Aller au contenu
  • S’inscrire

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'ado'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Les forums BD
    • Toute la BD
    • Projets participatifs
    • Petites Annonces BD
    • Liens BD vers ailleurs
  • Et si on parlait d'autre chose que la bande dessinée ?
    • Améliorons 1001BD
    • Films et séries TV
    • 1001 Jeux Video
    • Livres - Musique - Spectacles - Théatre - Musées
    • 1001 choses à dire
  • TEAM

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui contiennent…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


  1. Titre de l'album : Quand arrive l'aube nautique - Korean night stories Scenariste de l'album : Samir Dahmani Dessinateur de l'album : Samir Dahmani Coloriste : Samir Dahmani Editeur de l'album : La boite à bulles Note : Résumé de l'album : Depuis leur arrivée à Séoul, quelque chose s'est brisé entre Seong-ji et son amie Ji-won. Elles qui s'étaient jurées de rester unies voient leur relation se désagréger, une fois arrivées en faculté. Aujourd'hui, Seong-ji est étudiante en comptabilité la journée et employée d'épicerie la nuit. Enfin, pas seulement... Pendant ses heures de travail, elle retrouve Mary, une jeune femme énigmatique qui s'introduit chez les gens la nuit durant leur absence... pour peindre et photographier les lieux. De nature rationnelle et rigoureuse, Seong-ji se retrouve projetée dans un univers nouveau. Elle découvre un monde presque onirique, fait de liberté et de création... L'exploration des lieux de vie et de l'intimité d'inconnus permettra finalement à la jeune fille de se découvrir elle-même... Mais ces balades nocturnes favorisent aussi le réveil de souvenirs douloureux et ravivent la douleur liée à la fin de son amitié avec Ji-won. Critique : Passionné d'ambiances nocturnes , Samir Dahmani découvre l'existence de 3 aubes : astronomique , nautique et civile . Il donne à son roman graphique le titre d'aube nautique en référence à cette transition nuit/jour , qui vient en parallèle avec un autre bouleversement , celui de l'adolescence ! Il choisit Séoul pour dépeindre la relation entre deux amies de lycée ,Seong-ji et Ji-won ,dont l'inévitable passage au secondaire et à l'âge adulte , transforme en profondeur .Sont-elles juste copines ? L'inévitable opération esthétique intervenant (très populaire en Corée ) , nous retrouvons ensuite Seong-ji , étudiante et bossant les nuits dans une épicerie en guise de job étudiant . L'ambiance crépusculaire et souvent pluvieuse , prend des allures de polar avec la rencontre d'une curieuse cliente "s'invitant" dans les appartements avoisinants en pleine nuit ! Ajoutez à cela les questions que se pose la jeune femme sur sa relation éloignée et trop rare avec son amie , et vous pouvez entrer de plein fouet dans la nuit de Séoul pour y découvrir le fin mot de l'histoire (ou des histoires) 😉 . Avec son aquarelle , Samir Dahmani se permet le luxe d'allier un dessin "manganisant" avec un trait (et découpage) franco-belge . Les couleurs sont froides comme la nuit . Il n'épargne pas de détails dans les cases , mais les rend secondaires au profit des personnages qui occupent toute la place . Jeux de regards , moues interloquées , rien n'est épargné pour rendre l'atmosphère pesante et mystérieuse . Les dialogues sont concis et d'une grande maitrise narrative . Après son noir et blanc choisi sur sa première oeuvre écrite avec sa femme (coréenne) :Je suis encore là-bas , il change de style pour une aquarelle crépusculaire et onirique réalisée avec brio . A lire pour les ados , et pour les adultes avides de culture coréenne car c'est une société en plein essor , emprise avec le culte de la beauté et encore un peu rigide avec la question homosexuelle . Encore une transition visiblement 🙂 . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/quand-arrive-l-aube-nautique-korean-night-stories/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. La science-fiction est à l'honneur dernièrement aux éditions Auzou après la Bulle, on découvre aujourd'hui Stellaria. Les jeunes adolescents seront comblés par cette aventure et les problématiques rencontrées par les jumelles une fois arrivées sur Stellaria. Les dessins fonctionnent bien avec une touche manga dans la représentations des personnages. La couverture est très représentative des dessins des planches intérieures. Stellaria débute bien une série pour les jeunes et devraient les passionner très vite.
  3. Titre de l'album : Stellaria tome 1 : une nouvelle vie dans les étoiles Scenariste de l'album : Natacha Godeau Dessinateur de l'album : Sara Lozoya Coloriste : Sara Lozoya Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Atalante et Mégara sont des jumelles de 13 ans. Après un an de voyage dans l'espace, elles atterrissent sur Stellaria, la nouvelle planète capable d'accueillir les humains. La Terre devenant de plus en plus polluée, les scientifiques ont dû trouver une planète d'accueil sur laquelle arrivent chaque année de nouveaux migrants. Pour Atalante, ce déménagement est synonyme d'une véritable aventure. Elle va pouvoir réaliser son rêve et s'inscrire à l'Académie des pilotes de vaisseaux ! Mégara est beaucoup plus nostalgique. Parviendront-elles à s'habituer à cette nouvelle vie ? Critique : La science-fiction est à l'honneur dernièrement aux éditions Auzou après la Bulle, on découvre aujourd'hui Stellaria. Les jeunes adolescents seront comblés par cette aventure et les problématiques rencontrées par les jumelles une fois arrivées sur Stellaria. Les dessins fonctionnent bien avec une touche manga dans la représentations des personnages. La couverture est très représentative des dessins des planches intérieures. Stellaria débute bien une série pour les jeunes et devraient les passionner très vite. Autres infos : Edition : Auzou Type de l'album : Livre pour enfants Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/stellaria-t1/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Dans un monde où règne la magie , la jeune Naïs doit passer l'ultime étape de sa formation pour devenir la Petaä , élue du peuple pourvue de pouvoirs magiques . Mais tout ne se déroule pas comme prévu , c'est même un drame se jouant à son réveil , car les membres du village se sont transformés en statues de pierre . Après une fuite marquée par l'incompréhension d'une telle injustice et la culpabilité , notre jeune héroïne va rencontrer de nouveaux compagnons sur sa route et entreprendre une quête de rédemption afin d'anéantir (si possible) cette malédiction . Le scénariste donne pas mal de complexité au récit avec une galerie de personnages assez importante , ainsi qu'un vocabulaire propre à cet univers et de nouvelles coutumes à digérer au fil des pages . Adressé à un lectorat plutôt jeune , cette aventure risque de perdre les "trop jeunes" pour la difficulté de compréhension du récit ; et rebuter les ados avec un dessin plutôt infantile . Des visages ronds , insérés dans des cases vides ou peu chargées . Les décors sont dépourvus de détails et se veulent marqués du sceau de la simplicité . Les couleurs et les effets lumineux relèvent le niveau d'un trait vraiment orienté enfance . C'est peut-être la raison de mes difficultés à entrer réellement dans l'histoire . Le genre d'ouvrage où l'histoire peut sembler tronquée par un dessin manquant d'audace .
  5. Titre de l'album : Naïs - La prophétie des 2 lunes Scenariste de l'album : Nicolas Antona Dessinateur de l'album : Clémentine Pochon Coloriste : Clémentine Pochon Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Un récit initiatique fantastique qui ravira le public jeunesse/ado Naïs, jeune fille impétueuse, va passer son initiation pour devenir la Petaä, l'élue du peuple Kosh. Mais rien ne se passe comme prévu et lors du rite, elle libère un pouvoir inconnu qui la fait s'évanouir. À son réveil, sous le regard d'une alouette rouge, tout son peuple est pétrifié... Naïs, terrifiée et croyant être la cause de ce malheur, va fuir et se réfugier dans la forêt de l'Entre deux-îles. Une longue quête personnelle débute alors pour elle et ses nouveaux compagnons à travers les îles suspendues du monde de Corä. Critique : Dans un monde où règne la magie , la jeune Naïs doit passer l'ultime étape de sa formation pour devenir la Petaä , élue du peuple pourvue de pouvoirs magiques . Mais tout ne se déroule pas comme prévu , c'est même un drame se jouant à son réveil , car les membres du village se sont transformés en statues de pierre . Après une fuite marquée par l'incompréhension d'une telle injustice et la culpabilité , notre jeune héroïne va rencontrer de nouveaux compagnons sur sa route et entreprendre une quête de rédemption afin d'anéantir (si possible) cette malédiction . Le scénariste donne pas mal de complexité au récit avec une galerie de personnages assez importante , ainsi qu'un vocabulaire propre à cet univers et de nouvelles coutumes à digérer au fil des pages . Adressé à un lectorat plutôt jeune , cette aventure risque de perdre les "trop jeunes" pour la difficulté de compréhension du récit ; et rebuter les ados avec un dessin plutôt infantile . Des visages ronds , insérés dans des cases vides ou peu chargées . Les décors sont dépourvus de détails et se veulent marqués du sceau de la simplicité . Les couleurs et les effets lumineux relèvent le niveau d'un trait vraiment orienté enfance . C'est peut-être la raison de mes difficultés à entrer réellement dans l'histoire . Le genre d'ouvrage où l'histoire peut sembler tronquée par un dessin manquant d'audace . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/nais-et-la-prophetie-des-deux-lunes/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Kevin Nivek

