-
Compteur de contenus
5 159 -
Inscription
-
Jours gagnés
121
Type de contenu
Profils
Articles
Critiques
Galerie
Forums
Calendrier
Tout ce qui a été posté par Nickad
-
Baby est un manga d’anticipation où l’humanité a presque disparue suite à la propagation d’un parasite nommé « baby » transformant les hommes en cyborg/machine. Les personnes touchées se laissent dominer par leurs instincts et deviennent hyper violentes. Au cours d’un combat contre un mutant, Eli, une jeune femme se fait contaminée. Accompagnée d’un robot médical qui semble être son seul ami, elle se retrouve par hasard avec un groupe de rescapés se dirigeant vers un abri sûr. Si la trame de fond semble un peu classique : un personnage principal pouvant utiliser des capacités de l’ennemi, se trouvant entre les deux espèces et représentant l’espoir de l’humanité ; certains développements sont innovants et l’enchainement des événements est efficace. Baby est publié en grand format mettant en avant un graphisme futuriste intéressant à la fois très net (lisible facilement sans surcharge) et détaillé quand il le faut. Cela rend une lecture très agréable et fluide. Au final, on obtient un premier tome convaincant et bien construit donnant envie de lire la suite.
- 1 commentaire
-
m'étonnes pas, je n'avais déjà pas réussi à mettre le tome 1 sur threads...
-
Titre de l'album : Wild strawberry tome 1 Scenariste de l'album : Ire Yonemoto Dessinateur de l'album : Ire Yonemoto Coloriste : Editeur de l'album : Crunchyroll Note : Résumé de l'album : ll y a 36 ans, une épaisse végétation a brusquement envahi Tokyo, donnant naissance à des fleurs-parasites mortelles appelées "jinka". Ces plantes monstrueuses contaminent les êtres humains grâce à leur pollen, puis se nourrissent d'eux avant de fleurir, condamnant alors leur hôte. Au coeur de la capitale nippone devenue un enfer végétal, deux orphelins, Kingo et Kayano, tentent de survivre jour après jour... Mais leur quotidien bascule lorsque la Force Funéraire Florale, dont la mission est d'éradiquer les jinka, découvre que Kayano est porteuse d'un de ces redoutables parasites... Pour Kingo, qui a juré de remuer ciel et terre pour que sa soeur adoptive redevienne humaine, un terrible combat commence ! Couverture alternative pour le 1er tome Critique : L’histoire de Wild Strawberry se déroule dans un monde post-apocalyptique où des germes de plante ont contaminé les humains les transformant en jinka, un monstre végétal se nourrissant d’humains. Les hommes ont réussi à survivre grâce à un vaccin empêchant les mutations, mais qui est hélas, trop cher pour les classes de la société les plus démunies. Une unité de police/armée appelée Force Funéraire Florale parcourt les rues pour neutraliser de façon violente et définitive tous les porteurs du parasite. Contaminée et prise pour cible, Kayano, va alors se sacrifier pour sauver son frère humain, Kingo, tué par un policier alors qu’il cherchait à la protéger. Il devient à son tour un porteur mais d’un genre particulier car non seulement il a gardé sa conscience mais il semblerait qu’il puisse contrôler son jinka. L’univers de la ville en ruine envahie par des plantes dangereuses n’est pas sans rappeler le manga Green World sans compter le côté « survival » du récit. On est vite happé par le graphisme avec sa végétation luxuriante, son monde en ruine, et la violence implacable qui peut surgir à tout moment. Au milieu, il y a un fratrie, prête à tout l’un pour l’autre, qui va braver les dangers vers un espoir incertain. Avec son graphisme saisissant et un rythme soutenu, Wild Strawberry frappe fort dès le 1er tome et nous donne envie de poursuivre l’aventure. Le second tome arrive en juin. Une série en cours avec 5 volumes pour le moment. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/wild-strawberry-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
- 2 réponses
-
L’histoire de Wild Strawberry se déroule dans un monde post-apocalyptique où des germes de plante ont contaminé les humains les transformant en jinka, un monstre végétal se nourrissant d’humains. Les hommes ont réussi à survivre grâce à un vaccin empêchant les mutations, mais qui est hélas, trop cher pour les classes de la société les plus démunies. Une unité de police/armée appelée Force Funéraire Florale parcourt les rues pour neutraliser de façon violente et définitive tous les porteurs du parasite. Contaminée et prise pour cible, Kayano, va alors se sacrifier pour sauver son frère humain, Kingo, tué par un policier alors qu’il cherchait à la protéger. Il devient à son tour un porteur mais d’un genre particulier car non seulement il a gardé sa conscience mais il semblerait qu’il puisse contrôler son jinka. L’univers de la ville en ruine envahie par des plantes dangereuses n’est pas sans rappeler le manga Green World sans compter le côté « survival » du récit. On est vite happé par le graphisme avec sa végétation luxuriante, son monde en ruine, et la violence implacable qui peut surgir à tout moment. Au milieu, il y a un fratrie, prête à tout l’un pour l’autre, qui va braver les dangers vers un espoir incertain. Avec son graphisme saisissant et un rythme soutenu, Wild Strawberry frappe fort dès le 1er tome et nous donne envie de poursuivre l’aventure. Le second tome arrive en juin. Une série en cours avec 5 volumes pour le moment.
