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  1. Titre de l'album : Pax elfica - Tome 2 - Le sang du drac Scenariste de l'album : Cédric Mayen Dessinateur de l'album : Pietrantonio Bruno Coloriste : Axel Gonzalbo Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Depuis qu'ils ont délivré le monde de la menace d'un Nécromancien, les Elfes ont instauré la Pax Elfica, un régime autoritaire qui interdit toute utilisation de la magie aux autres races. Mais le jeune Tano a grandi dans le petit monde multiculturel de l'auberge de son père Klaus, où se côtoient nains, halfelins, barbares et réfugiés. Alors pour lui, pas question d'obéir docilement aux maitres auto-proclamés de la ville : chaque nuit, sous la capuche de « La Flèche », il sabote leurs patrouilles et défie leur autorité. Jusqu'au soir où il se retrouve contaminé par une mystérieuse graine elfique. Critique : Le tome 1 de Pax Elfica m'avait surpris et marqué, car on se sentait plus dans l'atmosphère d'un bon jeu de rôle que dans nos séries de Fantasy habituelles. Et c'était plutôt réussi, avec pour une fois les Elfes dans le rôle des vilains de service. Cette inversion traditionnelle mais pas si surprenante était bien réalisé, et l'intrigue à plusieurs niveaux n'avait pas empêché le premier tome de filer très vite. On retrouve donc la suite directe, sans temps morts ni temps de remise en place. Et les différents arcs narratifs se précisent, apportant réponses et avancées en nombre afin de satisfaire notre curiosité. C'est bien réalisé, même si la scène de bataille est peut être un brin confuse sur la fin. Au niveau du dessin, rien à redire, c'est très propre même si c'est peut être un poil plus statique à mon goût que la fantasy habituelle. Pax Elfica confirme être une bonne série de Fantasy destinée à ceux qui aiment le jeu de rôle ou qui ont l'impression d'avoir déjà tout lu dans ce genre. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/pax-elfica-tome-2-le-sang-du-drac/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Le tome 1 de Pax Elfica m'avait surpris et marqué, car on se sentait plus dans l'atmosphère d'un bon jeu de rôle que dans nos séries de Fantasy habituelles. Et c'était plutôt réussi, avec pour une fois les Elfes dans le rôle des vilains de service. Cette inversion traditionnelle mais pas si surprenante était bien réalisé, et l'intrigue à plusieurs niveaux n'avait pas empêché le premier tome de filer très vite. On retrouve donc la suite directe, sans temps morts ni temps de remise en place. Et les différents arcs narratifs se précisent, apportant réponses et avancées en nombre afin de satisfaire notre curiosité. C'est bien réalisé, même si la scène de bataille est peut être un brin confuse sur la fin. Au niveau du dessin, rien à redire, c'est très propre même si c'est peut être un poil plus statique à mon goût que la fantasy habituelle. Pax Elfica confirme être une bonne série de Fantasy destinée à ceux qui aiment le jeu de rôle ou qui ont l'impression d'avoir déjà tout lu dans ce genre.
  3. Titre de l'album : Tête de chien - Tome 3 Scenariste de l'album : Vincent Brugeas Dessinateur de l'album : Ronan Toulhoat Coloriste : Yoann Guillo Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Le château du père de Jehan n'est plus qu'à quelques lieues. Pour nos héros, c'est l'heure de se dire au revoir. Lancelin et Maïeul doivent rentrer chez eux, le coeur lourd. Et, depuis des semaines, Gaucher et ses compagnons n'attendaient que cela : que leurs ennemis se séparent afin de les battre les uns après les autres. Ainsi, alors que Lancelin et Maïeul viennent de quitter nos héros, Gaucher et ses hommes passent à l'attaque. Le félon entend bien se venger du Noirci qui lui a fait tant de mal. Cependant, c'est sans compter sur le courage et la ruse de Lancelin. Bientôt, Josselin et Jehan, prévenus par Maïeul, récupèrent un Lancelin grièvement blessé. Gaucher, lui, n'a pas dit son dernier mot. Il s'est trouvé un nouvel allié de circonstance, un brigand qui se prétend chevalier, sous le nom de Renart. Avec son aide, il traque nos héros sans relâche. Le château de son père est encore trop loin. Jehan se résout à y envoyer Paulin et Maïeul, pour le prévenir. Pendant ce temps, elle et Josselin transportent un Lancelin moribond au Nid d'aigle : La demeure toute proche d'un oncle misanthrope qu'elle n'a jamais vu... Une rencontre qui va changer sa vie. Dans ce troisième volume, Vincent Brugeas tisse une intrigue toujours plus captivante, portée par le dessin épique de Ronan Toulhoat et les couleurs éclatantes de Yoann Guillo. Préparez-vous à une aventure médiévale où l'humour, les rebondissements et les secrets rythment chaque page ! Critique : Ah c'est un sacré coup de cœur dont on va parler ici. Les deux premiers tomes de Tête de chien nous avaient déjà passionné. Il faut dire que l'on est nombreux ici à aimer le travail que font ces 3 auteurs ensemble. Je trouve que ce tome 3 de Tête de chien monte encore en puissance, et nous livre la quintessence de ce que des auteurs modernes peuvent faire en bd franco belge tout en intégrant les influences du comics et du manga. Les mises en scènes sont juste brillantes, plus que cinématographiques, elle rendent la bd vraiment vivante. On entend presque les personnages se parler. Le scénario de Vincent Brugeas gagne encore en épaisseur, car si l'on était jusqu'à présent dans l'univers des Tournois, on sort sur ce tome de ce cadre là pour rentrer dans un monde plus réel et pourtant toujours à notre échelle. Oui dans ce tome 3 certains combat ne seront pas juste pour la gagne et nos personnages sont tellement bien pensés, premiers comme second rôles que l'on va frémir pour eux. L'art de Ronan Toulhoat s'exprime je trouve pleinement dans les gueules dures, parfois abîmés, affichant leurs vécus, de ses personnages. Certes comme dans le comics on pourra pinailler sur quelques arrières plans un peu légers, mais franchement je pense que cela nuirait vraiment à l'ensemble en le surchargeant. On retrouve dans ce Tête de Chien un peu la folie et la créativité visuelle de certains comics indépendants. Je ne vais pas en rajouter une couche sur les couleurs de Yoann Guillo qui s'impose pour moi comme l'un des meilleurs coloriste actuels, et je continue de trouver qu'il forme avec Ronan Toulhoat une paire qui se bonifie mutuellement. Bref, foncez, parce que ces personnages là, avec ce dessin là, on veut les suivre beaucoup plus loin. Vous pouvez y aller, les yeux fermés, que vous aimiez la chevalerie et le moyen âge ou non d'ailleurs. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tete-de-chien-tome-3/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. poseidon2

