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Les éditions Delcourt nous proposent une nouvelle édition luxueuse pour l'histoire de Chiara Rosenberg accompagné pour l'occasion de deux autres histoires Aura l'orpheline et 31-12-1999 ainsi qu'une préface et plusieurs illustrations inédites en fin d'album. Roberto Baldazzini est un dessinateur italien connu dans le monde de la bande dessinée pour ses nombreuses œuvres essentiellement érotiques. Le scénariste Celestino Pes écrit la première histoire avec les aventures de Chiara, une jeune femme mariée à un dominateur qui exige des pratiques sexuelles particulières. La situation évolue durant le dénouement quand Chiara rencontre un jeune homme fou amoureux d'elle. La seconde histoire se focalise sur une jeune orpheline en recherche d'amour dans des mauvais quartiers. La dernière histoire 31-12-1999 réalisé en noir et blanc. Roberto Baldazzini assure des dessins de qualité pour mettre des scènes érotiques autour de ses personnage féminins. Les amateurs de l'auteur ou de récit érotiques devraient trouver leur compte avec cette nouvelle édition très soignée.
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Titre de l'album : Chiara Rosenberg et autres gourmandises Scenariste de l'album : Celestino Pes, Roberto Baldazzini & Lorena Canassa Dessinateur de l'album : Roberto Baldazzini Coloriste : Christian Cornia, Dario Grillotti, Luca Raimondi, Andrea Camic & Andrea Rossetto Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Côté pile, Chiara Rosenberg subit les outrages de son mari juif. Elle est maso. Côté face, elle domine son amant catholique. Elle est sado. Petit à petit, elle s'aventure dans une passion dévorante avec son jeune photographe, tandis qu'elle se soumet docilement, mais avec ennui, aux jeux de son mari. Au final, l'amant obéissant se révélera aliéné et l'impétueux mari finira par douter de sa fidélité. Critique : Les éditions Delcourt nous proposent une nouvelle édition luxueuse pour l'histoire de Chiara Rosenberg accompagné pour l'occasion de deux autres histoires Aura l'orpheline et 31-12-1999 ainsi qu'une préface et plusieurs illustrations inédites en fin d'album. Roberto Baldazzini est un dessinateur italien connu dans le monde de la bande dessinée pour ses nombreuses œuvres essentiellement érotiques. Le scénariste Celestino Pes écrit la première histoire avec les aventures de Chiara, une jeune femme mariée à un dominateur qui exige des pratiques sexuelles particulières. La situation évolue durant le dénouement quand Chiara rencontre un jeune homme fou amoureux d'elle. La seconde histoire se focalise sur une jeune orpheline en recherche d'amour dans des mauvais quartiers. La dernière histoire 31-12-1999 réalisé en noir et blanc. Roberto Baldazzini assure des dessins de qualité pour mettre des scènes érotiques autour de ses personnage féminins. Les amateurs de l'auteur ou de récit érotiques devraient trouver leur compte avec cette nouvelle édition très soignée. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/chiara-rosenberg-et-autres-gourmandises-integrale-chiara-rosenberg-et-autres-gourmandises/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Alice au pays du chaos Scenariste de l'album : Manolo Carot Dessinateur de l'album : Manolo Carot Coloriste : Manolo Carot Editeur de l'album : Tabou Note : Résumé de l'album : Alice se réveille au sein d'une étrange maisonnée. Que c'est-il passé? qui est cette femme qui s'occupe d'elle avec tant d'attention? et pourquoi cette gamine la regarde avec admiration? mais oú est-elle? c'est alors qu'elle cherche une réponse à ses questions que le destin lui répond avec toute la force dont il sait faire parfois usage. l'entraînant dans un monde délirant oú le sexe est la monnaie d'échange la plus efficace pour survivre dans ce cauchemar. Bienvenue, alice, au pays du chaos!. Critique : Oubliez Lewis Caroll et son Alice au pays des merveilles , et plongez dans un enfer charnel avec le sexe comme monnaie d'échange ! Tabou réédite cette histoire parue en 2008 , avec une édition revue et augmentée , pourvue d'une superbe couverture . Manolo Carot , dit Man , propose des planches superbes de son trait rond et sensuel , il excite les papilles du lecteur avec des corps féminins élégants et lascifs . On peut lui reprocher certains phallus exagérément gros , mais cela va de pair(e) , si vous me permettez l'expression 🙂 , avec l'univers rencontré ! Alice se réveille dans un monde apocalyptique et découvre de nouvelles règles . Elle est accompagnée d'une jeune fille muette , la suivant comme son ombre . Qui est-elle , et quel est ce monde où tout se paye en ébats voire orgies sexuelles , parfois sous la contrainte ? Elle va trouver ses réponses dans un déluge de scènes X où les corps s'entremêlent , se font et se défont dans une tension omniprésente . Le découpage est immersif , mais je trouve les couleurs un peu trop "numériques" , voire ternes parfois . Cela reste du contenu attractif pour le lectorat concerné , qui plus est dans une réédition de très bonne facture . Si vous êtes fan du trait de Man , spécialiste de bd érotiques , ce conte chaotique et libertin est taillé pour vous 😉 . Alice-Pays-Chaos-Extrait.pdf Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : http://www.bdfugue.com/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Oubliez Lewis Caroll et son Alice au pays des merveilles , et plongez dans un enfer charnel avec le sexe comme monnaie d'échange ! Tabou réédite cette histoire parue en 2008 , avec une édition revue et augmentée , pourvue d'une superbe couverture . Manolo Carot , dit Man , propose des planches superbes de son trait rond et sensuel , il excite les papilles du lecteur avec des corps féminins élégants et lascifs . On peut lui reprocher certains phallus exagérément gros , mais cela va de pair(e) , si vous me permettez l'expression 🙂 , avec l'univers rencontré ! Alice se réveille dans un monde apocalyptique et découvre de nouvelles règles . Elle est accompagnée d'une jeune fille muette , la suivant comme son ombre . Qui est-elle , et quel est ce monde où tout se paye en ébats voire orgies sexuelles , parfois sous la contrainte ? Elle va trouver ses réponses dans un déluge de scènes X où les corps s'entremêlent , se font et se défont dans une tension omniprésente . Le découpage est immersif , mais je trouve les couleurs un peu trop "numériques" , voire ternes parfois . Cela reste du contenu attractif pour le lectorat concerné , qui plus est dans une réédition de très bonne facture . Si vous êtes fan du trait de Man , spécialiste de bd érotiques , ce conte chaotique et libertin est taillé pour vous 😉 . Alice-Pays-Chaos-Extrait.pdf