- 2 commentaires
-
Titre de l'album : L'anneau de Gygès tome 1 Scenariste de l'album : Takahiro KATÔ Dessinateur de l'album : Takahiro KATÔ Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Le super-pouvoir ne fait pas le super-héros... Takeru, mangaka expérimenté dans le creux de la vague, cherche l'inspiration dans un sanctuaire de campagne réputé pour ses disparitions inexpliquées. Sans y croire, Takeru prie pour que son éditeur abhorré disparaisse à tout jamais afin que sa carrière retrouve enfin le chemin du succès. Mais rien ne se passe comme prévu... En plein rendez-vous professionnel avec son éditeur, et de nouveau confronté à un barrage de critiques, l'auteur craque et un pouvoir mystérieux se manifeste alors : il rend invisible son interlocuteur avant de le tuer ! Takeru dissimule son crime tant bien que mal. Lui qui a consacré sa vie à dessiner des défenseurs de la justice, serait-il passé de l'autre côté de la barrière ? Quand vos rêves se réalisent, c'est peut-être le début du cauchemar... Dans un mélange de suspense et d'humour noir, L'Anneau de Gygès nous entraîne sur les pas de héros amateurs qui ont bien mal commencé leur carrière ! Critique : Deux mangakas sont en visite dans un temple, le maitre et le disciple. Le premier n’arrive pas à faire publier ses nouvelles histoires et ne supporte plus son attaché éditorial. Le second est assistant depuis quelques années et ne parvient pas à lancer sa carrière. A force de s’entendre dire qu’il est nul, il aimerait disparaitre. C’est ce qui va arriver un beau jour, leurs souhaits se réalisent. Tandis que Yu arrive à devenir invisible, Takeru peut faire disparaitre les gens et objets de son choix. Hélas, cette information ne tombe pas dans l’oreille d’un sourd et l’attaché compte bien s’en servir pour commettre des méfaits et s’enrichir. Deux personnages principaux, deux relations à l’invisibilité. On s’est tous posé la question à un moment de savoir ce que l’on ferait si on pouvait devenir invisible. Il y a bien sûr la réponse humoriste d’aller espionner les filles/garçons dans les douches mais au-delà de ça, qu’est-ce que l’on ferait vraiment ? Est-ce que l’on utiliserait cette capacité pour soi ou pour les autres ? C’est ce que l’auteur aborde dans ce manga et il va encore plus loin en proposant une alternative avec le pouvoir de faire disparaitre des objets et/ou personne. Avec ces deux aspects, il va explorer le bien et le mal et mettre nos protagonistes en face de situation différentes : l’un maitrise son destin tandis que l’autre est pris au piège des événements. Un manga intéressant entre action et thriller qui mérite que l’on s’y attarde. Série finie en 7 tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-anneau-de-gyges-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Deux mangakas sont en visite dans un temple, le maitre et le disciple. Le premier n’arrive pas à faire publier ses nouvelles histoires et ne supporte plus son attaché éditorial. Le second est assistant depuis quelques années et ne parvient pas à lancer sa carrière. A force de s’entendre dire qu’il est nul, il aimerait disparaitre. C’est ce qui va arriver un beau jour, leurs souhaits se réalisent. Tandis que Yu arrive à devenir invisible, Takeru peut faire disparaitre les gens et objets de son choix. Hélas, cette information ne tombe pas dans l’oreille d’un sourd et l’attaché compte bien s’en servir pour commettre des méfaits et