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  1. Kevin Nivek

    Aliénor et les aliens tome 1

    Nouvelle parution jeunesse chez Jungle avec une jeune fille nommée Aliénor comme la grande reine. On découvre vite au fil des strips humoristiques ses difficultés à l'école, relations avec ses camarades entre autres. Des problèmes que nous avons toutes et tous au moins une fois rencontrés durant notre scolarité, mais l'histoire va vitre prendre une autre tournure avec l'arrivée de deux extra-terrestres en mission pour aborder la grande Aliénor d'Aquitaine. Vous l'aurez compris, ils se sont trompés et vont devoir cohabiter avec la jeune fille qui elle même va composer sa nouvelle vie avec eux ! Car avoir un pigeon et un radio-cassettes portatif comme amis (l'apparence qu'ils se donnent), avouez que ce n'est pas simple 🙂 ! Les situations cocasses vont donc s'enchaîner aux influences diverses comme les Zinzins de l'espace ou encore Calvin et Hobbes. Illustrateur de jeux de société comme Magic Maze, Gyom diversifie son activité avec la BD et nous offre un dessin numérique tout en rondeur aux couleurs chatoyantes et modernes. Comme dans toute BD humoristique, les visages sont expressifs avec une belle palette d'émotions pour nos protagonistes. Un bon premier tome qui méritera confirmation dans le second, car on voudrait en savoir un peu plus sur nos deux "envoyés spatiaux" 🙂 .A partir de 7, 8 ans.
  2. Titre de l'album : Aliénor et les aliens tome 1 Scenariste de l'album : Luki Bancher Dessinateur de l'album : Gyom Coloriste : Gyom Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : La BD la plus déjantée de l'année ! Lorsque Xitol et Stéréo débarquent par erreur dans la vie d'Aliénor, elle est loin de se douter combien cette rencontre va bouleverser son quotidien. Il faut dire qu'ils sont un peu maladroits et plutôt collants... mais qui n'a jamais rêvé d'avoir des copains extra-terrestres ? Critique : Nouvelle parution jeunesse chez Jungle avec une jeune fille nommée Aliénor comme la grande reine. On découvre vite au fil des strips humoristiques ses difficultés à l'école, relations avec ses camarades entre autres. Des problèmes que nous avons toutes et tous au moins une fois rencontrés durant notre scolarité, mais l'histoire va vitre prendre une autre tournure avec l'arrivée de deux extra-terrestres en mission pour aborder la grande Aliénor d'Aquitaine. Vous l'aurez compris, ils se sont trompés et vont devoir cohabiter avec la jeune fille qui elle même va composer sa nouvelle vie avec eux ! Car avoir un pigeon et un radio-cassettes portatif comme amis (l'apparence qu'ils se donnent), avouez que ce n'est pas simple 🙂 ! Les situations cocasses vont donc s'enchaîner aux influences diverses comme les Zinzins de l'espace ou encore Calvin et Hobbes. Illustrateur de jeux de société comme Magic Maze, Gyom diversifie son activité avec la BD et nous offre un dessin numérique tout en rondeur aux couleurs chatoyantes et modernes. Comme dans toute BD humoristique, les visages sont expressifs avec une belle palette d'émotions pour nos protagonistes. Un bon premier tome qui méritera confirmation dans le second, car on voudrait en savoir un peu plus sur nos deux "envoyés spatiaux" 🙂 .A partir de 7, 8 ans. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/alienor-et-les-aliens-tome-1/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Titre de l'album : American parano tome 3 - Manhattan trauma Scenariste de l'album : Hervé Bourhis Dessinateur de l'album : Lucas Varela Coloriste : Lucas Varela Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : 5 juin 1968, New York. Mutée comme lieutenant à Big Apple pour assurer la sécurité du sénateur Bob Cavendish, en lice pour l'élection présidentielle, Kim Tyler voit ce dernier se faire abattre devant elle, comme le fut son président de frère avant lui... Pour Kim, expatriée de San Francisco et maintenant mère d'un enfant, ce drame n'est que l'aboutissement d'une période riche mais complexe, au cours de laquelle elle aura pataugé dans le bourbier des coups bas du monde politique... mais surtout dans celui des secrets de la famille Cavendish... Nouvelle ville, nouvelle intrigue, mais heureusement sans rien changer à Kim Tyler, héroïne aussi complexe qu'attachante, qui cette fois devra percer les secrets d'une famille de politiciens américains pas très éloignée des Kennedy ! Critique : Voir ce tome trois en rayonnage a été une véritable surprise pour moi. En effet, le premier diptyque ne laissait pas forcément de place à une suite. Mais pourquoi pas. En effet notre héroïne est plutôt intéressante avec son flegme et son flair. Et si l'on retrouve toutes ces caractéristiques dans ce deuxième diptyque, j'avoue que j'ai été un peu déçu. Non pas par le dessin toujours aussi sympa et différent de ce qui se fait pour les polars actuels. Mais plus par le copié collé de l'affaire Kennedy. Cela m'a enlevé une partie de l'intérêt du contexte. J'ai donc été moins pris par une histoire qui ne donne pas forcément, a mon gout et pour l'instant, assez d'importance à notre enquêtrice au profit de cet événement international. Si la fin est, elle, très intrigante, je suis un peu déçu de l'ensemble. J'aurais préféré une histoire moins connue et moins bling-bling comment le premier. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/american-parano-tome-3-manhattan-trauma?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Voir ce tome trois en rayonnage a été une véritable surprise pour moi. En effet, le premier diptyque ne laissait pas forcément de place à une suite. Mais pourquoi pas. En effet notre héroïne est plutôt intéressante avec son flegme et son flair. Et si l'on retrouve toutes ces caractéristiques dans ce deuxième diptyque, j'avoue que j'ai été un peu déçu. Non pas par le dessin toujours aussi sympa et différent de ce qui se fait pour les polars actuels. Mais plus par le copié collé de l'affaire Kennedy. Cela m'a enlevé une partie de l'intérêt du contexte. J'ai donc été moins pris par une histoire qui ne donne pas forcément, a mon gout et pour l'instant, assez d'importance à notre enquêtrice au profit de cet événement international. Si la fin est, elle, très intrigante, je suis un peu déçu de l'ensemble. J'aurais préféré une histoire moins connue et moins bling-bling comment le premier.
