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Titre de l'album : Avatar - Le champ céleste tome 1 Scenariste de l'album : Sherri L. Smith Dessinateur de l'album : Guilherme Balbi Coloriste : Michael Atiyeh, Wes Dzioba Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Cela fait presque une décennie que les humains ont été forcés de quitter Pandora. Mais ils sont de retour avec une armada de vaisseaux lourdement armés ! Après des années de paix, Jake Sully s'est installé avec Neytiri et a fondé une famille. Pour lui, les enjeux sont donc encore plus importants que la dernière fois où il est entré en guerre contre la puissance corporative de la RDA. Critique : Le champ céleste débute une nouvelle trilogie dans l'univers d’Avatar, l'histoire se déroule une dizaine d'années après le premier film et se finira juste avant Avatar 2, La Voie de l'eau. L'histoire se base sur un scénario original de James Cameron qui devait servir d'intrigue pour le deuxième film. Ce premier tome propose de remettre en place le contexte avec les événements qui se sont déroulés après la victoire des na’vis et comment ils ont appris à vivre en paix avec les humains restés sur Pandora. L'histoire est assez basique et manque d’intensité, on participe une fois de plus à comment dompter les banshees. L'auteur a du mal à donner de l'intérêt à son histoire où l'on suit les habitants vivant paisiblement sur Pandora. Les dessins sont classiques pour dépeindre ce monde aux créatures bleues dans des décors fluos. Cette introduction ne captive pas beaucoup avec une lecture très plate, en espérant que la suite apporte plus de matière aux auteurs pour redonner de l'intérêt à l'univers étendu. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/avatar-le-champ-celeste-tome-1/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Le champ céleste débute une nouvelle trilogie dans l'univers d’Avatar, l'histoire se déroule une dizaine d'années après le premier film et se finira juste avant Avatar 2, La Voie de l'eau. L'histoire se base sur un scénario original de James Cameron qui devait servir d'intrigue pour le deuxième film. Ce premier tome propose de remettre en place le contexte avec les événements qui se sont déroulés après la victoire des na’vis et comment ils ont appris à vivre en paix avec les humains restés sur Pandora. L'histoire est assez basique et manque d’intensité, on participe une fois de plus à comment dompter les banshees. L'auteur a du mal à donner de l'intérêt à son histoire où l'on suit les habitants vivant paisiblement sur Pandora. Les dessins sont classiques pour dépeindre ce monde aux créatures bleues dans des décors fluos. Cette introduction ne captive pas beaucoup avec une lecture très plate, en espérant que la suite apporte plus de matière aux auteurs pour redonner de l'intérêt à l'univers étendu.
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Titre de l'album : Les futurs de Liu Cixin - L'ère des anges Scenariste de l'album : Sylvain Runberg Dessinateur de l'album : Ma Yi Coloriste : Ma Yi Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Un scientifique africain décide de reprendre le destin de son pays en main. Malgré leurs moyens financiers ou technologiques, les pays développés ne parviennent pas à sortir son pays de la famine. Les fabuleuses ressources de l'Afrique finissent toujours par pervertir l'aide étrangère. Le brillant Dr Ita veut s'affranchir d'un système devenu pernicieux, grâce à une solution génétique contestée. Critique : Avec l'ère des anges, le scénariste Sylvain Runberg signe sa deuxième adaptation des romans et nouvelles de Liu Cixin, ce romancier SF qui rencontre un énorme succès actuellement. Dans ce tome, on découvre un conflit proche de la réalité avec l'exploitation des ressources et richesses d'un pays africain par d'autres nations lourdement armées, avant de basculer dans la science-fiction. Liu Cixin propose souvent des récits très crédibles en se basant sur des notions possibles pour construire ses intrigues. Une fois de plus la science est au milieu de ce récit avec ce jeune prodige qui souhaite régler le problème de la famine dans le monde entier pour éviter aux plus démunis de souffrir. L'album est scindé en deux partie avec le démarrage pour introduire l'histoire avant de basculer sur la partie fiction dans des affrontements inévitables. La partie graphique de Ma Yi est parfaite, dans style originale et réaliste dans les limites du possible. On retrouve un panneau dépliable sur trois pages pour donner une vision panoramique d'une scène d'action qui fait maintenant partie de la marque de fabrique des adaptations de Liu Cixin en BD. Les amateurs de SF trouveront leur compte avec un dessin travaillé et ces adaptations permettent à de nouveaux lecteurs de découvrir cet auteur. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-futurs-de-liu-cixin-l-ere-des-anges/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Avec l'ère des anges, le scénariste Sylvain Runberg signe sa deuxième adaptation des romans et nouvelles de Liu Cixin, ce romancier SF qui rencontre un énorme succès actuellement. Dans ce tome, on découvre un conflit proche de la réalité avec l'exploitation des ressources et richesses d'un pays africain par d'autres nations lourdement armées, avant de basculer dans la science-fiction. Liu Cixin propose souvent des récits très crédibles en se basant sur des notions possibles pour construire ses intrigues. Une fois de plus la science est au milieu de ce récit avec ce jeune prodige qui souhaite régler le problème de la famine dans le monde entier pour éviter aux plus démunis de souffrir. L'album est scindé en deux partie avec le démarrage pour introduire l'histoire avant de basculer sur la partie fiction dans des affrontements inévitables. La partie graphique de Ma Yi est parfaite, dans style originale et réaliste dans les limites du possible. On retrouve un panneau dépliable sur trois pages pour donner une vision panoramique d'une scène d'action qui fait maintenant partie de la marque de fabrique des adaptations de Liu Cixin en BD. Les amateurs de SF trouveront leur compte avec un dessin travaillé et ces adaptations permettent à de nouveaux lecteurs de découvrir cet auteur.
