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  1. Titre de l'album : L'obscure clarté des étoiles Scenariste de l'album : Ron Marz Dessinateur de l'album : Claudio Castellini Coloriste : Editeur de l'album : Panini Note : Résumé de l'album : Une mystérieuse comète, constituée d'une énergie en apparence inépuisable, s'apprête à rentrer dans notre galaxie. Galactus et Thanos font tous deux appel à leurs propres agents pour les aider à conquérir cette nouvelle source d'énergie. Le premier confie cette tâche au Silver Surfer, le second à la cupide mercenaire White Raven... Critique : Elle m'intriguait cette réédition Panini d'un run du Silver surfer . Les planches colorées de l'époque sont relookées et affinées au profit d'un noir et blanc élégant et d'une finesse rare . Bien connu chez Marvel , DC , il a même travaillé sur Conan , Claudio Castellini est de la trempe des grands , assurément .Ses planches sont remarquables , le surfer est organique , les reflets prennent vie sur son corps au grès de la lumière ; le mouvement est palpable ainsi qu'une expressivité des visages intense . Vous avez ici l'atout majeur de ce titre paru dans la collection Marvel prestige . Là réside la grandeur du titre , le scénario étant lui (trop) court et limité . Une comète aux pouvoirs ancestraux , deux vilains (Thanos et Galactus) la convoitant , un héros et son adversaire féminin aux courbes pulpeuses typiques du début des années 2000 ; pour une fin (soudaine) convenue et attendue . Le manque d'ambition est total et tellement aux antipodes du niveau graphique proposé . Le livre est enrichi de planches du maître italien , de recherches de personnages et de couvertures . Des dialogues et interviews des auteurs complètent une pagination maigre , pour justifier le prix (?) . Vous l'aurez compris , c'est donc une déception que j'ai éprouvé à la fermeture de l'ouvrage . Certes , l'édition est d'une grande qualité , cette "remasterisation" des planches est intéressante , mais le contenu , l'histoire n'est pas au diapason . Le Silver surfer Requiem peut dormir tranquille , il siège tout en haut des runs du surfer avec celui de Dan Slott et Mike Allred paru en omnibus l'automne dernier . Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/silver-surfer-l-obscure-clarte-des-etoiles-noir-blanc/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Elle m'intriguait cette réédition Panini d'un run du Silver surfer . Les planches colorées de l'époque sont relookées et affinées au profit d'un noir et blanc élégant et d'une finesse rare . Bien connu chez Marvel , DC , il a même travaillé sur Conan , Claudio Castellini est de la trempe des grands , assurément .Ses planches sont remarquables , le surfer est organique , les reflets prennent vie sur son corps au grès de la lumière ; le mouvement est palpable ainsi qu'une expressivité des visages intense . Vous avez ici l'atout majeur de ce titre paru dans la collection Marvel prestige . Là réside la grandeur du titre , le scénario étant lui (trop) court et limité . Une comète aux pouvoirs ancestraux , deux vilains (Thanos et Galactus) la convoitant , un héros et son adversaire féminin aux courbes pulpeuses typiques du début des années 2000 ; pour une fin (soudaine) convenue et attendue . Le manque d'ambition est total et tellement aux antipodes du niveau graphique proposé . Le livre est enrichi de planches du maître italien , de recherches de personnages et de couvertures . Des dialogues et interviews des auteurs complètent une pagination maigre , pour justifier le prix (?) . Vous l'aurez compris , c'est donc une déception que j'ai éprouvé à la fermeture de l'ouvrage . Certes , l'édition est d'une grande qualité , cette "remasterisation" des planches est intéressante , mais le contenu , l'histoire n'est pas au diapason . Le Silver surfer Requiem peut dormir tranquille , il siège tout en haut des runs du surfer avec celui de Dan Slott et Mike Allred paru en omnibus l'automne dernier .
  3. Kevin Nivek

