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  1. Contre toute attente, j'avais beaucoup apprécié le premier tome du deuxième reboot des aventures de Bob Morane. Au scénario de cette suite, on retrouve Christophe Bec associé à Éric Corbeyran qui font des merveilles en proposant de l'action, de l'aventure, du fantastique avec un vortex permettant un voyage temporel aux héros et au final on passe un bon moment de lecture sans prise de tête. Je lis cette série comme je regarde un bon film de série B (ou voir Z), les dialogues sont clichés mais certainement en hommage à la série d'origine, d’ailleurs les auteurs ressortent quelques personnages clés et le côté vieillot assumé est une réussite en tout point. Au niveau des planches, Paolo Grella nous en met plein la vue avec des dinosaures, des paysages magnifiques, surtout sur la fin de l'album. La couvertures et les dessins intérieurs sont dans l’esprit de Bob Morane. Chaque tome termine l’histoire en cours avec un fil conducteur reliant tous les albums comme vous pourrez vous en apercevoir à la fin de ce deuxième tome.
  2. Ce putain de salopard est l'une des séries de bd dontj'attends chaque prochain tome avec impatience. Le bon mélange de mystère, d'aventure, et d'univers à découvrir qui me plait, servie par le trait chaud et plein d'empathie d'Olivier Pont. Les couleurs de François Lapierre complète avec brio l'excellence de la mise en scène et en lumière de cette Amazonie des années 70. Régis Loisel ne nous fait cependant pas de cadeaux avec son scénario, livrant nos héros qui tentent de surnager aux coups du sorts et aux bassesses humaines. Il n'en oublie pas pour autant d'esquisser à travers des détails ses personnages secondaires, les rendant détestables ou attachants avec la complicité d'Olivier Pont. Mais quels qu'ils soient on y reconnait bien là des humains, et en cela c'est une réussite. C'est de la superbe BD d'aventure, et même si ce tome est peut être un poil moins fou que les précédents, le tout est d'une belle cohérence, et c'est avec plaisir que l'on continuera à suivre cette série ô combien attachante.
  3. Titre de l'album : Un putain de salopard - Tome 3 - Guajeraï Scenariste de l'album : Régis Loisel Dessinateur de l'album : Olivier Pont Coloriste : François Lapierre Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : Alors que Max et le manchot sont à la recherche de Baïa, en fuite à travers la jungle avec le capitaine Rego, ceux-ci sont eux-mêmes poursuivis par les hommes du chef du camp de travailleurs, Hermann, qui cherche à faire la lumière autour de la mort de sa fille. Les course-poursuites se croisent et se multiplient dans la jungle luxuriante mais toujours plus dangereuse. Sans compter que Max et le manchot - autrement dit le fils et le père - partagent désormais un autre secret : le trésor retrouvé dans l'épave de l'avion dans lequel la fille d'Hermann trouva la mort et que le manchot pilotait. Critique : Ce putain de salopard est l'une des séries de bd dontj'attends chaque prochain tome avec impatience. Le bon mélange de mystère, d'aventure, et d'univers à découvrir qui me plait, servie par le trait chaud et plein d'empathie d'Olivier Pont. Les couleurs de François Lapierre complète avec brio l'excellence de la mise en scène et en lumière de cette Amazonie des années 70. Régis Loisel ne nous fait cependant pas de cadeaux avec son scénario, livrant nos héros qui tentent de surnager aux coups du sorts et aux bassesses humaines. Il n'en oublie pas pour autant d'esquisser à travers des détails ses personnages secondaires, les rendant détestables ou attachants avec la complicité d'Olivier Pont. Mais quels qu'ils soient on y reconnait bien là des humains, et en cela c'est une réussite. C'est de la superbe BD d'aventure, et même si ce tome est peut être un poil moins fou que les précédents, le tout est d'une belle cohérence, et c'est avec plaisir que l'on continuera à suivre cette série ô combien attachante. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/un-putain-de-salopard-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Il aura fallu une quarantaine d'années à François Bourgeon pour écrire et réaliser l'intégralité de sa série historique avec des femmes au premiers plans. La série est composée de neuf albums sur trois cycles, le premier est centré autour du personnage d'Isabeau de Marnaye sur un bateau en direction des Amériques. Le second cycle nous présentait Zabo l'arrière-petite-fille d'Isa et le dernier cycle se déroule à Paris et présente Klervi, une jeune bretonne proche de Zabo alors âgée de 40 ans. Pour la conclusion, Bourgeon nous offre un album double par sa pagination importante. Dans ce final, on retrouve Zabo qui va raconter son histoire à Klervi dans un train depuis les événements de la Commune de Paris, pour ensuite se poursuivre à sa déportation en nouvelle Calédonie condamnés par le conseil de guerre. On croise Louise Michel comme figure historique et d'autres anciens communards. Les dessins de Bourgeon reste fidèle au style de l'auteur avec des planches proche de peinture en tableaux pour dépeindre un fait historique. Les visages des personnages semblent parfois figés dans des positions étranges avec des visages avec les yeux fermés. Les lecteurs de la première heure seront heureux de pouvoir conclure cette série historique phare dans le monde de la bande dessinée.