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Titre de l'album : Le peuple des brumes tome 3 - Le bal des saisons Scenariste de l'album : Katia Even Dessinateur de l'album : Styloïde Coloriste : Marina Duclos Editeur de l'album : Tabou Note : Résumé de l'album : « La nature de ce que l'on est ne ment pas. Quand on est une fée, on doit rester une fée. À moins que notre destin s'en mêle : Ailina ne peut plus reculer face à ses choix. Le retour au village pour sauver Amandil se fera. D'une forme ou d'une autre. Et la nature reprendra ses droits. Le chaud cédera la place au froid. Le soleil à la pluie. Le beau temps à l'orage. Le printemps éclora enfin dans un grand bal des saisons aux notes harmonieuses. Du moins, c'est ce que le peuple de la forêt du Rocher du Dragon espère... ». Porté par le dessin très doux et rond de Styloïde, l'adéquate mise en couleurs de Marina Duclos et le scénario très soft et tendre de Katia Even, ce dernier tome clôt l'aventure féérique et sensuelle du Peuple des Brumes. Le voyage s'achève ici ! Critique : Clap de fin pour notre peuple de fées et de lutins dénudés ! Katia Even ménage le suspens avec une Ailina acculée face au peu de choix qu'il lui reste , ainsi qu'une nature en proie à de nombreuses difficultés . Restaurer l'équilibre en alliant plaisirs des sens sera au menu de ce dernier tome assez explosif .Les évènements s'enchainent à vive allure , le rythme est soutenu . Dans le pur style graphique de Barbucci , avec un trait tout en rondeur , Styloïde délivre des planches superbes ; bien aidé par la coloriste Marina Duclos ayant oeuvré sur Les naufragés d'Ythaq entre autres . Cette dernière démontre tout son talent avec des nuances sublimes et lumineuses , semblant presque visibles dans l'obscurité ! Ce trio fonctionne à merveille et délivre un ultime récit d'une qualité certaine . Que les fans se rassurent , les scènes "érotico-orgiaques" sont toujours présentes , les protagonistes infiniment nus , ainsi qu'un cycle des saisons toujours dépendant du petit peuple des brumes . Cette "hérotiquo-fantasy" ravira aussi le public féminin car le batifolage reste sobre , pas de gros plans à signaler 😉 . Vous l'aurez compris , si vous avez aimé les deux premiers , cette fin comblera vos attentes , attentes en tout genre bien entendu 😉 . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-peuple-des-brumes-3-le-bal-des-saisons/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Le peuple des brumes tome 3 - Le bal des saisons
Kevin Nivek a posté un enregistrement dans Critiques
Clap de fin pour notre peuple de fées et de lutins dénudés ! Katia Even ménage le suspens avec une Ailina acculée face au peu de choix qu'il lui reste , ainsi qu'une nature en proie à de nombreuses difficultés . Restaurer l'équilibre en alliant plaisirs des sens sera au menu de ce dernier tome assez explosif .Les évènements s'enchainent à vive allure , le rythme est soutenu . Dans le pur style graphique de Barbucci , avec un trait tout en rondeur , Styloïde délivre des planches superbes ; bien aidé par la coloriste Marina Duclos ayant oeuvré sur Les naufragés d'Ythaq entre autres . Cette dernière démontre tout son talent avec des nuances sublimes et lumineuses , semblant presque visibles dans l'obscurité ! Ce trio fonctionne à merveille et délivre un ultime récit d'une qualité certaine . Que les fans se rassurent , les scènes "érotico-orgiaques" sont toujours présentes , les protagonistes infiniment nus , ainsi qu'un cycle des saisons toujours dépendant du petit peuple des brumes . Cette "hérotiquo-fantasy" ravira aussi le public féminin car le batifolage reste sobre , pas de gros plans à signaler 😉 . Vous l'aurez compris , si vous avez aimé les deux premiers , cette fin comblera vos attentes , attentes en tout genre bien entendu 😉 . -
Thrace tome 1 - Lupi, frates, amantes : loups, frères, amants
Kevin Nivek a posté un enregistrement dans Critiques
J'ignorais ce genre de pratique de la part d'un éditeur , mais j'ai envie de dire "pourquoi pas" ! 😉 Thrace , édité chez Graph Zepellin en version soft , puis Thrace édité chez Tabou (maison mère) en version érotique ! Pour couronner le tout , on a droit aux deux talentueux auteurs italiens qui remettent ça en dénudant d'avantage les personnages . Nous retrouvons donc Adrianna et Cleio son esclave , dans cette Rome antique aux accents de trahisons et autres perfidies notoires . Leur parcours semé d'embûches est le même que la version "soft" , mais cette fois , les auteurs nous offrent des scènes intégrées au récit original , avec un certain approfondissement dénudé et charnel . On est pas dans Inguinis de Katia Even , mais on reste chez l'éditeur renommé 🙂 . Pénétrez dans cette tragédie romaine en suivant nos deux protagonistes embarqués dans un périple antique , parfaitement illustré par Trif et son compère coloriste . Vous y verrez la noirceur de Rome mais aussi un brin d'espoir pour nos deux jeunes gens . De superbes couleurs , un dessin fin et élégant , une histoire pleine de promesses , qu'attendez-vous ? Si vous n'avez pas acheté la version éditée chez Graph zepellin , vous pouvez tout à fait vous orienter vers celle-ci qui n'est pas pornographique mais plutôt "érotico-soft" . Thrace1-Tabou-Extrait.pdf- 3 commentaires