    Captifs

    Forts de leur nouvelle politique éditoriale , les Humanoïdes associés continuent de nous divertir avec ces histoires originales (ou one-shots) de très grandes qualités . Après des sorties orientées science-fiction , ils font cette fois la part belle au nouveau-monde en 1754 ! Ce (talentueux) duo d'auteurs délivre une adaptation des mémoires de Susannah Johnson : Récit d'une captive en Nouvelle-France , 1754-1760 . Amérindiens , pionniers , colons français et anglais se côtoient dans de sublimes paysages , mais dans un déchainement de violence physique et morale . Notez la sublime couverture , annonciatrice d'un danger imminent avec cette paisible maison dans la prairie (sans Charles Ingalls) observée de loin par de menaçants indiens Abénaquis, tapis dans l'ombre . Ce trait réaliste convient à merveille pour dépeindre cette histoire aux forts accents d'authenticité . Nous découvrons ainsi un aspect de la guerre franco-anglaise pour la conquête du Canada assez surprenant : En effet , il n'était pas rare que des tribus indiennes soient missionnées par les français pour kidnapper des colons britanniques et les revendre tels des esclaves aux riches familles installées en ville . Nous découvrons donc l'attaque des Abénaquis qui vont imposer à la famille de colons un voyage à travers montagnes , fleuves et forêts pour rejoindre leur lieu de "vente" . Le scénariste nous immerge au sein des captifs avec leurs questionnements et leurs prises de décisions qui ne seront pas sans conséquences . Tension et réalisme sont au programme de cette aventure pas comme les autres . Un subtil mélange des Passagers du vent et des Pionniers du nouveau monde , deux très grandes sagas historiques . Si vous aimez cette période , cette plongée en Nouvelle-France est assurément pour vous 😉 .
  4. Kevin Nivek