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Mark Russell m'avait bien amusé et marqué avec le retour du messie sortie également aux éditions Delcourt, donc je surveillais les nouvelles parutions en français de cet auteur. Avec Not all robots, l'auteur nous propose une critique de notre société, sous la forme d'une histoire de science-fiction avec des robots et leurs problématiques. Les robots remplacent l’homme au travail sans se plaindre et en étant plus efficaces et sans fuite. De leur coté, les humains se sentent inutiles dans cette société en perdition. Un malaise commence à se faire ressentir aussi bien chez les robots dotés d’une conscience que chez les humains. Les robots travaillent de trop et doivent s’occuper de leur famille d’humains trop fragiles et les humains vivent dans la peur des bugs souvent mortels de leurs robots. La partie graphique est de grande qualité pour dépeindre ce monde futuriste dans un style très réaliste. Les robots forcément très nombreux dans ce récit sont très bien représentés. La couverture est assez amusante en reprenant un célèbre tableau américain avec des robots à la place du couple de paysan. Not a robot est un one shot intéressant est très bien pensé, avec des dialogues et réflexions qui sont bien trouvés pour les robots.
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Titre de l'album : Not a robots Scenariste de l'album : Mark Russell Dessinateur de l'album : Mike Deodato Jr. Coloriste : Lee Loughridge Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : En 2056, les robots ont remplacé les êtres humains sur le marché du travail. La coexistence est difficile entre les robots et les dix milliards de terriens. Chaque famille humaine dispose d'un robot dont elle dépend entièrement. Le robot des Walter, Razorball, passe - de façon assez inquiétante - tout son temps libre dans le garage à construire des machines conçues pour tuer sa famille d'accueil... Critique : Mark Russell m'avait bien amusé et marqué avec le retour du messie sortie également aux éditions Delcourt, donc je surveillais les nouvelles parutions en français de cet auteur. Avec Not all robots, l'auteur nous propose une critique de notre société, sous la forme d'une histoire de science-fiction avec des robots et leurs problématiques. Les robots remplacent l’homme au travail sans se plaindre et en étant plus efficaces et sans fuite. De leur coté, les humains se sentent inutiles dans cette société en perdition. Un malaise commence à se faire ressentir aussi bien chez les robots dotés d’une conscience que chez les humains. Les robots travaillent de trop et doivent s’occuper de leur famille d’humains trop fragiles et les humains vivent dans la peur des bugs souvent mortels de leurs robots. La partie graphique est de grande qualité pour dépeindre ce monde futuriste dans un style très réaliste. Les robots forcément très nombreux dans ce récit sont très bien représentés. La couverture est assez amusante en reprenant un célèbre tableau américain avec des robots à la place du couple de paysan. Not a robot est un one shot intéressant est très bien pensé, avec des dialogues et réflexions qui sont bien trouvés pour les robots. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/not-all-robots-one-shot-not-all-robots?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : No future Scenariste de l'album : Eric Corbeyran Dessinateur de l'album : Jef Coloriste : Jef Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : La présidente de la compagnie Stella, leadeur dans le tourisme spatial, recrute Halen Brennan, une mercenaire réputée pour ses méthodes expéditives avec mission de récupérer d'importants documents et d'éliminer l'audacieux voleur. Fidèle aux antiques addictions gagnées à l'école de la rue, la badass se confronte à Jean-Claude Belmondeau, un activiste tout aussi inadapté à ce futur écolo-techno-bobo... Critique : No future propose de suivre l’enquête D’Halen Brennan une mercenaire au tempérament bien trempé, à la solde d’une compagnie de tourisme interstellaire et de Jean-Claude Belmondeau, un voleur doué de ses mains. La rencontre des deux personnages fait des étincelles dans cette ville futuriste où le couple dénote par leur attitude et leur façon de penser. Eric Corbeyran écrit avec No future, son titre le plus loufoque et barré de sa carrière. On se prend vite au jeu du couple dans leur aventure incroyable avec beaucoup d’humour dans les situations et les dialogues. Les clins d’œil sont nombreux tout au long de l’album, pour les références du genre. Les dessins de Jef participent grandement au plaisir de lecture, il faut reconnaitre que l’auteur est très pointilleux avec des planches très chargés avec de nombreux détails et personnages rendant la ville annimée. Il est amusant de voir une course poursuite entre une R16 d’époque et un véhicule. J’ai lu ce tome de No future comme un délire des auteurs pour mettre en image une histoire d’action et humour dans le futur avec un style très réaliste. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/no-future?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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No future propose de suivre l’enquête D’Halen Brennan une mercenaire au tempérament bien trempé, à la solde d’une compagnie de tourisme interstellaire et de Jean-Claude Belmondeau, un voleur doué de ses mains. La rencontre des deux personnages fait des étincelles dans cette ville futuriste où le couple dénote par leur attitude et leur façon de penser. Eric Corbeyran écrit avec No future, son titre le plus loufoque et barré de sa carrière. On se prend vite au jeu du couple dans leur aventure incroyable avec beaucoup d’humour dans les situations et les dialogues. Les clins d’œil sont nombreux tout au long de l’album, pour les références du genre. Les dessins de Jef participent grandement au plaisir de lecture, il faut reconnaitre que l’auteur est très pointilleux avec des planches très chargés avec de nombreux détails et personnages rendant la ville annimée. Il est amusant de voir une course poursuite entre une R16 d’époque et un véhicule. J’ai lu ce tome de No future comme un délire des auteurs pour mettre en image une histoire d’action et humour dans le futur avec un style très réaliste.
