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  1. Titre de l'album : Pantapolis tome 1 - Oppression Scenariste de l'album : Thomas Pistoia Dessinateur de l'album : Walter Trono Coloriste : Walter Trono Editeur de l'album : Tabou Note : Résumé de l'album : Pantapolis est une petite planète où l'obscurantisme compromet la liberté de conscience de ses citoyens. Mais quand cette théocratie s'en prend aux parents de Valentine Hild, un désir de vengeance conduit la jeune femme à rejoindre un groupe de rebelles, qui milite pour le droit au plaisir charnel et s'oppose au concept de péché qui limite le peuple. La lutte armée des insurgés arrivera-t-elle a essaimé la liberté de pensée qui fera tomber le régime?? À quel prix Valentine gagnera-t-elle son pari?? Critique : Un univers froid où l'ordre prime de façon dictatoriale, une jeune femme au lourd passé éprise d'un fort désir de rébellion, voilà comment débute cette aventure prévue en 5 tomes qui devrait nous surprendre ! Très actuelle, on pense à La servante écarlate entre autres, dans ce combat pour la liberté sexuelle et l'orientation choisie mais aussi à la Liberté tout court avec un grand L. Une société dénuée de végétation, des villes aux imposants immeubles austères et un obscurantisme religieux imposant des règles restrictives sur les couples et les rapports sexuels, voilà dans quel monde baigne la plantureuse Valentine Hild ! En alternant présent et flashbacks vous saurez les raisons de sa colère et de son choix curieux d'utiliser son corps comme emblème de révolte. Pour illustrer ce contexte particulier, les auteurs ont fait le choix d'un "bleu glacé" aux dégradés de turquoise dans un quadrichromie aussi froide que l'ordre religieux en place. Ce choix contraste énormément avec la chaleur d'une étreinte et de corps enlacés voir en pleine action. Car si le présent se veut stérile et presque dénué de sexe, le passé vous démontrera les interdits bravés avec une belle élégance du trait. Un premier tome qui pose les jalons d'une saga ambitieuse qui devrait nous tenir en haleine jusqu'au bout ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien Partenaire : https://www.bdfugue.com/pantapolis-tome-1-oppression/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Un univers froid où l'ordre prime de façon dictatoriale, une jeune femme au lourd passé éprise d'un fort désir de rébellion, voilà comment débute cette aventure prévue en 5 tomes qui devrait nous surprendre ! Très actuelle, on pense à La servante écarlate entre autres, dans ce combat pour la liberté sexuelle et l'orientation choisie mais aussi à la Liberté tout court avec un grand L. Une société dénuée de végétation, des villes aux imposants immeubles austères et un obscurantisme religieux imposant des règles restrictives sur les couples et les rapports sexuels, voilà dans quel monde baigne la plantureuse Valentine Hild ! En alternant présent et flashbacks vous saurez les raisons de sa colère et de son choix curieux d'utiliser son corps comme emblème de révolte. Pour illustrer ce contexte particulier, les auteurs ont fait le choix d'un "bleu glacé" aux dégradés de turquoise dans un quadrichromie aussi froide que l'ordre religieux en place. Ce choix contraste énormément avec la chaleur d'une étreinte et de corps enlacés voir en pleine action. Car si le présent se veut stérile et presque dénué de sexe, le passé vous démontrera les interdits bravés avec une belle élégance du trait. Un premier tome qui pose les jalons d'une saga ambitieuse qui devrait nous tenir en haleine jusqu'au bout !
  3. Titre de l'album : Juste un rêve pervers Scenariste de l'album : Senco Yoshimoto Dessinateur de l'album : Senco Yoshimoto Coloriste : Editeur de l'album : Taifu Note : Résumé de l'album : Si Forni est un incube, il n’a aucune compétence dans le domaine du sexe... Il est donc tout bonnement incapable de se nourrir et s’évanouit au beau milieu de la rue. Fort heureusement, Harumi, un jeune homme séduisant, le sauve et le ramène chez lui. Cette nuit-là, Forni se glisse dans les rêves d’Harumi pour se nourrir de sa semence, mais comme il ne sait pas comment s’y prendre, Harumi décide de prendre les choses en main, et de tout lui apprendre. Critique : Foni, un jeune incube ne sachant pas se débrouiller seul et étant ignorant des choses de la vie s’évanouit de faim dans la rue. Il est recueilli par Harumi, un hôte de bar populaire qui est déçu des histoires d’amour depuis que sa dernière partenaire l’a poignardé. La suite de l’histoire est sans surprise, il s’agit d’un incube, un démon qui se nourrit de luxure !! Harumi, dans sa grande gentillesse, va se sacrifier pour nourrir Foni et ils vont tomber amoureux. Fin de l’histoire. Les 3/4 du livre sont des relations sexuelles. Le graphisme est correct mais pas au point de faire fantasmer… Bref, une histoire sans grand intérêt si tant est que l’on puisse parler d’histoire vu le vide du scénario… Autres infos : Type de l'album : Manga Lien Partenaire : https://www.bdfugue.com/juste-un-reve-pervers?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Nickad

    Juste un rêve pervers

    Foni, un jeune incube ne sachant pas se débrouiller seul et étant ignorant des choses de la vie s’évanouit de faim dans la rue. Il est recueilli par Harumi, un hôte de bar populaire qui est déçu des histoires d’amour depuis que sa dernière partenaire l’a poignardé. La suite de l’histoire est sans surprise, il s’agit d’un incube, un démon qui se nourrit de luxure !! Harumi, dans sa grande gentillesse, va se sacrifier pour nourrir Foni et ils vont tomber amoureux. Fin de l’histoire. Les 3/4 du livre sont des relations sexuelles. Le graphisme est correct mais pas au point de faire fantasmer… Bref, une histoire sans grand intérêt si tant est que l’on puisse parler d’histoire vu le vide du scénario…