  5. Titre de l'album : Les passagers du vent tome 9 - Le sang des cerises II Scenariste de l'album : François Bourgeon Dessinateur de l'album : François Bourgeon Coloriste : François Bourgeon Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Après avoir vengé Klervi, blessée d'un coup de couteau par son ancien souteneur, Zabo décide de l'emmener loin de Paris. Au cours du voyage en train qui les conduit en Bretagne, Zabo confie à sa protégée les traumatismes qu'elle a subis durant la Semaine sanglante jusqu'à sa déportation en Nouvelle-Calédonie en compagnie de Louise Michel et Henri Rochefort, deux figures de la Commune de Paris... Critique : Il aura fallu une quarantaine d'années à François Bourgeon pour écrire et réaliser l'intégralité de sa série historique avec des femmes au premiers plans. La série est composée de neuf albums sur trois cycles, le premier est centré autour du personnage d'Isabeau de Marnaye sur un bateau en direction des Amériques. Le second cycle nous présentait Zabo l'arrière-petite-fille d'Isa et le dernier cycle se déroule à Paris et présente Klervi, une jeune bretonne proche de Zabo alors âgée de 40 ans. Pour la conclusion, Bourgeon nous offre un album double par sa pagination importante. Dans ce final, on retrouve Zabo qui va raconter son histoire à Klervi dans un train depuis les événements de la Commune de Paris, pour ensuite se poursuivre à sa déportation en nouvelle Calédonie condamnés par le conseil de guerre. On croise Louise Michel comme figure historique et d'autres anciens communards. Les dessins de Bourgeon reste fidèle au style de l'auteur avec des planches proche de peinture en tableaux pour dépeindre un fait historique. Les visages des personnages semblent parfois figés dans des positions étranges avec des visages avec les yeux fermés. Les lecteurs de la première heure seront heureux de pouvoir conclure cette série historique phare dans le monde de la bande dessinée. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-passagers-du-vent-tome-9-le-sang-des-cerises-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Fin de cycle pour le premier manga de Senchiro, auteur faisant partie de la génération d'auteur de manga français qui sont en pleine bourre. Alors avant toute chose, je dis fin de cycle, car j'espère vraiment que l'univers de Sweet Konkrete va perdurer. Car Senchiro a annoncé ce tome 3 comme la fin de l'histoire. De mon coté, j'espère sincèrement que les ventes seront au rendez-vous pour nous donner des nouvelles de notre trio de héros. Car ce tome 3 donne envie de plus. Senchiro a fait un gros travaille explicatif dans ce manga pour nous permettre de ne pas être frustré en cas d'arrêt de la série. Je dirais même que c'est presque un peu trop. Certaines pages sont remplies d'explication, plus en mode Black et Mortimer qu'en mode Black Clover. On imagine, en lisant ce tome 3, qu'un quatrième tome n'aurait pas fait injure à l'histoire. En effet, Snechiro prend le temps de parcourir tout ce qu'il avait lancé et de clôturer toutes les lignes d'histoires. Que ce soit le pistolet, les oiseaux, le père d Asa, Kenotte, la magie..... tout est expliqué.... mais, cela fait donc beaucoup d'explications à caser dans un seul manga. Reste que Senchiro l'a fait et bien fait pour nous livrer une série, en trois tomes, super innovante, vivante et aux personnages attachants. Tout ce qui donne envie de revenir dans cet univers !
  7. Titre de l'album : Sweet konkrete t3 (Fin de cycle) Scenariste de l'album : Senchiro Dessinateur de l'album : Senchiro Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Dans la mégalopole de Cielazur, pour préserver les apparences, la vérité est parfois étouffée. Asa, une jeune policière éprise de justice, voit sa curiosité piquée lorsqu'elle découvre l'arme de service de son défunt père avec un étrange symbole gravé sur le canon... Au fil de ses recherches, Asa comprend que pour découvrir la vérité sur le mystère qui entoure la mort de son père, elle devra se rendre à la Citadelle : un mystérieux ghetto où règne le crime et où les lois de la nature ne semblent pas s'appliquer. Critique : Fin de cycle pour le premier manga de Senchiro, auteur faisant partie de la génération d'auteur de manga français qui sont en pleine bourre. Alors avant toute chose, je dis fin de cycle, car j'espère vraiment que l'univers de Sweet Konkrete va perdurer. Car Senchiro a annoncé ce tome 3 comme la fin de l'histoire. De mon coté, j'espère sincèrement que les ventes seront au rendez-vous pour nous donner des nouvelles de notre trio de héros. Car ce tome 3 donne envie de plus. Senchiro a fait un gros travaille explicatif dans ce manga pour nous permettre de ne pas être frustré en cas d'arrêt de la série. Je dirais même que c'est presque un peu trop. Certaines pages sont remplies d'explication, plus en mode Black et Mortimer qu'en mode Black Clover. On imagine, en lisant ce tome 3, qu'un quatrième tome n'aurait pas fait injure à l'histoire. En effet, Snechiro prend le temps de parcourir tout ce qu'il avait lancé et de clôturer toutes les lignes d'histoires. Que ce soit le pistolet, les oiseaux, le père d Asa, Kenotte, la magie..... tout est expliqué.... mais, cela fait donc beaucoup d'explications à caser dans un seul manga. Reste que Senchiro l'a fait et bien fait pour nous livrer une série, en trois tomes, super innovante, vivante et aux personnages attachants. Tout ce qui donne envie de revenir dans cet univers ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sweet-konkrete-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. The_PoP

