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Tout ce qui a été posté par The_PoP
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Titre de l'album : (Dé)rangée tome 3 Scenariste de l'album : Manon Dessinateur de l'album : Greg Blondin Coloriste : Manon Editeur de l'album : Bamboo Note : Résumé de l'album : Et si la petite voix que vous avez dans la tête apparaissait devant vous ? Entre son travail très prenant, sa vie de couple et sa mère qui devient de plus en plus dépendante, Mia n'a pas une minute à elle. Mais ça lui va très bien, car Mia est une fille sérieuse et adulte. Peut-être trop ? C'est vrai qu'elle ne s'amuse pas beaucoup. Jamais pourrait-on dire... Jusqu'à ce que sa petite voix apparaisse. Une petite voix qui prend tout à la rigolade. Normal, elle n'a que 7 ans ! Mais il va lui falloir déployer un max d'effort pour amener Mia à lâcher prise et à profiter un peu plus de la vie. Critique : Réfléchir et imaginer un dialogue avec l'enfant/adolescent qu'on a été est un thème que j'aime beaucoup, qui me parler et qui m'interroge. Alors forcément cette opus de la série (Dé)rangées est un peu fait pour moi. Je n'avais pas lu les deux premiers, alors cette chronique ne pourra vous éclairer sur d'éventuelles redondances, ou sur un sentiment de répétition de l'ensemble, mais ces trois tomes pouvant être lus séparément et semblant traiter de traits de caractère différents, je pense que cela ne pose pas vraiment de soucis. Le dessin de Greg Blondin est très chaleureux et si l'on reste dans les canons du genre, style girly oblige, c'est un dessin et un style qui colle parfaitement au propos. Les personnages sont vite attachants et les émotions et sentiments transpirent vite du dessin. Côté histoire Manon nous offre une jolie tranche de vie, avec quelques réflexions liées au développement personnel mais sans en faire trop. Le dosage est bien, et on tourne les pages avec plaisir. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/derangee-tome-3/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Réfléchir et imaginer un dialogue avec l'enfant/adolescent qu'on a été est un thème que j'aime beaucoup, qui me parler et qui m'interroge. Alors forcément cette opus de la série (Dé)rangées est un peu fait pour moi. Je n'avais pas lu les deux premiers, alors cette chronique ne pourra vous éclairer sur d'éventuelles redondances, ou sur un sentiment de répétition de l'ensemble, mais ces trois tomes pouvant être lus séparément et semblant traiter de traits de caractère différents, je pense que cela ne pose pas vraiment de soucis. Le dessin de Greg Blondin est très chaleureux et si l'on reste dans les canons du genre, style girly oblige, c'est un dessin et un style qui colle parfaitement au propos. Les personnages sont vite attachants et les émotions et sentiments transpirent vite du dessin. Côté histoire Manon nous offre une jolie tranche de vie, avec quelques réflexions liées au développement personnel mais sans en faire trop. Le dosage est bien, et on tourne les pages avec plaisir.
