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  1. poseidon2

    Ascender t3

    Titre de l'album : Ascender t3 Scenariste de l'album : Jeff Lemire Dessinateur de l'album : Dustin Nguyen Coloriste : Dustin Nguyen Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Alors qu'Andy lutte pour ressusciter Effie, son amour perdu, de l'emprise implacable du vampire mort-vivant, le capitaine Telsa fait de son mieux pour secouer la jeune Mila et Bandit. Mais les choses se compliquent lorsque leur chemin croise une vielle connaissance : Driller, le robot tueur. Mère et son armée maléfique de vamps ont peut-être enfin trouvé leur meilleur allié pour arriver à leurs fins... Contenu vo : Ascender #11-14. Critique : Avant de commencer, je tiens à préciser que j'en lu les tomes 2 et 3 d'un coup ce qui a surement aidé à l'immersion dans ce tome 3. Mais je pense que même sans cela je vous aurais que ce tome 3 est excellent. Peut-être même le meilleur des deux séries. Le meilleur car Lemire nous sort un tome de très haute volée dramatique mais surtout un tome qui relie les deux séries. Un tome qui explique le passé pour basculer dans le futur de l'humanité. Un tome qui, de façon logique en plus, retrouve toutes les petites graines semées sur le chemin de Descender pour planter ce qui promet de devenir un arbre flamboyant. La fin est fascinante même si attendue et l'on n'a des perspectives qui font pétiller les yeux. Allez-y les amis on croit en vous ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ascender-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. poseidon2

    Decorum t2

    Après un premier tome complexe , nous ouvrant les portes d'un nouveau monde et nous laissant avec des tas d'interrogations , Hickman nous délivre enfin la suite tant attendue . On devinait (comme à son habitude scénaristique) une ou plusieurs petites histoires imbriquées dans une , plus globale, majeure . C'est effectivement le cas mais j'émets une petite réserve . Nous avions un groupe de robots très puissants , une société de soeurs religieuses protectrices , et notre héroïne (ou presque) découvrant le monde des assassinats commandités . Tout ceci au milieu d'une chasse à l'oeuf 🙂 . Et bien dans ce tome , tout se simplifie et de façon bien trop rapide . Les 3/4 du livre portent sur la formation de Neha , avec des pointes d'humour assez bienvenues , et la présence de Madame Imogen Smith-Morley toujours aussi appréciée . Tout ceci pour finir dans une apothéose , une débauche d'action et de bains de sang , mettant un terme aux intrications posées dans le tome 1 ! Clap de fin ... Certes ,une ouverture est posée , mais désire t'on nécessairement ? J'en viens à me poser la question du franc succès ou pas , rencontré par cette histoire dans le marché américain . Hickman me semble avoir bâclé son univers . Tout n'est pas à jeter fort heureusement , Huddlestone , nous délivre encore des planches d'une beauté à couper le souffle . Il maintient son degré d'exigence . On passe du NB à des couleurs photographiques , du pastel ..... Hickman a découvert un immense talent . Ma déception vient du fait qu'après avoir lu East of west , qui est bien développé , bien profond et sans raccourcis ; puis retrouvé ce style au sein du tome 1 de Décorum , j'espérais une histoire avec un grand H . Ce tome 2 clôt ce diptyque , voyons où Jonathan va nous mener , espérons ... Une critique de Kevin Nivek
  3. poseidon2