s’enrichir. Deux personnages principaux, deux relations à l’invisibilité. On s’est tous posé la question à un moment de savoir ce que l’on ferait si on pouvait devenir invisible. Il y a bien sûr la réponse humoriste d’aller espionner les filles/garçons dans les douches mais au-delà de ça, qu’est-ce que l’on ferait vraiment ? Est-ce que l’on utiliserait cette capacité pour soi ou pour les autres ? C’est ce que l’auteur aborde dans ce manga et il va encore plus loin en proposant une alternative avec le pouvoir de faire disparaitre des objets et/ou personne. Avec ces deux aspects, il va explorer le bien et le mal et mettre nos protagonistes en face de situation différentes : l’un maitrise son destin tandis que l’autre est pris au piège des événements. Un manga intéressant entre action et thriller qui mérite que l’on s’y attarde. Série finie en 7 tomes.
-
Titre de l'album : Dick fight island tome 2 Scenariste de l'album : Reibun Ike Dessinateur de l'album : Reibun Ike Coloriste : Editeur de l'album : Taifu Note : Résumé de l'album : Matthew fait la rencontre de son nouveau colocataire, Harto, qui vient de l'archipel de Pulau Yang Indah. Alors que les deux étudiants commencent à se rapprocher, Harto a du mal à comprendre ce qu'il ressent. Quand il pense à Matthew, il se sent vulnérable et a l'impression de perdre sa force de guerrier ! Déboussolés par ces sentiments nouveaux, arriveront-ils à vivre leur amour malgré leurs différences ? Critique : Ce second tome parle des différentes histoires de couple que l’on a découvert au premier tome. En dehors de la première histoire qui revient sur la rencontre entre Harto et Matthew, les autres se passent après le tournoi et nous raconte le quotidien des différents couples et surtout la façon dont ils vont officialiser leurs relations. Ce contexte permet de donner une grande place à l’imagination de l’autrice qui peut inventer tout un tas de rituels et traditions innovantes et amusantes. Mais le plus intéressant c’est surtout le choc des cultures quand Harto et Matthew se rencontrent. Un choc surtout pour Matthew qui doit vivre avec un colocataire les fesses à l’air !! Ce second tome n’est pas essentiel mais il est quand même agréable à lire et permet de prolonger l’aventure dans cet univers particulier et un peu délirant. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dick-fight-island-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Ce second tome parle des différentes histoires de couple que l’on a découvert au premier tome. En dehors de la première histoire qui revient sur la rencontre entre Harto et Matthew, les autres se passent après le tournoi et nous raconte le quotidien des différents couples et surtout la façon dont ils vont officialiser leurs relations. Ce contexte permet de donner une grande place à l’imagination de l’autrice qui peut inventer tout un tas de rituels et traditions innovantes et amusantes. Mais le plus intéressant c’est surtout le choc des cultures quand Harto et Matthew se rencontrent. Un choc surtout pour Matthew qui doit vivre avec un colocataire les fesses à l’air !! Ce second tome n’est pas essentiel mais il est quand même agréable à lire et permet de prolonger l’aventure dans cet univers particulier et un peu délirant.
-
@The_PoP Valentina Grande a laissé un commentaire sur instagram : "Merci pour cette critique ! Tu as analysé l’histoire en saisissant exactement ce que je voulais transmettre aux lecteurs.