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Titre de l'album : Fahrenheit 451 Scenariste de l'album : Tim Hamilton Dessinateur de l'album : Tim Hamilton Coloriste : Tim Hamilton Editeur de l'album : Philéas Note : Résumé de l'album : Dans un futur proche, Guy Montag est pompier. Mais dans cette société dystopique, les pompiers ont pour mission de brûler les livres ainsi que les maisons de leurs détenteurs : la détention de livre est un délit. 451 degrés Fahrenheit représentent la température à laquelle un livre s'enflamme et se consume. Dans cette société future où la lecture, source de questionnement et de réflexion, est considérée comme un acte antisocial, un corps spécial de pompiers est chargé de brûler tous les livres dont la détention est interdite pour le bien collectif. Guy Montag, le pompier pyromane, se met pourtant à rêver d'un monde différent, qui ne bannirait pas la littérature et l'imaginaire au profit d'un bonheur immédiatement consommable. Il devient dès lors un dangereux criminel, impitoyablement pourchassé par une société qui désavoue son passé. Bradbury y critique les méfaits de l'émergence d'une culture de masse. Comme le décrit le pompier Beatty dans le roman, l'émergence d'une telle société n'a été rendue possible que par l'émergence d'une culture de masse, facilitée par la déliquescence du système scolaire : " Le cinéma et la radio, les magazines, les livres sont nivelés par le bas en une vaste soupe ". Les gens se sont désintéressés de la culture et ont préféré faire du sport ou regarder la télévision. Critique : Fahrenheit 451 est devenu avec les années un roman culte de Ray Bradbury avec sa thématique très particulière pour un récit d'anticipation. En effet, dans cette société proche de la nôtre, les livres sont devenus interdits comme jugés trop dangereux pour l'équilibre et la paix des nations. Les pompiers n'éteignent plus les feux mais les allument en brulant tous les livres conservés illégalement par quelques individus. Tim Hamilton se charge de cette adaptation en restant fidèle au récit de Bradbury. On suit donc un pompier qui commence à remettre en question son métier et le système dans lequel il vit. Plusieurs éléments et évènement le pousseront dans une réflexion et surtout à réfléchir. Cet album est divisé en trois parties distinctes avec de plus en plus d’action une fois le contexte donné. L'auteur se charge également des dessins avec des couleurs sombres pour accompagner à merveilles l'histoire angoissante de cette société privée de liberté. Les lecteurs ne connaissant pas ce classique de la littérature américaine pourront le découvrir par le biais de cette bande dessinée et les auteurs pourront se replonger dans ce récit d'anticipation culte. L'album s'ouvre avec quelques explications de Ray Bradbury et ses sources d'inspirations. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : http://www.bdfugue.com/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Fahrenheit 451 est devenu avec les années un roman culte de Ray Bradbury avec sa thématique très particulière pour un récit d'anticipation. En effet, dans cette société proche de la nôtre, les livres sont devenus interdits comme jugés trop dangereux pour l'équilibre et la paix des nations. Les pompiers n'éteignent plus les feux mais les allument en brulant tous les livres conservés illégalement par quelques individus. Tim Hamilton se charge de cette adaptation en restant fidèle au récit de Bradbury. On suit donc un pompier qui commence à remettre en question son métier et le système dans lequel il vit. Plusieurs éléments et évènement le pousseront dans une réflexion et surtout à réfléchir. Cet album est divisé en trois parties distinctes avec de plus en plus d’action une fois le contexte donné. L'auteur se charge également des dessins avec des couleurs sombres pour accompagner à merveilles l'histoire angoissante de cette société privée de liberté. Les lecteurs ne connaissant pas ce classique de la littérature américaine pourront le découvrir par le biais de cette bande dessinée et les auteurs pourront se replonger dans ce récit d'anticipation culte. L'album s'ouvre avec quelques explications de Ray Bradbury et ses sources d'inspirations.
