narration et son graphisme. Ce sont des pages de vies qui se tournent sans lendemain et qui nous laisse un peu dans le même état : c’était bien tant qu’on était dans l’histoire mais maintenant que le livre est fini, il faut passer à autre chose. Je doute un peu du potentiel de relecture. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/confidences-nostalgiques-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Nickad

    Confidences nostalgiques tome 1

    Confidences nostalgiques est un recueil de petites histoires autour d’une même thématique : des histoires d’amour perdues. C’est la nostalgie du premier amour, le récit de rencontres, de séparations, l’ambition de la nouveauté et des premiers émois qui donnent des ailes et qui font penser que tout est possible. Des jeunes femmes reviennent sur leur passé et nous dévoilent des amours perdues qu’elles chérissent encore. Il y a les relations qui s’étiolent avec le temps ou avec la distance, celles qui finissent car les amants n’ont pas les mêmes objectifs, celle où parfois l’amitié dérape… Chaque histoire est agréable à lire, différente, belle dans sa narration et son graphisme. Ce sont des pages de vies qui se tournent sans lendemain et qui nous laisse un peu dans le même état : c’était bien tant qu’on était dans l’histoire mais maintenant que le livre est fini, il faut passer à autre chose. Je doute un peu du potentiel de relecture.
  16. Nickad

    Arena tome 4

    Les 6 derniers élèves ont réussi à utiliser la résonnance et forment à présent l’équipe de combattants « les 666 ». Ils doivent arriver au sommet des arènes pour pouvoir un jour gagner leur liberté. Avec le temps qui passe, ils ont fini par abandonner l’espoir de retourner sur Terre et pour certains, comme Gabriel, cette nouvelle vie lui convient bien lui qui réfrénait ses envies meurtrières. Après 18 mois, les voilà en demi-finale pour atteindre la ligue A et quelques surprises vont venir perturber leur parcours. Si cette première partie du webtoon se concentre sur le développement des capacités de Gabriel et de ses compagnons en enchainant les entrainements et les combats, on sent qu’il y a une autre problématique derrière : peut-être une guerre à plus grande échelle (genre inter planétaire). Les arènes ne seraient pas qu’un moyen de se divertir mais auraient pour objectif de former des guerriers puissants. La suite nous le dira. On aurait aimé cependant un peu plus de teneur concernant le quotidien des personnages, certes il y a des passages un peu plus axés sur eux comme un aperçu de la véritable personnalité de Mélissa ou des problèmes de couples de Fiona et Kevin qui montrent que les personnages ont vieilli mais on a l’impression par moment de survoler un peu le sujet. Reste une fin de volume très intéressante qui nous motive bien pour aller lire la suite. Arena est un bon shonen d’action avec un scénario qui tient la route qui se laisse facilement lire. A suivre.
  17. Nickad

    Arena tome 4

    Titre de l'album : Arena tome 4 Scenariste de l'album : Le Chef OTAKU Dessinateur de l'album : CLARITY Coloriste : Editeur de l'album : Vega-Dupuis Note : Résumé de l'album : Après des mois d'entraînements, Gabriel et ses camarades ont réussi à monter les échelons de l'arène, et vont devoir, chacun son tour, mener des combats redoutables dans le but de passer en ligue A, le plus haut niveau des combattants. À ce niveau, une simple erreur peut coûter la vie, et même s'ils maîtrisent parfaitement la résonance et l'art de la guerre, un faux pas est si vite arrivé... Seront-ils à la hauteur des espoirs que Kaligan a fondés sur eux ? Critique : Les 6 derniers élèves ont réussi à utiliser la résonnance et forment à présent l’équipe de combattants « les 666 ». Ils doivent arriver au sommet des arènes pour pouvoir un jour gagner leur liberté. Avec le temps qui passe, ils ont fini par abandonner l’espoir de retourner sur Terre et pour certains, comme Gabriel, cette nouvelle vie lui convient bien lui qui réfrénait ses envies meurtrières. Après 18 mois, les voilà en demi-finale pour atteindre la ligue A et quelques surprises vont venir perturber leur parcours. Si cette première partie du webtoon se concentre sur le développement des capacités de Gabriel et de ses compagnons en enchainant les entrainements et les combats, on sent qu’il y a une autre problématique derrière : peut-être une guerre à plus grande échelle (genre inter planétaire). Les arènes ne seraient pas qu’un moyen de se divertir mais auraient pour objectif de former des guerriers puissants. La suite nous le dira. On aurait aimé cependant un peu plus de teneur concernant le quotidien des personnages, certes il y a des passages un peu plus axés sur eux comme un aperçu de la véritable personnalité de Mélissa ou des problèmes de couples de Fiona et Kevin qui montrent que les personnages ont vieilli mais on a l’impression par moment de survoler un peu le sujet. Reste une fin de volume très intéressante qui nous motive bien pour aller lire la suite. Arena est un bon shonen d’action avec un scénario qui tient la route qui se laisse facilement lire. A suivre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/arena-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Nickad

