Aller au contenu
  • S’inscrire

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'manga'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Les forums BD
    • Toute la BD
    • Projets participatifs
    • Petites Annonces BD
    • Liens BD vers ailleurs
  • Et si on parlait d'autre chose que la bande dessinée ?
    • Améliorons 1001BD
    • Films et séries TV
    • 1001 Jeux Video
    • Livres - Musique - Spectacles - Théatre - Musées
    • 1001 choses à dire
  • TEAM

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui contiennent…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


  1. poseidon2

    Helck tome 9

    Titre de l'album : Helck tome 9 Scenariste de l'album : Nanaki Nanao Dessinateur de l'album : Nanaki Nanao Coloriste : Editeur de l'album : Doki-Doki Note : Résumé de l'album : Un mystérieux héros qui dit vouloir exterminer tous ses semblables ?! Attention, voici l'incroyable Helck ! "Hors de question de perdre", affirma le héros.La bataille finale a commencé. Helck et son groupe ont infiltré le pays des hommes. Dans les sous-sols du château du Roi, ils font une surprenante découverte !De son côté, l'armée impériale doit faire face à une nouvelle menace, alors qu'elle cherche à détruire la tour... Critique : Dernier tome "d'histoire" de Helck avec une surprenante évolution. En effet notre auteur nous trouve un lien avec... notre époque. Oui oui l'histoire est plus complexe qu'un simple combat entre Humain et Demons et les humains ne sont pas jute des brutes sans cervelles mais veulent, eux aussi, lutter pour qu'ils n'arrivent ca qu'il est déjà arrivé au peuple humain des milliers d'années auparavant. Un retournement de situation assez surprenant et que j'espère ne pas être trop complexe, de peur qu'il n'écrase le coté très "humain" du combat de Helck. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/helck-tome-9?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. poseidon2