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Titre de l'album : Pax elfica - Tome 2 - Le sang du drac Scenariste de l'album : Cédric Mayen Dessinateur de l'album : Pietrantonio Bruno Coloriste : Axel Gonzalbo Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Depuis qu'ils ont délivré le monde de la menace d'un Nécromancien, les Elfes ont instauré la Pax Elfica, un régime autoritaire qui interdit toute utilisation de la magie aux autres races. Mais le jeune Tano a grandi dans le petit monde multiculturel de l'auberge de son père Klaus, où se côtoient nains, halfelins, barbares et réfugiés. Alors pour lui, pas question d'obéir docilement aux maitres auto-proclamés de la ville : chaque nuit, sous la capuche de « La Flèche », il sabote leurs patrouilles et défie leur autorité. Jusqu'au soir où il se retrouve contaminé par une mystérieuse graine elfique. Critique : Le tome 1 de Pax Elfica m'avait surpris et marqué, car on se sentait plus dans l'atmosphère d'un bon jeu de rôle que dans nos séries de Fantasy habituelles. Et c'était plutôt réussi, avec pour une fois les Elfes dans le rôle des vilains de service. Cette inversion traditionnelle mais pas si surprenante était bien réalisé, et l'intrigue à plusieurs niveaux n'avait pas empêché le premier tome de filer très vite. On retrouve donc la suite directe, sans temps morts ni temps de remise en place. Et les différents arcs narratifs se précisent, apportant réponses et avancées en nombre afin de satisfaire notre curiosité. C'est bien réalisé, même si la scène de bataille est peut être un brin confuse sur la fin. Au niveau du dessin, rien à redire, c'est très propre même si c'est peut être un poil plus statique à mon goût que la fantasy habituelle. Pax Elfica confirme être une bonne série de Fantasy destinée à ceux qui aiment le jeu de rôle ou qui ont l'impression d'avoir déjà tout lu dans ce genre. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/pax-elfica-tome-2-le-sang-du-drac/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Le tome 1 de Pax Elfica m'avait surpris et marqué, car on se sentait plus dans l'atmosphère d'un bon jeu de rôle que dans nos séries de Fantasy habituelles. Et c'était plutôt réussi, avec pour une fois les Elfes dans le rôle des vilains de service. Cette inversion traditionnelle mais pas si surprenante était bien réalisé, et l'intrigue à plusieurs niveaux n'avait pas empêché le premier tome de filer très vite. On retrouve donc la suite directe, sans temps morts ni temps de remise en place. Et les différents arcs narratifs se précisent, apportant réponses et avancées en nombre afin de satisfaire notre curiosité. C'est bien réalisé, même si la scène de bataille est peut être un brin confuse sur la fin. Au niveau du dessin, rien à redire, c'est très propre même si c'est peut être un poil plus statique à mon goût que la fantasy habituelle. Pax Elfica confirme être une bonne série de Fantasy destinée à ceux qui aiment le jeu de rôle ou qui ont l'impression d'avoir déjà tout lu dans ce genre.
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J'y crois pas qu'ils vont se prendre les pieds dans le tapis pour Jehan/Lancelin. Pas le genre de ces auteurs là. Y a qu'à voir comment les romances ont été traitées dans roy des ribauds, république des pirates, cosaques ou ira dei... 🙂
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ahhh Don Rosa et Barks. Sacrés coups de crayons...
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Les âges perdus - Tome 3 - L'infini vagabond
The_PoP a répondu à un(e) sujet de The_PoP dans Toute la BD
Oui, surtout qu'ils se lisent vite. Bon après la trame principale est pas trop compliquée non plus. Mais autant ne pas se priver de ce plaisir car je trouve que sinon tu vas perdre le lien qui s'est créé avec les persos, car le rythme reste très soutenu dans l'aventure et l'action. -
ah ben oui hein, avec kevin nous on vous propose de la lecture telerama hein ! ca vous changera de pif gadget et oncle picsou ! 😜
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West fantasy tome 5 - L'assassin, le rônin et la catin
The_PoP a répondu à un(e) sujet de Kevin Nivek dans Toute la BD
j'avoue pour naruto, même si t'exagères un peu avec aucun tome standard, y en a qui se ressemblent pas mal quand même... tu retrouves des schémas déjàs vu.... bon après j'ai du lire que les 10-20 premiers, alors ma mémoire me joue peut être des tours... Mais Kyo, Black Cat, one piece, and co y a quand même un schéma. Par contre je te suis sur le fil directeur. Grosse différence, et pour moi c'est là où ils échouent sur ces séries. Sur Conquête je suis désolé mais c'est l'exemple le plus flagrant, les tomes séparément sont bons. Mais le tout ne leur ajoute strictement rien. là où tu avais un boulevard pour faire avancer l'histoire sur ce qui s'est passé, reconstruire un futur, qui sont les aliens, quelle est la menace actuelle, etc, etc, là le résultat c'est bien trop maigre -
Je te l'avais dit... Franchement tu sens l'influence du comics americain, mais avec l'excellence du dessin franc belge c'est parfait. C'est hyper dynamique, bien découpé, les émotions transpirent direct des pages, c'est juste une tuerie. Après l'histoire ben, c'est un peu la petite histoire... pas aussi épique que le roy des ribauds, pas les mêmes enjeux.... Mais j'aime aussi vraiment, les persos sont quand même bien pensés ! Et puis qu'est ce que j'aime les dessinateurs qui dessinent des gueules, des tronches, des faciès pareils...