- 4 réponses
-
- 3
-
-
- roman graphique
- femmes
-
(et 3 en plus)
Étiqueté avec :
-
Titre de l'album : Dans le premier train du matin tome 1 & 2 (fin) Scenariste de l'album : Yûgo Aosaki Dessinateur de l'album : Shirohiko Yamada Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - Tonkam Note : Résumé de l'album : Il est censé n'y avoir personne dans le premier train du matin... Pourtant, elle est là. Une fille de ma classe d'ordinaire peu bavarde. La raison de notre présence dans ce train ? Telle est la question. Découvrez cette histoire et bien d'autres qui mettent en scène toute la complexité de l'esprit à l'adolescence ! Critique : Dans le premier train du matin est un recueil de cinq histoires courtes en deux volumes, chaque histoire étant composée de plusieurs chapitres et n’ayant rien à voir les unes avec les autres. Ce sont des bribes de vies d’adolescents comme si on lisait un chapitre au milieu d’un roman sans avoir ni le début ni la fin. Ce sont des passages importants dans l’existence de ces jeunes, des passages qui les mettent face à une réalité, à une relation. Dans le premier train du matin, on retrouve deux jeunes qui en théorie n’auraient rien à faire là à cette heure mais qui ont tous les deux une bonne raison d’y être. Le soda au melon parle d’une jeune fille qui ne peut pas distinguer certaines couleurs, cela finit par créer une distance avec ses amies mais elle ne sait pas comment leur en parler. Il y a aussi l’histoire d’un frère et d’une sœur séparé à la suite du divorce de leurs parents, une histoire d’amour à sens unique. On finira par le 4 mars, 14h30, la cellule de prison qui compare la vie scolaire d’une lycéenne à une cellule de prison pour parler de son mal-être. Dans chaque histoire, l’un des personnages se met à analyser la situation, faisant des déductions et mettant son binôme en face d’une vérité. C’est comme un raisonnement lors d’une enquête policière. Si le concept est intéressant et les comportements bien analysés, il y a un côté assez froid dans le récit, probablement dû à cet aspect analyse psychologique. Et puis, on reste sur notre faim, comme dans la première histoire où on aurait bien aimé savoir la suite. Il y a un goût d’inachevé qui n’est pas satisfaisant. Dommage car les idées sont bonnes et le graphisme est plaisant. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dans-le-premier-train-du-matin-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Dans le premier train du matin est un recueil de cinq histoires courtes en deux volumes, chaque histoire étant composée de plusieurs chapitres et n’ayant rien à voir les unes avec les autres. Ce sont des bribes de vies d’adolescents comme si on lisait un chapitre au milieu d’un roman sans avoir ni le début ni la fin. Ce sont des passages importants dans l’existence de ces jeunes, des passages qui les mettent face à une réalité, à une relation. Dans le premier train du matin, on retrouve deux jeunes qui en théorie n’auraient rien à faire là à cette heure mais qui ont tous les deux une bonne raison d’y être. Le soda au melon parle d’une jeune fille qui ne peut pas distinguer certaines couleurs, cela finit par créer une distance avec ses amies mais elle ne sait pas comment leur en parler. Il y a aussi l’histoire d’un frère et d’une sœur séparé à la suite du divorce de leurs parents, une histoire d’amour à sens unique. On finira par le 4 mars, 14h30, la cellule de prison qui compare la vie scolaire d’une lycéenne à une cellule de prison pour parler de son mal-être. Dans chaque histoire, l’un des personnages se met à analyser la situation, faisant des déductions et mettant son binôme en face d’une vérité. C’est comme un raisonnement lors d’une enquête policière. Si le concept est intéressant et les comportements bien analysés, il y a un côté assez froid dans le récit, probablement dû à cet aspect analyse psychologique. Et puis, on reste sur notre faim, comme dans la première histoire où on aurait bien aimé savoir la suite. Il y a un goût d’inachevé qui n’est pas satisfaisant. Dommage car les idées sont bonnes et le graphisme est plaisant.