    Adachi et Shimamura tome 3 & 4

    C'est dingue comme dans un manga bien fait, même s'il ne se passe rien, on le lit avec plaisir. C'est exactement le cas ici ! C'est mignon tout plein, très gentil et pas spécialement redondant. Le fait de voir les deux points de vue de cette histoire d'amour est particulièrement savoureux. En effet, Shimamura se rends compte qu'Adachi semble attendre autre chose que de l'amitié tout en ne le conceptualisant pas spécialement. Adachi elle se rend compte qu'elle a de plus en plus de mal à se contenter à ce status d'amie.... Ce qui rend les relations entre les deux aussi mignonnes que conflictuelles. Encore plus avec le petit ajout de l'ancienne meilleure amie de Shimamura ... qui parait vouloir prendre de la place. Une romance toute gentille et toute mignonne que l'on lit avec plaisir !
  3. Titre de l'album : Adachi et Shimamura tome 3 & 4 Scenariste de l'album : Yuzuhara Moke Dessinateur de l'album : Hitoma Iruma Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Tarumi L'amie d'enfance de Shimamura. Elle serait devenue une lycéenne délinquante... apparemment. Critique : C'est dingue comme dans un manga bien fait, même s'il ne se passe rien, on le lit avec plaisir. C'est exactement le cas ici ! C'est mignon tout plein, très gentil et pas spécialement redondant. Le fait de voir les deux points de vue de cette histoire d'amour est particulièrement savoureux. En effet, Shimamura se rends compte qu'Adachi semble attendre autre chose que de l'amitié tout en ne le conceptualisant pas spécialement. Adachi elle se rend compte qu'elle a de plus en plus de mal à se contenter à ce status d'amie.... Ce qui rend les relations entre les deux aussi mignonnes que conflictuelles. Encore plus avec le petit ajout de l'ancienne meilleure amie de Shimamura ... qui parait vouloir prendre de la place. Une romance toute gentille et toute mignonne que l'on lit avec plaisir ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/adachi-et-shimamura-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Dans le premier train du matin est un recueil de cinq histoires courtes en deux volumes, chaque histoire étant composée de plusieurs chapitres et n’ayant rien à voir les unes avec les autres. Ce sont des bribes de vies d’adolescents comme si on lisait un chapitre au milieu d’un roman sans avoir ni le début ni la fin. Ce sont des passages importants dans l’existence de ces jeunes, des passages qui les mettent face à une réalité, à une relation. Dans le premier train du matin, on retrouve deux jeunes qui en théorie n’auraient rien à faire là à cette heure mais qui ont tous les deux une bonne raison d’y être. Le soda au melon parle d’une jeune fille qui ne peut pas distinguer certaines couleurs, cela finit par créer une distance avec ses amies mais elle ne sait pas comment leur en parler. Il y a aussi l’histoire d’un frère et d’une sœur séparé à la suite du divorce de leurs parents, une histoire d’amour à sens unique. On finira par le 4 mars, 14h30, la cellule de prison qui compare la vie scolaire d’une lycéenne à une cellule de prison pour parler de son mal-être. Dans chaque histoire, l’un des personnages se met à analyser la situation, faisant des déductions et mettant son binôme en face d’une vérité. C’est comme un raisonnement lors d’une enquête policière. Si le concept est intéressant et les comportements bien analysés, il y a un côté assez froid dans le récit, probablement dû à cet aspect analyse psychologique. Et puis, on reste sur notre faim, comme dans la première histoire où on aurait bien aimé savoir la suite. Il y a un goût d’inachevé qui n’est pas satisfaisant. Dommage car les idées sont bonnes et le graphisme est plaisant.
  5. Titre de l'album : Dans le premier train du matin tome 1 & 2 (fin) Scenariste de l'album : Yûgo Aosaki Dessinateur de l'album : Shirohiko Yamada Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - Tonkam Note : Résumé de l'album : Il est censé n'y avoir personne dans le premier train du matin... Pourtant, elle est là. Une fille de ma classe d'ordinaire peu bavarde. La raison de notre présence dans ce train ? Telle est la question. Découvrez cette histoire et bien d'autres qui mettent en scène toute la complexité de l'esprit à l'adolescence ! Critique : Dans le premier train du matin est un recueil de cinq histoires courtes en deux volumes, chaque histoire étant composée de plusieurs chapitres et n’ayant rien à voir les unes avec les autres. Ce sont des bribes de vies d’adolescents comme si on lisait un chapitre au milieu d’un roman sans avoir ni le début ni la fin. Ce sont des passages importants dans l’existence de ces jeunes, des passages qui les mettent face à une réalité, à une relation. Dans le premier train du matin, on retrouve deux jeunes qui en théorie n’auraient rien à faire là à cette heure mais qui ont tous les deux une bonne raison d’y être. Le soda au melon parle d’une jeune fille qui ne peut pas distinguer certaines couleurs, cela finit par créer une distance avec ses amies mais elle ne sait pas comment leur en parler. Il y a aussi l’histoire d’un frère et d’une sœur séparé à la suite du divorce de leurs parents, une histoire d’amour à sens unique. On finira par le 4 mars, 14h30, la cellule de prison qui compare la vie scolaire d’une lycéenne à une cellule de prison pour parler de son mal-être. Dans chaque histoire, l’un des personnages se met à analyser la situation, faisant des déductions et mettant son binôme en face d’une vérité. C’est comme un raisonnement lors d’une enquête policière. Si le concept est intéressant et les comportements bien analysés, il y a un côté assez froid dans le récit, probablement dû à cet aspect analyse psychologique. Et puis, on reste sur notre faim, comme dans la première histoire où on aurait bien aimé savoir la suite. Il y a un goût d’inachevé qui n’est pas satisfaisant. Dommage car les idées sont bonnes et le graphisme est plaisant. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dans-le-premier-train-du-matin-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. En parallèle du lancement du manga Kagurabachi, kana profite de la publicité engendrée par ce retour des samourais au premier plan pour nous sortir une "star édition" de Samourai Deeper Kyo. L'un des hits des années 2000. Peut-être le premier manga de samourai post pour ado paru en France (2001 - 2008) avec Kenshin... Comme toujours, l'intérêt de ces stars éditions, c'est que pour moins de 11 euros, on a un double album. On devrait donc avoir 19 tomes de cette star édition pour conclure l'histoire de Samourai Deeper Kyo. Un véritable bon plan pour qui n'a jamais lu cette série de samourai pour ado. Une série de samourai qui, si elle tire en longueur sur le milieu, reste bien plus adapté à un lectorat de 10 à 15 ans que Kagurabachi. En effet le dessin est bien moins fouillis, les personnages plus faciles à cerner et le tout moins gore et plus facile à lire. Une aventure au long cours qui ravira vos enfants fan de samourai sans avoir à réellement avoir peur du niveau de violence présent. Les adultes préféreront l'habitant de l'infini, mais on n'est pas dans le même degré de violence et de réalisme.
  7. poseidon2