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Titre de l'album : La compagnie rouge Scenariste de l'album : Simon Treins Dessinateur de l'album : Jean-Michel Ponzio Coloriste : Jean-Michel Ponzio Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Dans un lointain futur, les guerres ne font plus de mort, mais sont un sport, mené par des robots de combat contrôlés à distance par des mercenaires. Fasciné comme tous les ados par ces mercenaires, le jeune Flint va choisir de quitter sa planète agricole pour les suivre dans leurs missions, dans l'espoir de devenir l'un d'eux, pour le meilleur et pour le pire. Critique : C'est avec un grand plaisir que j'ai découvert cet excellent space opera avec ce double album. Le scénariste Simon Treins nous livre une histoire prenante et originale avec des mercenaires pour héros. Un jeune homme est recruté lors d'une mission et aura pour rôle les archives de la compagnie, par ce procédé les auteurs peuvent nous expliquer le contexte et l'histoire du vaisseau et de la compagnie rouge. Lors des conflits, les mercenaires utilisent des robots et des drones de combats pour régler les problématiques. Quelques références en clin d'œil à des films du genre sont les amusantes et bien placées. La partie graphique de Jean-Michel Ponzio est vraiment remarquable avec son style photoréaliste avec des couleurs numériques. Son style pourra peut-être déstabiliser les non-initiés mais je reste contemplatif devant tous les détails des planches avec les vaisseaux et les scènes de combats dans l'espace. Le seul reproche à faire serait sur les gros plans des visages qui semblent figés sur quelques cases. La compagnie rouge conviendra à tous les lecteurs amateurs de récits de science-fiction et space opera. La fin est un peu expéditive à mon goût mais reste ouverte donc j'espère qu'on aura droit à une suite surtout avec le potentiel possible à développer sur cette base solide. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-compagnie-rouge-tome-1-premier-sang?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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C'est avec un grand plaisir que j'ai découvert cet excellent space opera avec ce double album. Le scénariste Simon Treins nous livre une histoire prenante et originale avec des mercenaires pour héros. Un jeune homme est recruté lors d'une mission et aura pour rôle les archives de la compagnie, par ce procédé les auteurs peuvent nous expliquer le contexte et l'histoire du vaisseau et de la compagnie rouge. Lors des conflits, les mercenaires utilisent des robots et des drones de combats pour régler les problématiques. Quelques références en clin d'œil à des films du genre sont les amusantes et bien placées. La partie graphique de Jean-Michel Ponzio est vraiment remarquable avec son style photoréaliste avec des couleurs numériques. Son style pourra peut-être déstabiliser les non-initiés mais je reste contemplatif devant tous les détails des planches avec les vaisseaux et les scènes de combats dans l'espace. Le seul reproche à faire serait sur les gros plans des visages qui semblent figés sur quelques cases. La compagnie rouge conviendra à tous les lecteurs amateurs de récits de science-fiction et space opera. La fin est un peu expéditive à mon goût mais reste ouverte donc j'espère qu'on aura droit à une suite surtout avec le potentiel possible à développer sur cette base solide.
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Les adaptations des nouvelles et romans de Liu Cixin un romancier de SF à succès se poursuit avec un récit d'anticipation de guerre et conflits politiques. L'histoire trouve sa partie de science-fiction avec une énorme station spatiale dans l'espace se rapprochant du soleil. En effet, la problématique reposera sur les communications durant les combats et comment les brouiller pour l’ennemi et ainsi prendre l’avantage. Marko Stojanovic apporte trop de dialogues ou de passages sans grand intérêt avec pour résultat, une perte de fluidité lors de la lecture. Les adaptations de romans ne sont pas toujours évidentes et surtout ne se prêtent pas toujours à tous les médias. L'album est assez important en pagination avec une centaine de pages. La partie graphique de Maza est remarquable avec des planches impressionnantes lors des scènes de guerre ou de batailles avec les machines de guerre en action. Le style des dessins se veut réaliste et crédibilise l'ensemble de l'histoire. On retrouve deux panneaux sur trois pages comme pour les tomes précédents. Brouillage intégral est certainement le récit le plus proche de notre époque actuelle sur les huit adaptations de Liu Cixin, très axé sur la guerre par rapport à la SF.