    In the land of Leadale tome 7

    Hop la encore une année de passée à attendre notre petit moment de détente manga... mais au moins les auteurs prennent le temps de nous livrer une histoire qui reste dans la lignée des précédentes. Une histoire feel good faite uniquement de bonnes personnes. Une histoire qui voit une héroïne superpuissante se servir de ses pouvoirs uniquement pour faire le bien autour d'elle. Un bien qui lui est rendu par une population qui l'aime. Et c'est encore plus vrai sur ce nouveau tome centré autour de la nouvelle fille de Cayna. Une petite fille toute mignonne et timide, protégée par une Cayna très maternelle, ce qui rend ce tome super mignon. On a toujours notre petit lot d'aventure et de combat qui permettent de montrer la toute puissance de Cayna, mais cela sert toujours à protéger sa fille ou ses amis. En gros un tome toujours aussi sympa à lire et qui aurait tendance à me faire dire que le rythme d'un par an n'est pas si mal. Cela permet de ne pas être "saoulé" par le rythme lent de la lecture, mais plutôt d'apprécier ce moment de repos annuel.
  5. Titre de l'album : In the land of Leadale tome 7 Scenariste de l'album : Ryō Suzukaze Dessinateur de l'album : Dashio Tsukimi Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : L'amour d'une mère, plus fort que tout !Mais les enfants ne sont pas toujours sages... Cayna rentre à son village frontalier après avoir recueilli Louka, une jeune orpheline esseulée. Inquiète que sa fille adoptive ne parvienne pas à s'intégrer, elle cherche des solutions, et Louka finit par se lier d'amitié avec les autres enfants du village. Peu à peu, elle commence à s'habituer à sa nouvelle vie.Dans le même temps, un groupe de monstres étonnamment bien organisés fait son apparition dans les environs du village. Pour garantir la sécurité des villageois, Cayna décide de partir à la recherche de leur tanière.Durant son absence, Louka et ses amis parviennent à se soustraire à la surveillance des adultes pour s'aventurer hors du village. Mais ne serait-ce pas l'ombre d'un monstre qui plane sur eux ? Critique : Hop la encore une année de passée à attendre notre petit moment de détente manga... mais au moins les auteurs prennent le temps de nous livrer une histoire qui reste dans la lignée des précédentes. Une histoire feel good faite uniquement de bonnes personnes. Une histoire qui voit une héroïne superpuissante se servir de ses pouvoirs uniquement pour faire le bien autour d'elle. Un bien qui lui est rendu par une population qui l'aime. Et c'est encore plus vrai sur ce nouveau tome centré autour de la nouvelle fille de Cayna. Une petite fille toute mignonne et timide, protégée par une Cayna très maternelle, ce qui rend ce tome super mignon. On a toujours notre petit lot d'aventure et de combat qui permettent de montrer la toute puissance de Cayna, mais cela sert toujours à protéger sa fille ou ses amis. En gros un tome toujours aussi sympa à lire et qui aurait tendance à me faire dire que le rythme d'un par an n'est pas si mal. Cela permet de ne pas être "saoulé" par le rythme lent de la lecture, mais plutôt d'apprécier ce moment de repos annuel. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/in-the-land-of-leadale-tome-7?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. The_PoP

