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  1. Kevin Nivek

    Okanikaa

    Feldrik Rivat revient sous le pseudonyme Hirodjee avec cette nouvelle parution aux Humanos : Okanikaa . Après le réussi Naissance du tigre , il réalise un nouveau scénario aux accents mystiques prenant place dans les immenses forêts canadiennes au XVIIème siècle . Mais l'histoire débute en France au cours d'une cérémonie occulte entre François et son père le Baron . Le jeune homme , effrayé , quitte en catastrophe le château pour s'exiler au nouveau monde . Son père finit par retrouver sa trace 10 ans plus tard , la traque peut commencer ! L'auteur revisite les croyances indiennes et les incorpore au récit avec une bonne dose d'épouvante . Le Wendigo chasse sa proie et rien ne pourra entraver sa quête , de nombreuses victimes collatérales en feront les frais . Il est nécessaire de s'accrocher car le scénariste multiplie les bonds dans le passé , afin de distiller les révélations et tenir le lecteur en haleine . Par ailleurs , une grande galerie de personnages compose cette chasse à l'homme où colons français cohabitent avec les indiens dans une grande méfiance . L'artiste brésilien Magenta King réalise la partie graphique avec un dessin numérique simple mais efficace . Les personnages sont reconnaissables , il met de la profondeur dans ses paysages et le bestiaire est inquiétant à souhait . Au final c'est un one-shot réussi mais auquel il manque un peu de personnalité , le scénariste intègre une complexité avec des flashbacks , mais on comprend très vite les enjeux et qui se cache derrière le Wendigo .
  2. Kevin Nivek

    Okanikaa

    Titre de l'album : Okanikaa Scenariste de l'album : Hirodjee Dessinateur de l'album : Magenta King Coloriste : Lucie Firoud Editeur de l'album : Les humanoides associés Note : Résumé de l'album : Au XVIIe siècle, le mystérieux Baron vient d'arriver au Nouveau Monde. Il cherche son fils François, qui a pris le nom d'Okanikaa et a fondé sa famille parmi les Amérindiens. Mais au cours de cette expédition, les compagnons du Baron disparaissent un à un : un wendigo semble suivre la même piste. Pour protéger sa famille de son père et de la bête, Okanikaa devra faire face à ses propres démons. Critique : Feldrik Rivat revient sous le pseudonyme Hirodjee avec cette nouvelle parution aux Humanos : Okanikaa . Après le réussi Naissance du tigre , il réalise un nouveau scénario aux accents mystiques prenant place dans les immenses forêts canadiennes au XVIIème siècle . Mais l'histoire débute en France au cours d'une cérémonie occulte entre François et son père le Baron . Le jeune homme , effrayé , quitte en catastrophe le château pour s'exiler au nouveau monde . Son père finit par retrouver sa trace 10 ans plus tard , la traque peut commencer ! L'auteur revisite les croyances indiennes et les incorpore au récit avec une bonne dose d'épouvante . Le Wendigo chasse sa proie et rien ne pourra entraver sa quête , de nombreuses victimes collatérales en feront les frais . Il est nécessaire de s'accrocher car le scénariste multiplie les bonds dans le passé , afin de distiller les révélations et tenir le lecteur en haleine . Par ailleurs , une grande galerie de personnages compose cette chasse à l'homme où colons français cohabitent avec les indiens dans une grande méfiance . L'artiste brésilien Magenta King réalise la partie graphique avec un dessin numérique simple mais efficace . Les personnages sont reconnaissables , il met de la profondeur dans ses paysages et le bestiaire est inquiétant à souhait . Au final c'est un one-shot réussi mais auquel il manque un peu de personnalité , le scénariste intègre une complexité avec des flashbacks , mais on comprend très vite les enjeux et qui se cache derrière le Wendigo . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/okanikaa/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Après un envoûtant Maudite baleine (éditions Mosquito) , Walter Chendi revient avec une nouvelle histoire teintée de fantastique . Nous quittons l'espace maritime pour les montagnes , les villages reculés et les paysages enneigés . On y découvre tout d'abord un homme seul , Ersame Deer , errant dans le village comme une âme en peine , effrayant les locaux sans que l'on sache pourquoi , puis regagnant son repaire , véritable nid d'aigle incrusté dans la montagne . Au fil des pages , nous allons plonger dans les méandres de son passé , et rencontrer enfin cet homme si énigmatique , ne parlant uniquement qu'à son cuisiner . Une introspection qu'il va réaliser lui même dans ses voyages imaginaires , en passant par des portes cachées . Très vite , le fantastique côtoie le réel et on s'y perd , des réminiscences de guerre , d'amour volages , de rencontre avec un tigre , animal effrayant mais aux intentions nobles ; tout ceci s'entremêle jusqu'à la révélation finale , répondant à toutes (ou presque) les interrogations . Pour illustrer ce voyage onirique , il réalise des planches remarquables de justesse . La lumière semble naturelle , les reflets côtoient les ombres dans un réalisme saisissant . Les visages semblent figés parfois , mais les regards sont profonds et perçants . Un dessin étonnant , confondant numérique et pastel , avec un résultat final magnifique . J'ai vraiment écarquillé les yeux sur certaines planches ! Un artiste à suivre !
  4. Titre de l'album : Le maillot de la discorde Scenariste de l'album : Arnaud Ramsey Dessinateur de l'album : Etienne Oburie Coloriste : Editeur de l'album : Steinkis Note : Résumé de l'album : Avec ses héros et ses traîtres, le football n'est que le reflet des soubresauts de son époque. Uruguay, juillet 1930, première Coupe du monde de football de l'histoire. Alexandre Villaplane, milieu de terrain et capitaine de l'équipe de France, partage l'affiche avec Etienne Mattler, solide défenseur. Une équipe, deux destins: tandis que le premier sera fusillé pour haute trahison à la Libération de Paris, le second deviendra un héros de la Résistance. Critique : Cela fait plus de 25 ans que je m'intéresse au football et comme le journaliste Arnaud Ramsey (ancien de l'hebdomadaire France football) , j'ignorais totalement cette rocambolesque histoire ! Deux destins croisés : Alexandre Villaplane et Etienne Mattler . Sur une période allant de la première coupe du monde en Uruguay en 1930 à l'après seconde guerre mondiale , nous allons suivre au cours du récit la vie mouvementée de ces deux personnages si différents . De nombreuses anecdotes et faits historiques jalonnent cette histoire et l'on apprend beaucoup ! Sont relatés le quotidien de l'équipe de France sur le bateau en route pour Montevideo avec Jules Rimet à son bord , puis le retour à la réalité pour ces footballeurs pas encore professionnels ; la montée des extrêmes en Europe personnifiée par la coupe du monde organisée en Italie en 1934 sous la présidence de Benito Mussolini , avec enfin le second grand conflit du XXème siècle et la France sous l'occupation . 20 années sous le prisme de ces deux hommes aux motivations opposées mais liés par le foot et la sélection bleu-blanc-rouge ! Pour illustrer cette aventure , Etienne Oburie réalise des planches dans un style semi-réaliste très épuré . Couvrir une période assez sombre avec un trait rappelant un peu les sorties "jeunesse" de l'éditeur Jungle peut sembler déroutant . C'est une légère déception pour moi , mais qui est vite gommée par la quantité d'informations et anecdotes croustillantes sur le foot à cette époque . A l'heure où l'on reproche (ou pas) aux joueurs de faire trop de politique , on réalise que le sport roi est encore et depuis toujours un reflet sociétal important ! Pour les passionnés d'histoire et de foot 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-maillot-de-la-discorde/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Kevin Nivek