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Les âges perdus - Tome 3 - L'infini vagabond
The_PoP a répondu à un(e) sujet de The_PoP dans Toute la BD
Non pas de news de mon côté Mais franchement les âges perdus mériterait un coup de cœur. c'est le type de bd que j'aime tellement. -
Cette série la faut pas passer à côté… c’est niveau Roy des ribauds. Peut être moins épique mais graphiquement un cran au dessus je trouve
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West fantasy tome 5 - L'assassin, le rônin et la catin
The_PoP a répondu à un(e) sujet de Kevin Nivek dans Toute la BD
Je cible pas que Marvel. c’est plus le concept de « remplissages » avec du contenu plus lambda mais dans un univers connu que je cible. le côté : tu sais déjà ce que tu vas lire avant meme de l’ouvrir. Un peu comme quand tu lances ton épisode 158 de Naruto ou ta saison 8 des experts quoi…. Rassurant. Mais en même temps on s’emmerde un peu. ceci dit pour moi si tu reprends nos critiques sur conquêtes ou sur West fantasy : on rêve toujours qu’il manque un vrai fil conducteur. Un vrai lien entre les tomes. Et un souffle plus épique qu’une banale énième histoire de vengeance ! -
Bah j’ai de la chance, j’ai lu du bon. Et du treeeees bon. peu de doutes sur les derniers coups de cœur, et y en a pour tous les goûts !
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West fantasy tome 5 - L'assassin, le rônin et la catin
The_PoP a répondu à un(e) sujet de Kevin Nivek dans Toute la BD
J’en pense qu’ils dupliquent le principe du manga et de la série tv a la bd franco belge mais c’est oublier bien vite que le public n’est pas le même. t’as un public plus exigeant en franco belge. donc le remplissage facile c’est rigolo 5 minutes mais ça lasse. et les terres d’arranger ça a décollé pour moi grâce à un ingrédient qu’ils oublient tous dans les copies : un vrai cycle prenant avec une menace clairement identifiée… sans la guerre des goules ça aurait lassé aussi vite je pense… rajoute à ca qu’ils gardaient des persos ultra marquants…. bref quand t’oublie que y a Heroic dans Fantasy ben ça s’essouffle… il te faut un monde en danger ou une grosse quête/menace pour tenir aussi longtemps. -
Les âges perdus - Tome 3 - L'infini vagabond
The_PoP a répondu à un(e) sujet de The_PoP dans Toute la BD
Non c’est vraiment dans la lignée du 2. Je trouve que le 1 était le meilleur mais c’est un peu normal… le reste est toujours aussi sympa à lire -
Titre de l'album : Les âges perdus - Tome 3 - L'infini vagabond Scenariste de l'album : Jérôme Le Gris Dessinateur de l'album : Didier Poli & Luca Bulgheroni Coloriste : Bruno Tatti Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : À la veille de l'an Mil, une pluie de feu s'abat sur la terre et plonge le monde dans l'obscurité. Fuyant l'Anglia dévastée, Elaìne brave la redoutable Mer des Aigles et atteint la Terre des Meutes, un territoire hostile où rôdent les terrifiants hommes-cerfs. Au cours de cette traversée périlleuse, elle croise Mara, une mystérieuse arpenteuse qui l'aide à survivre. Guidée par l'héritage de son père, Elaìne cherche à percer les secrets du savoir perdu, celui qui, jadis, permit aux hommes de bâtir des cités et de prospérer. Son périple