    Tête de chien - Tome 3

    Ah c'est un sacré coup de cœur dont on va parler ici. Les deux premiers tomes de Tête de chien nous avaient déjà passionné. Il faut dire que l'on est nombreux ici à aimer le travail que font ces 3 auteurs ensemble. Je trouve que ce tome 3 de Tête de chien monte encore en puissance, et nous livre la quintessence de ce que des auteurs modernes peuvent faire en bd franco belge tout en intégrant les influences du comics et du manga. Les mises en scènes sont juste brillantes, plus que cinématographiques, elle rendent la bd vraiment vivante. On entend presque les personnages se parler. Le scénario de Vincent Brugeas gagne encore en épaisseur, car si l'on était jusqu'à présent dans l'univers des Tournois, on sort sur ce tome de ce cadre là pour rentrer dans un monde plus réel et pourtant toujours à notre échelle. Oui dans ce tome 3 certains combat ne seront pas juste pour la gagne et nos personnages sont tellement bien pensés, premiers comme second rôles que l'on va frémir pour eux. L'art de Ronan Toulhoat s'exprime je trouve pleinement dans les gueules dures, parfois abîmés, affichant leurs vécus, de ses personnages. Certes comme dans le comics on pourra pinailler sur quelques arrières plans un peu légers, mais franchement je pense que cela nuirait vraiment à l'ensemble en le surchargeant. On retrouve dans ce Tête de Chien un peu la folie et la créativité visuelle de certains comics indépendants. Je ne vais pas en rajouter une couche sur les couleurs de Yoann Guillo qui s'impose pour moi comme l'un des meilleurs coloriste actuels, et je continue de trouver qu'il forme avec Ronan Toulhoat une paire qui se bonifie mutuellement. Bref, foncez, parce que ces personnages là, avec ce dessin là, on veut les suivre beaucoup plus loin. Vous pouvez y aller, les yeux fermés, que vous aimiez la chevalerie et le moyen âge ou non d'ailleurs.
  7. Titre de l'album : Son odeur après la pluie Scenariste de l'album : Jose Luis Munuera Dessinateur de l'album : Jose Luis Munuera Coloriste : Jose Luis Munuera Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : C'est une histoire d'amour, de vie et de mort, entre un homme, Cédric, et son chien, Ubac, un bouvier bernois dont la présence devient vite essentielle. Mais le vrai héros, c'est leur lien : unique, universel, dépassant bien des relations humaines. Pendant treize ans, ils partagent rires, inquiétudes et moments fugaces d'intensité, jusqu'à ce que la mort impose son absence. Véritable ode à la vie, ce récit explore l'amour inconditionnel, la vie qui file trop vite, et ces souvenirs persistants, comme une odeur aimée qui reste gravée, même après la pluie. Critique : Gardez bien en tête 4 points important quand à l'auteur de cette chronique, à savoir moi : 1. J'ai un chien 2. J'aime la montagne. 3. Je n'avais jamais lu le roman. 4. J'adore les dessins de Jose Luis Munuera C'est important, car le point 1 conditionne beaucoup le sensibilité que l'on aura à la lecture de cet ouvrage, tous comme dans une moindre mesure j'imagine les points suivants. Gardez donc cela en tête en lisant ce qui suit. Je n'étais pas particulièrement emballé à la lecture de cet ouvrage, que je redoutais trop mélencolique/introspectif pour ma soif d'aventures dessinées actuelle. Comme quoi même au bout de plus de trente ans d'amour de la bd, on continue de penser des bêtises. Et oui, évidemment, sous estimer Jose Luis Munuera est une Monumentale erreur ! Son dessin est encore une fois sublime, plus réaliste que sur certaines de ces dernières sorties, plus contemplatif aussi, on sent qu'il a lui aussi été contaminé par ce récit, mais aussi par ces paysages, ce Vercors, et ces Alpes que l'on aime tant. L'histoire elle est plus classique, plus convenue, mais elle est racontée avec une belle pudeur, avec plus de détails que de grandes philosophies, ce qui la rend riche de ce qui n'est pas écrit ou dit. Les personnages sont tous sublimes et travaillés, vivants, et nous inspirant vite une forte empathie. Les émotions sont présentes, mais adoucies par la montagne, par la pudeur des auteurs. Et puis il y a cette ode à la nature, à la liberté, et à la fuite qui résonne en douceur en arrière plan. C'est une très belle bd, de celle qui provoque des émotions, et que vous pourrez rouvrir un jour juste pour la contempler. Ne passez à côté que si vous êtes vraiment allergique aux animaux. Et merci M. Munuera. Autres infos : D'après le roman de Cédric Sapin-Defour Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/son-odeur-apres-la-pluie/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. The_PoP

    Traqué dans l'espace

    Quelle belle idée que d'inverser un peu les rôles. Cette fois-ci c'est bien l'humanité qui s'est faite éradiquer. Et le dernier homme qui devient la chose la plus précieuse de l'univers. Le pitch est simple mais en renversant les rôles il permet d'obtenir une belle dramaturgie ainsi qu'un souffle de fraicheur qui évite à ce space opéra d'avoir un trop grand air de déjà vu. On embarque assez vite dans cette aventure, rythmée et sans temps morts jusqu'à la dernière page. Les seconds rôles apportent un peu de fraicheur à ce héros parfois un peu dépassé par les évènements. Les clins d'oeils à la SF y sont nombreux pour les amateurs. Le style graphique lui est assez particulier, et aurait gagné je trouve a un peu plus de lisibilité dans les scènes d'actions.
  9. Titre de l'album : Traqué dans l'espace Scenariste de l'album : Michael Park & Chris Baldie Dessinateur de l'album : Chris Baldie Coloriste : Chris Baldie Editeur de l'album : Bamboo Note : Résumé de l'album : Il est le dernier humain de l'univers, sa valeur est inestimable.Que la chasse commence ! L'humanité a disparu. Il est le dernier Homme survivant. Prisonnier d'un sarcophage échoué sur une planète de glace, il revient à la vie. Mais il n'a plus aucun repère car tout ce qui faisait son monde a disparu. Désormais, seul représentant de son espèce, il devient une marchandise à la valeur inestimable. Traqué par tout ce que l'univers compte de chasseurs de prime, il va devoir se battre, s'enfuir sans jamais renoncer dans un seul but : survivre. Action, gunfights lasers et résilience ! Suivez la traque épique à travers l'espace d'un vieux capitaine fatigué. Critique : Quelle belle idée que d'inverser un peu les rôles. Cette fois-ci c'est bien l'humanité qui s'est faite éradiquer. Et le dernier homme qui devient la chose la plus précieuse de l'univers. Le pitch est simple mais en renversant les rôles il permet d'obtenir une belle dramaturgie ainsi qu'un souffle de fraicheur qui évite à ce space opéra d'avoir un trop grand air de déjà vu. On embarque assez vite dans cette aventure, rythmée et sans temps morts jusqu'à la dernière page. Les seconds rôles apportent un peu de fraicheur à ce héros parfois un peu dépassé par les évènements. Les clins d'oeils à la SF y sont nombreux pour les amateurs. Le style graphique lui est assez particulier, et aurait gagné je trouve a un peu plus de lisibilité dans les scènes d'actions. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/traque-dans-l-espace/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. poseidon2

