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  1. Titre de l'album : M.A.D - Tome 1 - Un empire de rouille Scenariste de l'album : Nicolas Jarry Dessinateur de l'album : Thomas Legrain Coloriste : MIKL Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : La guerre contre les mechams a dévasté le monde. L'humanité est réduite à une multitude d'îlots de résistance, séparés les uns des autres par des océans de rouille. Daïa Anikine et Socrate, un robot avec lequel elle partage sa conscience, appartiennent au M.A.D, le Mechanical Assault Division. Leur mission est de protéger les derniers bastions de la civilisation. Daïa n'est pas du genre à laisser ses émotions lui dicter ses actes, pourtant, quand l'une de ses amies est retrouvée démembrée à l'intérieur même de l'enceinte de la ville, elle décide d'aller contre les ordres de sa supérieure et de traquer l'assassin, quelles qu'en soient les conséquences... Critique : Ohlala une nouvelle série de science fiction un peu post apo façon Terminator ! Avec un tel pitch et des auteurs comme M. Legrain (Sisco, The Regiment, Latah) au dessin ou M. Nicolas Jarry (terres d'arran, iss sniper, conquêtes, et une multitude d'autres) au scénario, on sait déjà qu'on va être sur du sérieux. Banco, si la couverture donne un peu l'impression d'un dessin taillé à la hache, l'intérieur est de meilleur ton, et Thomas Legrain va nous livrer de belles planches pour le genre, sans toutefois atteindre le niveau de détail aperçu sur son Latah. Mais ce n'est pas là l'essentiel, si certains visages manquent un peu de détails et de nuances, on est sur de la sf d'action et là le contrat est clairement rempli, les scènes d'actions sont dynamiques et lisibles, on se régale et on parcourt cette enquête musclée mais finalement inventive au pas de course. L'univers présenté est riche en futures possibilités, et elles ne sont qu'à peine esquissées dans ce tome, bref on en redemande et on attend la suite avec impatience ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/m-a-d-tome-1-un-empire-de-rouille/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Ohlala une nouvelle série de science fiction un peu post apo façon Terminator ! Avec un tel pitch et des auteurs comme M. Legrain (Sisco, The Regiment, Latah) au dessin ou M. Nicolas Jarry (terres d'arran, iss sniper, conquêtes, et une multitude d'autres) au scénario, on sait déjà qu'on va être sur du sérieux. Banco, si la couverture donne un peu l'impression d'un dessin taillé à la hache, l'intérieur est de meilleur ton, et Thomas Legrain va nous livrer de belles planches pour le genre, sans toutefois atteindre le niveau de détail aperçu sur son Latah. Mais ce n'est pas là l'essentiel, si certains visages manquent un peu de détails et de nuances, on est sur de la sf d'action et là le contrat est clairement rempli, les scènes d'actions sont dynamiques et lisibles, on se régale et on parcourt cette enquête musclée mais finalement inventive au pas de course. L'univers présenté est riche en futures possibilités, et elles ne sont qu'à peine esquissées dans ce tome, bref on en redemande et on attend la suite avec impatience !
  3. Titre de l'album : Green Class - Tome 5 - Dernier Sacrifice Scenariste de l'album : Jérôme Hamon Dessinateur de l'album : David Tako Coloriste : David Tako Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : L'heure est grave : les Shoggoths viennent d'activer la quatrième stèle des grands anciens. Et s'ils parviennent à la cinquième et dernière, c'en est fini de l'humanité. Un futur que Naïa est prête à tout pour éviter. Pour empêcher que d'autres souffrent comme son frère Noah. Pour sauver ce qui reste. Mais tout le monde ne l'entend pas de la même oreille : être humain n'est-il pas un pêché en soi ? Beth, pour sa part, est prête à payer la rédemption au prix fort... Fût-ce ses amis d'hier. Critique : Commençons à parler de ce dernier tome de green class en saluant le job de l'éditeur : 72 pages de super qualité, une série un peu jeunesse mais moderne et intéressante pour adultes terminée en 5 tomes, des couv sublimes à la vue et au touché, et un dessin hyper dynamique, le tout pour moins de 15€, bah je dis chapeau bas. Le scénario est toujours aussi original, même si là forcément on est sur sa conclusion et que les nouveautés sont forcément moins marquantes. Je suis toujours stupéfait par le chemin pris par cette bd après un premier tome original mais classique dans son déroulement, et le coup de pelle dans la gueule du lecteur avec les sauts narratifs du second tome qui m'ont bien perdu à l'époque. Aujourd'hui encore, il faut que je relise une nouvelle fois l'ensemble