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  1. Titre de l'album : Turo - Intégrale - Tomes 1 à 4 Scenariste de l'album : Mateo Guerrero Dessinateur de l'album : Mateo Guerrero Coloriste : Javi Montes Editeur de l'album : Mahô Note : Résumé de l'album : Aussi insouciant qu'à l'accoutumée et comptant sur sa force exceptionnelle pour le protéger du danger, le jeune Turo était parti chasser en forêt afin de nourrir les siens. Prudent, il savait qu'il ne faut guère traîner sur les terres du Grand Dragon par crainte des fantômes. En revanche, comment pouvait-il savoir que ces derniers étaient à la poursuite de mercenaires ayant remué les débris du passé d'un peu trop près et qu'ils lui tomberaient dessus en plein jour...? Bien malgré lui, le voilà embarqué dans le genre d'histoire dont on fait les légendes. Cette intégrale reprend les quatre albums de la série. Critique : J'ai découvert le travail de Mateo Guerrero sur Jakob Kayne et j'avais adoré. Par contre je ne sais pas trop comment mais j'étais passé à côté de Turo lors de sa sortie. Les éditions du Lombard ayant eu la gentillesse de me laisser la possibilité de réparer ce tort, je vous avoue que je me suis jeté sur cette intégrale. Et je me suis régalé. Certes le public cible est probablement un poil plus jeunesse que la fantasy que j'apprécie habituellement, mais ce Turo est décidément plein de qualités. D'abord l'intégrale qui présente les 4 albums sortis, qui proposent une fin, certes ouverte, mais une fin de cycle tout de même. Une intégrale de 4 tomes c'est pile poil le format agréable à lire et suffisamment durable pour contenter le collectionneur aguerri. L'histoire est bien foutue, sur deux époques, avec suffisamment de mystères et de personnages secondaires pour nous intéresser même si elle semble pécher parfois par certaines naïvetés narratives, défauts de jeunesse que l'on pardonne facilement vu le charme de l'ensemble. Cette super aventure d'héroïque Fantasy est en plus servie par le dessin plein de charme de Mateo Guerrero. Certes depuis on peut voir qu'il s'est aguerri, mais le tout relève déjà d'un sacré niveau et nous rend les personnages attachants et le monde comme les créatures qui le peuplent intéressantes. En bref vous l'aurez compris, j'ai savouré ce petit plaisir coupable d'héroïque fantasy qui si elle ne brille pas par son originalité ou son scénario, a pourtant l'immense mérite de réussir son dosage entre action, aventure, et humour pour nous proposer 4 tomes qu'on referme en regrettant qu'un second cycle n'ai pas vu le jour. Merci Le Lombard, merci Mateo. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/integrale-turo?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. The_PoP

    Turo - Intégrale - Tomes 1 à 4

    J'ai découvert le travail de Mateo Guerrero sur Jakob Kayne et j'avais adoré. Par contre je ne sais pas trop comment mais j'étais passé à côté de Turo lors de sa sortie. Les éditions du Lombard ayant eu la gentillesse de me laisser la possibilité de réparer ce tort, je vous avoue que je me suis jeté sur cette intégrale. Et je me suis régalé. Certes le public cible est probablement un poil plus jeunesse que la fantasy que j'apprécie habituellement, mais ce Turo est décidément plein de qualités. D'abord l'intégrale qui présente les 4 albums sortis, qui proposent une fin, certes ouverte, mais une fin de cycle tout de même. Une intégrale de 4 tomes c'est pile poil le format agréable à lire et suffisamment durable pour contenter le collectionneur aguerri. L'histoire est bien foutue, sur deux époques, avec suffisamment de mystères et de personnages secondaires pour nous intéresser même si elle semble pécher parfois par certaines naïvetés narratives, défauts de jeunesse que l'on pardonne facilement vu le charme de l'ensemble. Cette super aventure d'héroïque Fantasy est en plus servie par le dessin plein de charme de Mateo Guerrero. Certes depuis on peut voir qu'il s'est aguerri, mais le tout relève déjà d'un sacré niveau et nous rend les personnages attachants et le monde comme les créatures qui le peuplent intéressantes. En bref vous l'aurez compris, j'ai savouré ce petit plaisir coupable d'héroïque fantasy qui si elle ne brille pas par son originalité ou son scénario, a pourtant l'immense mérite de réussir son dosage entre action, aventure, et humour pour nous proposer 4 tomes qu'on referme en regrettant qu'un second cycle n'ai pas vu le jour. Merci Le Lombard, merci Mateo.
  3. poseidon2