    Shubeik lubeik

    Ce très bel ouvrage constitue l'intégrale de la trilogie de romans graphiques de l'auteure : Shubeik Lubeik . Respectant la culture arabe , il est donc lisible de droite à gauche , à la manière des mangas . 3 destins entrecoupés dans une Egypte contemporaine (ou presque 😉 ) constituent les 3 parties de cet épais volume . Aziza , Nour et Shokry auront leur vie profondément bouleversée par une valise de voeux . En effet , l'artiste égyptienne a eu la brillante idée d'insérer dans son pays natal une pincée de magie issue des croyances locales , en l'occurrence ici : les génies exauçant vos voeux . Le hic étant que plusieurs types de génies existent , du low-cost au plus cher , ils ne répondront pas à votre demande de la même façon , et comme le dit si bien Deena Mohamed " les désirs font parfois désordre" 🙂 . Dans ce contexte , elle dresse le portrait de son pays à travers le regard de ces 3 protagonistes tous issus de milieux différents et aux motivations différentes . C'est littéralement passionnant , elle parvient à rendre cette magie totalement réelle et bien ancrée dans la société , avec des annexes portant sur des textes de lois encadrant les voeux , l'histoire de la découverte de ces "bouteilles" de génies , voire même l'évolution sociétale en lien direct avec des voeux pouvant bouleverser un équilibre fragile . Elle commence les 3 récits par des pages colorées puis passe à un noir et blanc aux encrages profonds . Son dessin est précis , élégant et fourmille de détails . Elle n'hésite pas à bouleverser le gaufrier avec un découpage cinématographique , centré parfois sur les personnages avec des gros plans sur leurs réactions à la manière des récits de Tom King le scénariste américain . Un graphisme immersif au sein d'une histoire , ou plutôt 3 histoires prenantes qui vous tiendront en haleine tout du long . On traverse réellement ces 527 pages à une vitesse folle tant le scénario est bien organisé . La sélection au prix Eisner awards 2024 n'est pas du tout usurpée et il faut remercier l'éditeur Steinkis d'avoir osé traduire et publier ce formidable conte des temps modernes ! Deena Mohamed , une artiste à découvrir ! PS: une planche est en anglais ci-dessous , mais rassurez-vous , l'intégrale Steinkis est entièrement en français 😉
  6. Kevin Nivek