pour mieux saisir les pièces du puzzle qui s'est dessiné dans les deux derniers tomes. Rayon critique je note juste l'évolution très très (trop?) rapide de nos héros en pro de la survie là où des escouades de forces spéciales se font décimer comme des idiots. C'est un peu facile, m'enfin, je pinaille. Côté dessin, si les fonds des cases sont souvent un peu trop nues pour que l'on s'extasie dessus, du côté du mouvement, de la mise en scène et du dynamisme du bazar, on touche à ce qui se fait de mieux dans le genre, reprenant donc au passage quelques codes du manga et comics qui amènent beaucoup de fluidité à l'ensemble. David Tako gère aussi à merveille ses visages et ses personnages, qui ont le mérite de se distinguer en terme de look et de personnalités de ce qu'on a déjà lu cent fois. Et puis cette couv' texturée.... Miam. bref si vous ne connaissez pas Green class, lancez vous. En dehors d'un tome 2 qui va vous laissé un peu dubitatif niveau scénario, la suite confirmera que c'est du tout bon, et finie en 5 tomes. bravo. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/green-class-tome-5-dernier-sacrifice/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Commençons à parler de ce dernier tome de green class en saluant le job de l'éditeur : 72 pages de super qualité, une série un peu jeunesse mais moderne et intéressante pour adultes terminée en 5 tomes, des couv sublimes à la vue et au touché, et un dessin hyper dynamique, le tout pour moins de 15€, bah je dis chapeau bas. Le scénario est toujours aussi original, même si là forcément on est sur sa conclusion et que les nouveautés sont forcément moins marquantes. Je suis toujours stupéfait par le chemin pris par cette bd après un premier tome original mais classique dans son déroulement, et le coup de pelle dans la gueule du lecteur avec les sauts narratifs du second tome qui m'ont bien perdu à l'époque. Aujourd'hui encore, il faut que je relise une nouvelle fois l'ensemble pour mieux saisir les pièces du puzzle qui s'est dessiné dans les deux derniers tomes. Rayon critique je note juste l'évolution très très (trop?) rapide de nos héros en pro de la survie là où des escouades de forces spéciales se font décimer comme des idiots. C'est un peu facile, m'enfin, je pinaille. Côté dessin, si les fonds des cases sont souvent un peu trop nues pour que l'on s'extasie dessus, du côté du mouvement, de la mise en scène et du dynamisme du bazar, on touche à ce qui se fait de mieux dans le genre, reprenant donc au passage quelques codes du manga et comics qui amènent beaucoup de fluidité à l'ensemble. David Tako gère aussi à merveille ses visages et ses personnages, qui ont le mérite de se distinguer en terme de look et de personnalités de ce qu'on a déjà lu cent fois. Et puis cette couv' texturée.... Miam. bref si vous ne connaissez pas Green class, lancez vous. En dehors d'un tome 2 qui va vous laissé un peu dubitatif niveau scénario, la suite confirmera que c'est du tout bon, et finie en 5 tomes. bravo.
  5. Titre de l'album : Rebuild the world tome 9 Scenariste de l'album : Nahuse Dessinateur de l'album : Kirihito Ayamura Coloriste : Editeur de l'album : Vega-Dupuis Note : Résumé de l'album : Le combat d'Akira lui a permis de passer à un stade supérieur, mais il a aussi laissé des traces dans la psyché de notre héros. Traumatisé par la terrifiante tueuse, il cauchemarde la nuit et revoit son affrontement encore et toujours. Même s'il a vaincu son adversaire, cela le pousse à s'entraîner encore plus durement et il s'interroge sur l'utilité de rejoindre un groupe parmi les chasseuses qu'il connaît. Mais ce jusqu'auboutisme est en train d'influencer son caractère et lors de ses combats suivants, il se laisse gagner par un mode Berserker de plus en plus violent. Critique : Retour à la base de notre manga après un arc de combat contre les pilleurs : on repart dans de l'exploration de ruine et la gestion des "trésors" qui s'y trouvent. Akira trouve une ruine inexploitée et notre manga se concentre donc sur cette découverte, mais aussi l'apprentissage du commerce et de la gestion de ce trésor. En effet si akira veut garder les gains des trouvailles pour lui, il faut qu'il manie avec doigté les informations qu'il distille. Ce tome est un tome plus posé où l'on s'amuse des découvertes des "artefacts" (genre sous-vêtements) et leurs raretés. Un tome qui permet aussi à Akira de commencé à se passer de son IA et de réfléchir un peu par lui-même. Bref un tome de transition intéressant. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/rebuild-the-world-tome-9?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. poseidon2