  5. Titre de l'album : Chat soumis en début de soirée Scenariste de l'album : Rai Yaezaki Dessinateur de l'album : Rai Yaezaki Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Salaryman expérimenté ayant peur des femmes, Itsuki Kayahara embauche un homme aide à domicile pour entretenir son appartement pendant qu'il travaille. Lorsqu'il rentre chez lui le premier soir, il y trouve un délicieux repas fait maison et un petit mot avec un mignon dessin de chat. Mais cet homme de ménage si adorable... est en réalité un garçon plus jeune portant un masque noir et des piercings ! Malgré son look assez voyant, Shô est quelqu'un de gentil et Itsuki se rapproche petit à petit de lui, jusqu'au jour où il va carrément l'imaginer en train de se masturber...?! Critique : Kayahara est un employé compétent et séduisant qui a la phobie des femmes après deux malheureuses relations. Son charme agit même en milieu privé quand il veut recruter une femme de ménage, lassé par ses déclarations continues, il finit par embaucher un homme pour l’entretien de son logement qui lui prépare même ses repas. Un soir où il rentre plus tôt, il rencontre enfin celui qui lui fait de bons petits plats et découvre qu’il s’agit d’un jeune homme aux allures de délinquants, cheveux décolorés et piercings. La relation entre les deux personnages vire très vite à l’intime, voire très très intime. Il y a beaucoup de scènes de sexe, bien dessinées et très érotiques (pour public averti donc !). En dehors de ça, la romance ne se conclue pas directement car certains fantômes du passé vont venir les déranger. L’histoire de couple est plutôt classique sans trop de rebondissements et possède un graphisme élégant et des protagonistes très tentants ; un vrai plaisir pour les yeux plus que pour l’intérêt scénaristique. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien Partenaire : https://www.bdfugue.com/chat-soumis-en-debut-de-soiree?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Nickad

    Chat soumis en début de soirée

    Kayahara est un employé compétent et séduisant qui a la phobie des femmes après deux malheureuses relations. Son charme agit même en milieu privé quand il veut recruter une femme de ménage, lassé par ses déclarations continues, il finit par embaucher un homme pour l’entretien de son logement qui lui prépare même ses repas. Un soir où il rentre plus tôt, il rencontre enfin celui qui lui fait de bons petits plats et découvre qu’il s’agit d’un jeune homme aux allures de délinquants, cheveux décolorés et piercings. La relation entre les deux personnages vire très vite à l’intime, voire très très intime. Il y a beaucoup de scènes de sexe, bien dessinées et très érotiques (pour public averti donc !). En dehors de ça, la romance ne se conclue pas directement car certains fantômes du passé vont venir les déranger. L’histoire de couple est plutôt classique sans trop de rebondissements et possède un graphisme élégant et des protagonistes très tentants ; un vrai plaisir pour les yeux plus que pour l’intérêt scénaristique.
  7. Titre de l'album : Kiff tome 4 - Belles et insatiables Scenariste de l'album : Max Sulfur Dessinateur de l'album : Max Sulfur Coloriste : Max Sulfur Editeur de l'album : Tabou Note : Résumé de l'album : Déjà le quatrième opus pour la série Kiff où l'appétit sexuel d'une belle brochette de demoiselles aux formes épanouies est décidément insatiable. Cette fois-ci, c'est Alexi, professeur de latin, qui poursuit les (més)aventures féminines en étant leur jouet sexuel. Héros malgré lui, il tient néanmoins la distance malgré l'imagination sans bornes de ses belles « tortionnaires ». Soyez au plus proche de l'action et ne perdez rien des envies soudaines de ces femmes pulpeuses et débordantes d'énergie aux prises d'initiatives certaines. Cet album comblera toutes les attentes des lecteurs des trois premiers opus, tout en donnant un parfait échantillon aux retardataires qui n'auront pas encore commencé la série car on peut parfaitement commencer son intronisation avec ces Belles & Insatiables tentatrices Critique : Chacune des sorties de Max Sulfur est attendue car son dessin est assez remarquable et les puristes apprécieront ses mises en scène élégantes et soignées. Tout commence avec la directrice d'une école féminine effectuant ses remontrances à Alexi le professeur de latin, il aurait été "dépassé" par ses élèves ! Puis on remonte le temps pour découvrir les circonstances dans lesquelles a été dispensé ce cours de langue, croyez moi, le latin n'a jamais semblé autant vivant, tellement loin de la "langue morte" ! Voulant le remercier pour l'année écoulée, les élèves décident d'en faire leur jouet sexuel en l'attachant et le soumettant aux plus viles tortures érotiques, le "déchargeant" de toute responsabilité 😉 . Femmes aux courbes voluptueuses voire prononcées, l'artiste dévoile un large panel de corps dénudés et dans toutes les positions possibles. Parallèlement aux "sévices" subis par Alexi, on découvre Suzy, une jeune et jolie brune ayant des complexes sur son corps. Bien aidée par une membre de la direction, elle va se livrer à nu dans tous les sens du terme et vous allez en prendre plein les yeux. Max Sulfur explore une nouvelle sexualité et embrase les coeurs avec Suzy racontant ses aventures de dortoir et de d(c)ouches avec ses camarades de promotion, le tout dans un ballet de corps entremêlés. Son trait est toujours aussi agréable, les regards sont aussi plongeants que les décolletés, ici nulle vulgarité mais plutôt un plaisir des sens pour nos protagonistes engagés. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien Partenaire : https://www.bdfugue.com/kiff-tome-4-belles-et-insatiables/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Chacune des sorties de Max Sulfur est attendue car son dessin est assez remarquable et les puristes apprécieront ses mises en scène élégantes et soignées. Tout commence avec la directrice d'une école féminine effectuant ses remontrances à Alexi le professeur de latin, il aurait été "dépassé" par ses élèves ! Puis on remonte le temps pour découvrir les circonstances dans lesquelles a été dispensé ce cours de langue, croyez moi, le latin n'a jamais semblé autant vivant, tellement loin de la "langue morte" ! Voulant le remercier pour l'année écoulée, les élèves décident d'en faire leur jouet sexuel en l'attachant et le soumettant aux plus viles tortures érotiques, le "déchargeant" de toute responsabilité 😉 . Femmes aux courbes voluptueuses voire prononcées, l'artiste dévoile un large panel de corps dénudés et dans toutes les positions possibles. Parallèlement aux "sévices" subis par Alexi, on découvre Suzy, une jeune et jolie brune ayant des complexes sur son corps. Bien aidée par une membre de la direction, elle va se livrer à nu dans tous les sens du terme et vous allez en prendre plein les yeux. Max Sulfur explore une nouvelle sexualité et embrase les coeurs avec Suzy racontant ses aventures de dortoir et de d(c)ouches avec ses camarades de promotion, le tout dans un ballet de corps entremêlés. Son trait est toujours aussi agréable, les regards sont aussi plongeants que les décolletés, ici nulle vulgarité mais plutôt un plaisir des sens pour nos protagonistes engagés.