    Thorgal - Tome 40 - Tupilaks

    Je l'avais annoncé au tome 39, les auteurs avaient là une occasion assez unique de clôturer très proprement les aventures de Thorgal, et pour moi le contrat est rempli. Beaucoup beaucoup de réponses sont apportées dans ce tome, et je pense sincèrement que même les plus irréductibles des fans de Thorgal y trouveront globalement leur compte. C'est propre, c'est bien, et ils ne saccagent rien de l'héritage laissé par 39 tomes de cette immense saga. La part science fiction est bien traitée, et la part laissée au fantastique reste bien présente. Côté dessin, Fred Vignaux s'en sort une nouvelle fois très bien, ses traits étant en plus bien mis en couleurs par Gaetan Georges afin de mieux nous retranscrire les ambiances. Le Lombard décidera-t-il une pose dans les aventures de Thorgal ? Je ne sais le dire tant tout est possible à la fin de cet album. Ce qui est sur c'est que Le Lombard va prolonger ses aventures sous un autre angle au travers de leur nouvelle série Thorgal Saga et ses auteurs invités à donner leur vision de la saga thorgal en un one shot... Dans tous les cas, les amateurs de la série auraient bien tord de passer à côté de ce tome 40. A noter pour les amateurs, et je sais qu'il y en a que le jeux de société Thorgal le pays de Qâ en coopératif pour 1 à 4 joueurs arrive dans le même temps... Hâte d'affronter Ogotaï !
  9. Titre de l'album : Thorgal - Tome 40 - Tupilaks Scenariste de l'album : Yann Dessinateur de l'album : Fred Vignaux Coloriste : Gaétan Geroges Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : De retour dans le vaisseau de ses origines, Thorgal doit affronter Néokora, une intelligence artificielle déterminée à restaurer le règne atlante... Critique : Je l'avais annoncé au tome 39, les auteurs avaient là une occasion assez unique de clôturer très proprement les aventures de Thorgal, et pour moi le contrat est rempli. Beaucoup beaucoup de réponses sont apportées dans ce tome, et je pense sincèrement que même les plus irréductibles des fans de Thorgal y trouveront globalement leur compte. C'est propre, c'est bien, et ils ne saccagent rien de l'héritage laissé par 39 tomes de cette immense saga. La part science fiction est bien traitée, et la part laissée au fantastique reste bien présente. Côté dessin, Fred Vignaux s'en sort une nouvelle fois très bien, ses traits étant en plus bien mis en couleurs par Gaetan Georges afin de mieux nous retranscrire les ambiances. Le Lombard décidera-t-il une pose dans les aventures de Thorgal ? Je ne sais le dire tant tout est possible à la fin de cet album. Ce qui est sur c'est que Le Lombard va prolonger ses aventures sous un autre angle au travers de leur nouvelle série Thorgal Saga et ses auteurs invités à donner leur vision de la saga thorgal en un one shot... Dans tous les cas, les amateurs de la série auraient bien tord de passer à côté de ce tome 40. A noter pour les amateurs, et je sais qu'il y en a que le jeux de société Thorgal le pays de Qâ en coopératif pour 1 à 4 joueurs arrive dans le même temps... Hâte d'affronter Ogotaï ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/thorgal-tome-40-tupilaks?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. poseidon2

    Furieuse

    Titre de l'album : Furieuse Scenariste de l'album : Geoffroy Monde Dessinateur de l'album : Mathieu Burniat Coloriste : Mathieu Burniat Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Après « Le Mystère du monde quantique » et « Sous Terre », Mathieu Burniat revient avec « Furieuse », une pure fiction scénarisée par Geoffroy Monde (« Poussière », « Comment réussir » et « De rien »). Le roi Arthur, celui de la légende ? Un vieil ivrogne décrépit qui passe ses journées vautré sur son trône. Sa gloire désormais bien lointaine, il la doit à l'épée magique que Merlin lui a forgée pour terrasser les hordes de démons venues envahir le royaume de Pendragon. Devenue témoin de sa déchéance, l'arme enchantée s'ennuie ferme tandis que la princesse Ysabelle fulmine car son débris de père l'a promise en mariage à l'ignoble petit baron de Cumbre. Toutes deux bien décidées à se trouver un meilleur destin, Ysa et l'épée s'allient pour fuir le château et partir à la recherche de Merlin et de Maxine, la grande soeur disparue. Mais le vaste monde peut se montrer bien cruel pour une princesse qui n'a connu que la vie de palais. Et les intentions de l'épée sont peut-être moins nobles qu'il n'y paraît... Critique : Si le roi Arthur n'était rien sans Excalibur ? Et si Excalibur était bien plus qu'une simple épée magique ? C'est que ce, nous allons découvrir dans ce "Furieuse" : la vérité sur Excalibur au travers d'un road trip entre l'épée (qui parle) et la deuxième fille d'Arthur, Ysa. Road trip qui permet à nos auteurs de nous livrer une aventure aussi savoureuse, au travers d'échange piquant entre l'épée et Ysa, que réfléchi nous présentant une Ysa luttant contre son statut social et refusant dur comme fer le destin qui est censé être le sien. Mais Geoffroy Monde ne se contente pas de nous livrer une banale histoire de princesse rebelle. Il montre à cette princesse l'envers du décor avec les conditions de vie en dehors du château et pousse son histoire beaucoup plus loin que la simple fugue d'une princesse rebelle. Une très belle aventure portée par un graphisme et une coloration dynamique et humain. Bien plus travaillé qu'il n'y parait de prime abord. Un one shot à découvrir ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/furieuse?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. poseidon2