    La famille Tango tome 1

    Bon alors la c'est sûr, les responsables de Dupuis ont trouvé un filon coté jeunesse. J'irai même jusqu'à avancer qu'ils ont mis le doigt sur le chainon manquant entre le manga et la BD. Attention, loin de moi l'idée de dire que cette Famille Tango n'est pas une BD. C'est juste que le format souple, le nombre de pages très important (192), la densité de l'histoire et la facilité de lecture ressemblent à ce qui fait le succès des Webtoon et autres mangas pour jeunes lecteurs. Et c'est surtout super efficace. J'ai chez moi une lectrice de 10 ans qui oscille entre BD et manga et cette "famille tango", avec Holly Moly, Hooky et les autres, la passionne autant qu'une shonen de base. Et je comprends. On retrouve une aventure avec un petit coté onirique. Une héroïne au fort caractère et un lien familiale fort. Tout ce qui permet à un jeune lecteur de se reconnaitre dans une héroïne et dans une histoire. Si cette famille tango n'est pas la plus originale des sorties, elle entérine un format qui plait et, pour moi, un bon moyen de ramener les jeunes lecteurs vers la bd européenne.
  11. Titre de l'album : La famille Tango tome 1 Scenariste de l'album : Karim Alliane Dessinateur de l'album : Henri Calais Coloriste : Henri Calais Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Caramba : la vie de Tina Tango, une collégienne mexicaine aussi cool que studieuse, est super compliquée ! Bien sûr, elle vit chez sa mamie, mais c'est parce que Sueños, sa maman, a mystérieusement disparu ! Et puis, il y a son père remarié, avec qui les relations sont un peu tendue. Sans parler de Kim, sa BEF (Best Enemy forever), qui lui a volé le carnet de sa mère, son dernier souvenir d'elle ! Mais lorsque le carnet révèle son étrange pouvoir - il met en images ce qui arrive dans la vie de son lecteur - les deux jeunes filles sont soudain pourchassées par le « Grand Zéro », un cruel dieu-chat souhaitant effacer de la mémoire des hommes leurs contes, légendes et histoires, afin d'imposer son règne à lui... Tina, Mamie et Kim vont devoir lutter, en compagnie de la « Section U », une organisation secrète où œuvraient peut-être certains membres de la famille Tango... Un récit totalement fou et trépidant, rencontre improbable de James Bond et Coco ! Critique : Bon alors la c'est sûr, les responsables de Dupuis ont trouvé un filon coté jeunesse. J'irai même jusqu'à avancer qu'ils ont mis le doigt sur le chainon manquant entre le manga et la BD. Attention, loin de moi l'idée de dire que cette Famille Tango n'est pas une BD. C'est juste que le format souple, le nombre de pages très important (192), la densité de l'histoire et la facilité de lecture ressemblent à ce qui fait le succès des Webtoon et autres mangas pour jeunes lecteurs. Et c'est surtout super efficace. J'ai chez moi une lectrice de 10 ans qui oscille entre BD et manga et cette "famille tango", avec Holly Moly, Hooky et les autres, la passionne autant qu'une shonen de base. Et je comprends. On retrouve une aventure avec un petit coté onirique. Une héroïne au fort caractère et un lien familiale fort. Tout ce qui permet à un jeune lecteur de se reconnaitre dans une héroïne et dans une histoire. Si cette famille tango n'est pas la plus originale des sorties, elle entérine un format qui plait et, pour moi, un bon moyen de ramener les jeunes lecteurs vers la bd européenne. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-famille-tango-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Titre de l'album : Don Juan des flots - Acte 1 - L'abuseur Scenariste de l'album : Isabelle Bauthian Dessinateur de l'album : Rebecca Morse Coloriste : Nicolas Vial Editeur de l'album : Drakoo Note : Résumé de l'album : Une tragi-comédie en 3 actes, avec des superhéros ! « Bon crépuscule, habitants de Flot ! » Dans la ville de Flot, îlot libertaire entouré d'océans déchaînés et peuplé de magiciens, vous pouvez faire ce que vous voulez, être qui vous souhaitez, vivre comme vous l'entendez. Les artistes, les scientifiques, les penseurs y furent un jour tout-puissants mais, les années passant, la belle utopie s'est effondrée, ne laissant qu'une cité sans foi ni loi. N'existe-t-il plus de grands esprits ? N'y a-t-il plus de héros ?On dirait bien que si. Car un justicier parcourt les rues. Un justicier pas très regardant, qui n'hésite pas à poignarder les contrevenants dans le dos et à séduire les victimes, mais un justicier tout de même, et que les gens adorent... DON JUAN ! Critique : Et hop on retrouve les auteures de Dragon & Poisons déjà chez Drakoo pour une nouvelle trilogie de fantasy centrée cette fois-ci sur une interprétation du personnage de Don Juan. Et cette entrée en matière est plutôt très réussie car si j'ai crains un petit peu au début que le style graphique soit un peu trop gentil pour la fantasy, il gagne vite en profondeur. Certes il manque encore un soupçon de régularité je trouve entre les planches notamment sur le traitement d visage de don juan, mais vraiment je pinaille, c'est plutôt réussi ET charmeur. L'histoire nous joue elle aussi le même tour pendable, elle donne l'impression de partir dans tous les sens pour nous livrer un univers riche, mais pauvre en explications, pour finalement nous amener vers une fin, et quelques réponses, qui nous tiennent plus qu'en haleine ! On a hâte d'en lire la suite et on est surpris, et ça ce n'est pas rien pour le lecteur goinfré de Fantasy que je suis. J'espère vivement que le tome 2 saura trouver son équilibre avant de nous apporter une conclusion maitrisée ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/don-juan-des-flots-tome-1/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Et hop on retrouve les auteures de Dragon & Poisons déjà chez Drakoo pour une nouvelle trilogie de fantasy centrée cette fois-ci sur une interprétation du personnage de Don Juan. Et cette entrée en matière est plutôt très réussie car si j'ai crains un petit peu au début que le style graphique soit un peu trop gentil pour la fantasy, il gagne vite en profondeur. Certes il manque encore un soupçon de régularité je trouve entre les planches notamment sur le traitement d visage de don juan, mais vraiment je pinaille, c'est plutôt réussi ET charmeur. L'histoire nous joue elle aussi le même tour pendable, elle donne l'impression de partir dans tous les sens pour nous livrer un univers riche, mais pauvre en explications, pour finalement nous amener vers une fin, et quelques réponses, qui nous tiennent plus qu'en haleine ! On a hâte d'en lire la suite et on est surpris, et ça ce n'est pas rien pour le lecteur goinfré de Fantasy que je suis. J'espère vivement que le tome 2 saura trouver son équilibre avant de nous apporter une conclusion maitrisée !
  14. The_PoP