-
Pour comparer, Solo Leveling (série principale) c'est 179 chapitres soit 16 tomes
-
-
Titre de l'album : My Ex-husband Mad Dog tome 1 Scenariste de l'album : Jkyum | Cmjm Dessinateur de l'album : Jagae Coloriste : Editeur de l'album : Pika - Wavetoon Note : Résumé de l'album : Une soif de vengeance au-delà du temps ! Destituée après la mort de son père, Reinhardt est exilée dans une seigneurie prospère. Dans cette cage dorée, elle ne rêve que de rébellion et de vengeance contre Michel Alanquez, son ex-fiancé. Après l'échec d'une première tentative, elle implore le destin d'avoir une seconde chance. Quinze ans plus tard, sa prière est exaucée : projetée dans le passé, elle rencontre un adolescent, porteur d'un potentiel unique qui pourrait être la clef de sa revanche... Critique : Oh mais que ce début d’histoire est jouissif ! Certes, la pauvre Reinhardt revient dans le passé à un moment douloureux de sa vie (la mort de son père et la rupture de ses fiançailles qui vont l’amener à un exil) mais au lieu de réfléchir à une stratégie pour se venger, elle ne fait pas les choses à moitié ! La voilà qui saisit son épée et la plante dans la jambe de son ennemi et ex-fiancé. Même au moment de son procès pour tentative de meurtre, elle se félicite de l’avoir estropié. La suite du récit rentre un peu plus dans le moule de la dark romantasy. On y retrouve tous les marqueurs du genre (aventure, romance, vengeance, séduction) et surtout un graphisme sublime qui nous en met plein les mirettes ! Et le plus du récit c’est le personnage de Reinhardt : une jeune femme qui sait ce qu’elle veut, qui ne tergiverse pas sans arrêt et qui va de l’avant. Un personnage principal fort qui entraine tous les autres dans son sillage ! Nous avons donc là un excellent début de série qui plaira aux amateurs d’aventures et de romance. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/my-ex-husband-s-mad-dog-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Oh mais que ce début d’histoire est jouissif ! Certes, la pauvre Reinhardt revient dans le passé à un moment douloureux de sa vie (la mort de son père et la rupture de ses fiançailles qui vont l’amener à un exil) mais au lieu de réfléchir à une stratégie pour se venger, elle ne fait pas les choses à moitié ! La voilà qui saisit son épée et la plante dans la jambe de son ennemi et ex-fiancé. Même au moment de son procès pour tentative de meurtre, elle se félicite de l’avoir estropié. La suite du récit rentre un peu plus dans le moule de la dark romantasy. On y retrouve tous les marqueurs du genre (aventure, romance, vengeance, séduction) et surtout un graphisme sublime qui nous en met plein les mirettes ! Et le plus du récit c’est le personnage de Reinhardt : une jeune femme qui sait ce qu’elle veut, qui ne tergiverse pas sans arrêt et qui va de l’avant. Un personnage principal fort qui entraine tous les autres dans son sillage ! Nous avons donc là un excellent début de série qui plaira aux amateurs d’aventures et de romance.
-
Titre de l'album : Dogsred tome 1 Scenariste de l'album : Satoru Noda Dessinateur de l'album : Satoru Noda Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Jeune espoir national du patinage artistique, Rou Shirakawa gâche sa carrière quand il est pris d'un accès de violence inexplicable devant les caméras du Japon entier. Il vient pourtant de remporter un tournoi décisif grâce au programme préparé par sa mère et entraîneuse, décédée quelque temps plus tôt dans un accident... La disgrâce s'ajoute au deuil et l'orphelin n'a d'autre choix que de s'installer chez son grand-père à Hokkaido, dans le nord du pays. Dans cette terre de grand froid, le hockey sur glace règne en maître et les membres de l'équipe du lycée local sont des stars. Pour un Rou obsédé par l'élégance, ce sport n'est qu'une lutte barbare... Mais il pourrait aussi être sa dernière chance de rechausser les patins pour atteindre de nouveaux sommets ! Critique : Ah ! Je ne pensais pas un jour sourire en lisant un manga sur le hockey sur glace ! J’ai même été happée sans faire de pause du début à la fin. Il y a quelque chose de savoureux dans ce manga, peut-être est-ce la mélange de deux univers qui au premier abord ne semblent rien avoir en commun à part la patinoire ; je parle bien sûr du patinage artistique et du hockey sur glace ! Peut-être, est-ce que cela vient du caractère bien trempé du personnage principal et de son rival… Quoi qu’il en soit, ce premier tome est une réussite ! On a à la fois du sport au niveau local et professionnel, de la tranche de vie avec un côté social, de la compétition, de l’art, un peu de suspense (on ne sait toujours pas pourquoi Rou Shinrakawa a envoyé tout valser lors de sa compétition) et de l’humour !! Le rythme est dynamique, les personnages sont intéressants et les scènes de sport sont bien réussies mais le graphisme présente parfois de petites originalités qui ne sont pas forcément à mon goût ! Un manga à lire et à suivre ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dogsred-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