  5. Titre de l'album : Les Bodin's tome 2 - Les Bodin's au tour de France Scenariste de l'album : Coicault Dessinateur de l'album : Coicault Coloriste : Coicault Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Depuis quelques jours, Christian traîne des pieds et n'a plus goût au travail... Qu'à cela ne tienne ! Pour rebooster son fainéant de fils, Maria l'inscrit (par des moyens peu avouables) au Tour de France, flanqué de trois autres clampins. Cette fois, il ne va pas pédaler dans la semoule, mais pour de vrai, le gamin ! Autant dire que la course risque d'être mouvementée... Alors, prêts à encourager LES BODIN'S pour leur grande boucle ? Critique : Le duo comique les Bodin's créé en 1994 ne cesse de faire des petits, après des spectacles, une adaptation au cinéma, voici qu'ils s'emparent du monde du 9ème art avec le second tome paru chez Jungle ! La fermière Maria et son fils Christian continuent de nous faire rire avec pour toile de fond un tour de France à vélo. Pour relancer l'élan vital de Christian, Maria l'inscrit au Tour avec trois bras cassés dont un aux faux airs de Spirou mais avec la clope au bec ^^. En bon fan de Franquin, Coicault distille son humour au fil des pages sur le même modèle avec une page ou deux par gags, le tout en gardant la continuité du fil général qu'est la course. Les péripéties s'enchainent dans les contrées traversées par l'équipe de "champions" chapeautés par une Maria en grande forme, qui n'hésite pas à user de tous les subterfuges 🙂 La France des terroirs débarque en force et vous ne serez pas au bout de vos surprises ! Le dessin en ligne claire "gros nez" convient parfaitement à ce type d'histoires, certaines scènes sont désopilantes et parfaitement bien illustrées. Si vous aimez cet humour et l'univers rural des Bodin's, ce second tome vous ravira 😉 . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-bodin-s-tome-2/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Le duo comique les Bodin's créé en 1994 ne cesse de faire des petits, après des spectacles, une adaptation au cinéma, voici qu'ils s'emparent du monde du 9ème art avec le second tome paru chez Jungle ! La fermière Maria et son fils Christian continuent de nous faire rire avec pour toile de fond un tour de France à vélo. Pour relancer l'élan vital de Christian, Maria l'inscrit au Tour avec trois bras cassés dont un aux faux airs de Spirou mais avec la clope au bec ^^. En bon fan de Franquin, Coicault distille son humour au fil des pages sur le même modèle avec une page ou deux par gags, le tout en gardant la continuité du fil général qu'est la course. Les péripéties s'enchainent dans les contrées traversées par l'équipe de "champions" chapeautés par une Maria en grande forme, qui n'hésite pas à user de tous les subterfuges 🙂 La France des terroirs débarque en force et vous ne serez pas au bout de vos surprises ! Le dessin en ligne claire "gros nez" convient parfaitement à ce type d'histoires, certaines scènes sont désopilantes et parfaitement bien illustrées. Si vous aimez cet humour et l'univers rural des Bodin's, ce second tome vous ravira 😉 .
  7. Titre de l'album : Les cosmonautes Scenariste de l'album : Nicolas Bary, Nina Phillips Dessinateur de l'album : Etienne Péran Coloriste : Etienne Péran Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Bastien, Alphonse et Iris grandissent dans une petite ville de province, là où les rêves semblent trop grands pour le ciel. Bastien est sous le charme d'Iris, mais celle-ci est plus captivée par Alphonse et sa passion pour l'espace. Pour se rapprocher d'eux, Bastien accepte de les aider dans un projet un peu fou : construire une fusée pour partir à la conquête des astres. Très vite, Bastien découvre qu'Alphonse est atteint d'une maladie évolutive et que ce voyage qu'ils préparent est une course contre la montre. Ensemble, les enfants vont défier les lois de la gravité... Et celles de la vie. Une ode vivante et poétique à l'amitié, à la créativité et à la force de résilience. Critique : Attention, petite pépite chez Jungle avec ce formidable one-shot sentant bon l'animation et la madeleine de Proust ! Qui n'a pas rêvé un jour dans son enfance d'aller dans l'espace, d'égaler Gagarine et Amstrong, voire Thomas Pesquet pour les plus jeunes d'entre nous ?? La préface d'Arnaud Prost, astronaute réserviste est une ode à ces rêves qu'il appartient à chacun de concrétiser. "Osez" dit-il et ce sera le leitmotiv de nos trois héros Bastien, Iris et Alphonse dans cette aventure feel-good. Trois élèves brillant dans un triangle amoureux (parait-il 😉 ) et un rêve fou, celui de construire une fusée. Alphonse est l'instigateur principal de ce projet, iris le suit rapidement entrainant dans son sillage Bastien qui n'a d'yeux que pour elle. Lorsqu' Alphonse commence à rater les cours et leurs réunions dédiées à ce projet, Iris et Bastien s'activent envers et contre tous pour mener à bien cette quête des étoiles. Stand by me, les goonies, ET, on pense à ces films où amitié et aventures ne sont pas de vains mots. Les auteurs ajoutent un petit plus avec la maladie, seul véritable obstacle aux rêves les plus fous ! Mais cela se fait sans pathos ni larmoiement, plutôt une symbiose entre les trois amis avec un élan permanent de positivisme et ce malgré les nombreux obstacles jugulant leur avancée. Le dessin aide grandement à "kiffer" le récit littéralement, le trait numérique de Etienne Péran est tout simplement sublime, on se croirait dans une production Pixar ! L'émotion se dégage des visages d'autant que l'histoire est prenante à souhait ! Arriveront-ils à décoller et voler vers d'autres horizons ? Même la fin peut vous tirer une larme douce amère, prenante et terriblement résiliente. Un récit bien construit, des personnages attachants, une fin réussie, qu'attendez-vous pour vous jeter sur ce formidable "Les cosmonautes" ?? Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-cosmonautes/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. L'historienne Virgine Demay poursuit les aventures de notre trio à l'emblème royal de François 1er avec un second volume placé sous le signe de la cavale ! En effet, le clan des Salamandres ne cesse de courir, en fuite ou dans un but bien précis et on ne s'ennuie pas une seconde ! Colin est poursuivi suite à son accusation de meurtre, des forains le pourchassent ainsi qu'Eudes qui entend bien faire respecter la justice. Il désire aussi marier Jeanne afin de mieux "gérer" son héritage, mais cette dernière et son frère Aloïs ne l'entendent pas de cette oreille bien évidemment. Une fois Colin retrouvé, les trois compères fuient avec à leurs trousses les forains et Eudes. Un oncle à Lyon serait salutaire puis Florence, tel est le but ultime de leur périple ! Tout va très vite, l'action est omniprésente, on retient son souffle dans cette course poursuite à travers la France. Un peu moins d'anecdotes historiques mais un soucis du détail dans le dessin qui reste présent. Le trait à quatre mains est vraiment agréable, rondeur et douceur sont les maîtres mots, enrichis par une très jolie palette de couleurs; Barbucci n'est pas loin on sent ses influences à travers le dessin des deux italiens Urbano et Razzi. Une bien sympathique saga à venir chez jungle où l'aventure côtoie la grande histoire, le tout avec un dessin doté d'une belle énergie visuelle.
