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Randolph Carter - Tome 2 - Par delà les portes d'ivoire et de corne
The_PoP a posté un sujet dans Toute la BD
Titre de l'album : Randolph Carter - Tome 2 - Par delà les portes d'ivoire et de corne Scenariste de l'album : Simon Treins Dessinateur de l'album : Jovan Ukropina Coloriste : Stéphane Paitreau Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Poursuivant son expédition dans le désert de Syrie, Randolf Carter cherche Kadath l'inconnue, la ville sans nom. D'étranges phénomènes déciment ses compagnons. Quelque part à l'Est quelque chose l'attend, l'appelle et rêve. Quelque chose ayant un rapport avec ce qu'avait trouvé son ancêtre au temps des croisades. Les aventures de l'alter ego de Lovecraft se poursuivent au milieu des démons et des merveilles de l'Orient. Critique : Et voici déjà le second tome de ce Randolph Carter cher aux amateurs de l'univers de H.P Lovecraft. Il s'agit bien de la fin de ce diptyque, et que cela soit dit, c'est une fin en forme de transition un brin brutale avec l'univers de H.P Lovecraft. Si vous connaissez déjà le personnage de Randolph Carter cela ira très bien, mais si vous ne le connaissiez pas avant de lire ces deux tomes et que vous avez aimé ce que vous avez lu, et bien... Il ne vous restera plus qu'à continuer vos lectures par d'autres biais sur l'univers d'H.P Lovecraft puisque vous laisserez notre héros aux portes d'une nouvelle aventure sans rien avoir résolu à la fin de ce diptyque. Une fois cela dit, on a affaire a une bd d'aventure/fantastique bien ficelée, même si certaines cases manquent parfois un peu de détails à mon goût, notamment sur les visages de certains personnages. Le rythme est bon, les mystères s'enchainent, l'angoisse monte, on est bien sur les fondamentaux du genre. Cela plaira aux amateurs sans nul doute, même si on est loin de la virtuose graphique des adaptations de l'univers par Gou Tanabe. Autres infos : D'après l'Oeuvre de H.P. Lovecraft Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/randolph-carter-tome-2-par-dela-les-portes-d-ivoire-et-de-corne/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement -
Et voici déjà le second tome de ce Randolph Carter cher aux amateurs de l'univers de H.P Lovecraft. Il s'agit bien de la fin de ce diptyque, et que cela soit dit, c'est une fin en forme de transition un brin brutale avec l'univers de H.P Lovecraft. Si vous connaissez déjà le personnage de Randolph Carter cela ira très bien, mais si vous ne le connaissiez pas avant de lire ces deux tomes et que vous avez aimé ce que vous avez lu, et bien... Il ne vous restera plus qu'à continuer vos lectures par d'autres biais sur l'univers d'H.P Lovecraft puisque vous laisserez notre héros aux portes d'une nouvelle aventure sans rien avoir résolu à la fin de ce diptyque. Une fois cela dit, on a affaire a une bd d'aventure/fantastique bien ficelée, même si certaines cases manquent parfois un peu de détails à mon goût, notamment sur les visages de certains personnages. Le rythme est bon, les mystères s'enchainent, l'angoisse monte, on est bien sur les fondamentaux du genre. Cela plaira aux amateurs sans nul doute, même si on est loin de la virtuose graphique des adaptations de l'univers par Gou Tanabe.
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Titre de l'album : Helck tome 7 Scenariste de l'album : Nanaki Nanao Dessinateur de l'album : Nanaki Nanao Coloriste : Editeur de l'album : Doki-Doki Note : Résumé de l'album : Un mystérieux héros qui dit vouloir exterminer tous ses semblables ?! Attention, voici l'incroyable Helck ! "Tout ira bien", rassura la démone. Pendant que la guerre entre les humains et les démons s'intensifie, voici qu'à leur tour, Vermilio et Helck doivent faire face aux guerriers ailés. Helck semble déterminé à se battre contre ses anciens congénères. Alors qu'il s'apprête à frapper, Vermilio intervient... Critique : Bon alors, je me dois de m'excuser ! J'ai répété à plusieurs reprises que Helck finissait en 8 tomes alors qu'en fait cela finit en 12 ! Je ne sais pas trop ce qui m'a pris… mais c'est une excellente nouvelle, car, encore une fois, ce tome est excellent. Il remet Helck au centre de l'histoire, mais il nous livre surtout une surprise qui montre que notre auteur n'a pas peur de passer par des sacrifices pour faire évoluer son histoire. ET c'est une excellente chose. On a trop de série qui, pour ne pas déplaire, ne veulent jamais faire de mal à leurs personnages principaux mais qui rend les combats moins authentiques, sachant que personne ne va en souffrir. Bref ici pas de pitié. C'est dure, mais émouvant et rend les méchants encore plus méchants ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/helck-tome-7?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Bon alors, je me dois de m'excuser ! J'ai répété à plusieurs reprises que Helck finissait en 8 tomes alors qu'en fait cela finit en 12 ! Je ne sais pas trop ce qui m'a pris… mais c'est une excellente nouvelle, car, encore une fois, ce tome est excellent. Il remet Helck au centre de l'histoire, mais il nous livre surtout une surprise qui montre que notre auteur n'a pas peur de passer par des sacrifices pour faire évoluer son histoire. ET c'est une excellente chose. On a trop de série qui, pour ne pas déplaire, ne veulent jamais faire de mal à leurs personnages principaux mais qui rend les combats moins authentiques, sachant que personne ne va en souffrir. Bref ici pas de pitié. C'est dure, mais émouvant et rend les méchants encore plus méchants !