    Peleliu tome 8

    du coup si tu veux poursuivre, tu peux lire Peleliu gaiden (5 tomes fini), ce sont des histoires annexes et surtout des points de vue différents
  19. Titre de l'album : Death's game tome 1 Scenariste de l'album : LEE Wongsik Dessinateur de l'album : GGULCHAN Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - KBooks Note : Résumé de l'album : Après une longue période de chômage, d'échecs amoureux et problème financiers, Choi Yijae prend la décision de mettre fin à ses jours. Au moment de se tuer, il défie la Mort et se réveille alors dans un avion, avec un visage différent. Une femme se présente alors à lui comme étant la Mort en personne ! Se disant insultée, elle décide de le punir en le condamnant à mourir... jusqu'à ce qu'il soit capable de l'éviter. Critique : Choi Yijae a raté sa vie, plus jeune il se voyait déjà avec un bon travail, un bon salaire, une copine… la réussite quoi. Or il n’en est rien, à 30 ans passé il est toujours chômeur et sa copine est partie. Lorsqu’il reçoit une réponse négative à son dernier entretien d’embauche, ses derniers espoirs s’envolent… Lui qui n’a pas eu la vie dont il rêvait décide d’y mettre fin en se disant que ça au moins, il le fera comme il l’entend : en se jetant du haut d’un gratte-ciel. Mais la Mort intervient, qu’il meure, soit ! Mais qu’il se moque d’elle en disant qu’elle n’est qu’un vulgaire outil, ce n’est pas tolérable ! Elle décide donc de le punir en lui faisant subir 13 tragiques destins (13 autres morts). En plus d’une punition, c’est aussi un jeu car il va pouvoir intervenir pour changer le cours du destin ; s’il y arrive, il pourra continuer à vivre dans la peau de cette nouvelle personne. Death’s game propose un concept intéressant avec la personnification de La Mort qui est vexée et qui compte bien faire comprendre à Choi Yijae qu’elle n’est pas qu’un moyen pour arriver ailleurs mais qu’elle est une grande figure qui doit être crainte et surtout ne pas être prise à la légère ! Le personnage principal va donc expérimenter toute sorte de situations, certaines inéluctables comme être un passager d’un avion sur le point d’exploser en vol et d’autres où il pourra agir comme lorsqu’il se trouve dans la peau d’un adolescent harcelé. Seulement, ses décisions ont aussi des conséquences, il va devoir apprendre à mieux gérer ses actions. La série est terminée en 66 chapitres, disponibles sur Webtoon sous le titre Mort Imminente. Le webtoon est plutôt plaisant bien qu’on se demande parfois à quoi servent les chapitres très courts. Il y a peut-être un cheminement philosophique visant à nous faire comprendre que la vie est précieuse et que la mort peut surgir à n’importe quel moment…. J’espère avoir la réponse par la suite. En attendant, Death’s game se lit bien il est agréable graphiquement et plutôt intéressant. Vous pouvez vous laisser tenter ! Extrait Pour information, le webtoon a été adapté en drama. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/death-s-game-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Nickad

    Death's game tome 1

    Choi Yijae a raté sa vie, plus jeune il se voyait déjà avec un bon travail, un bon salaire, une copine… la réussite quoi. Or il n’en est rien, à 30 ans passé il est toujours chômeur et sa copine est partie. Lorsqu’il reçoit une réponse négative à son dernier entretien d’embauche, ses derniers espoirs s’envolent… Lui qui n’a pas eu la vie dont il rêvait décide d’y mettre fin en se disant que ça au moins, il le fera comme il l’entend : en se jetant du haut d’un gratte-ciel. Mais la Mort intervient, qu’il meure, soit ! Mais qu’il se moque d’elle en disant qu’elle n’est qu’un vulgaire outil, ce n’est pas tolérable ! Elle décide donc de le punir en lui faisant subir 13 tragiques destins (13 autres morts). En plus d’une punition, c’est aussi un jeu car il va pouvoir intervenir pour changer le cours du destin ; s’il y arrive, il pourra continuer à vivre dans la peau de cette nouvelle personne. Death’s game propose un concept intéressant avec la personnification de La Mort qui est vexée et qui compte bien faire comprendre à Choi Yijae qu’elle n’est pas qu’un moyen pour arriver ailleurs mais qu’elle est une grande figure qui doit être crainte et surtout ne pas être prise à la légère ! Le personnage principal va donc expérimenter toute sorte de situations, certaines inéluctables comme être un passager d’un avion sur le point d’exploser en vol et d’autres où il pourra agir comme lorsqu’il se trouve dans la peau d’un adolescent harcelé. Seulement, ses décisions ont aussi des conséquences, il va devoir apprendre à mieux gérer ses actions. La série est terminée en 66 chapitres, disponibles sur Webtoon sous le titre Mort Imminente. Le webtoon est plutôt plaisant bien qu’on se demande parfois à quoi servent les chapitres très courts. Il y a peut-être un cheminement philosophique visant à nous faire comprendre que la vie est précieuse et que la mort peut surgir à n’importe quel moment…. J’espère avoir la réponse par la suite. En attendant, Death’s game se lit bien il est agréable graphiquement et plutôt intéressant. Vous pouvez vous laisser tenter ! Extrait Pour information, le webtoon a été adapté en drama.
  21. Nickad