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Titre de l'album : Les futurs de Liu Cixin - Brouillage intégral Scenariste de l'album : Marko Stojanovic Dessinateur de l'album : Maza Coloriste : Desko Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Une Troisième Guerre mondiale oppose les membres de l'OTAN à la Russie, un conflit interminable, tactique, technologique et sanglant. Pour gagner du temps en attendant un rassemblement de troupes, le général Levchenko décide d'agir sur le brouillage des transmissions. Les rayonnements solaires, qui influencent la propagation des ondes de surface, pourraient changer l'issue des combats... Critique : Les adaptations des nouvelles et romans de Liu Cixin un romancier de SF à succès se poursuit avec un récit d'anticipation de guerre et conflits politiques. L'histoire trouve sa partie de science-fiction avec une énorme station spatiale dans l'espace se rapprochant du soleil. En effet, la problématique reposera sur les communications durant les combats et comment les brouiller pour l’ennemi et ainsi prendre l’avantage. Marko Stojanovic apporte trop de dialogues ou de passages sans grand intérêt avec pour résultat, une perte de fluidité lors de la lecture. Les adaptations de romans ne sont pas toujours évidentes et surtout ne se prêtent pas toujours à tous les médias. L'album est assez important en pagination avec une centaine de pages. La partie graphique de Maza est remarquable avec des planches impressionnantes lors des scènes de guerre ou de batailles avec les machines de guerre en action. Le style des dessins se veut réaliste et crédibilise l'ensemble de l'histoire. On retrouve deux panneaux sur trois pages comme pour les tomes précédents. Brouillage intégral est certainement le récit le plus proche de notre époque actuelle sur les huit adaptations de Liu Cixin, très axé sur la guerre par rapport à la SF. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-futurs-de-liu-cixin-brouillage-integral?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Dur de ne pas évoquer l'aspect graphique quand on va parler de ce Comics indé. C'est époustouflant. Clairement oui, et cela doit autant au travail du dessinateur Simone Di Meo qu'à la coloriste Mariasara Miotti. A couper le souffle donc. Mais cela ne plaira clairement pas à tout le monde, je pense notamment aux amateurs de ligne claire ou au aficionados du trait de crayon. Reste que le boulot fait sur les effets de lumière est dantesque et remarquable, personnellement j'ai adoré, même s'il m'a fallut un sacré temps d'adaptation, notamment sur les scènes "d'action". Oui, "We only find them when they are dead" se mérite. Il va vous prendre du temps de lecture et de contemplation. Il va vous demander un peu de compréhension aussi, car les choix narratifs forts rendent parfois certains passages un peu nébuleux de prime abord. Reste le meilleur : un grand space opéra intimiste mais aux enjeux grandioses, dans un univers original et à priori maîtrisé qui donne envie avec son final de lire la suite très très vite. Alors pourquoi ce 4,5 au lieu d'un 5 à priori mérité ? Simplement car certaines scènes auraient tout de même gagné en lisibilité je trouve, sans dénaturer pour autant l'oeuvre. Et puis c'est aussi juste un premier tome, et il faudra voir si la suite tiendra ses riches promesses. Mais si vous aimez la SF, et que le graphisme vous donne envie, foncez, peu de chances d'être déçus.
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Titre de l'album : We only find them when they are dead Scenariste de l'album : Al Ewing Dessinateur de l'album : Simone Di Meo Coloriste : Mariasara Miotti Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : On n'oublie jamais la première fois que l'on voit un Dieu. Les Dieux sont toujours magnifiques. Et les Dieux sont toujours morts.2367, aux confins de la galaxie. Dans ce futur lointain, l'humanité a épuisé toutes ses ressources et doit sa survie à l'exploitation de dieux morts flottant dans l'espace, dont les cadavres gigantesques servent désormais de matière première. Le Vihan II est l'un des nombreux vaisseaux nécropsiques qui arpentent le cosmos dans l'espoir de trouver ces divinités providentielles. Mais Georges Malik, son capitaine, nourrit une obsession: pourquoi les dieux ne se révèlent-ils que lorsqu'ils sont morts? Pour tenter de s'émanciper de ce système gangréné par les inégalités et la pauvreté,tout l'équipage s'embarque alors dans un périple sous haute tension à la recherche d'un dieu vivant. Al Ewing (Immortal Hulk, Avengers...) et Simone Di Meo (Tortues Ninjas & Power Rangers) livrent avec We Only Find Them When They're Dead un space opera grandiose d'une beauté à couper le souffle. Un premier tome accrocheur et unique en son genre, tout à la fois politique et mystique. « Un space opera à l'univers unique et très prometteur.» Mighty !« Embarquez-moi tout de suite ! »Jason Aaron (Thor, Avengers, Star Wars...)