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Etrange que cette lecture. J'ai la sensation d'avoir lu une histoire sympathique, mais je ne suis pas certain que le sens profond du récit m'ai bien plus plus inspiré que cela. Attention je ne dis pas que cette bd n'est pas de qualité, on sent le travail important réalisé par l'auteur, mais le message ne m'a pas intéressé plus que cela, peut être trop simpliste ou caricatural en apparence, alors même que le graphisme est plutôt fin et doux. Les teintes choisies et la colorisation sont plutôt chouettes et mettent bien en valeur les décors et l'univers. C'est au final une jolie fable, qu'on lit avec plaisir, mais qui ne va pas me marquer durablement, dommage.
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Titre de l'album : Aux soirs de grande ardeur Scenariste de l'album : Nicolas Puzenat Dessinateur de l'album : Nicolas Puzenat Coloriste : Nicolas Puzenat Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Un été, voilà quelques milliers d'années. Les humains ont toujours été nomades, mais les vastes forêts se parsèment peu à peu des premières cités. Manakor est servante dans un de ces nouveaux mondes, la cité de Miril. Elle brûle pour son maître, le cuisinier Kaal, homme sanguin, qui n'a pas un regard pour elle. Comment le séduire, comment gagner son coeur ? Pendant qu'elle concocte d'étranges philtres d'amour, des fumées noires s'élèvent au loin. Simples brûlis que font les tribus nomades ou premiers signes d'un grand bouleversement à venir ? Critique : Etrange que cette lecture. J'ai la sensation d'avoir lu une histoire sympathique, mais je ne suis pas certain que le sens profond du récit m'ai bien plus plus inspiré que cela. Attention je ne dis pas que cette bd n'est pas de qualité, on sent le travail important réalisé par l'auteur, mais le message ne m'a pas intéressé plus que cela, peut être trop simpliste ou caricatural en apparence, alors même que le graphisme est plutôt fin et doux. Les teintes choisies et la colorisation sont plutôt chouettes et mettent bien en valeur les décors et l'univers. C'est au final une jolie fable, qu'on lit avec plaisir, mais qui ne va pas me marquer durablement, dommage. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/aux-soirs-de-grande-ardeur/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Le château des étoiles - tome 7 - Planète des brumes Scenariste de l'album : Alex Alice Dessinateur de l'album : Alex Alice Coloriste : Alex Alice Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : En route pour Vénus à la recherche d'une mystérieuse structure extraterrestre, Séraphin et ses amis s'écrasent au coeur d'un continent inexploré. Perdus dans une jungle hostile, ils devront compter sur des alliés inattendus pour franchir la barrière de l'inconnu, affronter de nouvelles menaces, d'anciens ennemis, et découvrir enfin les secrets de la planète des brumes... Critique : Il fallait bien que cela arrive un jour. Je pense que l'ensemble des 6 premiers tomes fut un coup de coeur pour moi, y compris d'ailleurs les 2 tomes du spin off sur vénus. Alex Alice est pour moi parmi ce qui se fait de mieux en bd depuis vingt ans. Pourtant je vous avoue que j'ai eu une pointe de déception pour cet album au niveau graphique. Alors attention hein, je dis bien juste une pointe, cela reste très beau, n'en doutez point. Mais j'ai trouvé parfois un petit manque de détails, quelques visages moins expressifs et empathiques que d'habitude. C'est suffisamment rare chez Alex Alice pour que cela m'ai surpris. Les paysages et décors restent superbes, et les couleurs toujours aussi belles. Notez aussi que c'est terriblement subjectif, peut être que j'ai été influencé par un état d'esprit moins positif au moment de ma lecture, ou par la profusion de superbes sorties récentes. Je ne sais pas trop vous dire, mais le fait est que je me suis senti moins immergé dans son dessin, une fois n'est pas coutume. Par contre niveau scénario on reste sur du très bon, dans la lignée des tomes précédents, de l'aventure, un brin d'humour, des personnages bien pensés, des rebondissements et cette extraordinaire capacité à nous créer du merveilleux sous les yeux. Tout simplement enchanteur. A noter qu'une fois encore la couverture est sublime. Bref pour les amateurs de la série foncez quand même sur ce tome, il n'y a pas d'équivalent à ma connaissance sur ce genre là, et pour les autres, et bien commencez par le tome 1 🙂 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-chateau-des-etoiles-tome-7-planete-des-brumes?