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Thrace tome 1 - Lupi, frates, amantes : loups, frères, amants
Kevin Nivek a posté un sujet dans Toute la BD
Titre de l'album : Thrace tome 1 - Lupi, frates, amantes : loups, frères, amants Scenariste de l'album : Francesco Trifogli " Trif" Dessinateur de l'album : Francesco Trifogli "Trif" Coloriste : Andrea Celestini Editeur de l'album : Tabou Note : Résumé de l'album : En l'an 79, Adriana Pollia, une jeune et jolie noble de Pompéi et son esclave Cleio Ont miraculeusement échappé à la colère du Vésuve. Seuls, ils vont vivre de petits larcins et prendre soin l'un de l'autre. Mais lorsqu'ils sont recueillis par l'oncle d'Adriana, Cleio est rejeté et Adriana sera forcée d'épouser un vieux et pervers sénateur. Elle suivra malgré tout son destin de noble Romaine et finira par oublier son amour de jeunesse. Mais la flamme du passé se ravivera le jour où, au Colisée, elle assistera aux débuts d'un jeune et fort gladiateur... Est-ce son bien-aimé Cleio qui se cache sous ce casque ? Critique : J'ignorais ce genre de pratique de la part d'un éditeur , mais j'ai envie de dire "pourquoi pas" ! 😉 Thrace , édité chez Graph Zepellin en version soft , puis Thrace édité chez Tabou (maison mère) en version érotique ! Pour couronner le tout , on a droit aux deux talentueux auteurs italiens qui remettent ça en dénudant d'avantage les personnages . Nous retrouvons donc Adrianna et Cleio son esclave , dans cette Rome antique aux accents de trahisons et autres perfidies notoires . Leur parcours semé d'embûches est le même que la version "soft" , mais cette fois , les auteurs nous offrent des scènes intégrées au récit original , avec un certain approfondissement dénudé et charnel . On est pas dans Inguinis de Katia Even , mais on reste chez l'éditeur renommé 🙂 . Pénétrez dans cette tragédie romaine en suivant nos deux protagonistes embarqués dans un périple antique , parfaitement illustré par Trif et son compère coloriste . Vous y verrez la noirceur de Rome mais aussi un brin d'espoir pour nos deux jeunes gens . De superbes couleurs , un dessin fin et élégant , une histoire pleine de promesses , qu'attendez-vous ? Si vous n'avez pas acheté la version éditée chez Graph zepellin , vous pouvez tout à fait vous orienter vers celle-ci qui n'est pas pornographique mais plutôt "érotico-soft" . Thrace1-Tabou-Extrait.pdf Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/thrace-tome-1-lupi-frates-amantes-loups-freres-amants/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement- 3 réponses
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Ce titre est une parodie aux aventures de Conan le barbare pour héroïne une jeune femme barbare, prête à offrir son corps pour venir à bout de ses ennemis. Ce premier tome nous présente la jeune Connie qui vient en aide à un jeune homme dont la fiancée encore vierge a été kidnappée par une affreuse sorcière. Tout le bestiaire de l'heroic fantasy est présent dans cette série à l'univers érotique où les combats finissent en orgies. Les scènes de sexe représentent la grande majorité des aventures humouristes de Connie. Les dessins sont dans un style comics classique centré autour des personnages nus avec peu de décors. Humour et sexe sont les deux mots qui résument très bien ce premier tome de Connie la barbare.
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Titre de l'album : Connie, la barbare tome 1 : la nuit du gloriole Scenariste de l'album : Gianluca Maconi Dessinateur de l'album : Gianluca Maconi Coloriste : Gianluca Maconi Editeur de l'album : Tabou Note : Résumé de l'album : Connie est la nièce d'un certain barbare (d'aucuns disent la fille illégitime du Cimmérien et d'une Hyrkanienne non moins célèbre). Elle quitte son pays désolé d'Hystéria pour vivre l'aventure à travers le monde Hyboirien... Ce premier volume de Connie, la barbare est composé de 4 chapitres : Le monastère de Salzikmu ; Le rituel de Gloriole ; L'ellipse de l'éclipse et C-Chozlà, le démon. Vous l'avez compris, Connie, la barbare, est un pastiche à peine dissimulé qui entraîne moult guerriers, démons, ogres et sorcières dans les aventures fantastiques d'un univers d'érotique-fantaisie, riche en humour, actions, et belles pépés Critique : Ce titre est une parodie aux aventures de Conan le barbare pour héroïne une jeune femme barbare, prête à offrir son corps pour venir à bout de ses ennemis. Ce premier tome nous présente la jeune Connie qui vient en aide à un jeune homme dont la fiancée encore vierge a été kidnappée par une affreuse sorcière. Tout le bestiaire de l'heroic fantasy est présent dans cette série à l'univers érotique où les combats finissent en orgies. Les scènes de sexe représentent la grande majorité des aventures humouristes de Connie. Les dessins sont dans un style comics classique centré autour des personnages nus avec peu de décors. Humour et sexe sont les deux mots qui résument très bien ce premier tome de Connie la barbare. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/connie-la-barbare-1-la-nuit-du-gloriole/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Inguinis - origines tome 1 Scenariste de l'album : Katia Even Dessinateur de l'album : Nicolas Guenet Coloriste : Nicolas Guenet Editeur de l'album : Tabou Note : Résumé de l'album : Chrysanthe est pressée qu'Artémis ait sept ans pour entrer à l'école et que son contrat de préceptrice se termine enfin. Elle attend donc qu'Agrippa, son maître, officialise son affranchissement. Mais Nicomède, le père d'Artémis, veut la garder auprès d'eux aussi fera-t-il tout pour s'emparer du précieux document. Mais, de petites filles disparaissent dans la Cité romaine... des fillettes juste en âge d'entrer à l'école... comme Artémis. Dans ce nouveau volet de la série Inguinis, vous retrouverez l'univers d'intrigues à la romaine imaginé par Katia Even et sculpturalement dessiné par Nicolas Guenet. Une nouvelle enquête commence... Critique : Situé chronologiquement avant les deux tomes Inguinis , ce premier tome du diptyque "Origines" raconte la jeunesse d'Artémis . Elevée par Agrippa son père et Chrysanthe sa préceptrice , elle a 7 ans et doit bientôt rentrer à l'école ! Occupé par ses sculptures , Agrippa n'a guère le temps de s'en occuper et il craint la fin du contrat liant Chrysanthe à l'éducation de sa fille . En effet , sa prochaine entrée en classe sonnera le glas du contrat et Chrysanthe pourra réaliser son rêve d'être enfin "réthor " (rhéteur : maître d'éloquence) . Mais dans une Rome antique aux milles intrigues ,rien n'est simple . N'étant pas rémunérée pour ce travail , elle est obligée de danser dans un cabaret aux plaisirs divers et variés , voire orgiaques ! En ces lieux de débauche romaine, s'offrent à nous des scènes d'une grande tension sexuelle . Les spectateurs , les acteurs , tout le monde y participe et les détails sont nullement épargnés pour le plaisir des rétines . Il faut dire que le dessin de Nicolas Guenet sublime les séquences érotiques , mais pas que ! L'architecture des bâtiments , les colonnes , les venelles , tout est majestueux . Les jeux d'ombres et d'éclairages sont au diapason avec des reflets mordorés sur les corps enchevêtrés , du plus bel effet . Assurément , une patte graphique de haut vol . Katia Even ménage le suspens dans ce premier tome , car la volonté d'émancipation de Chrysanthe n'est pas le seul fil conducteur . En effet , nous apprenons au cours du récit que des enfants disparaissent , enfants du même âge qu'Artémis ! Les scènes érotiques sont au service de l'histoire et non l'inverse , c'est bien ici le coup de force de cette scénariste de talent . Peut se lire indépendamment des autres Inguinis , mais par des lecteurs(trices) avertis(ies) 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/inguinis-origines-1-sanguis-mulieris/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Histoires d'elles Scenariste de l'album : Aurélie Loiseau Dessinateur de l'album : Al' Covial Coloriste : Editeur de l'album : Tabou Note : Résumé de l'album : Histoires d'Elles est le reflet de la sexualité des femmes d'aujourd'hui. Les "Elles", qui s'y confient, parlent sans pudeur de leurs interrogations, de leurs désirs, leurs envies, mais aussi de ce qui peut les mettre en difficulté dans leur intimité. Des corps, des fantasmes, des désirs différents qui sont autant de prismes par lesquels on explore et comprend les plaisirs de la femme moderne. À travers deux visions de générations différentes : celle d'une femme, Aurélie Loiseau (au scénario) et d'un homme, Al' Covial (au dessin), cet album, composé de cinq petites histoires érotiques, légères, parfois drôles, nous fait réfléchir sur notre rapport au sexe. Histoires-Elles-Extrait.pdf Critique : Sexothérapeute de formation, Aurélie Loiseau écrit des nouvelles érotiques et nourrit un blog sur les questions du corps et de la sexualité féminine . Cette BD en est le reflet : la vision de la sexualité par les femmes . A travers cinq petites histoires , elle distille des moments intimes sous le prisme des pensées des femmes . Fini le "male gaze" , ce regard masculin faisant des femmes des objets de désirs ! Cela fait le plus grand bien de découvrir les phantasmes féminins réellement personnels et non pliés à ceux du conjoint ! A travers ces histoires toutes aussi différentes mêlant des caractères et des physiques variés , la scénariste propose des ébats avec plusieurs questionnements sur ce lien à l'autre sous la couette . Elle met l'accent aussi sur le plaisir féminin et les façons de l'obtenir , avec ou sans partenaire . Une véritable introspection des envies et besoins sexuels vus par la femme et non l'homme ! Elle est aidée dans son entreprise par Al' Covial , réalisant des histoires courtes chez Fluide Glacial . Son trait réaliste peut cependant se montrer avare en détails et les couleurs assez fades , manquent de nuances et d'éclaircissements . Je dois bien avouer que le dessin n'est pas le point fort de cet ouvrage , il fait bien trop années 70 pour moi . Mais là ne réside pas l'atout principal du livre , il s'agit bien évidemment de découvrir et mieux comprendre les plaisirs féminins , et garder à l'esprit que l'amour se fait à deux et chacun doit éprouver ses propres sensations . Il faudrait presque voir cette BD comme un documentaire et non un simple récit érotico-porno où les ébats s'enchaînent au fil des pages . A noter que l'humour est bien présent et rend certaines situations assez cocasses , cela amène une touche de légèreté assez bienvenue . Un extrait est disponible en fichier-joint , à ne pas montrer à toutes les rétines 😉 . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/histoires-d-elles/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Sous le pseudonyme de Cheri, l'auteur ou autrice propose un deuxième album érotique après Sève un premier album du même genre, très remarqué lors de sa sortie. Avec Suc, Cheri propose de suivre les aventures de personnages elfiques lors d'orgies et autres scènes érotiques sans parole. Je dois dire qu'avec cette méthode et l'érotique a répétition, il est assez difficile de comprendre réellement l'histoire. Après, l'intérêt de ce genre de bande dessiné ne réside pas dans l'intrigue mais surtout les dessins. Et il faut reconnaitre que c'est magnifique, les dessins en noir et blanc sont parfaits et l'on peut que rester en admiration sur l'album. Je suis peut-être passé à côté de quelque chose sur l'histoire mais Suc n'en reste pas moins un bon titre érotique. Des lecteurs avertis comprendront certainement mieux que moi mais je pense relire ou regarder une nouvelle fois pour me faire un autre avis de ce titre magnifique. L'histoire muette permet justement de reprendre plusieurs fois très vite.