  9. Titre de l'album : La vie d'artiste... n'a pas que de mauvais côtés Scenariste de l'album : Fabio Jacomelli Dessinateur de l'album : Fabio Jacomelli Coloriste : Claudia Guiliani Editeur de l'album : Tabou Note : Résumé de l'album : Quelle est vraiment la vie érotique d'un artiste ? Fabio Jacomelli nous le dit à travers trois anecdotes. En trois histoires, l'auteur se raconte et nous livre un témoignage sincère et intime de sa vie d'artiste. Il explore et expose sa part la plus intime et met en scène et en images sa sexualité et ses fantasmes, son réel et son imaginaire d'auteur. Mais ne déflorons pas cette délicieuse bande dessinée. Laissons-nous guider par l'auteur lui-même ! Un album élégant, sensuel et intime. Critique : Fabio Jacomelli dévoile la vie érotique d'un artiste peintre/dessinateur, ou du moins expose ses phantasmes dans trois histoires à ne pas montrer aux yeux innocents 😉 . Tout commence à Milan en 1985, par une nuit pluvieuse d'octobre, Fabio ne parvient pas à travailler envahi par le syndrome de la page blanche version dessinateur. Soudain, le téléphone sonne et Claudia l'appelle avec l'envie pressante de le voir. Les retrouvailles vont prendre un virage inattendu, l'étudiante en "langues appliquées" fera montre de ses talents experts pour le plus grand plaisir de Fabio ! Puis nous nous retrouvons en 1986 à l'école de Bande dessinée de Milan, une élégante inconnue nommée Laura demande à Fabio de participer à une séance privée de photographies. Ils se retrouvent dans une chambre d'hôtel aux murs rouges habillés de nombreux miroirs ! Là aussi, point de photos mais des ébats passionnés cherchant le bon angle dans le reflet des miroirs. Enfin, deux années s'écoulent et on retrouve Fabio faisant la rencontre de Elena au cours d'une soirée. Apprenant son métier d'artiste, elle lui propose vite de venir peindre sur les murs de son appartement. Une fois encore, l'objet initial de la visite trouvera une toute autre issue, dénudée et enchevêtrée ! L'auteur italien nous gratifie ses "exploits" sur des planches soignées avec un trait élégant et fin. Les corps sont "humains", point de membres disproportionnés ou encore de poitrines énormes. Il dégage une grande sensualité des trois ébats, avec pour chacun un vécu différent. Il parvient à donner une belle expressivité aux visages avec de l'intensité dans les regards, le tout est bien mis en couleurs par Claudia Guiliani, l'histoire ne dit juste pas de quelle Claudia il s'agit 😉 . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-vie-d-artiste-n-a-pas-que-de-mauvais-cotes/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Fabio Jacomelli dévoile la vie érotique d'un artiste peintre/dessinateur, ou du moins expose ses phantasmes dans trois histoires à ne pas montrer aux yeux innocents 😉 . Tout commence à Milan en 1985, par une nuit pluvieuse d'octobre, Fabio ne parvient pas à travailler envahi par le syndrome de la page blanche version dessinateur. Soudain, le téléphone sonne et Claudia l'appelle avec l'envie pressante de le voir. Les retrouvailles vont prendre un virage inattendu, l'étudiante en "langues appliquées" fera montre de ses talents experts pour le plus grand plaisir de Fabio ! Puis nous nous retrouvons en 1986 à l'école de Bande dessinée de Milan, une élégante inconnue nommée Laura demande à Fabio de participer à une séance privée de photographies. Ils se retrouvent dans une chambre d'hôtel aux murs rouges habillés de nombreux miroirs ! Là aussi, point de photos mais des ébats passionnés cherchant le bon angle dans le reflet des miroirs. Enfin, deux années s'écoulent et on retrouve Fabio faisant la rencontre de Elena au cours d'une soirée. Apprenant son métier d'artiste, elle lui propose vite de venir peindre sur les murs de son appartement. Une fois encore, l'objet initial de la visite trouvera une toute autre issue, dénudée et enchevêtrée ! L'auteur italien nous gratifie ses "exploits" sur des planches soignées avec un trait élégant et fin. Les corps sont "humains", point de membres disproportionnés ou encore de poitrines énormes. Il dégage une grande sensualité des trois ébats, avec pour chacun un vécu différent. Il parvient à donner une belle expressivité aux visages avec de l'intensité dans les regards, le tout est bien mis en couleurs par Claudia Guiliani, l'histoire ne dit juste pas de quelle Claudia il s'agit 😉 .
