Rechercher dans la communauté
Affichage des résultats pour les étiquettes 'prison'.
8 résultats trouvés
-
Bon il faut le dire d'emblée pour évacuer le sujet : oui il y a bien deux dessinateurs différents sur ce tome : Mirko Colak sur les 33 premières pages puis Diego Bonesso sur la fin. Mais la transition entre les deux est bien faite, et si l'on remarque bien quelques différences, elles ne sont pas gênantes et pas forcément visible au premier lecteur. Pas de soucis de ce côté là donc. Survival c'est la nouvelle série de one shot sans lien les uns avec les autres, basé sur le principe de survie en milieu hostile et scénarisés par Christophe Bec. Si le premier nous avait emmené en forêt puis en haute montagne, celui-ci nous emmènera dans les bas fonds d'une prison brésilienne. Soyons factuels, ces deux premiers épisodes tournent vite au jeu de massacre, celui-ci venant dans la droite ligne du précédent comme on peut s'y attendre en prison. La bd n'est clairement pas à mettre entre toutes les mains, la violence y étant sur représentée, gore à souhait, et parfois franchement un brin dérangeante. Ceci étant dit, c'est en partie lié au sujet donc ce n'est pas hors de propos. Si le scénario de Christophe Bec était un peu linéaire et simpliste sur le premier tome malgré un joli twist final, ce tome-ci est plus complexe, et pour tout dire plus intéressant. Seul bémol, et c'est mon dada du moment, en 64 pages, Christophe Bec se débrouille pour laisser d'immenses zones d'ombres et certains personnages très très très obscurs. Alors si j'aime bien quand le scénariste ne nous pose pas tout tout cuit sous les yeux, là c'est un péché de gourmandise, cela n'apporte rien, et quand il faut aller lire le résumé au dos pour en apprendre plus sur l'un des personnages principaux, cela fait quand même bizarre... Les dessins ne sont pas ce qui se fait de mieux en bd, mais ils rendent à merveille la brutalité et la sauvagerie de cet univers carcéral. Ce tome 2 réhausse mon intérêt pour cette série de one shot et je ne peux que vous le conseiller si vous n'êtes pas allergiques à l'ultra violence.
-
Titre de l'album : Survival - Aparecida Prison Scenariste de l'album : Christophe Bec Dessinateur de l'album : Mirko Colak puis Diego Bonesso Coloriste : Simon Champelovier Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Bienvenue dans la prison la plus violente du Brésil où sont enfermés les criminels les plus dangereux du pays. Affrontements entre bandes rivales sont le quotidien des matons qui tentent d'y faire régner un semblant de loi. Des membres de la commission humanitaire vont se retrouver piégés et menacés par des émeutiers assoiffés de sa ng, que seul un flic infiltré pourra peut-être contrer... Critique : Bon il faut le dire d'emblée pour évacuer le sujet : oui il y a bien deux dessinateurs différents sur ce tome : Mirko Colak sur les 33 premières pages puis Diego Bonesso sur la fin. Mais la transition entre les deux est bien faite, et si l'on remarque bien quelques différences, elles ne sont pas gênantes et pas forcément visible au premier lecteur. Pas de soucis de ce côté là donc. Survival c'est la nouvelle série de one shot sans lien les uns avec les autres, basé sur le principe de survie en milieu hostile et scénarisés par Christophe Bec. Si le premier nous avait emmené en forêt puis en haute montagne, celui-ci nous emmènera dans les bas fonds d'une prison brésilienne. Soyons factuels, ces deux premiers épisodes tournent vite au jeu de massacre, celui-ci venant dans la droite ligne du précédent comme on peut s'y attendre en prison. La bd n'est clairement pas à mettre entre toutes les mains, la violence y étant sur représentée, gore à souhait, et parfois franchement un brin dérangeante. Ceci étant dit, c'est en partie lié au sujet donc ce n'est pas hors de propos. Si le scénario de Christophe Bec était un peu linéaire et simpliste sur le premier tome malgré un joli twist final, ce tome-ci est plus complexe, et pour tout dire plus intéressant. Seul bémol, et c'est mon dada du moment, en 64 pages, Christophe Bec se débrouille pour laisser d'immenses zones d'ombres et certains personnages très très très obscurs. Alors si j'aime bien quand le scénariste ne nous pose pas tout tout cuit sous les yeux, là c'est un péché de gourmandise, cela n'apporte rien, et quand il faut aller lire le résumé au dos pour en apprendre plus sur l'un des personnages principaux, cela fait quand même bizarre... Les dessins ne sont pas ce qui se fait de mieux en bd, mais ils rendent à merveille la brutalité et la sauvagerie de cet univers carcéral. Ce tome 2 réhausse mon intérêt pour cette série de one shot et je ne peux que vous le conseiller si vous n'êtes pas allergiques à l'ultra violence. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/survival-aparecida-prison/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Arf c'est bien dommage tout ca. C'est bien dommage car les idées étaient là et l'ambiance était pas mal. Surtout dans ces deux tomes où l'on découvre une filière d'évasion mais aussi un moine aux multiples facettes qui rendait ces deux tomes particulièrement innovants. Mais malheureusement le public Japonais ne semble pas avoir accroché car ces deux tomes marquent bien la fin la série et pourtant semble juste nous présenter un univers assez riche. On reste un peu sur sa fin, et ce, encore plus parce que cette première aventure est plutôt bien faite, dynamique et utilisant bien le système de bracelet maintenant en vie en fonction du temps qui passe. C'est donc une fin d'aventure un peu trop brusque à mon gout pour une série qui aurait au moins mérité 3 tomes de plus.