    Decorum t2

    Titre de l'album : Decorum t2 Scenariste de l'album : Jonathan Hickman Dessinateur de l'album : Mike Huddlestone Coloriste : Mike Huddlestone Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : S'il est vrai que le meurtre constitue un dénominateur commun entre toutes les espèces, il n'en va pas de même pour l'assassinat, qui relève plutôt de... la vocation. Contenu vo : Decorum #5-8. Critique : Après un premier tome complexe , nous ouvrant les portes d'un nouveau monde et nous laissant avec des tas d'interrogations , Hickman nous délivre enfin la suite tant attendue . On devinait (comme à son habitude scénaristique) une ou plusieurs petites histoires imbriquées dans une , plus globale, majeure . C'est effectivement le cas mais j'émets une petite réserve . Nous avions un groupe de robots très puissants , une société de soeurs religieuses protectrices , et notre héroïne (ou presque) découvrant le monde des assassinats commandités . Tout ceci au milieu d'une chasse à l'oeuf 🙂 . Et bien dans ce tome , tout se simplifie et de façon bien trop rapide . Les 3/4 du livre portent sur la formation de Neha , avec des pointes d'humour assez bienvenues , et la présence de Madame Imogen Smith-Morley toujours aussi appréciée . Tout ceci pour finir dans une apothéose , une débauche d'action et de bains de sang , mettant un terme aux intrications posées dans le tome 1 ! Clap de fin ... Certes ,une ouverture est posée , mais désire t'on nécessairement ? J'en viens à me poser la question du franc succès ou pas , rencontré par cette histoire dans le marché américain . Hickman me semble avoir bâclé son univers . Tout n'est pas à jeter fort heureusement , Huddlestone , nous délivre encore des planches d'une beauté à couper le souffle . Il maintient son degré d'exigence . On passe du NB à des couleurs photographiques , du pastel ..... Hickman a découvert un immense talent . Ma déception vient du fait qu'après avoir lu East of west , qui est bien développé , bien profond et sans raccourcis ; puis retrouvé ce style au sein du tome 1 de Décorum , j'espérais une histoire avec un grand H . Ce tome 2 clôt ce diptyque , voyons où Jonathan va nous mener , espérons ... Une critique de Kevin Nivek Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/decorum-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Titre de l'album : the departement of truth t1 Scenariste de l'album : James Tynion IV Dessinateur de l'album : Martin Simmonds Coloriste : Martin Simmonds Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : L'agent spécial Cole Turner étudie depuis des années les théories conspirationnistes qui s'exposent sur les forums du monde entier et transmet ses enseignements à l'académie du FBI de Quantico. De l'assassinat du président Kennedy à l'alunissage de 1969, en passant par la crise des missiles de Cuba, l'information est sans cesse remise en question par les complotistes les plus fervents. Certain qu'il comprendra mieux leur fonctionnement et leur logique, Turner décide de s'immiscer au coeur d'une étrange réunion, une réunion qui le conduit à douter de la réalité même... Se pourrait-il que les classes dominantes soient à l'origine de faits qui n'ont jamais eu lieu ? Approché par le Département des Vérités, une agence gouvernementale occulte, Cole va rapidement être exposé à de nombreuses réponses bien différentes de ce qu'il imaginait. Des réponses qui ne manqueront pas de soulever de nombreuses autres questions. Contenu vo : Department of Truth vol.1 (#1-5). Critique : Il est quand même fort ce James Tyrion IV. Il réussit à nous faire croire à quelque chose de complètement aberrant : et si le monde était régi par une force qui le transformait en fonction de la croyance des foules ? Vous connaissez l'adage qui dit que ce sont les vainqueurs qui écrivent l'histoires. Et si c'était le plus grand nombre et se croyance qui réécrivait l'histoire ? N'avez-vous jamais eu l'impression que, à force de regarder des histoires glauques de tueur en série à la maison, vous aviez l'impression d'an croiser à chaque coin de rue ? Idem pour les agents du gouvernement ? ET bien James Tyrion IV nous montre un département qui est dédié à la lutte contre les fausses informations qui, si elles prennent trop d'ampleur, pourrait prendre la place de la réalité, sans que personne ne s'en aperçoive. Mais la question qui s'amène à notre héros : c'est quoi la vérité alors ? Malgré ma répulsion envers les complotistes et le refus de la réalité, j'ai été marqué par cette histoire. Cette histoire est dure et sans pitié. Sans pitié pour les optimistes qui croient que l'homme a forcément du bon en lui. Le dessin de ce premier tome est parfaitement en phase avec le scénario : sombre et torturé. Clairement cette série a pour moi tout pour être un must. Mais il mêle la complexité d'un Black Monday murders et le graphisme d'un arkham asylum. A 10 euros c'est une bonne affaire mais vous êtes prévenus. Et n'oubliez pas : le drapeau sur la lune, il flotte ou il ne flotte pas ? Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-department-of-truth-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. poseidon2

    the departement of truth t1

    Il est quand même fort ce James Tyrion IV. Il réussit à nous faire croire à quelque chose de complètement aberrant : et si le monde était régi par une force qui le transformait en fonction de la croyance des foules ? Vous connaissez l'adage qui dit que ce sont les vainqueurs qui écrivent l'histoires. Et si c'était le plus grand nombre et se croyance qui réécrivait l'histoire ? N'avez-vous jamais eu l'impression que, à force de regarder des histoires glauques de tueur en série à la maison, vous aviez l'impression d'an croiser à chaque coin de rue ? Idem pour les agents du gouvernement ? ET bien James Tyrion IV nous montre un département qui est dédié à la lutte contre les fausses informations qui, si elles prennent trop d'ampleur, pourrait prendre la place de la réalité, sans que personne ne s'en aperçoive. Mais la question qui s'amène à notre héros : c'est quoi la vérité alors ? Malgré ma répulsion envers les complotistes et le refus de la réalité, j'ai été marqué par cette histoire. Cette histoire est dure et sans pitié. Sans pitié pour les optimistes qui croient que l'homme a forcément du bon en lui. Le dessin de ce premier tome est parfaitement en phase avec le scénario : sombre et torturé. Clairement cette série a pour moi tout pour être un must. Mais il mêle la complexité d'un Black Monday murders et le graphisme d'un arkham asylum. A 10 euros c'est une bonne affaire mais vous êtes prévenus. Et n'oubliez pas : le drapeau sur la lune, il flotte ou il ne flotte pas ?
  6. poseidon2