    Kagurabachi tome 2

    Nos combats de sabres continus. Je dirais presque qu'il commence tout juste. En effet, ce premier combat semble être une introduction à l'utilisation des sabres et à l'introduction des différentes forces en présences. Ce tome 2 nous livre la fin du combat entre Sôjô et Chihiro et nous montre les pouvoirs quasi infinis des sabres. Si le dessin est toujours assez moyen, l'histoire avance bien et nous montre que Chihiro ne prévoit pas d'être juste un point pour récupérer les sabre, mais bien un joueur intendant dans un univers normalement assez cadré. Espérons juste que le dessin devienne un peu plus clair et un peu mieux maitrisé car c'es parfois un peu complexe de savoir qui fait quoi 😞
  8. Titre de l'album : Kagurabachi tome 2 Scenariste de l'album : Hokazono Takeru Dessinateur de l'album : Hokazono Takeru Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Sôjô passe à l’attaque ! Si, pendant le combat, celui-ci n’hésite pas à parler de son respect et de son amour pour Kunishige Rokuhira, le père de Chihiro et le créateur des sabres ensorcelés, il semble néanmoins persuadé que ces sabres ont été créés pour prendre la vie d’autrui. Bien qu’ils admirent la même personne, Chihiro et Sôjô ont emprunté des voies totalement différentes. Et la barbarie de Sôjô ne fait qu’attiser la haine de Chihiro… Critique : Nos combats de sabres continus. Je dirais presque qu'il commence tout juste. En effet, ce premier combat semble être une introduction à l'utilisation des sabres et à l'introduction des différentes forces en présences. Ce tome 2 nous livre la fin du combat entre Sôjô et Chihiro et nous montre les pouvoirs quasi infinis des sabres. Si le dessin est toujours assez moyen, l'histoire avance bien et nous montre que Chihiro ne prévoit pas d'être juste un point pour récupérer les sabre, mais bien un joueur intendant dans un univers normalement assez cadré. Espérons juste que le dessin devienne un peu plus clair et un peu mieux maitrisé car c'es parfois un peu complexe de savoir qui fait quoi 😞 Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/kagurabachi-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Nickad

    Dogsred tome 1

    Titre de l'album : Dogsred tome 1 Scenariste de l'album : Satoru Noda Dessinateur de l'album : Satoru Noda Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Jeune espoir national du patinage artistique, Rou Shirakawa gâche sa carrière quand il est pris d'un accès de violence inexplicable devant les caméras du Japon entier. Il vient pourtant de remporter un tournoi décisif grâce au programme préparé par sa mère et entraîneuse, décédée quelque temps plus tôt dans un accident... La disgrâce s'ajoute au deuil et l'orphelin n'a d'autre choix que de s'installer chez son grand-père à Hokkaido, dans le nord du pays. Dans cette terre de grand froid, le hockey sur glace règne en maître et les membres de l'équipe du lycée local sont des stars. Pour un Rou obsédé par l'élégance, ce sport n'est qu'une lutte barbare... Mais il pourrait aussi être sa dernière chance de rechausser les patins pour atteindre de nouveaux sommets ! Critique : Ah ! Je ne pensais pas un jour sourire en lisant un manga sur le hockey sur glace ! J’ai même été happée sans faire de pause du début à la fin. Il y a quelque chose de savoureux dans ce manga, peut-être est-ce la mélange de deux univers qui au premier abord ne semblent rien avoir en commun à part la patinoire ; je parle bien sûr du patinage artistique et du hockey sur glace ! Peut-être, est-ce que cela vient du caractère bien trempé du personnage principal et de son rival… Quoi qu’il en soit, ce premier tome est une réussite ! On a à la fois du sport au niveau local et professionnel, de la tranche de vie avec un côté social, de la compétition, de l’art, un peu de suspense (on ne sait toujours pas pourquoi Rou Shinrakawa a envoyé tout valser lors de sa compétition) et de l’humour !! Le rythme est dynamique, les personnages sont intéressants et les scènes de sport sont bien réussies mais le graphisme présente parfois de petites originalités qui ne sont pas forcément à mon goût ! Un manga à lire et à suivre ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dogsred-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Titre de l'album : Erio & the electric doll tome 1 Scenariste de l'album : Mujirushi Shimazaki Dessinateur de l'album : Kuroimori Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Un siècle plus tôt, une guerre meurtrière a éclaté entre les hommes et les IA, poussant l'humanité à renoncer à l'électricité pour mettre un terme aux combats. Découvrez les aventures steampunk d'Ange, la toute dernière androïde d'élite en état de marche, et d'Erio, la jeune fille qu'elle a élevée, dans un monde désormais privé d'électricité. Critique : On avait découvert Kuroimori, la dessinatrice avec Steam Reverie in Amber, elle revient, en collaboration avec Shimazaki Mujirushi (Dresseuses de monstres) dans une épopée post-apocalyptique où le monde se retrouve privé d’électricité comme au début de l’ère industrielle. Un contexte dans lequel, les auteurs ont pu déployer un univers proche du steam punk. La série a bénéficié également d’un très beau lancement à la Tour Eiffel, le jour de sa sortie en présence des auteurs qui ont, pour l’occasion, répondu à quelques questions. Si Shimazaki Sensei est resté très évasif sur le développement de la série, y compris sur le nombre de tomes final, ne voulant pas spoiler les lecteurs ; Kuroimori nous a confié que ses inspirations venaient en grande partie de Moebius et Jules Verne, considérant ce dernier comme son père spirituel. On apprécie toujours autant son trait fin, précis et détaillé mis en avant dans un manga grand format (A5). Erio est une jeune fille qui est capable de produire de l’électricité, elle a été recueillie et élevée par Ange, une « poupée électrique », un cyborg a l’apparence humaine qui a besoin d’électricité pour fonctionner. Ange est un reliquat de la grande guerre qui a opposé les humains à l’IA, une machine destinée à anéantir les humains. Mais ayant conscience qu’Erio grandit, les deux jeunes femmes partent vers la capitale afin qu’Erio puisse découvrir le monde. Le contexte du récit permet une aventure intéressante dans un monde où l’une n’a plus sa place et l’autre possède un pouvoir considéré comme négatif. Mais en dehors de leurs aventures, qui sont forts sympathiques, c’est la relation entre Ange et Erio qui donne tout son charme au récit : Ange semble particulièrement froide, répétant sans cesse qu’elle n’a pas de cœur mais elle veille avec bienveillance sur Erio. Cette dernière est lumineuse et apporte beaucoup de fraicheur à l’histoire. Un manga à découvrir et à savourer, de belles promesses en perspective ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/erio-the-electric-doll-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Nickad