    Camélia - face à la meute

    Voici une BD importante. Une BD à faire lie à tous les ados car cela peut arriver à n'importe qui. Un BD à faire ire aussi parce qu'elle est extrêmement bien faite : elle nous montre bien, via un découpage en période en l'année, à quel point devenir la victime de harcèlement peux arriver à out le monde. En effet notre héroïne à tout pour passer 3 années standards au lycée : une meilleure amie pour la vie, un physique par dérangeant et des parents qui l'adorent. Oui mais voilà. En tombant amoureuse du mauvais garçon, elle se met à dos les mauvaises personnes et là l'engrenage commence. Et c'est qui est frappant en lisant cette BD : c'est bien un engrenage qui est difficile à arrêter. Car des moqueries de couleurs découlent les insultes sur les réseaux sociaux de la classe, la mise au banc des asociaux et les montages photos. Et en un temps au final assez court les amis s'éloignent de peur d'être assimilée à elle et de finir eux aussi rejetés. Et cela même si on est une "meilleure amie". La plongée en enfer parait malheureusement trop 'naturelle' et fait froid dans le dos. Quand on a une ado à la maison on s'imagine facilement qu'il peut lui arriver la même chose. Et pour éviter cela le plus possible.... on lui fait lire ce Camilla. Pour éviter qu'elle soit harcelée mais aussi et surtout pour éviter qu'elle ne fasse partie d'une meute de suiveur un jour. Je reprocherais juste à cette BD le dessin qui aurait peut gagner à être plus dur.
  4. Titre de l'album : Camélia - face à la meute Scenariste de l'album : Christophe Cazenove / Nora Fraisse Dessinateur de l'album : Bloz Coloriste : Bloz Editeur de l'album : Bamboo Note : Résumé de l'album : Une BD émouvante sur un sujet grave : le harcèlement scolaire. Camélia retourne à l'internat après deux mois de vacances. Celle qu'on appelait « Miss Bouboule » au collège est devenue une lycéenne bien dans sa peau. Elle va retrouver son amie Justine et la vie semble lui sourire. Mais c'est sans compter Valentine et sa clique qui vont la prendre en grippe. Et lorsqu'une simple photo est diffusée sur les réseaux sociaux, c'est la spirale du harcèlement qui emporte Camélia. Elle devient le souffre-douleur de tout l'internat... Et pas la peine de compter sur Justine, car son amie a, elle aussi, rejoint le clan des harceleurs. Critique : Voici une BD importante. Une BD à faire lie à tous les ados car cela peut arriver à n'importe qui. Un BD à faire ire aussi parce qu'elle est extrêmement bien faite : elle nous montre bien, via un découpage en période en l'année, à quel point devenir la victime de harcèlement peux arriver à out le monde. En effet notre héroïne à tout pour passer 3 années standards au lycée : une meilleure amie pour la vie, un physique par dérangeant et des parents qui l'adorent. Oui mais voilà. En tombant amoureuse du mauvais garçon, elle se met à dos les mauvaises personnes et là l'engrenage commence. Et c'est qui est frappant en lisant cette BD : c'est bien un engrenage qui est difficile à arrêter. Car des moqueries de couleurs découlent les insultes sur les réseaux sociaux de la classe, la mise au banc des asociaux et les montages photos. Et en un temps au final assez court les amis s'éloignent de peur d'être assimilée à elle et de finir eux aussi rejetés. Et cela même si on est une "meilleure amie". La plongée en enfer parait malheureusement trop 'naturelle' et fait froid dans le dos. Quand on a une ado à la maison on s'imagine facilement qu'il peut lui arriver la même chose. Et pour éviter cela le plus possible.... on lui fait lire ce Camilla. Pour éviter qu'elle soit harcelée mais aussi et surtout pour éviter qu'elle ne fasse partie d'une meute de suiveur un jour. Je reprocherais juste à cette BD le dessin qui aurait peut gagner à être plus dur. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/camelia-face-a-la-meute?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. The_PoP