    Furieuse

    Si le roi Arthur n'était rien sans Excalibur ? Et si Excalibur était bien plus qu'une simple épée magique ? C'est que ce, nous allons découvrir dans ce "Furieuse" : la vérité sur Excalibur au travers d'un road trip entre l'épée (qui parle) et la deuxième fille d'Arthur, Ysa. Road trip qui permet à nos auteurs de nous livrer une aventure aussi savoureuse, au travers d'échange piquant entre l'épée et Ysa, que réfléchi nous présentant une Ysa luttant contre son statut social et refusant dur comme fer le destin qui est censé être le sien. Mais Geoffroy Monde ne se contente pas de nous livrer une banale histoire de princesse rebelle. Il montre à cette princesse l'envers du décor avec les conditions de vie en dehors du château et pousse son histoire beaucoup plus loin que la simple fugue d'une princesse rebelle. Une très belle aventure portée par un graphisme et une coloration dynamique et humain. Bien plus travaillé qu'il n'y parait de prime abord. Un one shot à découvrir !
  12. alx23

    Avatar - Le destin de Tsu'tey

    Alors que la sortie du deuxième film Avatar arrive bientôt au cinéma, les éditions Delcourt nous proposent ce one shot centralisé sur le personnage de Tsu'tey durant le premier film. Ainsi on découvre ce grand guerrier qui s'oppose à la venue de Jake Sully auprès de son peuple. Il est jaloux de Jake quand Neytiri s'accouple avec lui. On peut suivre sa destinée et son caratère mis de côté lors du film. D'ailleurs une scène coupée du film est présente dans la première histoire ce cet album. Pour la partie graphique, Jan Duursema le dessinateur de Star wars Legacy réalise des dessins magnifiques, très proche et fidèle au trait des personnages du film avec un encrage de Dan Parsons. Une seconde histoire courte termine cet album sur Jake Sully qunad il parvient à dompter et monter le grand Leonoptryx. Douglas Wheatley le dessinateur de Star wars Dark times dessine les planches de cette histoire avec beaucoup de maitrise. L’album se termine sur une galerie d’illustrations de Wheatley. Cet album est parfait pour se remettre dans l'univers du film Avatar comme il suit la trame du premier film, une dizaine d'autres one shot sont prévus. Les fans du film seront comblés par cet album et les autres à sortir pour poursuivre l’immersion dans l’univers d’Avatar.
  13. Titre de l'album : Avatar - Le destin de Tsu'tey Scenariste de l'album : Sherri L. Smith Dessinateur de l'album : Jan Duursema, Douglas Wheatley & Dan Parsons Coloriste : Wes Dzioba Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Depuis sa première rencontre avec Jake Sully à son acceptation de la Dernière Ombre , la vie de Tsu'tey a pris un chemin auquel il n'était pas préparé, et dont le film AVATAR de James Cameron ne dévoilait qu'une partie. Retour à Pandora pour y suivre le récit de cette fable écologique et de cette charge anti-impérialiste, racontée du point de vue de Tsu'tey, le guerrier de la tribu Omatikaya. Critique : Alors que la sortie du deuxième film Avatar arrive bientôt au cinéma, les éditions Delcourt nous proposent ce one shot centralisé sur le personnage de Tsu'tey durant le premier film. Ainsi on découvre ce grand guerrier qui s'oppose à la venue de Jake Sully auprès de son peuple. Il est jaloux de Jake quand Neytiri s'accouple avec lui. On peut suivre sa destinée et son caratère mis de côté lors du film. D'ailleurs une scène coupée du film est présente dans la première histoire ce cet album. Pour la partie graphique, Jan Duursema le dessinateur de Star wars Legacy réalise des dessins magnifiques, très proche et fidèle au trait des personnages du film avec un encrage de Dan Parsons. Une seconde histoire courte termine cet album sur Jake Sully qunad il parvient à dompter et monter le grand Leonoptryx. Douglas Wheatley le dessinateur de Star wars Dark times dessine les planches de cette histoire avec beaucoup de maitrise. L’album se termine sur une galerie d’illustrations de Wheatley. Cet album est parfait pour se remettre dans l'univers du film Avatar comme il suit la trame du premier film, une dizaine d'autres one shot sont prévus. Les fans du film seront comblés par cet album et les autres à sortir pour poursuivre l’immersion dans l’univers d’Avatar. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/avatar-destin-tsu-tey?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Titre de l'album : Mickey Mouse, Terror-island Scenariste de l'album : Bruno Enna , Alexis Nesme Dessinateur de l'album : Alexis Nesme Coloriste : Fabio Celoni Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Rien n'est impossible pour nos apprentis détectives ! Depuis que M. Peppermint est parti explorer une mystérieuse île au trésor, son épouse s'inquiète. Lui est-il arrivé malheur ? Voilà une occasion rêvée pour les détectives Mickey, Dingo et Donald de reprendre du service ! Première étape, monter leur bateau, fourni en kit ! Une nouvelle aventure pleine de rebondissements commence pour nos apprentis marins. Mais ce voyage ne sera pas sans danger ! Sans parler de Maître Ratineau et Pat qui, appâtés par le butin, suivent le trio à la trace... L'arrivée de tout ce petit monde sur l'île ne va rien arranger ! Le capitaine Mickey devra faire preuve de sang-froid et de courage pour continuer son enquête et motiver ses troupes. Plus ils s'enfoncent dans la jungle luxuriante, moins Donald est rassuré ...Et si M. Peppermint n'était pas ici ? Perdus, loin de toute civilisation, les trois amis ne sont pas à l'abri d'un spectaculaire coup de théâtre... Critique : Je connaissais le trait de Nesme depuis son adaptation de Jules Verne : Les enfants su capitaine Grant , ainsi que son Mickey Horrifikland ; donc autant dire que j'étais plus que confiant en ouvrant les pages de ce nouvel écueil . Je suis depuis le début ces "Mickey vu par" tant de grands noms , Cosey , Loisel , Trondheim etc ... Et ici , on est dans le très haut du panier , peut-être même la meilleure version de la souris de Disney . Immense est le plaisir que j'ai eu à parcourir et admirer ces planches , tant est si bien qu'une fois fini , j'avais envie d'une relecture immédiate . Le dessin est précis , lumineux , les couleurs nous sautent au visage et nous mettent le "souris-re" , un rictus d'admiration , on garde les yeux écarquillés devant tant de splendeur . Chaque case fourmille de détails ET d'indices , car là aussi repose une des (trop?)nombreuses qualités du livre : l'histoire , avec un grand H . Certes ce qui peut apparaître comme une banale chasse au trésor , mais avec des références à Indiana Jones , les Goonies , King-kong entre autres , se transforme peu à peu en intrigue policière avec des questions tout du long , jusqu'à la révélation finale . Observez bien les détails , cherchez les indices , vous trouvez peut-être la solution . Sinon , laissez vous porter par les aventures ou mésaventures de Mickey , Donald et Dingo , et profitez ! L'humour est omniprésent , verbalement ou en finesse avec autant de situations cocasses . L'adulte que je suis n'a pu s'empêcher de se marrer , et je ne suis pas un grand adepte des BDs humoristiques . Si vous aimez ces adaptations de Glénat , un mot : FONCEZ . Si vous n'êtes pas fan : FONCEZ quand même et tentez de percer le mystère de l'île infernale et ses nombreux pièges 🙂 Par @Kevin Nivek Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/terror-island-mickey-mouse?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. VladNirky