    Dogsred tome 1

    Ah ! Je ne pensais pas un jour sourire en lisant un manga sur le hockey sur glace ! J’ai même été happée sans faire de pause du début à la fin. Il y a quelque chose de savoureux dans ce manga, peut-être est-ce la mélange de deux univers qui au premier abord ne semblent rien avoir en commun à part la patinoire ; je parle bien sûr du patinage artistique et du hockey sur glace ! Peut-être, est-ce que cela vient du caractère bien trempé du personnage principal et de son rival… Quoi qu’il en soit, ce premier tome est une réussite ! On a à la fois du sport au niveau local et professionnel, de la tranche de vie avec un côté social, de la compétition, de l’art, un peu de suspense (on ne sait toujours pas pourquoi Rou Shinrakawa a envoyé tout valser lors de sa compétition) et de l’humour !! Le rythme est dynamique, les personnages sont intéressants et les scènes de sport sont bien réussies mais le graphisme présente parfois de petites originalités qui ne sont pas forcément à mon goût ! Un manga à lire et à suivre !
  12. Ca y est c'est fini ! Et c'est très bien comme ca. J'avais super peur que cette série tire sur la corde et ne finisse jamais. Et bien si. Maybe fini sa série et la finit comme il faut. IL ne fait que finir les assauts des princesses sur le roi des anneaux. En effet il clôture cette histoire d'anneau d'une intelligente manière. Une manière qui ne permettra pas de relancer la série et va au bout de ses pistes. Une histoire qui sera passée par toutes les étapes. De shonen pour ado, on est parti sûr de l'isekai pur avec des combats contre des monstres pour finir sur du manga sexy au possible. Une évolution qui montre que Maybe nous a livré l'histoire qu'il voulait, ne cherchant pas à rentrer dans les cases de l'isekai standard, mais juste à nous livrer son histoire à lui. Un isekai pour adulte comme tous ne l'aimeront pas
  13. Titre de l'album : Tales of wedding rings tome 15 (fin) Scenariste de l'album : Maybe Dessinateur de l'album : Maybe Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Satou est projeté avec son amie d’enfance, Hime, dans un monde médiéval fantastique ! Hime est en réalité la princesse d’un royaume ! Alors que Satou tente de comprendre se qui se passe, un monstre fait irruption et les attaque. Dans la panique, Satou se retrouve nez à nez avec le monstre… pour le sauver, Hime lui passe au doigt un anneau et l’embrasse. Satou prend en main une épée et parvient à abattre le monstre… Critique : Ca y est c'est fini ! Et c'est très bien comme ca. J'avais super peur que cette série tire sur la corde et ne finisse jamais. Et bien si. Maybe fini sa série et la finit comme il faut. IL ne fait que finir les assauts des princesses sur le roi des anneaux. En effet il clôture cette histoire d'anneau d'une intelligente manière. Une manière qui ne permettra pas de relancer la série et va au bout de ses pistes. Une histoire qui sera passée par toutes les étapes. De shonen pour ado, on est parti sûr de l'isekai pur avec des combats contre des monstres pour finir sur du manga sexy au possible. Une évolution qui montre que Maybe nous a livré l'histoire qu'il voulait, ne cherchant pas à rentrer dans les cases de l'isekai standard, mais juste à nous livrer son histoire à lui. Un isekai pour adulte comme tous ne l'aimeront pas Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tales-of-wedding-rings-tome-15?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. J'étais globalement dubitatif après le tome 2. La série sentait le convenu à 200 lieux. J'ai ouvert ce tome 3 en me disant que cela serait le dernier.... et bien en fait je ne pense pas. Car ce tome 3, toujours en gardant un côté amusant et un peu "stupide", ouvre le scenario sur autre chose. En effet notre roi démon se retrouve embarqué dans rien de moins que l'entrainement de notre héroïne ! Et laisse donc la place à d'autre chez lui ! Cela permet surtout de relancer (ou de lancer tout simplement) une intrigue plate comme un lac de montagne. Et de rebooster nos espoirs dans la série....
  15. Titre de l'album : Lord of the fans tome 3 - Dans l'oeil du Roi-démon Scenariste de l'album : Hiroshi Noda Dessinateur de l'album : Masayasu Fukushima Coloriste : Editeur de l'album : Doki-Doki Note : Résumé de l'album : Étant à la fois son plus grand fan et son plus grand ennemi, que suis-je censé... faire ?! L'héroïne Ellie est devenue depuis peu une véritable idole. Reynolds, le Roi démon, s'est déguisé en humain afin d'aller la soutenir au plus près et de rester son fan numéro 1 ! Mais Ellie ne goûte guère à la vie d'idole, ce qu'elle veut vraiment faire, c'est aller combattre le Roi démon ! Critique : J'étais globalement dubitatif après le tome 2. La série sentait le convenu à 200 lieux. J'ai ouvert ce tome 3 en me disant que cela serait le dernier.... et bien en fait je ne pense pas. Car ce tome 3, toujours en gardant un côté amusant et un peu "stupide", ouvre le scenario sur autre chose. En effet notre roi démon se retrouve embarqué dans rien de moins que l'entrainement de notre héroïne ! Et laisse donc la place à d'autre chez lui ! Cela permet surtout de relancer (ou de lancer tout simplement) une intrigue plate comme un lac de montagne. Et de rebooster nos espoirs dans la série.... Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/lord-of-the-fans-tome-3-dans-l-oeil-du-roi-demon?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Kevin Nivek