    Son odeur après la pluie

    Gardez bien en tête 4 points important quand à l'auteur de cette chronique, à savoir moi : 1. J'ai un chien 2. J'aime la montagne. 3. Je n'avais jamais lu le roman. 4. J'adore les dessins de Jose Luis Munuera C'est important, car le point 1 conditionne beaucoup le sensibilité que l'on aura à la lecture de cet ouvrage, tous comme dans une moindre mesure j'imagine les points suivants. Gardez donc cela en tête en lisant ce qui suit. Je n'étais pas particulièrement emballé à la lecture de cet ouvrage, que je redoutais trop mélencolique/introspectif pour ma soif d'aventures dessinées actuelle. Comme quoi même au bout de plus de trente ans d'amour de la bd, on continue de penser des bêtises. Et oui, évidemment, sous estimer Jose Luis Munuera est une Monumentale erreur ! Son dessin est encore une fois sublime, plus réaliste que sur certaines de ces dernières sorties, plus contemplatif aussi, on sent qu'il a lui aussi été contaminé par ce récit, mais aussi par ces paysages, ce Vercors, et ces Alpes que l'on aime tant. L'histoire elle est plus classique, plus convenue, mais elle est racontée avec une belle pudeur, avec plus de détails que de grandes philosophies, ce qui la rend riche de ce qui n'est pas écrit ou dit. Les personnages sont tous sublimes et travaillés, vivants, et nous inspirant vite une forte empathie. Les émotions sont présentes, mais adoucies par la montagne, par la pudeur des auteurs. Et puis il y a cette ode à la nature, à la liberté, et à la fuite qui résonne en douceur en arrière plan. C'est une très belle bd, de celle qui provoque des émotions, et que vous pourrez rouvrir un jour juste pour la contempler. Ne passez à côté que si vous êtes vraiment allergique aux animaux. Et merci M. Munuera.
  15. Titre de l'album : Empires tome 3 - La compagnie de la croix blanche Scenariste de l'album : Nicolas Jarry Dessinateur de l'album : Marco Pelliccia Coloriste : Elodie Jacquemoire Editeur de l'album : Oxymore Note : Résumé de l'album : Emprisonné depuis des années dans le bagne de Kaltë, Arun survit malgré le froid, les privations, la violence et les créatures qui hantent les sombres souterrains. Il creuse la peur au ventre, à la recherche de la plus rare et la plus précieuse des ressources de Draal : les orbes noires. Il s'efforce d'oublier son passé, rongé par la culpabilité et le désespoir, jusqu'au jour où le légendaire capitaine de la compagnie de la Croix-blanche vient lui offrir un espoir de rédemption. Alors s'ensuit une quête sanglante qui le ramènera inexorablement vers son passé. Critique : Nous poursuivons la découverte de cet univers dark fantasy avec le troisième tome consacré à la compagnie blanche. Tout commence par la découverte des personnages et notamment Arun et sa famille. Ils vivent paisiblement à l'écart de tout danger, menant une existence paisible tout en cultivant leurs terres. On perçoit assez rapidement le désir d'aventures d'Arun et son frère, aussi lorsqu'une mystérieuse troupe saccage leur logis et viole leur soeur, les deux frères seuls survivants de ce massacre, partent à la rencontre du monde animés par un profond désir de vengeance ! Mais il s'avère vaste et semé d'embûches, leurs pérégrinations vont les mener au bagne de Kaltë où leur existence prendra un tournant inattendu et bien sombre. Un drame, un parcours initiatique, un soupçon de magie noire, un désir de vengeance, vous l'avez compris on retrouve les thèmes habituels des sagas de fantasy de la mouvance actuelle. Un scénario convenu donc, avec la voix off l'accompagnant et un dessin détaillé et précis de l'artiste italien Marco Pelliccia. Son trait réaliste s'inscrit dans la lignée des tomes précédents, il est magnifié par les couleurs sublimes d'Elodie Jacquemoire. Il faut souligner une fois de plus l'excellent travail des coloristes chez Oxymore, les effets visuels sont superbes, au diapason d'une lumière aux nombreux reflets donnant de la vie au dessin. 3 tomes pour trois histoires indépendantes, deux tomes sont encore prévus, voyons où ce collectif d'auteurs nous mène ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/empires-tome-3-la-compagnie-de-la-croix-blanche/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Nous poursuivons la découverte de cet univers dark fantasy avec le troisième tome consacré à la compagnie blanche. Tout commence par la découverte des personnages et notamment Arun et sa famille. Ils vivent paisiblement à l'écart de tout danger, menant une existence paisible tout en cultivant leurs terres. On perçoit assez rapidement le désir d'aventures d'Arun et son frère, aussi lorsqu'une mystérieuse troupe saccage leur logis et viole leur soeur, les deux frères seuls survivants de ce massacre, partent à la rencontre du monde animés par un profond désir de vengeance ! Mais il s'avère vaste et semé d'embûches, leurs pérégrinations vont les mener au bagne de Kaltë où leur existence prendra un tournant inattendu et bien sombre. Un drame, un parcours initiatique, un soupçon de magie noire, un désir de vengeance, vous l'avez compris on retrouve les thèmes habituels des sagas de fantasy de la mouvance actuelle. Un scénario convenu donc, avec la voix off l'accompagnant et un dessin détaillé et précis de l'artiste italien Marco Pelliccia. Son trait réaliste s'inscrit dans la lignée des tomes précédents, il est magnifié par les couleurs sublimes d'Elodie Jacquemoire. Il faut souligner une fois de plus l'excellent travail des coloristes chez Oxymore, les effets visuels sont superbes, au diapason d'une lumière aux nombreux reflets donnant de la vie au dessin. 3 tomes pour trois histoires indépendantes, deux tomes sont encore prévus, voyons où ce collectif d'auteurs nous mène !
