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Ah ce manga a assurément un certain charme, un peu comme dans My Happy Marriage ou Devil’s Lost Soul où les personnages naviguent entre tradition et fantastique. Mais pas dans une ambiance hyper dynamique avec de l’action dans tous les sens, non un fantastique subtil, à dénicher au fond d’une grotte ou au détour d’un sentier. Un fantastique mêlé à une certaine mélancolie puisque le récit revient sur les événements liés à la vie d’Iwamoto et cite aussi ses mémoires. Iwamoto, le personnage principal, est présenté comme le héros de l’ombre dont les agissements méconnus ont eu une influence notable sur la guerre. La lecture oscille entre aventure action et conte fantastique. Le scénario est équilibré, plein de trouvaille et le graphisme est très élégant. Un manga à suivre ! (10 tomes en cours)
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Titre de l'album : Iwamoto Senpai tome 1 Scenariste de l'album : Hiroshi Shibashi Dessinateur de l'album : Hiroshi Shibashi Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Années 1910, Kodô Iwamoto est élève au collège Seihô, un établissement sous tutelle de l'armée. Sur ordre de sa hiérarchie, il se rend aux quatre coins du Japon pour enquêter sur des phénomènes surnaturels. Dans un village où tombe une étrange neige noire , il fait la connaissance de Shizuma, un adolescent aux aptitudes mystérieuses. Le jeune homme considère ses dons comme une malédiction et ignore leur véritable potentiel, mais Iwamoto lui révèle alors qu'ils partagent tous deux un lien particulier, avant de lui remettre une lettre de recommandation pour le collège Seihô. Partout où Iwamoto est envoyé, le paranomal rôde... Plongez dans les mystères d'une époque avec ce récit d'aventures où les rêves de la jeunesse se conjuguent à l'étrange ! Critique : Ah ce manga a assurément un certain charme, un peu comme dans My Happy Marriage ou Devil’s Lost Soul où les personnages naviguent entre tradition et fantastique. Mais pas dans une ambiance hyper dynamique avec de l’action dans tous les sens, non un fantastique subtil, à dénicher au fond d’une grotte ou au détour d’un sentier. Un fantastique mêlé à une certaine mélancolie puisque le récit revient sur les événements liés à la vie d’Iwamoto et cite aussi ses mémoires. Iwamoto, le personnage principal, est présenté comme le héros de l’ombre dont les agissements méconnus ont eu une influence notable sur la guerre. La lecture oscille entre aventure action et conte fantastique. Le scénario est équilibré, plein de trouvaille et le graphisme est très élégant. Un manga à suivre ! (10 tomes en cours) Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/iwamoto-senpai-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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C’est une bien jolie histoire que voilà. La présentation de ce one shot comme un conte onirique est particulièrement adéquate car si l’histoire commence comme un récit fantastique avec une « chasse » aux fantômes, la fin nous emmène plus dans le conte. Deux petits démons parcourent la ville afin de conduire les âmes des défunts vers l’au-delà. L’un d’eux croise Sôma, un homme sensible aux phénomènes paranormaux dont les services sont souvent demandés pour chasser les fantômes. Il découvre ainsi que l’on peut aider les fantômes à aller aussi de l’autre côté. Cet exploit va lui permettre de se faire bien voir dans son travail. En plus, avec l’aide de Sôma, il peut aussi gouter la nourriture réelle. Je ne sais pas s’il y a une morale à l’histoire, s’il y a un message à comprendre. Je crois qu’il faut juste se laisser porter par le récit, suivre les personnages dans leur activité positive ; accompagner les âmes dans leur dernier voyage, leur apporter la paix éternelle. Et puis, vous aurez une belle conclusion qui donne une nouvelle saveur au livre. Un ouvrage à lire et à regarder.