«Un univers graphique emballant avec des couleurs lumineuses et parfaites.» Comicstories Critique : Dur de ne pas évoquer l'aspect graphique quand on va parler de ce Comics indé. C'est époustouflant. Clairement oui, et cela doit autant au travail du dessinateur Simone Di Meo qu'à la coloriste Mariasara Miotti. A couper le souffle donc. Mais cela ne plaira clairement pas à tout le monde, je pense notamment aux amateurs de ligne claire ou au aficionados du trait de crayon. Reste que le boulot fait sur les effets de lumière est dantesque et remarquable, personnellement j'ai adoré, même s'il m'a fallut un sacré temps d'adaptation, notamment sur les scènes "d'action". Oui, "We only find them when they are dead" se mérite. Il va vous prendre du temps de lecture et de contemplation. Il va vous demander un peu de compréhension aussi, car les choix narratifs forts rendent parfois certains passages un peu nébuleux de prime abord. Reste le meilleur : un grand space opéra intimiste mais aux enjeux grandioses, dans un univers original et à priori maîtrisé qui donne envie avec son final de lire la suite très très vite. Alors pourquoi ce 4,5 au lieu d'un 5 à priori mérité ? Simplement car certaines scènes auraient tout de même gagné en lisibilité je trouve, sans dénaturer pour autant l'oeuvre. Et puis c'est aussi juste un premier tome, et il faudra voir si la suite tiendra ses riches promesses. Mais si vous aimez la SF, et que le graphisme vous donne envie, foncez, peu de chances d'être déçus. Autres infos : Très très original Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/we-only-find-them-when-they-re-dead-tome-1-le-voyageur?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : We live tome 2 - L'ère des Palladions Scenariste de l'album : Roy Miranda & Inaki Miranda Dessinateur de l'album : Miranda Inaki Coloriste : Eva De La Cruz Editeur de l'album : 404 comics Note : Résumé de l'album : Tala et Hototo ont grandi mais la survie de l'enfance a fait place à la responsabilité étouffante de la survie du monde ! Les frères Miranda et toute l'équipe créative de WE LIVE revient pour ce nouveau chapitre de l'histoire de Tala et Hototo et de leur monde terrible. 2090, six ans se sont écoulés depuis le Jour du Salut, lorsque les Palladions avec leurs pouvoirs majestueux sont devenus les protecteurs de l'humanité. Ils sauvèrent les cinq Mégalopoles restantes, assurant l'avenir de l'espèce humaine. Mais rien n'est intangible et l'horizon promet une nouvelle tempête. Critique : Après un excellent premier tome, cette suite était très attendue par de nombreux lecteurs et par chance les éditions 404 comics nous proposent le titre seulement un mois après la sortie ne version originale. L'aventure reprend six ans après les événements du premier épisode, où l'on a assisté à la naissance des super-héros, les palladions. Les enfants élus se sont transformés en adolescent avec des armures pour combattre toutes les créatures, les cénotes mères qui voulaient anéantir le restant de l'humanité. Une fois de plus Roy Miranda et Inaki Miranda surprennent les lecteurs avec une histoire proches de célèbres méchas et Kaijus pour des combats intenses. Les nouveaux héros doivent défendre la métropole en parallèle la relation entre Hototo et Tala a évolué comme les frères et sœurs ont vieilli. Les dessins de Miranda Inaki sont absolument fantastiques pour dépeindre cet univers et les décors dévastés. Les scènes d’action sont dynamiques et très impressionnantes. Les couleurs sont intenses et apportent la touche originale de l’histoire. L'album se termine avec une galerie d'illustrations réalisées par d'autres dessinateurs de comics. En deux tomes, We live s'impose comme une nouvelle référence dans le genre SF dans un monde postapocalyptique, avec des enfants en héros pour sauver ce qui reste de la planète. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/we-live-l-ere-des-palladions-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Après un excellent premier tome, cette suite était très attendue par de nombreux lecteurs et par chance les éditions 404 comics nous proposent le titre seulement un mois après la sortie ne version originale. L'aventure reprend six ans après les événements du premier épisode, où l'on a assisté à la naissance des super-héros, les palladions. Les enfants élus se sont transformés en adolescent avec des armures pour combattre toutes les créatures, les cénotes mères qui voulaient anéantir le restant de l'humanité. Une fois de plus Roy Miranda et Inaki Miranda surprennent les lecteurs avec une histoire proches de célèbres méchas et Kaijus pour des combats intenses. Les nouveaux héros doivent défendre la métropole en parallèle la relation entre Hototo et Tala a évolué comme les frères et sœurs ont vieilli. Les dessins de Miranda Inaki sont absolument fantastiques pour dépeindre cet univers et les décors dévastés. Les scènes d’action sont dynamiques et très impressionnantes. Les couleurs sont intenses et apportent la touche originale de l’histoire. L'album se termine avec une galerie d'illustrations réalisées par d'autres dessinateurs de comics. En deux tomes, We live s'impose comme une nouvelle référence dans le genre SF dans un monde postapocalyptique, avec des enfants en héros pour sauver ce qui reste de la planète.