    Captifs

    Titre de l'album : Captifs Scenariste de l'album : Benoît Rivière Dessinateur de l'album : Olivier Ormière Coloriste : Silvia Fabris Editeur de l'album : Les humanoides associés Note : Résumé de l'album : Août 1754, Nouvelle-Angleterre. Une famille de fermiers anglais, les Johnson, est attaquée par des Indiens Abénaquis qui les réduisent en esclavage. La famille compte trois enfants et Susanna est enceinte du quatrième. Tous sont capturés. Commence alors un long voyage aux limites du tolérable, au bout duquel seuls les plus forts survivront. Ce cauchemar ne s'arrêtera pas lorsqu'ils seront vendus comme esclaves aux Français qui occupent Montréal, en marge du conflit qui oppose alors Anglais et Français au Québec... Critique : Forts de leur nouvelle politique éditoriale , les Humanoïdes associés continuent de nous divertir avec ces histoires originales (ou one-shots) de très grandes qualités . Après des sorties orientées science-fiction , ils font cette fois la part belle au nouveau-monde en 1754 ! Ce (talentueux) duo d'auteurs délivre une adaptation des mémoires de Susannah Johnson : Récit d'une captive en Nouvelle-France , 1754-1760 . Amérindiens , pionniers , colons français et anglais se côtoient dans de sublimes paysages , mais dans un déchainement de violence physique et morale . Notez la sublime couverture , annonciatrice d'un danger imminent avec cette paisible maison dans la prairie (sans Charles Ingalls) observée de loin par de menaçants indiens Abénaquis, tapis dans l'ombre . Ce trait réaliste convient à merveille pour dépeindre cette histoire aux forts accents d'authenticité . Nous découvrons ainsi un aspect de la guerre franco-anglaise pour la conquête du Canada assez surprenant : En effet , il n'était pas rare que des tribus indiennes soient missionnées par les français pour kidnapper des colons britanniques et les revendre tels des esclaves aux riches familles installées en ville . Nous découvrons donc l'attaque des Abénaquis qui vont imposer à la famille de colons un voyage à travers montagnes , fleuves et forêts pour rejoindre leur lieu de "vente" . Le scénariste nous immerge au sein des captifs avec leurs questionnements et leurs prises de décisions qui ne seront pas sans conséquences . Tension et réalisme sont au programme de cette aventure pas comme les autres . Un subtil mélange des Passagers du vent et des Pionniers du nouveau monde , deux très grandes sagas historiques . Si vous aimez cette période , cette plongée en Nouvelle-France est assurément pour vous 😉 . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/captifs/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Après un second tome sur Double-face , il est vrai assez décevant , voici un nouveau One bad day sur le Pingouin , qui est bien supérieur à son prédécesseur . On débute par la vision d'un Oswald Cobblepot méconnaissable , assis sur un banc avec Gotham city le narguant au loin . Une barbe de 3 jours , une tenue vestimentaire délabrée , plus un sou en poche , il se rapproche plus d'un clochard que du roi de la pègre qu'il a été . Au fil des pages ,on apprend qu'un dénommé Umbrella Man (son ancien homme de main) lui a spolié son empire et règne d'une main de fer sur la délinquance locale . Tel Napoléon remontant la France en gagnant de nouveaux partisans , il va petit à petit effectuer son retour en s'associant avec des petites frappes . Il va aussi découvrir pourquoi son empire s'est effondré , entre autres pour sa façon dédaigneuse d'évoluer avec ses pairs et autres "employés" . Il va ainsi effectuer un travail d'introspection personnelle , comme une psychanalyse, et se servir de cela pour changer , évoluer afin d'être un leader à nouveau respecté mais surtout , apprécié ! Mais on est à Gotham city , et un homme à la cape noire rôde dans l'ombre , va t'il laisser cette marche vers les sommets se concrétiser ?? Au delà d'un scénario judicieux et bien écrit , il est à noter le travail plus que sympathique du dessin à 4 mains des deux artistes . Un trait semi-réaliste , avec des couleurs ternes , vieillies , comme notre pingouin en fâcheuse posture . Un jeu de reflets lumineux , et des visages assez expressifs . Il se dénote un parfum de Killing joke en tournant ces pages , le trait se veut vraiment en digne héritier de l'oeuvre culte de Alan Moore . Un très bon opus que ce One bad day , épisode 3 . Le prochain du mois de juin sera centré sur Mr Freeze 🙂
  6. Titre de l'album : Batman - One bad day : Le pingouin Scenariste de l'album : John Ridley Dessinateur de l'album : Giuseppe Camuncoli , Can Smith Coloriste : Arif Prianto Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Autrefois, le Pingouin avait un empire. Alors au sommet de la pègre de Gotham, il avait institué des règles strictes, s'était imposé des limites. Mais pour certains, les limites sont faites pour être franchies. C'est en tout cas ainsi que résonnait Umbrella Man, avant de prendre à son maître tout ce qu'il avait et de répandre le chaos dans la ville. Cobblepot est aujourd'hui un homme brisé, frayant à travers les rues poisseuses de Gotham, un revolver à la main. Muni d'une unique balle, il a bien l'intention de réagir, car l'heure de la vengeance a sonné. Contenu vo : Batman - One Bad Day: Pingouin. Critique : Après un second tome sur Double-face , il est vrai assez décevant , voici un nouveau One bad day sur le Pingouin , qui est bien supérieur à son prédécesseur . On débute par la vision d'un Oswald Cobblepot méconnaissable , assis sur un banc avec Gotham city le narguant au loin . Une barbe de 3 jours , une tenue vestimentaire délabrée , plus un sou en poche , il se rapproche plus d'un clochard que du roi de la pègre qu'il a été . Au fil des pages ,on apprend qu'un dénommé Umbrella Man (son ancien homme de main) lui a spolié son empire et règne d'une main de fer sur la délinquance locale . Tel Napoléon remontant la France en gagnant de nouveaux partisans , il va petit à petit effectuer son retour en s'associant avec des petites frappes . Il va aussi découvrir pourquoi son empire s'est effondré , entre autres pour sa façon dédaigneuse d'évoluer avec ses pairs et autres "employés" . Il va ainsi effectuer un travail d'introspection personnelle , comme une psychanalyse, et se servir de cela pour changer , évoluer afin d'être un leader à nouveau respecté mais surtout , apprécié ! Mais on est à Gotham city , et un homme à la cape noire rôde dans l'ombre , va t'il laisser cette marche vers les sommets se concrétiser ?? Au delà d'un scénario judicieux et bien écrit , il est à noter le travail plus que sympathique du dessin à 4 mains des deux artistes . Un trait semi-réaliste , avec des couleurs ternes , vieillies , comme notre pingouin en fâcheuse posture . Un jeu de reflets lumineux , et des visages assez expressifs . Il se dénote un parfum de Killing joke en tournant ces pages , le trait se veut vraiment en digne héritier de l'oeuvre culte de Alan Moore . Un très bon opus que ce One bad day , épisode 3 . Le prochain du mois de juin sera centré sur Mr Freeze 🙂 Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-one-bad-day-le-pingouin/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Kevin Nivek