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Titre de l'album : Les lueurs de l'outre-monde Scenariste de l'album : Yamakujira Dessinateur de l'album : Yamakujira Coloriste : Editeur de l'album : Kurokawa Note : Résumé de l'album : Dans le Japon du XIXe siècle, un médium et des petits démons s'allient pour délivrer les âmes des fantômes errants sur terre. An 19 de l'ère Meiji, la chaleur estivale s'est installée et le chant des cigales résonne dans l'air... Torasuke, un enfant démon et son partenaire Ushimatsu sont chargés de collecter les âmes des humains dont l'heure a sonné, tout en restant invisibles aux yeux des mortels. Quelle n'est pas leur surprise lorsqu'un nommé Sôma les interpelle ! À la demande de cet homme hors du commun, Torasuke, qui n'avait jamais eu de contact avec les gens de " ce monde ", s'embarque dans une grande aventure pour... chasser les fantômes ! Critique : C’est une bien jolie histoire que voilà. La présentation de ce one shot comme un conte onirique est particulièrement adéquate car si l’histoire commence comme un récit fantastique avec une « chasse » aux fantômes, la fin nous emmène plus dans le conte. Deux petits démons parcourent la ville afin de conduire les âmes des défunts vers l’au-delà. L’un d’eux croise Sôma, un homme sensible aux phénomènes paranormaux dont les services sont souvent demandés pour chasser les fantômes. Il découvre ainsi que l’on peut aider les fantômes à aller aussi de l’autre côté. Cet exploit va lui permettre de se faire bien voir dans son travail. En plus, avec l’aide de Sôma, il peut aussi gouter la nourriture réelle. Je ne sais pas s’il y a une morale à l’histoire, s’il y a un message à comprendre. Je crois qu’il faut juste se laisser porter par le récit, suivre les personnages dans leur activité positive ; accompagner les âmes dans leur dernier voyage, leur apporter la paix éternelle. Et puis, vous aurez une belle conclusion qui donne une nouvelle saveur au livre. Un ouvrage à lire et à regarder. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-lueurs-de-l-outre-monde?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Hop la encore une année de passée à attendre notre petit moment de détente manga... mais au moins les auteurs prennent le temps de nous livrer une histoire qui reste dans la lignée des précédentes. Une histoire feel good faite uniquement de bonnes personnes. Une histoire qui voit une héroïne superpuissante se servir de ses pouvoirs uniquement pour faire le bien autour d'elle. Un bien qui lui est rendu par une population qui l'aime. Et c'est encore plus vrai sur ce nouveau tome centré autour de la nouvelle fille de Cayna. Une petite fille toute mignonne et timide, protégée par une Cayna très maternelle, ce qui rend ce tome super mignon. On a toujours notre petit lot d'aventure et de combat qui permettent de montrer la toute puissance de Cayna, mais cela sert toujours à protéger sa fille ou ses amis. En gros un tome toujours aussi sympa à lire et qui aurait tendance à me faire dire que le rythme d'un par an n'est pas si mal. Cela permet de ne pas être "saoulé" par le rythme lent de la lecture, mais plutôt d'apprécier ce moment de repos annuel.
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Titre de l'album : In the land of Leadale tome 7 Scenariste de l'album : Ryō Suzukaze Dessinateur de l'album : Dashio Tsukimi Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : L'amour d'une mère, plus fort que tout !Mais les enfants ne sont pas toujours sages... Cayna rentre à son village frontalier après avoir recueilli Louka, une jeune orpheline esseulée. Inquiète que sa fille adoptive ne parvienne pas à s'intégrer, elle cherche des solutions, et Louka finit par se lier d'amitié avec les autres enfants du village. Peu à peu, elle commence à s'habituer à sa nouvelle vie.Dans le même temps, un groupe de monstres étonnamment bien organisés fait son apparition dans les environs du village. Pour garantir la sécurité des villageois, Cayna décide de partir à la recherche de leur tanière.Durant son absence, Louka et ses amis parviennent à se soustraire à la surveillance des adultes pour s'aventurer hors du village. Mais ne serait-ce pas l'ombre d'un monstre qui plane sur eux ? Critique : Hop la encore une année de passée à attendre notre petit moment de détente manga... mais au moins les auteurs prennent le temps de nous livrer une histoire qui reste dans la lignée des précédentes. Une histoire feel good faite uniquement de bonnes personnes. Une histoire qui voit une héroïne superpuissante se servir de ses pouvoirs uniquement pour faire le bien autour d'elle. Un bien qui lui est rendu par une population qui l'aime. Et c'est encore plus vrai sur ce nouveau tome centré autour de la nouvelle fille de Cayna. Une petite fille toute mignonne et timide, protégée par une Cayna très maternelle, ce qui rend ce tome super mignon. On a toujours notre petit lot d'aventure et de combat qui permettent de montrer la toute puissance de Cayna, mais cela sert toujours à protéger sa fille ou ses amis. En gros un tome toujours aussi sympa à lire et qui aurait tendance à me faire dire que le rythme d'un par an n'est pas si mal. Cela permet de ne pas être "saoulé" par le rythme lent de la lecture, mais plutôt d'apprécier ce moment de repos annuel. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/in-the-land-of-leadale-tome-7?