  17. Déjà le second tome pour Sophie et Quentin, notre couple d'aventuriers malgré eux ! Après les îles grecques, leur voyage les mène cette fois en Amérique centrale et sans les enfants ! Enfin du repos, car chacun sait que des vacances avec les enfants, ne sont pas de vraies vacances 😉 Sauf que, notre couple n'est décidément pas verni en matière de "séances farnientes". En effet, durant le vol, une fulgurante gastro-entérite s'en prend à Sophie, cadeau hérité des enfants juste avant de partir ! A ceci s'ajoute une météo catastrophique ayant pour conséquence le détour de leur vol vers l'aéroport le plus proche. Sous une pluie diluvienne, Quentin loue une voiture et s'enfonce dans la jungle... De biens curieuses rencontres les attendent, avec un couple en cavale, un trésor pré-colombien et cette satanée gastro qui se "partage" ! Une fois de plus, ils vont pouvoir compter sur leur complémentarité pour se sortir de ce guêpier. Bastien Vivès s'amuse à bousculer les codes de l'aventure, il use de culture pop avec de nombreuses références cinématographiques, puis les met au goût du jour en y incorporant une dose d'humour bienvenue. Cela donne une histoire légèrement convenue, à la fin attendue, mais on garde quand même le sel de ces films à tandem des années 90 avec de nombreuses péripéties et l'impression d'avoir passé un bon moment. Son trait dépeint une jungle hostile, boueuse sous des tombereaux d'averses, il réalise un travail soigné avec de multiples détails en arrière plan. Si vous avez apprécié le premier tome, ce changement de décors vous plaira, à noter l'humour bien plus présent avec quelques scènes cocasses, gastro oblige 😉
  18. Titre de l'album : Lune de miel tome 2 - Le secret de Coatlicue Scenariste de l'album : Bastien Vivès Dessinateur de l'album : Bastien Vivès Coloriste : Brigitte Findakly Editeur de l'album : Casterman Note : Résumé de l'album : Sophie et Quentin n'ont décidément pas de chance avec leurs vacances ! Dérouté en raison d'une météo hostile, leur vol pour l'Amérique centrale se pose dans un petit aérodrome secondaire. Pour couronner le tout, Sophie a contracté avant de partir la gastro des enfants. En essayant de rejoindre la capitale en voiture de location, notre couple d'aventuriers s'embourbe en pleine jungle, au coeur d'un conflit entre orpailleurs et flics corrompus... Un rythme effréné pour cette nouvelle série qui rappelle les films d'action familiaux des années 1980 et 1990 : À la poursuite du diamant vert, Crocodile Dundee ou True Lies. Critique : Déjà le second tome pour Sophie et Quentin, notre couple d'aventuriers malgré eux ! Après les îles grecques, leur voyage les mène cette fois en Amérique centrale et sans les enfants ! Enfin du repos, car chacun sait que des vacances avec les enfants, ne sont pas de vraies vacances 😉 Sauf que, notre couple n'est décidément pas verni en matière de "séances farnientes". En effet, durant le vol, une fulgurante gastro-entérite s'en prend à Sophie, cadeau hérité des enfants juste avant de partir ! A ceci s'ajoute une météo catastrophique ayant pour conséquence le détour de leur vol vers l'aéroport le plus proche. Sous une pluie diluvienne, Quentin loue une voiture et s'enfonce dans la jungle... De biens curieuses rencontres les attendent, avec un couple en cavale, un trésor pré-colombien et cette satanée gastro qui se "partage" ! Une fois de plus, ils vont pouvoir compter sur leur complémentarité pour se sortir de ce guêpier. Bastien Vivès s'amuse à bousculer les codes de l'aventure, il use de culture pop avec de nombreuses références cinématographiques, puis les met au goût du jour en y incorporant une dose d'humour bienvenue. Cela donne une histoire légèrement convenue, à la fin attendue, mais on garde quand même le sel de ces films à tandem des années 90 avec de nombreuses péripéties et l'impression d'avoir passé un bon moment. Son trait dépeint une jungle hostile, boueuse sous des tombereaux d'averses, il réalise un travail soigné avec de multiples détails en arrière plan. Si vous avez apprécié le premier tome, ce changement de décors vous plaira, à noter l'humour bien plus présent avec quelques scènes cocasses, gastro oblige 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/lune-de-miel-le-secret-de-coatlicue/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Titre de l'album : Neoforest tome 2 (fin) Scenariste de l'album : Fred Duval Dessinateur de l'album : Philippe Scoffoni Coloriste : Philippe Scoffoni Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Trois personnages, trois destins et trois sentiers différents : voyage initiatique pour Blanche ; piège et intrigue de palais pour le comte Cocto, père de Blanche ; chemin de la rédemption pour Greem. Le tout se jouera dans une seule histoire et dans un lieu unique : NeoForest, la Grande Forêt Centrale, au temps du NeoFéodalisme, quand les hommes maîtrisent la génétique, avec tous les problèmes et les drames que cette technologie peut engendrer. Critique : Suite et fin de l'aventure d'anticipation moyenâgeuse de Fred Duval. Et une fin... Qui a un léger gout de "ça n'a pas forcément marcher comme il faut". En effet, si Fred Duval nous livre bien la fin de son histoire, la fin du tome semble être,elle , un peu précipitée. La première partie est très bien gérée, prenant même le temps d'un "rappel" pour ceux qui aurait eu la flemme de relire le premier tome. Elle nous livre aussi bien la suite de l'aventure que le background de Greem, qui va de pair avec l'histoire des royaumes. On se passionne donc autant des retournements de situations qui accablent Blanche que des récits des années précédentes. La seule problématique est... la fin. Je n'aime pas "divulgâcher" mais la fin nous livre une scène globale qui impact tout le monde, mais dont on ne traite malheureusement presque aucune répercussion. On va tellement à l'essentiel qu'on a une impression qu'il nous reste plein de questions sans réponse. C'est un peu dommage car l'univers était bien en place et permettait encore bien des développements. Enfin, ce NeoForest restera quand même un bon dytique graphiquement très réussi dans un univers radicalement innovant. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/neoforest-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. poseidon2