  11. Titre de l'album : Le fruit le plus doux tome 1 Scenariste de l'album : Gabriele Di Caro Dessinateur de l'album : Gabriele Di Caro Coloriste : Gabriele Di Caro Editeur de l'album : Tabou Note : Résumé de l'album : Dans l'Amérique d'après-guerre, la petite ville de Sweetville se prépare aux célébrations de son évènement annuel : le concours du fruit le plus doux. Ronald et Larry, deux fermiers, sont en course. S'engage alors une guerre sans merci entre les deux hommes les obligeant à se confronter à leur passé. Critique : Je n'ai pas eu le plaisir de découvrir les univers de Gabriele Di Caro dans Les arcanes de la maison Fleury (édition Tabou) mais je commence à le regretter après avoir lu ce génialissime Le fruit le plus doux ! Que de mystères et un scénario d'une richesse telle que la classification "érotique" semble réductrice pour cette oeuvre aux multiples facettes ! Années 50, après seconde guerre donc, l'Amérique rurale et ses petites villes comme Sweetville où tout le monde se connaît, les cancans se multiplient comme la floraison dans les arbres au printemps, les couples s'interrogent, se font et se défont, bref une galerie de personnages truculents se découvre sous nos yeux. Un concours du fruit le plus doux vient comme chaque année mettre la ville en émois, faisant venir à l'occasion un journaliste en mal de scoops qui va gratter la couche de vernis de la bourgade et venir déterrer des secrets bien enfouis. Mais les apparences sont trompeuses et vous suivrez cette grande galerie de personnages, exposant leur vie et leurs secrets dans un déluge de révélations et de mystères. Plus on avance dans la lecture et plus on a l'impression de comprendre, alors que Gabriele Di Caro s'amuse avec nous et distille de nouvelles pistes scénaristiques complexifiant un peu plus l'histoire. Sachez qu'un soupçon de magie s'invite aussi ! Certains passés ont aussi une grande importance, vous le verrez dans des flashbacks disséminés à la manière d'une série tv. Pour tout vous dire, j'ai vraiment hâte de lire la suite tant la fin vous laisse pantois et avide de connaître le fin mot de l'histoire (ou des histoires 😉 ) . Quelques scènes érotiques ponctuent le récit mais sans gratuité ni exposition grandiloquente, elles servent, voire embellissent l'histoire. Il faut dire que le trait de l'artiste italien est somptueux. De la finesse, de l'élégance, une bonne proportion des corps, des couleurs sobres et représentatives du franco-belge dans ce qu'il produit de mieux. Un dessin frisant la perfection pour une histoire complexe aux multiples ramifications saupoudrée d'humour. En attendant la suite, bravo ! Un pdf ci-dessous pour les plus de 18 ans 😉 pdf_387_4.pdf Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-fruit-le-plus-doux-tome-1/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Kevin Nivek

    Le fruit le plus doux tome 1

    Je n'ai pas eu le plaisir de découvrir les univers de Gabriele Di Caro dans Les arcanes de la maison Fleury (édition Tabou) mais je commence à le regretter après avoir lu ce génialissime Le fruit le plus doux ! Que de mystères et un scénario d'une richesse telle que la classification "érotique" semble réductrice pour cette oeuvre aux multiples facettes ! Années 50, après seconde guerre donc, l'Amérique rurale et ses petites villes comme Sweetville où tout le monde se connaît, les cancans se multiplient comme la floraison dans les arbres au printemps, les couples s'interrogent, se font et se défont, bref une galerie de personnages truculents se découvre sous nos yeux. Un concours du fruit le plus doux vient comme chaque année mettre la ville en émois, faisant venir à l'occasion un journaliste en mal de scoops qui va gratter la couche de vernis de la bourgade et venir déterrer des secrets bien enfouis. Mais les apparences sont trompeuses et vous suivrez cette grande galerie de personnages, exposant leur vie et leurs secrets dans un déluge de révélations et de mystères. Plus on avance dans la lecture et plus on a l'impression de comprendre, alors que Gabriele Di Caro s'amuse avec nous et distille de nouvelles pistes scénaristiques complexifiant un peu plus l'histoire. Sachez qu'un soupçon de magie s'invite aussi ! Certains passés ont aussi une grande importance, vous le verrez dans des flashbacks disséminés à la manière d'une série tv. Pour tout vous dire, j'ai vraiment hâte de lire la suite tant la fin vous laisse pantois et avide de connaître le fin mot de l'histoire (ou des histoires 😉 ) . Quelques scènes érotiques ponctuent le récit mais sans gratuité ni exposition grandiloquente, elles servent, voire embellissent l'histoire. Il faut dire que le trait de l'artiste italien est somptueux. De la finesse, de l'élégance, une bonne proportion des corps, des couleurs sobres et représentatives du franco-belge dans ce qu'il produit de mieux. Un dessin frisant la perfection pour une histoire complexe aux multiples ramifications saupoudrée d'humour. En attendant la suite, bravo ! Un pdf ci-dessous pour les plus de 18 ans 😉 pdf_387_4.pdf
  13. Nickad

    Please ! Freeze ! Please !