    Mickey Mouse, Terror-island

    Je connaissais le trait de Nesme depuis son adaptation de Jules Verne : Les enfants su capitaine Grant , ainsi que son Mickey Horrifikland ; donc autant dire que j'étais plus que confiant en ouvrant les pages de ce nouvel écueil . Je suis depuis le début ces "Mickey vu par" tant de grands noms , Cosey , Loisel , Trondheim etc ... Et ici , on est dans le très haut du panier , peut-être même la meilleure version de la souris de Disney . Immense est le plaisir que j'ai eu à parcourir et admirer ces planches , tant est si bien qu'une fois fini , j'avais envie d'une relecture immédiate . Le dessin est précis , lumineux , les couleurs nous sautent au visage et nous mettent le "souris-re" , un rictus d'admiration , on garde les yeux écarquillés devant tant de splendeur . Chaque case fourmille de détails ET d'indices , car là aussi repose une des (trop?)nombreuses qualités du livre : l'histoire , avec un grand H . Certes ce qui peut apparaître comme une banale chasse au trésor , mais avec des références à Indiana Jones , les Goonies , King-kong entre autres , se transforme peu à peu en intrigue policière avec des questions tout du long , jusqu'à la révélation finale . Observez bien les détails , cherchez les indices , vous trouvez peut-être la solution . Sinon , laissez vous porter par les aventures ou mésaventures de Mickey , Donald et Dingo , et profitez ! L'humour est omniprésent , verbalement ou en finesse avec autant de situations cocasses . L'adulte que je suis n'a pu s'empêcher de se marrer , et je ne suis pas un grand adepte des BDs humoristiques . Si vous aimez ces adaptations de Glénat , un mot : FONCEZ . Si vous n'êtes pas fan : FONCEZ quand même et tentez de percer le mystère de l'île infernale et ses nombreux pièges 🙂 Par @Kevin Nivek
  16. Titre de l'album : Nottingham - Tome 3 - Robin Scenariste de l'album : Vincent Brugeas Dessinateur de l'album : Benoît Dellac Coloriste : Denis Béchu Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Dans les tréfonds de la forêt de Sherwood, l'or dérobé au Prince Jean attise toutes les convoitises. Quant à la Couronne, elle entend bien pendre la tête qui se cache sous « la capuche », et a dépêché un redoutable émissaire à cet effet. Jusqu'où le Shérif de Nottingham devra-t-il aller pour protéger ses complices des conséquences de la fable qu'il avait créée pour les aider... ? Critique : J'aime beaucoup Nottingham, mais ce tome 3 avait quelque chose d'un peu triste. Triste car il clôture un peu rapidement à mon goût un premier cycle qu'on imaginait plus long, la faute a des ventes probablement pas aussi bonnes qu'espérées chez Le Lombard. Et pourtant ce n'est pas par manque de qualité de cette série, toujours aussi remarquable du côté du dessin de Benoît Dellac. Les sorties rapprochées n'ont pas suffit pour permettre à cette bd de conquérir son public, reste que le Lombard finit les choses proprement avec un premier cycle qui termine bien l'histoire. J'aurais aimé voir l'ensemble prendre plus d'ampleur encore, tant le parti pris de mélanger Shérif et Robin donnait une relecture sympa de ce mythe très connu. La partie graphique était maîtrisée du premier au dernier tome par Benoit Dellac au dessin et Deins Béchu aux couleurs pour nous livrer une belle aventure moyenâgeuse de qualité. Autres infos : On en voulait plus ! Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/nottingham-tome-3-robin?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. The_PoP