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Un putain de salopard - Tome 4 - Le rituel Scenariste de l'album : Régis Loisel Dessinateur de l'album : Olivier Pont Coloriste : François Lapierre Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : Herman, mourant, met la main sur le manchot et le contraint à le mener à l'épave de l'avion où repose la dépouille de sa fille. De leur côté, Max et Baïa, accompagnés par Régo, se mettent à la recherche de ce dernier pour obtenir la vérité autour de leurs origines qu'il est le seul à détenir. Tous vont se retrouver réunis au coeur de la jungle pour une ultime confrontation. Critique : Et voici le cadeau de noël idéal ! Super conclusion à cette remarquable série dessinée par Olivier Pont et scénarisée par Régis Loisel, cette série en 4 tomes offre tout ce qu'on aime en bd : du dépaysement assuré avec cette amazonie reculée où la civilisation n'est pas encore tout à fait là, des dessins somptueux et chaleureux, mettant à l'honneur les personnages, et un scénario bien mené qui n'est peut être pas le plus original jamais lu, mais qui tient le rythme et le choc jusqu'à la fin, nous poussant à toujours tourner une page de plus. Un régal du début à la fin avec 4 tomes tous excellents. J'ai apprécié passer du temps avec ces personnages, les petites pointes d'humour étant judicieusement distribuées. Il y a en plus parfois une belle humanité malgré ces salopards là... A noter également que la colorisation de François Lapierre met merveilleusement bien en valeur les dessins et les décors imaginés par Olivier Pont et Régis Loisel Je ne peux que vous recommander chaudement de vous lancer dans "Un putain de salopard", parce que vous ne pouvez pas le regretter. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/un-putain-de-salopard-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Les fesses à Bardot Scenariste de l'album : Philippe Pelaez Dessinateur de l'album : Gael Séjourné Coloriste : Gael Séjourné Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : Une photo censurée et un village en émoi. Trougnac est un petit village paisible rythmé par les conversations au Café des Sports, les messes dominicales et les séances de cinéma à l'Eden, juste à côté de l'église. Rien d'extraordinaire ne s'y produit jamais. Jusqu'au jour où un inconnu, Conrad Knapp, s'y arrête. L'homme est un repéreur de décors chargé de trouver le village qui servira de cadre au prochain film de Brigitte Bardot et de Jean Gabin. Et pour preuve, il a en sa possession une photo de la scène censurée du film d'Autant-Lara, En cas de malheur, où la célèbre actrice montre ses fesses. Les habitants vont alors l'héberger, le nourrir, le choyer et tout mettre en oeuvre pour le convaincre de choisir leur village. Critique : Ah que j'aime cette atmosphère, de campagne, de Gabin, Fernandel et Bardot, de petits escrocs, de jolis dialogues et quelques oeillades un brin polissonnes. C'est un bel hommage à ce cinéma qui m'a beaucoup fait rêver grâce à mon papa. Forcément le lecteur de bd franco belge moyen n'étant plus tout jeune, je ne suis pas le seul à qui cela va parler... Alors attention ce n'est pas au niveau de truculence des vieux fourneaux hein, mais entre le dessin plutôt léché de Gael Séjourné, les références aux classiques du cinéma français et le côté franchouillard plaisant, on passe un vrai bon moment. Bon le héros reste un peu fade à mon goût mais qu'importe, les seconds rôles relève le niveau sans soucis. A lire si vous avez envie d'un brin de nostalgie, de quelques rires, et de nappes à carreaux. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-fesses-a-bardot/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Ah que j'aime cette atmosphère, de campagne, de Gabin, Fernandel et Bardot, de petits escrocs, de jolis dialogues et quelques oeillades un brin polissonnes. C'est un bel hommage à ce cinéma qui m'a beaucoup fait rêver grâce à mon papa. Forcément le lecteur de bd franco belge moyen n'étant plus tout jeune, je ne suis pas le seul à qui cela va parler... Alors attention ce n'est pas au niveau de truculence des vieux fourneaux hein, mais entre le dessin plutôt léché de Gael Séjourné, les références aux classiques du cinéma français et le côté franchouillard plaisant, on passe un vrai bon moment. Bon le héros reste un peu fade à mon goût mais qu'importe, les seconds rôles relève le niveau sans soucis. A lire si vous avez envie d'un brin de nostalgie, de quelques rires, et de nappes à carreaux.