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Titre de l'album : Suc Scenariste de l'album : Cheri Dessinateur de l'album : Cheri Coloriste : Cheri Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Dans un monde fantastique où une nature empreinte de sexualité emporte tout dans des orgies luxuriantes, une jeune elfe va accéder au coeur de ce royaume, un arbre-château réservé à l'élite du peuple féérique. Mais sous les dehors chaleureux d'un jardin où chaque tige, chaque feuille et chaque racine est dédié au plaisir, un sombre secret pourri la sève de cette nature dominatrice. Critique : Sous le pseudonyme de Cheri, l'auteur ou autrice propose un deuxième album érotique après Sève un premier album du même genre, très remarqué lors de sa sortie. Avec Suc, Cheri propose de suivre les aventures de personnages elfiques lors d'orgies et autres scènes érotiques sans parole. Je dois dire qu'avec cette méthode et l'érotique a répétition, il est assez difficile de comprendre réellement l'histoire. Après, l'intérêt de ce genre de bande dessiné ne réside pas dans l'intrigue mais surtout les dessins. Et il faut reconnaitre que c'est magnifique, les dessins en noir et blanc sont parfaits et l'on peut que rester en admiration sur l'album. Je suis peut-être passé à côté de quelque chose sur l'histoire mais Suc n'en reste pas moins un bon titre érotique. Des lecteurs avertis comprendront certainement mieux que moi mais je pense relire ou regarder une nouvelle fois pour me faire un autre avis de ce titre magnifique. L'histoire muette permet justement de reprendre plusieurs fois très vite. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/suc-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Sexothérapeute de formation, Aurélie Loiseau écrit des nouvelles érotiques et nourrit un blog sur les questions du corps et de la sexualité féminine . Cette BD en est le reflet : la vision de la sexualité par les femmes . A travers cinq petites histoires , elle distille des moments intimes sous le prisme des pensées des femmes . Fini le "male gaze" , ce regard masculin faisant des femmes des objets de désirs ! Cela fait le plus grand bien de découvrir les phantasmes féminins réellement personnels et non pliés à ceux du conjoint ! A travers ces histoires toutes aussi différentes mêlant des caractères et des physiques variés , la scénariste propose des ébats avec plusieurs questionnements sur ce lien à l'autre sous la couette . Elle met l'accent aussi sur le plaisir féminin et les façons de l'obtenir , avec ou sans partenaire . Une véritable introspection des envies et besoins sexuels vus par la femme et non l'homme ! Elle est aidée dans son entreprise par Al' Covial , réalisant des histoires courtes chez Fluide Glacial . Son trait réaliste peut cependant se montrer avare en détails et les couleurs assez fades , manquent de nuances et d'éclaircissements . Je dois bien avouer que le dessin n'est pas le point fort de cet ouvrage , il fait bien trop années 70 pour moi . Mais là ne réside pas l'atout principal du livre , il s'agit bien évidemment de découvrir et mieux comprendre les plaisirs féminins , et garder à l'esprit que l'amour se fait à deux et chacun doit éprouver ses propres sensations . Il faudrait presque voir cette BD comme un documentaire et non un simple récit érotico-porno où les ébats s'enchaînent au fil des pages . A noter que l'humour est bien présent et rend certaines situations assez cocasses , cela amène une touche de légèreté assez bienvenue . Un extrait est disponible en fichier-joint , à ne pas montrer à toutes les rétines 😉 .
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Situé chronologiquement avant les deux tomes Inguinis , ce premier tome du diptyque "Origines" raconte la jeunesse d'Artémis . Elevée par Agrippa son père et Chrysanthe sa préceptrice , elle a 7 ans et doit bientôt rentrer à l'école ! Occupé par ses sculptures , Agrippa n'a guère le temps de s'en occuper et il craint la fin du contrat liant Chrysanthe à l'éducation de sa fille . En effet , sa prochaine entrée en classe sonnera le glas du contrat et Chrysanthe pourra réaliser son rêve d'être enfin "réthor " (rhéteur : maître d'éloquence) . Mais dans une Rome antique aux milles intrigues ,rien n'est simple . N'étant pas rémunérée pour ce travail , elle est obligée de danser dans un cabaret aux plaisirs divers et variés , voire orgiaques ! En ces lieux de débauche romaine, s'offrent à nous des scènes d'une grande tension sexuelle . Les spectateurs , les acteurs , tout le monde y participe et les détails sont nullement épargnés pour le plaisir des rétines . Il faut dire que le dessin de Nicolas Guenet sublime les séquences érotiques , mais pas que ! L'architecture des bâtiments , les colonnes , les venelles , tout est majestueux . Les jeux d'ombres et d'éclairages sont au diapason avec des reflets mordorés sur les corps enchevêtrés , du plus bel effet . Assurément , une patte graphique de haut vol . Katia Even ménage le suspens dans ce premier tome , car la volonté d'émancipation de Chrysanthe n'est pas le seul fil conducteur . En effet , nous apprenons au cours du récit que des enfants disparaissent , enfants du même âge qu'Artémis ! Les scènes érotiques sont au service de l'histoire et non l'inverse , c'est bien ici le coup de force de cette scénariste de talent . Peut se lire indépendamment des autres Inguinis , mais par des lecteurs(trices) avertis(ies) 😉
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Ichikawa continue de découvrir les valeurs de ce monde inversé, plus méfiante qu’avant sur ce qui pourrait arriver et essayant de s’adapter au mieux, elle se retrouve quand même devant des situations qu’elle n’avait pas prévues : comme l’achat de nouveaux sous-vêtement, la gêne des autres filles dans les bains publics, une exhibitionniste qui s’incruste à compétition d’athlétisme… Mais à présent, elle a un peu plus de recul pour analyser la situation par rapport aux comportements des filles et garçons de son monde. L’excellente surprise du 1er tome passée, le début du livre continue sur le même ton : transposer des comportements typiques masculins de notre monde aux femmes du manga. C’est sympathique et ne manque pas d’idées, cela permet aussi de mettre l’accent sur des comportements qui à force d’être vus chez nous, nous semble normaux. L’autre intérêt est de voir comment Ichikawa va devoir s’adapter pour se fondre dans la masse et ne pas passer pour une anormale dans ce monde. On aurait pu trouver des longueurs, heureusement, l’auteur apporte un nouvel élément à la fin qui promet un développement coquin (enfin pour ceux qui n’auraient pas lu Chasteté inversée du même auteur). Le manga reste digne d’intérêt, entre humour et consternation (par rapport aux comportement sexistes !)