    Prochaines sorties...

    Frieren s’offre une version collector pour la sortie de son tome 12 ! Ce coffret contiendra un exemplaire du volume 12 accompagné d’une jaquette alternative réversible ainsi qu’une nouvelle encore inédite en France : Fanfare for Frieren, écrite par Jiro Kiso sous la supervision de Kanehito Yamada. Cette courte histoire se déroule 5 ans après la mort d’Himmel et suit Frieren alors qu’elle s’aventure dans une petite ville appelée la Cité de la Musique… Cette version limitée, proposée au prix de 12,95 euros, sortira en librairie en même temps que la version standard du tome 12 : le 2 mai 2024 !
  22. Titre de l'album : My dear detective tome 1 Scenariste de l'album : ITO Natsumi Dessinateur de l'album : ITO Natsumi Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Après Sherlock Holmes et Hercule Poirot, découvrez Mitsuko Hoshino, la première femme détective du Japon ! À la fin des années 20, le Japon est en pleine mutation, mais les femmes ont toujours du mal à se faire une place dans le monde du travail. Mitsuko a malgré tout réussi à trouver un emploi qui lui va comme un gant : c'est la meilleure détective de son agence, à Ginza, en plein cœur de Tokyo ! Adultères, personnes disparues... aucune affaire ne l'effraie. Son intelligence et son instinct sont ses principaux atouts, sans parler de son courage, qui lui permet d'affronter les remarques désobligeantes des tenants d'une société patriarcale. Lors d'une pause bien méritée dans un café, la jeune femme est abordée par un élégant serveur du nom de Saku, qui lui confie une étonnante mission : retrouver la propriétaire d'une chaussure ornée d'un véritable diamant ! Le garçon, autant intrigué par l'affaire que par la détective, l'épaule dans son enquête. Celle-ci mène à un homme qui cache un lourd secret... Et il n'est pas le seul ! En effet, Saku appartient à l'une des plus riches familles de la capitale. Mais, pour lui, assister Mitsuko vaut toutes les expériences du monde ! Le travail ne manque pas pour la première femme détective du Japon ! Sous le glamour du quartier chic de Ginza se cachent drames et surprises... Avec élégance et dynamisme, Natsumi Ito nous embarque dans le quotidien d'un duo à l'énergie contagieuse qui brise les codes de la société ! Critique : Ah, je vais commencer par la partie qui m’a un peu frustrée : l’autrice prend la peine de faire un personnage féminin fort dans un Japon où les femmes ne travaillaient quasiment pas et encore moins dans un domaine policier. On a une femme qui s’est affranchie des préjugés, qui a tenue tête à sa famille pour devenir détective puisqu’entrer dans la police était impossible et on lui affuble un « fils de » touche à touche qui lui permet de résoudre des enquêtes ! Pourquoi ? Certes, notre héroïne, Mitsuko, reste douée, elle est d’ailleurs la meilleure détective de son agence mais on a un peu l’impression qu’elle passe au second plan avec l’arrivée de Saku. Bien sûr le duo fonctionne, cela permet aussi de mettre en avant certaines caractéristiques sociales de l’époque (début du XXe siècle) comme la place de la femme dans la société et à montrer le combat de Mitsuko contre les préjugés. De son côté le personnage de Saku, un jeune qui va aussi à l’encontre de sa famille et qui cherche à découvrir le monde par ses propres moyens (dans la mesure du possible), apporte d’autres visions sur cette société nippone. My dear detective est une histoire à plusieurs niveaux, au travers d’enquêtes policières intéressantes et plutôt bien menées, on découvre aussi un aspect historique et social et surtout on a un duo complice, un peu comme Sherlock Holmes et Watson, qui navigue entre humour et séduction. C’est un début de série prometteur, agréable à lire et à regarder. A suivre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/my-dear-detective-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Nickad