    Rebuild the world tome 9

    Retour à la base de notre manga après un arc de combat contre les pilleurs : on repart dans de l'exploration de ruine et la gestion des "trésors" qui s'y trouvent. Akira trouve une ruine inexploitée et notre manga se concentre donc sur cette découverte, mais aussi l'apprentissage du commerce et de la gestion de ce trésor. En effet si akira veut garder les gains des trouvailles pour lui, il faut qu'il manie avec doigté les informations qu'il distille. Ce tome est un tome plus posé où l'on s'amuse des découvertes des "artefacts" (genre sous-vêtements) et leurs raretés. Un tome qui permet aussi à Akira de commencé à se passer de son IA et de réfléchir un peu par lui-même. Bref un tome de transition intéressant.
  7. The_PoP

    Kali

    Titre de l'album : Kali Scenariste de l'album : Daniel Freedman Dessinateur de l'album : Robert Sammelin Coloriste : Robert Sammelin Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : Le nouveau nom de la furie Poignardée dans le dos, empoisonnée et laissée pour morte par son propre gang, Kali se lance dans une vengeance sans retour à travers un désert ravagé par la guerre. La mort imminente coulant dans ses veines et une armée fasciste à ses trousses, Kali ne reculera devant rien pour se faire justice, même si cela doit être la dernière chose qu'elle fera jamais. Daniel Freedman (Raiders) et Robert Sammelin, artiste pour Mondo et le studio de jeux vidéo DICE, nous offrent un roman graphique original et un spectacle d'action existentielle non-stop, parfait pour les fans de Mad Max : Fury Road. Critique : Bon timing pour HiGraphics, anciennement Hicomics, de sortit ce Kali alors que Furiosa vient de débouler sur nos écrans. Si tout le monde fait ce raccourci en parlant de Kali c'est que le cocktail explosif concocté par les deux auteurs Daniel Freedman au scénario et Roger Sammelin au dessin a les mêmes ingrédients : de l'action quasi non stop, une intrigue simple mais parlante, un monde post apocalyptique ou la loi du plus fort règne, une héroïne badass. Ils ont d'ailleurs le bon goût d'amener un peu de nuances et de doutes sur notre "héroïne" en fin d'album ce qui n'a pas manqué de me plaire. Côté dessin, on est presque au cinéma avec un découpage des planches, des plans et des scène d'action assez jouissif et fluides. Le jeu des couleurs aide à la mise en scène, et on se rapproche parfois sur certaines planches d'un Kill Bill cinématographique de ce point de vue là. Une réussite. Par contre pour les amateurs de grands décors, ce n'est pas la bonne pioche, il y en a peu, au profit des personnages et de l'action. On ne peut pas tout avoir. Attention l'édition est belle, mais en fin d'album il y a le making of, ce qui fait un peu moins de pages pour l'histoire principale que ce que l'on pourrait penser. Et ça passe très vite. Autres infos : Lettrage : Thu Van NGUYEN Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/kali?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. The_PoP

    Kali

    Bon timing pour HiGraphics, anciennement Hicomics, de sortit ce Kali alors que Furiosa vient de débouler sur nos écrans. Si tout le monde fait ce raccourci en parlant de Kali c'est que le cocktail explosif concocté par les deux auteurs Daniel Freedman au scénario et Roger Sammelin au dessin a les mêmes ingrédients : de l'action quasi non stop, une intrigue simple mais parlante, un monde post apocalyptique ou la loi du plus fort règne, une héroïne badass. Ils ont d'ailleurs le bon goût d'amener un peu de nuances et de doutes sur notre "héroïne" en fin d'album ce qui n'a pas manqué de me plaire. Côté dessin, on est presque au cinéma avec un découpage des planches, des plans et des scène d'action assez jouissif et fluides. Le jeu des couleurs aide à la mise en scène, et on se rapproche parfois sur certaines planches d'un Kill Bill cinématographique de ce point de vue là. Une réussite. Par contre pour les amateurs de grands décors, ce n'est pas la bonne pioche, il y en a peu, au profit des personnages et de l'action. On ne peut pas tout avoir. Attention l'édition est belle, mais en fin d'album il y a le making of, ce qui fait un peu moins de pages pour l'histoire principale que ce que l'on pourrait penser. Et ça passe très vite.
  9. Titre de l'album : Phenomena tome 1 Scenariste de l'album : Brian Michael Bendis Dessinateur de l'album : André Araújo Coloriste : Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Boldon, jeune garçon en soif d'aventure, débarque dans la grande ville, le rêve ! Toutes ces nouvelles odeurs, ces nouvelles saveurs, tant de créatures à rencontrer ! La découverte de son nouvel environnement est rapidement interrompue lorsqu'il croise le chemin de Spike, fier combattant du peuple Cyper, et de Matilde, jeune voleuse dont les pas la mèneront à la mystérieuse Cité des Yeux d'Or, un lieu à l'origine du Phénomène qui toucha la Terre il y a quelques années... Contenu vo : Phenomena vol. 1 : The Golden City of Eyes Critique : Le retour de Bendis chez DC et dans le comics indépendant avec une série ambitieuse et ... fichtrement compliquée. Porté par un dessin de haute volée avec un noir et blanc bien travaillé, ce nouvel un univers très super dense, très innovant et suffisamment compliqué pour que l'on ne comprenne quasiment rien avant le milieu du tome, donc après 75 pages. Une histoire qui devient vraiment intéressante si on a réussi à passer le milieu. En effet, on se met, dans la dernière partie, à approfondir l'univers et le background sur ce qu'il a bien pu se passer pour en arriver là. Un univers qui mérite de s'y pencher, de faire l'effort de passer la première partie un peu trop dense. À noter que le graphisme noir et blanc convient très bien au récit et le format souple n'est pas vraiment dérangeant car permet une lecture aisé et permet de baisser le coup de ce genre d'album. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/phenomena-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. poseidon2