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On peut dire que les histoires de Scott Snyder sont originales avec Nocterra, le soleil n'éclaire plus assez les hommes sur terre alors que la plupart d'entre eux ont muté. On reprend la suite de l'aventure dans une ambiance qui mélange plusieurs genres, fantastique et science-fiction avec une pointe de Mad Max, comme les héros se déplacent en convoi de camions armés de lumière pour combattre les ombres en cas d'attaques. Le groupe de survivants va devoir s'allier avec un personnage emblématique du premier tome et assez surprenant comme vous pourrez le découvrir afin d'attaquer Luna, l'endroit d'où viennent tous les nocturnes. Les dessins de Tony S Daniel sont de qualité pour représenter cet univers dévasté avec ces créatures. L'album se termine sur un interlude sur les origines de Blacktop Bill, dessiné par Denys Cowan. Ensuite on retrouve toutes les couvertures de comics US. Nocterra comme Undiscovered country sont des séries fantastiques où l'on retrouve la touche de Scott Snyder pour imager des mondes après une catastrophes et les survivants devant faire face à des créatures. La voix-off très présente encire dans ce tome joue sur le rythme de lecture. Le prochain tome apportera la conclusion à cette série.
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Titre de l'album : Nocterra Tome 2 Scenariste de l'album : Scott Snyder Dessinateur de l'album : Tony S Daniel Coloriste : Marcelo Maiolo Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Après avoir échappé aux pires horreurs, Val, Em, Bailey et les passeurs recherchent l'emplacement d'Eos, l'endroit où le mal s'est déchaîné sur le monde lorsque le soleil s'est couché pour toujours. Alors que nos héros traversent les eaux infestées d'ombre, ils vont devoir faire des pactes inattendus avec leurs anciens ennemis s'ils espèrent pouvoir survivre... Critique : On peut dire que les histoires de Scott Snyder sont originales avec Nocterra, le soleil n'éclaire plus assez les hommes sur terre alors que la plupart d'entre eux ont muté. On reprend la suite de l'aventure dans une ambiance qui mélange plusieurs genres, fantastique et science-fiction avec une pointe de Mad Max, comme les héros se déplacent en convoi de camions armés de lumière pour combattre les ombres en cas d'attaques. Le groupe de survivants va devoir s'allier avec un personnage emblématique du premier tome et assez surprenant comme vous pourrez le découvrir afin d'attaquer Luna, l'endroit d'où viennent tous les nocturnes. Les dessins de Tony S Daniel sont de qualité pour représenter cet univers dévasté avec ces créatures. L'album se termine sur un interlude sur les origines de Blacktop Bill, dessiné par Denys Cowan. Ensuite on retrouve toutes les couvertures de comics US. Nocterra comme Undiscovered country sont des séries fantastiques où l'on retrouve la touche de Scott Snyder pour imager des mondes après une catastrophes et les survivants devant faire face à des créatures. La voix-off très présente encire dans ce tome joue sur le rythme de lecture. Le prochain tome apportera la conclusion à cette série. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/nocterra-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Les futurs de Liu Cixin - L'attraction de la foudre Scenariste de l'album : Thierry Robin Dessinateur de l'album : Thierry Robin Coloriste : Cyril Saint-Blancat Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Chen est fasciné par la foudre globulaire depuis une expérience traumatisante vécue dans l'enfance. Doctorant en modélisations mathématiques, il est poussé par son université vers l'armée qui allie ressources financières et capacités d'expérimentation. Chen se retrouve ainsi à tenter de capturer et analyser ces boules d'énergie brute, alors que les tensions internationales s'intensifient. Critique : Nouvelle adaptation en bande dessinée des romans et nouvelles de Liu Cixin, le romancier de science-fiction à succès de notre génération. Thierry Robin se charge intégralement de cette adaptation sur quelques 270 planches pour ce titre. Liu Cixin aime s'inspirer des sciences et de la technologie pour créer ses histoires et apporter des explications crédibles au sujet fantastiques ou relevant de la science-fiction. Dans L'attraction de la foudre, le héros voit ses parents mourir devant lui suite à l'apparition d'une foudre globulaire, une sphère créée lors d'un orage intense. En grandissant, le héros devient un éminent scientifique avec pour objectif d'approfondir ses connaissances sur ce phénome rare et peu connu. L'armée va lui permettre de pouvoir expérimenter mais avec une terrible finalité. Avec la pagination importante de cet album, Thierry Robin prend son temps pour développer l'histoire. Il dessine l'ensemble de l'album avec la collaboration de Yang Fei pour la réalisions des décors. On retrouve deux panoramas sur quatre pages qui sont la marque de fabrique de cette série. L'attraction de la foudre se penche sur la dualité du héros entre le besoin de travailler sur des expérimentations essentielles pour lui, tout en sachant que ses découvertes seront détournées. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-futurs-de-liu-cixin-l-attraction-de-la-foudre?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Nouvelle adaptation en bande dessinée des romans et nouvelles de Liu Cixin, le romancier de science-fiction à succès de notre génération. Thierry Robin se charge intégralement de cette adaptation sur quelques 270 planches pour ce titre. Liu Cixin aime s'inspirer des sciences et de la technologie pour créer ses histoires et apporter des explications crédibles au sujet fantastiques ou relevant de la science-fiction. Dans L'attraction de la foudre, le héros voit ses parents mourir devant lui suite à l'apparition d'une foudre globulaire, une sphère créée lors d'un orage intense. En grandissant, le héros devient un éminent scientifique avec pour objectif d'approfondir ses connaissances sur ce phénome rare et peu connu. L'armée va lui permettre de pouvoir expérimenter mais avec une terrible finalité. Avec la pagination importante de cet album, Thierry Robin prend son temps pour développer l'histoire. Il dessine l'ensemble de l'album avec la collaboration de Yang Fei pour la réalisions des décors. On retrouve deux panoramas sur quatre pages qui sont la marque de fabrique de cette série. L'attraction de la foudre se penche sur la dualité du héros entre le besoin de travailler sur des expérimentations essentielles pour lui, tout en sachant que ses découvertes seront détournées.