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Inexistents Scenariste de l'album : Miki Makasu Dessinateur de l'album : Takeliongawa Coloriste : Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Vouée à écrire pour ne pas disparaître... L'Univers commet aussi des erreurs, car certains humains, appelés Inexistents, ne sont pas censés exister. C'est le cas de Tsugumi, autrice taiwanaise à succès du manga "Demon Smile". Lorsqu'elle découvre la vérité sur sa nature, son monde s'effondre. Seulement, Sof, la créature chargée de corriger l'univers, est aussi un fan absolu du manga "Demon Smile" et se refuse à voir disparaître Tsugumi avant de connaître la fin de l'histoire. Tous deux s'allient alors pour tenter d'empêcher l'effacement... Critique : On ne va pas se mentir, le début du livre est assez compliqué à comprendre : on arrive directement dans un chapitre qui ne semble rien à voir avec la suite. De plus, le dessin est assez chargé et l’organisation des vignettes, qui se veut innovante et dynamique, ont tendance à créer plus de confusion que d’explication. En ce qui concerne la partie fantastique du scénario où des personnes sont effacées car elles n’étaient pas censées exister (les Inexistents), il y a du potentiel mais on regrette qu’il n’y ait pas d’explications. Concernant notre héroïne, elle est l’ainée d’une famille composée de ses deux parents et d’une petite sœur et on ne voit pas très bien en quoi elle serait une erreur de création de l’univers… Ensuite, il y a le contexte et surtout le métier de Tsugumi qui est une mangaka. Cela permet aux auteurs de parler de leur métier et surtout de mettre en avant certains aspects comme la pression liée au développement de la série, les relations avec leurs assistants, avec les autres auteurs, le contact avec les fans… En conclusion, je dirai qu’il y a de bonnes idées, un peu trop pour être exploitées complètement dans un one shot. C’est prometteur pour la suite des carrières des auteurs. Ce manga est d’ailleurs la première œuvre de la dessinatrice, Takeliongawa. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/inexistents?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : I'm the evil lord of an intergalactic empire tome 1 & 2 Scenariste de l'album : Kai Nadashima Dessinateur de l'album : Yomu Mishima Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Et si tout le monde adorait le méchant ? Réincarné dans l'empire intergalactique d'Algrand au sein d'une famille de comtes, Liam Sera Banfield devient, enfant, le maître d'une planète de second rang. Traumatisé par sa vie passée où sa gentillesse a été exploitée, il décide cette fois de devenir oppresseur. "Je vais devenir un seigneur démoniaque et je ne me priverai pas de faire le mal autour de moi !" Mais son domaine est ruiné : il doit tout rebâtir. Avec l'aide d'une intelligence artificielle, il réduit les effectifs militaires et chasse les bureaucrates corrompus. Sans se soucier des jugements, Liam agit selon ses envies. Pourtant, à mesure que les habitants voient leur sort s'améliorer, ils développent de l'affection pour ce tyran en devenir. N'y aurait-il pas un malentendu ? Découvrez l'histoire d'un seigneur démoniaque qui a une manière bien à lui de gérer les affaires ! L'heure est venue d'emprunter (ou pas) la voie des ombres !! Critique : Ayant fini avec mon overdose d'Isekai, et ayant un faible pour les mangas dont le vilain est le héro, j'attendais avec envie de lire cet "I'm the evil lord of an intergalactic empire". Et je dois bien avouer que, pour une fois chez Meian, j'ai été déçu. Le début de l'histoire nous promet un manga assez adulte, avec un homme cherchant à se venger de l'humanité suite a une première vie ou tout était contre lui en profitant à mort....Plus un méchant pervers qui se délecte du malheur des autres. De quoi faire un bon manga pour adulte seulement nous autres, adultes, ne sommes pas du tout la cible des auteurs. En effet la cible est plus l'ado prépubère qui fermera les yeux sur... un pelotage d'un sein de robot et trouvera méchant le fait d'avoir des idées sans jamais passer à l'acte. Car en fait notre histoire est avant tout un isekai au héros over powered comme un autre. Ave un héros qui se croit le vilain mais est en fait gentil avec tout le monde. On a même pas de quiproquos amusant comme dans The eminence in shadow par exemple. On a au final un manga assez simpliste et donc globalement décevant dès que l'on aura passer 16 ans... Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/i-m-the-evil-lord-of-an-intergalactic-empire-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Great Kaiju - Gaea-Tima tome 1 Scenariste de l'album : Kent Dessinateur de l'album : Kent Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Gaea-Tima, ennemi de l'humanité ou dernier rempart contre les kaiju ? Il y a de cela 10 ans, la ville côtière de Sukuba a été à moitié détruite à cause d'un tsunami provoqué par un monstre géant sorti de la mer. Celui-ci a été abattu avant de se dissoudre dans l'eau sous les yeux de la petite Miyako... La fillette s'en est sortie et est aujourd'hui une spécialiste de la création de figurines de la créature, baptisée Gaea-Tima. Le port a été reconstruit grâce à la manne d'argent issue du tourisme et, surtout, de la pêche. En se dissolvant, le cadavre du monstre a fertilisé la mer, au point que sa venue est considérée par certains comme une bénédiction... Miyako, elle, le voit comme un cataclysme, rien de plus. Alors quand un nouvel être gigantesque fait son apparition, elle imagine déjà le cauchemar se répéter. Mais, au moment où tout semble perdu, elle crache sans le vouloir une bille, d'où émerge... Gaea-Tima ! Et cette fois, c'est lui qui abat la créature marine ! Faut-il en déduire qu'il souhaite à présent protéger Miyako et sa ville ? Et si Godzilla tenait dans votre poche ? Dans un hommage aux kaiju, Kent offre sa propre version du monstre géant, avec ses combats XXL terrifiants mais aussi une créature étonnamment attachante ! Critique : Je reste mitigée sur ce premier tome dans le sens où j’attends la suite pour vraiment me prononcer. Le manga n’a pas de problème de réalisation : le graphisme est détaillé, le trait est précis, la lecture est fluide, il y a une bonne répartition entre narration et action et le rythme est bon. Il n’y a pas vraiment de défaut. Cependant, c’est sur le contenu que j’ai des attentes. Un kaiju qui serait du côté des hommes et prêt à combattre d’autres kaiju ou créatures gigantesques, c’est un aspect qui m’a forcément fait penser à un épisode de Godzilla. En plus de cela, on a quand même eu plusieurs titres récemment sur les Kaijus, du coup, j’attends de voir comment l’histoire va tourner et ce qu’elle va amener d’innovant ou d’original au genre. Le point original et positif concerne le changement d’apparence du Great Kaiju et sa façon d’être plus ou moins grand en fonction de la quantité d’eau à laquelle il a accès. C’est un aspect du livre qui apporte un peu de légèreté et un peu d’humour à la série. Du coup, rendez-vous au tome 2 pour en savoir plus. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/great-kaiju-gaea-tima-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Je reste mitigée sur ce premier tome dans le sens où j’attends la suite pour vraiment me prononcer. Le manga n’a pas de problème de réalisation : le graphisme est détaillé, le trait est précis, la lecture est fluide, il y a une bonne répartition entre narration et action et le rythme est bon. Il n’y a pas vraiment de défaut. Cependant, c’est sur le contenu que j’ai des attentes. Un kaiju qui serait du côté des hommes et prêt à combattre d’autres kaiju ou créatures gigantesques, c’est un aspect qui m’a forcément fait penser à un épisode de Godzilla. En plus de cela, on a quand même eu plusieurs titres récemment sur les Kaijus, du coup, j’attends de voir comment l’histoire va tourner et ce qu’elle va amener d’innovant ou d’original au genre. Le point original et positif concerne le changement d’apparence du Great Kaiju et sa façon d’être plus ou moins grand en fonction de la quantité d’eau à laquelle il a accès. C’est un aspect du livre qui apporte un peu de légèreté et un peu d’humour à la série. Du coup, rendez-vous au tome 2 pour en savoir plus.
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Titre de l'album : Face cachée - intégrale Scenariste de l'album : Sylvain Runberg Dessinateur de l'album : Olivier Martin Coloriste : Editeur de l'album : Futuropolis Note : Résumé de l'album : Satoshi travaille comme financier dans une société à Tokyo. Sa vie est uniquement rythmée par le travail. Les journées sont longues, et il ne peut rejoindre sa famille que durant les week-ends. Il passe ses nuits dans un capsule hôtel, parfois en compagnie de Mayumi, la jeune secrétaire de 26 ans. Au bureau, tout le monde ignore leur liaison. Marquée par le divorce de ses parents, Mayumi rêve d'un grand et bel amour. Mais Janichi, le collègue arriviste et jaloux de Satoshi s'intéresse de très près à cette jeune fille et finit par deviner que les deux collègues sont amants. Il découvre également que le couple de Satoshi bat de l'aile, et compte bien en tirer profit. Mais les apparences sont encore bien plus trompeuses. Et Satoshi cache des choses qui pourraient s'avérer encore plus dangereuses pour lui si elles venaient à être sues. Paru en diptyque il y a 15 ans, ce récit est une véritable étude de moeurs des années 2010 à Tokyo, pimentée de suspense et de révélations surprenantes. Cette intégrale en petit format souple, façon manga, est l'occasion de découvrir une oeuvre peu connue de Sylvain Runberg, l'un des plus grands scénaristes contemporain. Le jury des Mangas Awards, créés à l'initiative du gouvernement japonais, a décerné à Face Caché le prix d'excellence en 2011. Critique : Futuropolis réédite, pou les 15 ans du manga, le recit de Sylvain Runberg et Olivier Martin sur les relations de couple aux japons dans les années 2010. La réédition est très belle avec un format souple typé manga vraiment adapté et un ouvrage de qualité qui tient bien malgré le nombre de pages. Pour ceux qui ne connaissaient pas "Face cachée", c'est l'occasion de découvrir Sylvain Runberg, scénariste reconnu s'il en est dans le domaine de la BD euro, dans un style différent. Si ce manga garde un petit coté "européen", il conserve les principaux codes du manga (visage très expressif mais sans trop de détails etc....) et se trouve être particulièrement bien documenté sur la vie des Japonais et leur relation au couple avec, par exemple, l'utilisation de love hotel et le "droit" que se permettent les hommes de tromper leur femme. La société masculiniste japonaise est bien représentée (pire nation du G7 sur l'égalité homme/femme) tout comme la dérive (naissante ne 2010) "no life" de la jeunesse. Cerise sur le gâteau, la fin, très européenne pour le coup, est rafraichissante et fait éviter la case "déjà lu 10" fois au manga. Une belle réussite à rattraper pour ceux qui l'auraient raté ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/face-cachee-integrale?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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- manga
- contemporain
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(et 3 en plus)
Étiqueté avec :
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Futuropolis réédite, pou les 15 ans du manga, le recit de Sylvain Runberg et Olivier Martin sur les relations de couple aux japons dans les années 2010. La réédition est très belle avec un format souple typé manga vraiment adapté et un ouvrage de qualité qui tient bien malgré le nombre de pages. Pour ceux qui ne connaissaient pas "Face cachée", c'est l'occasion de découvrir Sylvain Runberg, scénariste reconnu s'il en est dans le domaine de la BD euro, dans un style différent. Si ce manga garde un petit coté "européen", il conserve les principaux codes du manga (visage très expressif mais sans trop de détails etc....) et se trouve être particulièrement bien documenté sur la vie des Japonais et leur relation au couple avec, par exemple, l'utilisation de love hotel et le "droit" que se permettent les hommes de tromper leur femme. La société masculiniste japonaise est bien représentée (pire nation du G7 sur l'égalité homme/femme) tout comme la dérive (naissante ne 2010) "no life" de la jeunesse. Cerise sur le gâteau, la fin, très européenne pour le coup, est rafraichissante et fait éviter la case "déjà lu 10" fois au manga. Une belle réussite à rattraper pour ceux qui l'auraient raté !