    Phenomena tome 1

    Le retour de Bendis chez DC et dans le comics indépendant avec une série ambitieuse et ... fichtrement compliquée. Porté par un dessin de haute volée avec un noir et blanc bien travaillé, ce nouvel un univers très super dense, très innovant et suffisamment compliqué pour que l'on ne comprenne quasiment rien avant le milieu du tome, donc après 75 pages. Une histoire qui devient vraiment intéressante si on a réussi à passer le milieu. En effet, on se met, dans la dernière partie, à approfondir l'univers et le background sur ce qu'il a bien pu se passer pour en arriver là. Un univers qui mérite de s'y pencher, de faire l'effort de passer la première partie un peu trop dense. À noter que le graphisme noir et blanc convient très bien au récit et le format souple n'est pas vraiment dérangeant car permet une lecture aisé et permet de baisser le coup de ce genre d'album.
  11. Titre de l'album : Once upon a time at the end of the world tome 1 Scenariste de l'album : Jason Aaron Dessinateur de l'album : Nick Dragotta | Alex Tefenkgi Coloriste : Nick Dragotta | Alex Tefenkgi Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Voilà des jours que Mezzy navigue sur sa barque de fortune, traversant des continents de plastique fondu, évitant des abysses infernaux et des geysers de feu noir. Elle n'a pas croisé âme qui vive depuis des lunes, et ses vivres sont à présent épuisés. Elle n'a maintenant d'autre choix que d'errer dans une jungle urbaine hostile où elle espère trouver de quoi se nourrir. Mais une rencontre inattendue va tout changer. Le jeune Maceo, avec lequel elle n'a rien en commun, entre soudain dans sa vie. Vaut-il mieux parcourir une planète ravagée seule, ou accompagnée ? Critique : Nouvelle série de Jason Aaron qui avait quitté le monde du comics indépendant depuis Sea of Stars si je ne m'abuse. Le genre d'album que tout fan de l'auteur attendant avec impatience. Encore plus quand on imagine la fin du monde qu'il pourrait nous livrer. Et bien j'avoue être mi-figue mi-raisin sur ce premier tome. Le scenario de Aaron est plutôt sympa, même si très orienté ado/jeunes adultes, avec un road trip entre deux personnages dont on sait dès le début qu'ils tomberont amoureux (un gars une fille...) et des poursuivants assez mystérieux. S'il est un peu trop classique dans la partie "présent", Aaron titille notre curiosité avec des planches de notre héros "dans le futur" avec un futur radicalement différent de tout ce que l'on pourrait imaginer arriver à nos deux héros. Des excellents hameçons pour nous laisser imaginer un scenario plus complexe qu'il n'y parait. Coté dessin le trait de Tefenkgi est globalement bien adapté à la partie "ado de l'histoire" mais pas vraiment à la partie plus "hard" dans le futur ou elle est un peu trop brouillonne. En bref un premier intriguant, mais surtout sauvé par l'habileté de Aaron à nous laisser envisager le futur de l'album Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/once-upon-a-time-at-the-end-of-the-world-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Nouvelle série de Jason Aaron qui avait quitté le monde du comics indépendant depuis Sea of Stars si je ne m'abuse. Le genre d'album que tout fan de l'auteur attendant avec impatience. Encore plus quand on imagine la fin du monde qu'il pourrait nous livrer. Et bien j'avoue être mi-figue mi-raisin sur ce premier tome. Le scenario de Aaron est plutôt sympa, même si très orienté ado/jeunes adultes, avec un road trip entre deux personnages dont on sait dès le début qu'ils tomberont amoureux (un gars une fille...) et des poursuivants assez mystérieux. S'il est un peu trop classique dans la partie "présent", Aaron titille notre curiosité avec des planches de notre héros "dans le futur" avec un futur radicalement différent de tout ce que l'on pourrait imaginer arriver à nos deux héros. Des excellents hameçons pour nous laisser imaginer un scenario plus complexe qu'il n'y parait. Coté dessin le trait de Tefenkgi est globalement bien adapté à la partie "ado de l'histoire" mais pas vraiment à la partie plus "hard" dans le futur ou elle est un peu trop brouillonne. En bref un premier intriguant, mais surtout sauvé par l'habileté de Aaron à nous laisser envisager le futur de l'album
  13. Titre de l'album : Solo - Tome 6 - La fin d'un cercle infini Scenariste de l'album : Oscar Martin Dessinateur de l'album : Oscar Martin Coloriste : Oscar Martin Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Les humains ont décidé de frapper fort. Sans relâche, soldats et mercenaires attaquent et déciment les factions herbivores les plus proches. Alors que le conflit entre espèces se répand, Legatus et son peuple n'ont plus d'autre choix que de prendre position. Vont-ils rejoindre la bataille finale ? Ce tome 6 est une nouvelle preuve du talent de conteur et de dessinateur hors pair d'Oscar Martin. Critique : Parlons peu parlons bien, ce tome 6 vient boucler le second cycle "Legatus" de Solo. Et il le fait de manière admirable. Grandes épopées, énormes batailles, fond philosophique, on a tout dedans. En plus le tome est plus que touffu, et l'ensemble qualité / prix / temps de lecture est assez incroyable. En gros vous allez vous régaler, les dessins d'Osacr Martin sont toujours aussi emballants, et les doubles pages de batailles vont en ravir plus d'un. Seul bémol ? On a déjà lu un truc un chouïa encore meilleur. Dans le premier cycle de Solo. Parce que les enjeux de famille et d'attachements, de sentiments me manquent un peu dans ce cycle, aux enjeux pourtant peut être plus épiques et importants, mais qui ont suscité moins d'émotions que le premier cycle de Solo. Bref, une déception d'enfant gâté, courrez l'acheter cette conclusion est épique, assez logique et terrible et ouvre encore de nouveaux horizons. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/solo-tome-6/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. The_PoP

