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Titre de l'album : La belle & l'ogre Scenariste de l'album : Ssman Dessinateur de l'album : Ssman Coloriste : Editeur de l'album : Taifu Note : Résumé de l'album : Dans un monde où les humains coexistent avec des espèces telles qu'ogres, loup-garous ou encore dieux renards et corbeaux, Hana est une jeune humaine célibataire tout à fait satisfaite de son quotidien banal de serveuse dans un salon de thé. Elle ignore qu'un destin exceptionnel l'attend... L'un des héritiers du Clan des Ogres est la recherche de celle qui lui est destinée, et celle-ci pourrait bien se trouver au coin de la rue. En tout cas, s'il la rencontre, il la reconnaîtra immédiatement ! Mais qu'est-ce que sa promise pense de tout ça ? Critique : La belle et l’ogre est l’un des 2 titres qui inaugurent la nouvelle collection des éditions Taifu : Crispy love consacrée à un genre connu sous le nom de « teen’s love ». Le teen’s love par les éditions Taifu : Elle rassemble des romances intenses et charnelles destinées à un lectorat féminin adulte. Non seulement vous y trouverez des scènes explicites, mais aussi une romance approfondie entre les deux protagonistes. Le personnage principal met en avant une femme dont on suit les ressenties, les désirs, les doutes, les joies et surtout le point de vue ! « Crispy Love », c’est : des personnages adultes/matures, des relations consenties, des histoires variées, des sentiments profonds et surtout de la communication ! La belle et l’ogre se déroule dans un monde où cohabitent différentes espèces : les humains, les loups, les ogres, les corbeaux et les renardes. Chaque espèce peut prendre une apparence humaine et vivent en bonne harmonie bien que possédant leur propre communauté et leurs propres coutumes. Le 3e fils de la famille la plus importante du clan des ogres est à la recherche de sa « fleur » : la promise qui deviendra son épouse et pour qui son cœur battra. Ce manga respire le printemps avec une douce brise légère et des pétales de fleurs aux couleurs pastels. C’est une romance pleine de bons sentiments avec une touche d’érotisme. Une histoire sympathique avec un dessin agréable où l’amour surmonte tous les obstacles (il n’y en a pas vraiment d’ailleurs !). Une lecture agréable sans être transcendante. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-belle-et-l-ogre-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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La belle et l’ogre est l’un des 2 titres qui inaugurent la nouvelle collection des éditions Taifu : Crispy love consacrée à un genre connu sous le nom de « teen’s love ». Le teen’s love par les éditions Taifu : Elle rassemble des romances intenses et charnelles destinées à un lectorat féminin adulte. Non seulement vous y trouverez des scènes explicites, mais aussi une romance approfondie entre les deux protagonistes. Le personnage principal met en avant une femme dont on suit les ressenties, les désirs, les doutes, les joies et surtout le point de vue ! « Crispy Love », c’est : des personnages adultes/matures, des relations consenties, des histoires variées, des sentiments profonds et surtout de la communication ! La belle et l’ogre se déroule dans un monde où cohabitent différentes espèces : les humains, les loups, les ogres, les corbeaux et les renardes. Chaque espèce peut prendre une apparence humaine et vivent en bonne harmonie bien que possédant leur propre communauté et leurs propres coutumes. Le 3e fils de la famille la plus importante du clan des ogres est à la recherche de sa « fleur » : la promise qui deviendra son épouse et pour qui son cœur battra. Ce manga respire le printemps avec une douce brise légère et des pétales de fleurs aux couleurs pastels. C’est une romance pleine de bons sentiments avec une touche d’érotisme. Une histoire sympathique avec un dessin agréable où l’amour surmonte tous les obstacles (il n’y en a pas vraiment d’ailleurs !). Une lecture agréable sans être transcendante.
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Contrairement à ce que le titre laisse penser, il ne s’agit ni d’un space opera ni d’une histoire de science-fiction. Le titre signifiant littéralement « rappel galactique » tient plus d’une approche philosophique ou poétique, une prise de conscience autour de l’existence et un renouveau dans la façon dont les personnages vont gérer leur vie et leurs sentiments. Makoto est une jeune bibliothécaire trentenaire qui vient de rompre ses fiançailles. Seijirô est un maître jardinier qui vient de prendre sa retraite. L’un comme l’autre n’ont pas réussis à dire à leur entourage ce qu’ils ressentaient vraiment, ce qu’ils avaient vraiment envie de vivre. Le hasard les mets sur la même route, ils font connaissance et finissent par parler à cœur ouvert de tout ce qu’ils n’ont jamais réussis à dire à d’autres. Un lien unique se crée entre eux, un lien indéfini entre amitié et amour qui va les amener vers un changement. Ce fut une très belle lecture, étonnamment touchante et prenante. De ces deux personnes plutôt quelconques naît une véritable leçon de vie. On sent toute la bienveillance entre eux, toute la volonté de vouloir s’assumer et de vivre pleinement sa vie. On a envie de les accompagner dans ce voyage loin des préjugés. Une tranche de vie joliment orchestrée, pleine de poésie que ce soit dans la narration ou dans le graphisme. Un livre à découvrir !