    Joker Infinite t1

    Cool cool une série sur le Joker. Mais comment présenté une série sur un psychopathe ? Simple, en ne le faisant pas. Et oui pour ne pas vous surprendre je vais vous révéler un truc : Ce joker Infinite est en fait un Gordon infinite. Et c'est tout sauf un reproche car c'est beaucoup plus cohérent et globalement très bon. C'est juste étrange d'avoir mis en avant le joker alors que c'est l'histoire de Gordon... qui chasse le joker on est d'accord mais de Gordon quand même. On ne voit au final que très peu le joker. Presque moins que dans un batou standard. Apres ce premier tome de la chasse au joker est vraiment très bon. Une partie d'historique sur la famille Gordon et l'impact qu'a eu le joker pour ne perdre personne. Une partie sur la ligne historique actuelle avec l'impact du "jour A" sur le joker et une belle partie "Aventure" avec les tribulations de Gordon loin de chez lui et le retour des fans de bane ou encore l'intervention de la cour des hiboux. Bref un excellent spin off SANS aucun encapé. Pour être exhaustif, je dirais qu'il faut aimer les voies off et l'introspection car on est quasiment tout le temps dans l'esprit de Gordon. Bref du tout bon avec juste une tête de proue un peu mensongère....
  7. Titre de l'album : Joker Infinite t1 Scenariste de l'album : James Tynion IV Dessinateur de l'album : Guillem March / Mirka Andolfo Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Si les trajectoires de Batman et du Joker sont intimement liées, il en va de même pour toutes les victimes collatérales du clown criminel. Parmi celles-ci, Jim Gordon figure parmi les plus sévèrement traumatisés. Depuis les événements qui paralysèrent sa fille Barbara, l'ex-commissaire reste hanté par la barbarie du Joker. Aussi, lorsque la représentante d'une mystérieuse organisation lui propose d'assassiner le Joker, Gordon y voit l'occasion de faire ce que Batman ne se résoudra jamais à faire et de débarrasser une bon fois pour toute le monde de cet avatar du Mal absolu. Critique : Cool cool une série sur le Joker. Mais comment présenté une série sur un psychopathe ? Simple, en ne le faisant pas. Et oui pour ne pas vous surprendre je vais vous révéler un truc : Ce joker Infinite est en fait un Gordon infinite. Et c'est tout sauf un reproche car c'est beaucoup plus cohérent et globalement très bon. C'est juste étrange d'avoir mis en avant le joker alors que c'est l'histoire de Gordon... qui chasse le joker on est d'accord mais de Gordon quand même. On ne voit au final que très peu le joker. Presque moins que dans un batou standard. Apres ce premier tome de la chasse au joker est vraiment très bon. Une partie d'historique sur la famille Gordon et l'impact qu'a eu le joker pour ne perdre personne. Une partie sur la ligne historique actuelle avec l'impact du "jour A" sur le joker et une belle partie "Aventure" avec les tribulations de Gordon loin de chez lui et le retour des fans de bane ou encore l'intervention de la cour des hiboux. Bref un excellent spin off SANS aucun encapé. Pour être exhaustif, je dirais qu'il faut aimer les voies off et l'introspection car on est quasiment tout le temps dans l'esprit de Gordon. Bref du tout bon avec juste une tête de proue un peu mensongère.... Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/joker-infinite-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Titre de l'album : Retour sur le Coffret Infinity Scenariste de l'album : Jonhatan Hickman Dessinateur de l'album : Jim Cheung Coloriste : Jim Cheung Editeur de l'album : Panini Note : Résumé de l'album : Un des éclaireurs de Thanos est de retour sur la planète Titan. La mission que son puissant maître lui a donnée a été couronnée de succès. Thanos exige à présent un tribut auprès du peuple de la planète Ahl-Agullo : les têtes de tous leurs enfants. Corvus Glaive, l'un des membres de l'Ordre Noir, la garde rapprochée du Titan, se rend sur place et exige que ce peuple cède aux désirs de Thanos. En faisant cela, le Titan fou s'assure qu'aucun héritier éventuel ne puisse le détrôner. Il ne reste à présent qu'un seul prétendant en vie et il se trouve sur la Terre. L'éclaireur est envoyé sur la planète bleue et après avoir espionné les personnes les plus puissantes, il finit par découvrir l'identité du fils de Thanos, un secret bien caché au fin fond de l'esprit du Roi des Inhumains, Flèche Noire... Sur Terre, les Avengers constatent que de plus en plus de Skrulls se cachent sur Terre, sans aucune intention belliqueuse. L'agent Brand du P.E.A.K. leur confirme également que les Krees émettent des signaux de détresse. Une menace approche et elle a un nom : les Bâtisseurs. Ces êtres divins détruisent les astres les uns après les autres. Captain America et les autres super-héros ne peuvent rester inactifs. Ils s'allient à d'autres peuples galactiques pour s'opposer à ces surpuissants agresseurs. Pendant ce temps, la Terre reste sans protection.. Critique : Bon alors cette critique risque d'en faire raler certains. En effet le coffret que je vais décrire ici est sortit en 2015 et est, bien évidemment, en rupture. Mais je tenais à rendre à Cesar ce qui lui est dû : ce coffret est sublime et bien pensé. Alors oui ce genre de coffret coute cher mais... tout coute cher chez Panini 🙂 Mais pour une fois ce coffret vaux vraiment l'investissement. Deja on a la une superbe hitoire de Johnatan Hickman qui, comme à son habitude, commence par nous en mettre plein la tête en reprenant tous les personnages de l'univers Marvel Galactique, avant de nous livrer une histoire compliquée mais super interessante dont la lecture s'avère passionnante. Ensuite, que dire des dessins de Jim Cheung si ce n'est que le format choisi par Panini pour son coffret magnifie chaque page ? Et bien on peut ajouter qu'en plus, et c'est assez rare, les dessins sont vraiment homogènes sur toute la longueurs des quasiment 700 pages de ce coffret. En parlant de la taille des pages, j'avais peur que la lecture d'un si gros album soit compliquée mais en fait la reliuire est resistante, les pages de qualités et l'ensemble rendent le tout juste "lourd" mais pas difficile à lire. J'avais rendance à beaucoup critiquer Panini pour le rapport : nombre de pages/Prix en magasin. Et bien il faut dire que sur ce coffret la ils ont choisi la bonne histoire et l'on bien mise en avant et cela justifie un prix luxueux tellement le rendu est sublime. Messieurs, mesdames.... à vos site d'occasions 😉 Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : http://www.bdfugue.com/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. poseidon2