    Le maillot de la discorde

    Cela fait plus de 25 ans que je m'intéresse au football et comme le journaliste Arnaud Ramsey (ancien de l'hebdomadaire France football) , j'ignorais totalement cette rocambolesque histoire ! Deux destins croisés : Alexandre Villaplane et Etienne Mattler . Sur une période allant de la première coupe du monde en Uruguay en 1930 à l'après seconde guerre mondiale , nous allons suivre au cours du récit la vie mouvementée de ces deux personnages si différents . De nombreuses anecdotes et faits historiques jalonnent cette histoire et l'on apprend beaucoup ! Sont relatés le quotidien de l'équipe de France sur le bateau en route pour Montevideo avec Jules Rimet à son bord , puis le retour à la réalité pour ces footballeurs pas encore professionnels ; la montée des extrêmes en Europe personnifiée par la coupe du monde organisée en Italie en 1934 sous la présidence de Benito Mussolini , avec enfin le second grand conflit du XXème siècle et la France sous l'occupation . 20 années sous le prisme de ces deux hommes aux motivations opposées mais liés par le foot et la sélection bleu-blanc-rouge ! Pour illustrer cette aventure , Etienne Oburie réalise des planches dans un style semi-réaliste très épuré . Couvrir une période assez sombre avec un trait rappelant un peu les sorties "jeunesse" de l'éditeur Jungle peut sembler déroutant . C'est une légère déception pour moi , mais qui est vite gommée par la quantité d'informations et anecdotes croustillantes sur le foot à cette époque . A l'heure où l'on reproche (ou pas) aux joueurs de faire trop de politique , on réalise que le sport roi est encore et depuis toujours un reflet sociétal important ! Pour les passionnés d'histoire et de foot 😉
  7. C'est peu dire que je ne suis habituellement pas emballé par le travail pourtant colossal de ce duo d'auteur. Leur dernière série Purple Heart m'a un peu perdu. Ce n'est donc pas hyper confiant que j'abordais ce Ciels d'Orages même si le thème de la bataille d'Angleterre pendant la seconde guerre mondiale reste toujours passionnant. Nos deux auteurs ont cette fois-ci choisi de mettre surtout en avant une héroïne, femme forte et libre en cette période complexe. Si les enjeux sont clairs, il faut un petit moment pour bien appréhender les différents personnages. Il faut dire que si le trait de ces deux auteurs fait merveille sur les scènes de dogfight, je trouve leurs visages parfois moins aboutis et un poil trop rigides ce qui entraîne parfois de petits confusions sur des personnages secondaires. Ce ciel d'orages va contenter tous les amateurs de cette période car l'intrigue semble se diriger vers un niveau de complexité intéressant sans toutefois perdre en fluidité.
  8. Titre de l'album : Ciel d'orages - Tome 1 - London Burning Scenariste de l'album : Warnauts & Raives Dessinateur de l'album : Warnauts & Raives Coloriste : Raives Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Kate Kavendish est pilote pour la Royal Air Force. Fière, indépendante, elle cache ses cicatrices intimes sous son uniforme, ou derrière la promesse faite au mari de sa cousine de ne jamais se laisser aller aux sentiments. Mais s'il est un endroit encore moins sûr que les rues de Londres par temps de Blitz, ce sont les cieux : on a beau savoir virevolter au gré des éléments contraires et prendre ses précautions, tout peut toujours s'embraser en une seconde ! Critique : C'est peu dire que je ne suis habituellement pas emballé par le travail pourtant colossal de ce duo d'auteur. Leur dernière série Purple Heart m'a un peu perdu. Ce n'est donc pas hyper confiant que j'abordais ce Ciels d'Orages même si le thème de la bataille d'Angleterre pendant la seconde guerre mondiale reste toujours passionnant. Nos deux auteurs ont cette fois-ci choisi de mettre surtout en avant une héroïne, femme forte et libre en cette période complexe. Si les enjeux sont clairs, il faut un petit moment pour bien appréhender les différents personnages. Il faut dire que si le trait de ces deux auteurs fait merveille sur les scènes de dogfight, je trouve leurs visages parfois moins aboutis et un poil trop rigides ce qui entraîne parfois de petits confusions sur des personnages secondaires. Ce ciel d'orages va contenter tous les amateurs de cette période car l'intrigue semble se diriger vers un niveau de complexité intéressant sans toutefois perdre en fluidité. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ciel-d-orages-tome-1-london-burning/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Titre de l'album : Mamie n'a plus toute sa tête Scenariste de l'album : Romain Dutreix Dessinateur de l'album : Romain Dutreix Coloriste : Romain Dutreix Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : La mamie de Romain Dutreix n'a plus toute sa tête : lorsque des employés du gaz ou d'Engie viennent la visiter, la pauvre confond les uniformes de ses visiteurs avec ceux de la Gestapo ! Ce qui ne serait pas trop grave, si elle n'imaginait que son défunt mari et ancien résistant la pousse à les éliminer dans la cave de la maison... Non seulement c'est moralement répréhensible, mais notre héros doit alors éliminer toute trace des méfaits de sa mamie. Et tous ces meurtres, à couvrir, ça prend du temps alors sa femme commence à se poser des questions : n'aurait-il pas une liaison ? Dans ce premier tome d'un diptyque, Romain Dutreix signe une mécanique ciselée d'humour noir et de burlesque. Critique : Mouahahahahaha Amis amateurs d'humour noir, bienvenu chez monsieur Gerard Romain Dutreix... enfin surtout chez sa grand-mère ! C'est trop bon ! surement pas pour tout le monde, mais trop bon. Le comique de répétition est magique avec des pages quasiment copié collé basé sur l'Alzheimer de la mamie. La bêtise est lui plus que présent et représenté par le personnage du nouveau flic qui est plus bête qu'Avrel Dalton. L'absurde est présent à chaque instant et magnifié par le détective privé. C'est con, c'est TRES con, mais c'est très drole ! Longue vie à la grand-mère et vivement le tome 2 ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mamie-n-a-plus-toute-sa-tete?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. poseidon2