    Les chimères de Vénus - Tome 1

    C'est peu dire que j'attendais ce spin-off du Chateau des étoiles au tournant. Rendez-vous compte, la série mère commence à ronronner un petit peu, et voici que Rue de Sèvres nous propose un spin-off, avec un autre duo de scénariste/dessinateur aux manettes et sans l'immense Alex Alice. Inquiétant donc. Après enquête, quand le nom d'Alain Ayroles est sorti, la surprise a été de taille, c'est un scénariste et un conteur de l'imaginaire que j'adore depuis son fabuleux De cape et de crocs. Récemment il avait d'ailleurs démontré une fois de plus sa maestria des récits d'aventures sur le tonitruant Indes Fourbes. Restait la touche graphique, et je vous avoue que le nom d'Etienne Jung m'était complètement inconnu. A priori d'ailleurs je n'étais clairement pas emballé par le dessin, le trait, le travail à la gouache.... C'était compliqué comme transition vu l'adoration que je porte au graphisme d'Alex Alice. C'est donc fort de ces attentes et de ces doutes que je me suis lancé à l'assaut de ce premier tome de ce nouveau triptyque prenant place dans l'univers déjà bien établi du Château des étoiles. ... Point de suspens : je l'ai dévoré. Une claque. J'ai replongé direct en enfance/adolescence quand j'ai commencé à lire Jules Vernes, L'île au trésor, Alexandre Dumas. L'aventure, la vraie, la belle, celle qui fait voyager les coeurs, les âmes et qui nous ouvre les portes de l'imaginaire. Celle qui prend immédiatement corps sous les traits de plume virtuose des dialogues et situations d'Alain Ayroles. Quel génie ! En un album il m'a fait oublier les griefs que je pouvais avoir sur cette série. Quand au travail d'Etienne Jung, si d'un point de vue critique je préfèrerais toujours la technique d'Alex Alice, nul besoin de faire la fine bouche pour autant, c'est extraordinaire. Extraordinaire car le dessin est au diapason du récit tout simplement. En lisant le dossier de presse, on se rend compte qu'Alain Ayroles n'a pas du tout débarqué de nulle part, puisqu'il conseillait déjà amicalement Alex Alice sur le Château des étoiles. Etienne Jung non plus puisqu'ils ont été choisis par Alex Alice pour reprendre le flambeau sur ce spin-off ! Ce qui explique probablement à quel point ils se sont immergés dans cet univers pour le prolonger, en l'adaptant, en l'améliorant même parfois, mais surtout en l'interprétant sans jamais le dénaturer. Alors juste merci, merci aux auteurs, merci aux éditeurs, je me suis régalé. Certains y trouveront probablement à redire, mais quand on vous sert une madeleine de proust, il faut simplement fermer les yeux, humer et savourer d'y croquer dedans à pleine dents. Encore !
  6. Titre de l'album : Les chimères de Vénus - Tome 1 Scenariste de l'album : Alain Ayrolles Dessinateur de l'album : Etienne Jung Coloriste : Etienne Jung Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : 1873, les vaisseaux des puissances terrestres s’élancent dans l’éther pour conquérir les planètes du système solaire. L’actrice Hélène Martin débarque sur Vénus, monde sauvage couvert de brume, à la recherche de son fiancé, un poète évadé des bagnes de Napoléon III. Poursuivie par l’inquiétant duc de Chouvigny, entraînée dans la rivalité des empires, Hélène s’aventurera à travers des jungles infestées de dinosaures et sur des océans déchaînés jusqu’aux confins de l’astre, où se dressent les vestiges d’une mystérieuse civilisation. Critique : C'est peu dire que j'attendais ce spin-off du Chateau des étoiles au tournant. Rendez-vous compte, la série mère commence à ronronner un petit peu, et voici que Rue de Sèvres nous propose un spin-off, avec un autre duo de scénariste/dessinateur aux manettes et sans l'immense Alex Alice. Inquiétant donc. Après enquête, quand le nom d'Alain Ayroles est sorti, la surprise a été de taille, c'est un scénariste et un conteur de l'imaginaire que j'adore depuis son fabuleux De cape et de crocs. Récemment il avait d'ailleurs démontré une fois de plus sa maestria des récits d'aventures sur le tonitruant Indes Fourbes. Restait la touche graphique, et je vous avoue que le nom d'Etienne Jung m'était complètement inconnu. A priori d'ailleurs je n'étais clairement pas emballé par le dessin, le trait, le travail à la gouache.... C'était compliqué comme transition vu l'adoration que je porte au graphisme d'Alex Alice. C'est donc fort de ces attentes et de ces doutes que je me suis lancé à l'assaut de ce premier tome de ce nouveau triptyque prenant place dans l'univers déjà bien établi du Château des étoiles. ... Point de suspens : je l'ai dévoré. Une claque. J'ai replongé direct en enfance/adolescence quand j'ai commencé à lire Jules Vernes, L'île au trésor, Alexandre Dumas. L'aventure, la vraie, la belle, celle qui fait voyager les coeurs, les âmes et qui nous ouvre les portes de l'imaginaire. Celle qui prend immédiatement corps sous les traits de plume virtuose des dialogues et situations d'Alain Ayroles. Quel génie ! En un album il m'a fait oublier les griefs que je pouvais avoir sur cette série. Quand au travail d'Etienne Jung, si d'un point de vue critique je préfèrerais toujours la technique d'Alex Alice, nul besoin de faire la fine bouche pour autant, c'est extraordinaire. Extraordinaire car le dessin est au diapason du récit tout simplement. En lisant le dossier de presse, on se rend compte qu'Alain Ayroles n'a pas du tout débarqué de nulle part, puisqu'il conseillait déjà amicalement Alex Alice sur le Château des étoiles. Etienne Jung non plus puisqu'ils ont été choisis par Alex Alice pour reprendre le flambeau sur ce spin-off ! Ce qui explique probablement à quel point ils se sont immergés dans cet univers pour le prolonger, en l'adaptant, en l'améliorant même parfois, mais surtout en l'interprétant sans jamais le dénaturer. Alors juste merci, merci aux auteurs, merci aux éditeurs, je me suis régalé. Certains y trouveront probablement à redire, mais quand on vous sert une madeleine de proust, il faut simplement fermer les yeux, humer et savourer d'y croquer dedans à pleine dents. Encore ! Autres infos : Quand Jules Vernes croise Cyrano... Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-chimeres-de-venus-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Titre de l'album : Le château des étoiles - tome 6 - L'exposition interplanétaire de 1875 Scenariste de l'album : Alex Alice Dessinateur de l'album : Alex Alice Coloriste : Alex Alice Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : Après avoir visité la Lune et Mars, Les Chevaliers de l’Ether semblent tristement cloués au sol depuis l’échec de leur tentative visant à convaincre l’Empereur Napoléon III de secourir les Martiaux. Le jeune Séraphin a été jeté en prison, et la Princesse de Mars est détenue pour être exhibée lors de l’Exposition Interplanétaire qui doit s’ouvrir à Paris, le 25 avril 1875 en présence de leurs Majestés les Empereurs de France et d’Allemagne. Afin de pousser les dirigeants du monde à dénoncer les crimes commis par la Prusse sur Mars, nos héros vont donc devoir libérer la princesse, ou tout au moins ses fabuleux pouvoirs mentaux. Et ainsi, au nom de la concorde entre les peuples, Hans, Sophie et Séraphin, aidés de Loïc, du capitaine Schneidig et de la journaliste Jocaste Daumier n’ont plus le choix : ils doivent braquer l’Exposition ! Mais à quel prix ? Critique : Ne me demandez pas d'âtre impartial avec ce chateau des étoiles. C'est impossible pour moi tant c'est en BD ce que j'ai tant aimé lire adolescent en livre. De l'Aventure, du rêve, de l'exploration, et de la poséie à chaque page, véritable tendresse d'Alex Alice pour ses personnages, secondaires comme principaux, jamais caricaturaux, toujours fins et porteurs d'émotions humaines magnifiquement retranscrites. Si à cela vous ajoutez des graphismes éthérées, des visages d'une rare expressivité, et des paysages à couper le souffle, ça commence à être dur de faire la fine bouche quand même... Niveau scénario on se retrouve avec une véritable fin de cycle, ouvrant autant de nouvelles portes qu'elle n'en ferme, et nous donnant des perspectives d'infini tant dans le recoupement à venir avec les chimères de Vénus que dans les possibilités d'évolution de l'histoire. Du grand Art qui j'espère ne se perdra pas dans cet océan de possible. Mais avec M. Ayrolles au scénario et M. Alice qui continue de contribuer à son oeuvre qui serait véritablement inquiet ? Pour ceux qui veulent replonger dans l'imaginaire de l'enfance à portée des adultes, venez rire, sourire, espérer, pleurer parfois mais surtout voyager et prendre des risques avec ces chevaliers de l'Ether, de moins en moins enfants au fil de la route les menant vers l'infini et l'âge adulte. Cet article dithyrambique au possible ne masquera pas une chose qui m'apparait désormais comme évidente : je crois que malgré les Blacksad, les Elecboy, les Spioru, cette BD était bien celle que j'attendais le plus de cette fin d'année. Oui, oui. Bravo et chapeau bas l'artiste ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-chateau-des-etoiles-tome-6?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Ne me demandez pas d'âtre impartial avec ce chateau des étoiles. C'est impossible pour moi tant c'est en BD ce que j'ai tant aimé lire adolescent en livre. De l'Aventure, du rêve, de l'exploration, et de la poséie à chaque page, véritable tendresse d'Alex Alice pour ses personnages, secondaires comme principaux, jamais caricaturaux, toujours fins et porteurs d'émotions humaines magnifiquement retranscrites. Si à cela vous ajoutez des graphismes éthérées, des visages d'une rare expressivité, et des paysages à couper le souffle, ça commence à être dur de faire la fine bouche quand même... Niveau scénario on se retrouve avec une véritable fin de cycle, ouvrant autant de nouvelles portes qu'elle n'en ferme, et nous donnant des perspectives d'infini tant dans le recoupement à venir avec les chimères de Vénus que dans les possibilités d'évolution de l'histoire. Du grand Art qui j'espère ne se perdra pas dans cet océan de possible. Mais avec M. Ayrolles au scénario et M. Alice qui continue de contribuer à son oeuvre qui serait véritablement inquiet ? Pour ceux qui veulent replonger dans l'imaginaire de l'enfance à portée des adultes, venez rire, sourire, espérer, pleurer parfois mais surtout voyager et prendre des risques avec ces chevaliers de l'Ether, de moins en moins enfants au fil de la route les menant vers l'infini et l'âge adulte. Cet article dithyrambique au possible ne masquera pas une chose qui m'apparait désormais comme évidente : je crois que malgré les Blacksad, les Elecboy, les Spioru, cette BD était bien celle que j'attendais le plus de cette fin d'année. Oui, oui. Bravo et chapeau bas l'artiste !
  9. Kevin Nivek