    Ma vague

    Titre de l'album : Ma vague Scenariste de l'album : David Boriau Dessinateur de l'album : Soann Coloriste : Soann Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Nellie, 13 ans, vit au bord de la mer. Elle est proche de son père avec qui elle partage une passion pour la plongée et les fouilles archéologiques. Adolescente rebelle, elle souffre d'une grande sensibilité émotionnelle, et a assez peu d'amis de son âge. Lors d'une sortie en mer, alors qu'une tempête fait rage, Nellie fait la rencontre d'un être surnaturel. Se noue une relation magique, parfois incontrôlable... Critique : David Boriau , auteur de nombreuses séries ado à succès comme Obscurcia ou Holowatch , s'associe à une nouvelle tête des éditions Jungle : Anne-Sophie Doucet , nom d'artiste : Soann . Le trait assez numérique et épuré convient parfaitement pour le public jeune auquel s'adresse cette histoire . Le travail des couleurs est saisissant dans les cases "marines" , il en va de même pour la lumière très présente tout au long du récit . C'est donc une copie très propre au sujet du dessin que nous livre cette jeune artiste autodidacte , très engagée sur des projets graphiques de la ville de Nantes . On comprend aisément qu'une histoire "maritime" emprunt d'un soupçon de fantastique l'ait convaincue de se lancer dans le 9ème art . David Boriau , scénariste chevronné nous propose une chasse au trésor archéologique et dépeint une relation père-fille assez ancrée dans la vie actuelle . En effet les parents sont séparés , et entre les sources d'amusement avec son père , et un certain rappel à l'ordre de sa mère , elle même garde-côte , notre jeune héroïne a bien du mal à trouver ses repères . Tout en posant un regard neuf sur notre société avec un déplacement des rôles d'autorité , ainsi qu'une adolescente aux cheveux courts très androgyne , les auteurs mettent l'accent sur une chose qui ne change pas : la nécessité de dialoguer avec ses parents . En effet , cette quête au "trésor" servira surtout à renouer des liens et se faire confiance ; et la présence de cet être surnaturel , ce fantôme des mers tient certainement lieu d'ami imaginaire que les enfants se créent lorsqu'ils rencontrent des difficultés . Quête identitaire , apprentissage de la vie , n'est ce pas là le chemin qu'empruntent nos enfants ? Une bien belle histoire familiale et d'amitié , qui n'a rien à voir avec la petite sirène 🙂 . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ma-vague/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Kevin Nivek