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Titre de l'album : Astra Saga - Tome 3 - La terre des géants Scenariste de l'album : Philippe Ogaki Dessinateur de l'album : Philippe Ogaki & Arturo Perez Orts Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : L'or des Ases a été activé et a percé une faille dans la réalité, créant un passage direct entre le Valhalla et le Jutunheim. Les Fils des Anciens tentent à tout prix de récupérer cet artefact antique à la puissance infinie pour l'offrir à leur maître, Loki. Tandis que la guerre fait rage, la flotte impériale et les grandes maisons peinent à maintenir la cohésion des provinces. Critique : Allez parce que mieux vaut tard que jamais, voici ma chronique sur cette série sf de Philippe Ogaki. Sf ambitieuse car elle reprend les mythes nordiques et asgardiens dans le même temps. Au delà de couvertures toujours somptueuses, on est ici dans un véritable space opéra, avec combat galactiques, coup de blaster et quelques pouvoirs bien sentis. Il y en a pour tout le monde, et si je vous avoue que pour n'avoir pas relu les deux tomes précédents, j'ai été un peu baladé par le scénario, il reste qu'on ne s'ennuie pas deux secondes et que le nouvel univers pensé par Philippe Ogaki est passionnant à découvrir. Graphiquement, ceux qui comme moi sont un peu blasés des mangas, devraient quand même s'y retrouver car il y a vraiment des planches de toute beauté, servies par une colorisation éclatante. Hâte de lire la suite ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/astra-saga-tome-3-la-terre-des-geants/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Dans la collection " Un homme, une aventure", voici donc le troisième volume du maître italien Toppi ! Après L'homme du Nil et L'homme du Mexique, l'éditeur grenoblois Mosquito publie L'homme des marais, une histoire de rédemption dans l'immense Floride des jeunes Etats-Unis. Cette réédition en noir et blanc démontre une nouvelle fois tout le talent de l'artiste italien mort en 2012. Son trait réaliste nous offre des visages et des costumes dans une précision photographique, puis le style graphique devient organique pour dépeindre les paysages et autres arrières-plans. Le noir et blanc fait la part belle aux protagonistes et délaisse un peu le décorum poisseux et humide de ces régions marécageuses. On y suit donc Whitemann métis engagé dans l'armée américaine afin d'isoler toujours un peu plus les tributs indiennes. On assiste à toutes les tactiques mises en place pour les éliminer ou les déloger. Les thématiques comme le racisme, l'histoire et le droit du sol sont abordées à travers les échanges entre Whitemann et ses collègues militaires, mais aussi avec les indiens qu'il va rencontrer suite à une bataille. J'ignorais pour ma part la présence d'amérindiens dans cette partie du pays, ce fut donc très intéressant de découvrir ce pan de l'histoire et une fois de plus cette capacité qu'ont les "américains" à étendre leur territoire quitte à chasser les natifs déjà là bien avant eux ! Suivre le chemin cathartique de Whitemann dans cet enfer suffoquant devient passionnant et il est difficile de lâcher le livre sans l'avoir fini ! Une fin un peu trop brutale comme souvent avec Sergio Toppi, mais une belle histoire !
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Titre de l'album : L'homme des marais Scenariste de l'album : Sergio Toppi Dessinateur de l'album : Sergio Toppi Coloriste : Editeur de l'album : Mosquito Note : Résumé de l'album : Dans les marais des Everglades en Floride, l'armée américaine traque les rebelles indiens Séminoles. Whitemann, un sous-officier métis, va soudain comprendre qu'il s'est trompé de camp... Critique : Dans la collection " Un homme, une aventure", voici donc le troisième volume du maître italien Toppi ! Après L'homme du Nil et L'homme du Mexique, l'éditeur grenoblois Mosquito publie L'homme des marais, une histoire de rédemption dans l'immense Floride des jeunes Etats-Unis. Cette réédition en noir et blanc démontre une nouvelle fois tout le talent de l'artiste italien mort en 2012. Son trait réaliste nous offre des visages et des costumes dans une précision photographique, puis le style graphique devient organique pour dépeindre les paysages et autres arrières-plans. Le noir et blanc fait la part belle aux protagonistes et délaisse un peu le décorum poisseux et humide de ces régions marécageuses. On y suit donc Whitemann métis engagé dans l'armée américaine afin d'isoler toujours un peu plus les tributs indiennes. On assiste à toutes les tactiques mises en place pour les éliminer ou les déloger. Les thématiques comme le racisme, l'histoire et le droit du sol sont abordées à travers les échanges entre Whitemann et ses collègues militaires, mais aussi avec les indiens qu'il va rencontrer suite à une bataille. J'ignorais pour ma part la présence d'amérindiens dans cette partie du pays, ce fut donc très intéressant de découvrir ce pan de l'histoire et une fois de plus cette capacité qu'ont les "américains" à étendre leur territoire quitte à chasser les natifs déjà là bien avant eux ! Suivre le chemin cathartique de Whitemann dans cet