    C’est parce qu’il fait froid dans la bibliothèque du lycée que les deux jeunes filles en charge demandent à leur camarade de leur servir de bouillotte. Ce dernier ne semble pas craindre le froid vu qu’il se promène en chemise en plein hiver. Mais se blottir contre lui ne permet pas que de se réchauffer les mains, cela réveille aussi la libido des jeunes adolescents encore novices en la matière. Quoi de mieux que d’explorer sa sexualité en condition réelle tout en se réchauffant ? Ne vous y trompez pas, on est bien dans un hentai donc l’innocence est toute relative… Si nos tourtereaux sont bel et bien innocents au début du livre, ils ne sont pas naïfs et vont aller découvrir leur corps et celui de leur partenaire en augmentant leurs expériences jusqu’à perdre leur virginité. Ils vont même au-delà car après y avoir goûté, ils en redemandent !! Le point fort de ce manga c’est l’égalité fille-garçon. Ils sont au même niveau d’expérience au début et il n’y en n’a pas un qui prend l’avantage sur un autre : chacun à tour de rôle prend l’initiative, chacun est donneur et receveur et chacun achète des préservatifs ! Ça aussi c’est bien de la souligner car souvent la protection des rapports n’est pas le fort de ce genre de littérature ! Côté graphisme, on apprécie qu’il n’y ait pas d’extravagance, nos jeunes sont plutôt bien lotis mais tout reste dans la limite du possible. Et côté scénario, il y a une petite touche coquine supplémentaire en faisant se dérouler leurs ébats au cœur d’une bibliothèque, parfois dans un rayon peu fréquenté… un fantasme pour certains. Au final, on a une histoire agréable à lire et à regarder, classique sans en faire trop qui a un certain charme, celui de l’innocence qui s’épanouit peut-être…
  14. Titre de l'album : Please ! Freeze ! Please ! Scenariste de l'album : Shiwasunookina Dessinateur de l'album : Shiwasunookina Coloriste : Editeur de l'album : NihoNiba Note : Résumé de l'album : Qui a dit que les préliminaires étaient surfaits ? Dans une société où on s'interroge de plus en plus sur la validité de faire tourner nos rapports sexuels uniquement autour de la sacro- sainte pénétration, Shiwasu no Okina nous propose de redécouvrir avec émerveillement tout ce qui l'entoure. Dans le calme feutré d'une bibliothèque, on surprend un trio de jeunes adultes dont la libido débordante n'a d'égale que la curiosité. Et progressivement, de rendez- vous en rendez-vous, telle une vicieuse petit souris, regardons-les s'initier mutuellement aux plaisirs sexuels sous toutes leurs formes... Critique : C’est parce qu’il fait froid dans la bibliothèque du lycée que les deux jeunes filles en charge demandent à leur camarade de leur servir de bouillotte. Ce dernier ne semble pas craindre le froid vu qu’il se promène en chemise en plein hiver. Mais se blottir contre lui ne permet pas que de se réchauffer les mains, cela réveille aussi la libido des jeunes adolescents encore novices en la matière. Quoi de mieux que d’explorer sa sexualité en condition réelle tout en se réchauffant ? Ne vous y trompez pas, on est bien dans un hentai donc l’innocence est toute relative… Si nos tourtereaux sont bel et bien innocents au début du livre, ils ne sont pas naïfs et vont aller découvrir leur corps et celui de leur partenaire en augmentant leurs expériences jusqu’à perdre leur virginité. Ils vont même au-delà car après y avoir goûté, ils en redemandent !! Le point fort de ce manga c’est l’égalité fille-garçon. Ils sont au même niveau d’expérience au début et il n’y en n’a pas un qui prend l’avantage sur un autre : chacun à tour de rôle prend l’initiative, chacun est donneur et receveur et chacun achète des préservatifs ! Ça aussi c’est bien de la souligner car souvent la protection des rapports n’est pas le fort de ce genre de littérature ! Côté graphisme, on apprécie qu’il n’y ait pas d’extravagance, nos jeunes sont plutôt bien lotis mais tout reste dans la limite du possible. Et côté scénario, il y a une petite touche coquine supplémentaire en faisant se dérouler leurs ébats au cœur d’une bibliothèque, parfois dans un rayon peu fréquenté… un fantasme pour certains. Au final, on a une histoire agréable à lire et à regarder, classique sans en faire trop qui a un certain charme, celui de l’innocence qui s’épanouit peut-être… Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/please-freeze-please?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Suite des aventures de Connie , la nièce de "vous savez qui" , aux talents de lutte sur les champs de bataille , mais aussi sur d'autres plans , plus "allongés" 😉 . Cette fois , elle et Kra'doub sont confrontées à l'Orient et ses plaisirs , en pleine transition politique , mais aussi en guerre avec un pays frontalier . C'est donc dans cette cocote minute prête à exploser pour ne pas dire "éjaculer" que nos héroïnes auront fort à faire ! Surtout lorsqu'un plan pour un casse se met sur leur route et laisse le lecteur en attente prochaine d'un tome 3 ! Nous retrouvons donc tout ce qui a fait le succès du premier opus , avec de l'humour sur les jeux de mots et noms éparpillés ça et là , des dialogues coquins , et bien entendu des scènes érotiques parfaitement réalisées par l'auteur italien Maconi . On ajoute les intrigues de palais et des rêves (ou souhaits) de Connie aux prises avec un démon "pourvu" comme un taureau , et la recette est garantie pour une lecture agréable et amusante de ces aventures pas comme les autres . Gianluca Maconi réalise des planches d'un trait certes informatisé , mais aux couleurs vives et accrocheuses . On reconnait facilement les protagonistes et ce , dans toutes les positions ! Le format relié en couverture souple permet une lecture fluide et un feuilletage à reculons possible si le lecteur désire (re)contempler des scènes déjà vues . Il y en a pour tous les goûts , comme le nom de la capitale l'indique : El Djébétèq 😉