    Mamie n'a plus toute sa tête

    Mouahahahahaha Amis amateurs d'humour noir, bienvenu chez monsieur Gerard Romain Dutreix... enfin surtout chez sa grand-mère ! C'est trop bon ! surement pas pour tout le monde, mais trop bon. Le comique de répétition est magique avec des pages quasiment copié collé basé sur l'Alzheimer de la mamie. La bêtise est lui plus que présent et représenté par le personnage du nouveau flic qui est plus bête qu'Avrel Dalton. L'absurde est présent à chaque instant et magnifié par le détective privé. C'est con, c'est TRES con, mais c'est très drole ! Longue vie à la grand-mère et vivement le tome 2 !
  11. Isabel Del Real signe sa première bande dessinée avec Plouheran, À vélo, de la Bretagne à l'Iran. Elle relate son incroyable aventure à la fin de ses études et le diplôme en poche, quand elle ressent le désir de partir de Bretagne pour parcourir le monde sans trop savoir où aller. Lors d'un premier voyage, elle descend jusqu'à la méditerranée et remonte en Bretagne. Suite à une idée de sa mère, elle décide de partir en vélo jusqu'à Téhéran. La pandémie du covid ne va pas trop la ralentir dans son voyage qu'elle organise rapidement pour prendre la route vers de grandes aventures. Il est intéressant de lire son récit lorsqu'elle traverse les pays européens puis l'histoire est de plus en plus exotique en se dirigeant toujours plus loin dans l'est. A chaque étape ou rencontre importante, elle Isabel Del Real raconte l'accueil chaleureux des locaux mais aussi les amis de la route qui voyagent également en vélo. Les dessins sont en noir et blanc où Isabel Del Real nous dépeint ls paysages qu'elles traversent. Ce roman graphique est très prenant, Isabel Del Real raconte son histoire simplement et nous permet de voyager et découvrir des cultures différentes.
  12. Titre de l'album : Plouheran - À vélo, de la Bretagne à l'Iran Scenariste de l'album : Isabel Del Real Dessinateur de l'album : Isabel Del Real Coloriste : Isabel Del Real Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Pourquoi partir si notre famille et nos amis nous manquent et qu'on ne sait même pas où on va ? Qu'est-ce qui nous pousse à aller chaque jour chasser la ligne d'horizon, la prochaine forêt, le prochain col, la prochaine mer ? Plouheran est un livre de voyage, un roman d'apprentissage, et surtout, après de nombreuses rencontres insolites sur le chemin, une grande histoire d'amitiés. Critique : Isabel Del Real signe sa première bande dessinée avec Plouheran, À vélo, de la Bretagne à l'Iran. Elle relate son incroyable aventure à la fin de ses études et le diplôme en poche, quand elle ressent le désir de partir de Bretagne pour parcourir le monde sans trop savoir où aller. Lors d'un premier voyage, elle descend jusqu'à la méditerranée et remonte en Bretagne. Suite à une idée de sa mère, elle décide de partir en vélo jusqu'à Téhéran. La pandémie du covid ne va pas trop la ralentir dans son voyage qu'elle organise rapidement pour prendre la route vers de grandes aventures. Il est intéressant de lire son récit lorsqu'elle traverse les pays européens puis l'histoire est de plus en plus exotique en se dirigeant toujours plus loin dans l'est. A chaque étape ou rencontre importante, elle Isabel Del Real raconte l'accueil chaleureux des locaux mais aussi les amis de la route qui voyagent également en vélo. Les dessins sont en noir et blanc où Isabel Del Real nous dépeint ls paysages qu'elles traversent. Ce roman graphique est très prenant, Isabel Del Real raconte son histoire simplement et nous permet de voyager et découvrir des cultures différentes. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/plouheran-a-velo-de-la-bretagne-a-l-iran/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Kevin Nivek