-
Titre de l'album : Danzai lock tome 2 & 3 (fin) Scenariste de l'album : Yasuko Kobayashi Dessinateur de l'album : Masaki Nonoya Coloriste : Editeur de l'album : Doki-Doki Note : Résumé de l'album : Un moine torturé et un bourreau au grand coeur s'allient dans un monde où chacun lutte pour vivre une heure de plus... Takaya a embarqué dans le train à destination de l'extérieur du 6e District afin de gagner les 10 000 années qui lui permettront de retirer son collier de condamné. Mais lorsque le moine Yûshin et le bourreau Kunoji découvrent le mensonge que cache son crime, la vie du jeune homme ne tient plus qu'à un fil...Découvrez un nouveau genre de manga d'action et de sabres, par la scénariste d'animés Yasuko Kobayashi, qui a notamment oeuvré sur L'Attaque des titans, Death Note et JoJo's Bizarre Adventure. Critique : Arf c'est bien dommage tout ca. C'est bien dommage car les idées étaient là et l'ambiance était pas mal. Surtout dans ces deux tomes où l'on découvre une filière d'évasion mais aussi un moine aux multiples facettes qui rendait ces deux tomes particulièrement innovants. Mais malheureusement le public Japonais ne semble pas avoir accroché car ces deux tomes marquent bien la fin la série et pourtant semble juste nous présenter un univers assez riche. On reste un peu sur sa fin, et ce, encore plus parce que cette première aventure est plutôt bien faite, dynamique et utilisant bien le système de bracelet maintenant en vie en fonction du temps qui passe. C'est donc une fin d'aventure un peu trop brusque à mon gout pour une série qui aurait au moins mérité 3 tomes de plus. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/danzai-lock-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Nouvelle série chez Doki-Doki avec une histoire reprenant le principe de l'ile prison. Mais pour dépasser les soucis de surpopulation, nos prisonniers vont sur cette ile pour ... finir leurs jours. En effet, ils ont à leur bras une puce qui leur montre le temps qu'il leur reste à vivre. La ou le scenario de base devient très intéressant, c'est que, assez évidemment, ce temps devient... la monnaie courante d'une ile ou les prisonniers essayent de vivre le plus normalement possible. Contrairement à ce que nous vend la couverture, nous ne sommes donc pas du tout dans une histoire médiévale. Il se trouve juste que notre héros aime s'habiller à l'ancienne tout comme le moine qui arrive sur l'ile.... les autres sont tous habillés normalement 🙂 Ce premier tome est très introductif. On y apprend les us et coutumes en place dans cette ile prison mais aussi les responsabilités et rôle de chacun. De belles promesses, mais qui nécessitent d'être concrétisé dans les prochains tome pou s'emballer tout de suite .
-
- manga
- fantastique
-
(et 3 en plus)
Étiqueté avec :
-
Titre de l'album : Danzai lock tome 1 Scenariste de l'album : Yasuko Kobayashi Dessinateur de l'album : Masaki Nonoya Coloriste : Editeur de l'album : Doki-Doki Note : Résumé de l'album : Un moine torturé et un bourreau au grand coeur s'allient dans un monde où chacun lutte pour vivre une heure de plus... Dans ce monde qui pourrait être le nôtre, toute personne qui cause le décès d'un tiers est automatiquement condamnée à mort. Et cela, qu'il s'agisse d'un meurtre prémédité, d'un homicide involontaire ou de légitime défense. Les coupables se voient attribuer un nombre d'années restant à vivre et sont envoyés dans le 6e district carcéral.Dans cette ville à part entière, tous les moyens sont bons pour gagner quelques minutes supplémentaires de vie...L'arrivée de Yûshin, un intrigant moine censé soulager les âmes, confronté à Kunoji, un mystérieux bourreau veillant sur une adorable petite fille, va bouleverser ce monde où règnent crimes et châtiments ! Critique : Nouvelle série chez Doki-Doki avec une histoire reprenant le principe de l'ile prison. Mais pour dépasser les soucis de surpopulation, nos prisonniers vont sur cette ile pour ... finir leurs jours. En effet, ils ont à leur bras une puce qui leur montre le temps qu'il leur reste à vivre. La ou le scenario de base devient très intéressant, c'est que, assez évidemment, ce temps devient... la monnaie courante d'une ile ou les prisonniers essayent de vivre le plus normalement possible. Contrairement à ce que nous vend la couverture, nous ne sommes donc pas du tout dans une histoire médiévale. Il se trouve juste que notre héros aime s'habiller à l'ancienne tout comme le moine qui arrive sur l'ile.... les autres sont tous habillés normalement 🙂 Ce premier tome est très introductif. On y apprend les us et coutumes en place dans cette ile prison mais aussi les responsabilités et rôle de chacun. De belles promesses, mais qui nécessitent d'être concrétisé dans les prochains tome pou s'emballer tout de suite . Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/danzai-lock-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