    Inexistences

    Titre de l'album : Inexistences Scenariste de l'album : Christophe Bec Dessinateur de l'album : Christophe Bec Coloriste : Sebastien Gerard Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Dans les montagnes perdues, tout n'est que désolation. Les survivants errent dans un paysage désolé où ne subsistent que des ruines prises dans les glaces. De grands cataclysmes ont soumis la planète à d'interminables hivers. Il existerait pourtant un sanctuaire où vivrait un enfant bleu, qui aurait conservé la mémoire des temps anciens. Une légende que va tenter de vérifier le sniper nommé Sol. Critique : Ouf, celle là je l'avais pas vue venir. La préface de Bec explique bien que cet Inexistence est son Oeuvre. Celle qu'il voulait faire depuis longtemps, celle qu'il a mis 5 ans à peaufiner, avec à l'esprit ce qu'on pu apporter Enki Bilal, Moebius ou Druillet à la bd. Bon forcément avec cette ambition là, ce temps là, et le talent que l'on ne peut que reconnaitre à Christophe Bec, on sait que l'on va avoir quelque chose de remarquable entre les mains. C'est le cas, pas de doutes, Inexistences va marquer. Par contre attention, je le dis rapidement pour lever le doute, il ne faut pas s'attendre à lire de la bd classique. Non pas à cause des mélanges de narrations, du passage de la prose à la bd, ou à l'illustration pure et simple, non. Mais plutôt car Christophe Bec ne va pas vraiment s'attacher à nous livrer une histoire, ou des personnages. Il nous livre plutôt ses craintes ou sa vision d'un monde futur désastreux pour l'humanité. Son final est d'ailleurs plus philosophique qu'autre chose, et nous pose une question qui me semble essentielle. Il voulait marquer de son empreinte la bd, je ne sais pas dire si c'est fait car son oeuvre est à la fois plus que de la bd, tout en n'en perdant quelques qualités au passage. Si l'univers graphique et les doubles planches et autres plans extra larges, mis en avant par une édition remarquable, sont époustouflants et portent la marque d'un grand maître, j'ai pour ma part trouvé dommage que Christophe Bec n'en profite pas pour nous raconter une sacrée histoire. Comme s'il avait fallut quelque part s'extirper de son côté populaire et romanesque pour pouvoir rentrer dans l'histoire de l'art. Dommage donc tant il nous a déjà prouvé ses talents de narrateur hors pair. Mais ne vous y trompez pas, si je fais un peu la fine bouche c'est pour vous avertir, pour vous éviter une éventuelle déception sur la nature de ce livre, qui tient plus du roman graphique finalement que de la bd franco belge. Ceci étant dit, foncez, ouvrez le en librairies, laissez vous emporter, allez découvrir ce joyau. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/inexistences?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. The_PoP

    Inexistences

    Ouf, celle là je l'avais pas vue venir. La préface de Bec explique bien que cet Inexistence est son Oeuvre. Celle qu'il voulait faire depuis longtemps, celle qu'il a mis 5 ans à peaufiner, avec à l'esprit ce qu'on pu apporter Enki Bilal, Moebius ou Druillet à la bd. Bon forcément avec cette ambition là, ce temps là, et le talent que l'on ne peut que reconnaitre à Christophe Bec, on sait que l'on va avoir quelque chose de remarquable entre les mains. C'est le cas, pas de doutes, Inexistences va marquer. Par contre attention, je le dis rapidement pour lever le doute, il ne faut pas s'attendre à lire de la bd classique. Non pas à cause des mélanges de narrations, du passage de la prose à la bd, ou à l'illustration pure et simple, non. Mais plutôt car Christophe Bec ne va pas vraiment s'attacher à nous livrer une histoire, ou des personnages. Il nous livre plutôt ses craintes ou sa vision d'un monde futur désastreux pour l'humanité. Son final est d'ailleurs plus philosophique qu'autre chose, et nous pose une question qui me semble essentielle. Il voulait marquer de son empreinte la bd, je ne sais pas dire si c'est fait car son oeuvre est à la fois plus que de la bd, tout en n'en perdant quelques qualités au passage. Si l'univers graphique et les doubles planches et autres plans extra larges, mis en avant par une édition remarquable, sont époustouflants et portent la marque d'un grand maître, j'ai pour ma part trouvé dommage que Christophe Bec n'en profite pas pour nous raconter une sacrée histoire. Comme s'il avait fallut quelque part s'extirper de son côté populaire et romanesque pour pouvoir rentrer dans l'histoire de l'art. Dommage donc tant il nous a déjà prouvé ses talents de narrateur hors pair. Mais ne vous y trompez pas, si je fais un peu la fine bouche c'est pour vous avertir, pour vous éviter une éventuelle déception sur la nature de ce livre, qui tient plus du roman graphique finalement que de la bd franco belge. Ceci étant dit, foncez, ouvrez le en librairies, laissez vous emporter, allez découvrir ce joyau.
  16. Parlons peu parlons bien, ce tome 6 vient boucler le second cycle "Legatus" de Solo. Et il le fait de manière admirable. Grandes épopées, énormes batailles, fond philosophique, on a tout dedans. En plus le tome est plus que touffu, et l'ensemble qualité / prix / temps de lecture est assez incroyable. En gros vous allez vous régaler, les dessins d'Osacr Martin sont toujours aussi emballants, et les doubles pages de batailles vont en ravir plus d'un. Seul bémol ? On a déjà lu un truc un chouïa encore meilleur. Dans le premier cycle de Solo. Parce que les enjeux de famille et d'attachements, de sentiments me manquent un peu dans ce cycle, aux enjeux pourtant peut être plus épiques et importants, mais qui ont suscité moins d'émotions que le premier cycle de Solo. Bref, une déception d'enfant gâté, courrez l'acheter cette conclusion est épique, assez logique et terrible et ouvre encore de nouveaux horizons.
  17. The_PoP