    Héritage pervers

    Artiste multi-tâches , Erich Hartmann a travaillé sur des parutions DC comics , la saga Nicolas Eymerich (éditions Delcourt) , mais aussi un roman graphique sur l’érection de la statue de la liberté : Liberty (éditions Robinson) . Il réalise aussi 7 albums de la série Orgies barbares (éditions Tabou) avec un trait que Manara ne pourrait renier 😉 Il réitère ici avec Héritage pervers , une histoire érotico-porno-SM , teintée d’humour mais surtout de scènes hardcores ! Cela commence par l’explication à une charmante jeune actrice du changement de scénario de sa prochaine production . Le directeur donne des arguments convaincants , notamment sur le plan financier pour la convaincre des bienfaits d’un tel changement de position artistique . Cette dernière devra en effet tourner dans un film porno car elle aurait des aptitudes cachées ! La toute puissance masculine bat son plein ici , à l’image de ce producteur sûr de lui et « fort occupé » . Puis sans transition , l’on passe à trois soeurs prenant possession d’un vieux manoir légué par une grand-mère assez secrète sur le sous-sol du bâtiment 😉 Une des trois effectue la visite et va pénétrer dans un monde d’orgies bestiales et fantastiques . A partir de là , les événements s’enchainent à vive allure , autant que les plans à deux , trois , voire tentaculaires . Le trait précis et réaliste de l’auteur fait des merveilles . Les corps s’embrasent , les désirs inavoués se révèlent dans une cascade de sécrétions de fluides en tous genres ! Les dialogues sont au diapason d’une pornographie crue et totalement décomplexée . Avis aux amateurs , ça dépote !
  14. Kevin Nivek

    Nimué

    L’illustratrice espagnole Aldara Prado revisite le mythe arthurien d’un point de vue féminin avec perspicacité et un grand talent graphique ! Elle dépeint un univers moyenâgeux crépusculaire au sein d’une campagne verte et désolée . Une jeune fille aux cheveux blancs flottant au milieu d’un lac , telle un phare lumineux dans la nuit noire , est recueillie par une famille portant le deuil . Elle semble totalement amnésique , ne sachant absolument pas d’où elle vient et son passé . Peu à peu , elle va se découvrir des pouvoirs et faire de bien étranges rencontres , lui révélant ses origines . Ici , point de Arthur et Lancelot , mais plutôt Morgane et Merlin ! La magie opère en ces lieux reculés et la quête initiatique d’Anna va la mener bien plus loin que la simple recherche de son passé ! On sent la patte de l’illustratrice espagnole à travers ces pages , un mélange de représentations dans les livres de contes pour enfants , avec une pointe d’art pictural . La relative simplicité des visages , tranche avec les effets lumineux et autres effets d’ondes à la surface de l’eau . Un univers fantastique envoutant et particulièrement bien illustré . Jeux d’ombres , regards perçants , lueurs d’une bougie dans les ténèbres , les couleurs sont au diapason d’effets visuels réussis . Le suspens est omniprésent et il faudra attendre les derniers instants de la lecture pour découvrir le sort réservé aux protagonistes principaux . Une première réussie pour la jeune diplômée des beaux-Arts qui donne une version de la légende d’Excalibur assez innovante et maîtrisée .
  15. Kevin Nivek

    Nimué

    Titre de l'album : Nimué Scenariste de l'album : Aldara Prado Dessinateur de l'album : Aldara Prado Coloriste : Aldara Prado Editeur de l'album : Casterman Note : Résumé de l'album : Une relecture féminime du mythe arthurien de la Dame du Lac. Découverte inconsciente, flottant dans un étang, Anna est recueillie dans une famille meurtrie par la disparition de leur fille, qui voit dans son arrivée comme un don du ciel. Rapidement, un étrange corbeau vient la visiter la nuit et l'entraîne dans des virées nocturnes dont Anna ne sait si elles relèvent de l'enchantement ou du somnambulisme. Ce corbeau essayerait-il de lui révéler son passé oublié ? Au fil de ses sorties sous la lune, Nimué découvre, grâce à la sorcière Morgane, que son histoire la promet à une illustre déstinée. Et si son entrée dans cette famille ne devait rien au hasard ? Une histoire dans la grande tradition du récit fantastique, qui revisite la légende arthurienne de la Dame du Lac. Critique : L’illustratrice espagnole Aldara Prado revisite le mythe arthurien d’un point de vue féminin avec perspicacité et un grand talent graphique ! Elle dépeint un univers moyenâgeux crépusculaire au sein d’une campagne verte et désolée . Une jeune fille aux cheveux blancs flottant au milieu d’un lac , telle un phare lumineux dans la nuit noire , est recueillie par une famille portant le deuil . Elle semble totalement amnésique , ne sachant absolument pas d’où elle vient et son passé . Peu à peu , elle va se découvrir des pouvoirs et faire de bien étranges rencontres , lui révélant ses origines . Ici , point de Arthur et Lancelot , mais plutôt Morgane et Merlin ! La magie opère en ces lieux reculés et la quête initiatique d’Anna va la mener bien plus loin que la simple recherche de son passé ! On sent la patte de l’illustratrice espagnole à travers ces pages , un mélange de représentations dans les livres de contes pour enfants , avec une pointe d’art pictural . La relative simplicité des visages , tranche avec les effets lumineux et autres effets d’ondes à la surface de l’eau . Un univers fantastique envoutant et particulièrement bien illustré . Jeux d’ombres , regards perçants , lueurs d’une bougie dans les ténèbres , les couleurs sont au diapason d’effets visuels réussis . Le suspens est omniprésent et il faudra attendre les derniers instants de la lecture pour découvrir le sort réservé aux protagonistes principaux . Une première réussie pour la jeune diplômée des beaux-Arts qui donne une version de la légende d’Excalibur assez innovante et maîtrisée . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/nimue-9782203088351/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. poseidon2