    Nottingham - Tome 3 - Robin

    J'aime beaucoup Nottingham, mais ce tome 3 avait quelque chose d'un peu triste. Triste car il clôture un peu rapidement à mon goût un premier cycle qu'on imaginait plus long, la faute a des ventes probablement pas aussi bonnes qu'espérées chez Le Lombard. Et pourtant ce n'est pas par manque de qualité de cette série, toujours aussi remarquable du côté du dessin de Benoît Dellac. Les sorties rapprochées n'ont pas suffit pour permettre à cette bd de conquérir son public, reste que le Lombard finit les choses proprement avec un premier cycle qui termine bien l'histoire. J'aurais aimé voir l'ensemble prendre plus d'ampleur encore, tant le parti pris de mélanger Shérif et Robin donnait une relecture sympa de ce mythe très connu. La partie graphique était maîtrisée du premier au dernier tome par Benoit Dellac au dessin et Deins Béchu aux couleurs pour nous livrer une belle aventure moyenâgeuse de qualité.
  18. alx23

    Pocahontas

    Titre de l'album : Pocahontas Scenariste de l'album : Patrick Prugne Dessinateur de l'album : Patrick Prugne Coloriste : Patrick Prugne Editeur de l'album : Daniel Maghen Note : Résumé de l'album : 1607 : Trois navires anglais accostent en Virginie. Une centaine de colons débarquent et construisent le premier fort anglais en Amérique qui deviendra Jamestown. Les indiens Powhatans n’auront de cesse de vouloir rejeter à la mer ces nouveaux venus bien inquiétants. Dans ce conflit latent, seule Pocahontas, fille du chef Powhatan tentera de rapprocher les deux peuples. La narration commence en 1621 par une tentative de traité de paix entre tribus indiennes et colons du fort et se poursuit par des flash-backs sous forme d’un dialogue entre Pamouic, le fils du chef Powhatan et le narrateur. Leurs interventions rappellent constamment la place centrale jouée par Pocahontas sur la destinée des colons. Basée sur la légende, l’histoire souligne crescendo les rapports amoureux entre le capitaine Smith et la jeune indienne... D’eux dépendra l’avenir de la colonie. Critique : Depuis quelques années maintenant, Patrick Prugne réalise des albums de toute beauté sur les débuts de la colonisation aux États-Unis, avec les amérindiens en premier plan. Cette fois ci, Patrick Prugne s'attaque à la légende de Pocahontas, fille du chef de la tribu des Powhatans. Il existe très peu d'écrit sur la véritable histoire de Pocahontas mais elle rencontra le capitaine John Smith qui faisait partie des premiers colons anglais à venir s'installer sur le territoire des États-Unis pour fonder la ville de Jamestown. Cet album relate cette rencontre et la relation naissante entre deux personnes de deux mondes et cultures différentes. La colonisation se fait dans un climat tendu avec les natifs chassés de leur territoire par les colons. Les aquarelles en couleur directes de Patrick Prugne sont magnifiques pour mettre en avant des ambiances réalistes. L'édition est soignée avec plusieurs recherches graphiques en fin d'albums ainsi que des illustrations. J'adore vraiment le travail de Patrick Prugne, chaque tome est une pure merveille pour les yeux même si l'histoire est moins originale avec Pocahontas, elle n'en reste pas moins très intéressante. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/pocahontas-238618?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. alx23