  9. Titre de l'album : Le clan des Salamandres tome 2 Scenariste de l'album : Virginie Demay Dessinateur de l'album : Emilio Urbano, Manuela Razzi Coloriste : Arianne Consonni Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Paris, 1518. Colin a enfin retrouvé Jeanne et Aloïs ! Mais leur répit est de courte durée. Traqués par leur oncle Eudes et par de redoutables forains, les trois amis du Clan des Salamandres doivent fuir à nouveau. Cap vers Lyon, puis l'Italie ! Entre courses-poursuites haletantes, duels, complots et révélations sur le passé de leurs parents, leur aventure les mènera toujours plus loin, au péril de leur liberté... et de leur vie. Parviendront-ils à échapper à leurs poursuivants et à réaliser leur rêve ? Critique : L'historienne Virgine Demay poursuit les aventures de notre trio à l'emblème royal de François 1er avec un second volume placé sous le signe de la cavale ! En effet, le clan des Salamandres ne cesse de courir, en fuite ou dans un but bien précis et on ne s'ennuie pas une seconde ! Colin est poursuivi suite à son accusation de meurtre, des forains le pourchassent ainsi qu'Eudes qui entend bien faire respecter la justice. Il désire aussi marier Jeanne afin de mieux "gérer" son héritage, mais cette dernière et son frère Aloïs ne l'entendent pas de cette oreille bien évidemment. Une fois Colin retrouvé, les trois compères fuient avec à leurs trousses les forains et Eudes. Un oncle à Lyon serait salutaire puis Florence, tel est le but ultime de leur périple ! Tout va très vite, l'action est omniprésente, on retient son souffle dans cette course poursuite à travers la France. Un peu moins d'anecdotes historiques mais un soucis du détail dans le dessin qui reste présent. Le trait à quatre mains est vraiment agréable, rondeur et douceur sont les maîtres mots, enrichis par une très jolie palette de couleurs; Barbucci n'est pas loin on sent ses influences à travers le dessin des deux italiens Urbano et Razzi. Une bien sympathique saga à venir chez jungle où l'aventure côtoie la grande histoire, le tout avec un dessin doté d'une belle énergie visuelle. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-clan-des-salamandres-tome-2/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Kevin Nivek

    Les cosmonautes

    Attention, petite pépite chez Jungle avec ce formidable one-shot sentant bon l'animation et la madeleine de Proust ! Qui n'a pas rêvé un jour dans son enfance d'aller dans l'espace, d'égaler Gagarine et Amstrong, voire Thomas Pesquet pour les plus jeunes d'entre nous ?? La préface d'Arnaud Prost, astronaute réserviste est une ode à ces rêves qu'il appartient à chacun de concrétiser. "Osez" dit-il et ce sera le leitmotiv de nos trois héros Bastien, Iris et Alphonse dans cette aventure feel-good. Trois élèves brillant dans un triangle amoureux (parait-il 😉 ) et un rêve fou, celui de construire une fusée. Alphonse est l'instigateur principal de ce projet, iris le suit rapidement entrainant dans son sillage Bastien qui n'a d'yeux que pour elle. Lorsqu' Alphonse commence à rater les cours et leurs réunions dédiées à ce projet, Iris et Bastien s'activent envers et contre tous pour mener à bien cette quête des étoiles. Stand by me, les goonies, ET, on pense à ces films où amitié et aventures ne sont pas de vains mots. Les auteurs ajoutent un petit plus avec la maladie, seul véritable obstacle aux rêves les plus fous ! Mais cela se fait sans pathos ni larmoiement, plutôt une symbiose entre les trois amis avec un élan permanent de positivisme et ce malgré les nombreux obstacles jugulant leur avancée. Le dessin aide grandement à "kiffer" le récit littéralement, le trait numérique de Etienne Péran est tout simplement sublime, on se croirait dans une production Pixar ! L'émotion se dégage des visages d'autant que l'histoire est prenante à souhait ! Arriveront-ils à décoller et voler vers d'autres horizons ? Même la fin peut vous tirer une larme douce amère, prenante et terriblement résiliente. Un récit bien construit, des personnages attachants, une fin réussie, qu'attendez-vous pour vous jeter sur ce formidable "Les cosmonautes" ??