    Sushi ichi tome 2

    Nous poursuivons la découverte de la culture japonaise à travers la cuisine renommée de Taisuke dans ce tome 2 riche en découvertes ! Vous allez apprendre l'existence de nouvelles déclinaisons de sushis avec des produits de la mer tous plus surprenants ! Le concept d'allier cuisine avec l'art et la culture historique du pays reste bien entendu d'actualité 😉 Ainsi la route de Taisuke va le mener vers une geisha en détresse, il l'aidera à retrouver son aura tout en nous expliquant en quoi consiste le métier de geisha. Puis direction le palais du shogun, avec son ancien mentor l'invitant à un concours culinaire de sushis, il se dépassera une nouvelle fois pour le régal des papilles des juges. Son passé ressurgira sur le chemin du retour avec une recette à base de sillago, un poisson inconnu pour ma part et dont les superstitions locales l'ont déclaré "maudit" ! Dans un autre chapitre, ce sera le tour d'un criminel en fuite cherchant à reconquérir un amour passé avec des sushis à la seiche ! Vous apprendrez que ces animaux nagent par deux à vie lorsqu'ils sont en couple 😉 . Enfin, un artisan de raden cet art décoratif si particulier du Japon, sera en panne d'inspiration. Une fois de plus, Taisuke l'aidera à innover et reconquérir ses clients avec des sushis aux ormeaux ! De la finesse culinaire à l'état pur, on regrette juste qu'il n'y ait pas les recettes complètes en fin de livre. Des annexes ajoutent des renseignement historiques, mais point de recettes 😞 Cela reste un grand plaisir de le voir cuisiner tout en racontant l'histoire liée à tel ou tel plat, au Japon tout est susceptible d'être "cérémonial", cette saga culinaire aide grandement à comprendre ce pays.
  17. Titre de l'album : Sushi ichi tome 2 Scenariste de l'album : Etsushi Ogawa Dessinateur de l'album : Etsushi Ogawa Coloriste : Editeur de l'album : Kotodama Note : Résumé de l'album : À Edo, dans la ruelle dédiée aux échoppes de sushis, celle de maître Taisuke est renommée pour soulager les coeurs autant qu'elle remplit les estomacs. Alors qu'il doit apaiser les amours déçues d'une geisha et protéger sa patronne, Orin, des griffes d'un grand criminel, Taisuke voit son passé ressurgir et le rappeler à ses devoirs. Critique : Nous poursuivons la découverte de la culture japonaise à travers la cuisine renommée de Taisuke dans ce tome 2 riche en découvertes ! Vous allez apprendre l'existence de nouvelles déclinaisons de sushis avec des produits de la mer tous plus surprenants ! Le concept d'allier cuisine avec l'art et la culture historique du pays reste bien entendu d'actualité 😉 Ainsi la route de Taisuke va le mener vers une geisha en détresse, il l'aidera à retrouver son aura tout en nous expliquant en quoi consiste le métier de geisha. Puis direction le palais du shogun, avec son ancien mentor l'invitant à un concours culinaire de sushis, il se dépassera une nouvelle fois pour le régal des papilles des juges. Son passé ressurgira sur le chemin du retour avec une recette à base de sillago, un poisson inconnu pour ma part et dont les superstitions locales l'ont déclaré "maudit" ! Dans un autre chapitre, ce sera le tour d'un criminel en fuite cherchant à reconquérir un amour passé avec des sushis à la seiche ! Vous apprendrez que ces animaux nagent par deux à vie lorsqu'ils sont en couple 😉 . Enfin, un artisan de raden cet art décoratif si particulier du Japon, sera en panne d'inspiration. Une fois de plus, Taisuke l'aidera à innover et reconquérir ses clients avec des sushis aux ormeaux ! De la finesse culinaire à l'état pur, on regrette juste qu'il n'y ait pas les recettes complètes en fin de livre. Des annexes ajoutent des renseignement historiques, mais point de recettes 😞 Cela reste un grand plaisir de le voir cuisiner tout en racontant l'histoire liée à tel ou tel plat, au Japon tout est susceptible d'être "cérémonial", cette saga culinaire aide grandement à comprendre ce pays. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sushi-ichi-tome-2/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Nickad