    Ma vague

    David Boriau , auteur de nombreuses séries ado à succès comme Obscurcia ou Holowatch , s'associe à une nouvelle tête des éditions Jungle : Anne-Sophie Doucet , nom d'artiste : Soann . Le trait assez numérique et épuré convient parfaitement pour le public jeune auquel s'adresse cette histoire . Le travail des couleurs est saisissant dans les cases "marines" , il en va de même pour la lumière très présente tout au long du récit . C'est donc une copie très propre au sujet du dessin que nous livre cette jeune artiste autodidacte , très engagée sur des projets graphiques de la ville de Nantes . On comprend aisément qu'une histoire "maritime" emprunt d'un soupçon de fantastique l'ait convaincue de se lancer dans le 9ème art . David Boriau , scénariste chevronné nous propose une chasse au trésor archéologique et dépeint une relation père-fille assez ancrée dans la vie actuelle . En effet les parents sont séparés , et entre les sources d'amusement avec son père , et un certain rappel à l'ordre de sa mère , elle même garde-côte , notre jeune héroïne a bien du mal à trouver ses repères . Tout en posant un regard neuf sur notre société avec un déplacement des rôles d'autorité , ainsi qu'une adolescente aux cheveux courts très androgyne , les auteurs mettent l'accent sur une chose qui ne change pas : la nécessité de dialoguer avec ses parents . En effet , cette quête au "trésor" servira surtout à renouer des liens et se faire confiance ; et la présence de cet être surnaturel , ce fantôme des mers tient certainement lieu d'ami imaginaire que les enfants se créent lorsqu'ils rencontrent des difficultés . Quête identitaire , apprentissage de la vie , n'est ce pas là le chemin qu'empruntent nos enfants ? Une bien belle histoire familiale et d'amitié , qui n'a rien à voir avec la petite sirène 🙂 .
  8. Titre de l'album : Turo - Intégrale - Tomes 1 à 4 Scenariste de l'album : Mateo Guerrero Dessinateur de l'album : Mateo Guerrero Coloriste : Javi Montes Editeur de l'album : Mahô Note : Résumé de l'album : Aussi insouciant qu'à l'accoutumée et comptant sur sa force exceptionnelle pour le protéger du danger, le jeune Turo était parti chasser en forêt afin de nourrir les siens. Prudent, il savait qu'il ne faut guère traîner sur les terres du Grand Dragon par crainte des fantômes. En revanche, comment pouvait-il savoir que ces derniers étaient à la poursuite de mercenaires ayant remué les débris du passé d'un peu trop près et qu'ils lui tomberaient dessus en plein jour...? Bien malgré lui, le voilà embarqué dans le genre d'histoire dont on fait les légendes. Cette intégrale reprend les quatre albums de la série. Critique : J'ai découvert le travail de Mateo Guerrero sur Jakob Kayne et j'avais adoré. Par contre je ne sais pas trop comment mais j'étais passé à côté de Turo lors de sa sortie. Les éditions du Lombard ayant eu la gentillesse de me laisser la possibilité de réparer ce tort, je vous avoue que je me suis jeté sur cette intégrale. Et je me suis régalé. Certes le public cible est probablement un poil plus jeunesse que la fantasy que j'apprécie habituellement, mais ce Turo est décidément plein de qualités. D'abord l'intégrale qui présente les 4 albums sortis, qui proposent une fin, certes ouverte, mais une fin de cycle tout de même. Une intégrale de 4 tomes c'est pile poil le format agréable à lire et suffisamment durable pour contenter le collectionneur aguerri. L'histoire est bien foutue, sur deux époques, avec suffisamment de mystères et de personnages secondaires pour nous intéresser même si elle semble pécher parfois par certaines naïvetés narratives, défauts de jeunesse que l'on pardonne facilement vu le charme de l'ensemble. Cette super aventure d'héroïque Fantasy est en plus servie par le dessin plein de charme de Mateo Guerrero. Certes depuis on peut voir qu'il s'est aguerri, mais le tout relève déjà d'un sacré niveau et nous rend les personnages attachants et le monde comme les créatures qui le peuplent intéressantes. En bref vous l'aurez compris, j'ai savouré ce petit plaisir coupable d'héroïque fantasy qui si elle ne brille pas par son originalité ou son scénario, a pourtant l'immense mérite de réussir son dosage entre action, aventure, et humour pour nous proposer 4 tomes qu'on referme en regrettant qu'un second cycle n'ai pas vu le jour. Merci Le Lombard, merci Mateo. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/integrale-turo?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. The_PoP

    Turo - Intégrale - Tomes 1 à 4

    J'ai découvert le travail de Mateo Guerrero sur Jakob Kayne et j'avais adoré. Par contre je ne sais pas trop comment mais j'étais passé à côté de Turo lors de sa sortie. Les éditions du Lombard ayant eu la gentillesse de me laisser la possibilité de réparer ce tort, je vous avoue que je me suis jeté sur cette intégrale. Et je me suis régalé. Certes le public cible est probablement un poil plus jeunesse que la fantasy que j'apprécie habituellement, mais ce Turo est décidément plein de qualités. D'abord l'intégrale qui présente les 4 albums sortis, qui proposent une fin, certes ouverte, mais une fin de cycle tout de même. Une intégrale de 4 tomes c'est pile poil le format agréable à lire et suffisamment durable pour contenter le collectionneur aguerri. L'histoire est bien foutue, sur deux époques, avec suffisamment de mystères et de personnages secondaires pour nous intéresser même si elle semble pécher parfois par certaines naïvetés narratives, défauts de jeunesse que l'on pardonne facilement vu le charme de l'ensemble. Cette super aventure d'héroïque Fantasy est en plus servie par le dessin plein de charme de Mateo Guerrero. Certes depuis on peut voir qu'il s'est aguerri, mais le tout relève déjà d'un sacré niveau et nous rend les personnages attachants et le monde comme les créatures qui le peuplent intéressantes. En bref vous l'aurez compris, j'ai savouré ce petit plaisir coupable d'héroïque fantasy qui si elle ne brille pas par son originalité ou son scénario, a pourtant l'immense mérite de réussir son dosage entre action, aventure, et humour pour nous proposer 4 tomes qu'on referme en regrettant qu'un second cycle n'ai pas vu le jour. Merci Le Lombard, merci Mateo.
  10. Titre de l'album : Camélia - face à la meute Scenariste de l'album : Christophe Cazenove / Nora Fraisse Dessinateur de l'album : Bloz Coloriste : Bloz Editeur de l'album : Bamboo Note : Résumé de l'album : Une BD émouvante sur un sujet grave : le harcèlement scolaire. Camélia retourne à l'internat après deux mois de vacances. Celle qu'on appelait « Miss Bouboule » au collège est devenue une lycéenne bien dans sa peau. Elle va retrouver son amie Justine et la vie semble lui sourire. Mais c'est sans compter Valentine et sa clique qui vont la prendre en grippe. Et lorsqu'une simple photo est diffusée sur les réseaux sociaux, c'est la spirale du harcèlement qui emporte Camélia. Elle devient le souffre-douleur de tout l'internat... Et pas la peine de compter sur Justine, car son amie a, elle aussi, rejoint le clan des harceleurs. Critique : Voici une BD importante. Une BD à faire lie à tous les ados car cela peut arriver à n'importe qui. Un BD à faire ire aussi parce qu'elle est extrêmement bien faite : elle nous montre bien, via un découpage en période en l'année, à quel point devenir la victime de harcèlement peux arriver à out le monde. En effet notre héroïne à tout pour passer 3 années standards au lycée : une meilleure amie pour la vie, un physique par dérangeant et des parents qui l'adorent. Oui mais voilà. En tombant amoureuse du mauvais garçon, elle se met à dos les mauvaises personnes et là l'engrenage commence. Et c'est qui est frappant en lisant cette BD : c'est bien un engrenage qui est difficile à arrêter. Car des moqueries de couleurs découlent les insultes sur les réseaux sociaux de la classe, la mise au banc des asociaux et les montages photos. Et en un temps au final assez court les amis s'éloignent de peur d'être assimilée à elle et de finir eux aussi rejetés. Et cela même si on est une "meilleure amie". La plongée en enfer parait malheureusement trop 'naturelle' et fait froid dans le dos. Quand on a une ado à la maison on s'imagine facilement qu'il peut lui arriver la même chose. Et pour éviter cela le plus possible.... on lui fait lire ce Camilla. Pour éviter qu'elle soit harcelée mais aussi et surtout pour éviter qu'elle ne fasse partie d'une meute de suiveur un jour. Je reprocherais juste à cette BD le dessin qui aurait peut gagner à être plus dur. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/camelia-face-a-la-meute?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. poseidon2