  11. Titre de l'album : Monstres en vadrouille Scenariste de l'album : Kay Davault Dessinateur de l'album : Kay Davault Coloriste : Kay Davault Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Iris ne s'est jamais sentie à sa place dans le manoir de M. Halloway. Entre licornes, trolls et autres dragons, elle est pourtant bien entourée. Mais ce dont elle rêve, elle, c'est de liberté, et d'un véritable foyer. Jusqu'au jour où, par accident, un chasseur de monstres brise la magie qui scellait la porte de cette maison insolite. Pour la première fois, Iris et ses amis peuvent explorer la ville voisine : ses rues animées, ses lumières fascinantes, ses surprenants habitants...Une découverte de la beauté - et des dangers - du monde extérieur qui va déterrer un sombre secret... qui pourrait bien tout changer. Critique : Kay Davault imagine un monde où humains et monstres existent mais ne se côtoient pas, la faute à un imaginaire méfiant, en somme la peur de l'autre. On découvre Iris évoluant dans un manoir peuplé uniquement de monstres comme elle, sous l'oeil bienveillant de monsieur Halloway, un humain les protégeant. Iris n'est pas tout à fait comme les autres, elle rêve de liberté et ses envies d'ailleurs sont décuplées par le sentiment de ne pas être à sa place, aux côté de Halloway qui semble méfiant à son égard. Aussi, lors de la visite d'un intrus humain brisant le sceau d'inviolabilité magique du manoir et laissant la porte ouverte derrière lui, Iris sort et découvre un tout autre monde ! L'apprentissage de la vie, la méfiance des autres, de ce qu'on ne connait pas, le désir de liberté, Kay Davault insère de nombreux messages dans ce récit coloré et respirant de sincérité. Au fil des 300 pages, elle prend bien le temps de développer l'histoire avec la découverte des personnages et des nombreux secrets les liant. Le format "comics" offre peu de cases par pages et rend la lecture fluide et accessible pour les plus jeunes avec des dialogues courts. Le style "chibi" des protagonistes rend assez bien avec de l'originalité dans les faciès des petits monstres dotés d'une grande expressivité. Un sympathique one-shot à faire découvrir aux plus de 8 ans, avec un beau message de tolérance. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/monstres-en-vadrouille/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Kevin Nivek

    Monstres en vadrouille

    Kay Davault imagine un monde où humains et monstres existent mais ne se côtoient pas, la faute à un imaginaire méfiant, en somme la peur de l'autre. On découvre Iris évoluant dans un manoir peuplé uniquement de monstres comme elle, sous l'oeil bienveillant de monsieur Halloway, un humain les protégeant. Iris n'est pas tout à fait comme les autres, elle rêve de liberté et ses envies d'ailleurs sont décuplées par le sentiment de ne pas être à sa place, aux côté de Halloway qui semble méfiant à son égard. Aussi, lors de la visite d'un intrus humain brisant le sceau d'inviolabilité magique du manoir et laissant la porte ouverte derrière lui, Iris sort et découvre un tout autre monde ! L'apprentissage de la vie, la méfiance des autres, de ce qu'on ne connait pas, le désir de liberté, Kay Davault insère de nombreux messages dans ce récit coloré et respirant de sincérité. Au fil des 300 pages, elle prend bien le temps de développer l'histoire avec la découverte des personnages et des nombreux secrets les liant. Le format "comics" offre peu de cases par pages et rend la lecture fluide et accessible pour les plus jeunes avec des dialogues courts. Le style "chibi" des protagonistes rend assez bien avec de l'originalité dans les faciès des petits monstres dotés d'une grande expressivité. Un sympathique one-shot à faire découvrir aux plus de 8 ans, avec un beau message de tolérance.
  13. Titre de l'album : Emma et les mauvais éléments Scenariste de l'album : Ariel Holzl Dessinateur de l'album : Alba Cardona Coloriste : Joël Odone, Alba Cardona Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Emma Lentier, 14 ans, passe des vacances paisibles chez son grand-père en Bretagne lorsque son pique-nique tourne à la catastrophe : elle est attaquée par d'étranges créatures aux dents acérées ! Une inconnue aux pouvoirs surnaturels la sauve in extremis et décèle chez Emma un don particulier. Elle l'invite alors à l'académie volante de Primeval où elle pourra découvrir son véritable potentiel d'élémancienne... Critique : Nouvelle parution jeunesse chez Jungle avec cette aventure fantastique mêlant plusieurs influences littéraires et un soupçon d'écologie. Tout commence en Bretagne, terre mystique s'il en est avec Emma Lentier en vacances chez son grand-père. Lors d'une excursion champêtre, elle tombe nez à nez avec des fées belliqueuses et ne doit son salut qu'à l'apparition soudaine d'une femme dotée de pouvoirs. Puis, tout s'enchaîne à grande vitesse, cette dernière découvre que Emma aurait des pouvoirs elle aussi, et décide de l'emmener dans une école bien particulière. En effet, dans cet établissement on dissocie les éléments (terre, eau, feu, air) de la magie vue comme aléatoire voire néfaste. Dans cet univers totalement inconnu, Emma va faire de nombreuses rencontres et découvrir son potentiel, il se pourrait même qu'au fil de sa scolarité elle en apprenne un peu plus sur son passé 😉 . De nombreuses thématiques sont abordées à travers son entrée à l'école, comme l'acceptation des autres et de soi-même, la tolérance envers la différence comme ces personnes non issues du moule scolaire bien établi ! Peu importe les écoles, on y rencontre les mêmes problèmes, avec en plus l'arrivée d'un petit nouveau. A ce chemin initiatique, le scénariste ajoute un brin de mystères avec de mystérieux individus envahissant l'école et un développement fantastique original portant sur ces pouvoirs élémentaires pouvant se combiner. La partie graphique est très agréable, avec un trait rond répondant aux codes des mangas et une palette de couleurs vives et dynamiques. Le lectorat jeune ciblé appréciera ces pages avec un dessin minutieux et un découpage bousculant parfois les codes du gaufrier. Emma et ses "mauvais