    L'homme qui en a trop vu

    Il y a des métiers qui sont engageants. Des métiers qui demandent de l'investissement. Et bien je pense qu'il n'y en a surement pas beaucoup qui demandent autant que journaliste d'investigation sur terrain de guerre. Ce récit est saisissant et fait froid dans le dos. On a peur tout au long du récit. Peur de ce que notre reporter ne soit découvert. Peur de ce qu'il est obligé de faire et peur de ce que l'on aurait fait nous si on avait été à sa place. On a beau savoir de quoi cela parle, on est angoissé par le réalisme du reportage et stressé par les implications que cela pourrait avoir sur sa vie. Une superbe BD sur un homme comme il en existe peu. Chapeau bas monsieur !!!
  17. Titre de l'album : L'homme qui en a trop vu Scenariste de l'album : Simon Rochepeau | Ali Arkady Dessinateur de l'album : Isaac Wens Coloriste : Isaac Wens Editeur de l'album : Futuropolis Note : Résumé de l'album : En octobre 2016, le magazine allemand Der Spiegel commande à Ali Arkady un reportage sur le début de l'offensive, à Mossoul, contre Daesh. Ali, photojournaliste, prend contact avec des soldats rencontrés quelques mois plus tôt, à Falloujah. Il les rejoint sur la base militaire de Qayyarah, à 90 kilomètres au sud de Mossoul, en Irak. Kurde, Ali est protégé par les hommes qu'il accompagne, et dont il gagne la confiance. Son reportage pour Der Spiegel terminé, il reste avec les soldats, prétendant préparer un film à la gloire de l'ERD (Emergency Response Division), une division d'intervention d'urgence du ministère de l'intérieur irakien. Durant deux mois, il partage le quotidien des soldats, écoute leurs conversations. Et il découvre le pire : exactions contre des civils, viols, tortures... Ali est à bout de nerfs, et au bout de l'enfer. Ses photos et ses films seront publiés et montrés dans le monde entier. Pour ce reportage saisissant, Ali Arkady a reçu, en 2017, le prix Bayeux Calvados-Normandie des correspondants de guerre. Critique : Il y a des métiers qui sont engageants. Des métiers qui demandent de l'investissement. Et bien je pense qu'il n'y en a surement pas beaucoup qui demandent autant que journaliste d'investigation sur terrain de guerre. Ce récit est saisissant et fait froid dans le dos. On a peur tout au long du récit. Peur de ce que notre reporter ne soit découvert. Peur de ce qu'il est obligé de faire et peur de ce que l'on aurait fait nous si on avait été à sa place. On a beau savoir de quoi cela parle, on est angoissé par le réalisme du reportage et stressé par les implications que cela pourrait avoir sur sa vie. Une superbe BD sur un homme comme il en existe peu. Chapeau bas monsieur !!! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-homme-qui-en-a-trop-vu?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. En voici un compte étrange que nous livre Gaël Henry aux éditions Dupuis. Un étrange mélange entre les contes "anciens" et les histoires de Myasaki. Il y a un peu des deux dans cette aventure : des monstres globalement sympathiques, des méchants très méchants et une fin pas forcément celle que l'on espérait, nous rappelant que les contes du XIX siècles étaient en partie la pour montrer la dureté de la vie aux enfants. On ajoute dessus un parcours à la Alice au pays des merveilles et vous aurez un conte prenant, sombre et à la fin surprenante.
  19. Titre de l'album : Terrible - L'enfant, la jeune fille et la sorcière Scenariste de l'album : Gaël Henry Dessinateur de l'album : Gaël Henry Coloriste : Gaël Henry Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Lors d'une sortie estivale en forêt, Ana et son frère Noé se perdent dans une grotte et y découvrent un monde étrange et fantastique. Très vite, Noé disparaît et Ana se lance à sa recherche. Yaga la sorcière, Vassilissa la naïve, Loup gris et Poupée, ces figures emblématiques du folklore russe, vont l'accompagner dans sa quête. Ana apprendra à ses dépens où peut conduire la cruauté... Un conte riche de sens et d'interprétations qui explore les métamorphoses de l'adolescence, la perte de l'innocence. Une relecture sociétale du mythe de la sorcière porté par un humour noir dans un univers coloré ! Critique : En voici un compte étrange que nous livre Gaël Henry aux éditions Dupuis. Un étrange mélange entre les contes "anciens" et les histoires de Myasaki. Il y a un peu des deux dans cette aventure : des monstres globalement sympathiques, des méchants très méchants et une fin pas forcément celle que l'on espérait, nous rappelant que les contes du XIX siècles étaient en partie la pour montrer la dureté de la vie aux enfants. On ajoute dessus un parcours à la Alice au pays des merveilles et vous aurez un conte prenant, sombre et à la fin surprenante. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/terrible-l-enfant-la-jeune-fille-et-la-sorciere?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Kevin Nivek