    Retour sur le Coffret Infinity

    Bon alors cette critique risque d'en faire raler certains. En effet le coffret que je vais décrire ici est sortit en 2015 et est, bien évidemment, en rupture. Mais je tenais à rendre à Cesar ce qui lui est dû : ce coffret est sublime et bien pensé. Alors oui ce genre de coffret coute cher mais... tout coute cher chez Panini 🙂 Mais pour une fois ce coffret vaux vraiment l'investissement. Deja on a la une superbe hitoire de Johnatan Hickman qui, comme à son habitude, commence par nous en mettre plein la tête en reprenant tous les personnages de l'univers Marvel Galactique, avant de nous livrer une histoire compliquée mais super interessante dont la lecture s'avère passionnante. Ensuite, que dire des dessins de Jim Cheung si ce n'est que le format choisi par Panini pour son coffret magnifie chaque page ? Et bien on peut ajouter qu'en plus, et c'est assez rare, les dessins sont vraiment homogènes sur toute la longueurs des quasiment 700 pages de ce coffret. En parlant de la taille des pages, j'avais peur que la lecture d'un si gros album soit compliquée mais en fait la reliuire est resistante, les pages de qualités et l'ensemble rendent le tout juste "lourd" mais pas difficile à lire. J'avais rendance à beaucoup critiquer Panini pour le rapport : nombre de pages/Prix en magasin. Et bien il faut dire que sur ce coffret la ils ont choisi la bonne histoire et l'on bien mise en avant et cela justifie un prix luxueux tellement le rendu est sublime. Messieurs, mesdames.... à vos site d'occasions 😉
  10. poseidon2

    Deadly class t9

    Titre de l'album : Deadly class t9 Scenariste de l'album : Rick Remender Dessinateur de l'album : Wes Craig Coloriste : Wes Craig Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Lorsque Marcus Lopez, orphelin sans-abris, a rejoint l'école des Arts Létaux de Kings Dominion, il se doutait bien que ça ne serait pas une promenade de santé. Pour autant, il n'aurait jamais imaginé vivre une telle souffrance physique et psychologique durant sa première année. Après un avant-goût éphémère de ce que pourrait être une « belle vie » le long des plages du Mexique, lui et Maria sont de retour sur le campus ; non plus en tant que « rats » chassés par les plus puissants, mais en tant que couple admiré de tous. Une popularité qui risque de faire des envieux, et notamment attiser la haine d'Helmut, bien décidé à venger son amour disparu, Petra. Critique : A lala j'étais chaud bouillant !! Deadly class est une des séries les plus innovantes des comics américains. Sans filtre, sans humour facile, réfléchie et dure comme peut l’être le monde. J'attendais donc cette suite avec une impatience que je pensais avoir disparu à force de lire de BD toute l'année. Et... je suis mi-figue mi-raisin comme dit l'adage : En effet ce tome est nécessaire pour nous emmener vers la fin de l'histoire. Nécessaire et cohérent.... mais en l'ayant lu tout seul sans avoir relu le précédent, il y a un quelque chose de "trop". L’intervention de la "fratrie" de Petra est un poil too much. Et encore en réfléchissant ce qui se passe dans ce tome est un mal nécessaire posé à l'échelle de la série... Je pense sincèrement que je suis allé trop vite en besogne. Ce tome nécessite la relecture du précédent et pas que le résumé. Il faut bien comprendre ou en sont Marcus et Maria. Il faut bien avoir en tête leurs psychologies pour bien apprécier les changements de ce tome 9.... Chose que j'avais plus vraiment en tête. En bref peut être le premier tome de transition de cette superbe série.... qui à quelques aires d'avant dernier tome quand même. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/deadly-class-tome-9?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. poseidon2

    Deadly class t9

    A lala j'étais chaud bouillant !! Deadly class est une des séries les plus innovantes des comics américains. Sans filtre, sans humour facile, réfléchie et dure comme peut l’être le monde. J'attendais donc cette suite avec une impatience que je pensais avoir disparu à force de lire de BD toute l'année. Et... je suis mi-figue mi-raisin comme dit l'adage : En effet ce tome est nécessaire pour nous emmener vers la fin de l'histoire. Nécessaire et cohérent.... mais en l'ayant lu tout seul sans avoir relu le précédent, il y a un quelque chose de "trop". L’intervention de la "fratrie" de Petra est un poil too much. Et encore en réfléchissant ce qui se passe dans ce tome est un mal nécessaire posé à l'échelle de la série... Je pense sincèrement que je suis allé trop vite en besogne. Ce tome nécessite la relecture du précédent et pas que le résumé. Il faut bien comprendre ou en sont Marcus et Maria. Il faut bien avoir en tête leurs psychologies pour bien apprécier les changements de ce tome 9.... Chose que j'avais plus vraiment en tête. En bref peut être le premier tome de transition de cette superbe série.... qui à quelques aires d'avant dernier tome quand même.
  12. Le retour de nos deux Teen titans, leur renontre et le début de leur liaison. Tout ce qu'attendait ma fille ! Et qu'elle a eu raison d'attendre car, si j'avais trouvé les deux premeir trop simples et orientés ados, celui ci est vraiment sympa. En plus des deux personnages princpaux et de Slade "deathstorke" Wilson, la liaison entre les deux jeunes permet d'introduire Damian et les autres membres des futurs Teen Titans. Mais c'est aussi une super aventure de jeunes héros pourchassés pour leurs pouvoirs, pleine de rebondissement et de... sentiments. Pour etre quand meme très clair : cette série n'est pas non plus devenu Death Metal. Cela reste un comic pour adolescent. Mais dans le genre celui ci réussit à bien mieux allier l'aspect héros/aventures avec l'apsect sentimental et pas très refléchit des adolescents. Un bon mix qui ravira les ados !
  13. Titre de l'album : Teen titans : Beast boy loves raven Scenariste de l'album : Kami Garcia Dessinateur de l'album : Gabriel Picolo Coloriste : Gabriel Picolo Editeur de l'album : Urban Link Note : Résumé de l'album : En quelques jours seulement, la vie de Raven Roth a basculé. Un accident, le décès de sa mère adoptive, une amnésie... Bien qu'elle recouvre peu à peu ses souvenirs, il lui faut désormais digérer l'idée d'être la fille du démon Trigon, prisonnier de l'amulette qu'elle porte autour du cou, et de posséder quelques dons surnaturels qu'elle peine encore à maîtriser. De son côté, Garfield Logan a du mal à réaliser que les tests effectués sur lui alors qu'il était enfant lui ont conféré des capacités extraordinaires mais imprévisibles : le pouvoir de se transformer en n'importe quel animal. Les questions se bousculent dans la tête des deux adolescents, et une seule personne semble être en mesure de leur apporter des réponses : un certain Slade Wilson. Le rendez-vous est pris à Nashville, où leurs destins se croisera pour la première fois. Critique : Le retour de nos deux Teen titans, leur renontre et le début de leur liaison. Tout ce qu'attendait ma fille ! Et qu'elle a eu raison d'attendre car, si j'avais trouvé les deux premeir trop simples et orientés ados, celui ci est vraiment sympa. En plus des deux personnages princpaux et de Slade "deathstorke" Wilson, la liaison entre les deux jeunes permet d'introduire Damian et les autres membres des futurs Teen Titans. Mais c'est aussi une super aventure de jeunes héros pourchassés pour leurs pouvoirs, pleine de rebondissement et de... sentiments. Pour etre quand meme très clair : cette série n'est pas non plus devenu Death Metal. Cela reste un comic pour adolescent. Mais dans le genre celui ci réussit à bien mieux allier l'aspect héros/aventures avec l'apsect sentimental et pas très refléchit des adolescents. Un bon mix qui ravira les ados ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/teen-titans-beast-boy-loves-raven?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. poseidon2