- 2 réponses
-
Ah ! Je ne pensais pas un jour sourire en lisant un manga sur le hockey sur glace ! J’ai même été happée sans faire de pause du début à la fin. Il y a quelque chose de savoureux dans ce manga, peut-être est-ce la mélange de deux univers qui au premier abord ne semblent rien avoir en commun à part la patinoire ; je parle bien sûr du patinage artistique et du hockey sur glace ! Peut-être, est-ce que cela vient du caractère bien trempé du personnage principal et de son rival… Quoi qu’il en soit, ce premier tome est une réussite ! On a à la fois du sport au niveau local et professionnel, de la tranche de vie avec un côté social, de la compétition, de l’art, un peu de suspense (on ne sait toujours pas pourquoi Rou Shinrakawa a envoyé tout valser lors de sa compétition) et de l’humour !! Le rythme est dynamique, les personnages sont intéressants et les scènes de sport sont bien réussies mais le graphisme présente parfois de petites originalités qui ne sont pas forcément à mon goût ! Un manga à lire et à suivre !
- 2 commentaires
-
Titre de l'album : L'empire du sourire tomes 1 & 2 Scenariste de l'album : Spoon - Choi Rome Dessinateur de l'album : Spoon Coloriste : Editeur de l'album : Vega-Dupuis Note : Résumé de l'album : Il était une fois un château couvert d'épines et de glace, où vivait un prince qui détestait les sourires... Dans notre vie à nous, c'est le jeune Gu Won, issu d'une richissime famille d'industriels, qui ne les supporte pas. Aussi, quand arrive dans sa vie Cheon Sarang, la pétillante enfant d'une nouvelle employée de maison, Gu Won use aussitôt de son autorité pour faire cesser les sourires de cette dernière ! Sauf que la petite Cheon Sarang déborde de joie, de gentillesse et d'imagination incontrôlables... Critique : Bon, inutile de faire des détours : ce webtoon est destiné à celles et ceux qui ont vu le drama. C’est d’ailleurs précisé dans la postface du second tome où il y a une courte interview de Spoon : il s’agit d’un webtoon promotionnel accompagnant la sortie du drama ! Il y a donc de grosses ellipses et beaucoup de manques : impossible donc de comprendre tous les tenants et aboutissants du récit. Bien sûr, on apprend à connaître les personnages et on comprend les grandes lignes de l’histoire. Il y en a assez pour avoir envie d’aller voir la série (disponible sur Netflix). Il faut voir le webtoon comme un goodies, un complément pour les passionnés mais il ne faut pas le prendre comme un récit à part entière, vous serez déçus ! C’est dommage d’ailleurs, car le scénario est attrayant et les dessins sont vraiment beaux avec une belle colorisation. Du coup, si vous voulez profiter du graphisme de l’autrice, vous pouvez aller lire Dites-moi, Princesse ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-empire-du-sourire-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Bon, inutile de faire des détours : ce webtoon est destiné à celles et ceux qui ont vu le drama. C’est d’ailleurs précisé dans la postface du second tome où il y a une courte interview de Spoon : il s’agit d’un webtoon promotionnel accompagnant la sortie du drama ! Il y a donc de grosses ellipses et beaucoup de manques : impossible donc de comprendre tous les tenants et aboutissants du récit. Bien sûr, on apprend à connaître les personnages et on comprend les grandes lignes de l’histoire. Il y en a assez pour avoir envie d’aller voir la série (disponible sur Netflix). Il faut voir le webtoon comme un goodies, un complément pour les passionnés mais il ne faut pas le prendre comme un récit à part entière, vous serez déçus ! C’est dommage d’ailleurs, car le scénario est attrayant et les dessins sont vraiment beaux avec une belle colorisation. Du coup, si vous voulez profiter du graphisme de l’autrice, vous pouvez aller lire Dites-moi, Princesse !