enfer suffoquant devient passionnant et il est difficile de lâcher le livre sans l'avoir fini ! Une fin un peu trop brutale comme souvent avec Sergio Toppi, mais une belle histoire ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-homme-des-marais/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Le royaume d’Ehas est en guerre depuis de nombreuses années, chaque famille doit envoyer un de ses enfants pour aider le pays. C’est ainsi que Pollyanna, fille ainée d’une famille de basse noblesse se retrouve à s’entrainer pour s’enrôler le jour de ses 14 ans. Son père espère bien qu’elle disparaitra au combat laissant ainsi la place d’héritière à sa seconde fille issue de son deuxième mariage. Mais Pollyanna ne compte pas s’apitoyer sur son sort et parvient à prendre du galon. Hélas, un troisième pays, Acréa, profite de ce conflit pour étendre son territoire. Le récit va s’articuler autour de deux personnages : Pollyanna qui prend en main son destin dès le plus jeune âge et qui va prendre les décisions nécessaires à sa survie. Elle va montrer des aptitudes au combat mais surtout ses connaissances en stratégies vont la mettre en avant. Ensuite il y a le roi d’Acréa, Luxos, récemment monté sur le trône qui veut étendre son royaume pour en faire un empire, il est également très intelligent et sait reconnaitre la valeur des gens même si ce sont ses ennemis. Il va donner une chance à Pollyanna qu’elle va saisir. Le 1er tome s’articule surtout autour de notre héroïne, on découvre son passé mais aussi ses conditions de vie dans l’armée où elle semble bien être la seule femme soldat. Si l’ensemble scénario + graphisme est plutôt classique sans être exceptionnel, on apprécie d’avoir un personnage féminin fort qui va se démarquer grâce à des compétences généralement réservées aux hommes. Elle avance sans se reposer une seule seconde sur ses atouts féminins. On a un début de série prometteur mais on aurait quand même aimé un peu plus de finesse et de détails dans les dessins.
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Titre de l'album : L'armure et la couronne tome 1 Scenariste de l'album : Team IYAK Dessinateur de l'album : Team IYAK Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - KBooks Note : Résumé de l'album : Pour assurer le maintien de l'armée, la nation d'Ehas qui est en guerre constante, impose à chaque noble d'envoyer l'un de ses fils à la guerre. Le chef de la famille Crenbell a décidé d'envoyer Pollyanna, grimée en garçon. Forte d'une éducation guerrière, elle se retrouve au combat le jour de ses 14 ans. Dans le même temps, Lucius s'apprête à monter sur le trône et prendre la tête des troupes. Critique : Le royaume d’Ehas est en guerre depuis de nombreuses années, chaque famille doit envoyer un de ses enfants pour aider le pays. C’est ainsi que Pollyanna, fille ainée d’une famille de basse noblesse se retrouve à s’entrainer pour s’enrôler le jour de ses 14 ans. Son père espère bien qu’elle disparaitra au combat laissant ainsi la place d’héritière à sa seconde fille issue de son deuxième mariage. Mais Pollyanna ne compte pas s’apitoyer sur son sort et parvient à prendre du galon. Hélas, un troisième pays, Acréa, profite de ce conflit pour étendre son territoire. Le récit va s’articuler autour de deux personnages : Pollyanna qui prend en main son destin dès le plus jeune âge et qui va prendre les décisions nécessaires à sa survie. Elle va montrer des aptitudes au combat mais surtout ses connaissances en stratégies vont la mettre en avant. Ensuite il y a le roi d’Acréa, Luxos, récemment monté sur le trône qui veut étendre son royaume pour en faire un empire, il est également très intelligent et sait reconnaitre la valeur des gens même si ce sont ses ennemis. Il va donner une chance à Pollyanna qu’elle va saisir. Le 1er tome s’articule surtout autour de notre héroïne, on découvre son passé mais aussi ses conditions de vie dans l’armée où elle semble bien être la seule femme soldat. Si l’ensemble scénario + graphisme est plutôt classique sans être exceptionnel, on apprécie d’avoir un personnage féminin fort qui va se démarquer grâce à des compétences généralement réservées aux hommes. Elle avance sans se reposer une seule seconde sur ses atouts féminins. On a un début de série prometteur mais on aurait quand même aimé un peu plus de finesse et de détails dans les dessins. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-armure-et-la-couronne-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : La dernière nuit d'Anne Bonny Scenariste de l'album : Claire Richard Dessinateur de l'album : Alvaro/Alvi Ramirez Coloriste : Alvaro/Alvi Ramirez Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Depuis la maison close qu'elle gère d'une main de fer, Anne Bonny, ancienne pirate des mers du Sud, revient sur sa vie aventureuse... avant que la Mort ne la rattrape. Née bâtarde et pauvre en Irlande, la petite Anne était destinée à garder les vaches. C'était sans compter son courage, et un petit coup de pouce du destin. De l'Irlande au Nouveau Monde, des champs aux bateaux pirates, Anne Bonny défiera toutes les conventions et les autorités, à la poursuite de