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Titre de l'album : Galactic curtain call tome 1 Scenariste de l'album : Komao Kita Dessinateur de l'album : Komao Kita Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Makoto Nemunoki, trente ans, jeune bibliothécaire, vient de rompre avec son fiancé. Seijirô Matsunami, soixante-dix ans, jardinier virtuose, prend tout juste sa retraite. Chacun à leur manière, ils font face à la fin d'une histoire... Mais leur rencontre va changer leur destin et les forcer à bouleverser leurs certitudes, à oser de nouvelles expériences... Doucement, ils vont se rapprocher, jusqu' à la naissance de sentiments. S'agit-il d'amour, ou de tout autre chose...? Le rideau d'un étonnant chapitre de leur vie s'ouvre, et révèle des changements prometteurs ! À travers Galactic Curtain Call, Komao Kita vous propose de découvrir dans une romance douce et captivante, où les cœurs s'entrelacent malgré la différence d'âge. Critique : Contrairement à ce que le titre laisse penser, il ne s’agit ni d’un space opera ni d’une histoire de science-fiction. Le titre signifiant littéralement « rappel galactique » tient plus d’une approche philosophique ou poétique, une prise de conscience autour de l’existence et un renouveau dans la façon dont les personnages vont gérer leur vie et leurs sentiments. Makoto est une jeune bibliothécaire trentenaire qui vient de rompre ses fiançailles. Seijirô est un maître jardinier qui vient de prendre sa retraite. L’un comme l’autre n’ont pas réussis à dire à leur entourage ce qu’ils ressentaient vraiment, ce qu’ils avaient vraiment envie de vivre. Le hasard les mets sur la même route, ils font connaissance et finissent par parler à cœur ouvert de tout ce qu’ils n’ont jamais réussis à dire à d’autres. Un lien unique se crée entre eux, un lien indéfini entre amitié et amour qui va les amener vers un changement. Ce fut une très belle lecture, étonnamment touchante et prenante. De ces deux personnes plutôt quelconques naît une véritable leçon de vie. On sent toute la bienveillance entre eux, toute la volonté de vouloir s’assumer et de vivre pleinement sa vie. On a envie de les accompagner dans ce voyage loin des préjugés. Une tranche de vie joliment orchestrée, pleine de poésie que ce soit dans la narration ou dans le graphisme. Un livre à découvrir ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/galactic-curtain-call-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : L'amour au menu tome 1 Scenariste de l'album : YUZAKI Sakaomi Dessinateur de l'album : YUZAKI Sakaomi Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Nomoto a une passion pour la cuisine ! Et bien qu'elle ne soit pas une professionnelle de ce métier, elle a créé son compte instagram. Pourtant, le soir, quand elle rentre chez elle, elle n'a personne avec qui partager ses petits plats... Ce qui est certain, c'est que ce n'est pas pour ses collègues à tendance misogyne qu'elle prépare ses bentô ! Mais quand un jour, parce qu'elle a cuisiné en trop grande quantité, elle propose à sa voisine célibataire de venir dîner avec elle, elle pourrait bien trouver des réponses à ses questionnements... Critique : Il y a deux aspects principaux dans ce livre : la gastronomie et l’apparence physique. Dis comme ça c’est un peu réducteur… L’amour est au menu c’est d’abord une rencontre entre deux femmes célibataires qui s’assument bien. Elles ne cherchent pas à être quelqu’un d’autre et vivent leur vie comme elles l’entendent. Cependant Nomoto a un petit problème, elle adore faire de la cuisine et aimerait pouvoir faire de grands et gros plats ; hélas, elle a un appétit d’oiseau ! C’est alors qu’elle propose à sa voisine Kasuga, une femme grande et costaude de partager ses repas. Alors bien sûr, on est obligé de s’arrêter sur l’apparence de Kasuga et c’est justement son physique qui va permettre d’aborder des sujets annexes mais importants comme certains préjugés : les personnes fortes mangent forcément beaucoup, elles ne font pas attention à leur alimentation, une femme ronde doit forcément faire un régime… Rien que pour cet aspect, le livre vaut le coup d’être lu ! Mais le manga ne parle pas que de ça et ce n’est d’ailleurs pas la thématique principale : car c’est L’amour est au menu le titre et c’est exactement vers quoi tend ce 1er tome : une belle rencontre entre deux femmes qui au départ ne semblent rien avoir en commun. Je reste un peu réservée sur le graphisme, je trouve qu’il y a un décalage entre le dessin et le texte. Par exemple, il est écrit plusieurs fois que Kasuga semble prendre plaisir à manger et pourtant quand on regarde les dessins, on a l’impression qu’elle engloutit son repas à grandes bouchées ; un peu machinalement sans vraiment l’apprécier. Ses expressions faciales sont trop stoïques pour que cela nous donne vraiment envie de partager son repas et c’est dommage. En comparaison, dans Food wars, on ne pouvait s’empêcher d’avoir faim ! Ensuite, l’histoire est un peu trop axée sur la nourriture, on nous promet une romance mais pour le moment, on a surtout des repas ! Il faudra attendre la suite pour savoir si le titre va tendre vers un équilibre entre ces différentes thématiques. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-amour-est-au-menu-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Il y a deux aspects principaux dans ce livre : la gastronomie et l’apparence physique. Dis comme ça c’est un peu réducteur… L’amour est au menu c’est d’abord une rencontre entre deux femmes célibataires qui s’assument bien. Elles ne cherchent pas à être quelqu’un d’autre et vivent leur vie comme elles l’entendent. Cependant Nomoto a un petit problème, elle adore faire de la cuisine et aimerait pouvoir faire de grands et gros plats ; hélas, elle a un appétit d’oiseau ! C’est alors qu’elle propose à sa voisine Kasuga, une femme grande et costaude de partager ses repas. Alors bien sûr, on est obligé de s’arrêter sur l’apparence de Kasuga et c’est justement son physique qui va permettre d’aborder des sujets annexes mais importants comme certains préjugés : les personnes fortes mangent forcément beaucoup, elles ne font pas attention à leur alimentation, une femme ronde doit forcément faire un régime… Rien que pour cet aspect, le livre vaut le coup d’être lu ! Mais le manga ne parle pas que de ça et ce n’est d’ailleurs pas la thématique principale : car c’est L’amour est au menu le titre et c’est exactement vers quoi tend ce 1er tome : une belle rencontre entre deux femmes qui au départ ne semblent rien avoir en commun. Je reste un peu réservée sur le graphisme, je trouve qu’il y a un décalage entre le dessin et le texte. Par exemple, il est écrit plusieurs fois que Kasuga semble prendre plaisir à manger et pourtant quand on regarde les dessins, on a l’impression qu’elle engloutit son repas à grandes bouchées ; un peu machinalement sans vraiment l’apprécier. Ses expressions faciales sont trop stoïques pour que cela nous donne vraiment envie de partager son repas et c’est dommage. En comparaison, dans Food wars, on ne pouvait s’empêcher d’avoir faim ! Ensuite, l’histoire est un peu trop axée sur la nourriture, on nous promet une romance mais pour le moment, on a surtout des repas ! Il faudra attendre la suite pour savoir si le titre va tendre vers un équilibre entre ces différentes thématiques.