éléments", vous découvrirez vite le double sens du titre, nous réserve encore des surprises pour le tome 2 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/emma-et-les-mauvais-elements/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Nouvelle parution jeunesse chez Jungle avec cette aventure fantastique mêlant plusieurs influences littéraires et un soupçon d'écologie. Tout commence en Bretagne, terre mystique s'il en est avec Emma Lentier en vacances chez son grand-père. Lors d'une excursion champêtre, elle tombe nez à nez avec des fées belliqueuses et ne doit son salut qu'à l'apparition soudaine d'une femme dotée de pouvoirs. Puis, tout s'enchaîne à grande vitesse, cette dernière découvre que Emma aurait des pouvoirs elle aussi, et décide de l'emmener dans une école bien particulière. En effet, dans cet établissement on dissocie les éléments (terre, eau, feu, air) de la magie vue comme aléatoire voire néfaste. Dans cet univers totalement inconnu, Emma va faire de nombreuses rencontres et découvrir son potentiel, il se pourrait même qu'au fil de sa scolarité elle en apprenne un peu plus sur son passé 😉 . De nombreuses thématiques sont abordées à travers son entrée à l'école, comme l'acceptation des autres et de soi-même, la tolérance envers la différence comme ces personnes non issues du moule scolaire bien établi ! Peu importe les écoles, on y rencontre les mêmes problèmes, avec en plus l'arrivée d'un petit nouveau. A ce chemin initiatique, le scénariste ajoute un brin de mystères avec de mystérieux individus envahissant l'école et un développement fantastique original portant sur ces pouvoirs élémentaires pouvant se combiner. La partie graphique est très agréable, avec un trait rond répondant aux codes des mangas et une palette de couleurs vives et dynamiques. Le lectorat jeune ciblé appréciera ces pages avec un dessin minutieux et un découpage bousculant parfois les codes du gaufrier. Emma et ses "mauvais éléments", vous découvrirez vite le double sens du titre, nous réserve encore des surprises pour le tome 2 😉
  15. Titre de l'album : (Dé)rangée tome 3 Scenariste de l'album : Manon Dessinateur de l'album : Greg Blondin Coloriste : Manon Editeur de l'album : Bamboo Note : Résumé de l'album : Et si la petite voix que vous avez dans la tête apparaissait devant vous ? Entre son travail très prenant, sa vie de couple et sa mère qui devient de plus en plus dépendante, Mia n'a pas une minute à elle. Mais ça lui va très bien, car Mia est une fille sérieuse et adulte. Peut-être trop ? C'est vrai qu'elle ne s'amuse pas beaucoup. Jamais pourrait-on dire... Jusqu'à ce que sa petite voix apparaisse. Une petite voix qui prend tout à la rigolade. Normal, elle n'a que 7 ans ! Mais il va lui falloir déployer un max d'effort pour amener Mia à lâcher prise et à profiter un peu plus de la vie. Critique : Réfléchir et imaginer un dialogue avec l'enfant/adolescent qu'on a été est un thème que j'aime beaucoup, qui me parler et qui m'interroge. Alors forcément cette opus de la série (Dé)rangées est un peu fait pour moi. Je n'avais pas lu les deux premiers, alors cette chronique ne pourra vous éclairer sur d'éventuelles redondances, ou sur un sentiment de répétition de l'ensemble, mais ces trois tomes pouvant être lus séparément et semblant traiter de traits de caractère différents, je pense que cela ne pose pas vraiment de soucis. Le dessin de Greg Blondin est très chaleureux et si l'on reste dans les canons du genre, style girly oblige, c'est un dessin et un style qui colle parfaitement au propos. Les personnages sont vite attachants et les émotions et sentiments transpirent vite du dessin. Côté histoire Manon nous offre une jolie tranche de vie, avec quelques réflexions liées au développement personnel mais sans en faire trop. Le dosage est bien, et on tourne les pages avec plaisir. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/derangee-tome-3/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. L'été approche à grands pas, avec sa chaleur et les envies de vacances, aussi les Humano proposent un Metal hurlant aux notes aquatiques et rafraîchissantes ! Une grande qualité d'auteurs de renoms et de talent composent l'équipe des nouvelles graphiques proposées habituellement dans le trimestriel. Arthur de Pins, Edo Brennes, Jean-Luc Cornette, Liberatore, Marc Caro, Richard Guérineau et tant d'autres nous livrent des petites merveilles fantastiques en lien avec la mer. Recherche de planète vivable, écosystèmes perturbés, mouvement de populations, guerres, le lien avec l'actualité reste présent dans ces nouvelles qui portent chacune l'empreinte de leurs auteurs. A noter quelques pépites graphiques avec Zéphir nous livrant Narcose, oeuvre onirique et subtile au dessin accrocheur, ou encore Joseph Falzon mettant une dimension politique dans son récit en dénonçant les ultra-riches. Metal Hurlant c'est aussi Otto Maddox et Jean-Luc Cornette nous proposant des films, toujours en lien avec l'océan et ses profondeurs : Un cri dans l'océan, M.A.L., Creature from black lake, Piranha 3D, et tant d'autres séries B voire Z et vieux films aux effets spéciaux sentant bon les années 50 🙂 . Etant fan de Waterworld tout en ayant jamais compris ce bashing injustifié autour du film, j'ai été ravi de lire les anecdotes truculentes du tournage ! Caprices de star, tempêtes, script retouché, rien n'a été épargné à ce film pendant aquatique de Mad Max. Un vrai régal cette enquête en eaux profondes 😉 La revue vous invitera aussi à Angoulême, la cité charentaise proposant une expo sur la SF française; sujet assez passionnant pour un type de récit n'ayant pas toujours été bien accueilli par les "élites" intellectuelles ! Enfin, une interview passionnante de l'écologiste Paul Watson, sa vie, son parcours, ses envies, ses projets etc.... Vous saisirez mieux la nuance sur "l'écoterrorisme" en ayant lu sa vision des choses. Un tome 15 une nouvelle fois dense, complet et se lisant avec grand plaisir, la renaissance du trimestriel se poursuit sans baisser sa garde, la qualité reste présente et les infos données toujours aussi appréciables. Continuez ainsi !