    Camélia - face à la meute

    Voici une BD importante. Une BD à faire lie à tous les ados car cela peut arriver à n'importe qui. Un BD à faire ire aussi parce qu'elle est extrêmement bien faite : elle nous montre bien, via un découpage en période en l'année, à quel point devenir la victime de harcèlement peux arriver à out le monde. En effet notre héroïne à tout pour passer 3 années standards au lycée : une meilleure amie pour la vie, un physique par dérangeant et des parents qui l'adorent. Oui mais voilà. En tombant amoureuse du mauvais garçon, elle se met à dos les mauvaises personnes et là l'engrenage commence. Et c'est qui est frappant en lisant cette BD : c'est bien un engrenage qui est difficile à arrêter. Car des moqueries de couleurs découlent les insultes sur les réseaux sociaux de la classe, la mise au banc des asociaux et les montages photos. Et en un temps au final assez court les amis s'éloignent de peur d'être assimilée à elle et de finir eux aussi rejetés. Et cela même si on est une "meilleure amie". La plongée en enfer parait malheureusement trop 'naturelle' et fait froid dans le dos. Quand on a une ado à la maison on s'imagine facilement qu'il peut lui arriver la même chose. Et pour éviter cela le plus possible.... on lui fait lire ce Camilla. Pour éviter qu'elle soit harcelée mais aussi et surtout pour éviter qu'elle ne fasse partie d'une meute de suiveur un jour. Je reprocherais juste à cette BD le dessin qui aurait peut gagner à être plus dur.
  12. The_PoP