    Sandman : Dreaming t1

    En préambule je dois vous avouer que je ne suis pas objectif sur Sandman. C’est pour moi la plus grande fresque ésotérique de l'histoire de la BD. Gaiman est un conteur de génie. Alors quand on me propose de retrouver tous les personnages qui ont fait le sel de Sandman dans une suite directe de la fin de "Veillée mortuaire" pour nous présenter ce qu'il advient du rêve, après la disparition de son maitre. Et ce fut pour moi un plaisir infini de retrouver Abel, Caïn, Matthew, Lucien, Merv et les autres. Un peu comme retrouver des amis disparus depuis longtemps. Et des amis qui seraient comme dans notre souvenir. Plus que cet aspect nostalgique cet album nous montre surtout la détresse des membres influant du rêve. En effet leur maitre est parti sans qu'ils ne soient au courant. Les personnages oscillent donc tous entre une attente du retour du maitre, une haine dû à l'abandon et une détresse sur la destruction de la structure même de Rêve. Un album qui réussit à concilier nostalgie et histoire intéressante dans l'univers de Sandman, il n'en fallait pas plus pour me faire coucher bien trop tard hier.... Quitte à lire les rêves plutôt qu'a ne les faire. Une lecture pour les fans et qui ravira les fans. Vivement la conclusion !
  15. Titre de l'album : Sandman : Dreaming t1 Scenariste de l'album : Simon Spurrier / Neil Gaiman / Dan Watter Dessinateur de l'album : Bilquis Evely / Max Fiumara / Sebastián Fiumara / Tom Fowler Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Le Royaume des Rêves a été abandonné par son roi, ses frontières sont à feu et à sang, son gardien sombre dans la folie, ses sujets s'entredéchirent pour préserver ce qui peut l'être... Mais le vrai cauchemar est encore à venir. Une menace tapie dans l'ombre depuis plus d'un siècle émerge des ténèbres pour remodeler le Royaume des Rêves à son image, sombre et sanglante. Critique : En préambule je dois vous avouer que je ne suis pas objectif sur Sandman. C’est pour moi la plus grande fresque ésotérique de l'histoire de la BD. Gaiman est un conteur de génie. Alors quand on me propose de retrouver tous les personnages qui ont fait le sel de Sandman dans une suite directe de la fin de "Veillée mortuaire" pour nous présenter ce qu'il advient du rêve, après la disparition de son maitre. Et ce fut pour moi un plaisir infini de retrouver Abel, Caïn, Matthew, Lucien, Merv et les autres. Un peu comme retrouver des amis disparus depuis longtemps. Et des amis qui seraient comme dans notre souvenir. Plus que cet aspect nostalgique cet album nous montre surtout la détresse des membres influant du rêve. En effet leur maitre est parti sans qu'ils ne soient au courant. Les personnages oscillent donc tous entre une attente du retour du maitre, une haine dû à l'abandon et une détresse sur la destruction de la structure même de Rêve. Un album qui réussit à concilier nostalgie et histoire intéressante dans l'univers de Sandman, il n'en fallait pas plus pour me faire coucher bien trop tard hier.... Quitte à lire les rêves plutôt qu'a ne les faire. Une lecture pour les fans et qui ravira les fans. Vivement la conclusion ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sandman-the-dreaming-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Titre de l'album : Grendel Intégrale t1 Scenariste de l'album : Matt Wagner Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Romancier, mondain, escrimeur de génie et assassin. Telles sont les multiples facettes de Hunter Rose, un mystérieux écrivain qui a surgi sur la scène du tout New York sans crier gare tout en officiant dans l'ombre pour prendre le contrôle de la pègre sous le masque du mystérieux Grendel. Poursuivi par les forces de police et l'immortel loup-garou Argent, Hunter Rose ne se connaît qu'une faiblesse : son amour pour sa fille adoptive, Stacy. Une faiblesse qui pourrait bien lui être fatale. Contenu vo : Grendel Omnibus vol. 1 (Grendel: Devil by the Deed ; Grendel: Black, White, & Red #1-4 ; Grendel: Red, White, & Black #1-4 ; Grendel: Behold the Devil). Critique : Très étonnant cette intégrale de Grendel. Très étonnant car la façon de mener ces histoires, de varier les styles graphiques et les styles de narration est très à la mode dans le comics indépendant. Qu'est ce qui est étonnant me direz-vous ? Et bien tout simplement que ces histoires courtes ont été écrit entre 1982 et 1997. Et sincèrement on ne dirait pas du tout. A une époque où les comics étaient encore dans un moule bien calibré, on avait donc ce genre d'OVNI. Un ovni a plus d'un terme. Car en plus d'un niveau graphique étonnant et très changeant, il nous raconte l'histoire.... D’un méchant. Mais un vrai. Un qui ne cherche pas juste à attaquer les héros et à se faire reconnaitre. Un méchant qui règne dans l'ombre. Ce qui est très bon dans ce recueil, c'est que l'on commence... par tout savoir. Oui oui la première histoire est l'histoire de Hunter Rose. En mode livre illustré, on apprend l'histoire de Hunter Rose au travers du récit de se vie. Une fois cela fait, on se retrouve avec plein de petites histoires dans l'univers de Hunter Rose. Mais des petites histoires intéressantes car des petites histoires prises du point de vue du personnage lambda. Point de vue qui ne fait qu'appuyer la légende et le coté mystérieux et croque mitaine de Grendel. Le personnage créé par Matt Wagner s'en trouve entourée d'une aura mystique, aura qui nous fait dévorer le pavé et nous fait lui trouver des excuses et ce malgré toutes les preuves. Un syndrome de Stockholm appréciable pour une lecture énigmatique sur un personnage que je ne connaissais pas du tout. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/urban-cult-grendel-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. poseidon2