    Ma vague

    David Boriau , auteur de nombreuses séries ado à succès comme Obscurcia ou Holowatch , s'associe à une nouvelle tête des éditions Jungle : Anne-Sophie Doucet , nom d'artiste : Soann . Le trait assez numérique et épuré convient parfaitement pour le public jeune auquel s'adresse cette histoire . Le travail des couleurs est saisissant dans les cases "marines" , il en va de même pour la lumière très présente tout au long du récit . C'est donc une copie très propre au sujet du dessin que nous livre cette jeune artiste autodidacte , très engagée sur des projets graphiques de la ville de Nantes . On comprend aisément qu'une histoire "maritime" emprunt d'un soupçon de fantastique l'ait convaincue de se lancer dans le 9ème art . David Boriau , scénariste chevronné nous propose une chasse au trésor archéologique et dépeint une relation père-fille assez ancrée dans la vie actuelle . En effet les parents sont séparés , et entre les sources d'amusement avec son père , et un certain rappel à l'ordre de sa mère , elle même garde-côte , notre jeune héroïne a bien du mal à trouver ses repères . Tout en posant un regard neuf sur notre société avec un déplacement des rôles d'autorité , ainsi qu'une adolescente aux cheveux courts très androgyne , les auteurs mettent l'accent sur une chose qui ne change pas : la nécessité de dialoguer avec ses parents . En effet , cette quête au "trésor" servira surtout à renouer des liens et se faire confiance ; et la présence de cet être surnaturel , ce fantôme des mers tient certainement lieu d'ami imaginaire que les enfants se créent lorsqu'ils rencontrent des difficultés . Quête identitaire , apprentissage de la vie , n'est ce pas là le chemin qu'empruntent nos enfants ? Une bien belle histoire familiale et d'amitié , qui n'a rien à voir avec la petite sirène 🙂 .
  10. Kevin Nivek

    Ma vague

    Titre de l'album : Ma vague Scenariste de l'album : David Boriau Dessinateur de l'album : Soann Coloriste : Soann Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Nellie, 13 ans, vit au bord de la mer. Elle est proche de son père avec qui elle partage une passion pour la plongée et les fouilles archéologiques. Adolescente rebelle, elle souffre d'une grande sensibilité émotionnelle, et a assez peu d'amis de son âge. Lors d'une sortie en mer, alors qu'une tempête fait rage, Nellie fait la rencontre d'un être surnaturel. Se noue une relation magique, parfois incontrôlable... Critique : David Boriau , auteur de nombreuses séries ado à succès comme Obscurcia ou Holowatch , s'associe à une nouvelle tête des éditions Jungle : Anne-Sophie Doucet , nom d'artiste : Soann . Le trait assez numérique et épuré convient parfaitement pour le public jeune auquel s'adresse cette histoire . Le travail des couleurs est saisissant dans les cases "marines" , il en va de même pour la lumière très présente tout au long du récit . C'est donc une copie très propre au sujet du dessin que nous livre cette jeune artiste autodidacte , très engagée sur des projets graphiques de la ville de Nantes . On comprend aisément qu'une histoire "maritime" emprunt d'un soupçon de fantastique l'ait convaincue de se lancer dans le 9ème art . David Boriau , scénariste chevronné nous propose une chasse au trésor archéologique et dépeint une relation père-fille assez ancrée dans la vie actuelle . En effet les parents sont séparés , et entre les sources d'amusement avec son père , et un certain rappel à l'ordre de sa mère , elle même garde-côte , notre jeune héroïne a bien du mal à trouver ses repères . Tout en posant un regard neuf sur notre société avec un déplacement des rôles d'autorité , ainsi qu'une adolescente aux cheveux courts très androgyne , les auteurs mettent l'accent sur une chose qui ne change pas : la nécessité de dialoguer avec ses parents . En effet , cette quête au "trésor" servira surtout à renouer des liens et se faire confiance ; et la présence de cet être surnaturel , ce fantôme des mers tient certainement lieu d'ami imaginaire que les enfants se créent lorsqu'ils rencontrent des difficultés . Quête identitaire , apprentissage de la vie , n'est ce pas là le chemin qu'empruntent nos enfants ? Une bien belle histoire familiale et d'amitié , qui n'a rien à voir avec la petite sirène 🙂 . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ma-vague/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Kevin Nivek