    Helck tome 9

    Titre de l'album : Helck tome 9 Scenariste de l'album : Nanaki Nanao Dessinateur de l'album : Nanaki Nanao Coloriste : Editeur de l'album : Doki-Doki Note : Résumé de l'album : Un mystérieux héros qui dit vouloir exterminer tous ses semblables ?! Attention, voici l'incroyable Helck ! "Hors de question de perdre", affirma le héros.La bataille finale a commencé. Helck et son groupe ont infiltré le pays des hommes. Dans les sous-sols du château du Roi, ils font une surprenante découverte !De son côté, l'armée impériale doit faire face à une nouvelle menace, alors qu'elle cherche à détruire la tour... Critique : Dernier tome "d'histoire" de Helck avec une surprenante évolution. En effet notre auteur nous trouve un lien avec... notre époque. Oui oui l'histoire est plus complexe qu'un simple combat entre Humain et Demons et les humains ne sont pas jute des brutes sans cervelles mais veulent, eux aussi, lutter pour qu'ils n'arrivent ca qu'il est déjà arrivé au peuple humain des milliers d'années auparavant. Un retournement de situation assez surprenant et que j'espère ne pas être trop complexe, de peur qu'il n'écrase le coté très "humain" du combat de Helck. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/helck-tome-9?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. poseidon2