  16. Titre de l'album : Connie , la barbare - tome 2 - Les bijoux du Transistan Scenariste de l'album : Gianluca Maconi Dessinateur de l'album : Gianluca Maconi Coloriste : Gianluca Maconi Editeur de l'album : Tabou Note : Résumé de l'album : Connie, nièce d'un certain barbare (d'aucuns disent la fille illégitime du Cimmérien et d'une Hyrkanienne non moins célèbre), nous entraîne dans une nouvelle aventure aux confins d'un Orient merveilleux. Le Khanat du Transistan, pays lointain aux portes des Indes, est un monde aux moeurs surprenantes. Sa reine est morte et sa succession est en cours. Dans la capitale El Djébétèq, Va'azelin, princesse du Kulbuthan est promise au prince Albut'envu mais le Sultan est inquiet : une nouvelle épouse, l'imminence de la guerre avec son voisin Patryarkhan... C'est dans cet univers bousculé que Connie et sa compagne de route, Kra'doub, vont être entraînées malgré elles dans une lutte pour le pouvoir et le renversement des valeurs ancestrales. Critique : Suite des aventures de Connie , la nièce de "vous savez qui" , aux talents de lutte sur les champs de bataille , mais aussi sur d'autres plans , plus "allongés" 😉 . Cette fois , elle et Kra'doub sont confrontées à l'Orient et ses plaisirs , en pleine transition politique , mais aussi en guerre avec un pays frontalier . C'est donc dans cette cocote minute prête à exploser pour ne pas dire "éjaculer" que nos héroïnes auront fort à faire ! Surtout lorsqu'un plan pour un casse se met sur leur route et laisse le lecteur en attente prochaine d'un tome 3 ! Nous retrouvons donc tout ce qui a fait le succès du premier opus , avec de l'humour sur les jeux de mots et noms éparpillés ça et là , des dialogues coquins , et bien entendu des scènes érotiques parfaitement réalisées par l'auteur italien Maconi . On ajoute les intrigues de palais et des rêves (ou souhaits) de Connie aux prises avec un démon "pourvu" comme un taureau , et la recette est garantie pour une lecture agréable et amusante de ces aventures pas comme les autres . Gianluca Maconi réalise des planches d'un trait certes informatisé , mais aux couleurs vives et accrocheuses . On reconnait facilement les protagonistes et ce , dans toutes les positions ! Le format relié en couverture souple permet une lecture fluide et un feuilletage à reculons possible si le lecteur désire (re)contempler des scènes déjà vues . Il y en a pour tous les goûts , comme le nom de la capitale l'indique : El Djébétèq 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/connie-la-barbare-tome-2-les-bijoux-de-transistan/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Kevin Nivek

    Les mots pour le dire

    Les deux auteurs italiens de Sans un mot , publient un nouveau recueil de petites histoires osées . Dans la première , vous découvrirez avec humour ,plaisir et surprise le fantasme d'une femme au foyer ; un mari et un plombier sont présents 😉 Puis nous retrouvons un gardien de nuit de musée , nous détaillant son univers nocturne et les statues historiques l'entourant , dont une , plantureuse et empreinte de magie , ou pas ! Ensuite , camping sauvage au menu pour deux compères qui vont faire de drôles de rencontres . Pour finir , une jeune femme attrape son train de justesse et se retrouve à lire sa bd érotique dans une cabine en émoi : rêve ou réalité ? C'est bien ici la prouesse des auteurs , au delà de belles scènes d'amour dessinées dans des styles différents (aquarelle , pastel , noir et blanc) , ils amènent des surprises bienvenues dans le scénario et rendent aux séquences dénudées un intérêt certain . Il ne s'agit pas de scènes de sexe alignées les unes derrière les autres sans but ni histoire , le scénariste Jerrert donne de la profondeur au récit avec beaucoup de sens . Une belle bd érotique , à ne pas mettre dans n'importe quelles mains , évidemment 😉
  18. Titre de l'album : Les mots pour le dire Scenariste de l'album : Jerrert Dessinateur de l'album : Elena Ominetti Coloriste : Elena Ominetti Editeur de l'album : Tabou Note : Résumé de l'album : Désir, adoration, exhibition… des mots chuchotés à l’oreille pour exprimer nos fantasmes les plus intimes, les plus coquins, les plus inavouables. Compilation de 4 histoires, Les mots pour le dire vous entraîne dans un voyage entre imagination et réalité. Après tout tant que la pensée engendre plaisir et satisfaction, pourquoi ne pas oser fantasmer ? Après le succès de Sans un mot… Elena Ominetti et Jerrert reviennent avec cet album à l’érotisme fin et intense sublimé par un dessin sensuel et délicat. Tendons l’oreille à l’appel du désir… Critique : Les deux auteurs italiens de Sans un mot , publient un nouveau recueil de petites histoires osées . Dans la première , vous découvrirez avec humour ,plaisir et surprise le fantasme d'une femme au foyer ; un mari et un plombier sont présents 😉 Puis nous retrouvons un gardien de nuit de musée , nous détaillant son univers nocturne et les statues historiques l'entourant , dont une , plantureuse et empreinte de magie , ou pas ! Ensuite , camping sauvage au menu pour deux compères qui vont faire de drôles de rencontres . Pour finir , une jeune femme attrape son train de justesse et se retrouve à lire sa bd érotique dans une cabine en émoi : rêve ou réalité ? C'est bien ici la prouesse des auteurs , au delà de belles scènes d'amour dessinées dans des styles différents (aquarelle , pastel , noir et blanc) , ils amènent des surprises bienvenues dans le scénario et rendent aux séquences dénudées un intérêt certain . Il ne s'agit pas de scènes de sexe alignées les unes derrière les autres sans but ni histoire , le scénariste Jerrert donne de la profondeur au récit avec beaucoup de sens . Une belle bd érotique , à ne pas mettre dans n'importe quelles mains , évidemment 