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Les éditions Ankama proposent une nouvelle intégrale à moindre frais après le coffret, les trois albums sont réunis dans un seul album. Cette inétgrale devraient permettre à de nouveaux lecteurs de découvrir en bande dessinée les romans de Stefan Wul adapté en bande dessinée. Le scénariste Jean-David Morvan se charge de cette adaptation en restant très fidèle à l'œuvre d'origine. Au niveau de l'histoire, on suit les aventures des Oms, des êtres semblables aux humais qui sont des animaux de compagnie pour les Draags, une race extraterrestre. Esnuite viendra, l'heure de la révolte des Oms pour redevenir pour rejoindre les Oms sauvages et vivre en liberté. Le personnage de Terr sera le représentant des Oms. L’histoire est prenante avec beaucoup d’action, on se laisse embarquer dans cette intrigue de science-fiction dès les premières planches. Mike Hawthorne nous offre une représentation crédible de Draags et de leur planète avec des bâtiments proche de la vie aquatique. Une coloriste rejoint les auteurs pour finaliser les planches dans un rendu de qualité. Oms en série est une très bonne adaptation, d'un classique de science-fiction de Wul.
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Titre de l'album : OMS en série - intégrale Scenariste de l'album : Jean-David Morvan Dessinateur de l'album : Mike Hawthorne Coloriste : Scarlett Smulkowski Editeur de l'album : Ankama Note : Résumé de l'album : Les Oms sont des animaux : "le meilleur ami du Draag ", comme le dit l'expression consacrée. Ils vivent dans de jolies niches, et lorsqu'une mère met bas, on offre le petit à une autre famille. C'est ce qu'il advient de Terr, un Om tout à fait banal... Mais qui se révèle unique en son genre lorsque son collier magnétique le branche sur les ondes du casque pédagogique de sa petite maîtresse, lui ouvrant les portes de ce qu'aucun Om avant lui n'avait encore effleuré : le savoir. Le langage des Draags d'abord, puis leur histoire, qui inclut celle de sa propre espèce... Comprenant que les Oms ont été capturés autrefois sur une lointaine planète, Terr s'échappe. Débute alors une guerre d'indépendance qui, à son tour, marquera l'histoire des Draags... et des Hommes. La révolte des Oms est en marche ! Critique : Les éditions Ankama proposent une nouvelle intégrale à moindre frais après le coffret, les trois albums sont réunis dans un seul album. Cette inétgrale devraient permettre à de nouveaux lecteurs de découvrir en bande dessinée les romans de Stefan Wul adapté en bande dessinée. Le scénariste Jean-David Morvan se charge de cette adaptation en restant très fidèle à l'œuvre d'origine. Au niveau de l'histoire, on suit les aventures des Oms, des êtres semblables aux humais qui sont des animaux de compagnie pour les Draags, une race extraterrestre. Esnuite viendra, l'heure de la révolte des Oms pour redevenir pour rejoindre les Oms sauvages et vivre en liberté. Le personnage de Terr sera le représentant des Oms. L’histoire est prenante avec beaucoup d’action, on se laisse embarquer dans cette intrigue de science-fiction dès les premières planches. Mike Hawthorne nous offre une représentation crédible de Draags et de leur planète avec des bâtiments proche de la vie aquatique. Une coloriste rejoint les auteurs pour finaliser les planches dans un rendu de qualité. Oms en série est une très bonne adaptation, d'un classique de science-fiction de Wul. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/wul-oms-en-serie-l-integrale?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Fred Fordham se charge de l'adaptation revisitée du meilleur des mondes d’Aldous Huxley, en bande dessinée avec une pagination importante, dans un format plus petit et à la couverture souple. On retrouve un peu le style ainsi que le design de la série tv qui était sorti il y a quelques temps. Pour l'histoire, dans une cité futuriste avec des innovations scientifiques importantes, la population est contrôlée depuis la naissance. Ainsi on affecte un rôle et un titre à chaque nouvel enfant. Plus tard, les jeunes adultes vivent dans un univers étrange en prenant des drogues de synthèses pour modifier les émotions. On suit la destinée de Lénina et d'Henry Foster au milieu de toute cette population docile et conditionnée. Les dessins sont de qualité pour dépeindre ce monde futuriste. Cette adaptation plaira autant aux lecteurs connaissant l'œuvre d'origine qu'aux lecteurs désirant découvrir ce monument de science-fiction.