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Titre de l'album : Chastity reverse world tome 2 Scenariste de l'album : AMAHARA Dessinateur de l'album : MANTARO Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Plus elle vit dans ce monde, moins elle pense pouvoir rester saine d'esprit. À son réveil l'héroïne a découvert un monde où les hommes et les femmes avaient échangé leur chasteté. Les bains publics, les harems, les magasins de sous-vêtements, la façon de passer ses vacances, tout est contraire à ce qu'elle connaît et est prétexte à la rigolade. Et dans ce monde va apparaître une nouvelle source de problèmes... Critique : Ichikawa continue de découvrir les valeurs de ce monde inversé, plus méfiante qu’avant sur ce qui pourrait arriver et essayant de s’adapter au mieux, elle se retrouve quand même devant des situations qu’elle n’avait pas prévues : comme l’achat de nouveaux sous-vêtement, la gêne des autres filles dans les bains publics, une exhibitionniste qui s’incruste à compétition d’athlétisme… Mais à présent, elle a un peu plus de recul pour analyser la situation par rapport aux comportements des filles et garçons de son monde. L’excellente surprise du 1er tome passée, le début du livre continue sur le même ton : transposer des comportements typiques masculins de notre monde aux femmes du manga. C’est sympathique et ne manque pas d’idées, cela permet aussi de mettre l’accent sur des comportements qui à force d’être vus chez nous, nous semble normaux. L’autre intérêt est de voir comment Ichikawa va devoir s’adapter pour se fondre dans la masse et ne pas passer pour une anormale dans ce monde. On aurait pu trouver des longueurs, heureusement, l’auteur apporte un nouvel élément à la fin qui promet un développement coquin (enfin pour ceux qui n’auraient pas lu Chasteté inversée du même auteur). Le manga reste digne d’intérêt, entre humour et consternation (par rapport aux comportement sexistes !) Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/chastity-reverse-world-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Alissa est une nouvelle domestique dans un grand domaine d’aristocrates, plutôt maladroite mais mignonne, on lui confie rapidement la tâche d’éducatrice auprès du fils de famille, le jeune homme en âge de se marier doit acquérir un peu d’expérience auprès des femmes. Mais les deux jeunes gens se rapprochent plus qu’ils ne le devraient vu leurs rangs respectifs, certains ne voient pas cette relation d’un bon œil et Alissa va en faire les frais. L’ambition de l’auteur était de dessiner des scènes érotiques avec des vêtements européens et des soubrettes victoriennes. L’habit ne faisant pas le moine, une fois nus, les relations ne sont pas différentes qu’à une autre époque sauf qu’ici la femme est clairement au service de l’homme et semble bien l’accepter !! L’objectif du manga étant l’érotisme, de ce côté-là, le lecteur est servi. L’histoire principale est suivie de deux courtes histoires, pas inintéressantes : la première est une histoire d’amour entre une jeune aristocrate et sa suivante après son mariage arrangé et la deuxième celle d’un jeune homme qui va aider la femme qu’il aime traumatisée par les horreurs de la guerre. Chacune de ces histoires a un vrai scenario et n’est pas qu’une accumulation de scènes coquines. Certains développements sont inattendus et c’est appréciable, dommage que ces demoiselles soient toutes sur le même gabarit, on peut se lasser des grosses poitrines… Certaines scènes pouvant être choquantes, il est à réserver à un public averti
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Titre de l'album : Fanaticism Scenariste de l'album : SHIOKONBU Dessinateur de l'album : SHIOKONBU Coloriste : Editeur de l'album : NihoNiba Note : Résumé de l'album : Tout juste embauchée en tant que servante par un jeune aristocrate, Alyssa s'occupe la journée des tâches ménagères du manoir... et de la formation sexuelle et torride de son maître le soir ! Toutefois, alors que ses sentiments envers le garçon évoluent, les autres serviteurs ne voient pas cette relation d'un bon œil... Critique : Alissa est une nouvelle domestique dans un grand domaine d’aristocrates, plutôt maladroite mais mignonne, on lui confie rapidement la tâche d’éducatrice auprès du fils de famille, le jeune homme en âge de se marier doit acquérir un peu d’expérience auprès des femmes. Mais les deux jeunes gens se rapprochent plus qu’ils ne le devraient vu leurs rangs respectifs, certains ne voient pas cette relation d’un bon œil et Alissa va en faire les frais. L’ambition de l’auteur était de dessiner des scènes érotiques avec des vêtements européens et des soubrettes victoriennes. L’habit ne faisant pas le moine, une fois nus, les relations ne sont pas différentes qu’à une autre époque sauf qu’ici la femme est clairement au service de l’homme et semble bien l’accepter !! L’objectif du manga étant l’érotisme, de ce côté-là, le lecteur est servi. L’histoire principale est suivie de deux courtes histoires, pas inintéressantes : la première est une histoire d’amour entre une jeune aristocrate et sa suivante après son mariage arrangé et la deuxième celle d’un jeune homme qui va aider la femme qu’il aime traumatisée par les horreurs de la guerre. Chacune de ces histoires a un vrai scenario et n’est pas qu’une accumulation de scènes coquines. Certains développements sont inattendus et c’est appréciable, dommage que ces demoiselles soient toutes sur le même gabarit, on peut se lasser des grosses poitrines… Certaines scènes pouvant être choquantes, il est à réserver à un public averti Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/fanaticism?