    Erio & the electric doll tome 1

    On avait découvert Kuroimori, la dessinatrice avec Steam Reverie in Amber, elle revient, en collaboration avec Shimazaki Mujirushi (Dresseuses de monstres) dans une épopée post-apocalyptique où le monde se retrouve privé d’électricité comme au début de l’ère industrielle. Un contexte dans lequel, les auteurs ont pu déployer un univers proche du steam punk. La série a bénéficié également d’un très beau lancement à la Tour Eiffel, le jour de sa sortie en présence des auteurs qui ont, pour l’occasion, répondu à quelques questions. Si Shimazaki Sensei est resté très évasif sur le développement de la série, y compris sur le nombre de tomes final, ne voulant pas spoiler les lecteurs ; Kuroimori nous a confié que ses inspirations venaient en grande partie de Moebius et Jules Verne, considérant ce dernier comme son père spirituel. On apprécie toujours autant son trait fin, précis et détaillé mis en avant dans un manga grand format (A5). Erio est une jeune fille qui est capable de produire de l’électricité, elle a été recueillie et élevée par Ange, une « poupée électrique », un cyborg a l’apparence humaine qui a besoin d’électricité pour fonctionner. Ange est un reliquat de la grande guerre qui a opposé les humains à l’IA, une machine destinée à anéantir les humains. Mais ayant conscience qu’Erio grandit, les deux jeunes femmes partent vers la capitale afin qu’Erio puisse découvrir le monde. Le contexte du récit permet une aventure intéressante dans un monde où l’une n’a plus sa place et l’autre possède un pouvoir considéré comme négatif. Mais en dehors de leurs aventures, qui sont forts sympathiques, c’est la relation entre Ange et Erio qui donne tout son charme au récit : Ange semble particulièrement froide, répétant sans cesse qu’elle n’a pas de cœur mais elle veille avec bienveillance sur Erio. Cette dernière est lumineuse et apporte beaucoup de fraicheur à l’histoire. Un manga à découvrir et à savourer, de belles promesses en perspective !
  19. Titre de l'album : Why nobody remembers my world ? tome 12 Scenariste de l'album : Arikan Dessinateur de l'album : Arikan Coloriste : Editeur de l'album : Doki-Doki Note : Résumé de l'album : Pourquoi personne ne se souvient du monde d'avant ? La Grande Guerre pour la suprématie du monde qui opposa les cinq races se solda par la victoire de l'humanité menée par le héros Sid. Mais soudain, le monde est réécrit sous les yeux du jeune Kai qui se retrouve projeté dans un monde dans lequel les humains ont perdu la Grande Guerre des cinq races.Après un combat acharné contre le lasteraser, Kai et ses compagnons retournent dans la fédération de Yurn. Blessée pendant le combat, Six Luminess plonge dans un profond sommeil. Vont alors ressurgir en elle les souvenirs d'un passé qu'elle ignore et dans lequel elle passait ses journées en compagnie d'une fillette nommée Kyôko.Un jeune garçon dont l'existence a été effacée va tenter de remettre en place le monde tel qu'il était avant ! Critique : Nouveau tome hors histoire principale, et donc entièrement aux mains d'Arikan et non plus de l'auteur du light novel. En effet cet épisode sur "l'enfance de Six Luminess" n'existe pas dans l'œuvre originale. Cela ne l'empêche pas d'être plutôt intéressant. On entrevoit plus le lien que peut avoir Six Luminess avec le capitaine de la faction Humaine. On comprend aussi que l'histoire se dirige vers une explication d'une interconnexion entre les espèces. Ce qui est toujours aussi bien avec "Why nobody remenber my world", c'est que les écarts de ce genre de dépasse jamais un tome et donc ne nous perde pas. On a un peu plus d'info mais on reste concentré sur l'aventure principale et sur le combat à venir contre le LastEraser. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/why-nobody-remembers-my-world-tome-12?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Nouveau tome hors histoire principale, et donc entièrement aux mains d'Arikan et non plus de l'auteur du light novel. En effet cet épisode sur "l'enfance de Six Luminess" n'existe pas dans l'œuvre originale. Cela ne l'empêche pas d'être plutôt intéressant. On entrevoit plus le lien que peut avoir Six Luminess avec le capitaine de la faction Humaine. On comprend aussi que l'histoire se dirige vers une explication d'une interconnexion entre les espèces. Ce qui est toujours aussi bien avec "Why nobody remenber my world", c'est que les écarts de ce genre de dépasse jamais un tome et donc ne nous perde pas. On a un peu plus d'info mais on reste concentré sur l'aventure principale et sur le combat à venir contre le LastEraser.
  21. Titre de l'album : L'âme du dragon tome 1 Scenariste de l'album : Hoshino Makoto Dessinateur de l'album : Hoshino Makoto Coloriste : Editeur de l'album : Doki-Doki Note : Résumé de l'album : Comment vivent et meurent les humains dans un monde dominé par les dragons... Une réflexion sur ce qui nourrit la vie. ''Je serais prêt à mourir pour en voir un !'' Dans un monde régi par les dragons, l'île de Ryôgoku constitue une terre de bannissement. Isagi, condamné à y vivre et exercer le métier de bourreau, a la capacité d'entrevoir un instant les souvenirs de ceux qu'il décapite. Un jour, il fait la rencontre de Tatsunami, un général illustre qu'il a le devoir d'exécuter. Mais leur rencontre produit bientôt un grand tourbillon qui emporte avec lui le monde et les dragons... Un périple qui va mener Isagi vers d'autres horizons, le porter à réfléchir sur lui et l'impliquer dans une quête aussi épique que psychologique sur le sens des liens qui nous unissent... Critique : Nouveau shonen chez Doki doki avec une histoire de samouraïs dans un univers médiéval fantastique. En effet en plus d'être dans le Japon médieval, nous sommes dans une version du Japon ou les dragons existent et règnent sur le climat et les saisons. Les dragons sont donc des espèces sacrées.... que rêvent de voir notre héros, qui est lui enfermé sur son ile de part son métier de... bourreau ! Oui il est le bourreau attitré d'une ile prison et un bourreau reconnu pour son efficacité au sabre qui lui permet de trancher net les têtes... et par là même de s'accaparer une partie des souvenirs de ses victimes. Comme vous pouvez le voir, on a ici un contexte déjà très riche alors même que notre histoire n'a même pas commencé ! C'est ce qui est vraiment bon dans ce premier tome d'ailleurs. La faculté de notre auteur à nous présenter cet univers spécifique tout en déroulant son histoire et en faisant avancer l'aventure d'Isagi, qui ne va bien sûr pas se cantonner à rester sur l'ile. C'est l'autre bon point de ce tome 1 : Isagi a une dualité étonnante entre son côté tueur de sang froid de métier et son côté ingénu. Une aventure qui ne fait que commencer mais s'annonce avoir des répercussions qui mèneront notre héros à parcourir le Japon et à utiliser son sabre plus qu'il ne l'aimerait. Bref un bon début quoi ! Série en cours ayant pour l'instant 3 tomes au Japon. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-ame-du-dragon-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. poseidon2