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.tabou-editions.com/bandes-dessinees/70937-les-mots-pour-le-dire-9782359542011.html/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Titre de l'album : Les 110 pilules et autres envoûtements Scenariste de l'album : Magnus Dessinateur de l'album : Magnus Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Le riche Hsi-Meng Sen a reçu d'un moine un cadeau incomparable : 110 pilules qui décuplent la force sexuelle... Cette aubaine s'accompagne toutefois d'un commandement : ne prendre qu'une seule pilule à la fois, à chaque nouvelle lune. Mais le libertin se laisse aller à les consommer sans aucune modération... et commence une insatiable immersion dans les plaisirs de la chair. Critique : Après la réédition luxueuse de Chiara Rosenberg et autres gourmandises début septembre, les éditions Delcourt poursuivent la collection Erotix avec les 110 pilules et autres envoutements de Magnus. Les 110 pilules est certainement le meilleur album réalisé intégralement par Magnus. Magnus nous propose de suivre les ébats sexuels d'un homme riche utilisant des pilules pour augmenter sa force virile avec toutes ses conquêtes et autres maitresses. Cependant, l'homme en consomme beaucoup trop et ne suit les indications du moine et devra en payer le prix. Les 110 pilules est un titre érotique et sensuel autour de ce que l’on appellerait le viagra aujourd’hui. Cette histoire est suivie de Femmes envoutées, Milady 3000, Exhibition, Sur la terrasse et le compte à rebours de Socrate. Les dessins de l'auteur sont réalistes tout en noir et blanc. Son style diffère suivant les histoires. L'album se termine sur un portfolio important avec de nombreuses illustrations en couleur, des recherches graphiques de l'auteur. Cette nouvelle édition permettra de faire découvrir le travail de Magnus et les albums luxueux de la collection Erotix devraient intéressés de nombreux lecteurs. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/catalog/product/view/id/435922/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Après la réédition luxueuse de Chiara Rosenberg et autres gourmandises début septembre, les éditions Delcourt poursuivent la collection Erotix avec les 110 pilules et autres envoutements de Magnus. Les 110 pilules est certainement le meilleur album réalisé intégralement par Magnus. Magnus nous propose de suivre les ébats sexuels d'un homme riche utilisant des pilules pour augmenter sa force virile avec toutes ses conquêtes et autres maitresses. Cependant, l'homme en consomme beaucoup trop et ne suit les indications du moine et devra en payer le prix. Les 110 pilules est un titre érotique et sensuel autour de ce que l’on appellerait le viagra aujourd’hui. Cette histoire est suivie de Femmes envoutées, Milady 3000, Exhibition, Sur la terrasse et le compte à rebours de Socrate. Les dessins de l'auteur sont réalistes tout en noir et blanc. Son style diffère suivant les histoires. L'album se termine sur un portfolio important avec de nombreuses illustrations en couleur, des recherches graphiques de l'auteur. Cette nouvelle édition permettra de faire découvrir le travail de Magnus et les albums luxueux de la collection Erotix devraient intéressés de nombreux lecteurs.
  21. Titre de l'album : Inguinis origines - tome 2 Scenariste de l'album : Katia Even Dessinateur de l'album : Nicolas Guenet Coloriste : Nicolas Guenet Editeur de l'album : Tabou Note : Résumé de l'album : Chrysanthe tient à son affranchissement et doit retrouver le précieux papyrus la liant encore à son maître. Mais c'est en fouillant dans les hautes sphères de la société romaine qu'on découvre souvent bien plus de choses qu'on ne le voudrait. C'est peut-être ça, le prix de la liberté ! Critique : Second et dernier tome des aventures de Chrysanthe dans une Rome qui va livrer les secrets tant attendus après un premier volume intrigant . Une fois de plus , Katia Even livre un scénario à la mécanique bien huilée , nous faisant découvrir au fur et à mesure le dénouement de chacune des intrigues posées précédemment . Ainsi , le fameux papyrus "égaré" , la disparition des jeunes filles , la décision de son maître quant à la signature ou pas de son affranchissement , tout vous sera révélé dans un déluge d'action et de suspens . Certes vous retrouverez les habituelles scènes "intimes" où la nudité est reine , dévoilant des corps enchevêtrés s'affairant . Les femmes sont pulpeuses et les hommes musculeux , des scènes standardisées ou des orgies typiques romaines , vous tournerez les pages avec délectation en contemplant le trait de Nicolas Guenet . il sublime les ambiances avec une lumière sur les corps saisissante comme un feu crépitant . Nous arpentons moins les venelles romaines du premier tome , pour visiter les geôles souterraines sombres et autres arrière-salles résonnant au son des gémissements de leurs occupants . Il est juste regrettable que certains visages en gros plan soit moins reconnaissables , mais dans l'ensemble , le dessinateur livre une partition assez remarquable sur les couleurs et les ombrages . Un trait réaliste pour dépeindre une Rome complexe où les vies humaines (hors romains) ne représentaient pas grand chose . Ce duo d'auteurs fonctionne toujours à merveille pour dépeindre la Rome antique , d'autres projets ensemble à venir ? Vous le saurez bientôt 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/catalogsearch/result/?q=inguinis/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Kevin Nivek

    Inguinis origines - tome 2