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Je me suis laissée un peu de temps avant de faire cette chronique car je ne savais vraiment pas par quel bout la prendre, difficile de dire si j’ai aimé le livre ou non : il est bourré de défauts et en même temps il y a un certain intérêt. L’histoire se déroule dans un monde de fantasy où cohabitent toutes les espèces possibles. Il y a des aventuriers et des quêtes à réaliser mais ici, l’argent gagné sert principalement à aller assouvir ses envies dans des lupanars (maisons closes). Il y en a autant de différents que d’espèces. Suite à une dispute entre deux amis (un humain et un elfe) qui n’arrivent pas à se mettre d’accord sur l’intérêt d’avoir une relation avec une femme elfe, ils décident d’écrire des articles sur les lupanars qu’ils auront expérimentés. Pour cela, ils se font accompagné de deux autres espèces (entre un ange, un bestian, un liliputien et un démon pour ce 1er tome) ; chacun décrit alors son expérience et attribue une note sur 10. Le livre est clairement une porte ouverte aux fantasmes, l’auteur a vraiment bien réfléchit aux caractéristiques des espèces si elles existaient réellement et il s’est aussi creusé la tête pour que le manga reste dans l’érotique et ne tombe pas dans le hentai. Après ça parle de sexe, c’est cru, plus que suggestif et destiné à un public masculin ! Donc oui, le manga est une accumulation d’expériences sexuelles et vu l’imagination de l’auteur, il peut encore écrire un certain nombre de tomes, la série en est d’ailleurs au tome 6. Quant à l’intérêt il se situe à deux niveaux : d’abord, le manga est très ouvert, il ne juge aucune race, il montre clairement que le regard que l’on porte sur les autres vient de notre culture, de la société dans laquelle on a grandi ; je trouve qu’il a un message de tolérance. Et puis, si vivre des fantasmes par procuration peut entrainer une baisse d’agressions sexuelles, ce sera toujours ça de gagné. Par contre, il est dommage que les expériences ne soient que du point de vue masculin, il aurait été intéressant d’avoir aussi l’avis de femmes qui iraient dans des lupanars et qu’on voit aussi l’homme en tant qu’objet ! Un peu d’égalité bon sang !!
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Titre de l'album : Interspecies reviewers tome 1 Scenariste de l'album : AMAHARA Dessinateur de l'album : MASHA Coloriste : Editeur de l'album : Ototo Note : Résumé de l'album : Dans un monde où cohabitent humains et démons, géants et centaures, fées et sirènes, l'aventure tend les bras à tout un chacun. Mais que vous soyez sensible ou non à l'attrait des épées et des boules de feu magiques, un tout autre genre d'aventures s'offre également à vous. Des établissements spécialisés pour les personnes en quête de belle compagnie ont éclos à travers tout le continent, et les « succubes » qui y officient ont autant de tours dans leur sac qu'il y a d'espèces en ce bas monde. Que vous souhaitiez draguer la dragonne, monter la minotaure ou harponner la harpie, il existe un cabaret de succubes pour vous ! Et pour vous permettre de savoir à l'avance si votre route vous-même à un lupanar de luxe ou dans un bordel crasseux, n'hésitez pas à consulter les critiques de Stunk et de ses joyeux compagnons : ils sauront vous renseigner ! Critique : Je me suis laissée un peu de temps avant de faire cette chronique car je ne savais vraiment pas par quel bout la prendre, difficile de dire si j’ai aimé le livre ou non : il est bourré de défauts et en même temps il y a un certain intérêt. L’histoire se déroule dans un monde de fantasy où cohabitent toutes les espèces possibles. Il y a des aventuriers et des quêtes à réaliser mais ici, l’argent gagné sert principalement à aller assouvir ses envies dans des lupanars (maisons closes). Il y en a autant de différents que d’espèces. Suite à une dispute entre deux amis (un humain et un elfe) qui n’arrivent pas à se mettre d’accord sur l’intérêt d’avoir une relation avec une femme elfe, ils décident d’écrire des articles sur les lupanars qu’ils auront expérimentés. Pour cela, ils se font accompagné de deux autres espèces (entre un ange, un bestian, un liliputien et un démon pour ce 1er tome) ; chacun décrit alors son expérience et attribue une note sur 10. Le livre est clairement une porte ouverte aux fantasmes, l’auteur a vraiment bien réfléchit aux caractéristiques des espèces si elles existaient réellement et il s’est aussi creusé la tête pour que le manga reste dans l’érotique et ne tombe pas dans le hentai. Après ça parle de sexe, c’est cru, plus que suggestif et destiné à un public masculin ! Donc oui, le manga est une accumulation d’expériences sexuelles et vu l’imagination de l’auteur, il peut encore écrire un certain nombre de tomes, la série en est d’ailleurs au tome 6. Quant à l’intérêt il se situe à deux niveaux : d’abord, le manga est très ouvert, il ne juge aucune race, il montre clairement que le regard que l’on porte sur les autres vient de notre culture, de la société dans laquelle on a grandi ; je trouve qu’il a un message de tolérance. Et