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- manga
- contemporain
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(et 3 en plus)
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Ayant fini avec mon overdose d'Isekai, et ayant un faible pour les mangas dont le vilain est le héro, j'attendais avec envie de lire cet "I'm the evil lord of an intergalactic empire". Et je dois bien avouer que, pour une fois chez Meian, j'ai été déçu. Le début de l'histoire nous promet un manga assez adulte, avec un homme cherchant à se venger de l'humanité suite a une première vie ou tout était contre lui en profitant à mort....Plus un méchant pervers qui se délecte du malheur des autres. De quoi faire un bon manga pour adulte seulement nous autres, adultes, ne sommes pas du tout la cible des auteurs. En effet la cible est plus l'ado prépubère qui fermera les yeux sur... un pelotage d'un sein de robot et trouvera méchant le fait d'avoir des idées sans jamais passer à l'acte. Car en fait notre histoire est avant tout un isekai au héros over powered comme un autre. Ave un héros qui se croit le vilain mais est en fait gentil avec tout le monde. On a même pas de quiproquos amusant comme dans The eminence in shadow par exemple. On a au final un manga assez simpliste et donc globalement décevant dès que l'on aura passer 16 ans...
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On ne va pas se mentir, le début du livre est assez compliqué à comprendre : on arrive directement dans un chapitre qui ne semble rien à voir avec la suite. De plus, le dessin est assez chargé et l’organisation des vignettes, qui se veut innovante et dynamique, ont tendance à créer plus de confusion que d’explication. En ce qui concerne la partie fantastique du scénario où des personnes sont effacées car elles n’étaient pas censées exister (les Inexistents), il y a du potentiel mais on regrette qu’il n’y ait pas d’explications. Concernant notre héroïne, elle est l’ainée d’une famille composée de ses deux parents et d’une petite sœur et on ne voit pas très bien en quoi elle serait une erreur de création de l’univers… Ensuite, il y a le contexte et surtout le métier de Tsugumi qui est une mangaka. Cela permet aux auteurs de parler de leur métier et surtout de mettre en avant certains aspects comme la pression liée au développement de la série, les relations avec leurs assistants, avec les autres auteurs, le contact avec les fans… En conclusion, je dirai qu’il y a de bonnes idées, un peu trop pour être exploitées complètement dans un one shot. C’est prometteur pour la suite des carrières des auteurs. Ce manga est d’ailleurs la première œuvre de la dessinatrice, Takeliongawa.
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Titre de l'album : To end this love game tome 2 Scenariste de l'album : Yuki Domoto Dessinateur de l'album : Yuki Domoto Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Alors que les sentiments de Miku et Yukiya s'intensifient, le jeu de la déclaréaction passe à la vitesse supérieure ! En effet, pour attirer l'attention l'un de l'autre, ces amis d'enfance ont donné une tout autre tournure à leur jeu. Que va-t-il arriver à ces adolescents qui tentent de réprimer leur timidité ? Critique : Deuxième tome de notre histoire de jeu d'amour, freinant la véritable histoire d'amour entre Miku et Yukiya. Si ce tome est toujours aussi mignon, avec une relation que les deux protagonistes souhaitent tous les deux voir évoluer sans se l'avouer, la recette est toujours la même que dans le premier tome. À chaque fois que l'un des deux fait un pas en avant, le second pense que c'est à cause du jeu et le prend à la rigolade, ce qui ne fait pas avancer le sujet. Si la fin de ce tome deux nous montre un léger rapprochement physique qui pourrait faire évoluer l'histoire, on se demande quand même comment il sera possible de tenir plus de 7 tomes (en cours) sans avancer plus rapidement..... Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/to-end-this-love-game-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Deuxième tome de notre histoire de jeu d'amour, freinant la véritable histoire d'amour entre Miku et Yukiya. Si ce tome est toujours aussi mignon, avec une relation que les deux protagonistes souhaitent tous les deux voir évoluer sans se l'avouer, la recette est toujours la même que dans le premier tome. À chaque fois que l'un des deux fait un pas en avant, le second pense que c'est à cause du jeu et le prend à la rigolade, ce qui ne fait pas avancer le sujet. Si la fin de ce tome deux nous montre un léger rapprochement physique qui pourrait faire évoluer l'histoire, on se demande quand même comment il sera possible de tenir plus de 7 tomes (en cours) sans avancer plus rapidement.....