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Titre de l'album : Rose Bertin, la couturière fatale tome 2 Scenariste de l'album : ISOMI Jingetsu Dessinateur de l'album : ISOMI Jingetsu Coloriste : Editeur de l'album : Michel Lafon Note : Résumé de l'album : Découvrez le destin de la couturière de Marie-Antoinette Peu après son arrivée à Paris, Rose Bertin a intégré le Trait galant, la maison de mode la plus prisée de la capitale. Sa renommée est même parvenue jusqu'à la Cour, jusqu'à Mlle de Penthièvre qui lui passe une commande des plus prestigieuses : réaliser sa robe de mariage. Un défi de taille pour la jeune couturière ! Mettre en lumière la frêle et mal assurée demoiselle n'est pas une mince affaire, surtout que le futur mari, le duc de Chartres, un séducteur invétéré, accorde bien peu d'importance à sa fiancée, si ce n'est pour lui nuire. Un comportement qui pousse Rose à vouloir lui donner une bonne leçon... Critique : Après son succès auprès la Bécu devenue depuis Madame du Barry, Rose Bertin est devenue la meilleure couturière de la maison Le Trait Galant. Elle doit à présent faire la robe de mariée de la future Duchesse de Chartres mais ayant refusé les avances du futur mari, elle se retrouve confronté à la vengeance de ce dernier qui compte bien faire échouer Rose. Le manga a l’avantage de ne pas trop se focaliser sur un aspect en particulier : il n’est ni trop romancé, ni trop historique. Cela lui donne un avantage certain : on a l’impression d’être dans une aventure distrayante tout en étant témoin de l’histoire. Et de ce côté-là, il y a de quoi faire car on suit en même temps le quotidien des parisiens et plus particulièrement les acteurs du monde de la mode, et les événements historiques où l’on retrouve les grands noms du royaume. Il est aussi très intéressant de voir la place de la femme dans la société à cette époque. Rose Bertin nous offre donc une histoire distrayante et enrichissante avec une héroïne forte qui arrivera à se faire une place. Hâte de voir comment elle va imposer son style et arriver à la cour de Versailles ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/rose-bertin-la-couturiere-fatale-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Après son succès auprès la Bécu devenue depuis Madame du Barry, Rose Bertin est devenue la meilleure couturière de la maison Le Trait Galant. Elle doit à présent faire la robe de mariée de la future Duchesse de Chartres mais ayant refusé les avances du futur mari, elle se retrouve confronté à la vengeance de ce dernier qui compte bien faire échouer Rose. Le manga a l’avantage de ne pas trop se focaliser sur un aspect en particulier : il n’est ni trop romancé, ni trop historique. Cela lui donne un avantage certain : on a l’impression d’être dans une aventure distrayante tout en étant témoin de l’histoire. Et de ce côté-là, il y a de quoi faire car on suit en même temps le quotidien des parisiens et plus particulièrement les acteurs du monde de la mode, et les événements historiques où l’on retrouve les grands noms du royaume. Il est aussi très intéressant de voir la place de la femme dans la société à cette époque. Rose Bertin nous offre donc une histoire distrayante et enrichissante avec une héroïne forte qui arrivera à se faire une place. Hâte de voir comment elle va imposer son style et arriver à la cour de Versailles !
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Hasami est une petite ville dont la vie tourne autour de la poterie et de la porcelaine, il y a de nombreux ateliers, un énorme four en escalier historique et des montagnes aux alentours. C’est là que vit Aoko, une jeune femme passionnée par les fleurs et les plantes qui peint sur porcelaine, elle souhaite avant tout pouvoir apporter un peu de nature dans les maisons au travers des motifs qu’elle dessine sur la vaisselle. Tatsuki est un nouvel employé, sa spécialité : le modelage, il crée des modèles mais n’apprécie pas les peintures, il ne jure que par le monochrome. Si ces deux-là ne sont pas sur la même longueur d’onde, ils vont peu à peu découvrir l’univers de l’autre et finir par collaborer sur des projets. Vu que la majorité de l’action se déroule dans l’atelier de poterie on aurait pu penser que l’histoire allait être rébarbative. Ce n’est pas le cas ! Bien qu’il y ait des aspects techniques dans l’histoire et l’explication de tous les procédés de fabrication d’une porcelaine, la partie « tranche de vie » est étoffée et il y a un équilibre entre les deux. La juxtaposition des deux personnages principaux apporte tout le charme de la série, on ne se trouve pas dans une confrontation brutale mais plutôt dans un procédé constructif où l’on comprend que l’ouverture d’esprit et l’écoute sont au cœur d’une compréhension mutuelle. La lecture de The blue flowers and the ceramic forest est comme une jolie balade au bord de l’eau, agréable et rafraichissante. A lire.