  17. Titre de l'album : Métal Hurlant tome 15 - Les mondes du silence Scenariste de l'album : Collectif Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Les humanoides associés Note : Résumé de l'album : On pourrait bien essayer de vous expliquer la fascination qu'ont les auteurs et autrices de bande-dessinée pour l'immensité et les mystères des océans, mais ça serait vous gâcher entièrement la lecture de ce nouveau numéro abyssal ! Des vagues de créativité ont déferlé sur les auteurs et autrices de Métal Hurlant, alors entrez dans la tempête, enfilez le scaphandre et descendez avec nous dans les profondeurs. Critique : L'été approche à grands pas, avec sa chaleur et les envies de vacances, aussi les Humano proposent un Metal hurlant aux notes aquatiques et rafraîchissantes ! Une grande qualité d'auteurs de renoms et de talent composent l'équipe des nouvelles graphiques proposées habituellement dans le trimestriel. Arthur de Pins, Edo Brennes, Jean-Luc Cornette, Liberatore, Marc Caro, Richard Guérineau et tant d'autres nous livrent des petites merveilles fantastiques en lien avec la mer. Recherche de planète vivable, écosystèmes perturbés, mouvement de populations, guerres, le lien avec l'actualité reste présent dans ces nouvelles qui portent chacune l'empreinte de leurs auteurs. A noter quelques pépites graphiques avec Zéphir nous livrant Narcose, oeuvre onirique et subtile au dessin accrocheur, ou encore Joseph Falzon mettant une dimension politique dans son récit en dénonçant les ultra-riches. Metal Hurlant c'est aussi Otto Maddox et Jean-Luc Cornette nous proposant des films, toujours en lien avec l'océan et ses profondeurs : Un cri dans l'océan, M.A.L., Creature from black lake, Piranha 3D, et tant d'autres séries B voire Z et vieux films aux effets spéciaux sentant bon les années 50 🙂 . Etant fan de Waterworld tout en ayant jamais compris ce bashing injustifié autour du film, j'ai été ravi de lire les anecdotes truculentes du tournage ! Caprices de star, tempêtes, script retouché, rien n'a été épargné à ce film pendant aquatique de Mad Max. Un vrai régal cette enquête en eaux profondes 😉 La revue vous invitera aussi à Angoulême, la cité charentaise proposant une expo sur la SF française; sujet assez passionnant pour un type de récit n'ayant pas toujours été bien accueilli par les "élites" intellectuelles ! Enfin, une interview passionnante de l'écologiste Paul Watson, sa vie, son parcours, ses envies, ses projets etc.... Vous saisirez mieux la nuance sur "l'écoterrorisme" en ayant lu sa vision des choses. Un tome 15 une nouvelle fois dense, complet et se lisant avec grand plaisir, la renaissance du trimestriel se poursuit sans baisser sa garde, la qualité reste présente et les infos données toujours aussi appréciables. Continuez ainsi ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/metal-hurlant-tome-15-oceans-les-mondes-du-silence/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Titre de l'album : Les âges perdus - Tome 3 - L'infini vagabond Scenariste de l'album : Jérôme Le Gris Dessinateur de l'album : Didier Poli & Luca Bulgheroni Coloriste : Bruno Tatti Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : À la veille de l'an Mil, une pluie de feu s'abat sur la terre et plonge le monde dans l'obscurité. Fuyant l'Anglia dévastée, Elaìne brave la redoutable Mer des Aigles et atteint la Terre des Meutes, un territoire hostile où rôdent les terrifiants hommes-cerfs. Au cours de cette traversée périlleuse, elle croise Mara, une mystérieuse arpenteuse qui l'aide à survivre. Guidée par l'héritage de son père, Elaìne cherche à percer les secrets du savoir perdu, celui qui, jadis, permit aux hommes de bâtir des cités et de prospérer. Son périple la conduit jusqu'à la mythique Cité du Roi Taon, où l'ancien monde semble encore murmurer à travers ses ruines. Mais les règles de ce lieu sacré vacillent, et l'accès aux connaissances oubliées s'avère plus dangereux que jamais... Plongez dans une fresque épique où l'histoire et le mythe se rejoignent, sublimée par les illustrations magistrales de Didier Poli et Luca Bulgheroni. Critique : Oh qu'on l'attendait celui-ci. Il faut dire que les deux premiers tomes des âges perdus nous avaient présentés une chouette histoire, dans un monde que l'on ne connaissait pas, qu'on n'avait pas l'impression d'avoir déjà lu cent fois. Et vu que c'était servi avec les très jolis dessins de Didier Poli, on en redemandait. Sur ce tome Didier Poli a été rejoint aux crayons par Luca Bulgheroni mais c'est toujours Bruno Tatti qui gère les couleurs. Alors que donne cet ajout de talent à notre équipe ? Et bien le dessin de la série continue d'évoluer doucement, comme entre le tome 1 et le tome 2, avec des visages qui se lissent un petit peu, mais des décors qui s'étoffent globalement rendant les atmosphères et ce monde là encore plus palpable. Côté histoire, c'est aussi peu dire que je faisais confiance à Jérôme Le Gris pour nous créer une belle histoire avec une belle fin. Et bien pas de doutes non plus de ce côté là, c'est toujours aussi bien. On a du rythme, une montée en puissance de l'intrigue et des enjeux, des personnages dont on se demande à chaque page s'il va y passer ou pas, et un monde dont chaque page nous en fait découvrir un peu plus. Vous l'avez compris j'en redemande encore et bonne nouvelle, le tome 4 doit sortir l'année prochaine, même si, et c'est je trouve très triste, ce sera aussi le tome de fin de cette série. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-ages-perdus-tome-3-l-infini-vagabond/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Kevin Nivek

    Star pilot