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Voici un scénario que l’on voit beaucoup dans les webtoons : une jeune fille se réincarne en tant que méchante du jeu otome game auquel elle jouait. Elle décide donc de changer son destin !! C’est là qu’arrive l’originalité de l’histoire : elle n’y arrive que partiellement ! Certes, elle échappe à la peine capitale mais son fiancé (le prince évidemment) rompt leurs fiançailles, part avec l’héroïne du jeu et en plus, organise son agression afin de légitimer la rupture sous prétexte qu’elle est devenue « impure ». Heureusement, le prince maudit apparaît, vient à son secours et tombe amoureux !! Forcément à la lecture, on trouve plein d’éléments que l’on a déjà vus ici et là… Ce manga ne révolutionne pas le genre, en tout cas dans ce premier tome, il y aura peut-être des surprises par la suite. Cependant, il est bien fait : le graphisme est réussi et les personnages principaux sont beaux et intéressants. Du coup, même si on n’a pas vraiment de surprises scénaristiques, quand un livre est bien fait et donc agréable à lire et à regarder, il faut le dire. A suivre donc.
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Titre de l'album : The second chance of the villainess tome 1 Scenariste de l'album : Mitsuki HAYAMA Dessinateur de l'album : Yû IBUKI Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - Tonkam Note : Résumé de l'album : Eri Aikawa meurt dans un accident de la circulation après avoir joué toute la nuit à son otome game préféré. Elle se réincarne en Eris, la méchante du jeu... Afin d'éviter la mauvaise fin, elle fait de son mieux pour changer l'histoire. Et si c'était le prince mal aimé qui parvenait finalement à transformer son malheureux destin ? Critique : Voici un scénario que l’on voit beaucoup dans les webtoons : une jeune fille se réincarne en tant que méchante du jeu otome game auquel elle jouait. Elle décide donc de changer son destin !! C’est là qu’arrive l’originalité de l’histoire : elle n’y arrive que partiellement ! Certes, elle échappe à la peine capitale mais son fiancé (le prince évidemment) rompt leurs fiançailles, part avec l’héroïne du jeu et en plus, organise son agression afin de légitimer la rupture sous prétexte qu’elle est devenue « impure ». Heureusement, le prince maudit apparaît, vient à son secours et tombe amoureux !! Forcément à la lecture, on trouve plein d’éléments que l’on a déjà vus ici et là… Ce manga ne révolutionne pas le genre, en tout cas dans ce premier tome, il y aura peut-être des surprises par la suite. Cependant, il est bien fait : le graphisme est réussi et les personnages principaux sont beaux et intéressants. Du coup, même si on n’a pas vraiment de surprises scénaristiques, quand un livre est bien fait et donc agréable à lire et à regarder, il faut le dire. A suivre donc. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-second-chance-of-the-villainess-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Ménage à deux Scenariste de l'album : Jo ARUKU Dessinateur de l'album : Jo ARUKU Coloriste : Editeur de l'album : Taifu Note : Résumé de l'album : Épuisé par son travail, Kamakura s'enferme chez lui et accumule les déchets. Alors que le temps lui semblait s'être arrêté, sa vie reprit son cours le jour où un voisin qu'il ne connaissait pas, s'introduit chez lui pour lui venir en aide. Une rencontre salvatrice qui va bouleverser les deux jeunes hommes... Critique : Après avoir perdu son emploi, Kamakura, épuisé par le harcèlement de son supérieur, s’est replié sur lui-même et ne quitte plus son appartement. Celui-ci est devenu un vrai dépotoir au point que la propriétaire menace de l’expulser. C’est là, que son voisin du dessous, Katsuyoshi, lui vient en aide en lui proposant non seulement de l’aider à nettoyer son appartement amis aussi en l’hébergeant chez lui le temps que cela soit fait. Le titre a donc plusieurs sens, le romantique avec leur cohabitation, le pratique avec le nettoyage de l’appartement mais aussi un sens plus profond, plus personnel où Kamakura va arriver à faire le ménage dans son cœur, son esprit et sa vie. La présence de Katsuyoshi va lui permettre d’aller de l’avant et de se reprendre en main. De la même façon, ce dernier va remettre de l’ordre dans ses relations avec son frère. Derrière la romance, on a une lecture à plusieurs niveaux et surtout des thèmes sérieux qui sont abordés. Côté graphisme, c’est assez minimaliste, il y a peu d’arrière-plan et ce sont souvent des trames. C’est un peu dommage, on a du mal à ressentir de l’empathie pour les personnages et on reste un peu spectateur. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/menage-a-deux?