la liberté... et de l'amour, avec le pirate Jack Rackham. Une épopée pirate au féminin portée par un puissant souffle romanesque ! Critique : Ce joli roman graphique par son format est très proche de la bd. Une fois ceci dit on est sur un ouvrage sur la pirate Anne Bonny presque documentaire, par la rigueur de son approche historique. Basé sur un podcast d'Arte, les auteurs vont nous dérouler l'histoire d'Anne Bonny, d'après les témoignages et traces historiques que l'on a retrouvé d'elle, mais aussi en remplissant les vides par une partie romancée, mais plausible. Les dessins d'Alvaro/Alvi Ramirez sont très fluide, et laissent beaucoup de place au propos, et si je regrette certains visages un peu légers, l'ensemble se lit avec un véritable plaisir. Je recommande cet ouvrage à tous les amoureux de la véritable histoire de la piraterie... Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-derniere-nuit-d-anne-bonny?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Allez parce que mieux vaut tard que jamais, voici ma chronique sur cette série sf de Philippe Ogaki. Sf ambitieuse car elle reprend les mythes nordiques et asgardiens dans le même temps. Au delà de couvertures toujours somptueuses, on est ici dans un véritable space opéra, avec combat galactiques, coup de blaster et quelques pouvoirs bien sentis. Il y en a pour tout le monde, et si je vous avoue que pour n'avoir pas relu les deux tomes précédents, j'ai été un peu baladé par le scénario, il reste qu'on ne s'ennuie pas deux secondes et que le nouvel univers pensé par Philippe Ogaki est passionnant à découvrir. Graphiquement, ceux qui comme moi sont un peu blasés des mangas, devraient quand même s'y retrouver car il y a vraiment des planches de toute beauté, servies par une colorisation éclatante. Hâte de lire la suite !
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Et voici le cadeau de noël idéal ! Super conclusion à cette remarquable série dessinée par Olivier Pont et scénarisée par Régis Loisel, cette série en 4 tomes offre tout ce qu'on aime en bd : du dépaysement assuré avec cette amazonie reculée où la civilisation n'est pas encore tout à fait là, des dessins somptueux et chaleureux, mettant à l'honneur les personnages, et un scénario bien mené qui n'est peut être pas le plus original jamais lu, mais qui tient le rythme et le choc jusqu'à la fin, nous poussant à toujours tourner une page de plus. Un régal du début à la fin avec 4 tomes tous excellents. J'ai apprécié passer du temps avec ces personnages, les petites pointes d'humour étant judicieusement distribuées. Il y a en plus parfois une belle humanité malgré ces salopards là... A noter également que la colorisation de François Lapierre met merveilleusement bien en valeur les dessins et les décors imaginés par Olivier Pont et Régis Loisel Je ne peux que vous recommander chaudement de vous lancer dans "Un putain de salopard", parce que vous ne pouvez pas le regretter.
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Titre de l'album : Les aigles de Rome - Tome VII Scenariste de l'album : Enrico Marini Dessinateur de l'album : Enrico Marini Coloriste : Enrico Marini Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Sous le règne de Tiberius, Romains et Germains continuent à se livrer une guerre dévastatrice. Marcus, toujours à la recherche de son fils retenu en otage chez les barbares, s’engage dans les troupes romaines dirigées par Germanicus et n’a plus qu’une obsession : se venger de celui qu’il considérait autrefois comme son frère et qui lui a pris ce qu’il avait de plus cher. Arminius quant à lui, poursuit ses ambitions de royauté. Mais ces dernières seront-elles compatibles avec une vie de famille ? Thuenslda pourrait bien, en effet, mettre au monde son héritier. Pour la première fois, c’est Arminius qui risque de tout perdre….Loin de chez lui et au combat, saura-t-il protéger les siens des foudres de ceux qu’il a trahis ? Dans ce septième volet d’une saga palpitante se déroulant sous l’Empire romain, Marini signe un scénario plein de rebondissements avec, en prime, des scènes de combats grandioses. Critique : Et bien voilà qui est bon ! Car si je suis un grand adorateur du travail et de l'univers de Marini, sa série les Aigles de rome me laissait une impression mitigée, la faute à un scénario qui peinait à me passionner depuis 2-3 tomes, hors là avec ce tome VII Enrico Marini tire le profit de tout ce qu'il a mis en place précédemment. Les enjeux montent d'un cran, la maturité des personnages aussi, on rentre dans le peplum sérieux, et cela fonctionne à 200% pour moi. C'est l'un de mes albums préféré de cette fin d'année, et l'idée que le tome 8 soit déjà en cours m'enchante. Si vous aimez les gladiateurs et les courses de char, c'est pour vous, même si vous n'en verrez pas 🙂 Les aigles de Rome est en train de s'installer pour moi comme l'une des références du genre, et ce tome 7 m'a juste donné envie de relire l'ensemble de la série, ce qui n'est jamais mauvais signe soyons clair. Je ne mets pas au panthéon de mes bd préférées tout ce que fait Marini car même si j'adore son dessin et son univers, je dois admettre que certains de ses scénarios sont plus faciles que d'autres, ou tirent trop sur l'hommage et le plaisir de la nostalgie d'une certaine époque que vers l'histoire qui va marquer un lecteur. Alors quand l'un de ses scénarios prend de l'ampleur, du sérieux et de la dramaturgie et que c'est toujours servi par son dessin que j'adore, comment ne pas foncer ? Pourquoi bouderait-on son plaisir ? En plus vous savez quoi ? Je crois que j'aime bien quand même quand une bonne série dure un peu plus de 3-4 tomes. Cela devient un vrai plaisir coupable et c'est encore mieux si l'intrigue est conçue pour durer aussi longtemps, là j'adore. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-aigles-de-rome-tome-7/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Et bien voilà qui est bon ! Car si je suis un grand adorateur du travail et de l'univers de Marini, sa série les Aigles de rome me laissait une impression mitigée, la faute à un scénario qui peinait à me passionner depuis 2-3 tomes, hors là avec ce tome VII Enrico Marini tire le profit de tout ce qu'il a mis en place précédemment. Les enjeux montent d'un cran, la maturité des personnages aussi, on rentre dans le peplum sérieux, et cela fonctionne à 200% pour moi. C'est l'un de mes albums préféré de cette fin d'année, et l'idée que le tome 8 soit déjà en cours m'enchante. Si vous aimez les gladiateurs et les courses de char, c'est pour vous, même si vous n'en verrez pas 🙂 Les aigles de Rome est en train de s'installer pour moi comme l'une des références du genre, et ce tome 7 m'a juste donné envie de relire l'ensemble de la série, ce qui n'est jamais mauvais signe soyons clair. Je ne mets pas au panthéon de mes bd préférées tout ce que fait Marini car même si j'adore son dessin et son univers, je dois admettre que certains de ses scénarios sont plus faciles que d'autres, ou tirent trop sur l'hommage et le plaisir de la nostalgie d'une certaine époque que vers l'histoire qui va marquer un lecteur. Alors quand l'un de ses scénarios prend de l'ampleur, du sérieux et de la dramaturgie et que c'est toujours servi par son dessin que j'adore, comment ne pas foncer ? Pourquoi bouderait-on son plaisir ? En plus vous savez quoi ? Je crois que j'aime bien quand même quand une bonne série dure un peu plus de 3-4 tomes. Cela devient un vrai plaisir coupable et c'est encore mieux si l'intrigue est conçue pour durer aussi longtemps, là j'adore.
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Titre de l'album : L'appel de la forêt Scenariste de l'album : Maxe L'Hermenier Dessinateur de l'album : Thomas Labourot Coloriste : Thomas Labourot Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Enlevé à la douceur de son foyer, Buck est vendu comme chien de traîneau et prend la direction du Grand Nord. Là-bas, il est confronté à la cruauté et à la brutalité humaine. La vie de chien d’attelage est rude, et Buck subit un apprentissage impitoyable. La faim, le froid, les combats de chiens, les milliers de kilomètres parcourus sur les pistes réveillent en lui des instincts primaires venus du fond des âges. Mais alors qu’un nouveau maître fait de lui son compagnon le plus fidèle, Buck se sent de plus en plus attiré par l’appel de la forêt… Critique : On ne compte plus les adaptations des écrits de Jack London, films, séries tv, BD, en voici une qui rendra un bel hommage au romancier aventurier parti bien trop tôt rejoindre le grand nord éternel à 40 ans. Rompu aux joutes de cet exercice, Maxe L'Hermenier ayant déjà réalisé pour l'éditeur Jungle L'île du crâne et le Magicien d'Oz, réalise donc le scénario de L'appel de la forêt. Une aventure canine, celle d'un saint-bernard enlevé à ses maîtres californiens pour être vendu dans les étals boueux de Seattle au plus offrant. L'Alaska l'attend avec d'autres chiens de traineaux et de multiples rencontres qui façonneront sa vision du monde. Buck parle comme les autres chiens, dans des bulles aux couleurs différentes de celles des humains. Ce parti pris rend la lecture passionnante et renforce l'empathie envers ce colosse à poils. Sa corpulence sera son meilleur atout, liée à un sens d'adaptation important, cela l'aidera à traverser de nombreuses épreuves toutes plus difficiles que les autres. Dans les immensités enneigées, il va répondre à ce fameux appel de la forêt pour prendre son envol et ne plus vivre sous la domination des hommes. Une formidable allégorie sur l'apprentissage de la vie et le respect de la nature environnante. Pour illustrer cette aventure, Thomas Labourot réalise des planches soignées, d'un trait semi-réaliste précis et détaillé. Les personnages sont facilement reconnaissables, il en va de même pour les canidés qui semblent plus humains que certains véritables hommes. La dureté de cette vie est palpable, le vent est très bien illustré, voulant parfois sortir des pages pour venir vous chatouiller les narines 😉 . Les paysages enneigés sont parfaitement réalisés, le talent du dessinateur n'est plus à prouver ! Si vous aimez les écrits de Jack London, je ne peux que vous recommander cette lecture qui ravira aussi bien les petits que les grands. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-appel-de-la-foret-9782822244527/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Les noces des lucioles tome 1 Scenariste de l'album : Oreco Tachibana Dessinateur de l'album : Oreco Tachibana Coloriste : Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Assassin creepy cuteEn pleine ère Meiji, Satoko Kirigaya n'a qu'un seul souhait : se marier pour l'honneur de sa famille et ce, même si ses jours sont comptés. Mais alors qu'un assassin tente de la tuer, elle lui propose de l'épouser ! Une proposition qui pourrait bien se retourner contre elle.. Critique : Avec sa couverture faisant penser Aux noces de Lala et son histoire de jeune fille de bonne famille, ayant une demi-sœur rivale, le tout dans un contexte de mariage arrangé faisant penser à My happy marriage, les noces des lucioles ne semble pas beaucoup se démarquer de prime abord. C’est sans compter le personnage masculin principal « the male lead » comme on dit souvent. Ce dernier est un assassin embauché par la belle-mère afin de supprimer la concurrence pour le bien-être de sa fille (pimbêche de surcroit). Un assassin qui accepte de passer un marché avec notre héroïne moyennant un mariage et un amour. En dehors du fait que ce soit un assassin remarquable, qui cherche à connaitre l’amour et qui est loin d’être moche, elle n’est pas trop mal tombée, enfin presque ! Car elle se retrouve sur une île dédiée aux plaisirs dont le seul moyen de partir est d’acheter sa liberté. Il lui faut à présent devenir la plus grande courtisane ! Soyons honnête, la situation est improbable même pour une époque vaguement historique ! Heureusement, il s’agit de fiction et le plus important c’est l’attrait du récit. De ce côté on a des personnages intéressants, travaillés, avec de forts caractères qui sont assez intrigants pour susciter l’intérêt. A suivre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-noces-des-lucioles-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Avec sa couverture faisant penser Aux noces de Lala et son histoire de jeune fille de bonne famille, ayant une demi-sœur rivale, le tout dans un contexte de mariage arrangé faisant penser à My happy marriage, les noces des lucioles ne semble pas beaucoup se démarquer de prime abord. C’est sans compter le personnage masculin principal « the male lead » comme on dit souvent. Ce dernier est un assassin embauché par la belle-mère afin de supprimer la concurrence pour le bien-être de sa fille (pimbêche de surcroit). Un assassin qui accepte de passer un marché avec notre héroïne moyennant un mariage et un amour. En dehors du fait que ce soit un assassin remarquable, qui cherche à connaitre l’amour et qui est loin d’être moche, elle n’est pas trop mal tombée, enfin presque ! Car elle se retrouve sur une île dédiée aux plaisirs dont le seul moyen de partir est d’acheter sa liberté. Il lui faut à présent devenir la plus grande courtisane ! Soyons honnête, la situation est improbable même pour une époque vaguement historique ! Heureusement, il s’agit de fiction et le plus important c’est l’attrait du récit. De ce côté on a des personnages intéressants, travaillés, avec de forts caractères qui sont assez intrigants pour susciter l’intérêt. A suivre.
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Titre de l'album : La dresseuse sans étoiles parcourt le monde tome 4 & 5 Scenariste de l'album : Honobonoru 500 Dessinateur de l'album : Tou Fukino Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Ivy a quitté Latomé et part pour son prochain objectif : la ville d'Otolwa. Au coeur de la forêt, elle rencontre un groupe d'aventuriers nommé " la Lame de Feu " avec qui elle décide de faire un bout de chemin, tout en gardant Sora et l'Adandala cachés. Mais après un début de voyage très animé au sein de ce groupe d'aventuriers à forte personnalité, Ivy commence à se sentir observée... L'aventure entre survie et réconfort de la plus faible des dresseuses et du plus faible des slimes ! Critique : Suite des aventures de notre petite dresseuse qui se retrouve prise au milieu d'une chasse plus grande qu'elle. Une aventure qui la voit s'entourer d'adulte en qui elle commence à avoir confiance. Une confiance qui la fait se libérer et s'ouvrir aux autres et ce qui nous permet de mieux comprendre les spécificités de son slime. Un silme qui nous semblait normal au début mais se trouve cacher bien des mystères. Deux tomes toujours aussi mignons et pleins de bons sentiments qui raviront les jeunes amateurs de manga. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-dresseuse-sans-etoiles-parcourt-le-monde-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Suite des aventures de notre petite dresseuse qui se retrouve prise au milieu d'une chasse plus grande qu'elle. Une aventure qui la voit s'entourer d'adulte en qui elle commence à avoir confiance. Une confiance qui la fait se libérer et s'ouvrir aux autres et ce qui nous permet de mieux comprendre les spécificités de son slime. Un silme qui nous semblait normal au début mais se trouve cacher bien des mystères. Deux tomes toujours aussi mignons et pleins de bons sentiments qui raviront les jeunes amateurs de manga.