    Rain

    Qu'est ce que j'aime le travail éditorial sur le comics indépendant de Hi Comics. Certes quand il s'agit d'une partie du travail de Joe Hill on ne prends pas de gros risques d'un point de vue qualitatifs, mais quand même. Ce Rain en est le parfait exemple. Graphiquement c'est très particulier pour un public européens, on est vraiment sur du comics indé et pour être honnête il m'a fallut un petit temps d'adaptation avant de vraiment en apprécier le style et la finesse. Au niveau de l'histoire cela démarre sur les chapeaux de roue, et si la conclusion parait un peu facile, elle n'en reste pas moins assez bien menée vu l'ambition et le côté one shot/nouvelle. L'auteur nous livre à travers son histoire presque post apo sa vision de l'Amérique actuelle, avec ses craintes et ses moqueries. Cela a déjà été fait certes, mais l'exercice, parfois jouissif, n'en reste pas moins intéressant quand l'auteur s'appelle Joe Hill. Je ne peux que vous encourager à découvrir Rain, surtout si vous arrivez à vous adapter au style graphique très Comics.
  18. The_PoP

    Rain

    Titre de l'album : Rain Scenariste de l'album : Jo Hill & David M. Booher Dessinateur de l'album : Zoé Thorogood Coloriste : Chris O'Halloran Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : À Boulder dans le Colorado, le ciel est dégagé et Honeysuckle Speck ne pourrait pas être plus heureuse. En cette journée d'aout ensoleillée, elle emménage enfin avec sa petite amie Yolanda. Mais quand le rêve tourne au cauchemar et que des nuages sombres s'accumulent libérant une pluie de clous qui déchiquettent la peau de ceux qui ne sont pas protégés, leur monde vole littéralement en éclat.RAIN donne de la vie à la progression de cet événement apocalyptique, alors que le déluge de clous se répand à travers le pays et le monde, menaçant tout ce que les jeunes amoureuses Honeysuckle et Yolanda chérissent.L'adaptation captivante de la novella de Joe Hill, acclamée par la critique et best-seller du New York Times, par le scénariste David M. Booher (Canto), la dessinatrice Zoe Thorogood (The Impending Blindness of Billie Scott), et le coloriste Chris O'Halloran (Ha-Ha). Critique : Qu'est ce que j'aime le travail éditorial sur le comics indépendant de Hi Comics. Certes quand il s'agit d'une partie du travail de Joe Hill on ne prends pas de gros risques d'un point de vue qualitatifs, mais quand même. Ce Rain en est le parfait exemple. Graphiquement c'est très particulier pour un public européens, on est vraiment sur du comics indé et pour être honnête il m'a fallut un petit temps d'adaptation avant de vraiment en apprécier le style et la finesse. Au niveau de l'histoire cela démarre sur les chapeaux de roue, et si la conclusion parait un peu facile, elle n'en reste pas moins assez bien menée vu l'ambition et le côté one shot/nouvelle. L'auteur nous livre à travers son histoire presque post apo sa vision de l'Amérique actuelle, avec ses craintes et ses moqueries. Cela a déjà été fait certes, mais l'exercice, parfois jouissif, n'en reste pas moins intéressant quand l'auteur s'appelle Joe Hill. Je ne peux que vous encourager à découvrir Rain, surtout si vous arrivez à vous adapter au style graphique très Comics. Autres infos : D'après la novella de Joe Hill Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/rain?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Titre de l'album : Happy End - Tome 2 - L'enfer c'est les autres Scenariste de l'album : Olivier Jouvray Dessinateur de l'album : Benjamin Jurdic Coloriste : Juliette Laude Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Au terme de leur périple dans une France en proie à l'abrupte fin du pétrole, Mollie, Oscar et leurs proches organisent leur survie, tous ensemble. Mais planter les graines du monde de demain ne suffit malheureusement pas à faire disparaître les rancoeurs d'hier. Les villageois du cru n'ont jamais aimé la noble famille d'Oscar, et c'est réciproque. Et comme personne ne se parle, Mollie aura fort à faire pour éviter que ce retour à la terre ne devienne un mauvais remake de la Révolution française... Critique : Après un tome 1 qaui