    Titre de l'album : Star pilot Scenariste de l'album : Christophe Bec, Brian Stableford Dessinateur de l'album : Pedro Vigil Coloriste : Aretha Battistutta Editeur de l'album : Les humanoides associés Note : Résumé de l'album : Grainger est pilote de spationef, l'un des meilleurs si l'on en croit la rumeur... sauf quand le rapatriement de sa dernière mission coûte une fortune ! La compagnie Caradoc lui demande une indemnité de sauvetage exorbitante pour l'avoir récupéré sur une planète éloignée : notre pilote est ruiné. Pour s'en sortir, il accepte une mission qui l'envoie sur Rhapsodie, une planète termitière. Le cocasse mais intrépide héros, soutenu par un étrange compagnon, un parasite bavard que lui seul entend, découvre alors l'enchevêtrement de problèmes dans lequel il est tombé... Critique : Cristophe Bec adapte Rhapsodie noire, issu de la saga Grainger des étoiles, un roman du prolifique auteur de fictions Brian Stableford. On y suit les aventures de Grainger, surnommé Star pilot en tant que meilleur pilote de la galaxie. Suite à l'échec d'une mission ayant occasionné la mort de son collègue, il se retrouve débiteur de la compagnie de secours d'une somme très importante. Contraint d'accepter un job particulier sur Rhapsodie une planète minière, le voilà de retour dans l'espace, mais un court instant ! En effet, l'essentiel de son périple se situera sous terre dorénavant, aux prises avec des révoltés, un culte aux apôtres envahissants mais aussi des membres de son équipage aux motivations diverses ! Ajoutez à ce cocktail explosif une voix lui parlant et semblant capable d'interagir avec son corps, une sorte de parasite symbiotique dont le dessein est inconnu ! Tout va très vite (trop?) dans cette aventure en sous-sol avec de nombreux retournements de situations, des trahisons, mais aussi parfois la sensation de manquer d'informations situant mieux le contexte. On sent que cette histoire fait partie d'une oeuvre plus vaste et d'un univers profond ! D'autres tomes viendront peut-être compléter les blancs, ou alors il faudra se plonger dans l'oeuvre de Brian Stableford 😉 . L'artiste espagnol Pedro Vigil livre ici son premier travail dans nos frontières, il réalise des planches semi-réalistes d'un bon niveau, dans un trait numérique adapté à la science-fiction. Il a réalisé d'importantes recherches dans la pop culture SF pour retranscrire les costumes, vaisseaux et autres personnages composant le bestiaire important de cette galaxie. Un joli travail de colorisation agrémente les planches, qui sauront trouver un public fan de SF sans aucun doute 😉 . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/star-pilot/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Titre de l'album : Jour J - Los Alamos (édition spéciale) Scenariste de l'album : Fred Duval & Jean-Pierre Pécau Dessinateur de l'album : Denys Coloriste : Scarlett Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : 1945. Robert Oppenheimer, désabusé par la nature de ses recherches sur la bombe atomique, fuit le centre de Los Alamos et rencontre par hasard Jack Kerouac dans un bar. Ce dernier l'invite à le suivre sur la route. Le FBI se lance à la poursuite des deux hommes pour remettre " Oppie " au travail... Car sans lui, le projet Manhattan risque de ne jamais aboutir et la guerre contre le Japon de s'éterniser. Critique : Cette éditions spéciale de Jour J regroupe les tomes 32 et 33 de la série autour de Los Alamos. Les deux scénaristes Fred Duval et Jean-Pierre Pécau s'amusent avec l'histoire pour la réinventer tout en restant crédible. Cette fois, les personnages principaux sont Robert Oppenheimer le père de la bombe atomique et Jack Kerouac, figure emblématique de la beat generation ce mouvement littéraire et contestataire aux Etats-Unis. La rencontre des deux personnes est explosive, surtout pour le scientifique avec une énorme remise en question sur son travail sur la bombe la plus dévastatrice au monde. Le format dytique qui s'enchaine dans cette édition est un plus pas négligeable. Cette édition est accompagnée d'un cahier de huit pages pour revenir sur les deux personnes de l'histoire. D'autres personnages historiques feront des apparitions dans cet album comme Eliot Ness. Les dessins de Denys sont parfaits entre action sur le front de guerre, ou encore le trio en road trip suivis des agents du FBI. Les éditions Delcourt ont eu une très bonne idée de réunir les deux tomes pour permettre à d'autres lecteurs de découvrir cette uchronie. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/jour-j-los-alamos-edition-speciale/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. The_PoP

    (Dé)rangée tome 3

    Réfléchir et imaginer un dialogue avec l'enfant/adolescent qu'on a été est un thème que j'aime beaucoup, qui me parler et qui m'interroge. Alors forcément cette opus de la série (Dé)rangées est un peu fait pour moi. Je n'avais pas lu les deux premiers, alors cette chronique ne pourra vous éclairer sur d'éventuelles redondances, ou sur un sentiment de répétition de l'ensemble, mais ces trois tomes pouvant être lus séparément et semblant traiter de traits de caractère différents, je pense que cela ne pose pas vraiment de soucis. Le dessin de Greg Blondin est très chaleureux et si l'on reste dans les canons du genre, style girly oblige, c'est un dessin et un style qui colle parfaitement au propos. Les personnages sont vite attachants et les émotions et sentiments transpirent vite du dessin. Côté histoire Manon nous offre une jolie tranche de vie, avec quelques réflexions liées au développement personnel mais sans en faire trop. Le dosage est bien, et on tourne les pages avec plaisir.
  22. Kevin Nivek

    Star pilot

    Cristophe Bec adapte Rhapsodie noire, issu de la saga Grainger des étoiles, un roman du prolifique auteur de fictions Brian Stableford. On y suit les aventures de Grainger, surnommé Star pilot en tant que meilleur pilote de la galaxie. Suite à l'échec d'une mission ayant occasionné la mort de son collègue, il se retrouve débiteur de la compagnie de secours d'une somme très importante. Contraint d'accepter un job particulier sur Rhapsodie une planète minière, le voilà de retour dans l'espace, mais un court instant ! En effet, l'essentiel de son périple se situera sous terre dorénavant, aux prises avec des révoltés, un culte aux apôtres envahissants mais aussi des membres de son équipage aux motivations diverses ! Ajoutez à ce cocktail explosif une voix lui parlant et semblant capable d'interagir avec son corps, une sorte de parasite symbiotique dont le dessein est inconnu ! Tout va très vite (trop?) dans cette aventure en sous-sol avec de nombreux retournements de situations, des trahisons, mais aussi parfois la sensation de manquer d'informations situant mieux le contexte. On sent que cette histoire fait partie d'une oeuvre plus vaste et d'un univers profond ! D'autres tomes viendront peut-être compléter les blancs, ou alors il faudra se plonger dans l'oeuvre de Brian Stableford 😉 . L'artiste espagnol Pedro Vigil livre ici son premier travail dans nos frontières, il réalise des planches semi-réalistes d'un bon niveau, dans un trait numérique adapté à la science-fiction. Il a réalisé d'importantes recherches dans la pop culture SF pour retranscrire les costumes, vaisseaux et autres personnages composant le bestiaire important de cette galaxie. Un joli travail de colorisation agrémente les planches, qui sauront trouver un public fan de SF sans aucun doute 😉 .