    Chasseurs de sève

    Les "Humano" poursuivent leurs adaptations de romans de fictions avec cet opus adapté de Laurent Genefort . Après Le sang des immortels , Peau épaisse et Arca , voici venu Chasseurs de sève , dans cette collection "Critic" qui vient enrichir le catalogue de cette maison d'édition plus que jamais orientée SF , et de la fiction française en plus ! Ayant fait ses armes (entre autres) dans feue la revue AAARG! , Alexandre Ristorcelli réalise une performance graphique de haute volée . Dépeindre un univers aussi riche et innovant est une véritable prouesse en rappelant qu'il n'y a aucune ligne droite dans un arbre , donc une difficulté accrue de perspectives ! Avec un trait proche d'un Moreno (Le régulateur) parfois , il propose des arrières-plans somptueux et une palette de couleurs et d'éclairages tout simplement superbes . J'émettrais juste une légère critique envers les visages des personnages qui ne sont pas à la hauteur des paysages , avec des réactions et autres mimiques mal proportionnées . Mais cela n'altère en rien la qualité du récit . L'histoire justement , venons-en : Un arbre-monde et plusieurs tribus y vivant sur les branches . C'est un monde dépourvu de technologie qui s'offre à nous avec ses croyances et ses cultures propres à chaque clan . Dans ce biotope , nous suivons le parcours de Pierig , un sourcier . Son métier consiste à surveiller , écouter et prendre soin des branches et surtout de la sève de cet arbre aux proportions gigantesques . Or , d'inquiétants signes montrent que ce dernier est en train de mourir ! Son village ou "famil" , est pris pour cible dans un déchaînement de violence et le voici prisonnier d'une autre tribu qui le missionne afin de découvrir l'origine de ce mal . L'aventure commence dans les méandres végétales , avec une grande variété de paysages et de rencontres . Le suspens ne nous ménage pas , il est très difficile d'interrompre la lecture . Les 112 pages passent très vite car le rythme est soutenu et l'envie de connaître la fin est prégnante . C'est donc un nouvel écrin de premier choix que nous livrent les Humanoïdes associés , pour tout fan de SF et autres mondes imaginaires . A noter des pages annexes en fin de livre , expliquant croquis à l'appui les techniques de travail de l'auteur . Si vous voulez savoir comment passe t'il d'une base noir et blanc à ce rendu final 😉
  8. Titre de l'album : Chasseurs de sève Scenariste de l'album : Alexandre Ristorcelli Dessinateur de l'album : Alexandre Ristorcelli Coloriste : Alexandre Ristorcelli Editeur de l'album : Les humanoides associés Note : Résumé de l'album : Les gigantesques branches de l'Arbre-monde hébergent tout un ensemble de clans, tel celui des chasseurs de sève. Lorsque Pierig est capturé par ce clan belliqueux, il comprend que ce sont ses dons de sourcier qui les intéressent. En effet, l'Arbre-monde se meurt et sa sève nourricière avec lui... Accompagné de trois guerriers, Pierig est contraint de trouver l'origine du mal qui ronge le titan végétal, jusqu'au pied de l'arbre s'il le faut. Mais à l'issue de ce dangereux périple, ses certitudes risquent d'être bousculées. Critique : Les "Humano" poursuivent leurs adaptations de romans de fictions avec cet opus adapté de Laurent Genefort . Après Le sang des immortels , Peau épaisse et Arca , voici venu Chasseurs de sève , dans cette collection "Critic" qui vient enrichir le catalogue de cette maison d'édition plus que jamais orientée SF , et de la fiction française en plus ! Ayant fait ses armes (entre autres) dans feue la revue AAARG! , Alexandre Ristorcelli réalise une performance graphique de haute volée . Dépeindre un univers aussi riche et innovant est une véritable prouesse en rappelant qu'il n'y a aucune ligne droite dans un arbre , donc une difficulté accrue de perspectives ! Avec un trait proche d'un Moreno (Le régulateur) parfois , il propose des arrières-plans somptueux et une palette de couleurs et d'éclairages tout simplement superbes . J'émettrais juste une légère critique envers les visages des personnages qui ne sont pas à la hauteur des paysages , avec des réactions et autres mimiques mal proportionnées . Mais cela n'altère en rien la qualité du récit . L'histoire justement , venons-en : Un arbre-monde et plusieurs tribus y vivant sur les branches . C'est un monde dépourvu de technologie qui s'offre à nous avec ses croyances et ses cultures propres à chaque clan . Dans ce biotope , nous suivons le parcours de Pierig , un sourcier . Son métier consiste à surveiller , écouter et prendre soin des branches et surtout de la sève de cet arbre aux proportions gigantesques . Or , d'inquiétants signes montrent que ce dernier est en train de mourir ! Son village ou "famil" , est pris pour cible dans un déchaînement de violence et le voici prisonnier d'une autre tribu qui le missionne afin de découvrir l'origine de ce mal . L'aventure commence dans les méandres végétales , avec une grande variété de paysages et de rencontres . Le suspens ne nous ménage pas , il est très difficile d'interrompre la lecture . Les 112 pages passent très vite car le rythme est soutenu et l'envie de connaître la fin est prégnante . C'est donc un nouvel écrin de premier choix que nous livrent les Humanoïdes associés , pour tout fan de SF et autres mondes imaginaires . A noter des pages annexes en fin de livre , expliquant croquis à l'appui les techniques de travail de l'auteur . Si vous voulez savoir comment passe t'il d'une base noir et blanc à ce rendu final 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/chasseurs-de-seve/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. The_PoP