    My dear detective tome 1

    Ah, je vais commencer par la partie qui m’a un peu frustrée : l’autrice prend la peine de faire un personnage féminin fort dans un Japon où les femmes ne travaillaient quasiment pas et encore moins dans un domaine policier. On a une femme qui s’est affranchie des préjugés, qui a tenue tête à sa famille pour devenir détective puisqu’entrer dans la police était impossible et on lui affuble un « fils de » touche à touche qui lui permet de résoudre des enquêtes ! Pourquoi ? Certes, notre héroïne, Mitsuko, reste douée, elle est d’ailleurs la meilleure détective de son agence mais on a un peu l’impression qu’elle passe au second plan avec l’arrivée de Saku. Bien sûr le duo fonctionne, cela permet aussi de mettre en avant certaines caractéristiques sociales de l’époque (début du XXe siècle) comme la place de la femme dans la société et à montrer le combat de Mitsuko contre les préjugés. De son côté le personnage de Saku, un jeune qui va aussi à l’encontre de sa famille et qui cherche à découvrir le monde par ses propres moyens (dans la mesure du possible), apporte d’autres visions sur cette société nippone. My dear detective est une histoire à plusieurs niveaux, au travers d’enquêtes policières intéressantes et plutôt bien menées, on découvre aussi un aspect historique et social et surtout on a un duo complice, un peu comme Sherlock Holmes et Watson, qui navigue entre humour et séduction. C’est un début de série prometteur, agréable à lire et à regarder. A suivre.
  24. Titre de l'album : Le secret de la souris tome 1 Scenariste de l'album : Yuki SHIRAISHI Dessinateur de l'album : Yuki SHIRAISHI Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - Tonkam Note : Résumé de l'album : Il était une fois, un monde anthropomorphique peuplé de créatures hybrides... Dans un système de castes très strict vit Iroha, une petite souris. Alors qu'elle était sur le point d'être vendue comme esclave, la jeune créature est sauvée de justesse par Yakumo, un renard aristocrate. Mais ce fourbe animal a plus d'un tour dans un sac, car ce qu'il désire le plus au monde est d'en faire sa femme... Critique : L’histoire se déroule dans un monde anthropomorphe où la souris est l’espèce la plus basse de l’échelle sociale. Parmi elles, il y a Iroha, une jeune fille qui semble avoir des problèmes de santé et qui ne peut pas vivre sans ses médicaments. Elle finit par être achetée par Yakumo, un renard élégant qui a une bonne position sociale. Ce dernier semble vouloir faire d’Iroha son épouse alors même qu’il batifole allégrement avec le sexe opposé. Pour le moment, nos deux personnages jouent au chat et à la souris, ou plutôt au renard et à la souris J ! Yakumo tire les ficelles et s’amuse des réactions d’Iroha. Cette dernière n’a pas encore compris les raisons de sa présence, elle pense être une esclave et cherche donc à s’enfuir. Le seul élément qui attise notre curiosité c’est son état physique, à quoi servent exactement ses médicaments et que se passera-t-il si elle ne les prend pas ? En dehors de ça et du séduisant renard, ce premier tome n’est pas exceptionnel, il est bien dessiné mais je crains que l’on se dirige vers une histoire d’amour un peu banale. La lecture du prochain tome permettra de mieux définir l’orientation du récit. (Série en cours avec 6 volumes) Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-secret-de-la-souris-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Nickad

    Le secret de la souris tome 1

    L’histoire se déroule dans un monde anthropomorphe où la souris est l’espèce la plus basse de l’échelle sociale. Parmi elles, il y a Iroha, une jeune fille qui semble avoir des problèmes de santé et qui ne peut pas vivre sans ses médicaments. Elle finit par être achetée par Yakumo, un renard élégant qui a une bonne position sociale. Ce dernier semble vouloir faire d’Iroha son épouse alors même qu’il batifole allégrement avec le sexe opposé. Pour le moment, nos deux personnages jouent au chat et à la souris, ou plutôt au renard et à la souris J ! Yakumo tire les ficelles et s’amuse des réactions d’Iroha. Cette dernière n’a pas encore compris les raisons de sa présence, elle pense être une esclave et cherche donc à s’enfuir. Le seul élément qui attise notre curiosité c’est son état physique, à quoi servent exactement ses médicaments et que se passera-t-il si elle ne les prend pas ? En dehors de ça et du séduisant renard, ce premier tome n’est pas exceptionnel, il est bien dessiné mais je crains que l’on se dirige vers une histoire d’amour un peu banale. La lecture du prochain tome permettra de mieux définir l’orientation du récit. (Série en cours avec 6 volumes)
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