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Titre de l'album : The blue flowers and the ceramic forest tomes 1, 2 et 3 Scenariste de l'album : KODAMA Yuki Dessinateur de l'album : KODAMA Yuki Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Hasami, ville des pentes et de la porcelaine.Aoko, peintre sur porcelaine, fait la rencontre de Tatsuki, fraîchement débarqué d'Europe. Lorsqu'il dit ne pas être intéressé par la peinture sur porcelaine, celle-ci a l'impression que l'on renie tout ce qu'elle est. Malgré cela, Aoko développe une fascination pour les céramiques blanches dont seul Tatsuki a le secret.Une histoire d'amour et de poterie par Yuki Kodama (Kids on the Slope). Critique : Hasami est une petite ville dont la vie tourne autour de la poterie et de la porcelaine, il y a de nombreux ateliers, un énorme four en escalier historique et des montagnes aux alentours. C’est là que vit Aoko, une jeune femme passionnée par les fleurs et les plantes qui peint sur porcelaine, elle souhaite avant tout pouvoir apporter un peu de nature dans les maisons au travers des motifs qu’elle dessine sur la vaisselle. Tatsuki est un nouvel employé, sa spécialité : le modelage, il crée des modèles mais n’apprécie pas les peintures, il ne jure que par le monochrome. Si ces deux-là ne sont pas sur la même longueur d’onde, ils vont peu à peu découvrir l’univers de l’autre et finir par collaborer sur des projets. Vu que la majorité de l’action se déroule dans l’atelier de poterie on aurait pu penser que l’histoire allait être rébarbative. Ce n’est pas le cas ! Bien qu’il y ait des aspects techniques dans l’histoire et l’explication de tous les procédés de fabrication d’une porcelaine, la partie « tranche de vie » est étoffée et il y a un équilibre entre les deux. La juxtaposition des deux personnages principaux apporte tout le charme de la série, on ne se trouve pas dans une confrontation brutale mais plutôt dans un procédé constructif où l’on comprend que l’ouverture d’esprit et l’écoute sont au cœur d’une compréhension mutuelle. La lecture de The blue flowers and the ceramic forest est comme une jolie balade au bord de l’eau, agréable et rafraichissante. A lire. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-blue-flowers-and-the-ceramist-forest-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Nachi est le lycéen charismatique type, il est sociable et à du succès avec les filles. Yûri est la fille à part de la classe, elle ne se mêle pas aux autres et passe son temps à lire. Ces deux-là ne semblent rien avoir en commun pourtant leurs regards se portent souvent vers l’autre. Un jour, Nachi, ramasse le livre de Y et il souhaite en savoir plus à son sujet. Elle l’invite chez elle pour lui prêter des livres et sous une impulsion commune, passent à l’acte dans la foulée. C’et le début d’une étrange relation, secrète et charnelle. Waouh, le moins que l’on puisse dire c’est que les personnages ne perdent pas de temps ! Improbable ? Peut-être pas ! Car le feu couvait, chacun avait repéré l’autre et était attiré par lui, alors forcément, quand l’occasion se présente, ils se laissent aller. Ce qui est plus étonnant c’est la suite… Que faire quand on est allé trop vite et que l’on ne sort pas encore ensemble ? Il est fort possible que l’on tombe dans les prochains tomes dans une relation plus classique. Mais pour le moment, cette romance est très agréable, les dessins sont superbes et pour une fois que la fille férue de lecture n’est pas une fille à lunettes avec des tresses, autant en profiter.
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Titre de l'album : Elle n'est rien qu'à moi tome 1 Scenariste de l'album : AMAZATO Sugar Dessinateur de l'album : AMAZATO Sugar Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Alors que Nachi Shinohara est un des élèves les plus cool de la classe, Yûri Takizawa préfère rester seule dans son coin. Et pourtant, une histoire d'amour naît entre eux ! Après s'être échangés quelques mots presque par hasard, nos deux lycéens entament une relation en secret... Désormais, il a envie qu'elle ne soit rien qu'à lui ! Leur histoire d'amour lycéenne oscille entre douceur et stimulations sensuelles ! Critique : Nachi est le lycéen charismatique type, il est sociable et à du succès avec les filles. Yûri est la fille à part de la classe, elle ne se mêle pas aux autres et passe son temps à lire. Ces deux-là ne semblent rien avoir en commun pourtant leurs regards se portent souvent vers l’autre. Un jour, Nachi, ramasse le livre de Y et il souhaite en savoir plus à son sujet. Elle l’invite chez elle pour lui prêter des livres et sous une impulsion commune, passent à l’acte dans la foulée. C’et le début d’une étrange relation, secrète et charnelle. Waouh, le moins que l’on puisse dire c’est que les personnages ne perdent pas de temps ! Improbable ? Peut-être pas ! Car le feu couvait, chacun avait repéré l’autre et était attiré par lui, alors forcément, quand l’occasion se présente, ils se laissent aller. Ce qui est plus étonnant c’est la suite… Que faire quand on est allé trop vite et que l’on ne sort pas encore ensemble ? Il est fort possible que l’on tombe dans les prochains tomes dans une relation plus classique. Mais pour le moment, cette romance est très agréable, les dessins sont superbes et pour une fois que la fille férue de lecture n’est pas une fille à lunettes avec des tresses, autant en profiter. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/elle-n-est-rien-qu-a-moi-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Voici une tranche de vie qui nous sort un peu de l'ordinaire et qui est un peu déroutante au début, le temps de comprendre de quoi l'on parle. Car voilà, le début de l'histoire commence par le déménagement de Takeda qui est aidé par Arita pour l'occasion. On pense d'abord à une histoire d'amitié jusqu'à ce que l'on voit qu'en réalité, ils emménagent ensemble. Alors bien sûr, on pense à un couple, et puis finalement ce n'est pas ça non plus. Et c'est tout l'intérêt de la narration, car le lecteur se retrouve dans la même situation que les personnages secondaires qui entourent Takeda et Arita, on ne peut s'empêcher d'essayer de comprendre ce qu'il y a entre ces deux-là ! Et contrairement à ce que l'on pourrait envisager, leur relation est à la fois plus simple et beaucoup plus complexe. Le sous-titre trouvé par les éditions naBan "au-delà des mots" a tout son sens car il s'agit d'une relation inhabituelle (et complétement morale) que même les protagonistes ont du mal à définir. C'est à la fois très pragmatique et très psychologique : ils vivent ensemble parce qu'ils se sentent mieux à deux, parce que c'est peut-être le seul moyen de garder un lien car ils n'ont rien d'autre en commun. Au travers de cette histoire qui peut paraître simple, l'auteur aborde beaucoup de thématiques : la société, la solitude, l'acceptation, la différence, la compréhension... C'est un bon premier tome qui nous prend au dépourvu, nous interpelle et nous intrigue. A suivre. Nota : pour information le titre original Kemutai Hanashi pourrait se traduire littéralement par une "une histoire fumeuse".