    Latah

    Titre de l'album : Latah Scenariste de l'album : Thomas Legrain Dessinateur de l'album : Thomas Legrain Coloriste : Mikl Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Une légende raconte que quelque part au beau milieu de la jungle vietnamienne se trouve le territoire du Latah. Le récipiendaire des douleurs de son peuple. Et des douleurs, les Américains en ont infligé leur lot… Lorsque leurs membres commencent à tomber, une petite troupe de GI égarée comprend qu'elle vient d'entrer au purgatoire de cet enfer vert. Sur les terres du Latah, les victimes deviennent bourreaux, et vice-versa… Car le bouc émissaire finit toujours par ruer. Critique : La collection signé chez le Lombard est décidément une collection que nous apprécions beaucoup car elle est souvent synonyme de one-shot de qualité avec des auteurs remarquables. C'est à nouveau le cas avec ce Latah qui ne portera pas atteinte à l'estime que nous portons à cette collection. S'il n'atteint pas je trouve le niveau des meilleurs one-shot Signé, ce Latah nous présente assez finement l'enfer du vietnam, la partie fantastique ne venant que rehausser l'horreur globale ambiante. Le dessin de Thomas Legrain que l'on a découvert notamment sur Sisco se prête assez bien à cette ambiance martiale sérieuse. L'auteur gère ici scénario et dessin et les couleurs sont réalisées par Mikl pour un résultat particulièrement chouette pour restituer cette ambiance de jungle étouffante. Les personnages sont rapidement brossés mais crédibles et cohérents. Latah se dévore, et donne également un peu à penser et en ce sens c'est une réussite. La partie fantatsique est elle aussi bien gérée puisque vous ne refermerez pas ce tome avec une tonne de questions non résolues, et sa présence permet à l'histoire de prendre son ampleur, sans pour autant la dénaturer, évoquant parfois Apocalypse Now. Attention cependant la violence et le gore sont très présent dans cette bd, à ne pas mettre donc entre toutes les mains. Bravo. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/latah/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. The_PoP