la conduit jusqu'à la mythique Cité du Roi Taon, où l'ancien monde semble encore murmurer à travers ses ruines. Mais les règles de ce lieu sacré vacillent, et l'accès aux connaissances oubliées s'avère plus dangereux que jamais... Plongez dans une fresque épique où l'histoire et le mythe se rejoignent, sublimée par les illustrations magistrales de Didier Poli et Luca Bulgheroni. Critique : Oh qu'on l'attendait celui-ci. Il faut dire que les deux premiers tomes des âges perdus nous avaient présentés une chouette histoire, dans un monde que l'on ne connaissait pas, qu'on n'avait pas l'impression d'avoir déjà lu cent fois. Et vu que c'était servi avec les très jolis dessins de Didier Poli, on en redemandait. Sur ce tome Didier Poli a été rejoint aux crayons par Luca Bulgheroni mais c'est toujours Bruno Tatti qui gère les couleurs. Alors que donne cet ajout de talent à notre équipe ? Et bien le dessin de la série continue d'évoluer doucement, comme entre le tome 1 et le tome 2, avec des visages qui se lissent un petit peu, mais des décors qui s'étoffent globalement rendant les atmosphères et ce monde là encore plus palpable. Côté histoire, c'est aussi peu dire que je faisais confiance à Jérôme Le Gris pour nous créer une belle histoire avec une belle fin. Et bien pas de doutes non plus de ce côté là, c'est toujours aussi bien. On a du rythme, une montée en puissance de l'intrigue et des enjeux, des personnages dont on se demande à chaque page s'il va y passer ou pas, et un monde dont chaque page nous en fait découvrir un peu plus. Vous l'avez compris j'en redemande encore et bonne nouvelle, le tome 4 doit sortir l'année prochaine, même si, et c'est je trouve très triste, ce sera aussi le tome de fin de cette série. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-ages-perdus-tome-3-l-infini-vagabond/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Oh qu'on l'attendait celui-ci. Il faut dire que les deux premiers tomes des âges perdus nous avaient présentés une chouette histoire, dans un monde que l'on ne connaissait pas, qu'on n'avait pas l'impression d'avoir déjà lu cent fois. Et vu que c'était servi avec les très jolis dessins de Didier Poli, on en redemandait. Sur ce tome Didier Poli a été rejoint aux crayons par Luca Bulgheroni mais c'est toujours Bruno Tatti qui gère les couleurs. Alors que donne cet ajout de talent à notre équipe ? Et bien le dessin de la série continue d'évoluer doucement, comme entre le tome 1 et le tome 2, avec des visages qui se lissent un petit peu, mais des décors qui s'étoffent globalement rendant les atmosphères et ce monde là encore plus palpable. Côté histoire, c'est aussi peu dire que je faisais confiance à Jérôme Le Gris pour nous créer une belle histoire avec une belle fin. Et bien pas de doutes non plus de ce côté là, c'est toujours aussi bien. On a du rythme, une montée en puissance de l'intrigue et des enjeux, des personnages dont on se demande à chaque page s'il va y passer ou pas, et un monde dont chaque page nous en fait découvrir un peu plus. Vous l'avez compris j'en redemande encore et bonne nouvelle, le tome 4 doit sortir l'année prochaine, même si, et c'est je trouve très triste, ce sera aussi le tome de fin de cette série.