-
il y a 209 chapitres et je ne sais pas si c'est fini
-
Titre de l'album : Erio & the electric doll tome 1 Scenariste de l'album : Mujirushi Shimazaki Dessinateur de l'album : Kuroimori Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Un siècle plus tôt, une guerre meurtrière a éclaté entre les hommes et les IA, poussant l'humanité à renoncer à l'électricité pour mettre un terme aux combats. Découvrez les aventures steampunk d'Ange, la toute dernière androïde d'élite en état de marche, et d'Erio, la jeune fille qu'elle a élevée, dans un monde désormais privé d'électricité. Critique : On avait découvert Kuroimori, la dessinatrice avec Steam Reverie in Amber, elle revient, en collaboration avec Shimazaki Mujirushi (Dresseuses de monstres) dans une épopée post-apocalyptique où le monde se retrouve privé d’électricité comme au début de l’ère industrielle. Un contexte dans lequel, les auteurs ont pu déployer un univers proche du steam punk. La série a bénéficié également d’un très beau lancement à la Tour Eiffel, le jour de sa sortie en présence des auteurs qui ont, pour l’occasion, répondu à quelques questions. Si Shimazaki Sensei est resté très évasif sur le développement de la série, y compris sur le nombre de tomes final, ne voulant pas spoiler les lecteurs ; Kuroimori nous a confié que ses inspirations venaient en grande partie de Moebius et Jules Verne, considérant ce dernier comme son père spirituel. On apprécie toujours autant son trait fin, précis et détaillé mis en avant dans un manga grand format (A5). Erio est une jeune fille qui est capable de produire de l’électricité, elle a été recueillie et élevée par Ange, une « poupée électrique », un cyborg a l’apparence humaine qui a besoin d’électricité pour fonctionner. Ange est un reliquat de la grande guerre qui a opposé les humains à l’IA, une machine destinée à anéantir les humains. Mais ayant conscience qu’Erio grandit, les deux jeunes femmes partent vers la capitale afin qu’Erio puisse découvrir le monde. Le contexte du récit permet une aventure intéressante dans un monde où l’une n’a plus sa place et l’autre possède un pouvoir considéré comme négatif. Mais en dehors de leurs aventures, qui sont forts sympathiques, c’est la relation entre Ange et Erio qui donne tout son charme au récit : Ange semble particulièrement froide, répétant sans cesse qu’elle n’a pas de cœur mais elle veille avec bienveillance sur Erio. Cette dernière est lumineuse et apporte beaucoup de fraicheur à l’histoire. Un manga à découvrir et à savourer, de belles promesses en perspective ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/erio-the-electric-doll-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
On avait découvert Kuroimori, la dessinatrice avec Steam Reverie in Amber, elle revient, en collaboration avec Shimazaki Mujirushi (Dresseuses de monstres) dans une épopée post-apocalyptique où le monde se retrouve privé d’électricité comme au début de l’ère industrielle. Un contexte dans lequel, les auteurs ont pu déployer un univers proche du steam punk. La série a bénéficié également d’un très beau lancement à la Tour Eiffel, le jour de sa sortie en présence des auteurs qui ont, pour l’occasion, répondu à quelques questions. Si Shimazaki Sensei est resté très évasif sur le développement de la série, y compris sur le nombre de tomes final, ne voulant pas spoiler les lecteurs ; Kuroimori nous a confié que ses inspirations venaient en grande partie de Moebius et Jules Verne, considérant ce dernier comme son père spirituel. On apprécie toujours autant son trait fin, précis et détaillé mis en avant dans un manga grand format (A5). Erio est une jeune fille qui est capable de produire de l’électricité, elle a été recueillie et élevée par Ange, une « poupée électrique », un cyborg a l’apparence humaine qui a besoin d’électricité pour fonctionner. Ange est un reliquat de la grande guerre qui a opposé les humains à l’IA, une machine destinée à anéantir les humains. Mais ayant conscience qu’Erio grandit, les deux jeunes femmes partent vers la capitale afin qu’Erio puisse découvrir le monde. Le contexte du récit permet une aventure intéressante dans un monde où l’une n’a plus sa place et l’autre possède un pouvoir considéré comme négatif. Mais en dehors de leurs aventures, qui sont forts sympathiques, c’est la relation entre Ange et Erio qui donne tout son charme au récit : Ange semble particulièrement froide, répétant sans cesse qu’elle n’a pas de cœur mais elle veille avec bienveillance sur Erio. Cette dernière est lumineuse et apporte beaucoup de fraicheur à l’histoire. Un manga à découvrir et à savourer, de belles promesses en perspective !