    Pocahontas

    Depuis quelques années maintenant, Patrick Prugne réalise des albums de toute beauté sur les débuts de la colonisation aux États-Unis, avec les amérindiens en premier plan. Cette fois ci, Patrick Prugne s'attaque à la légende de Pocahontas, fille du chef de la tribu des Powhatans. Il existe très peu d'écrit sur la véritable histoire de Pocahontas mais elle rencontra le capitaine John Smith qui faisait partie des premiers colons anglais à venir s'installer sur le territoire des États-Unis pour fonder la ville de Jamestown. Cet album relate cette rencontre et la relation naissante entre deux personnes de deux mondes et cultures différentes. La colonisation se fait dans un climat tendu avec les natifs chassés de leur territoire par les colons. Les aquarelles en couleur directes de Patrick Prugne sont magnifiques pour mettre en avant des ambiances réalistes. L'édition est soignée avec plusieurs recherches graphiques en fin d'albums ainsi que des illustrations. J'adore vraiment le travail de Patrick Prugne, chaque tome est une pure merveille pour les yeux même si l'histoire est moins originale avec Pocahontas, elle n'en reste pas moins très intéressante.
  20. Titre de l'album : Merry men - Souvenirs d'une jeunesse écossaise Scenariste de l'album : Chanouga Dessinateur de l'album : Chanouga Coloriste : Chanouga Editeur de l'album : Paquet Note : Résumé de l'album : Saura-t-on jamais ce qui pousse un artiste vers son destin ? Ce pourrait être une histoire banale, celle d’un jeune homme qui refuse le confort d’un avenir tout tracé, s’il n’était devenu l’un des écrivains majeur du XIXème siècle. 1870, étudiant de l’Université d’Edimbourd, Robert Louis Stevenson a 20 ans. Il s’apprête à poursuivre l’œuvre familiale dans les pas de ses grand-père, père et oncle, illustres ingénieurs bâtisseurs de phares. Quelque part aux confins de l’Ecosse victorienne, en visite sur une île perdue, base arrière de la construction d’un “enfer” conçu par son père, le jeune Louis va décider, contre vents et marées, de vouer sa vie à l’écriture… “Merry Men” évoque cette année particulière et devient peu à peu une ballade fantasmée dans la nouvelle qu’il écrira en 1882 : “The Merry men”. C’est enfin l’occasion d’essayer de comprendre ce moment de rupture qui va faire de l’élève ingénieur, l’écrivain qui donnera naissance, quelques années plus tard, à ces grands classiques de la littérature que sont “L’île au trésor”, “L’Étrange cas du docteur Jekyll et de M. Hyde”, “Le Maître de Ballantrae”… Critique : Chanouga en auteur complet nous propose de retracer la période de transition où le jeune ingénieur Robert Louis Stevenson doit reprendre le flambeau de son père et travailler sur la construction de phare et le moment où ce jeune homme refuse sa destinée toute tracée pour devenir écrivain et voyageur. Chanouga n'est pas un auteur prolifique mais avait déjà réalisé un très bon album sur la vie de Narcisse Pelletier, un marin naufragé qui vécut toute sa vie parmi une tribu d'Aborigènes. Merry men fait référence à la nouvelle écrit par Stevenson, sur les dangereux récits qui entourent l’île d’Aros, où l’on rencontre un oncle imaginaire qui a perdu la raison. Chanouga découpe son récit en deux entre la biographique de Stevenson à 20 ans et l’imaginaire avec l’île d’Aros. La partie graphique est absolument magnifique, l'auteur dessine à merveilles la mer déchainée sous la tempête où alors la mer calme. On ne peut que rester contemplatif devant les planches de ce récit romancé. Merry men est un album d’une centaine de planche pour rendre hommage à la jeunesse de Robert Louis Stevenson, l'auteur de L’île au trésor. On trouvera quelques éléments qui seront ensuite utilisés en référence dans ses romans, comme son ami qui l'accompagne sur l’île, un dénommé Jim Hawkins. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/merry-men-souvenirs-d-une-jeunesse-ecossaise?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Chanouga en auteur complet nous propose de retracer la période de transition où le jeune ingénieur Robert Louis Stevenson doit reprendre le flambeau de son père et travailler sur la construction de phare et le moment où ce jeune homme refuse sa destinée toute tracée pour devenir écrivain et voyageur. Chanouga n'est pas un auteur prolifique mais avait déjà réalisé un très bon album sur la vie de Narcisse Pelletier, un marin naufragé qui vécut toute sa vie parmi une tribu d'Aborigènes. Merry men fait référence à la nouvelle écrit par Stevenson, sur les dangereux récits qui entourent l’île d’Aros, où l’on rencontre un oncle imaginaire qui a perdu la raison. Chanouga découpe son récit en deux entre la biographique de Stevenson à 20 ans et l’imaginaire avec l’île d’Aros. La partie graphique est absolument magnifique, l'auteur dessine à merveilles la mer déchainée sous la tempête où alors la mer calme. On ne peut que rester contemplatif devant les planches de ce récit romancé. Merry men est un album d’une centaine de planche pour rendre hommage à la jeunesse de Robert Louis Stevenson, l'auteur de L’île au trésor. On trouvera quelques éléments qui seront ensuite utilisés en référence dans ses romans, comme son ami qui l'accompagne sur l’île, un dénommé Jim Hawkins.