    L'âme du dragon tome 1

    Nouveau shonen chez Doki doki avec une histoire de samouraïs dans un univers médiéval fantastique. En effet en plus d'être dans le Japon médieval, nous sommes dans une version du Japon ou les dragons existent et règnent sur le climat et les saisons. Les dragons sont donc des espèces sacrées.... que rêvent de voir notre héros, qui est lui enfermé sur son ile de part son métier de... bourreau ! Oui il est le bourreau attitré d'une ile prison et un bourreau reconnu pour son efficacité au sabre qui lui permet de trancher net les têtes... et par là même de s'accaparer une partie des souvenirs de ses victimes. Comme vous pouvez le voir, on a ici un contexte déjà très riche alors même que notre histoire n'a même pas commencé ! C'est ce qui est vraiment bon dans ce premier tome d'ailleurs. La faculté de notre auteur à nous présenter cet univers spécifique tout en déroulant son histoire et en faisant avancer l'aventure d'Isagi, qui ne va bien sûr pas se cantonner à rester sur l'ile. C'est l'autre bon point de ce tome 1 : Isagi a une dualité étonnante entre son côté tueur de sang froid de métier et son côté ingénu. Une aventure qui ne fait que commencer mais s'annonce avoir des répercussions qui mèneront notre héros à parcourir le Japon et à utiliser son sabre plus qu'il ne l'aimerait. Bref un bon début quoi ! Série en cours ayant pour l'instant 3 tomes au Japon.
  23. poseidon2