    Latah

    La collection signé chez le Lombard est décidément une collection que nous apprécions beaucoup car elle est souvent synonyme de one-shot de qualité avec des auteurs remarquables. C'est à nouveau le cas avec ce Latah qui ne portera pas atteinte à l'estime que nous portons à cette collection. S'il n'atteint pas je trouve le niveau des meilleurs one-shot Signé, ce Latah nous présente assez finement l'enfer du vietnam, la partie fantastique ne venant que rehausser l'horreur globale ambiante. Le dessin de Thomas Legrain que l'on a découvert notamment sur Sisco se prête assez bien à cette ambiance martiale sérieuse. L'auteur gère ici scénario et dessin et les couleurs sont réalisées par Mikl pour un résultat particulièrement chouette pour restituer cette ambiance de jungle étouffante. Les personnages sont rapidement brossés mais crédibles et cohérents. Latah se dévore, et donne également un peu à penser et en ce sens c'est une réussite. La partie fantatsique est elle aussi bien gérée puisque vous ne refermerez pas ce tome avec une tonne de questions non résolues, et sa présence permet à l'histoire de prendre son ampleur, sans pour autant la dénaturer, évoquant parfois Apocalypse Now. Attention cependant la violence et le gore sont très présent dans cette bd, à ne pas mettre donc entre toutes les mains. Bravo.
  11. alx23

    Wild Bill Hickok

    Après l'album consacré à Jesse James, on retrouve le scénariste Dobbs tout seul cette fois pour relater l'histoire de Wild Bill Hickok, une autre légende de l'ouest sauvage. Cet album commence quand Hickok perd son étoile de shérif suite à un malheureux accident. L'homme est déjà connu pour être une fine gâchette dans tout le pays et de nombreuses histoires reprennent ses faits d'armes en participant à sa légende. Le cowboy reprend sa vie de débauche entre alcool, femmes et duel au pistolet. Il participe également au spectacle de Buffalo Bill avec Texas Jack, deux autres légendes de cette époque et croise la route de Calamity Jane. Avec la troupe du spectacle, ils rejouent des moments forts de leur vie avec des batailles contre les indiens. Dobbs assure un récit prenant en se basant sur les cinq dernières années de la vie de Hickok. Les dessins d'Ennio Bufi sont magnifiques pour dépeindre l'ouest sauvage américain et ces duels comme on peut le découvrir sur la couverture. Les scènes d'action sont dynamiques avec une construction des planches nerveuses pour maintenir le rythme. L'album se termine sur une petite biographie de Hickok par Farid Ameur un historien spécialisé dans l'histoire contemporaine des Etats-Unis et de la guerre civile. Ses textes sont accompagnés de photos et de gravures. J'ai préféré la lecture de ce deuxième tome de la véritable histoire du Far west qui annonce une grande série à venir.
  12. alx23