puis, si vivre des fantasmes par procuration peut entrainer une baisse d’agressions sexuelles, ce sera toujours ça de gagné. Par contre, il est dommage que les expériences ne soient que du point de vue masculin, il aurait été intéressant d’avoir aussi l’avis de femmes qui iraient dans des lupanars et qu’on voit aussi l’homme en tant qu’objet ! Un peu d’égalité bon sang !! Autres infos : Pour public averti Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/interspecies-reviewers-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Avec la couverture et le titre vous pensez à une revisite du petit chaperon rouge ? Eh bien, de très loin alors ! Il y a bien un loup, enfin un thérianthrope, il y a aussi une jeune fille innocente, avec un grand cœur, perdue dans un endroit où elle ne devrait pas être. Il va y avoir une rencontre et le loup va vouloir la manger, au sens figuré… car il y a de l’érotisme, proche du hentai, des scènes crues pour lecteur avisé ! Enfin, il n’y a pas que ça, car Hana et la bête c’est avant tout une rencontre entre deux espèces, de la discrimination, de l’incompréhension. C’est apprendre à aller au-delà des on-dit et autres préjugés, c’est apprendre à se connaître et à se faire confiance. La lecture est fluide, le graphisme soigné, les scènes explicites, le tout n’est pas désagréable. Un titre érotique réussi, fini en 2 tomes. Remarque : sur le bandeau de l'éditeur, le pitch indique "isekai", je tiens à préciser que ce n'en ai pas un, Hana ne change pas de monde, elle va juste dans une partie de son monde réservé au thérianthrope, comme si elle entrait dans une réserve naturelle. Ce n'est pas parce que c'est la mode des isekai qu'il faut en voir partout.
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Titre de l'album : Hana et la bête tome 1 Scenariste de l'album : YUZUKI Chihiro Dessinateur de l'album : YUZUKI Chihiro Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Les thérianthropes et les humains... Un grand mur se dresse à l'infini entre ces deux espèces. La jeune Hana pénètre malgré elle dans leur monde et rencontre Sanathi, l'une de ces créatures mi-hommes mi-animales. Alors qu'il la questionne tout en la fixant de son regard perçant, Hana, tremblante, sent son corps se presser contre le sien... Elle ne peut plus fuir ! Alors qu'elle aurait dû être arrêtée, Sanathi choisit de ne pas la dénoncer et de la cacher ! Mais pourquoi ?! Elle est gentille, chaleureuse, mais aussi très sexy ! Ainsi débute une magnifique histoire d'amour qui transcende les espèces ! Critique : Avec la couverture et le titre vous pensez à une revisite du petit chaperon rouge ? Eh bien, de très loin alors ! Il y a bien un loup, enfin un thérianthrope, il y a aussi une jeune fille innocente, avec un grand cœur, perdue dans un endroit où elle ne devrait pas être. Il va y avoir une rencontre et le loup va vouloir la manger, au sens figuré… car il y a de l’érotisme, proche du hentai, des scènes crues pour lecteur avisé ! Enfin, il n’y a pas que ça, car Hana et la bête c’est avant tout une rencontre entre deux espèces, de la discrimination, de l’incompréhension. C’est apprendre à aller au-delà des on-dit et autres préjugés, c’est apprendre à se connaître et à se faire confiance. La lecture est fluide, le graphisme soigné, les scènes explicites, le tout n’est pas désagréable. Un titre érotique réussi, fini en 2 tomes. Remarque : sur le bandeau de l'éditeur, le pitch indique "isekai", je tiens à préciser que ce n'en ai pas un, Hana ne change pas de monde, elle va juste dans une partie de son monde réservé au thérianthrope, comme si elle entrait dans une réserve naturelle. Ce n'est pas parce que c'est la mode des isekai qu'il faut en voir partout. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/hana-et-la-bete-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Le petit derrière de l'histoire Scenariste de l'album : Katia Even Dessinateur de l'album : Katia Even Coloriste : Katia Even Editeur de l'album : Kennes Note : Résumé de l'album : Marie, jeune femme ouverte sous tous rapports, se retrouve catapultée aux temps préhistoriques dans le lit malodorant d'un homme des cavernes. Elle comprend vite qu'elle est victime d'un mauvais tour : la voilà assimilée à un cobaye pour la machine à remonter le temps que son amant d'un soir se vantait d'avoir inventée. Comment se sortir de là ? Critique : C'est marrant quand même. Dans les mœurs actuelles on bascule tout de suite de la catégorie BD à la catégorie Érotique avec un gros X qui marque l'emplacement. Alors que la présente BD est, à l'instar du reste du catalogue Joker de la maison d'édition Kennes (qui ont récupéré les parutions de Dany), plus une BD sexy qu’érotique ou pornographique. En effet l’érotisme induit de la sensualité et la pornographie des scènes réelles et explicites. Là c'est rigolo, bien dessiné et sexy. Au fur et à mesure de la lecture on oublie même quelque peu le coté sexy "je m'envoie en l'air à tous va" pour bien rigoler sur les dérivations de l'histoire pour mettre Marie et ses rondeurs en avant sur toutes les grandes découvertes du monde. C'est joli, c'est marrant, c'est pour adulte.... mais ce n'est rien qui choquera les bonnes mœurs non plus 🙂 Autres infos : Humour sexy pour adulte Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-petit-derriere-de-l-histoire?ref=44 Voir la totalité de enregistrement