    La petite amie de Minami

    Réédition d'une histoire sortie en 2011 , cet écueil est pour le moins surprenant . L'auteure dépeint une relation amoureuse entre deux jeunes gens à un détail près , le personnage féminin ne mesure pas plus de 15 cm ! En effet , pour une raison inconnue et qui n'est pas le but du propos , la "petite" amie de Minami , Chiyomi s'est réellement retrouvée petite du jour au lendemain . Nous allons suivre cette vie de couple , pour le moins atypique avec les habitudes du jour bouleversées par toutes les complications que l'on peut imaginer : Confectionner des vêtements , garder à manger aux repas en famille ( on rappelle que Minami vit encore chez ses parents) , trouver des solutions adaptées pour le cycle menstruel , pouvoir la transporter sans la blesser afin de sortir un peu de ces 4 murs , et bien entendu , l'absence de vie sexuelle ! Au final on s'interroge sur la volonté de l'auteure , qu'a t'elle voulu démontrer avec cette histoire ? J'occulte une énième démonstration de toute puissance masculine car Minami est vraiment aux petits soins pour elle , et à aucun moment ne se sent ou n'use de sa supériorité de taille . J'imagine sinon la vision d'un couple avec des différences et l'amour qui s'adapte et résiste . J'avoue sécher un peu sur cette interprétation , à vous de le découvrir avec cette histoire et son trait plutôt "léger" sans trop de détails , laissant la part belle aux expressions des visages .
  12. Titre de l'album : La petite amie de Minami Scenariste de l'album : Shungiku Uchida Dessinateur de l'album : Shungiku Uchida Coloriste : Editeur de l'album : IMHO Note : Résumé de l'album : Que feriez-vous si votre petite amie rapetissait du jour au lendemain atteignant la taille d’une poupée Barbie ? C’est l’incroyable histoire de Minami et sa petite amie Chiyomi. Suite à ce mauvais sort, les deux adolescents voient leur quotidien complètement bouleversé. Minami doit à présent prendre soin de sa copine miniature. Il lui crée des vêtements, lui fabrique une petite maison à sa taille, l’amène aux toilettes et s’occupe de ses mini-repas mais combien de temps cette situation peut-elle durer ? Pas facile non plus pour Chiyomi de devenir un jouet vivant alors qu’elle est en pleine puberté et que ses hormones la titillent ! Critique : Réédition d'une histoire sortie en 2011 , cet écueil est pour le moins surprenant . L'auteure dépeint une relation amoureuse entre deux jeunes gens à un détail près , le personnage féminin ne mesure pas plus de 15 cm ! En effet , pour une raison inconnue et qui n'est pas le but du propos , la "petite" amie de Minami , Chiyomi s'est réellement retrouvée petite du jour au lendemain . Nous allons suivre cette vie de couple , pour le moins atypique avec les habitudes du jour bouleversées par toutes les complications que l'on peut imaginer : Confectionner des vêtements , garder à manger aux repas en famille ( on rappelle que Minami vit encore chez ses parents) , trouver des solutions adaptées pour le cycle menstruel , pouvoir la transporter sans la blesser afin de sortir un peu de ces 4 murs , et bien entendu , l'absence de vie sexuelle ! Au final on s'interroge sur la volonté de l'auteure , qu'a t'elle voulu démontrer avec cette histoire ? J'occulte une énième démonstration de toute puissance masculine car Minami est vraiment aux petits soins pour elle , et à aucun moment ne se sent ou n'use de sa supériorité de taille . J'imagine sinon la vision d'un couple avec des différences et l'amour qui s'adapte et résiste . J'avoue sécher un peu sur cette interprétation , à vous de le découvrir avec cette histoire et son trait plutôt "léger" sans trop de détails , laissant la part belle aux expressions des visages . Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-petite-amie-de-minami-202767/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. C'est beau l'adolescence. Enfin d'un point de vue adulte. Lire Coeur Collège me plonge à chaque dans une nostalgie étrange, remplie de bon moment mais aussi de mauvais souvenir. Une période de la vie ou les meilleures amitiés se forment, mais aussi une période ou le moindre tracas semble insurmontable, car nouveau après une enfance (on l'espère pour tous) innocente. Ce tome 3 nous parle toujours d'amour (car que serait le collège sans histoire d'amour) mais cette fois aussi d'une plongée dans le monde des adultes, via Enjoy et sa nouvelle célébrité. Une évolution importante dans la vie d'une ado ou il est encore plus important d'être bien entouré. Sans jamais chercher à créer du fantastique ou à imaginer un destin hors du commun à ses personnages, Beka nous livre un nouveau tome très humain et très orienté autour du ressenti du collégien et non de l'impression que l'on peut avoir de l'extérieur. Plein de bonnes ondes et d'amitié, cette lecture sera un petit moment de détente pour tout ado qui se respecte.
  14. Titre de l'album : Coeur college t3 : Un chant d'amour Scenariste de l'album : Béka Dessinateur de l'album : Maya Coloriste : Maya Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : « Est-ce que le lien d'amour qui unit les gens peut être vrai, profond, sincère et durable ? » C'est la grande question que se posent Linon et Garance, 11 ans, face à tous les événements amoureux, amicaux ou familiaux qui rythment leur vie... Garance est un peu désespérée : depuis le divorce de ses parents, elle vit chez son père où tout est nul ! À part peut-être ce gentil voisin qui s'acharne à écrire des chansons sur sa guitare mais sans trouver les mots... Linon, toujours blessée par l'attitude passée de Noa, continue d'ignorer ses tentatives pour se faire pardonner. Enjoy, elle, a des problèmes plus sérieux. Elle a refusé de sortir avec Soan et le chef des « Populaires », furieux et vexé, s'est juré de se venger et va organiser le harcèlement en règle de la plus belle fille de l'école. Quant à Adèle, la graffeuse gothique, elle apprend que certaines de ses oeuvres vont être vendues dans une galerie très cotée. Peu habituée au bonheur, elle serait perdue sans le soutien de ses amies. Peut-on croire à l'amour quand la vie nous blesse constamment ? Critique : C'est beau l'adolescence. Enfin d'un point de vue adulte. Lire Coeur Collège me plonge à chaque dans une nostalgie étrange, remplie de bon moment mais aussi de mauvais souvenir. Une période de la vie ou les meilleures amitiés se forment, mais aussi une période ou le moindre tracas semble insurmontable, car nouveau après une enfance (on l'espère pour tous) innocente. Ce tome 3 nous parle toujours d'amour (car que serait le collège sans histoire d'amour) mais cette fois aussi d'une plongée dans le monde des adultes, via Enjoy et sa nouvelle célébrité. Une évolution importante dans la vie d'une ado ou il est encore plus important d'être bien entouré. Sans jamais chercher à créer du fantastique ou à imaginer un destin hors du commun à ses personnages, Beka nous livre un nouveau tome très humain et très orienté autour du ressenti du collégien et non de l'impression que l'on peut avoir de l'extérieur. Plein de bonnes ondes et d'amitié, cette lecture sera un petit moment de détente pour tout ado qui se respecte. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/coeur-college-tome-3-un-chant-d-amour?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Titre de l'album : Filles uniques t3 : Sierra Scenariste de l'album : Béka Dessinateur de l'album : Camille Méhu Coloriste : Camille Méhu Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Dans le Club des mal-barrées, il y en a une qui râle tout le temps et plus fort que les autres. Pour rien. Ou plutôt, pour tout. C'est Sierra. Elle est comme Naruto, remarque Apolline : elle n'arrive pas à maîtriser le démon enfermé en elle. Sierra a de bonnes raisons d'être prisonnière de sa colère. Sa vie n'a pas été rose. Délaissée par une mère qui collectionne les amants, elle a été victime d'un petit copain indélicat qui a profité d'elle. Depuis, Sierra se méfie des hommes. Même Adrien, le nouveau tuteur de Paloma, ne trouve pas grâce à ses yeux. Pourtant, lui aussi a grandi auprès de Liselotte. Et lui aussi a souffert. Les marques sur son corps témoignent d'ailleurs de la violence de son père. La seule différence, c'est que les cicatrices d'Adrien sont bien visibles, alors que celles de Sierra sont enfouies au plus profond d'elle-même... Critique : Troisième tome de nos filles uniques. Cette fois on se concentre sur Sierra, la jeune colérique. On comprend enfin pourquoi Sierra est toujours en colère. Encore une fois, Béka réussi à nous faire bien comprendre les problématiques de notre jeune fille. Si cette fois l'histoire de Sierra et de sa mère est un peu plus tirée par les cheveux que pour nos deux précédentes (enfin, on l'espère) , on retrouve quand même une morale sur la vie, mais surtout sur le fait de tous faire pour prendre son destin en main et ne pas se laisser guider par la vie de ses parents. Une série qui continue de se démarquer des autres séries pour adolescents en cherchant à faire réfléchir le lecteur sur les gens qu'ils croisent et qui n sont pas comme lui. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/filles-uniques-tome-3-sierra?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. poseidon2