avait marqué les esprit en prenant le pari de nous montrer un effondrement de notre société plutôt doux et tourné vers le positif, le tome 2 nous prend cette fois-ci à rebrousse poil. Les vieilles habitudes ressortent, et l'homme redevient un loup pour l'homme. La sagesse des jeunes et des plus tranquilles va être mise à rude épreuve. Avec un style graphique toujours un peu débonnaire, et collant bien à l'ambiance peu dramatique de Happy End, les auteurs parviennent à aborder la question des conflits nés de la peur engendrés par cette situation inédite et imprévue. Quand l'homme s'inquiète pour sa survie, les différences entre les hommes deviennent vite plus critique. Ce tome 2 va donc parcourir cette perspective, laissant je l'espère le champ un peu plus libre aux idées constructives entrevues dans le tome 1. Ceci dit, le cliffhanger final peut aussi nous orienter dans une toute autre direction, alors attendons sagement le tome 3 de cette série toujours aussi intéressante à suivre. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/happy-end-tome-2-l-enfer-c-est-les-autres?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Après un tome 1 qaui avait marqué les esprit en prenant le pari de nous montrer un effondrement de notre société plutôt doux et tourné vers le positif, le tome 2 nous prend cette fois-ci à rebrousse poil. Les vieilles habitudes ressortent, et l'homme redevient un loup pour l'homme. La sagesse des jeunes et des plus tranquilles va être mise à rude épreuve. Avec un style graphique toujours un peu débonnaire, et collant bien à l'ambiance peu dramatique de Happy End, les auteurs parviennent à aborder la question des conflits nés de la peur engendrés par cette situation inédite et imprévue. Quand l'homme s'inquiète pour sa survie, les différences entre les hommes deviennent vite plus critique. Ce tome 2 va donc parcourir cette perspective, laissant je l'espère le champ un peu plus libre aux idées constructives entrevues dans le tome 1. Ceci dit, le cliffhanger final peut aussi nous orienter dans une toute autre direction, alors attendons sagement le tome 3 de cette série toujours aussi intéressante à suivre.
  21. Titre de l'album : The Frontier - Tome 1 Scenariste de l'album : Jacopo Paliagra Dessinateur de l'album : Alessio Fioriniello Coloriste : Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Ouest Américain, 1870. Sauvés de la potence par un étrange homme en blanc, cinq criminels aux pouvoirs surnaturels ont accepté de rejoindre la Frontière. Cette organisation a été créée dans un seul but : stopper la Tempête, un amas de nuages noirs et d'éclairs dont s'échappent des gémissements inhumains et qui sème la mort partout où il passe. Nos cinq salopards sont envoyés dans la ville de Caldwell avec une mission : sacrifier les habitants pour accomplir un rituel de sang et arrêter le cataclysme. Mais nos « héros » sont-ils prêts à sacrifier le peu d'humanité qu'il leur reste ? Critique : Oui vous avez bien lu, aujourd'hui je vais vous parler d'un manga, paru aux éditions du Lombard, à l'européenne donc ! Bon le pitch était plus qu'alléchant. Je ne sais pas vous mais il y avait pour moi un parfum de La tour sombre qui flottait agréablement sur ce The Frontier. Et pourtant j'ai été un peu désappointé. Attention ce n'est pas mauvais loin de là, mais j'ai trouvé le rythme un peu délicat à suivre, surtout au niveau des révélations et de l'avancement de l'histoire. Côté dessin, reconnaissons tout d'abord que je ne suis pas un grand habitué des mangas, mais j'ai quand même trouvé que le format était un peu bancal avec le dessin et que cela nuisait globalement à la lisibilité de l'action. Reste que si je parais dur comme ça, il faut bien préciser que The Frontier reste pour autant une lecture assez agréable, on sent clairement le potentiel derrière, certains dessins sont vraiment sympas, et les personnages ont été travaillés. Quand à l'ambition de l'éditeur de nous proposer un manga à l'européenne, je dis oui ! Il faut oser et essayer ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-frontier-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. The_PoP