    Grendel Intégrale t1

    Très étonnant cette intégrale de Grendel. Très étonnant car la façon de mener ces histoires, de varier les styles graphiques et les styles de narration est très à la mode dans le comics indépendant. Qu'est ce qui est étonnant me direz-vous ? Et bien tout simplement que ces histoires courtes ont été écrit entre 1982 et 1997. Et sincèrement on ne dirait pas du tout. A une époque où les comics étaient encore dans un moule bien calibré, on avait donc ce genre d'OVNI. Un ovni a plus d'un terme. Car en plus d'un niveau graphique étonnant et très changeant, il nous raconte l'histoire.... D’un méchant. Mais un vrai. Un qui ne cherche pas juste à attaquer les héros et à se faire reconnaitre. Un méchant qui règne dans l'ombre. Ce qui est très bon dans ce recueil, c'est que l'on commence... par tout savoir. Oui oui la première histoire est l'histoire de Hunter Rose. En mode livre illustré, on apprend l'histoire de Hunter Rose au travers du récit de se vie. Une fois cela fait, on se retrouve avec plein de petites histoires dans l'univers de Hunter Rose. Mais des petites histoires intéressantes car des petites histoires prises du point de vue du personnage lambda. Point de vue qui ne fait qu'appuyer la légende et le coté mystérieux et croque mitaine de Grendel. Le personnage créé par Matt Wagner s'en trouve entourée d'une aura mystique, aura qui nous fait dévorer le pavé et nous fait lui trouver des excuses et ce malgré toutes les preuves. Un syndrome de Stockholm appréciable pour une lecture énigmatique sur un personnage que je ne connaissais pas du tout.
  18. poseidon2

    Nomen Omen T3/3

    Troisième et dernier tome de Nomen Omen et donc de notre série de magie ésotérique sur base de mythologies celtes. Et on peut déjà dire que... ce n'est pas vraiment une fin. Et oui.... Si l'histoire se clôture globalement et ce surtout grâce à une post face très intéressante de Marco Bucci, cette série ouvre la porte à une prochaine série nommée Arcadia qui devrait bientôt sortir en Italie et dont j'espère que Panini France nous fera le plaisir d'une sortie. Ça serait l'occasion de retrouver les dessins et la sublime coloration de Jacopo Camagni. Car c'est immanquablement ce qui marque encore une fois sur ce tome 3 : un dessin sublime et une coloration qui s'avère être encore plus efficace. La coloration prend encore plus son sens dans ce tome trois avec l'apparition d'Arcadia. On comprend que les couleurs vues par Becky étaient uniquement les couleurs issues du monde magique et que le monde "terne" est le monde des humains. Cela explique toute la vision de Becky depuis le début et nous invite à relire les 3 tomes depuis le début avec cette connaissance de l'histoire. On voit aussi que Becky n'est pas une héroïne standard mais bien un personnage complexe plein de contradiction. Cette trilogie est donc une superbe trilogie introductive à Arcadia, ce pourquoi j'espère que Panini FR nous livrera une traduction ! Amis fans de fantastique et fan de légendes magiques, je vous enjoins à lire cette trilogie et à pousser avec moi pour avoir la suite de cette fresque dantesque !
  19. poseidon2