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Après avoir perdu son emploi, Kamakura, épuisé par le harcèlement de son supérieur, s’est replié sur lui-même et ne quitte plus son appartement. Celui-ci est devenu un vrai dépotoir au point que la propriétaire menace de l’expulser. C’est là, que son voisin du dessous, Katsuyoshi, lui vient en aide en lui proposant non seulement de l’aider à nettoyer son appartement amis aussi en l’hébergeant chez lui le temps que cela soit fait. Le titre a donc plusieurs sens, le romantique avec leur cohabitation, le pratique avec le nettoyage de l’appartement mais aussi un sens plus profond, plus personnel où Kamakura va arriver à faire le ménage dans son cœur, son esprit et sa vie. La présence de Katsuyoshi va lui permettre d’aller de l’avant et de se reprendre en main. De la même façon, ce dernier va remettre de l’ordre dans ses relations avec son frère. Derrière la romance, on a une lecture à plusieurs niveaux et surtout des thèmes sérieux qui sont abordés. Côté graphisme, c’est assez minimaliste, il y a peu d’arrière-plan et ce sont souvent des trames. C’est un peu dommage, on a du mal à ressentir de l’empathie pour les personnages et on reste un peu spectateur.
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Il est des séries comme celle-ci que l'on apprécie de plus en plus sans que la qualité ait vraiment changé. En effet ce tome trois est la parfaite continuité des deux tomes précédents et vient conclure l'aventure éditoriale de Shiozawa et son souhait de voir des histoires courtes mais avec des auteurs qui aiment vraiment ce qu'ils écrivent et dessinent. Des histoires où ils auront mis tous leurs cœurs. Jusque là pas de surprise. La surprise est venue du plaisir que j'ai pu avoir à retrouver des personnages présentés dans les tomes précédents. En effet autant j'ai eu du mal à entrer dans cette histoire, autant j'ai plongé dans ce tome trois avec envie. Envie de savoir si Shiozawa allait réussir, mais surtout envie de retrouver mes auteurs un peu foutraques, jamais sûr d'eux et sur des leurs motivations. Une envie de voir comment ils allaient évoluer. Et des envies qui se sont trouvées magnifiquement comblées avec un tome trois tout en émotions. Bref une belle trilogie qui prend une dimension toute particulière au regard des trois tomes.
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Titre de l'album : Tokyo, ces jours-ci tome 3 (fin) Scenariste de l'album : Taiyou Matsumoto Dessinateur de l'album : Taiyou Matsumoto Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : L’éditeur Shiozawa ne ménage pas ses efforts, bien décidé à lancer un nouveau magazine. Les dessinateurs sont angoissés, poussés par l’envie de créer de nouvelles histoires. Et nous, nous découvrons la place que tient la joie de la création dans nos vies. Critique : Il est des séries comme celle-ci que l'on apprécie de plus en plus sans que la qualité ait vraiment changé. En effet ce tome trois est la parfaite continuité des deux tomes précédents et vient conclure l'aventure éditoriale de Shiozawa et son souhait de voir des histoires courtes mais avec des auteurs qui aiment vraiment ce qu'ils écrivent et dessinent. Des histoires où ils auront mis tous leurs cœurs. Jusque là pas de surprise. La surprise est venue du plaisir que j'ai pu avoir à retrouver des personnages présentés dans les tomes précédents. En effet autant j'ai eu du mal à entrer dans cette histoire, autant j'ai plongé dans ce tome trois avec envie. Envie de savoir si Shiozawa allait réussir, mais surtout envie de retrouver mes auteurs un peu foutraques, jamais sûr d'eux et sur des leurs motivations. Une envie de voir comment ils allaient évoluer. Et des envies qui se sont trouvées magnifiquement comblées avec un tome trois tout en émotions. Bref une belle trilogie qui prend une dimension toute particulière au regard des trois tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tokyo-ces-jours-ci-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Nouveau shonen chez Meian avec une histoire d'Idol assez intéressante sur la vie d'idol et le côté "pas assez populaire" de certaines. En effet Idol x Idol nous montre des "ex" Idol qui décident de se lancer dans un concours type "Star Academy" pour continuer leurs rêves de devenir Idol après des échecs dans leurs groupes respectifs. Si le coté "télé réalité" et concours du manga est nécessaire pour avoir un rythme soutenu, le véritable plus de ce Idol x Idol est de nous montrer le côté face de ces Idol japonaise. En effet on découvre que beaucoup de jeune fille idéalise ce métier et veulent devenir des stars et tentent leurs chances. Ce qui créé beaucoup de groupes d'Idol qui se trouvent être connus mais pas assez pour en vivre... et finissent par passer à autre chose sans avoir véritablement eu de carrière. Ces deux premiers tomes nous montre aussi que Idol est un métier à part entière, chronophage, physique et épuisant. Deux premiers tomes intéressants, au dessin "dans la norme actuelle", pour une série qui cartonne au japon (plus de 3.5 Millions de tomes vendus). 7 tomes actuellement de l'autre coté du globe.