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Titre de l'album : Vies d'ensemble - au-delà des mots tome 1 Scenariste de l'album : HAYASHI Fumiya Dessinateur de l'album : HAYASHI Fumiya Coloriste : Editeur de l'album : naBan edition Note : Résumé de l'album : Takeda est professeur de japonais et Arita est fleuriste. Camarades de classe au lycée, ils ne s'étaient plus revus depuis la fin de leurs études. Mais un jour de pluie, leur relation évolue lorsqu'ils viennent en aide à un chat. Ils n'ont pas de sentiments amoureux l'un pour l'autre, ni même de raison particulière de vivre ensemble. Pourtant, c'est lorsqu'ils sont aux côtés l'un de l'autre qu'ils se sentent le plus à l'aise. Ils ont une relation différente des couples, des amis ou encore d'une famille. Mais ils apprécient passer du temps ensemble. Critique : Voici une tranche de vie qui nous sort un peu de l'ordinaire et qui est un peu déroutante au début, le temps de comprendre de quoi l'on parle. Car voilà, le début de l'histoire commence par le déménagement de Takeda qui est aidé par Arita pour l'occasion. On pense d'abord à une histoire d'amitié jusqu'à ce que l'on voit qu'en réalité, ils emménagent ensemble. Alors bien sûr, on pense à un couple, et puis finalement ce n'est pas ça non plus. Et c'est tout l'intérêt de la narration, car le lecteur se retrouve dans la même situation que les personnages secondaires qui entourent Takeda et Arita, on ne peut s'empêcher d'essayer de comprendre ce qu'il y a entre ces deux-là ! Et contrairement à ce que l'on pourrait envisager, leur relation est à la fois plus simple et beaucoup plus complexe. Le sous-titre trouvé par les éditions naBan "au-delà des mots" a tout son sens car il s'agit d'une relation inhabituelle (et complétement morale) que même les protagonistes ont du mal à définir. C'est à la fois très pragmatique et très psychologique : ils vivent ensemble parce qu'ils se sentent mieux à deux, parce que c'est peut-être le seul moyen de garder un lien car ils n'ont rien d'autre en commun. Au travers de cette histoire qui peut paraître simple, l'auteur aborde beaucoup de thématiques : la société, la solitude, l'acceptation, la différence, la compréhension... C'est un bon premier tome qui nous prend au dépourvu, nous interpelle et nous intrigue. A suivre. Nota : pour information le titre original Kemutai Hanashi pourrait se traduire littéralement par une "une histoire fumeuse". Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/vies-d-ensemble-au-dela-des-mots-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Que Reirin soit dans un corps ou dans un autre, elle reste fidèle à ce qu'elle est, c'est-à-dire la gentillesse incarnée. peu à peu les gens qui la côtoient commencent à se poser des questions et certains découvrent la vérité mais le temps n'est pas aux retrouvailles ni à chercher des solutions pour qu'elle retourne dans son corps ! Des complots sont à l'œuvre au sein du palais et consorts comme apprenties sont en danger ! En plus de l'échange entre Reirin et Tôsetsu qui nous proposait déjà une histoire fantastique à la fois passionnante et amusante, l'histoire se complexifie avec les relations entre les différentes concubines. On se rend compte que l'ambiance entre elles, bien que cordiale en apparence, est particulièrement tendue et que tous les coups sont bons pour devenir la favorite de l'empereur et/ou du prince. Ainsi, même si l'histoire est en partie fantastique, les relations et l'organisation au sein du palais impérial ont un côté historique assez intéressantes. A noter cependant qu'il y a un léger manque de fluidité dans la compréhension du système : il y a une hiérarchie entre les consorts mais aussi une hiérarchie entre les apprenties et les suivantes qui les accompagnent, il n'est pas toujours simple de s'y retrouver... Cependant, l'histoire est toujours aussi passionnante, les événements s'enchainent à un rythme soutenu et le graphisme est réussi. De quoi nous donner envie d'aller lire la suite avec une certaine impatience.
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Titre de l'album : Though I am an inept villainess tome 3 Scenariste de l'album : NAKAMURA Satsuki Dessinateur de l'album : OHITSUJI Ei Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Tôsetsu, dame d'honneur du clan Kô, découvre avec effroi que les corps de Reirin et Keigetsu ont été échangés. Elle regrette de ne pas de s'en être aperçue plus tôt, mais Reirin lui interdit de dévoiler l'information à qui que ce soit. De son côté, Keigetsu commence à s'interroger sur son étrange maladie... Personne ne guérit d'une fièvre grâce au son de la corde d'un arc ! Ne s'agirait-il pas plutôt d'une malédiction ? Critique : Que Reirin soit dans un corps ou dans un autre, elle reste fidèle à ce qu'elle est, c'est-à-dire la gentillesse incarnée. peu à peu les gens qui la côtoient commencent à se poser des questions et certains découvrent la vérité mais le temps n'est pas aux retrouvailles ni à chercher des solutions pour qu'elle retourne dans son corps ! Des complots sont à l'œuvre au sein du palais et consorts comme apprenties sont en danger ! En plus de l'échange entre Reirin et Tôsetsu qui nous proposait déjà une histoire fantastique à la fois passionnante et amusante, l'histoire se complexifie avec les relations entre les différentes concubines. On se rend compte que l'ambiance entre elles, bien que cordiale en apparence, est particulièrement tendue et que tous les coups sont bons pour devenir la favorite de l'empereur et/ou du prince. Ainsi, même si l'histoire est en partie fantastique, les relations et l'organisation au sein du palais impérial ont un côté historique assez intéressantes. A noter cependant qu'il y a un léger manque de fluidité dans la compréhension du système : il y a une hiérarchie entre les consorts mais aussi une hiérarchie entre les apprenties et les suivantes qui les accompagnent, il n'est pas toujours simple de s'y retrouver... Cependant, l'histoire est toujours aussi passionnante, les événements s'enchainent à un rythme soutenu et le graphisme est réussi. De quoi nous donner envie d'aller lire la suite avec une certaine impatience. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/though-i-am-an-inept-villainess-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : 365 days to the wedding tome 1 Scenariste de l'album : WAKAKi Tamiki Dessinateur de l'album : WAKAKi Tamiki Coloriste : Editeur de l'album : Mana Books Note : Résumé de l'album : Rika et Takuya sont agents de voyages chez J.T.C. De nature peu sociable et discrète, ils mènent chacun de leur côté une petite vie solitaire mais épanouie à Tokyo. Cependant, une nouvelle inattendue risque de chambouler leur quotidien : l'agence pour laquelle ils travaillent recherche une personne non mariée pour gérer sa toute nouvelle succursale à Irkoutsk en Sibérie. Heureusement, Rika a un plan... Se marier alors qu'ils se connaissent à peine ? Critique : Une agence de voyage compte ouvrir une succursale en Sibérie et comme c’est une mutation lointaine qui prendra du temps, seules les personnes célibataires sont concernées. Hélas, personne ne semble vouloir y aller mais quand on est un célibataire endurci sans véritable vie sociale, refuser semble compliquer. C’est là que Rika, une jeune femme passionnée par les cartes mais qui n’aime pas vraiment voyager à une idée de génie, elle propose à son collègue Takuya, un jeune homme réservé dont la seule préoccupation est de s’occuper de son chat, de faire un faux mariage. Si l’agence accueille plutôt bien cette nouvelle, certains semblent soupçonner l’arnaque, arriveront-ils à donner le change pour éviter la mutation ? Le début du manga est un peu mou et pour cause, les personnages principaux sont les deux personnes les plus réservées et les moins communicatives de l’agence ! Celles qui ne se font pas remarquer et qui ont tendance à se cacher dans un trou de souris ! Ils vont vite se rendre compte que l’enthousiasme autour de leur mariage dépasse leurs prévisions et qu’il va falloir donner le change. Ce qu’ils n’avaient pas prévu en revanche, c’est un éventuel rapprochement. L’histoire gagne cependant en intérêt au fil de la lecture quand ils se retrouvent confrontés à leurs collègues qui commencent à leur poser plein de questions. C’est donc un début de série plutôt tranquille qui va s’étoffer peu à peu. La série est finie en 11 tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/365-days-to-the-wedding-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Une agence de voyage compte ouvrir une succursale en Sibérie et comme c’est une mutation lointaine qui prendra du temps, seules les personnes célibataires sont concernées. Hélas, personne ne semble vouloir y aller mais quand on est un célibataire endurci sans véritable vie sociale, refuser semble compliquer. C’est là que Rika, une jeune femme passionnée par les cartes mais qui n’aime pas vraiment voyager à une idée de génie, elle propose à son collègue Takuya, un jeune homme réservé dont la seule préoccupation est de s’occuper de son chat, de faire un faux mariage. Si l’agence accueille plutôt bien cette nouvelle, certains semblent soupçonner l’arnaque, arriveront-ils à donner le change pour éviter la mutation ? Le début du manga est un peu mou et pour cause, les personnages principaux sont les deux personnes les plus réservées et les moins communicatives de l’agence ! Celles qui ne se font pas remarquer et qui ont tendance à se cacher dans un trou de souris ! Ils vont vite se rendre compte que l’enthousiasme autour de leur mariage dépasse leurs prévisions et qu’il va falloir donner le change. Ce qu’ils n’avaient pas prévu en revanche, c’est un éventuel rapprochement. L’histoire gagne cependant en intérêt au fil de la lecture quand ils se retrouvent confrontés à leurs collègues qui commencent à leur poser plein de questions. C’est donc un début de série plutôt tranquille qui va s’étoffer peu à peu. La série est finie en 11 tomes.
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Titre de l'album : Qu'est-ce qui cloche avec ta vie en ligne ? tome 1 Scenariste de l'album : JEONG Gyeong Yun Dessinateur de l'album : HWAJIN Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - KBooks Note : Résumé de l'album : Lee Hojin et Seo Jung ne se connaissent pas, dans le monde réel. En revanche, ils sont amis et des super trolls sur un forum où tous deux adoptent des personnalités à l'opposé de ce qu'ils sont dans la vraie vie. Mais un jour, leurs parents leur arrangent une rencontre en vue d'un mariage arrangé. Une question se pose : combien de temps vont-ils parvenir à cacher leur identité secrète ? Critique : Lee Hyojin est parfait sous tout rapport, c’est un jeune homme cultivé issu d’une bonne famille et il est directeur d’une grande entreprise ; le gendre idéal pour beaucoup. Seojung est une jeune femme élégante, belle, gentille, bien élevée, issue également d’une bonne famille et surtout d’une famille riche réputée. Un mariage arrangé contenterait leurs familles respectives. Si aucun des deux ni voient d’objection ce n’est pas par amour ! Lee Hyojin souhaite mettre la main sur un tableau hors de prix que possède le père de Y dans le seul but de devancer son cousin avec qui il a toujours été en concurrence. Seojung souhaite faire un beau mariage pour faire ensuite faire un beau divorce qui fera scandale dans le but de casser les pieds à sa famille et obtenir ainsi sa liberté ! En dehors de ça ce que nos « faux » tourtereaux ignorent, c’est qu’ils sont tous els deux accro à un forum en ligne dans lequel ils se lâchent vraiment et surtout dans lequel ils se connaissent et passent leur temps à se chamailler ! La thématique de départ est assez classique : deux personnes différentes entre la vie réelle et la vie virtuelle qui vont apprendre à se connaitre et probablement, vu que l’on est dans une comédie romantique, vont finir par se marier (par amour). Il y a cependant deux aspects de l’œuvre qui me dérangent. Le premier c’est la quantité de bavardage, il y a beaucoup de texte et peu d’avancée, ni dans leur découverte de l’autre ni dans les événements de l’histoire. C’est peut-être normal parce que nous sommes encore dans l’introduction des personnages et du contexte mais l’histoire est un peu barbante. J’espérais donc que leurs vies virtuelles apportent du piquant et du dynamisme, leurs avatars passent leur temps à se vanner à tel point que c’est de venu une attraction pour les autres membres du forum. Hélas, je n’ai pas trouvé de bons jeux de mots ni de réparties ironiques qui mériteraient le détour, c’est plat ! Du coup, on se retrouve avec des relations plates d’un côté et plates de l’autre. Il y a bien quelques passages qui amènent un peu de tension dans le récit, comme les relations entre Seojung et sa belle-mère, mais cela reste anecdotiques. Le problème de l’humour vient souvent de la traduction, ce qui peut-être amusant pour un Japonais ne l’est pas forcément pour un Français et donner du relief à une joute verbale n’est pas donné à tout le monde et il faut souvent adapter le dialogue à la culture locale. Je ne sais pas si cela provient du texte original ou de la traduction mais force est de constater que l’ironie n’est pas à la hauteur. A présent j’attends le moment où ils découvriront les secrets de l’autre, cela devrait amener du piquant à l’histoire. Ce premier tome n’est donc pas convaincant. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/qu-est-ce-qui-cloche-avec-ta-vie-en-ligne-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Lee Hyojin est parfait sous tout rapport, c’est un jeune homme cultivé issu d’une bonne famille et il est directeur d’une grande entreprise ; le gendre idéal pour beaucoup. Seojung est une jeune femme élégante, belle, gentille, bien élevée, issue également d’une bonne famille et surtout d’une famille riche réputée. Un mariage arrangé contenterait leurs familles respectives. Si aucun des deux ni voient d’objection ce n’est pas par amour ! Lee Hyojin souhaite mettre la main sur un tableau hors de prix que possède le père de Y dans le seul but de devancer son cousin avec qui il a toujours été en concurrence. Seojung souhaite faire un beau mariage pour faire ensuite faire un beau divorce qui fera scandale dans le but de casser les pieds à sa famille et obtenir ainsi sa liberté ! En dehors de ça ce que nos « faux » tourtereaux ignorent, c’est qu’ils sont tous els deux accro à un forum en ligne dans lequel ils se lâchent vraiment et surtout dans lequel ils se connaissent et passent leur temps à se chamailler ! La thématique de départ est assez classique : deux personnes différentes entre la vie réelle et la vie virtuelle qui vont apprendre à se connaitre et probablement, vu que l’on est dans une comédie romantique, vont finir par se marier (par amour). Il y a cependant deux aspects de l’œuvre qui me dérangent. Le premier c’est la quantité de bavardage, il y a beaucoup de texte et peu d’avancée, ni dans leur découverte de l’autre ni dans les événements de l’histoire. C’est peut-être normal parce que nous sommes encore dans l’introduction des personnages et du contexte mais l’histoire est un peu barbante. J’espérais donc que leurs vies virtuelles apportent du piquant et du dynamisme, leurs avatars passent leur temps à se vanner à tel point que c’est de venu une attraction pour les autres membres du forum. Hélas, je n’ai pas trouvé de bons jeux de mots ni de réparties ironiques qui mériteraient le détour, c’est plat ! Du coup, on se retrouve avec des relations plates d’un côté et plates de l’autre. Il y a bien quelques passages qui amènent un peu de tension dans le récit, comme les relations entre Seojung et sa belle-mère, mais cela reste anecdotiques. Le problème de l’humour vient souvent de la traduction, ce qui peut-être amusant pour un Japonais ne l’est pas forcément pour un Français et donner du relief à une joute verbale n’est pas donné à tout le monde et il faut souvent adapter le dialogue à la culture locale. Je ne sais pas si cela provient du texte original ou de la traduction mais force est de constater que l’ironie n’est pas à la hauteur. A présent j’attends le moment où ils découvriront les secrets de l’autre, cela devrait amener du piquant à l’histoire. Ce premier tome n’est donc pas convaincant.
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Titre de l'album : Silent blue Scenariste de l'album : ANDÔ Ikori - ANDO Icori Dessinateur de l'album : ANDÔ Ikori - ANDO Icori Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - Tonkam Note : Résumé de l'album : Une météorite s'est écrasée il y a vingt ans en plein coeur de la ville où vivait la jeune Aoko. Une pluie incessante a rempli le cratère engendré par le crash, et un mystérieux lac renferme désormais la mémoire dormante des habitations. Aoko, désormais adulte, ne cesse de plonger dans ce lac afin d'y retrouver les souvenirs qui y sont enfouis... Critique : Aoko est une jeune fille qui tient un café itinérant mais qui passe la majorité de son temps à plonger en apnée dans le lac Hatsukako. Un lac qui a une histoire, il s’est crée à la suite de la chute d’une météorite entrainant par la même occasion la disparition d’une petite ville vingt ans auparavant, la ville natale d’Aoko. Un jour, elle croise la route d’un assureur qui se pose des questions sur cet accident. Si lui recherche la vérité, Aoko continue de plonger pour trouver quelque chose qu’elle a perdu, une partie de son passé probablement… Dans Silent Blue, il y a une histoire très concrète qui concerne la chute de la météorite, en était-ce vraiment une ? Est-ce que les autorités étaient au courant, est-ce que la ville aurait pu être sauvée ? Mais en réalité ce n’est pas le plus important dans ce livre. Ce qui marque c’est Aoko, sa façon d’aller à la recherche d’elle-même dans les profondeurs du lac, elle plonge sans arrêt, envers et contre tout (contre l’avis de sa famille même qui semble lui cacher des événements). Aoko est plutôt une bonne vivante mais elle sent qui lui manque quelque chose et ce sont tous les moments où elle se laisse aller dans ce lac qui font la beauté du récit. Silent Blue est à la fois très pragmatique et très poétique, on aurait aimé que les moments d’immersion durent plus longtemps et qu’il y ait un peu plus de développement sur le reste de l’histoire. Extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/silent-blue?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Aoko est une jeune fille qui tient un café itinérant mais qui passe la majorité de son temps à plonger en apnée dans le lac Hatsukako. Un lac qui a une histoire, il s’est crée à la suite de la chute d’une météorite entrainant par la même occasion la disparition d’une petite ville vingt ans auparavant, la ville natale d’Aoko. Un jour, elle croise la route d’un assureur qui se pose des questions sur cet accident. Si lui recherche la vérité, Aoko continue de plonger pour trouver quelque chose qu’elle a perdu, une partie de son passé probablement… Dans Silent Blue, il y a une histoire très concrète qui concerne la chute de la météorite, en était-ce vraiment une ? Est-ce que les autorités étaient au courant, est-ce que la ville aurait pu être sauvée ? Mais en réalité ce n’est pas le plus important dans ce livre. Ce qui marque c’est Aoko, sa façon d’aller à la recherche d’elle-même dans les profondeurs du lac, elle plonge sans arrêt, envers et contre tout (contre l’avis de sa famille même qui semble lui cacher des événements). Aoko est plutôt une bonne vivante mais elle sent qui lui manque quelque chose et ce sont tous les moments où elle se laisse aller dans ce lac qui font la beauté du récit. Silent Blue est à la fois très pragmatique et très poétique, on aurait aimé que les moments d’immersion durent plus longtemps et qu’il y ait un peu plus de développement sur le reste de l’histoire. Extrait
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Ce 6eme tome marque un tournant dans l’histoire, en plus de suivre les déboires amoureux des 3 frères et de Jian bien sûr, les voilà aux prises avec des réalités qu’ils auraient bien aimé ignorer. Ainsi la petite Sol pose maintenant des questions sur sa mère et Haejun ne sait pas comment réagir ni comment aborder le décès de sa sœur, lui qui n’en a pas encore fait le deuil. Haebeom, le grand frère, prend conscience peu à peu de ses mauvais comportements de mari et de beau-fils et essaye de recoller des morceaux. Mais tout bascule le jour où ils apprennent que leur mère est atteinte d’un cancer en phase 4, après le déni, le moment d’affronter la réalité est arrivé et en même temps de faire face aux évènements du passé pour pouvoir enfin aller de l’avant. The Runway n’est pas une série fantastique ni une romance où l’on sait que tout finira bien. C’est avant tout des tranches de vie, des événements qui peuvent arriver à tout le monde quel que soit le pays. Il y a des situations qui s’appliquent partout comme le fait que la communication dans un couple est une priorité ou comme les problèmes pour affronter le deuil. Mais en plus, l’histoire nous montre que la société coréenne est encore très conservatrice, la preuve en est du décès de l’acteur Lee Sun-kyun qui s’est suicidé pour une affaire de drogue ; en France, même les histoires d’agression sexuelle ne poussent pas les gens dans ces extrémités. Ce 6e tome est particulièrement réussi et nous emmène dans des émotions qui étaient restées un peu superficielles jusque-là.