    Nomen Omen T3/3

    Titre de l'album : Nomen Omen T3/3 Scenariste de l'album : Marco Bucci Dessinateur de l'album : Jacopo Camagni Coloriste : Jacopo Camagni Editeur de l'album : Panini Note : Résumé de l'album : La fin approche ! Tandis que Becky, la sorcière, et Taranis, le Roi, s'affrontent, le rituel de Medea change à jamais le monde de Nomen Omen. Survivre à des changements si drastiques sera difficile, et la tragédie peut survenir au détour de chaque page. La mort, la culpabilité et la vengeance seront-elles au bout du chemin ? Après tout, c'est la fin de tout ! Ultime chapitre de l'épopée de Marco B. Bucci et Jacopo Camagni, une production Panini Comics publiée aux États-Unis chez Image Comics. Une réussite dans le style très particulier de l'Urban Fantasy. Critique : Troisième et dernier tome de Nomen Omen et donc de notre série de magie ésotérique sur base de mythologies celtes. Et on peut déjà dire que... ce n'est pas vraiment une fin. Et oui.... Si l'histoire se clôture globalement et ce surtout grâce à une post face très intéressante de Marco Bucci, cette série ouvre la porte à une prochaine série nommée Arcadia qui devrait bientôt sortir en Italie et dont j'espère que Panini France nous fera le plaisir d'une sortie. Ça serait l'occasion de retrouver les dessins et la sublime coloration de Jacopo Camagni. Car c'est immanquablement ce qui marque encore une fois sur ce tome 3 : un dessin sublime et une coloration qui s'avère être encore plus efficace. La coloration prend encore plus son sens dans ce tome trois avec l'apparition d'Arcadia. On comprend que les couleurs vues par Becky étaient uniquement les couleurs issues du monde magique et que le monde "terne" est le monde des humains. Cela explique toute la vision de Becky depuis le début et nous invite à relire les 3 tomes depuis le début avec cette connaissance de l'histoire. On voit aussi que Becky n'est pas une héroïne standard mais bien un personnage complexe plein de contradiction. Cette trilogie est donc une superbe trilogie introductive à Arcadia, ce pourquoi j'espère que Panini FR nous livrera une traduction ! Amis fans de fantastique et fan de légendes magiques, je vous enjoins à lire cette trilogie et à pousser avec moi pour avoir la suite de cette fresque dantesque ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/nomen-omen-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Titre de l'album : Strange Academy t2 Scenariste de l'album : Scottie Young Dessinateur de l'album : Ramos Coloriste : Ramos Editeur de l'album : Panini Note : Résumé de l'album : La magie est dangereuse, et l'école des sorciers du Docteur Strange a connu sa première victime. Le Sorcier Suprême aura-t-il le coeur d'enterrer un de ses élèves ? Un secret immense sur l'Académie est dévoilé, et les étudiants partent dans l'espace à la recherche d'un objet magique, avec l'aide de Rocket et Groot ! Au programme également : un voyage en Asgard et une enquête policière ! La qualité de cette série a très largement séduit la critique professionnelle et les lecteurs. Les retours sur le premier opus sont dithyrambiques ! La même équipe artistique revient pour ce deuxième album tout aussi passionnant. Critique : Deuxième tome de la série Marvel dirigée par Scottie Young et encore une fois on retrouve avec plaisir le dynamisme et l'envie de Scottie Young dans ce tome deux. Bien qu'un recueil de petites histoires sur notre groupe de jeunes, Scottie Young réussi à dégager de la puissance de chacune de ces histoires, chacune se centrant sur les différents personnages du groupe, nous permettant de mieux les connaitre. Alors si on peut regretter l'absence du fil rouge sur la compensation de l'utilisation de la magie, on s'amuse bien à regarder le comportement d'ados normaux transposé dans un univers magique démentiel. Une belle réussite qui plaira aux ados comme à leurs parents. Croisons les doigts pour une aventure complète dans le prochain tome ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/strange-academy-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. poseidon2

    Strange Academy t2

    Deuxième tome de la série Marvel dirigée par Scottie Young et encore une fois on retrouve avec plaisir le dynamisme et l'envie de Scottie Young dans ce tome deux. Bien qu'un recueil de petites histoires sur notre groupe de jeunes, Scottie Young réussi à dégager de la puissance de chacune de ces histoires, chacune se centrant sur les différents personnages du groupe, nous permettant de mieux les connaitre. Alors si on peut regretter l'absence du fil rouge sur la compensation de l'utilisation de la magie, on s'amuse bien à regarder le comportement d'ados normaux transposé dans un univers magique démentiel. Une belle réussite qui plaira aux ados comme à leurs parents. Croisons les doigts pour une aventure complète dans le prochain tome !
  22. Titre de l'album : The weatherman t2 Scenariste de l'album : Jody Leheup Dessinateur de l'album : Nathan Fox Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Sans souvenir de l'attaque terroriste qu'il aurait commanditée, Nathan Bright n'a plus d'autre choix que de fuir aux confins de la galaxie. Sa quête le conduit finalement sur une planète sur laquelle il ne pensait jamais revenir, celle qui a vu naître l'humanité : la Terre. Il découvre alors rapidement que, contrairement à ce qu'il pensait, ce lieu chargé de souvenirs et d'une histoire des plus sinistres est bien loin d'être vide... Critique : Aller on est vendredi, et aujourd'hui on lâche les grand mots : Je pense que la fin de ce tome deux est le meilleur Cliffhanger que je n'ai lu depuis... Je ne m'en souviens plus en fait... C'est limite indécent de faire ça au bout deux tome.... Ce qui est encore meilleur c'est que... ben personne ne m'en avait parlé. C'est série ne remue pas forcement les foule mais... c'est un tort que je me charge de rectifier. Car si la fin de tome est exceptionnelle, le tome lui-même est très bon. De la très bonne intro qu'était le tome 1, on passe ici dans le vrai et bon space opera : population en danger, choix cornélien entre sauver des gens ou penser au bonheur de tous, un anti héros de plus en plus attachant et de l'action de l'action de l'action.... à et j'oublie des terroristes interplanétaire, une présidente de mars qui pète un câble, un super virus.... Voilà j'ai envie de relire les deux premiers tomes. Il faut remonter aux premiers Deadly Class pour que je repense à une sensation d'évolution parfaite d'une série.... Avant de s'enflammer encore plus on va attendre le tome 3 mais nos auteurs tiennent tellement un bon filon que je ne peux que penser que ça sera excellent Vivement le t3 !!! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-weatherman-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. poseidon2