    The Frontier - Tome 1

    Oui vous avez bien lu, aujourd'hui je vais vous parler d'un manga, paru aux éditions du Lombard, à l'européenne donc ! Bon le pitch était plus qu'alléchant. Je ne sais pas vous mais il y avait pour moi un parfum de La tour sombre qui flottait agréablement sur ce The Frontier. Et pourtant j'ai été un peu désappointé. Attention ce n'est pas mauvais loin de là, mais j'ai trouvé le rythme un peu délicat à suivre, surtout au niveau des révélations et de l'avancement de l'histoire. Côté dessin, reconnaissons tout d'abord que je ne suis pas un grand habitué des mangas, mais j'ai quand même trouvé que le format était un peu bancal avec le dessin et que cela nuisait globalement à la lisibilité de l'action. Reste que si je parais dur comme ça, il faut bien préciser que The Frontier reste pour autant une lecture assez agréable, on sent clairement le potentiel derrière, certains dessins sont vraiment sympas, et les personnages ont été travaillés. Quand à l'ambition de l'éditeur de nous proposer un manga à l'européenne, je dis oui ! Il faut oser et essayer !
  23. Titre de l'album : Elecboy t2 : révélations Scenariste de l'album : Jaouen Salaun Dessinateur de l'album : Jaouen Salaun Coloriste : Jaouen Salaun Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : 2122, quelque part en Amérique du Nord. Le monde d'avant n'est plus qu'un lointain souvenir. Les derniers vestiges de la civilisation, recouverts par le sable, se sont presque effacés pour laisser place au désert. Dans ce décor de fin du monde, un homme marche, accompagné par un géant. Puis il rejoint une communauté et demande à parler à son chef. Il lui annonce une prophétie : un jour, un homme sans visage viendra. Lui seul pourra mettre un terme à la souffrance humaine. Cette communauté, c'est celle du jeune Joshua. En conflit avec son père, en butte aux morsures de l'amour et à l'emprise de la violence, il tente de trouver sa place. Il s'interroge sur ses origines et sur les étranges pouvoirs qu'il détient. Pour lui, l'heure de la révélation est imminente... Dans ce deuxième volet d'une fresque de science-fiction en quatre tomes, Jaouen Salaün nous plonge au coeur d'un univers fascinant, entre rêve et cauchemar, entre Mad Max et Akira. Une fresque servie par un trait enchanteur, une imagination onirique et des couleurs éblouissantes. Critique : Voilà le deuxième tome tant attendu d'Elecboy. Attendu car le premier avait été une des belles surprises de l'année dernière avec un dessin superbe et surtout une histoire envoutante mais très mystérieuse. La fin du tome un nous laissait dans l'expectative avec une ouverture pleine de promesse. Et bien autant vous dire que ce tome 2 tient toutes ses promesses. En effet Jaouen Salaun réussit à continuer à nous expliquer les "spécificités" de Joshua sans pour autant trahir le côté "post apocalyptique", clan et vie en communauté qui rendait si bien dans le premier tome. Les différents personnages prennent en épaisseur au fur et à mesure que l'on découvre leur passé et notre histoire se révèle petit à petit. Bref une histoire toujours aussi bien gérée et qui prend le temps qu'il faut pour faire les choses bien. Partie comme ça on est bien partie pour au moins 4 tomes (je parierais sur 6) mais on ne va pas s'en plaindre, loin de là. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/elecboy-tome-2-revelations?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. poseidon2

    Elecboy t2 : révélations

    Voilà le deuxième tome tant attendu d'Elecboy. Attendu car le premier avait été une des belles surprises de l'année dernière avec un dessin superbe et surtout une histoire envoutante mais très mystérieuse. La fin du tome un nous laissait dans l'expectative avec une ouverture pleine de promesse. Et bien autant vous dire que ce tome 2 tient toutes ses promesses. En effet Jaouen Salaun réussit à continuer à nous expliquer les "spécificités" de Joshua sans pour autant trahir le côté "post apocalyptique", clan et vie en communauté qui rendait si bien dans le premier tome. Les différents personnages prennent en épaisseur au fur et à mesure que l'on découvre leur passé et notre histoire se révèle petit à petit. Bref une histoire toujours aussi bien gérée et qui prend le temps qu'il faut pour faire les choses bien. Partie comme ça on est bien partie pour au moins 4 tomes (je parierais sur 6) mais on ne va pas s'en plaindre, loin de là.
  25. Titre de l'album : Le convoyeur - Tome 3 - Ces ténèbres qui nous lient Scenariste de l'album : Tristan Roulot Dessinateur de l'album : Dimitri Armand Coloriste : Dimitri Armand Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : La "Rouille" a peut-être fait disparaître toute trace de fer, mais pas celui qui caractérise la volonté de Minerva. Scientifique devenue sorcière aux yeux du monde, elle a juré de retrouver l'homme qu'elle aime. L'homme qui l'aima avant de répondre à l'appel et devenir le Convoyeur. Ou plutôt... un Convoyeur ! Minerva s'est adjoint les services du Renifleur pour mener à bien sa mission. Mais une femme seule peut-elle faire face à l'inexorable destin de l'humanité, cette multitude au visage unique qu'est le Convoyeur ? Critique : Et voilà il fallait s'y attendre. Le premier tome de la série du convoyeur à laquelle je ne mets pas 5 étoiles... mais seulement 4.5... Pourtant le dessin de Dimitri Armand est toujours aussi bon, et l'histoire concoctée par Tristan Roulot avance bien et nous déroule révélations et actions sur un rythme soutenu. Simplement, il est un cran légèrement dessous par rapport aux deux premiers tomes exceptionnels qui nous avaient immergés dans un monde complètement imaginaire et original avec une action omni présente et savoureuse et des révélations plus qu'ahurissantes. Le second tome notamment nous avait gratifié d'un effet table renversée époustouflant, même pour nous, lecteurs blasés ayant l'habitude de lire des bd de post apo. Bref, ce Convoyeur reste une série de très grande qualité, servis par des dessins dynamiques et puissants. Un tome 3 se retrouvant légèrement en dessous en terme de densité de narration ne me refroidit pas vraiment puisque c'est finalement plutôt un gage de qualité quand à la trame et à la cohérence de l'histoire finale. Merci messieurs, on a toujours hâte de lire la suite. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-convoyeur-tome-3-ces-tenebres-qui-nous-lient?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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