  23. Titre de l'album : Pax elfica - Tome 2 - Le sang du drac Scenariste de l'album : Cédric Mayen Dessinateur de l'album : Pietrantonio Bruno Coloriste : Axel Gonzalbo Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Depuis qu'ils ont délivré le monde de la menace d'un Nécromancien, les Elfes ont instauré la Pax Elfica, un régime autoritaire qui interdit toute utilisation de la magie aux autres races. Mais le jeune Tano a grandi dans le petit monde multiculturel de l'auberge de son père Klaus, où se côtoient nains, halfelins, barbares et réfugiés. Alors pour lui, pas question d'obéir docilement aux maitres auto-proclamés de la ville : chaque nuit, sous la capuche de « La Flèche », il sabote leurs patrouilles et défie leur autorité. Jusqu'au soir où il se retrouve contaminé par une mystérieuse graine elfique. Critique : Le tome 1 de Pax Elfica m'avait surpris et marqué, car on se sentait plus dans l'atmosphère d'un bon jeu de rôle que dans nos séries de Fantasy habituelles. Et c'était plutôt réussi, avec pour une fois les Elfes dans le rôle des vilains de service. Cette inversion traditionnelle mais pas si surprenante était bien réalisé, et l'intrigue à plusieurs niveaux n'avait pas empêché le premier tome de filer très vite. On retrouve donc la suite directe, sans temps morts ni temps de remise en place. Et les différents arcs narratifs se précisent, apportant réponses et avancées en nombre afin de satisfaire notre curiosité. C'est bien réalisé, même si la scène de bataille est peut être un brin confuse sur la fin. Au niveau du dessin, rien à redire, c'est très propre même si c'est peut être un poil plus statique à mon goût que la fantasy habituelle. Pax Elfica confirme être une bonne série de Fantasy destinée à ceux qui aiment le jeu de rôle ou qui ont l'impression d'avoir déjà tout lu dans ce genre. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/pax-elfica-tome-2-le-sang-du-drac/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Le tome 1 de Pax Elfica m'avait surpris et marqué, car on se sentait plus dans l'atmosphère d'un bon jeu de rôle que dans nos séries de Fantasy habituelles. Et c'était plutôt réussi, avec pour une fois les Elfes dans le rôle des vilains de service. Cette inversion traditionnelle mais pas si surprenante était bien réalisé, et l'intrigue à plusieurs niveaux n'avait pas empêché le premier tome de filer très vite. On retrouve donc la suite directe, sans temps morts ni temps de remise en place. Et les différents arcs narratifs se précisent, apportant réponses et avancées en nombre afin de satisfaire notre curiosité. C'est bien réalisé, même si la scène de bataille est peut être un brin confuse sur la fin. Au niveau du dessin, rien à redire, c'est très propre même si c'est peut être un poil plus statique à mon goût que la fantasy habituelle. Pax Elfica confirme être une bonne série de Fantasy destinée à ceux qui aiment le jeu de rôle ou qui ont l'impression d'avoir déjà tout lu dans ce genre.
  25. Titre de l'album : Tête de chien - Tome 3 Scenariste de l'album : Vincent Brugeas Dessinateur de l'album : Ronan Toulhoat Coloriste : Yoann Guillo Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Le château du père de Jehan n'est plus qu'à quelques lieues. Pour nos héros, c'est l'heure de se dire au revoir. Lancelin et Maïeul doivent rentrer chez eux, le coeur lourd. Et, depuis des semaines, Gaucher et ses compagnons n'attendaient que cela : que leurs ennemis se séparent afin de les battre les uns après les autres. Ainsi, alors que Lancelin et Maïeul viennent de quitter nos héros, Gaucher et ses hommes passent à l'attaque. Le félon entend bien se venger du Noirci qui lui a fait tant de mal. Cependant, c'est sans compter sur le courage et la ruse de Lancelin. Bientôt, Josselin et Jehan, prévenus par Maïeul, récupèrent un Lancelin grièvement blessé. Gaucher, lui, n'a pas dit son dernier mot. Il s'est trouvé un nouvel allié de circonstance, un brigand qui se prétend chevalier, sous le nom de Renart. Avec son aide, il traque nos héros sans relâche. Le château de son père est encore trop loin. Jehan se résout à y envoyer Paulin et Maïeul, pour le prévenir. Pendant ce temps, elle et Josselin transportent un Lancelin moribond au Nid d'aigle : La demeure toute proche d'un oncle misanthrope qu'elle n'a jamais vu... Une rencontre qui va changer sa vie. Dans ce troisième volume, Vincent Brugeas tisse une intrigue toujours plus captivante, portée par le dessin épique de Ronan Toulhoat et les couleurs éclatantes de Yoann Guillo. Préparez-vous à une aventure médiévale où l'humour, les rebondissements et les secrets rythment chaque page ! Critique : Ah c'est un sacré coup de cœur dont on va parler ici. Les deux premiers tomes de Tête de chien nous avaient déjà passionné. Il faut dire que l'on est nombreux ici à aimer le travail que font ces 3 auteurs ensemble. Je trouve que ce tome 3 de Tête de chien monte encore en puissance, et nous livre la quintessence de ce que des auteurs modernes peuvent faire en bd franco belge tout en intégrant les influences du comics et du manga. Les mises en scènes sont juste brillantes, plus que cinématographiques, elle rendent la bd vraiment vivante. On entend presque les personnages se parler. Le scénario de Vincent Brugeas gagne encore en épaisseur, car si l'on était jusqu'à présent dans l'univers des Tournois, on sort sur ce tome de ce cadre là pour rentrer dans un monde plus réel et pourtant toujours à notre échelle. Oui dans ce tome 3 certains combat ne seront pas juste pour la gagne et nos personnages sont tellement bien pensés, premiers comme second rôles que l'on va frémir pour eux. L'art de Ronan Toulhoat s'exprime je trouve pleinement dans les gueules dures, parfois abîmés, affichant leurs vécus, de ses personnages. Certes comme dans le comics on pourra pinailler sur quelques arrières plans un peu légers, mais franchement je pense que cela nuirait vraiment à l'ensemble en le surchargeant. On retrouve dans ce Tête de Chien un peu la folie et la créativité visuelle de certains comics indépendants. Je ne vais pas en rajouter une couche sur les couleurs de Yoann Guillo qui s'impose pour moi comme l'un des meilleurs coloriste actuels, et je continue de trouver qu'il forme avec Ronan Toulhoat une paire qui se bonifie mutuellement. Bref, foncez, parce que ces personnages là, avec ce dessin là, on veut les suivre beaucoup plus loin. Vous pouvez y aller, les yeux fermés, que vous aimiez la chevalerie et le moyen âge ou non d'ailleurs. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tete-de-chien-tome-3/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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