    The weatherman t2

    Aller on est vendredi, et aujourd'hui on lâche les grand mots : Je pense que la fin de ce tome deux est le meilleur Cliffhanger que je n'ai lu depuis... Je ne m'en souviens plus en fait... C'est limite indécent de faire ça au bout deux tome.... Ce qui est encore meilleur c'est que... ben personne ne m'en avait parlé. C'est série ne remue pas forcement les foule mais... c'est un tort que je me charge de rectifier. Car si la fin de tome est exceptionnelle, le tome lui-même est très bon. De la très bonne intro qu'était le tome 1, on passe ici dans le vrai et bon space opera : population en danger, choix cornélien entre sauver des gens ou penser au bonheur de tous, un anti héros de plus en plus attachant et de l'action de l'action de l'action.... à et j'oublie des terroristes interplanétaire, une présidente de mars qui pète un câble, un super virus.... Voilà j'ai envie de relire les deux premiers tomes. Il faut remonter aux premiers Deadly Class pour que je repense à une sensation d'évolution parfaite d'une série.... Avant de s'enflammer encore plus on va attendre le tome 3 mais nos auteurs tiennent tellement un bon filon que je ne peux que penser que ça sera excellent Vivement le t3 !!!
  24. Titre de l'album : Batman Whithe Knight - Harley Quinn Scenariste de l'album : Sean Murphy / Katana Collins Dessinateur de l'album : Matteo Scalera Coloriste : Matteo Scalera Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Bruce Wayne est toujours enfermé en prison, payant pour ses exactions envers la ville de Gotham et tentant de se racheter aux yeux de ses anciens alliés. Mais il a à présent noué une relation de plus en plus forte avec son ancienne ennemie, l'ex-compagne de Jack Napier, Harleen Quinzel. Jeune maman, celle-ci est contactée par le GCPD pour l'épauler sur une affaire qui va faire remonter à la surface les souvenirs encore vivaces de son passé de criminelle. Contenu vo : Batman White Knight presents Harley Quinn #1-6 + 10 pages de Harley Quinn Black White and Red réalisées par la même équipe artistique. Critique : Fiou qu'est-ce que j'aime cet univers de Sean Murphy. J'ai commencé, comme beaucoup, le White Knight pour les dessins de Sean Murphy avant tout. Mais, comme beaucoup aussi, je me suis pris au jeu de sa réécriture de l'univers de Batman. Un univers beaucoup plus dur et torturé, avec des personnages tout sauf manichéens. J'y suis donc allé les yeux fermés avant de voir que Sean Murphy n'était plus au dessin ! Horreur !!! OU pas. Car s'il a laissé la barre, il l’a laissé à un dessinateur qui lui ressemble beaucoup : Matteo Scalera que l'on a vu au travail dans Black Science. Matteo Scalera à un style très proche de celui de Murphy, avec des visages et des formes très anguleuses. On oublie donc rapidement ce changement des dessinateurs tellement Scalera fait bien le job. Niveau scénario cette suite est vraiment excellente non pas parce qu'elle se concentre sur Harley Quinn. Non elle est excellente parce que Batman et la Joker n'interviennent pas. C'est un tome qui met en avant les seconds rôles de l'univers et qui continue d'introduire les modifications de ces seconds rôles et donc continue de nous livrer un univers White Knight de plus en plus complet et autonome. Un univers dense, avec une Harley beaucoup moins délurée et dont le rôle de maman à un impact sur tous ceux qui l'entourent. Moi des albums comme cela j'en demande tous les ans ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-white-knight-harley-quinn/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Fiou qu'est-ce que j'aime cet univers de Sean Murphy. J'ai commencé, comme beaucoup, le White Knight pour les dessins de Sean Murphy avant tout. Mais, comme beaucoup aussi, je me suis pris au jeu de sa réécriture de l'univers de Batman. Un univers beaucoup plus dur et torturé, avec des personnages tout sauf manichéens. J'y suis donc allé les yeux fermés avant de voir que Sean Murphy n'était plus au dessin ! Horreur !!! OU pas. Car s'il a laissé la barre, il l’a laissé à un dessinateur qui lui ressemble beaucoup : Matteo Scalera que l'on a vu au travail dans Black Science. Matteo Scalera à un style très proche de celui de Murphy, avec des visages et des formes très anguleuses. On oublie donc rapidement ce changement des dessinateurs tellement Scalera fait bien le job. Niveau scénario cette suite est vraiment excellente non pas parce qu'elle se concentre sur Harley Quinn. Non elle est excellente parce que Batman et la Joker n'interviennent pas. C'est un tome qui met en avant les seconds rôles de l'univers et qui continue d'introduire les modifications de ces seconds rôles et donc continue de nous livrer un univers White Knight de plus en plus complet et autonome. Un univers dense, avec une Harley beaucoup moins délurée et dont le rôle de maman à un impact sur tous ceux qui l'entourent. Moi des albums comme cela j'en demande tous les ans !
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