- manga
- fantastique
-
(et 3 en plus)
Étiqueté avec :
-
Titre de l'album : Au nom du fils Scenariste de l'album : Pauline Djian, Jean-Blaise Djian Dessinateur de l'album : Sébastien Corbet Coloriste : Sébastien Corbet Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : Paris, de nos jours. Au chômage et divorcé, Stéphane mène une vie solitaire et morose. Un soir comme un autre, il reçoit un appel téléphonique en provenance de la Bolivie : son fils Max, avec qui le lien est rompu depuis des années, serait décédé dans la prison de San Pedro, unique en son genre car autogérée par les détenus. Honteux d'avoir été un père absent, Stéphane décide de « bazarder » sa dérive quotidienne et de partir pour la Paz afin d'élucider les mystères qui entourent la mort de son fils. Sur place, il parvient à se faire incarcérer pour pouvoir mener son enquête, quitte à y laisser sa peau...Dans cette prison qui ressemble bien à l'enfer sur Terre, Stéphane fera tout pour découvrir la vérité, dans l'espoir d'y trouver par la même occasion sa propre rédemption. Critique : Une petite claque cette BD écrite à 4 mains par la famille Djian sur cette rédemption d'un père en fin de carrière , ayant fait les mauvais choix à certains moments de sa vie . Seul et divorcé , sans perspective d'avenir , attendant la retraite , Stéphane vit dans une léthargie complète . Puis un événement inattendu : son fils est mort dans une prison bolivienne ! Face à ce drame et cet échec personnel car il était en froid avec son fils , il vend tous ses biens et part pour la plus haute capitale du monde : La Paz . Comprendre les raisons de sa mort , pourquoi était-il en prison , qui l'a tué etc .... Tant de questions auxquelles il fait face , avec une surplombant les autres : Comment rentrer dans ce lieu si particulier et unique ? L'histoire prend de faux airs de la série Prison break , car il va commettre un crime pour être incarcéré , puis étapes par étapes , une fois à l'intérieur , faire son enquête . Les auteurs abordent le deuil et ses différentes phases , la vengeance , la rédemption , l'amour , ainsi que la relation père/fils . C'est une histoire magnifique et poignante , à tel point qu'une fois la lecture terminée , on est toujours aux côtés de Stéphane . De l'humain , ancré dans le réel d'une prison gérée par les détenus eux mêmes . Imaginez un "monsieur tout le monde" évoluant dans une enceinte sans matons ! L'histoire est magnifiée par le trait réaliste de Sébastien Corbet . Peu de couleurs dans ce monde triste dénué d'espoir ,avec des pastels gris et nuancés . De l'aplat sombre et crayonné dans les coins , comme pour mieux signifier la violence omniprésente . De la belle ouvrage ! On tourne les pages avec avidité en se demandant comment va t'il s'en sortir et parviendra t'il à ses fins ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/au-nom-du-fils-9782810200979/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Une petite claque cette BD écrite à 4 mains par la famille Djian sur cette rédemption d'un père en fin de carrière , ayant fait les mauvais choix à certains moments de sa vie . Seul et divorcé , sans perspective d'avenir , attendant la retraite , Stéphane vit dans une léthargie complète . Puis un événement inattendu : son fils est mort dans une prison bolivienne ! Face à ce drame et cet échec personnel car il était en froid avec son fils , il vend tous ses biens et part pour la plus haute capitale du monde : La Paz . Comprendre les raisons de sa mort , pourquoi était-il en prison , qui l'a tué etc .... Tant de questions auxquelles il fait face , avec une surplombant les autres : Comment rentrer dans ce lieu si particulier et unique ? L'histoire prend de faux airs de la série Prison break , car il va commettre un crime pour être incarcéré , puis étapes par étapes , une fois à l'intérieur , faire son enquête . Les auteurs abordent le deuil et ses différentes phases , la vengeance , la rédemption , l'amour , ainsi que la relation père/fils . C'est une histoire magnifique et poignante , à tel point qu'une fois la lecture terminée , on est toujours aux côtés de Stéphane . De l'humain , ancré dans le réel d'une prison gérée par les détenus eux mêmes . Imaginez un "monsieur tout le monde" évoluant dans une enceinte sans matons ! L'histoire est magnifiée par le trait réaliste de Sébastien Corbet . Peu de couleurs dans ce monde triste dénué d'espoir ,avec des pastels gris et nuancés . De l'aplat sombre et crayonné dans les coins , comme pour mieux signifier la violence omniprésente . De la belle ouvrage ! On tourne les pages avec avidité en se demandant comment va t'il s'en sortir et parviendra t'il à ses fins !