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Titre de l'album : Tête de chien - Tome 3 Scenariste de l'album : Vincent Brugeas Dessinateur de l'album : Ronan Toulhoat Coloriste : Yoann Guillo Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Le château du père de Jehan n'est plus qu'à quelques lieues. Pour nos héros, c'est l'heure de se dire au revoir. Lancelin et Maïeul doivent rentrer chez eux, le coeur lourd. Et, depuis des semaines, Gaucher et ses compagnons n'attendaient que cela : que leurs ennemis se séparent afin de les battre les uns après les autres. Ainsi, alors que Lancelin et Maïeul viennent de quitter nos héros, Gaucher et ses hommes passent à l'attaque. Le félon entend bien se venger du Noirci qui lui a fait tant de mal. Cependant, c'est sans compter sur le courage et la ruse de Lancelin. Bientôt, Josselin et Jehan, prévenus par Maïeul, récupèrent un Lancelin grièvement blessé. Gaucher, lui, n'a pas dit son dernier mot. Il s'est trouvé un nouvel allié de circonstance, un brigand qui se prétend chevalier, sous le nom de Renart. Avec son aide, il traque nos héros sans relâche. Le château de son père est encore trop loin. Jehan se résout à y envoyer Paulin et Maïeul, pour le prévenir. Pendant ce temps, elle et Josselin transportent un Lancelin moribond au Nid d'aigle : La demeure toute proche d'un oncle misanthrope qu'elle n'a jamais vu... Une rencontre qui va changer sa vie. Dans ce troisième volume, Vincent Brugeas tisse une intrigue toujours plus captivante, portée par le dessin épique de Ronan Toulhoat et les couleurs éclatantes de Yoann Guillo. Préparez-vous à une aventure médiévale où l'humour, les rebondissements et les secrets rythment chaque page ! Critique : Ah c'est un sacré coup de cœur dont on va parler ici. Les deux premiers tomes de Tête de chien nous avaient déjà passionné. Il faut dire que l'on est nombreux ici à aimer le travail que font ces 3 auteurs ensemble. Je trouve que ce tome 3 de Tête de chien monte encore en puissance, et nous livre la quintessence de ce que des auteurs modernes peuvent faire en bd franco belge tout en intégrant les influences du comics et du manga. Les mises en scènes sont juste brillantes, plus que cinématographiques, elle rendent la bd vraiment vivante. On entend presque les personnages se parler. Le scénario de Vincent Brugeas gagne encore en épaisseur, car si l'on était jusqu'à présent dans l'univers des Tournois, on sort sur ce tome de ce cadre là pour rentrer dans un monde plus réel et pourtant toujours à notre échelle. Oui dans ce tome 3 certains combat ne seront pas juste pour la gagne et nos personnages sont tellement bien pensés, premiers comme second rôles que l'on va frémir pour eux. L'art de Ronan Toulhoat s'exprime je trouve pleinement dans les gueules dures, parfois abîmés, affichant leurs vécus, de ses personnages. Certes comme dans le comics on pourra pinailler sur quelques arrières plans un peu légers, mais franchement je pense que cela nuirait vraiment à l'ensemble en le surchargeant. On retrouve dans ce Tête de Chien un peu la folie et la créativité visuelle de certains comics indépendants. Je ne vais pas en rajouter une couche sur les couleurs de Yoann Guillo qui s'impose pour moi comme l'un des meilleurs coloriste actuels, et je continue de trouver qu'il forme avec Ronan Toulhoat une paire qui se bonifie mutuellement. Bref, foncez, parce que ces personnages là, avec ce dessin là, on veut les suivre beaucoup plus loin. Vous pouvez y aller, les yeux fermés, que vous aimiez la chevalerie et le moyen âge ou non d'ailleurs. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tete-de-chien-tome-3/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Ah c'est un sacré coup de cœur dont on va parler ici. Les deux premiers tomes de Tête de chien nous avaient déjà passionné. Il faut dire que l'on est nombreux ici à aimer le travail que font ces 3 auteurs ensemble. Je trouve que ce tome 3 de Tête de chien monte encore en puissance, et nous livre la quintessence de ce que des auteurs modernes peuvent faire en bd franco belge tout en intégrant les influences du comics et du manga. Les mises en scènes sont juste brillantes, plus que cinématographiques, elle rendent la bd vraiment vivante. On entend presque les personnages se parler. Le scénario de Vincent Brugeas gagne encore en épaisseur, car si l'on était jusqu'à présent dans l'univers des Tournois, on sort sur ce tome de ce cadre là pour rentrer dans un monde plus réel et pourtant toujours à notre