    Filles uniques t3 : Sierra

    Troisième tome de nos filles uniques. Cette fois on se concentre sur Sierra, la jeune colérique. On comprend enfin pourquoi Sierra est toujours en colère. Encore une fois, Béka réussi à nous faire bien comprendre les problématiques de notre jeune fille. Si cette fois l'histoire de Sierra et de sa mère est un peu plus tirée par les cheveux que pour nos deux précédentes (enfin, on l'espère) , on retrouve quand même une morale sur la vie, mais surtout sur le fait de tous faire pour prendre son destin en main et ne pas se laisser guider par la vie de ses parents. Une série qui continue de se démarquer des autres séries pour adolescents en cherchant à faire réfléchir le lecteur sur les gens qu'ils croisent et qui n sont pas comme lui.
  17. Titre de l'album : Princesse Sara - Tome 14 - Toutes les aurores du monde Scenariste de l'album : Audrey Alwett Dessinateur de l'album : Nora Moretti Coloriste : Claudia Palescandolo Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Sara et Lavinia sont arrivées au Japon à bord de l'Université volante. Mais l'Ambassadeur croit Sara responsable d'une entourloupe qui met le Japon en danger. Comme réparation, il lui propose un marché. Sara et Lavinia sont contraintes de se jeter à l'eau. Tout ce qu'elles peuvent, c'est compter l'une sur l'autre et se tenir la main... ce qui ne déplaît pas à Lavinia. Pas du tout, même... Critique : Je n'avais jamais ouvert un Princesse Sara jusqu'à présent. Aussi quand l'occasion s'est présentée je n'ai pas été particulièrement emballé. Soyons clair, je ne suis pas vraiment le coeur de cible visé par cette série, et démarrer une série inconnue au tome 14 c'est souvent un bon moyen de passer à côté purement et simplement. Toutefois je dois bien reconnaître que j'ai aimé lire ce tome, et que si l'intrigue ne m'a pas plus emballé que cela, les interactions entre les personnages et surtout la très belle mise en image du duo Moretti - Palescandolo de ce Japon utopique à l'ère des Automates. Certes il ne faut pas être allergique au style manga puisque la dessinatrice y puise une bonne partie de son style, mais lorsque cela est bien fait, et qu'un supplément d'âme y est distillé comme dans ce Princesse Sara, on ne peut qu'apprécier je crois. L'intrigue m'a un peu laissé sur ma faim car si elle est lisible, avec des enjeux clairs et des personnages bien pensés, elle n'avance au final que peu durant ces 48 courtes pages, renforçant d'ailleurs l'impression "manga" au passage 🙂 C'est souvent l'un des défauts de ces séries jeunesse fleuve, parfois un peu trop diluées. Ceci étant dit Princesse Sara est une vraie belle bd pour ado. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/princesse-sara-tome-14?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Je n'avais jamais ouvert un Princesse Sara jusqu'à présent. Aussi quand l'occasion s'est présentée je n'ai pas été particulièrement emballé. Soyons clair, je ne suis pas vraiment le coeur de cible visé par cette série, et démarrer une série inconnue au tome 14 c'est souvent un bon moyen de passer à côté purement et simplement. Toutefois je dois bien reconnaître que j'ai aimé lire ce tome, et que si l'intrigue ne m'a pas plus emballé que cela, les interactions entre les personnages et surtout la très belle mise en image du duo Moretti - Palescandolo de ce Japon utopique à l'ère des Automates. Certes il ne faut pas être allergique au style manga puisque la dessinatrice y puise une bonne partie de son style, mais lorsque cela est bien fait, et qu'un supplément d'âme y est distillé comme dans ce Princesse Sara, on ne peut qu'apprécier je crois. L'intrigue m'a un peu laissé sur ma faim car si elle est lisible, avec des enjeux clairs et des personnages bien pensés, elle n'avance au final que peu durant ces 48 courtes pages, renforçant d'ailleurs l'impression "manga" au passage 🙂 C'est souvent l'un des défauts de ces séries jeunesse fleuve, parfois un peu trop diluées. Ceci étant dit Princesse Sara est une vraie belle bd pour ado.
  19. The_PoP