    Les chimères de Vénus - Tome 1

    C'est peu dire que j'attendais ce spin-off du Chateau des étoiles au tournant. Rendez-vous compte, la série mère commence à ronronner un petit peu, et voici que Rue de Sèvres nous propose un spin-off, avec un autre duo de scénariste/dessinateur aux manettes et sans l'immense Alex Alice. Inquiétant donc. Après enquête, quand le nom d'Alain Ayroles est sorti, la surprise a été de taille, c'est un scénariste et un conteur de l'imaginaire que j'adore depuis son fabuleux De cape et de crocs. Récemment il avait d'ailleurs démontré une fois de plus sa maestria des récits d'aventures sur le tonitruant Indes Fourbes. Restait la touche graphique, et je vous avoue que le nom d'Etienne Jung m'était complètement inconnu. A priori d'ailleurs je n'étais clairement pas emballé par le dessin, le trait, le travail à la gouache.... C'était compliqué comme transition vu l'adoration que je porte au graphisme d'Alex Alice. C'est donc fort de ces attentes et de ces doutes que je me suis lancé à l'assaut de ce premier tome de ce nouveau triptyque prenant place dans l'univers déjà bien établi du Château des étoiles. ... Point de suspens : je l'ai dévoré. Une claque. J'ai replongé direct en enfance/adolescence quand j'ai commencé à lire Jules Vernes, L'île au trésor, Alexandre Dumas. L'aventure, la vraie, la belle, celle qui fait voyager les coeurs, les âmes et qui nous ouvre les portes de l'imaginaire. Celle qui prend immédiatement corps sous les traits de plume virtuose des dialogues et situations d'Alain Ayroles. Quel génie ! En un album il m'a fait oublier les griefs que je pouvais avoir sur cette série. Quand au travail d'Etienne Jung, si d'un point de vue critique je préfèrerais toujours la technique d'Alex Alice, nul besoin de faire la fine bouche pour autant, c'est extraordinaire. Extraordinaire car le dessin est au diapason du récit tout simplement. En lisant le dossier de presse, on se rend compte qu'Alain Ayroles n'a pas du tout débarqué de nulle part, puisqu'il conseillait déjà amicalement Alex Alice sur le Château des étoiles. Etienne Jung non plus puisqu'ils ont été choisis par Alex Alice pour reprendre le flambeau sur ce spin-off ! Ce qui explique probablement à quel point ils se sont immergés dans cet univers pour le prolonger, en l'adaptant, en l'améliorant même parfois, mais surtout en l'interprétant sans jamais le dénaturer. Alors juste merci, merci aux auteurs, merci aux éditeurs, je me suis régalé. Certains y trouveront probablement à redire, mais quand on vous sert une madeleine de proust, il faut simplement fermer les yeux, humer et savourer d'y croquer dedans à pleine dents. Encore !
  13. Titre de l'album : Les chimères de Vénus - Tome 1 Scenariste de l'album : Alain Ayrolles Dessinateur de l'album : Etienne Jung Coloriste : Etienne Jung Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : 1873, les vaisseaux des puissances terrestres s’élancent dans l’éther pour conquérir les planètes du système solaire. L’actrice Hélène Martin débarque sur Vénus, monde sauvage couvert de brume, à la recherche de son fiancé, un poète évadé des bagnes de Napoléon III. Poursuivie par l’inquiétant duc de Chouvigny, entraînée dans la rivalité des empires, Hélène s’aventurera à travers des jungles infestées de dinosaures et sur des océans déchaînés jusqu’aux confins de l’astre, où se dressent les vestiges d’une mystérieuse civilisation. Critique : C'est peu dire que j'attendais ce spin-off du Chateau des étoiles au tournant. Rendez-vous compte, la série mère commence à ronronner un petit peu, et voici que Rue de Sèvres nous propose un spin-off, avec un autre duo de scénariste/dessinateur aux manettes et sans l'immense Alex Alice. Inquiétant donc. Après enquête, quand le nom d'Alain Ayroles est sorti, la surprise a été de taille, c'est un scénariste et un conteur de l'imaginaire que j'adore depuis son fabuleux De cape et de crocs. Récemment il avait d'ailleurs démontré une fois de plus sa maestria des récits d'aventures sur le tonitruant Indes Fourbes. Restait la touche graphique, et je vous avoue que le nom d'Etienne Jung m'était complètement inconnu. A priori d'ailleurs je n'étais clairement pas emballé par le dessin, le trait, le travail à la gouache.... C'était compliqué comme transition vu l'adoration que je porte au graphisme d'Alex Alice. C'est donc fort de ces attentes et de ces doutes que je me suis lancé à l'assaut de ce premier tome de ce nouveau triptyque prenant place dans l'univers déjà bien établi du Château des étoiles. ... Point de suspens : je l'ai dévoré. Une claque. J'ai replongé direct en enfance/adolescence quand j'ai commencé à lire Jules Vernes, L'île au trésor, Alexandre Dumas. L'aventure, la vraie, la belle, celle qui fait voyager les coeurs, les âmes et qui nous ouvre les portes de l'imaginaire. Celle qui prend immédiatement corps sous les traits de plume virtuose des dialogues et situations d'Alain Ayroles. Quel génie ! En un album il m'a fait oublier les griefs que je pouvais avoir sur cette série. Quand au travail d'Etienne Jung, si d'un point de vue critique je préfèrerais toujours la technique d'Alex Alice, nul besoin de faire la fine bouche pour autant, c'est extraordinaire. Extraordinaire car le dessin est au diapason du récit tout simplement. En lisant le dossier de presse, on se rend compte qu'Alain Ayroles n'a pas du tout débarqué de nulle part, puisqu'il conseillait déjà amicalement Alex Alice sur le Château des étoiles. Etienne Jung non plus puisqu'ils ont été choisis par Alex Alice pour reprendre le flambeau sur ce spin-off ! Ce qui explique probablement à quel point ils se sont immergés dans cet univers pour le prolonger, en l'adaptant, en l'améliorant même parfois, mais surtout en l'interprétant sans jamais le dénaturer. Alors juste merci, merci aux auteurs, merci aux éditeurs, je me suis régalé. Certains y trouveront probablement à redire, mais quand on vous sert une madeleine de proust, il faut simplement fermer les yeux, humer et savourer d'y croquer dedans à pleine dents. Encore ! Autres infos : Quand Jules Vernes croise Cyrano... Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-chimeres-de-venus-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Titre de l'album : Le château des étoiles - tome 6 - L'exposition interplanétaire de 1875 Scenariste de l'album : Alex Alice Dessinateur de l'album : Alex Alice Coloriste : Alex Alice Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : Après avoir visité la Lune et Mars, Les Chevaliers de l’Ether semblent tristement cloués au sol depuis l’échec de leur tentative visant à convaincre l’Empereur Napoléon III de secourir les Martiaux. Le jeune Séraphin a été jeté en prison, et la Princesse de Mars est détenue pour être exhibée lors de l’Exposition Interplanétaire qui doit s’ouvrir à Paris, le 25 avril 1875 en présence de leurs Majestés les Empereurs de France et d’Allemagne. Afin de pousser les dirigeants du monde à dénoncer les crimes commis par la Prusse sur Mars, nos héros vont donc devoir libérer la princesse, ou tout au moins ses fabuleux pouvoirs mentaux. Et ainsi, au nom de la concorde entre les peuples, Hans, Sophie et Séraphin, aidés de Loïc, du capitaine Schneidig et de la journaliste Jocaste Daumier n’ont plus le choix : ils doivent braquer l’Exposition ! Mais à quel prix ? Critique : Ne me demandez pas d'âtre impartial avec ce chateau des étoiles. C'est impossible pour moi tant c'est en BD ce que j'ai tant aimé lire adolescent en livre. De l'Aventure, du rêve, de l'exploration, et de la poséie à chaque page, véritable tendresse d'Alex Alice pour ses personnages, secondaires comme principaux, jamais caricaturaux, toujours fins et porteurs d'émotions humaines magnifiquement retranscrites. Si à cela vous ajoutez des graphismes éthérées, des visages d'une rare expressivité, et des paysages à couper le souffle, ça commence à être dur de faire la fine bouche quand même... Niveau scénario on se retrouve avec une véritable fin de cycle, ouvrant autant de nouvelles portes qu'elle n'en ferme, et nous donnant des perspectives d'infini tant dans le recoupement à venir avec les chimères de Vénus que dans les possibilités d'évolution de l'histoire. Du grand Art qui j'espère ne se perdra pas dans cet océan de possible. Mais avec M. Ayrolles au scénario et M. Alice qui continue de contribuer à son oeuvre qui serait véritablement inquiet ? Pour ceux qui veulent replonger dans l'imaginaire de l'enfance à portée des adultes, venez rire, sourire, espérer, pleurer parfois mais surtout voyager et prendre des risques avec ces chevaliers de l'Ether, de moins en moins enfants au fil de la route les menant vers l'infini et l'âge adulte. Cet article dithyrambique au possible ne masquera pas une chose qui m'apparait désormais comme évidente : je crois que malgré les Blacksad, les Elecboy, les Spioru, cette BD était bien celle que j'attendais le plus de cette fin d'année. Oui, oui. Bravo et chapeau bas l'artiste ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-chateau-des-etoiles-tome-6?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Ne me demandez pas d'âtre impartial avec ce chateau des étoiles. C'est impossible pour moi tant c'est en BD ce que j'ai tant aimé lire adolescent en livre. De l'Aventure, du rêve, de l'exploration, et de la poséie à chaque page, véritable tendresse d'Alex Alice pour ses personnages, secondaires comme principaux, jamais caricaturaux, toujours fins et porteurs d'émotions humaines magnifiquement retranscrites. Si à cela vous ajoutez des graphismes éthérées, des visages d'une rare expressivité, et des paysages à couper le souffle, ça commence à être dur de faire la fine bouche quand même... Niveau scénario on se retrouve avec une véritable fin de cycle, ouvrant autant de nouvelles portes qu'elle n'en ferme, et nous donnant des perspectives d'infini tant dans le recoupement à venir avec les chimères de Vénus que dans les possibilités d'évolution de l'histoire. Du grand Art qui j'espère ne se perdra pas dans cet océan de possible. Mais avec M. Ayrolles au scénario et M. Alice qui continue de contribuer à son oeuvre qui serait véritablement inquiet ? Pour ceux qui veulent replonger dans l'imaginaire de l'enfance à portée des adultes, venez rire, sourire, espérer, pleurer parfois mais surtout voyager et prendre des risques avec ces chevaliers de l'Ether, de moins en moins enfants au fil de la route les menant vers l'infini et l'âge adulte. Cet article dithyrambique au possible ne masquera pas une chose qui m'apparait désormais comme évidente : je crois que malgré les Blacksad, les Elecboy, les Spioru, cette BD était bien celle que j'attendais le plus de cette fin d'année. Oui, oui. Bravo et chapeau bas l'artiste !
  16. Kevin Nivek