    Second et dernier tome des aventures de Chrysanthe dans une Rome qui va livrer les secrets tant attendus après un premier volume intrigant . Une fois de plus , Katia Even livre un scénario à la mécanique bien huilée , nous faisant découvrir au fur et à mesure le dénouement de chacune des intrigues posées précédemment . Ainsi , le fameux papyrus "égaré" , la disparition des jeunes filles , la décision de son maître quant à la signature ou pas de son affranchissement , tout vous sera révélé dans un déluge d'action et de suspens . Certes vous retrouverez les habituelles scènes "intimes" où la nudité est reine , dévoilant des corps enchevêtrés s'affairant . Les femmes sont pulpeuses et les hommes musculeux , des scènes standardisées ou des orgies typiques romaines , vous tournerez les pages avec délectation en contemplant le trait de Nicolas Guenet . il sublime les ambiances avec une lumière sur les corps saisissante comme un feu crépitant . Nous arpentons moins les venelles romaines du premier tome , pour visiter les geôles souterraines sombres et autres arrière-salles résonnant au son des gémissements de leurs occupants . Il est juste regrettable que certains visages en gros plan soit moins reconnaissables , mais dans l'ensemble , le dessinateur livre une partition assez remarquable sur les couleurs et les ombrages . Un trait réaliste pour dépeindre une Rome complexe où les vies humaines (hors romains) ne représentaient pas grand chose . Ce duo d'auteurs fonctionne toujours à merveille pour dépeindre la Rome antique , d'autres projets ensemble à venir ? Vous le saurez bientôt 😉
  23. Titre de l'album : Chiara Rosenberg et autres gourmandises Scenariste de l'album : Celestino Pes, Roberto Baldazzini & Lorena Canassa Dessinateur de l'album : Roberto Baldazzini Coloriste : Christian Cornia, Dario Grillotti, Luca Raimondi, Andrea Camic & Andrea Rossetto Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Côté pile, Chiara Rosenberg subit les outrages de son mari juif. Elle est maso. Côté face, elle domine son amant catholique. Elle est sado. Petit à petit, elle s'aventure dans une passion dévorante avec son jeune photographe, tandis qu'elle se soumet docilement, mais avec ennui, aux jeux de son mari. Au final, l'amant obéissant se révélera aliéné et l'impétueux mari finira par douter de sa fidélité. Critique : Les éditions Delcourt nous proposent une nouvelle édition luxueuse pour l'histoire de Chiara Rosenberg accompagné pour l'occasion de deux autres histoires Aura l'orpheline et 31-12-1999 ainsi qu'une préface et plusieurs illustrations inédites en fin d'album. Roberto Baldazzini est un dessinateur italien connu dans le monde de la bande dessinée pour ses nombreuses œuvres essentiellement érotiques. Le scénariste Celestino Pes écrit la première histoire avec les aventures de Chiara, une jeune femme mariée à un dominateur qui exige des pratiques sexuelles particulières. La situation évolue durant le dénouement quand Chiara rencontre un jeune homme fou amoureux d'elle. La seconde histoire se focalise sur une jeune orpheline en recherche d'amour dans des mauvais quartiers. La dernière histoire 31-12-1999 réalisé en noir et blanc. Roberto Baldazzini assure des dessins de qualité pour mettre des scènes érotiques autour de ses personnage féminins. Les amateurs de l'auteur ou de récit érotiques devraient trouver leur compte avec cette nouvelle édition très soignée. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/chiara-rosenberg-et-autres-gourmandises-integrale-chiara-rosenberg-et-autres-gourmandises/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Les éditions Delcourt nous proposent une nouvelle édition luxueuse pour l'histoire de Chiara Rosenberg accompagné pour l'occasion de deux autres histoires Aura l'orpheline et 31-12-1999 ainsi qu'une préface et plusieurs illustrations inédites en fin d'album. Roberto Baldazzini est un dessinateur italien connu dans le monde de la bande dessinée pour ses nombreuses œuvres essentiellement érotiques. Le scénariste Celestino Pes écrit la première histoire avec les aventures de Chiara, une jeune femme mariée à un dominateur qui exige des pratiques sexuelles particulières. La situation évolue durant le dénouement quand Chiara rencontre un jeune homme fou amoureux d'elle. La seconde histoire se focalise sur une jeune orpheline en recherche d'amour dans des mauvais quartiers. La dernière histoire 31-12-1999 réalisé en noir et blanc. Roberto Baldazzini assure des dessins de qualité pour mettre des scènes érotiques autour de ses personnage féminins. Les amateurs de l'auteur ou de récit érotiques devraient trouver leur compte avec cette nouvelle édition très soignée.
  25. Kevin Nivek

    Alice au pays du chaos

    Oubliez Lewis Caroll et son Alice au pays des merveilles , et plongez dans un enfer charnel avec le sexe comme monnaie d'échange ! Tabou réédite cette histoire parue en 2008 , avec une édition revue et augmentée , pourvue d'une superbe couverture . Manolo Carot , dit Man , propose des planches superbes de son trait rond et sensuel , il excite les papilles du lecteur avec des corps féminins élégants et lascifs . On peut lui reprocher certains phallus exagérément gros , mais cela va de pair(e) , si vous me permettez l'expression 🙂 , avec l'univers rencontré ! Alice se réveille dans un monde apocalyptique et découvre de nouvelles règles . Elle est accompagnée d'une jeune fille muette , la suivant comme son ombre . Qui est-elle , et quel est ce monde où tout se paye en ébats voire orgies sexuelles , parfois sous la contrainte ? Elle va trouver ses réponses dans un déluge de scènes X où les corps s'entremêlent , se font et se défont dans une tension omniprésente . Le découpage est immersif , mais je trouve les couleurs un peu trop "numériques" , voire ternes parfois . Cela reste du contenu attractif pour le lectorat concerné , qui plus est dans une réédition de très bonne facture . Si vous êtes fan du trait de Man , spécialiste de bd érotiques , ce conte chaotique et libertin est taillé pour vous 😉 . Alice-Pays-Chaos-Extrait.pdf
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