-
Titre de l'album : Take me, I'm yours tome 1 Scenariste de l'album : RoseBean Dessinateur de l'album : One Punch Rabbit Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - KBooks Note : Résumé de l'album : Une romance adulte qui met en scène Chanyang, une femme qui mène une vie ordinaire après être sortie d'un long coma. Un jour, l'esprit d'un homme apparaît chez elle et lui demande de l'aider. Il s'agit de Jian, l'héritier du groupe Baekgyeong et actuellement dans le coma après un accident suspect. Il n'a que trois mois devant lui pour résoudre le mystère de son accident ! Critique : Lui, c’est Ji-An, un riche héritier, directeur du groupe Baekkyung, il est dans le coma depuis un accident, plongeant l’entreprise dans une grande confusion et laissant sa sœur aux prises avec des vautours prêts à s’emparer du groupe. Elle, c’est Chan-Yang, une jeune femme toute simple, une office lady ordinaire qui se retrouve tout à coup avec le fantôme de Ji-An chez elle ! Il lui indique que son accident n’en était pas un et lui demande de l’aide pour démasquer le coupable. Pourquoi elle ? Tout simplement car ils se sont rencontrés sur le chemin de l’au-delà, leurs âmes sont liées et le temps leur est compté. Chang-Yang ne se souvient de rien mais elle va l’aider en infiltrant le groupe Baekkyung. Soyons honnête, le pitch était intéressant mais la réalisation ne m’a pas convaincue. J’ai eu du mal à aller jusqu’au bout. D’une part, il y a beaucoup de dialogues et de textes et les bulles de conversation prennent beaucoup de place dans les planches, ce n’est pas très agréable à lire visuellement parlant. D’autre part, on est un peu perdu entre les histoires de succession et la partie paranormale avec les connections entre leurs âmes. Cependant, il y a quand même une trame intéressante. En dehors des manigances autour du groupe Baekkyung, c’est surtout le sacrifice amoureux que l’on retient même si, pour l’heure, on n’a pas encore beaucoup d’informations. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/take-me-i-m-yours-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Lui, c’est Ji-An, un riche héritier, directeur du groupe Baekkyung, il est dans le coma depuis un accident, plongeant l’entreprise dans une grande confusion et laissant sa sœur aux prises avec des vautours prêts à s’emparer du groupe. Elle, c’est Chan-Yang, une jeune femme toute simple, une office lady ordinaire qui se retrouve tout à coup avec le fantôme de Ji-An chez elle ! Il lui indique que son accident n’en était pas un et lui demande de l’aide pour démasquer le coupable. Pourquoi elle ? Tout simplement car ils se sont rencontrés sur le chemin de l’au-delà, leurs âmes sont liées et le temps leur est compté. Chang-Yang ne se souvient de rien mais elle va l’aider en infiltrant le groupe Baekkyung. Soyons honnête, le pitch était intéressant mais la réalisation ne m’a pas convaincue. J’ai eu du mal à aller jusqu’au bout. D’une part, il y a beaucoup de dialogues et de textes et les bulles de conversation prennent beaucoup de place dans les planches, ce n’est pas très agréable à lire visuellement parlant. D’autre part, on est un peu perdu entre les histoires de succession et la partie paranormale avec les connections entre leurs âmes. Cependant, il y a quand même une trame intéressante. En dehors des manigances autour du groupe Baekkyung, c’est surtout le sacrifice amoureux que l’on retient même si, pour l’heure, on n’a pas encore beaucoup d’informations.
-
- 4 réponses
-
- 1
-
-
- manga
- science-fiction
-
(et 1 en plus)
Étiqueté avec :