    La petite amie de Minami

    Réédition d'une histoire sortie en 2011 , cet écueil est pour le moins surprenant . L'auteure dépeint une relation amoureuse entre deux jeunes gens à un détail près , le personnage féminin ne mesure pas plus de 15 cm ! En effet , pour une raison inconnue et qui n'est pas le but du propos , la "petite" amie de Minami , Chiyomi s'est réellement retrouvée petite du jour au lendemain . Nous allons suivre cette vie de couple , pour le moins atypique avec les habitudes du jour bouleversées par toutes les complications que l'on peut imaginer : Confectionner des vêtements , garder à manger aux repas en famille ( on rappelle que Minami vit encore chez ses parents) , trouver des solutions adaptées pour le cycle menstruel , pouvoir la transporter sans la blesser afin de sortir un peu de ces 4 murs , et bien entendu , l'absence de vie sexuelle ! Au final on s'interroge sur la volonté de l'auteure , qu'a t'elle voulu démontrer avec cette histoire ? J'occulte une énième démonstration de toute puissance masculine car Minami est vraiment aux petits soins pour elle , et à aucun moment ne se sent ou n'use de sa supériorité de taille . J'imagine sinon la vision d'un couple avec des différences et l'amour qui s'adapte et résiste . J'avoue sécher un peu sur cette interprétation , à vous de le découvrir avec cette histoire et son trait plutôt "léger" sans trop de détails , laissant la part belle aux expressions des visages .
  17. Titre de l'album : La petite amie de Minami Scenariste de l'album : Shungiku Uchida Dessinateur de l'album : Shungiku Uchida Coloriste : Editeur de l'album : IMHO Note : Résumé de l'album : Que feriez-vous si votre petite amie rapetissait du jour au lendemain atteignant la taille d’une poupée Barbie ? C’est l’incroyable histoire de Minami et sa petite amie Chiyomi. Suite à ce mauvais sort, les deux adolescents voient leur quotidien complètement bouleversé. Minami doit à présent prendre soin de sa copine miniature. Il lui crée des vêtements, lui fabrique une petite maison à sa taille, l’amène aux toilettes et s’occupe de ses mini-repas mais combien de temps cette situation peut-elle durer ? Pas facile non plus pour Chiyomi de devenir un jouet vivant alors qu’elle est en pleine puberté et que ses hormones la titillent ! Critique : Réédition d'une histoire sortie en 2011 , cet écueil est pour le moins surprenant . L'auteure dépeint une relation amoureuse entre deux jeunes gens à un détail près , le personnage féminin ne mesure pas plus de 15 cm ! En effet , pour une raison inconnue et qui n'est pas le but du propos , la "petite" amie de Minami , Chiyomi s'est réellement retrouvée petite du jour au lendemain . Nous allons suivre cette vie de couple , pour le moins atypique avec les habitudes du jour bouleversées par toutes les complications que l'on peut imaginer : Confectionner des vêtements , garder à manger aux repas en famille ( on rappelle que Minami vit encore chez ses parents) , trouver des solutions adaptées pour le cycle menstruel , pouvoir la transporter sans la blesser afin de sortir un peu de ces 4 murs , et bien entendu , l'absence de vie sexuelle ! Au final on s'interroge sur la volonté de l'auteure , qu'a t'elle voulu démontrer avec cette histoire ? J'occulte une énième démonstration de toute puissance masculine car Minami est vraiment aux petits soins pour elle , et à aucun moment ne se sent ou n'use de sa supériorité de taille . J'imagine sinon la vision d'un couple avec des différences et l'amour qui s'adapte et résiste . J'avoue sécher un peu sur cette interprétation , à vous de le découvrir avec cette histoire et son trait plutôt "léger" sans trop de détails , laissant la part belle aux expressions des visages . Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-petite-amie-de-minami-202767/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Titre de l'album : Coeur college t3 : Un chant d'amour Scenariste de l'album : Béka Dessinateur de l'album : Maya Coloriste : Maya Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : « Est-ce que le lien d'amour qui unit les gens peut être vrai, profond, sincère et durable ? » C'est la grande question que se posent Linon et Garance, 11 ans, face à tous les événements amoureux, amicaux ou familiaux qui rythment leur vie... Garance est un peu désespérée : depuis le divorce de ses parents, elle vit chez son père où tout est nul ! À part peut-être ce gentil voisin qui s'acharne à écrire des chansons sur sa guitare mais sans trouver les mots... Linon, toujours blessée par l'attitude passée de Noa, continue d'ignorer ses tentatives pour se faire pardonner. Enjoy, elle, a des problèmes plus sérieux. Elle a refusé de sortir avec Soan et le chef des « Populaires », furieux et vexé, s'est juré de se venger et va organiser le harcèlement en règle de la plus belle fille de l'école. Quant à Adèle, la graffeuse gothique, elle apprend que certaines de ses oeuvres vont être vendues dans une galerie très cotée. Peu habituée au bonheur, elle serait perdue sans le soutien de ses amies. Peut-on croire à l'amour quand la vie nous blesse constamment ? Critique : C'est beau l'adolescence. Enfin d'un point de vue adulte. Lire Coeur Collège me plonge à chaque dans une nostalgie étrange, remplie de bon moment mais aussi de mauvais souvenir. Une période de la vie ou les meilleures amitiés se forment, mais aussi une période ou le moindre tracas semble insurmontable, car nouveau après une enfance (on l'espère pour tous) innocente. Ce tome 3 nous parle toujours d'amour (car que serait le collège sans histoire d'amour) mais cette fois aussi d'une plongée dans le monde des adultes, via Enjoy et sa nouvelle célébrité. Une évolution importante dans la vie d'une ado ou il est encore plus important d'être bien entouré. Sans jamais chercher à créer du fantastique ou à imaginer un destin hors du commun à ses personnages, Beka nous livre un nouveau tome très humain et très orienté autour du ressenti du collégien et non de l'impression que l'on peut avoir de l'extérieur. Plein de bonnes ondes et d'amitié, cette lecture sera un petit moment de détente pour tout ado qui se respecte. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/coeur-college-tome-3-un-chant-d-amour?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. C'est beau l'adolescence. Enfin d'un point de vue adulte. Lire Coeur Collège me plonge à chaque dans une nostalgie étrange, remplie de bon moment mais aussi de mauvais souvenir. Une période de la vie ou les meilleures amitiés se forment, mais aussi une période ou le moindre tracas semble insurmontable, car nouveau après une enfance (on l'espère pour tous) innocente. Ce tome 3 nous parle toujours d'amour (car que serait le collège sans histoire d'amour) mais cette fois aussi d'une plongée dans le monde des adultes, via Enjoy et sa nouvelle célébrité. Une évolution importante dans la vie d'une ado ou il est encore plus important d'être bien entouré. Sans jamais chercher à créer du fantastique ou à imaginer un destin hors du commun à ses personnages, Beka nous livre un nouveau tome très humain et très orienté autour du ressenti du collégien et non de l'impression que l'on peut avoir de l'extérieur. Plein de bonnes ondes et d'amitié, cette lecture sera un petit moment de détente pour tout ado qui se respecte.
  20. Titre de l'album : Filles uniques t3 : Sierra Scenariste de l'album : Béka Dessinateur de l'album : Camille Méhu Coloriste : Camille Méhu Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Dans le Club des mal-barrées, il y en a une qui râle tout le temps et plus fort que les autres. Pour rien. Ou plutôt, pour tout. C'est Sierra. Elle est comme Naruto, remarque Apolline : elle n'arrive pas à maîtriser le démon enfermé en elle. Sierra a de bonnes raisons d'être prisonnière de sa colère. Sa vie n'a pas été rose. Délaissée par une mère qui collectionne les amants, elle a été victime d'un petit copain indélicat qui a profité d'elle. Depuis, Sierra se méfie des hommes. Même Adrien, le nouveau tuteur de Paloma, ne trouve pas grâce à ses yeux. Pourtant, lui aussi a grandi auprès de Liselotte. Et lui aussi a souffert. Les marques sur son corps témoignent d'ailleurs de la violence de son père. La seule différence, c'est que les cicatrices d'Adrien sont bien visibles, alors que celles de Sierra sont enfouies au plus profond d'elle-même... Critique : Troisième tome de nos filles uniques. Cette fois on se concentre sur Sierra, la jeune colérique. On comprend enfin pourquoi Sierra est toujours en colère. Encore une fois, Béka réussi à nous faire bien comprendre les problématiques de notre jeune fille. Si cette fois l'histoire de Sierra et de sa mère est un peu plus tirée par les cheveux que pour nos deux précédentes (enfin, on l'espère) , on retrouve quand même une morale sur la vie, mais surtout sur le fait de tous faire pour prendre son destin en main et ne pas se laisser guider par la vie de ses parents. Une série qui continue de se démarquer des autres séries pour adolescents en cherchant à faire réfléchir le lecteur sur les gens qu'ils croisent et qui n sont pas comme lui. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/filles-uniques-tome-3-sierra?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. poseidon2