    Helck tome 9

    Dernier tome "d'histoire" de Helck avec une surprenante évolution. En effet notre auteur nous trouve un lien avec... notre époque. Oui oui l'histoire est plus complexe qu'un simple combat entre Humain et Demons et les humains ne sont pas jute des brutes sans cervelles mais veulent, eux aussi, lutter pour qu'ils n'arrivent ca qu'il est déjà arrivé au peuple humain des milliers d'années auparavant. Un retournement de situation assez surprenant et que j'espère ne pas être trop complexe, de peur qu'il n'écrase le coté très "humain" du combat de Helck.
  22. Titre de l'album : Un putain de salopard - Tome 4 - Le rituel Scenariste de l'album : Régis Loisel Dessinateur de l'album : Olivier Pont Coloriste : François Lapierre Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : Herman, mourant, met la main sur le manchot et le contraint à le mener à l'épave de l'avion où repose la dépouille de sa fille. De leur côté, Max et Baïa, accompagnés par Régo, se mettent à la recherche de ce dernier pour obtenir la vérité autour de leurs origines qu'il est le seul à détenir. Tous vont se retrouver réunis au coeur de la jungle pour une ultime confrontation. Critique : Et voici le cadeau de noël idéal ! Super conclusion à cette remarquable série dessinée par Olivier Pont et scénarisée par Régis Loisel, cette série en 4 tomes offre tout ce qu'on aime en bd : du dépaysement assuré avec cette amazonie reculée où la civilisation n'est pas encore tout à fait là, des dessins somptueux et chaleureux, mettant à l'honneur les personnages, et un scénario bien mené qui n'est peut être pas le plus original jamais lu, mais qui tient le rythme et le choc jusqu'à la fin, nous poussant à toujours tourner une page de plus. Un régal du début à la fin avec 4 tomes tous excellents. J'ai apprécié passer du temps avec ces personnages, les petites pointes d'humour étant judicieusement distribuées. Il y a en plus parfois une belle humanité malgré ces salopards là... A noter également que la colorisation de François Lapierre met merveilleusement bien en valeur les dessins et les décors imaginés par Olivier Pont et Régis Loisel Je ne peux que vous recommander chaudement de vous lancer dans "Un putain de salopard", parce que vous ne pouvez pas le regretter. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/un-putain-de-salopard-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. poseidon2

    Neoforest tome 2 (fin)

    Suite et fin de l'aventure d'anticipation moyenâgeuse de Fred Duval. Et une fin... Qui a un léger gout de "ça n'a pas forcément marcher comme il faut". En effet, si Fred Duval nous livre bien la fin de son histoire, la fin du tome semble être,elle , un peu précipitée. La première partie est très bien gérée, prenant même le temps d'un "rappel" pour ceux qui aurait eu la flemme de relire le premier tome. Elle nous livre aussi bien la suite de l'aventure que le background de Greem, qui va de pair avec l'histoire des royaumes. On se passionne donc autant des retournements de situations qui accablent Blanche que des récits des années précédentes. La seule problématique est... la fin. Je n'aime pas "divulgâcher" mais la fin nous livre une scène globale qui impact tout le monde, mais dont on ne traite malheureusement presque aucune répercussion. On va tellement à l'essentiel qu'on a une impression qu'il nous reste plein de questions sans réponse. C'est un peu dommage car l'univers était bien en place et permettait encore bien des développements. Enfin, ce NeoForest restera quand même un bon dytique graphiquement très réussi dans un univers radicalement innovant.
  24. poseidon2

    Holly Molly tome 1

    Qu'est ce que j'aime les parutions jeunesses actuelles. On se retrouve enfin avec des scenarios dignes de ce nom et des histoires d'ampleur, sans pour autant perdre le coté enfantin des histoires pour les 10-15 ans. Ce Holly Molly en est un des parfaits exemples. On retrouve un monde avec une véritable histoire. La magie qui était partie prenante de la vie des gens a été remplacée par des inventions et se trouve être de plus en plus rare. Des petites filles pleines de convictions et aux avis très trancher sur les "sujets de grands" comme le sont les petites filles pré ados. Un lien familial très fort et des scènes très cocasses qui mènent à une aventure dangereuse, pleines de rebondissement, mais surtout pleine de bons sentiments et d'amour fraternel. Bref tout ce qu'il faut pour que les jeunes adhèrent et que les parents autorisent la lecture après avoir eux-mêmes appréciés la lecture.
  25. Titre de l'album : Holly Molly tome 1 Scenariste de l'album : Antoine Piers Dessinateur de l'album : Sway Coloriste : Sway Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Azurbourg est une petite contrée où l'influence des magiciens a disparu depuis que l'Antiquaire, la bienfaitrice de la région, a rendu leur services inutiles grâce à des inventions telles que la Machine à laver ou le Téléphone. Mais Molly, qui a des prédispositions pour la magie, au grand dam de Holly sa grande sœur cartésienne, va par hasard mettre la main sur un jeu de tarot magique, et ainsi révéler les pouvoirs enfouis en elle ! Flanquées de l'étrange Gardien et du petit Shun, les sœurs vont vivre de folles et dangereuses aventures ! Une grande aventure feel good dans un univers magique, qui fera rêver les enfants ! Critique : Qu'est ce que j'aime les parutions jeunesses actuelles. On se retrouve enfin avec des scenarios dignes de ce nom et des histoires d'ampleur, sans pour autant perdre le coté enfantin des histoires pour les 10-15 ans. Ce Holly Molly en est un des parfaits exemples. On retrouve un monde avec une véritable histoire. La magie qui était partie prenante de la vie des gens a été remplacée par des inventions et se trouve être de plus en plus rare. Des petites filles pleines de convictions et aux avis très trancher sur les "sujets de grands" comme le sont les petites filles pré ados. Un lien familial très fort et des scènes très cocasses qui mènent à une aventure dangereuse, pleines de rebondissement, mais surtout pleine de bons sentiments et d'amour fraternel. Bref tout ce qu'il faut pour que les jeunes adhèrent et que les parents autorisent la lecture après avoir eux-mêmes appréciés la lecture. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/holly-molly-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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