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Titre de l'album : Idol X Idol Story tome 1 & 2 Scenariste de l'album : Shoutarou Tokunou Dessinateur de l'album : Shoutarou Tokunou Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Deux jeunes filles poursuivant le même rêve ensemble. Leur but : devenir une idole !! Plongez dans l'histoire de Mimi, une jeune fille au rêve brisé et celle de son idole préférée, Ibuki. Après s'être rencontrées par un heureux hasard, elles décident de participer à une émission pour devenir le prochain groupe phare de leur génération... Ensemble, elles peuvent y arriver ! Plus de 3 500 0000 d'exemplaires vendus au Japon ! Critique : Nouveau shonen chez Meian avec une histoire d'Idol assez intéressante sur la vie d'idol et le côté "pas assez populaire" de certaines. En effet Idol x Idol nous montre des "ex" Idol qui décident de se lancer dans un concours type "Star Academy" pour continuer leurs rêves de devenir Idol après des échecs dans leurs groupes respectifs. Si le coté "télé réalité" et concours du manga est nécessaire pour avoir un rythme soutenu, le véritable plus de ce Idol x Idol est de nous montrer le côté face de ces Idol japonaise. En effet on découvre que beaucoup de jeune fille idéalise ce métier et veulent devenir des stars et tentent leurs chances. Ce qui créé beaucoup de groupes d'Idol qui se trouvent être connus mais pas assez pour en vivre... et finissent par passer à autre chose sans avoir véritablement eu de carrière. Ces deux premiers tomes nous montre aussi que Idol est un métier à part entière, chronophage, physique et épuisant. Deux premiers tomes intéressants, au dessin "dans la norme actuelle", pour une série qui cartonne au japon (plus de 3.5 Millions de tomes vendus). 7 tomes actuellement de l'autre coté du globe. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/idol-x-idol-story-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Wild strawberry tome 1 Scenariste de l'album : Ire Yonemoto Dessinateur de l'album : Ire Yonemoto Coloriste : Editeur de l'album : Crunchyroll Note : Résumé de l'album : ll y a 36 ans, une épaisse végétation a brusquement envahi Tokyo, donnant naissance à des fleurs-parasites mortelles appelées "jinka". Ces plantes monstrueuses contaminent les êtres humains grâce à leur pollen, puis se nourrissent d'eux avant de fleurir, condamnant alors leur hôte. Au coeur de la capitale nippone devenue un enfer végétal, deux orphelins, Kingo et Kayano, tentent de survivre jour après jour... Mais leur quotidien bascule lorsque la Force Funéraire Florale, dont la mission est d'éradiquer les jinka, découvre que Kayano est porteuse d'un de ces redoutables parasites... Pour Kingo, qui a juré de remuer ciel et terre pour que sa soeur adoptive redevienne humaine, un terrible combat commence ! Couverture alternative pour le 1er tome Critique : L’histoire de Wild Strawberry se déroule dans un monde post-apocalyptique où des germes de plante ont contaminé les humains les transformant en jinka, un monstre végétal se nourrissant d’humains. Les hommes ont réussi à survivre grâce à un vaccin empêchant les mutations, mais qui est hélas, trop cher pour les classes de la société les plus démunies. Une unité de police/armée appelée Force Funéraire Florale parcourt les rues pour neutraliser de façon violente et définitive tous les porteurs du parasite. Contaminée et prise pour cible, Kayano, va alors se sacrifier pour sauver son frère humain, Kingo, tué par un policier alors qu’il cherchait à la protéger. Il devient à son tour un porteur mais d’un genre particulier car non seulement il a gardé sa conscience mais il semblerait qu’il puisse contrôler son jinka. L’univers de la ville en ruine envahie par des plantes dangereuses n’est pas sans rappeler le manga Green World sans compter le côté « survival » du récit. On est vite happé par le graphisme avec sa végétation luxuriante, son monde en ruine, et la violence implacable qui peut surgir à tout moment. Au milieu, il y a un fratrie, prête à tout l’un pour l’autre, qui va braver les dangers vers un espoir incertain. Avec son graphisme saisissant et un rythme soutenu, Wild Strawberry frappe fort dès le 1er tome et nous donne envie de poursuivre l’aventure. Le second tome arrive en juin. Une série en cours avec 5 volumes pour le moment. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/wild-strawberry-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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