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Titre de l'album : The Runway tome 6 Scenariste de l'album : HIRACHELL Dessinateur de l'album : NOKDU Coloriste : Editeur de l'album : K! Addict Note : Résumé de l'album : La vie continue... Et personne ne sait ce qu'elle nous réserve. Jian est-elle amoureuse ? Haebeom divorcera-t-il ? Comment réagir quand un être proche tombe malade ? Haebeom est au pied du mur, Haejun réalise que " sa " fille grandit, les sentiments de Hyeonmin sont mis à mal... Et tout ce petit monde devra surmonter une nouvelle difficulté... Le moment de faire des aveux est-il venu ? Quant à Jian, elle tente de garder la tête sur les épaules face aux situations personnelles et professionnelles très singulières. Critique : Ce 6eme tome marque un tournant dans l’histoire, en plus de suivre les déboires amoureux des 3 frères et de Jian bien sûr, les voilà aux prises avec des réalités qu’ils auraient bien aimé ignorer. Ainsi la petite Sol pose maintenant des questions sur sa mère et Haejun ne sait pas comment réagir ni comment aborder le décès de sa sœur, lui qui n’en a pas encore fait le deuil. Haebeom, le grand frère, prend conscience peu à peu de ses mauvais comportements de mari et de beau-fils et essaye de recoller des morceaux. Mais tout bascule le jour où ils apprennent que leur mère est atteinte d’un cancer en phase 4, après le déni, le moment d’affronter la réalité est arrivé et en même temps de faire face aux évènements du passé pour pouvoir enfin aller de l’avant. The Runway n’est pas une série fantastique ni une romance où l’on sait que tout finira bien. C’est avant tout des tranches de vie, des événements qui peuvent arriver à tout le monde quel que soit le pays. Il y a des situations qui s’appliquent partout comme le fait que la communication dans un couple est une priorité ou comme les problèmes pour affronter le deuil. Mais en plus, l’histoire nous montre que la société coréenne est encore très conservatrice, la preuve en est du décès de l’acteur Lee Sun-kyun qui s’est suicidé pour une affaire de drogue ; en France, même les histoires d’agression sexuelle ne poussent pas les gens dans ces extrémités. Ce 6e tome est particulièrement réussi et nous emmène dans des émotions qui étaient restées un peu superficielles jusque-là. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-runway-tome-6?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : The runway tome 5 Scenariste de l'album : Hirachell , Do Mi Dessinateur de l'album : Nokdu Coloriste : Editeur de l'album : K! Addict Note : Résumé de l'album : Et si le coup d'un soir de Jian se transformait en une relation sérieuse... Les protagonistes de la série vont devoir apprendre à se connaître, surmonter les obstacles afin de se (re)trouver ou se quitter. " Notre existence ne se déroule jamais comme on le souhaite. " C'est d'autant plus vrai, lorsque nous devons composer avec la famille, les collègues... Devons-nous prendre en considération leur avis ou bien chercher à comprendre l'être aimé avant de la quitter. Les protagonistes de la série vont devoir apprendre à se connaître, surmonter les obstacles afin de se (re)trouver ou se quitter. Critique : Cette fois Hyeonmin a pris sa décision, Jian lui convient et il a bien l’intention de sortir avec elle. D’un côté, il veut lui laisser le temps d’y réfléchir et de l’autre, il se comporte comme un gamin en essayant de la rendre jalouse. Il fait également le point avec son frère en lui disant qu’il ne la lui laisserait pas. Ce dernier se doutait bien qu’il y avait anguille sous roche. De son côté Haebeom a entamé sa procédure de divorce mais là encore, il n’arrive pas à se mettre d’accord avec sa future ex-femme ; en réalité, chacun est têtu, reste sur ses positions alors qu’ils éprouvent encore des sentiments l’un pour l’autre. On l’attendait ce moment où Hyeonmin et Jian allaient enfin se mettre ensemble ! Mais ce moment n’est pas aussi « choupinet » que l’on espérait… ils ont encore beaucoup de doutes, et quand la mère de Jian vient mettre son grain de sel en jugeant sur les apparences, Hyeonmin perd confiance en lui. Ce 5eme tome voit aussi l’arrivée d’un nouveau personnage féminin, dynamique et qui semble assez je-m’en-foutiste, cela va amener un peu de pétillant dans l’histoire ! Si l’histoire d’amour entre Hyeonmin et Jian était le point de départ du scénario, on apprécie de suivre aussi les amours de la fratrie. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-runway-tome-5?ref=44 Voir la totalité de enregistrement