    Pepper Page sauve l'univers !

    Qu'il est difficile d'expliquer ce qu'on n'a pas apprécié dans une bd, d'autant plus quand cela n'est pas forcément évident tant la qualité globale de celle-ci où le travail des auteur ne saurait être remise en cause objectivement. Ne vous fiez pas nécessairement à ma note assez basse, ce Pepper Page a de belles qualités, et forcément étant très orienté ados je ne suis pas vraiment le public cible. Peut être suis-je un petit peu blasé de ce type d'histoires mais je me suis assez rapidement ennuyé dans ce Pepper Page avec une forte impression de déjà lu doublée d'une difficulté à m'immerger dans le monde proposé. Les enjeux et personnages ne m'ont pas parlé. Dommage car au fond si l'histoire est assez connue désormais du fan de héros qui se retrouve plongé dans la peau ou les aventures de ses idoles, cela aboutit pourtant souvent à des bd mémorables. Las, même le dessin bien léché d'Eric Jones n'aura réussi à me faire tenir jusqu'au bout. D'où ma note. A réserver pour moi aux jeunes ados (peut être même plutôt orientés pour les jeunes filles) qui y trouveront probablement bien plus leur compte que moi.
  20. Titre de l'album : Pepper Page sauve l'univers ! Scenariste de l'album : Landry Q. Walker Dessinateur de l'album : Eric Jones Coloriste : Eric Jones Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : Pepper Page, une jeune orpheline de 15 ans, n'aspire qu'à une chose : s'évader de son quotidien en trouvant refuge dans les bandes dessinées de son héroïne favorite, Supernova. Une expérience scientifique aux résultats inattendus menée par le Professeur Killian, son enseignant en science, va la propulser dans la peau et dans l'univers de sa super-héros fétiche. Accompagnée de Mister McKittens, un chat transporté malencontreusement avec elle dans cet univers fantastique, Pepper va être confrontée à la vie pleine d'action, d'aventure et de mystère d'une vraie héroïne... et comprendre par la même occasion que la réalité est parfois plus étrange que la fiction ! Critique : Qu'il est difficile d'expliquer ce qu'on n'a pas apprécié dans une bd, d'autant plus quand cela n'est pas forcément évident tant la qualité globale de celle-ci où le travail des auteur ne saurait être remise en cause objectivement. Ne vous fiez pas nécessairement à ma note assez basse, ce Pepper Page a de belles qualités, et forcément étant très orienté ados je ne suis pas vraiment le public cible. Peut être suis-je un petit peu blasé de ce type d'histoires mais je me suis assez rapidement ennuyé dans ce Pepper Page avec une forte impression de déjà lu doublée d'une difficulté à m'immerger dans le monde proposé. Les enjeux et personnages ne m'ont pas parlé. Dommage car au fond si l'histoire est assez connue désormais du fan de héros qui se retrouve plongé dans la peau ou les aventures de ses idoles, cela aboutit pourtant souvent à des bd mémorables. Las, même le dessin bien léché d'Eric Jones n'aura réussi à me faire tenir jusqu'au bout. D'où ma note. A réserver pour moi aux jeunes ados (peut être même plutôt orientés pour les jeunes filles) qui y trouveront probablement bien plus leur compte que moi. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/pepper-page-sauve-l-univers?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. poseidon2

    After t1

    Titre de l'album : After t1 Scenariste de l'album : Anna Todd Dessinateur de l'album : Anna Todd Coloriste : Anna Todd Editeur de l'album : Hugo bd Note : Résumé de l'album : Avant lui, elle contrôlait sa vie... Tessa est une fille bien. Son petit ami, un garçon doux et sur qui elle peut compter, l'attend dans sa ville natale. Elle est ambitieuse, volontaire, et a une mère déterminée à la garder dans le droit chemin. Elle vient à peine d'emménager dans sa chambre de première année de fac quand elle rencontre Hardin Scott, les cheveux bruns en bataille, un accent anglais insolent et des tatouages sur tout le corps. Il est beau, sûr de lui et plutôt grossier, voire un peu cruel. Avec son arrogance et ses insultes, Hardin représente tout ce que Tessa devrait haïr, et c'est le cas... jusqu'au moment où son côté taciturne finit par avoir raison d'elle. Ce n'est alors plus qu'une question de temps avant qu'Hardin ne souffle sur les braises d'une passion que Tessa n'avait encore jamais connue. Il va lui dire qu'elle est magnifique, affirmer qu'il n'est pas celui qu'il lui faut à coups de faux prétextes et d'absences injustifiées, encore et encore. Il se détournera d'elle, mais s'accrochera encore plus fort lorsqu'elle voudra aller de l'avant. En dépit de la désinvolture avec laquelle Hardin la traite, Tessa ne peut s'empêcher d'être attirée par sa vulnérabilité et est déterminée à révéler le vrai Hardin sous ce masque de mensonges. Critique : Attention. Cette critique s'adresse aux personnes qui ont moins de 17 ans et plus de 12, et majoritairement aux filles..... Je préfère vous le dire tout de suite, car ce comics, tiré d'une série de romans connus pour avoir été écrit sur smartphone par Anna Todd en 2014, enchaine les clichés de l'histoire d'amour américaine pour jeune fille. Notre histoire parle d'une jeune fille de bonne famille de la campagne qui arrive dans la grande université et qui tombe amoureuse du bad guy pas si bad que ça, car mal dans sa peau, mais qu'elle ne doit pas approcher parce qu'elle a un petit ami frigide qui l'attend dans sa cambrousse. Et elle passe par tous les stades normaux de tourments amoureux... Ce n'est pas mal fait, mais c'est juste super téléphoné… À lire si vous n'aviez pas déjà lu de love story américaine depuis 6 mois Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/after-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. poseidon2