  22. Nouvelle série jeunesse historique chez Le Lombard, orientée sur la période suivant la révolution française. Nos jeunes héros vont devoir affronter la grande Histoire à travers leurs histoires personnelles. Ce tome 1 suit un rythme assez effréné et démarre au quart de tour. Si le début de l'intrigue est somme toute d'une grande banalité, le contexte dans lequel elle s'inscrit et les profils des personnages font que l'alchimie prend bien. Les planches de Xavier Fourquemin m'ont plu et elles me changent un peu sur des détails qui ont leur importance des standards actuels de la bd jeunesse. Ce tome met en place des éléments pour des développements plus ambitieux sur les tomes prochains et la fin de celui-ci nous tient en haleine. Nous verrons donc au prochain tome si Régis Hautière arrive à nous livrer une aventure à la hauteur des espoirs suscités. Pour le moment il me manque encore un petit quelque chose.
  23. Titre de l'album : Révolutionnaires - Tome 1 - Les princes Misère Scenariste de l'album : Régis Hautière Dessinateur de l'album : Xavier Fourquemin Coloriste : Amparo Crespo Cardenete Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Nantes, 1792. Pour fuir les intentions meurtrières de son oncle, le Marquis de Valoire, Célénie n'a trouvé d'autre refuge que les sombres ruelles de la ville. Désormais, pour récupérer son héritage, la jeune aristocrate devenue orpheline ne peut plus compter que sur ses nouveaux camarades d'infortune, Pince-Mitraille, Titor et Mélina. Plongés dans le tourment de la Révolution Française, c'est dans l'Égalité et la Fraternité que les quatre enfants vont devoir lutter pour leur Liberté. Critique : Nouvelle série jeunesse historique chez Le Lombard, orientée sur la période suivant la révolution française. Nos jeunes héros vont devoir affronter la grande Histoire à travers leurs histoires personnelles. Ce tome 1 suit un rythme assez effréné et démarre au quart de tour. Si le début de l'intrigue est somme toute d'une grande banalité, le contexte dans lequel elle s'inscrit et les profils des personnages font que l'alchimie prend bien. Les planches de Xavier Fourquemin m'ont plu et elles me changent un peu sur des détails qui ont leur importance des standards actuels de la bd jeunesse. Ce tome met en place des éléments pour des développements plus ambitieux sur les tomes prochains et la fin de celui-ci nous tient en haleine. Nous verrons donc au prochain tome si Régis Hautière arrive à nous livrer une aventure à la hauteur des espoirs suscités. Pour le moment il me manque encore un petit quelque chose. Autres infos : BD jeunesse Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/revolutionnaires-tome-1-les-princes-misere?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Titre de l'album : Princesse Sara - Tome 14 - Toutes les aurores du monde Scenariste de l'album : Audrey Alwett Dessinateur de l'album : Nora Moretti Coloriste : Claudia Palescandolo Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Sara et Lavinia sont arrivées au Japon à bord de l'Université volante. Mais l'Ambassadeur croit Sara responsable d'une entourloupe qui met le Japon en danger. Comme réparation, il lui propose un marché. Sara et Lavinia sont contraintes de se jeter à l'eau. Tout ce qu'elles peuvent, c'est compter l'une sur l'autre et se tenir la main... ce qui ne déplaît pas à Lavinia. Pas du tout, même... Critique : Je n'avais jamais ouvert un Princesse Sara jusqu'à présent. Aussi quand l'occasion s'est présentée je n'ai pas été particulièrement emballé. Soyons clair, je ne suis pas vraiment le coeur de cible visé par cette série, et démarrer une série inconnue au tome 14 c'est souvent un bon moyen de passer à côté purement et simplement. Toutefois je dois bien reconnaître que j'ai aimé lire ce tome, et que si l'intrigue ne m'a pas plus emballé que cela, les interactions entre les personnages et surtout la très belle mise en image du duo Moretti - Palescandolo de ce Japon utopique à l'ère des Automates. Certes il ne faut pas être allergique au style manga puisque la dessinatrice y puise une bonne partie de son style, mais lorsque cela est bien fait, et qu'un supplément d'âme y est distillé comme dans ce Princesse Sara, on ne peut qu'apprécier je crois. L'intrigue m'a un peu laissé sur ma faim car si elle est lisible, avec des enjeux clairs et des personnages bien pensés, elle n'avance au final que peu durant ces 48 courtes pages, renforçant d'ailleurs l'impression "manga" au passage 🙂 C'est souvent l'un des défauts de ces séries jeunesse fleuve, parfois un peu trop diluées. Ceci étant dit Princesse Sara est une vraie belle bd pour ado. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/princesse-sara-tome-14?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Je n'avais jamais ouvert un Princesse Sara jusqu'à présent. Aussi quand l'occasion s'est présentée je n'ai pas été particulièrement emballé. Soyons clair, je ne suis pas vraiment le coeur de cible visé par cette série, et démarrer une série inconnue au tome 14 c'est souvent un bon moyen de passer à côté purement et simplement. Toutefois je dois bien reconnaître que j'ai aimé lire ce tome, et que si l'intrigue ne m'a pas plus emballé que cela, les interactions entre les personnages et surtout la très belle mise en image du duo Moretti - Palescandolo de ce Japon utopique à l'ère des Automates. Certes il ne faut pas être allergique au style manga puisque la dessinatrice y puise une bonne partie de son style, mais lorsque cela est bien fait, et qu'un supplément d'âme y est distillé comme dans ce Princesse Sara, on ne peut qu'apprécier je crois. L'intrigue m'a un peu laissé sur ma faim car si elle est lisible, avec des enjeux clairs et des personnages bien pensés, elle n'avance au final que peu durant ces 48 courtes pages, renforçant d'ailleurs l'impression "manga" au passage 🙂 C'est souvent l'un des défauts de ces séries jeunesse fleuve, parfois un peu trop diluées. Ceci étant dit Princesse Sara est une vraie belle bd pour ado.
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