échelle. Oui dans ce tome 3 certains combat ne seront pas juste pour la gagne et nos personnages sont tellement bien pensés, premiers comme second rôles que l'on va frémir pour eux. L'art de Ronan Toulhoat s'exprime je trouve pleinement dans les gueules dures, parfois abîmés, affichant leurs vécus, de ses personnages. Certes comme dans le comics on pourra pinailler sur quelques arrières plans un peu légers, mais franchement je pense que cela nuirait vraiment à l'ensemble en le surchargeant. On retrouve dans ce Tête de Chien un peu la folie et la créativité visuelle de certains comics indépendants. Je ne vais pas en rajouter une couche sur les couleurs de Yoann Guillo qui s'impose pour moi comme l'un des meilleurs coloriste actuels, et je continue de trouver qu'il forme avec Ronan Toulhoat une paire qui se bonifie mutuellement. Bref, foncez, parce que ces personnages là, avec ce dessin là, on veut les suivre beaucoup plus loin. Vous pouvez y aller, les yeux fermés, que vous aimiez la chevalerie et le moyen âge ou non d'ailleurs.
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Non mieux. Plus fin. Beaucoup plus subtil. Laurent Astier rend hommage à son meilleur ami décédé il y a une dizaine d’années.
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tu peux glisser un mot sur la force de vivre je pense, au pire à la place d'hawkmoon 🙂
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Titre de l'album : Samurai - Tome 18 - La tendresse des hyènes Scenariste de l'album : Jean-François Di Giorgio Dessinateur de l'album : Cristina Mormile Coloriste : Lorenzo Pieri Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Tombés dans le piège tendu par Yoshitaka qui se verrait sans déplaisir à la tête de l'Empire du soleil levant, l'étau se resserre autour du jeune prince et sa garde rapprochée. Impossible d'échapper au traquenard tendu par Yoshitaka. À moins, bien sûr, de déposer les armes. Mais entre la mort et le déshonneur, Takeo a vite fait son choix. Critique : L'une des séries phare de la bd franco belge sur les samouraï continue avec ce tome 18 riche en batailles. Christina Mormile a mis son empreinte désormais sur la série démarré par Frédéric Genêt au dessin. Si les visages sont peut être un peu moins détaillés la série continue d'avoir un certain sens de la mise en scène et beaucoup de fluidité des scènes d'actions et de batailles. J'apprécie toujours autant la plongée dans ce japon féodal qui s'il a pris un virage moins fantastique au fil des épisodes garde pourtant cette petite touche de magie qui fait son charme. Le fait que Jean-François Di Giorgio soit toujours aux manettes du scénario garantit la continuité de l'esprit de la série. Et au bout de 18 tomes il a toujours de belles histoires à nous raconter même si là on touche du doigt le dénouement provisoire d'un cycle. AU programme de cet opus donc on aura de la bataille, et encore de la bataille. J'ai apprécié que les auteurs trouvent le temps de nous y glisser une pointe de crapulerie, pour adoucir un peu tout le sang versé. Reste que Takeo est un samouraï d'exception et que l'on n'aime rien tant que de le voir sabrer du vilain ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/samurai-tome-18-la-tendresse-des-hyenes/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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L'une des séries phare de la bd franco belge sur les samouraï continue avec ce tome 18 riche en batailles. Christina Mormile a mis son empreinte désormais sur la série démarré par Frédéric Genêt au dessin. Si les visages sont peut être un peu moins détaillés la série continue d'avoir un certain sens de la mise en scène et beaucoup de fluidité des scènes d'actions et de batailles. J'apprécie toujours autant la plongée dans ce japon féodal qui s'il a pris un virage moins fantastique au fil des épisodes garde pourtant cette petite touche de magie qui fait son charme. Le fait que Jean-François Di Giorgio soit toujours aux manettes du scénario garantit la continuité de l'esprit de la série. Et au bout de 18 tomes il a toujours de belles histoires à nous raconter même si là on touche du doigt le dénouement provisoire d'un cycle. AU programme de cet opus donc on aura de la bataille, et encore de la bataille. J'ai apprécié que les auteurs trouvent le temps de nous y glisser une pointe de crapulerie, pour adoucir un peu tout le sang versé. Reste que Takeo est un samouraï d'exception et que l'on n'aime rien tant que de le voir sabrer du vilain !