    After t1

    Attention. Cette critique s'adresse aux personnes qui ont moins de 17 ans et plus de 12, et majoritairement aux filles..... Je préfère vous le dire tout de suite, car ce comics, tiré d'une série de romans connus pour avoir été écrit sur smartphone par Anna Todd en 2014, enchaine les clichés de l'histoire d'amour américaine pour jeune fille. Notre histoire parle d'une jeune fille de bonne famille de la campagne qui arrive dans la grande université et qui tombe amoureuse du bad guy pas si bad que ça, car mal dans sa peau, mais qu'elle ne doit pas approcher parce qu'elle a un petit ami frigide qui l'attend dans sa cambrousse. Et elle passe par tous les stades normaux de tourments amoureux... Ce n'est pas mal fait, mais c'est juste super téléphoné… À lire si vous n'aviez pas déjà lu de love story américaine depuis 6 mois
  23. Titre de l'album : Elles - Tome 2 - Universelle(s) Scenariste de l'album : Kid Toussaint Dessinateur de l'album : Aveline Stokart Coloriste : Aveline Stokart Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Les récents chocs psychologiques subis par Elle ont permis à Bleue, sa personnalité la mieux enfouie, de prendre le contrôle total, reléguant Elle dans les limbes de son propre subconscient. Bleue est sociable, enjouée, efficace, douée artistiquement... En fait, Bleue est un peu une synthèse de toutes les personnalités d'Elle. Mais si Bleue est si géniale que cela, alors pourquoi est-ce qu'Elle a passé sa vie à tenter de la retenir prisonnière au fin fond d'elle-même...? Critique : Ne nous cachons pas, ce Elle avait été une véritable claque pour nous l'année dernière. Autant vous dire que ce tome 2 était attendu, et chose rarissime chez moi, mon épouse l'a pris et dévoré avant que j'ai pu y mettre la main dessus. La pagination de ce tome 2 est identique à celle du premier tome, à savoir un petit format de 90 pages. Côté dessin, je tire un très grand coup de chapeau à Aveline Stokart qui nous livre un truc hallucinant. C'est bluffant. Les pages s'animent toutes seules. On en vient donc à ma petite déception perso : j'ai trouvé ce tome un peu "plat" ou plutôt convenu... Peut être est-ce nos attentes qui étaient trop élevées après ce premier tome magistrale, mais que ce soit dans le déroulement ou dans les "révélations" de fin, j'ai trouvé l'ensemble finalement un peu convenu. Alors ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit : cela reste très bien. Mais l'expérience du premier tome n'est pas tout à faire renouvelée pour moi. Ceci étant dit on reste sur de la bd jeunesse de très très haut niveau que je ne peux toujours que vous recommander. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/elles-tome-2-universelle-s?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. The_PoP

    Elles - Tome 2 - Universelle(s)

    Ne nous cachons pas, ce Elle avait été une véritable claque pour nous l'année dernière. Autant vous dire que ce tome 2 était attendu, et chose rarissime chez moi, mon épouse l'a pris et dévoré avant que j'ai pu y mettre la main dessus. La pagination de ce tome 2 est identique à celle du premier tome, à savoir un petit format de 90 pages. Côté dessin, je tire un très grand coup de chapeau à Aveline Stokart qui nous livre un truc hallucinant. C'est bluffant. Les pages s'animent toutes seules. On en vient donc à ma petite déception perso : j'ai trouvé ce tome un peu "plat" ou plutôt convenu... Peut être est-ce nos attentes qui étaient trop élevées après ce premier tome magistrale, mais que ce soit dans le déroulement ou dans les "révélations" de fin, j'ai trouvé l'ensemble finalement un peu convenu. Alors ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit : cela reste très bien. Mais l'expérience du premier tome n'est pas tout à faire renouvelée pour moi. Ceci étant dit on reste sur de la bd jeunesse de très très haut niveau que je ne peux toujours que vous recommander.
  25. poseidon2

    Mes cop's t13 : Seum sur terre

    Le retour de la BD détente à succès chez les jeunes filles : mes cop's. Même ma liseuse de manga fait toujours une pose pour rigoler au dépens de ses cop's. Et pour changer un Cazenove nous propose dans ce tome 13 deux thèmes bien distincts : la superstition et le copain timide. Et les deux donnent des scènes assez rigolotes. La copine superstitieuse se prend dans la tête tous les poncifs du genre remis au gout du jour et le positionnement temporel dans la période d'Halloween avec les filles qui regarde des films d'horreur rend les blagues bien à propos. Suffisamment pour que je m'étonne qu’ils n’aient pas choisit de jouer cette carte en couverture, avec la 31 qui approche. Non en couverture on parle du deuxième thème: le copain de Jess et ce thème la est un poil moins réussit. SI les blagues sur les garçons, encore mal dégrossit à cette âge-là, sont plutôt sympas, on se demande assez rapidement pourquoi Jess sors avec lui en fait. En effet on ne discerne pas vraiment d'amour entre les différentes blagues et c'est dommage. Ca fait de ce pauvre garçon uniquement un souffre-douleur au final. Donc un tome en demi-teinte mais qui a quand même bien fait rire les moins de 15 de la maison (et ils sont nombreux :p)
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