    Ulysse et Cyrano

    Le monde du 9ème art peut s'enorgueillir de compter dans ses rangs Xavier Dorison , LE scénariste du moment dont l'éclectisme ne cesse de m'impressionner ! Aucune fausse note dans ses oeuvres et ce n'est pas avec ce formidable Ulysse et Cyrano qu'il va déroger à la règle ! Une histoire somme toute assez simple de transmission , mais insérée dans un contexte historique riche et passionnant , avec en plus la grande cuisine à la française et des personnages toujours aussi attachants . Une recette fonctionnant à merveille qui vous fera dévorer les 176 pages avec gourmandise , d'autant que des recettes en annexes s'ajoutent en fin de récit 😉 . Un scénario millimétré avec son lot de suspens et de surprises qui vous transportera ! Pour illustrer cette aventure culinaire , l'auteur de Holly Ann (Casterman) et L'histoire de Siloë ( Delcourt) , Stéphane Servain se met au diapason de l'histoire . Les visages sont expressifs , la campagne bourguignonne et ses villages donnent de la grandeur au monde rural , et son découpage est des plus immersif ; la symbiose bulles/dessin est idoine . Cette alchimie ne peut se faire qu'avec une empathie profonde envers les deux protagonistes principaux et il est difficile d'y résister ! Prenez une dose de jeunesse , un vieux aigri au grand coeur , de la cuisine étoilée , de l'amitié , une pincée d'amour , vous aurez une histoire remarquable , que vous relirez avec autant de plaisir dans 6 mois 🙂 Bon appétit !
  21. Déjà le 11ème tome pour le mook trimestriel des Humano et la qualité est toujours au rendez-vous ! Les nombreuses pages BD d'artistes cosmopolites sont enrichies par l'interview du romancier chinois à la mode en ce moment : Liu Cixin , l'auteur (entre autres) du Problème à 3 corps , livre adapté par Netflix en série tv . Un échange passionnant entre Lloyd Chéry et l'écrivain qui n'a pas fini de nous étonner avec de nombreux projets en vue . A l'occasion de la sortie de Furiosa , Melvin Zed l'auteur du pavé : Mad Max , ultra-violence dans le cinéma (éditions rififi) réalise un petit tour d'horizon de la saga débutée en 1979 avec Mel Gibson dans le rôle titre , et l'engouement incroyable entourant cette série de films post-apocalyptiques . Autre interview , un peu plus sérieuse , en la personne de Laurent Sourisseau le rédac en chef de Charlie hebdo , encore et toujours sous protection policière , il raconte sa vie et sa vision de la liberté de la presse depuis l'attentant dont il fut un des rares rescapés . Enfin , pour les amoureux du jeu-vidéo BioShock , Julie Le Baron reçoit ni plus ni moins que Ken Levine , le grand architecte de cet univers incroyable . Mais Métal Hurlant c'est aussi et avant tout , de la BD, et la rédaction nous gâte avec pas moins de 28 "nouvelles dessinées" ! Corbeyran , Jodorowsky , De Vos , mais aussi des artistes internationaux gagnant à être connus tels Karl Johnson en fils spirituel de Juan Gimenez , ou encore Branko Jelinek un slovaque au trait similaire à JM Ponzio . A noter aussi un envoûtant Hydronterra de Jacques Després , sorte de noir et blanc photographique , saisissant de réalisme ! Un thème domine dans une grande partie des oeuvres dessinées : le lien entre l'homme et les réseaux sociaux , ces notations et appréciations sur à peu près tout , et l'emprise de ces univers virtuels mercantiles sur nous ! Vous l'aurez compris , de la lecture passionnante pour l'été avec un peu moins de 300 pages stimulantes 😉
  22. Titre de l'album : Métal Hurlant tome 11 - Vacances métalliques Scenariste de l'album : Collectif Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Les humanoides associés Note : Résumé de l'album : Un des buts de Métal Hurlant a toujours été d'aller le plus loin possible, au-delà des frontières, qu'elles soient réelles ou imaginaires. Ce numéro 11 démontre une fois de plus la pertinence de cette volonté, d'une part en poussant les différents auteurs (trente-quatre !) à nous montrer ce qui se passe quand ils franchissent les frontières de force, mais d'autre part, la rédaction de Métal a mis un point d'honneur à faire venir des auteurs d'au-delà des frontières, puisque ce n'est pas moins de treize pays qui sont représentés. Critique : Déjà le 11ème tome pour le mook trimestriel des Humano et la qualité est toujours au rendez-vous ! Les nombreuses pages BD d'artistes cosmopolites sont enrichies par l'interview du romancier chinois à la mode en ce moment : Liu Cixin , l'auteur (entre autres) du Problème à 3 corps , livre adapté par Netflix en série tv . Un échange passionnant entre Lloyd Chéry et l'écrivain qui n'a pas fini de nous étonner avec de nombreux projets en vue . A l'occasion de la sortie de Furiosa , Melvin Zed l'auteur du pavé : Mad Max , ultra-violence dans le cinéma (éditions rififi) réalise un petit tour d'horizon de la saga débutée en 1979 avec Mel Gibson dans le rôle titre , et l'engouement incroyable entourant cette série de films post-apocalyptiques . Autre interview , un peu plus sérieuse , en la personne de Laurent Sourisseau le rédac en chef de Charlie hebdo , encore et toujours sous protection policière , il raconte sa vie et sa vision de la liberté de la presse depuis l'attentant dont il fut un des rares rescapés . Enfin , pour les amoureux du jeu-vidéo BioShock , Julie Le Baron reçoit ni plus ni moins que Ken Levine , le grand architecte de cet univers incroyable . Mais Métal Hurlant c'est aussi et avant tout , de la BD, et la rédaction nous gâte avec pas moins de 28 "nouvelles dessinées" ! Corbeyran , Jodorowsky , De Vos , mais aussi des artistes internationaux gagnant à être connus tels Karl Johnson en fils spirituel de Juan Gimenez , ou encore Branko Jelinek un slovaque au trait similaire à JM Ponzio . A noter aussi un envoûtant Hydronterra de Jacques Després , sorte de noir et blanc photographique , saisissant de réalisme ! Un thème domine dans une grande partie des oeuvres dessinées : le lien entre l'homme et les réseaux sociaux , ces notations et appréciations sur à peu près tout , et l'emprise de ces univers virtuels mercantiles sur nous ! Vous l'aurez compris , de la lecture passionnante pour l'été avec un peu moins de 300 pages stimulantes 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/metal-hurlant-tome-11/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Titre de l'album : Le gigot du dimanche Scenariste de l'album : Philippe Pelaez Dessinateur de l'album : Espé Coloriste : Espé Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : Mémé est peut-être très vieille, mais elle a toute sa tête et surtout, un gros paquet de Louis d'or cachés dans sa maison... Pilou, 11 ans, se rend tous les dimanches avec ses parents à Gaillac, petite ville du Tarn, pour y manger le traditionnel gigot préparé par son arrière-grand-mère, Mémé. Aujourd'hui, une semaine après l'élection de François Mitterrand, les dissensions sont importantes au sein de la famille même si chacun a toujours la même idée en tête : découvrir l'endroit où Mémé a caché son magot. Pourtant, la maison de Gaillac pourrait receler des secrets bien plus précieux que quelques pièces d'or... Critique : En voilà une véritable histoire normale au sens basique de "normal". Une histoire de famille comme beaucoup de famille en vivent. Un repas du dimanche ou tout le monde se force à venir diner en famille pour faire plaisir à la mamie. Mamie qui, et la ca change un petit peu, a des secrets dont celui d'une fortune de famille qui attise la convoitise des enfants et petits enfants qui se demandent quand ils vont bien pouvoir hériter. L'originalité de cet album est apportée par le narrateur. Arrière-petit-fils et dernier-né de la famille, il a 6 ans et livre un regard frais et sans filtre sur ces problèmes d'adultes. L'histoire n'est peut-être pas super original, mais la lecture est agréable… comme un dimanche en famille ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-gigot-du-dimanche/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. poseidon2