    Filles uniques t3 : Sierra

    Troisième tome de nos filles uniques. Cette fois on se concentre sur Sierra, la jeune colérique. On comprend enfin pourquoi Sierra est toujours en colère. Encore une fois, Béka réussi à nous faire bien comprendre les problématiques de notre jeune fille. Si cette fois l'histoire de Sierra et de sa mère est un peu plus tirée par les cheveux que pour nos deux précédentes (enfin, on l'espère) , on retrouve quand même une morale sur la vie, mais surtout sur le fait de tous faire pour prendre son destin en main et ne pas se laisser guider par la vie de ses parents. Une série qui continue de se démarquer des autres séries pour adolescents en cherchant à faire réfléchir le lecteur sur les gens qu'ils croisent et qui n sont pas comme lui.
  22. Titre de l'album : Princesse Sara - Tome 14 - Toutes les aurores du monde Scenariste de l'album : Audrey Alwett Dessinateur de l'album : Nora Moretti Coloriste : Claudia Palescandolo Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Sara et Lavinia sont arrivées au Japon à bord de l'Université volante. Mais l'Ambassadeur croit Sara responsable d'une entourloupe qui met le Japon en danger. Comme réparation, il lui propose un marché. Sara et Lavinia sont contraintes de se jeter à l'eau. Tout ce qu'elles peuvent, c'est compter l'une sur l'autre et se tenir la main... ce qui ne déplaît pas à Lavinia. Pas du tout, même... Critique : Je n'avais jamais ouvert un Princesse Sara jusqu'à présent. Aussi quand l'occasion s'est présentée je n'ai pas été particulièrement emballé. Soyons clair, je ne suis pas vraiment le coeur de cible visé par cette série, et démarrer une série inconnue au tome 14 c'est souvent un bon moyen de passer à côté purement et simplement. Toutefois je dois bien reconnaître que j'ai aimé lire ce tome, et que si l'intrigue ne m'a pas plus emballé que cela, les interactions entre les personnages et surtout la très belle mise en image du duo Moretti - Palescandolo de ce Japon utopique à l'ère des Automates. Certes il ne faut pas être allergique au style manga puisque la dessinatrice y puise une bonne partie de son style, mais lorsque cela est bien fait, et qu'un supplément d'âme y est distillé comme dans ce Princesse Sara, on ne peut qu'apprécier je crois. L'intrigue m'a un peu laissé sur ma faim car si elle est lisible, avec des enjeux clairs et des personnages bien pensés, elle n'avance au final que peu durant ces 48 courtes pages, renforçant d'ailleurs l'impression "manga" au passage 🙂 C'est souvent l'un des défauts de ces séries jeunesse fleuve, parfois un peu trop diluées. Ceci étant dit Princesse Sara est une vraie belle bd pour ado. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/princesse-sara-tome-14?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Je n'avais jamais ouvert un Princesse Sara jusqu'à présent. Aussi quand l'occasion s'est présentée je n'ai pas été particulièrement emballé. Soyons clair, je ne suis pas vraiment le coeur de cible visé par cette série, et démarrer une série inconnue au tome 14 c'est souvent un bon moyen de passer à côté purement et simplement. Toutefois je dois bien reconnaître que j'ai aimé lire ce tome, et que si l'intrigue ne m'a pas plus emballé que cela, les interactions entre les personnages et surtout la très belle mise en image du duo Moretti - Palescandolo de ce Japon utopique à l'ère des Automates. Certes il ne faut pas être allergique au style manga puisque la dessinatrice y puise une bonne partie de son style, mais lorsque cela est bien fait, et qu'un supplément d'âme y est distillé comme dans ce Princesse Sara, on ne peut qu'apprécier je crois. L'intrigue m'a un peu laissé sur ma faim car si elle est lisible, avec des enjeux clairs et des personnages bien pensés, elle n'avance au final que peu durant ces 48 courtes pages, renforçant d'ailleurs l'impression "manga" au passage 🙂 C'est souvent l'un des défauts de ces séries jeunesse fleuve, parfois un peu trop diluées. Ceci étant dit Princesse Sara est une vraie belle bd pour ado.
  24. Titre de l'album : Pepper Page sauve l'univers ! Scenariste de l'album : Landry Q. Walker Dessinateur de l'album : Eric Jones Coloriste : Eric Jones Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : Pepper Page, une jeune orpheline de 15 ans, n'aspire qu'à une chose : s'évader de son quotidien en trouvant refuge dans les bandes dessinées de son héroïne favorite, Supernova. Une expérience scientifique aux résultats inattendus menée par le Professeur Killian, son enseignant en science, va la propulser dans la peau et dans l'univers de sa super-héros fétiche. Accompagnée de Mister McKittens, un chat transporté malencontreusement avec elle dans cet univers fantastique, Pepper va être confrontée à la vie pleine d'action, d'aventure et de mystère d'une vraie héroïne... et comprendre par la même occasion que la réalité est parfois plus étrange que la fiction ! Critique : Qu'il est difficile d'expliquer ce qu'on n'a pas apprécié dans une bd, d'autant plus quand cela n'est pas forcément évident tant la qualité globale de celle-ci où le travail des auteur ne saurait être remise en cause objectivement. Ne vous fiez pas nécessairement à ma note assez basse, ce Pepper Page a de belles qualités, et forcément étant très orienté ados je ne suis pas vraiment le public cible. Peut être suis-je un petit peu blasé de ce type d'histoires mais je me suis assez rapidement ennuyé dans ce Pepper Page avec une forte impression de déjà lu doublée d'une difficulté à m'immerger dans le monde proposé. Les enjeux et personnages ne m'ont pas parlé. Dommage car au fond si l'histoire est assez connue désormais du fan de héros qui se retrouve plongé dans la peau ou les aventures de ses idoles, cela aboutit pourtant souvent à des bd mémorables. Las, même le dessin bien léché d'Eric Jones n'aura réussi à me faire tenir jusqu'au bout. D'où ma note. A réserver pour moi aux jeunes ados (peut être même plutôt orientés pour les jeunes filles) qui y trouveront probablement bien plus leur compte que moi. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/pepper-page-sauve-l-univers?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. The_PoP

    Pepper Page sauve l'univers !

    Qu'il est difficile d'expliquer ce qu'on n'a pas apprécié dans une bd, d'autant plus quand cela n'est pas forcément évident tant la qualité globale de celle-ci où le travail des auteur ne saurait être remise en cause objectivement. Ne vous fiez pas nécessairement à ma note assez basse, ce Pepper Page a de belles qualités, et forcément étant très orienté ados je ne suis pas vraiment le public cible. Peut être suis-je un petit peu blasé de ce type d'histoires mais je me suis assez rapidement ennuyé dans ce Pepper Page avec une forte impression de déjà lu doublée d'une difficulté à m'immerger dans le monde proposé. Les enjeux et personnages ne m'ont pas parlé. Dommage car au fond si l'histoire est assez connue désormais du fan de héros qui se retrouve plongé dans la peau ou les aventures de ses idoles, cela aboutit pourtant souvent à des bd mémorables. Las, même le dessin bien léché d'Eric Jones n'aura réussi à me faire tenir jusqu'au bout. D'où ma note. A réserver pour moi aux jeunes ados (peut être même plutôt orientés pour les jeunes filles) qui y trouveront probablement bien plus leur compte que moi.
×
×
  • Créer...