    Grand blue tome 21 & 22

    Ca y est ! l'offensive lancée par Aina ne passe pas inaperçu et cela déclenche la guerre pour le coeur (et le corps) de Iori. Une guerre entre trois filles, car oui Chisa avoue enfin qu'elle tient bien plus à Iori qu'elle ne voudrait l'admettre. Et cette guerre nous montre des quiproquos encore plus drôles que d'habitude mais aussi un côté très humain sur les relations filles/garçons, entre des garçons véritablement gênés mais fier à bras et des filles qui ne veulent pas avouer leurs sentiments, essayant de faire en sorte que Iori lise dans leurs cerveaux (sauf une 🙂 ) C'est encore une fois hyper drole et l'une des rares séries de mangas dont je ne souhaite absolument pas la fin.... juste un véritable rapprochement entre Iori et Chisa... ou autre. 🙂
  24. Titre de l'album : Grand blue tome 21 & 22 Scenariste de l'album : Kenji Inoue Dessinateur de l'album : Kimitake Yoshioka Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Un incident vestimentaire interrompt l'offensive amoureuse d'Aina, mais pourrait finalement l'aider. Kôhei utilise des tactiques douteuses pour l'assister, tandis que Sakurako suit ses propres désirs sans scrupules. Critique : Ca y est ! l'offensive lancée par Aina ne passe pas inaperçu et cela déclenche la guerre pour le coeur (et le corps) de Iori. Une guerre entre trois filles, car oui Chisa avoue enfin qu'elle tient bien plus à Iori qu'elle ne voudrait l'admettre. Et cette guerre nous montre des quiproquos encore plus drôles que d'habitude mais aussi un côté très humain sur les relations filles/garçons, entre des garçons véritablement gênés mais fier à bras et des filles qui ne veulent pas avouer leurs sentiments, essayant de faire en sorte que Iori lise dans leurs cerveaux (sauf une 🙂 ) C'est encore une fois hyper drole et l'une des rares séries de mangas dont je ne souhaite absolument pas la fin.... juste un véritable rapprochement entre Iori et Chisa... ou autre. 🙂 Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/grand-blue-tome-21?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Titre de l'album : BOICHI SF short stories tome 1 Scenariste de l'album : BOICHI Dessinateur de l'album : BOICHI Coloriste : Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Quand la SF part dans huit directions différentes... Bienvenue dans ce premier volet du diptyque des SF Short Stories de Boichi ! Avec Les Voyageurs de l'espace-temps, le mangaka revient pour un recueil de huit nouvelles de science-fiction, traitant de sujets aussi variés que la dystopie, le voyage stellaire ou encore la rencontre avec d'autres créatures. Qu'il s'agisse d'un robot chargé de veiller sur les derniers éléments vivants à la suite d'une humanité condamnée, d'une mystérieuse opération ayant pour but de prolonger la vie - mais à quel prix ? - ou de la quête absolue d'un scientifique pour faire revivre une espèce malencontreusement disparue, toutes ces nouvelles se projettent dans l'avenir, mettant en avant la maestria d'un auteur hors norme. À noter que certaines nouvelles, déjà publiées dans son recueil, Hotel, sont à nouveau mises en avant, accompagnées de leur lot d'histoires inédites et d'anecdotes de création. Critique : Boichi n’est plus un auteur à présenter, il est d’ailleurs plutôt prolifique : pas moins de 13 titres parus en France en 17 ans dont Sun-ken Rock, Sanctum, Origin, Dr Stone et le prochain à paraître, le livre des multivers. Epris de fantastique et science-fiction, l’auteur a régulièrement écrit de courtes histoires qui sont regroupées ici dans un recueil en deux tomes. Les fans pourront y retrouver des histoires déjà parues dans le livre Hotel, édité en 2008 et devenu introuvable. Le livre est agrémenté de pages en couleurs et surtout des commentaires de l’auteur sur la genèse de ses œuvres. Certaines de ces histoires sont plutôt sérieuses comme Hotel – Since A.D. 2079 avec un discours écologique, d’autres sont plus farfelues, comme Rien que pour les thons ou se rapprochent plus du fantastique comme La légende de la nuit qui aurait sa place dans les Contes des mille et une nuits. Au final, on a un recueil plus ou moins intéressant, plus ou moins équilibré (dans la quantité et la teneur) qui plaira aux amateurs de science-fiction et surtout aux fans de l’auteur. On reconnaît bien la patte graphique de Boichi, qui, il faut bien le reconnaître, est particulièrement doué en la matière. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/boichi-sf-short-stories-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
×
×
  • Créer...