    Wild Bill Hickok

    Titre de l'album : Wild Bill Hickok Scenariste de l'album : Dobbs Dessinateur de l'album : Ennio Bufi Coloriste : Greg Lofé Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : On l'appelait Wild Bill. De son vrai nom James Butler Hickok, il était considéré comme le meilleur tireur de l'Ouest. Sans plan ni fortune, ce dandy au style flamboyant suscitait une admiration mêlée d'effroi, semblant ne s'intéresser qu'aux femmes, au poker et au whisky. Un caractère bien trempé et une habileté à manier les armes à feu qui lui vaut de représenter la loi dans les territoires sauvages du Kansas. Un soir d'octobre 1871, sa vie bascule. Lors d'une intervention, il tue par erreur son adjoint et ami. Le vague à l'âme, Hickok rend son étoile de marshal et erre dans les Plaines. Sans conviction, il accepte de paraître lors de spectacles populaires à la gloire de l'Ouest. Aux côtés de Buffalo Bill et de Texas Jack, il rejoue ses propres aventures, réelles ou fantasmées, devant un public avide de sensationnalisme. Mais le coeur n'y est pas. Lassé par ces mascarades, en quête d'authenticité, il reprend la route des Grandes Plaines et se rend à Deadwood, dans le territoire du Dakota. Il a rendez-vous avec le destin. Critique : Après l'album consacré à Jesse James, on retrouve le scénariste Dobbs tout seul cette fois pour relater l'histoire de Wild Bill Hickok, une autre légende de l'ouest sauvage. Cet album commence quand Hickok perd son étoile de shérif suite à un malheureux accident. L'homme est déjà connu pour être une fine gâchette dans tout le pays et de nombreuses histoires reprennent ses faits d'armes en participant à sa légende. Le cowboy reprend sa vie de débauche entre alcool, femmes et duel au pistolet. Il participe également au spectacle de Buffalo Bill avec Texas Jack, deux autres légendes de cette époque et croise la route de Calamity Jane. Avec la troupe du spectacle, ils rejouent des moments forts de leur vie avec des batailles contre les indiens. Dobbs assure un récit prenant en se basant sur les cinq dernières années de la vie de Hickok. Les dessins d'Ennio Bufi sont magnifiques pour dépeindre l'ouest sauvage américain et ces duels comme on peut le découvrir sur la couverture. Les scènes d'action sont dynamiques avec une construction des planches nerveuses pour maintenir le rythme. L'album se termine sur une petite biographie de Hickok par Farid Ameur un historien spécialisé dans l'histoire contemporaine des Etats-Unis et de la guerre civile. Ses textes sont accompagnés de photos et de gravures. J'ai préféré la lecture de ce deuxième tome de la véritable histoire du Far west qui annonce une grande série à venir. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/wild-bill-hickok-228671?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Titre de l'album : Conquêtes - Tome 8 - Neïta Scenariste de l'album : Jean-Luc Istin Dessinateur de l'album : Erion Campanella Avdisha Coloriste : Olivier Héban Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Les Croisés, en route pour la planète Jérusalem, se posent sur Neïta où vit une colonie de mineurs. L'inquisiteur Evangelisti découvre que Nazareth Prime est devenue une ville fantôme. Commence alors une enquête qui le mènera au coeur de la mine, auprès d'une entité qui dit s'appeler Yahvé. Alors que les colons réapparaissent dans un état proche de la catatonie, sur Neïta, le mystère s'épaissit... Critique : Chronique réalisée à partir du pdf de lecture et non de la bd Papier. Des différences peuvent être constatées. Vérifiez par vous même en librairie avant tout achat. Qu'il est difficile de se forger son avis sur Conquêtes. J'ai beau savoir que ce n'est plus très original depuis longtemps, que le format one shot ne permet guère de complexité et mise sur une action menée tambour battant, j'ai toujours plaisir à en ouvrir un, et souvent à le lire. Ce tome 8 ne fait pas plus exception à la règle que le 6 ou le 7... On passe toujours un beau moment, graphiquement c'est très soigné, peut être même un peu plus que la plupart des Conquêtes, mais je suis également resté sur ma faim tant l'intrigue aurait pu être plus développée. Et la fin est un petit peu parachutée également. La lassitude viendra-t-elle face à ces histoires individuellement indéniablement réussies, mais collectivement finalement redondantes ? Je ne sais pas y répondre. Après tout l'une de mes meilleurs lectures de SF de cette année reste un tome d'Androïdes, série pour laquelle j'aurais également pu écrire le paragraphe ci-dessus. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/conquetes-tome-8-neita?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. The_PoP

    Conquêtes - Tome 8 - Neïta

    Chronique réalisée à partir du pdf de lecture et non de la bd Papier. Des différences peuvent être constatées. Vérifiez par vous même en librairie avant tout achat. Qu'il est difficile de se forger son avis sur Conquêtes. J'ai beau savoir que ce n'est plus très original depuis longtemps, que le format one shot ne permet guère de complexité et mise sur une action menée tambour battant, j'ai toujours plaisir à en ouvrir un, et souvent à le lire. Ce tome 8 ne fait pas plus exception à la règle que le 6 ou le 7... On passe toujours un beau moment, graphiquement c'est très soigné, peut être même un peu plus que la plupart des Conquêtes, mais je suis également resté sur ma faim tant l'intrigue aurait pu être plus développée. Et la fin est un petit peu parachutée également. La lassitude viendra-t-elle face à ces histoires individuellement indéniablement réussies, mais collectivement finalement redondantes ? Je ne sais pas y répondre. Après tout l'une de mes meilleurs lectures de SF de cette année reste un tome d'Androïdes, série pour laquelle j'aurais également pu écrire le paragraphe ci-dessus.
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