    Le gigot du dimanche

    En voilà une véritable histoire normale au sens basique de "normal". Une histoire de famille comme beaucoup de famille en vivent. Un repas du dimanche ou tout le monde se force à venir diner en famille pour faire plaisir à la mamie. Mamie qui, et la ca change un petit peu, a des secrets dont celui d'une fortune de famille qui attise la convoitise des enfants et petits enfants qui se demandent quand ils vont bien pouvoir hériter. L'originalité de cet album est apportée par le narrateur. Arrière-petit-fils et dernier-né de la famille, il a 6 ans et livre un regard frais et sans filtre sur ces problèmes d'adultes. L'histoire n'est peut-être pas super original, mais la lecture est agréable… comme un dimanche en famille !
  25. poseidon2

    Hawkmoon tome 3 - Le dieu fou

    Troisième tome et tome qui continue l'histoire… sans ne rien changer aux précédents. C'est assez bizarre mais je ne pense pas avoir grand-chose d'autres à dire. Nous sommes au milieu d'une histoire qui a fait ses preuves dans les romans et qui se trouve donc être bien. C('est dynamique, c'est intriguant et la fin du tome relance cette histoire de façon très surprenante. C'est toujours bien dessiné, ça avance et l'histoire n'est pas finie.... What else ??
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