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Titre de l'album : La force de vivre Scenariste de l'album : Laurent Astier Dessinateur de l'album : Laurent Astier Coloriste : Laurent Astier Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : Dès leur rencontre, une amitié forte va naître entre Cyril et Laurent. De celles qui font grandir et changer pour le mieux. L'un, extraverti et solaire, est l'opposé de l'autre, timide et sombre. Le lien qui les unit est pourtant indicible et inexplicable. Laurent Astier raconte comment ce lien d'amitié perdure malgré la disparition de son ami emporté par la maladie. Critique : Il y a des bd qui vous parlent, qui vous attirent comme des aimants. La force de vivre m'a fait cet effet là. Je n'étais pas sensé la lire, et pourtant elle s'est imposée à moi dans une librairie. Grand bien m'en a fait. Hier @Kevin Nivek me demandait quelle était ma lecture de l'année, aujourd'hui en refermant La force de vivre, j'ai une nouvelle réponse à lui apporter. Entendons nous, malgré ses indéniables qualités ce n'est peut être pas le chef d'œuvre graphique, artistique ou narratif de l'année, mais j'ai pleuré en la refermant. Vraiment. Et cela ne m'arrive pas bien souvent dans ma vie. Parfois quand une bd vous émeut à ce point c'est qu'elle fait écho à votre propre vécu. Et ce n'est même pas vraiment le cas ici pour moi, si ce n'est peut être une histoire de génération et de vie dans lesquelles je peux reconnaitre une époque proche de celle que j'ai connu. Par contre la force de vivre nous parle de l'importance de l'amitié et de la vie en général. Beaucoup de chansons, de films, de livres majeurs sont dédiés aux grandes histoires d'amour. L'amitié, elle, a inspiré moins d'œuvres majeures. Et pourtant. En bref je ne sais pas vous dire pourquoi "La force de vivre" m'a autant marqué, mais ce que je sais avec certitude c'est que je ne serais pas le seul tant cette bd renferme une belle puissance évocatrice. Voilà, je connaissais le travail de Laurent Astier par sa série La Venin. Je trouve que sur la Force de vivre son dessin a franchi un énorme cap, plus empathique, plus émouvant. A la fin je ne peux que vous conseiller La force de vivre, surtout pour peu que vous aimiez l'amitié, la vie, les années 80-90 et voir de jeunes adultes se construire, se trouver. Cet ouvrage a été écrit avec les tripes, et il m'a profondément ému et marqué. Ce qui est frappant c'est que l'ensemble est plein de pudeur, de petites joies et de petites douleurs, d'instants remémorés. Pas d'excès, rien de surjoué, simplement souvent le mot juste. La multitude de thématiques rencontrées est aussi magnifique, car La force de vivre ne parle pas que d'un seul sujet mais de la vie en général, de la famille, des enfants, des amours. Les livres hommage sont souvent un peu lourds, un peu trop dans l'emphase, à appuyer sur les émotions et l'empathie, un peu trop dégoulinants. Ici rien de tout ça. Juste une impression de vrai, la vérité de Laurent Astier qui se met à nu. Alors merci M. Astier de m'avoir fait vivre ça, de m'avoir fait revivre des choses, de m'avoir donné autant d'émotions et de réflexions. Merci de nous avoir permis d'accéder à cela. Et merci à votre éditrice, qui a fait de l'excellent travail et dont je ne peux que confirmer la justesse de la direction qu'elle vous a permis de prendre, cela se ressent. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-force-de-vivre/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement