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  1. Titre de l'album : Apogée tome 1 - Les boucles du Celadön Scenariste de l'album : Fred Duval Dessinateur de l'album : Emem | Fred Blanchard Coloriste : Emem | Fred Blanchard Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Le « Complexe » est une fédération dont la Terre est le 24e membre. Constitué depuis des millénaires par trois planètes fondatrices (Thorgon, Kobalt et Skuall), le Complexe a connu de nombreux conflits dont celui du premier conflit interstellaire ! Il affronte alors la civilisation Ouroboros, prête à faire la guerre afin de mettre la main sur de nouvelles ressources. Nous découvrirons cette guerre spatiale à travers 4 personnages : Un frère et une soeur venus de la planète Kerath, dame Eliz, une Ouroboros qui critique ouvertement la volonté hégémonique de son peuple et Marcus Valerius, un humain enlevé par les Ouroboros avec plusieurs de ses hommes. La nouvelle saga des créateurs de "Renaissance "! Critique : Les auteurs de Renaissance n'en ont pas fini avec la SF et reviennent avec une nouvelle série qui s'annonce galactique ! Ce premier tome oscille à merveille entre les space opera, avec le début d'une guerre interstellaire, et la SF pure avec un univers ou les humains ne sont pas présents et où les espèces très évoluées sont légion. C'est un des changements par rapport à Renaissance : ici, on est plus proche d'un mix entre Aquablue et Orbital que d'Interstellar. Tous les ingrédients d'une bonne série de SF sont la ! Nos auteurs se payent même le luxe de mixer présentation de l'univers et démarrage d'une guerre galactique. Cette série en 3 tomes, vues par Fred Duval comme un préquel à Renaissance, ravira les amateurs de la série principale, mais aussi les amateurs de SF tous cours qui, comme moi, n'ont pas suivi la série mère. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/apogee-tome-1-les-boucles-du-celadon?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Les auteurs de Renaissance n'en ont pas fini avec la SF et reviennent avec une nouvelle série qui s'annonce galactique ! Ce premier tome oscille à merveille entre les space opera, avec le début d'une guerre interstellaire, et la SF pure avec un univers ou les humains ne sont pas présents et où les espèces très évoluées sont légion. C'est un des changements par rapport à Renaissance : ici, on est plus proche d'un mix entre Aquablue et Orbital que d'Interstellar. Tous les ingrédients d'une bonne série de SF sont la ! Nos auteurs se payent même le luxe de mixer présentation de l'univers et démarrage d'une guerre galactique. Cette série en 3 tomes, vues par Fred Duval comme un préquel à Renaissance, ravira les amateurs de la série principale, mais aussi les amateurs de SF tous cours qui, comme moi, n'ont pas suivi la série mère.
  3. Titre de l'album : Social fiction Scenariste de l'album : Chantal Montellier Dessinateur de l'album : Chantal Montellier Coloriste : Chantal Montellier Editeur de l'album : Les humanoides associés Note : Résumé de l'album : Dans ce recueil signé par Chantal Montellier, autrice pionnière de la bande dessinée féministe et politique, (re)découvrez des récits d'anticipation encore terriblement d'actualité, où autoritarisme, eugénisme et discrimination n'ont pas de limites. Entre 1978 et 1983, Chantal Montellier signe les trois albums 1996, Shelter et Wonder City, prépubliés dans Métal Hurlant. Wonder City vous emmènera au coeur d'une ville eugéniste et sous vidéosurveillance généralisée, tandis que Shelter vous plongera dans le sous-sol d'un centre commercial, transformé en abri antiatomique, où un directeur de magasin joue les nouveaux dictateurs. 1996 rassemble plusieurs histoires courtes toujours en lien avec une thématique sociale, politique ou philosophique. Au fil du temps, Chantal Montellier a retravaillé son dessin car pour elle, tout oeuvre ne peut être que vivante, évoluant avec son temps et son autrice. C'est ainsi que Shelter est devenu Shelter Market et 1996, 1996 again. Les voici pour la première fois réunis dans un ouvrage unique, accompagné de textes de différents contributeurs et contributrices. Critique : A l'occasion des 50 ans des Humanoïdes associés, les rééditions de qualité tombent dans les bacs des libraires ! L'éditeur propose ainsi trois nouvelles de Chantal Montellier dans un seul et même ouvrage à la couverture sublime rose et noire. Symbole entre autres du féminisme, le rose se retrouvera au sein des planches et viendra illuminer le trait noir et blanc de l'artiste engagée. Telle une mise à jour, elle a retravaillé ses oeuvres et le rendu n'en est que superbe de modernité et finesse. Publiées au début des années 80, ces trois nouvelles graphiques retrouvent de leur superbe avec un dessin réaliste "actuel", le propos n'ayant lui pas pris une ride ! Hélas devrait-on dire car depuis presque 40 ans, les faits de société qu'elle avait dénoncés, semblent plus contemporains que jamais 😞 1996 Again aborde le racisme dans une société futuriste avec pour toile de fond les androïdes faisant partie du quotidien ainsi qu'une omniprésence des caméras et autres méthodes de surveillance "pour la sécurité" des citoyens. 1984 de Orwell n'est pas très loin ! Ensuite, Wonder city nous fait visiter une ville surveillée outrageusement aussi, mais avec en plus un contrôle de la natalité réalisé par un robot docteur bienveillant. Vous découvrirez vite que les apparences sont bien évidemment trompeuses. Eugénisme, liberté intellectuelle et histoire d'amour composent les thématiques de cette nouvelle assez angoissante. Pour finir, Chantal Montellier nous emmène au Shelter market, où un couple se retrouve prisonnier d'un centre commercial gigantesque enfoui sous terre à la suite d'un cataclysme nucléaire en surface. Dans ce temple de la (sur)consommation, ils vont devoir s'adapter à de nouvelles règles et y trouver leur place au sein d'un nouveau genre de société. Au menu, totalitarisme, télé-réalité, perte de liberté, dérives mercantiles et bien-sûr surveillance caméra CCTV omniprésente ! Trois nouvelles graphiques en noir et blanc ponctuées parfois de bleu ou de rose, avec un dessin retravaillé du plus bel effet. Ne boudez pas votre plaisir sur cette superbe édition, d'autant qu'elle est enrichie d'annexes très intéressantes. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/social-fiction-9782731679090/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Kevin Nivek

    Social fiction

    A l'occasion des 50 ans des Humanoïdes associés, les rééditions de qualité tombent dans les bacs des libraires ! L'éditeur propose ainsi trois nouvelles de Chantal Montellier dans un seul et même ouvrage à la couverture sublime rose et noire. Symbole entre autres du féminisme, le rose se retrouvera au sein des planches et viendra illuminer le trait noir et blanc de l'artiste engagée. Telle une mise à jour, elle a retravaillé ses oeuvres et le rendu n'en est que superbe de modernité et finesse. Publiées au début des années 80, ces trois nouvelles graphiques retrouvent de leur superbe avec un dessin réaliste "actuel", le propos n'ayant lui pas pris une ride ! Hélas devrait-on dire car depuis presque 40 ans, les faits de société qu'elle avait dénoncés, semblent plus contemporains que jamais 😞 1996 Again aborde le racisme dans une société futuriste avec pour toile de fond les androïdes faisant partie du quotidien ainsi qu'une omniprésence des caméras et autres méthodes de surveillance "pour la sécurité" des citoyens. 1984 de Orwell n'est pas très loin ! Ensuite, Wonder city nous fait visiter une ville surveillée outrageusement aussi, mais avec en plus un contrôle de la natalité réalisé par un robot docteur bienveillant. Vous découvrirez vite que les apparences sont bien évidemment trompeuses. Eugénisme, liberté intellectuelle et histoire d'amour composent les thématiques de cette nouvelle assez angoissante. Pour finir, Chantal Montellier nous emmène au Shelter market, où un couple se retrouve prisonnier d'un centre commercial gigantesque enfoui sous terre à la suite d'un cataclysme nucléaire en surface. Dans ce temple de la (sur)consommation, ils vont devoir s'adapter à de nouvelles règles et y trouver leur place au sein d'un nouveau genre de société. Au menu, totalitarisme, télé-réalité, perte de liberté, dérives mercantiles et bien-sûr surveillance caméra CCTV omniprésente ! Trois nouvelles graphiques en noir et blanc ponctuées parfois de bleu ou de rose, avec un dessin retravaillé du plus bel effet. Ne boudez pas votre plaisir sur cette superbe édition, d'autant qu'elle est enrichie d'annexes très intéressantes.
  5. Titre de l'album : Mobile Suit Gundam - unicorn tome 1 Scenariste de l'album : Harutoshi Fukui Dessinateur de l'album : Kozo Omori Coloriste : Kozo Omori Editeur de l'album : Vega-Dupuis Note : Résumé de l'album : L'histoire commence au cours de la première année du siècle universel. Une cérémonie commémorative du changement du calendrier occidental pour celui du siècle universel a eu lieu à la station spatiale "Laplace" située en orbite terrestre basse. Les représentants des pays-membres de la Fédération dont le Premier Ministre du Gouvernement fédéral sont présents pour annoncer la "Charte du siècle universel", une charte pour une nouvelle ère de paix. Cependant, au moment même où le calendrier passe au siècle universel 0001, Laplace est détruite par des terroristes qui tuant le Premier Ministre et bien d'autres. Au cours de cette catastrophe, Siam Marquis, un garçon de 17 ans qui participait à l'action terroriste en raison de sa pauvreté, est pris dans l'explosion et dérive dans l'espace lorsqu'il entre en possession d'un objet en forme de boîte. Critique : Après la sortie de "Mobile suit Gundam - Les origines", Vega nous fait le plaisir de sortir la deuxième génération de Gundam avec un manga paru au japon en 2006 et étant fini en 17 tomes. Comme pour les origines, Vega nous offre une belle édition en grand format ou chaque tome compte 2 tomes de la série japonaise. Niveau contenu, il y a de l'évolution. Surtout niveau dessin qui sont plus actuels, plus fins. L'histoire est sensiblement identique. Une nouvelle génération de Suits. Des nouveaux pilotes. Mais toujours une guerre. Ce qui fait peut-être doublon en termes de parution (aux dates de sorties pour le moins étrange).... mais permet de choisir sa série si on a déjà lu la première. Je ne saurai dire laquelle est la meilleure des deux. Les deux m'ont bien plus ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/gundam-unicorn-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Après la sortie de "Mobile suit Gundam - Les origines", Vega nous fait le plaisir de sortir la deuxième génération de Gundam avec un manga paru au japon en 2006 et étant fini en 17 tomes. Comme pour les origines, Vega nous offre une belle édition en grand format ou chaque tome compte 2 tomes de la série japonaise. Niveau contenu, il y a de l'évolution. Surtout niveau dessin qui sont plus actuels, plus fins. L'histoire est sensiblement identique. Une nouvelle génération de Suits. Des nouveaux pilotes. Mais toujours une guerre. Ce qui fait peut-être doublon en termes de parution (aux dates de sorties pour le moins étrange).... mais permet de choisir sa série si on a déjà lu la première. Je ne saurai dire laquelle est la meilleure des deux. Les deux m'ont bien plus !
  7. La vengeance, thème ô combien repris dans le cinéma, la littérature et bien évidemment la BD. Ce treizième tome de Metal hurlant axe ses nouvelles graphiques sur ce sujet avec un collectif d'artistes assez hétéroclites et il enrichit les pages BD d'interviews d'auteurs prestigieux tels James Ellroy, Xavier Dolan et Gaspar Noé. Au menu des planches dessinées, vous voyagerez donc pas mal dans un futur proche ou très éloigné, avec des nouvelles graphiques surprenantes et parfois (trop?) complexes ! La vengeance représente bien-sûr le thème central, mais on dénote aussi le transhumanisme, l'écologie et la lutte des classes. On y déniche des talents, comme Simon Leclerc avec Tu te souviendras de moi, qui vous surprendra par son finish; Cecyle Bay avec Perpetuum vendetta sur un scénario de Marc Caro l'acolyte de JP Jeunet sur Delicatessen et La cité des enfants perdus. L'univers présenté et le style de dessin n'est pas sans rappeler Otomo et son Akira, et pour une fois, Marc Caro délaisse les boulons 🙂 ! Dans Good boy, Jonathan Wayshak délivre un noir et blanc crayonné ultra-violent. Joseph Callioni avec Hine-nui-te-pô pose un regard sur la mémoire de son trait aux influences "Moebiusiennes" . Ma préférée étant Vengeance divine, de Marvin Paval et Fabio Ruotolo, Egypte antique, Dieux, vengeance, dessin superbe, j'aimerais voir ce dessinateur italien sur un projet au long cours ! Son dernier opus vient d'être sélectionné au FIBD La forteresse volante, l'italien Miguel Vila y va de sa nouvelle aussi sur fond d'allégorie au conflit russo-ukrainien. Vous l'aurez compris, des pages BD fournies et variées, mais ce n'est pas tout ! James Ellroy nous raconte son dernier livre et sa haine profonde du mythe Marylin Monroe, Xavier Dolan parle de ses peurs et pose son regard l'évolution du cinéma aujourd'hui, enfin Gaspar Noé revient sur la genèse de son film Irréversible qui avait défrayé la chronique lors de sa sortie, mais on parle bien de vengeance ici 😉 . Un regret me concernant, lors des conseils de la rédaction sur des films centrés sur la vengeance, l'oubli de la trilogie du coréen Park Chan-Wook avec Old boy en tête de proue, film culte s'il en est !
  8. Titre de l'album : Métal Hurlant tome 13 - Vengeance Scenariste de l'album : Collectif Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Les humanoides associés Note : Résumé de l'album : On pourrait sans doute dire que la vengeance est l'une des plus vieilles traditions humaines et justifier ce numéro de cette façon. Mais ce serait mentir. Et autant nous revendiquons la vengeance, autant nous refusons le mensonge. Faites comme nous, embrassez la noirceur et acceptez la réalité : l'unique façon de guérir blessures et humiliations est la sublime vengeance ! Critique : La vengeance, thème ô combien repris dans le cinéma, la littérature et bien évidemment la BD. Ce treizième tome de Metal hurlant axe ses nouvelles graphiques sur ce sujet avec un collectif d'artistes assez hétéroclites et il enrichit les pages BD d'interviews d'auteurs prestigieux tels James Ellroy, Xavier Dolan et Gaspar Noé. Au menu des planches dessinées, vous voyagerez donc pas mal dans un futur proche ou très éloigné, avec des nouvelles graphiques surprenantes et parfois (trop?) complexes ! La vengeance représente bien-sûr le thème central, mais on dénote aussi le transhumanisme, l'écologie et la lutte des classes. On y déniche des talents, comme Simon Leclerc avec Tu te souviendras de moi, qui vous surprendra par son finish; Cecyle Bay avec Perpetuum vendetta sur un scénario de Marc Caro l'acolyte de JP Jeunet sur Delicatessen et La cité des enfants perdus. L'univers présenté et le style de dessin n'est pas sans rappeler Otomo et son Akira, et pour une fois, Marc Caro délaisse les boulons 🙂 ! Dans Good boy, Jonathan Wayshak délivre un noir et blanc crayonné ultra-violent. Joseph Callioni avec Hine-nui-te-pô pose un regard sur la mémoire de son trait aux influences "Moebiusiennes" . Ma préférée étant Vengeance divine, de Marvin Paval et Fabio Ruotolo, Egypte antique, Dieux, vengeance, dessin superbe, j'aimerais voir ce dessinateur italien sur un projet au long cours ! Son dernier opus vient d'être sélectionné au FIBD La forteresse volante, l'italien Miguel Vila y va de sa nouvelle aussi sur fond d'allégorie au conflit russo-ukrainien. Vous l'aurez compris, des pages BD fournies et variées, mais ce n'est pas tout ! James Ellroy nous raconte son dernier livre et sa haine profonde du mythe Marylin Monroe, Xavier Dolan parle de ses peurs et pose son regard l'évolution du cinéma aujourd'hui, enfin Gaspar Noé revient sur la genèse de son film Irréversible qui avait défrayé la chronique lors de sa sortie, mais on parle bien de vengeance ici 😉 . Un regret me concernant, lors des conseils de la rédaction sur des films centrés sur la vengeance, l'oubli de la trilogie du coréen Park Chan-Wook avec Old boy en tête de proue, film culte s'il en est ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/metal-hurlant-tome-13-vengeance/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Titre de l'album : Cosmopirates tome 1 - Captif de l'oubli Scenariste de l'album : Alejandro Jodorowsky Dessinateur de l'album : Pete Woods Coloriste : Pete Woods Editeur de l'album : Les humanoides associés Note : Résumé de l'album : Dans un univers où règnent la violence et l'argent, les sept Magnobankiers contrôlent toute la galaxie, exterminant parfois jusqu'à des populations entières afin de conserver leurs privilèges. Lorsque le célèbre assassin Xar-Cero découvre sa responsabilité dans l'une des plus meurtrières opérations menées au nom de ces tyrans, le conseil des Sept décide d'effacer sa mémoire pour annihiler le moindre désir de vengeance. Critique : Agé de 95 ans, Alejandro ne cesse de nous surprendre par la vitalité de ces récits ! Il revient dans son "Jodoverse" avec cette histoire de vengeance très bien illustrée par l'auteur de comics américain Pete Woods. On y retrouve le vocabulaire de l'Incal et la caste des méta-barons, ainsi que cette énergie palpable se dégageant des personnages. Tout va très vite, parfois un peu trop, dans ce premier tome d'une aventure prévue en diptyque. On fait vite la connaissance de ce guerrier-assassin sans foi Xar-Cero, aux motivations uniquement financières et totalement dénué d'humanité. Sa rencontre avec les Magnobankiers va sceller le début d'une nouvelle vie pour lui ! Un effacement total de sa mémoire ainsi qu'une "reprogrammation" de son savoir, va le faire passer d'assassin cupide à médecin de campagne sur une planète lointaine et isolée. Jodorowky s'en donne à coeur joie pour dénoncer une fois de plus l'asservissement de l'homme par l'homme et l'évolution des sentiments humains face à l'indicible. L'amour n'est jamais très loin dans les histoires du poète chilien, même et surtout s'il semble impossible au départ 😉 . A travers les pérégrinations de cet anti-héros, c'est tout une métaphore de sa vision du monde que nous délivre le scénariste. Ce groupe de banquiers omnipotents s'imposant en tant que régisseurs de la galaxie, se donnant jusqu'au droit de vie et de mort, entre en résonance avec les multinationales. La lueur d'espoir étant cet amour naissant, on pense irrémédiablement à la formidable Caste des méta-barons en lisant cette histoire, Jodo déclarera même "récupérer sa jeunesse" en se plongeant de nouveau dans la science-fiction. Un beau cadeau pour l'éditeur Les humanoïdes associés fêtant leurs 50 ans cette année 🙂 . Pour illustrer un space opéra, il est nécessaire d'avoir un dessinateur d'envergure, et Pete Woods est assurément de ceux-là. Il y a du Gimenez et du Rebic dans sa ligne claire hyper réaliste ! Avec des couleurs froides, il s'adapte au monde dépeint par Jodo et donne de la véracité à cette aventure déjantée et explosive. Un sympathique premier tome qui comblera les amoureux du "jodoverse" 😉 ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/cosmopirates-tome-1-captif-de-l-oubli/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Agé de 95 ans, Alejandro ne cesse de nous surprendre par la vitalité de ces récits ! Il revient dans son "Jodoverse" avec cette histoire de vengeance très bien illustrée par l'auteur de comics américain Pete Woods. On y retrouve le vocabulaire de l'Incal et la caste des méta-barons, ainsi que cette énergie palpable se dégageant des personnages. Tout va très vite, parfois un peu trop, dans ce premier tome d'une aventure prévue en diptyque. On fait vite la connaissance de ce guerrier-assassin sans foi Xar-Cero, aux motivations uniquement financières et totalement dénué d'humanité. Sa rencontre avec les Magnobankiers va sceller le début d'une nouvelle vie pour lui ! Un effacement total de sa mémoire ainsi qu'une "reprogrammation" de son savoir, va le faire passer d'assassin cupide à médecin de campagne sur une planète lointaine et isolée. Jodorowky s'en donne à coeur joie pour dénoncer une fois de plus l'asservissement de l'homme par l'homme et l'évolution des sentiments humains face à l'indicible. L'amour n'est jamais très loin dans les histoires du poète chilien, même et surtout s'il semble impossible au départ 😉 . A travers les pérégrinations de cet anti-héros, c'est tout une métaphore de sa vision du monde que nous délivre le scénariste. Ce groupe de banquiers omnipotents s'imposant en tant que régisseurs de la galaxie, se donnant jusqu'au droit de vie et de mort, entre en résonance avec les multinationales. La lueur d'espoir étant cet amour naissant, on pense irrémédiablement à la formidable Caste des méta-barons en lisant cette histoire, Jodo déclarera même "récupérer sa jeunesse" en se plongeant de nouveau dans la science-fiction. Un beau cadeau pour l'éditeur Les humanoïdes associés fêtant leurs 50 ans cette année 🙂 . Pour illustrer un space opéra, il est nécessaire d'avoir un dessinateur d'envergure, et Pete Woods est assurément de ceux-là. Il y a du Gimenez et du Rebic dans sa ligne claire hyper réaliste ! Avec des couleurs froides, il s'adapte au monde dépeint par Jodo et donne de la véracité à cette aventure déjantée et explosive. Un sympathique premier tome qui comblera les amoureux du "jodoverse" 😉 !
  11. poseidon2

    Inhumains

    Titre de l'album : Inhumains Scenariste de l'album : Valérie Mangin / Denis Bajram Dessinateur de l'album : Thibaud De Rochebrune Coloriste : Thibaud De Rochebrune Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Dans un moment de folie, un petit vaisseau spatial en mission d'exploration s'écrase sur une planète océan inconnue. Heureusement des sortes de pieuvres géantes aident les cinq rescapés à remonter à la surface et à rejoindre la seule île à l'horizon. À leur grande surprise, ils sont accueillis sur le rivage par des humains aussi primitifs que bienveillants. Si ces hommes et femmes au sourire figé se révèlent être cannibales, le plus inquiétant reste leur totale docilité. Les naufragés sont-ils condamnés eux aussi à se soumettre à la volonté du mystérieux Grand Tout ? "Inhumain" marque le grand retour au scénario de science-fiction de Valérie Mangin et Denis Bajram. En maître du genre, le couple explore à la fois les entrailles d'un monde mystérieux et les tréfonds de l'âme humaine. Ce récit surprenant et spectaculaire permet au dessin de Thibaud de Rochebrune de se déployer avec sensibilité et vertige. Entre récit addictif et fable philosophique, "Inhumain" questionne notre humanité : la souffrance est-elle forcément le prix de la liberté ? Critique : Je dépile ma pile de honte durant cette fin d'année "confinée" et je me suis arrêté sur Inhumains dont j'avais entendu beaucoup de bien. Je l'ai acheté les yeux fermés pour les auteurs et pour la SF. Et bien.... je n'aurais pas du l'acheter pour ces raisons la 🙂 En effet pour moi Bajram et Mangin c'est de la grande science fiction. Du space opera comme on en lit peu avec des titres comme le Fleau des dieux, Universal war ou encore le dernier troyen. Et la on a une SF très intimiste. A mis chemin entre un huit clos angoissant et de la science fiction philosophique. Alors attention je ne dis pas que ce n'est pas bien, loin de la. Je dis juste que je n'ai pas acheté cette album pour les bonnes raisons. Que vous ne fassiez pas de même. Après pou ce qui est du récit lui même, il est vraiment très bon. Ce "grand tout", même si l'explication est un peu évidente à mon gout, et cette histoire de "colonisation" est vraiment bien pensée. Dur de ne pas trop en dire mais l'idée du couple Mangin/Bajram est bonne et bien réfléchie. Et surtout elle est poussée jusqu'au bout avec une fin qui ne se veut pas la pour plaire aux espérances du lecteurs mais bien pour rester dans une logique "réaliste". Cette histoire offre une réflexion sur l'humanité et sa volonté de libre arbitre. Une vraie bonne lecture porté par un dessin très sympa. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/inhumain?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. poseidon2

    Nocéan tome 3 - Fissures (fin)

    Ah enfin 🙂 Enfin un tome avec un scenario d'envergure plus grande que la simple vie de nos deux copines § c'est un poil dommage que cela n'arrive que pour le dernier tome de cette série. Mais on ne boudera pas le plaisir d'avoir une vraie BD qui mêle aventure, science-fiction et conflit social. Entre impact climatique, lutte des classe et secret sur le passé de Tika, Efa livre dans ce seul album l'étendu des possibilités de son univers pour en faire une lecture très sympa. On se passionne beaucoup plus pour l'histoire de Tika, du Nocéan et de la haute caste que sur la vie elle même de Tika et Atari. La fin est top avec un dernier rebondissement très malin.... Bref LE tome que l'on attendait !
  13. Titre de l'album : Nocéan tome 3 - Fissures (fin) Scenariste de l'album : Efa Dessinateur de l'album : Efa Coloriste : Efa Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Dans un futur où la montée des eaux a redessiné l'Europe, le concept d'océan n'existe plus : c'est le Nocéan. Atari et Tika, les deux jeunes activistes traquées par la police de la cité totalitaire dans laquelle elles tentent de survivre, sont maintenant menacées par les flots déchaînés frappant inlassablement les digues vieillissantes ceinturant les zones basses de la ville. Paniqués, les habitants, tentent de monter vers les zones hautes... Ce que la police lEUR refuse. Atari, Tika et leurs amis n'ont donc que deux solutions : mourir noyés ou tenter le tout pour le tout en accédant au très protégé « Cumulus », commandant tous les systèmes d'accès de la ville... Mais comment Tika connaît-elle le chemin vers le « Cumulus » ? La vérité éclatera bientôt. Et elle sera terrible... Efa conclut sa trilogie d'anticipation à la fois palpitante, raffinée et génératrice d'interrogations sur la marche de notre monde. Son propos est comme toujours servi par un dessin remarquable. Critique : Ah enfin 🙂 Enfin un tome avec un scenario d'envergure plus grande que la simple vie de nos deux copines § c'est un poil dommage que cela n'arrive que pour le dernier tome de cette série. Mais on ne boudera pas le plaisir d'avoir une vraie BD qui mêle aventure, science-fiction et conflit social. Entre impact climatique, lutte des classe et secret sur le passé de Tika, Efa livre dans ce seul album l'étendu des possibilités de son univers pour en faire une lecture très sympa. On se passionne beaucoup plus pour l'histoire de Tika, du Nocéan et de la haute caste que sur la vie elle même de Tika et Atari. La fin est top avec un dernier rebondissement très malin.... Bref LE tome que l'on attendait ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/nocean-tome-3-fissures?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. poseidon2

    N°6 tome 6 & 7

    Ah ben voila on est exactement la ou on voulait être. Définitivement fini les tomes à moitié vides d'histoire. Heureusement d'ailleurs car la série finissant en 9 tomes, il était temps qu'on se concentre sur l'essentiel. Et sur cela ces tomes sont très bons. On apprend ce que l'on attendait depuis le début : on a enfin l'histoire du pays et de la création de N°6 ! Et si ce passé n'est pas vraiment une surprise, elle est bien pensée et met les premières briques de notre fameuse histoire de guêpes. Le tout sans oublier l'aventure avec une infiltration qui n'est pas sans heurts et rebondissements. Bon nos auteurs nous casent quand même des petits passages "ambiguës" entre les deux garçons mais c'est moins prégnant qu'avant. Bref une histoire qui, sauf catastrophe, se sera bonifiée du début à la fin. La suite et fin dans les deux prochains tomes.
  15. poseidon2

    N°6 tome 6 & 7

    Titre de l'album : N°6 tome 6 & 7 Scenariste de l'album : Atsuko Asano Dessinateur de l'album : Hinoki Kino Coloriste : Editeur de l'album : Vega-Dupuis Note : Résumé de l'album : Shion et Nezumi s'infiltrent dans N°6 afin d'enquêter sur les machinations de la cité et retrouver Safu. Mais plus nos protagonistes avancent, plus ils découvrent les horribles pratiques des dirigeants de la ville. Dans ce tome, nos protagonistes se retrouvent dans une mystérieuse grotte où ils rencontrent un groupe d'hommes s'intéressant eux aussi à N°6. Sont-ils des alliés ou des ennemis ? Nos héros arriveront-ils à retrouver Safu et à mettre hors d'état de nuire les responsables de toutes les horreurs pratiquées dans cette cité ? Critique : Ah ben voila on est exactement la ou on voulait être. Définitivement fini les tomes à moitié vides d'histoire. Heureusement d'ailleurs car la série finissant en 9 tomes, il était temps qu'on se concentre sur l'essentiel. Et sur cela ces tomes sont très bons. On apprend ce que l'on attendait depuis le début : on a enfin l'histoire du pays et de la création de N°6 ! Et si ce passé n'est pas vraiment une surprise, elle est bien pensée et met les premières briques de notre fameuse histoire de guêpes. Le tout sans oublier l'aventure avec une infiltration qui n'est pas sans heurts et rebondissements. Bon nos auteurs nous casent quand même des petits passages "ambiguës" entre les deux garçons mais c'est moins prégnant qu'avant. Bref une histoire qui, sauf catastrophe, se sera bonifiée du début à la fin. La suite et fin dans les deux prochains tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/n-6-tome-6?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Kevin Nivek

    Mekka nikki tome 4

    Ainsi sonne le glas des aventures de Nikki et ses amis dans un déluge d'action ! Avec cette ultime aventure, les masques tombent, tout est révélé et l'action timide du livre précédent, se réveille dans un déluge de rebondissements et de scènes chocs ! Nous avions laissé notre équipe aux pieds de la plate-forme en toute fin du tome 3, là elle va gravir les étages façon Bruce Lee dans Le jeu de la mort ! A chaque niveau, un boss et son cortège de révélations 😉 . Ils avancent, non sans mal et au prix d'efforts surhumains, pour finir sur la confrontation finale avec l'antagoniste principal Visage, point d'orgue de cette ascension infernale. La scénariste Exaheva termine donc cette aventure avec une histoire tenant la route depuis le tout début, on s'aperçoit que rien n'était laissé au hasard, tout avait un sens et se révèle en toute fin. Une construction lente et précise du récit avec de multiples "sous-histoires" connectées entre-elles au service du fil principal conducteur. Il n'est pas chose aisée de conclure en satisfaisant les lecteurs, je pense que le pari est gagné, car elle se permet même de... Non, je vous laisse le découvrir, si vous lisez cette critique, il est évident que vous avez lu les tomes précédents et lirez donc le quatrième 😉 . Sachez qu'il possible que les droits soient rachetés pour une éventuelle adaptation en série animée ! Si vous aimez les univers originaux et être surpris, je pense que cette quadrilogie est pour vous, j'y verrais presque une légère ressemblance avec la série de comics Saga (éditeur Urban), imaginant un univers totalement différent du notre.
  17. Titre de l'album : Mekka nikki tome 4 Scenariste de l'album : Exaheva Dessinateur de l'album : Félix Laurent Coloriste : Editeur de l'album : Les humanoides associés Note : Résumé de l'album : Pour délivrer ses proches de leur malédiction, Nikki se lance dans une quête faite de dangers dont elle ne mesure pas encore l'ampleur ! Une terrible malédiction s'est abattue sur le village de Nikki, pétrifiant un à un ses habitants. Sans nouvelles de son père depuis plus de dix ans, elle s'élance à son tour à la recherche d'un remède par-delà la forêt, un territoire infesté de créatures effroyables. Dans sa quête désespérée, elle est recueillie par une communauté qui se défend contre les attaques d'une planète lointaine. Aidée de ses jambes mécaniques et d'un petit robot facétieux, Nikki décide de se battre à leurs côtés et se découvre des pouvoirs insoupçonnés... Critique : Ainsi sonne le glas des aventures de Nikki et ses amis dans un déluge d'action ! Avec cette ultime aventure, les masques tombent, tout est révélé et l'action timide du livre précédent, se réveille dans un déluge de rebondissements et de scènes chocs ! Nous avions laissé notre équipe aux pieds de la plate-forme en toute fin du tome 3, là elle va gravir les étages façon Bruce Lee dans Le jeu de la mort ! A chaque niveau, un boss et son cortège de révélations 😉 . Ils avancent, non sans mal et au prix d'efforts surhumains, pour finir sur la confrontation finale avec l'antagoniste principal Visage, point d'orgue de cette ascension infernale. La scénariste Exaheva termine donc cette aventure avec une histoire tenant la route depuis le tout début, on s'aperçoit que rien n'était laissé au hasard, tout avait un sens et se révèle en toute fin. Une construction lente et précise du récit avec de multiples "sous-histoires" connectées entre-elles au service du fil principal conducteur. Il n'est pas chose aisée de conclure en satisfaisant les lecteurs, je pense que le pari est gagné, car elle se permet même de... Non, je vous laisse le découvrir, si vous lisez cette critique, il est évident que vous avez lu les tomes précédents et lirez donc le quatrième 😉 . Sachez qu'il possible que les droits soient rachetés pour une éventuelle adaptation en série animée ! Si vous aimez les univers originaux et être surpris, je pense que cette quadrilogie est pour vous, j'y verrais presque une légère ressemblance avec la série de comics Saga (éditeur Urban), imaginant un univers totalement différent du notre. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mekka-nikki-tome-4/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Kevin Nivek

    Mekka Nikki tome 3

    Les Humanoïdes associés nous gâtent en sortant simultanément les tomes 3 et 4 de l'oeuvre hybride BD/manga des deux auteurs Exaheva et Félix Laurent. On va donc en apprendre un peu plus sur cet univers créé avec le conflit entre la planète et sa lune, voire peut-être les raisons de cette maladie pétrifiante 😉 ! Mais avant, souvenez-vous de cette fin chaotique du tome 2 avec notre intrépide Nikki en bien mauvaise posture suite au crash de son aéronef. Vous allez la retrouver "différente" et sur le point de baisser les bras dans sa quête de remède et de libération. Mais elle pourra compter sur l'aide de nouveaux amis ainsi que des belles surprises jalonnant le récit. C'est un tome transitoire, préparant le grand feu d'artifice vraisemblablement prévu pour l'ultime ouvrage clôturant cette histoire. Les personnages se reconstruisent, mentalement et physiquement, la réorganisation de la lutte finale contre "Visage" commence ses prémices. Exaheva met en avant l'humain dans cette histoire et délaisse un peu l'action, ce qui n'est pas pour déplaire, car elle le fait bien et sans excès de pathos. Elle répond à de nombreuses questions au fil du récit et cela se fait en toute intelligence et fluidité. Félix Laurent poursuit lui son style graphique "manga" en noir et blanc, efficace et sans fioritures, détaillant juste le nécessaire au bon déroulé de l'histoire. La suite très vite pour le dénouement de cette aventure SF pas comme les autres !
  19. Titre de l'album : Mekka Nikki tome 3 Scenariste de l'album : Exaheva Dessinateur de l'album : Félix Laurent Coloriste : Editeur de l'album : Les humanoides associés Note : Résumé de l'album : Pour délivrer ses proches de leur malédiction, Nikki se lance dans une quête faite de dangers dont elle ne mesure pas encore l'ampleur ! Une terrible malédiction s'est abattue sur le village de Nikki, pétrifiant un à un ses habitants. Sans nouvelles de son père depuis plus de dix ans, elle s'élance à son tour à la recherche d'un remède par-delà la forêt, un territoire infesté de créatures effroyables. Dans sa quête désespérée, elle est recueillie par une communauté qui se défend contre les attaques d'une planète lointaine. Aidée de ses jambes mécaniques et d'un petit robot facétieux, Nikki décide de se battre à leurs côtés et se découvre des pouvoirs insoupçonnés... Critique : Les Humanoïdes associés nous gâtent en sortant simultanément les tomes 3 et 4 de l'oeuvre hybride BD/manga des deux auteurs Exaheva et Félix Laurent. On va donc en apprendre un peu plus sur cet univers créé avec le conflit entre la planète et sa lune, voire peut-être les raisons de cette maladie pétrifiante 😉 ! Mais avant, souvenez-vous de cette fin chaotique du tome 2 avec notre intrépide Nikki en bien mauvaise posture suite au crash de son aéronef. Vous allez la retrouver "différente" et sur le point de baisser les bras dans sa quête de remède et de libération. Mais elle pourra compter sur l'aide de nouveaux amis ainsi que des belles surprises jalonnant le récit. C'est un tome transitoire, préparant le grand feu d'artifice vraisemblablement prévu pour l'ultime ouvrage clôturant cette histoire. Les personnages se reconstruisent, mentalement et physiquement, la réorganisation de la lutte finale contre "Visage" commence ses prémices. Exaheva met en avant l'humain dans cette histoire et délaisse un peu l'action, ce qui n'est pas pour déplaire, car elle le fait bien et sans excès de pathos. Elle répond à de nombreuses questions au fil du récit et cela se fait en toute intelligence et fluidité. Félix Laurent poursuit lui son style graphique "manga" en noir et blanc, efficace et sans fioritures, détaillant juste le nécessaire au bon déroulé de l'histoire. La suite très vite pour le dénouement de cette aventure SF pas comme les autres ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mekka-nikki-tome-3/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Titre de l'album : Air tome 2 - Dans les gouffres amers (Fin) Scenariste de l'album : Philippe Pelaez Dessinateur de l'album : Francis Porcel Coloriste : Francis Porcel Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : Qui contrôle l'air, contrôle l'humanité... À Rodya, depuis que des météorites se sont écrasées sur le permasfrost, l'air est devenu irrespirable. L'État gère la distribution d'air et s'est lancé dans la construction d'aéronefs censés aspirer les particules nocives. Mais un mystérieux groupe terroriste sabote systématiquement les vaisseaux. Troy Denen, un membre du Comité central, est chargé d'infiltrer le réseau rebelle. Mais alors qu'il pense trouver les responsables de la mort de femme et de son fils, il apprend que c'est en réalité le gouvernement qui est à l'origine de toutes les attaques. Le but ? Entretenir un climat de peur et manipuler la population. Pour Troy Denen, la vengeance prend alors une tout autre tournure... Critique : J'attendais avec impatience la fin de ce diptyque. En effet le premier était super imaginatif. Le mix entre pollution, catastrophe et magouille de pouvoir, était déjà très bon. Il fallait maintenant finir l'histoire de belle façon et c'est chose faite dans ce tome deux. Avec en passant une superbe description de la manipulation des masses par la peur et de la dérive autoritaire qui en découle. Je ne pense pas me tromper en pensant que le dictateur de Rodya est inspiré de la prise de pouvoir et de la gestion d'un certain Vladimir P. Le mélange politique/vengeance/rébellion prend très bien et Philippe Pelaez nous livre une histoire qui tient toutes ces promesses. On regrettera juste la fin un peu trop abrupte pour rester dans les 64 pages du format. 2 de plus pour amortir la chute et la note aurait été parfaite. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/air-tome-2-dans-les-gouffres-amers?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. J'attendais avec impatience la fin de ce diptyque. En effet le premier était super imaginatif. Le mix entre pollution, catastrophe et magouille de pouvoir, était déjà très bon. Il fallait maintenant finir l'histoire de belle façon et c'est chose faite dans ce tome deux. Avec en passant une superbe description de la manipulation des masses par la peur et de la dérive autoritaire qui en découle. Je ne pense pas me tromper en pensant que le dictateur de Rodya est inspiré de la prise de pouvoir et de la gestion d'un certain Vladimir P. Le mélange politique/vengeance/rébellion prend très bien et Philippe Pelaez nous livre une histoire qui tient toutes ces promesses. On regrettera juste la fin un peu trop abrupte pour rester dans les 64 pages du format. 2 de plus pour amortir la chute et la note aurait été parfaite.
  22. Surprises et révélations, voila ce qui vous attend au programme de ce tome 3 de A-Lan. Tome qui marque le fin... de ce premier arc. Mais une fin intéressante quand même qui a le mérite de traiter toutes les questions en suspens, de l'histoire de VDN à la vérité sur Nao, A-Lan et sur Tabata ! Des révélations bien amenées et complétant merveilleusement une trilogie de SF pour adolescents magnifiquement illustrée ! Nos personnages sont toujours très attachants, le côté SF prépondérant mais sans que cela soit très compliqué, et l'ensemble dynamique et prenant formant une trilogie SF pour ado parmi les plus réussies de ces dernières années. La fin laisse imaginer une suite que je ne bouderais pas forcément, là où d'habitude, je milite contre !
  23. Titre de l'album : A-Lan tome 3 - Zéro day exploit Scenariste de l'album : BéKa Dessinateur de l'album : Thomas Labourot Coloriste : Thomas Labourot Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Grosse surprise pour Nao, Emoji et le robot A-Lan : ils pensaient avoir détruit le Virtual Dark Net (VDN) mais celui-ci s'est complètement reconstruit à partir du vieil ordinateur qui traîne dans la famille de Nao depuis le XXe siècle ! En interrogeant Huguette, l'Intelligence Artificielle qui a élevé Nao, nos deux amis comprennent que derrière cette reconstruction se cache un fantôme numérique qui n'est autre que Tabata, l'aïeule de Nao, persuadée que, sans le VDN, les algorithmes prendraient le pouvoir et les humains deviendraient leurs esclaves... Avec A-Lan, les Beka et Thomas Labourot nous proposent une série jeunesse très riche : une aventure de SF humoristique alliée à des personnages sensibles et à une vraie réflexion sur la puissance et les dangers du numérique. Critique : Surprises et révélations, voila ce qui vous attend au programme de ce tome 3 de A-Lan. Tome qui marque le fin... de ce premier arc. Mais une fin intéressante quand même qui a le mérite de traiter toutes les questions en suspens, de l'histoire de VDN à la vérité sur Nao, A-Lan et sur Tabata ! Des révélations bien amenées et complétant merveilleusement une trilogie de SF pour adolescents magnifiquement illustrée ! Nos personnages sont toujours très attachants, le côté SF prépondérant mais sans que cela soit très compliqué, et l'ensemble dynamique et prenant formant une trilogie SF pour ado parmi les plus réussies de ces dernières années. La fin laisse imaginer une suite que je ne bouderais pas forcément, là où d'habitude, je milite contre ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/a-lan-tome-3-zero-day-exploit?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Titre de l'album : Rebuild the world tome 9 Scenariste de l'album : Nahuse Dessinateur de l'album : Kirihito Ayamura Coloriste : Editeur de l'album : Vega-Dupuis Note : Résumé de l'album : Le combat d'Akira lui a permis de passer à un stade supérieur, mais il a aussi laissé des traces dans la psyché de notre héros. Traumatisé par la terrifiante tueuse, il cauchemarde la nuit et revoit son affrontement encore et toujours. Même s'il a vaincu son adversaire, cela le pousse à s'entraîner encore plus durement et il s'interroge sur l'utilité de rejoindre un groupe parmi les chasseuses qu'il connaît. Mais ce jusqu'auboutisme est en train d'influencer son caractère et lors de ses combats suivants, il se laisse gagner par un mode Berserker de plus en plus violent. Critique : Retour à la base de notre manga après un arc de combat contre les pilleurs : on repart dans de l'exploration de ruine et la gestion des "trésors" qui s'y trouvent. Akira trouve une ruine inexploitée et notre manga se concentre donc sur cette découverte, mais aussi l'apprentissage du commerce et de la gestion de ce trésor. En effet si akira veut garder les gains des trouvailles pour lui, il faut qu'il manie avec doigté les informations qu'il distille. Ce tome est un tome plus posé où l'on s'amuse des découvertes des "artefacts" (genre sous-vêtements) et leurs raretés. Un tome qui permet aussi à Akira de commencé à se passer de son IA et de réfléchir un peu par lui-même. Bref un tome de transition intéressant. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/rebuild-the-world-tome-9?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. poseidon2

    Rebuild the world tome 9

    Retour à la base de notre manga après un arc de combat contre les pilleurs : on repart dans de l'exploration de ruine et la gestion des "trésors" qui s'y trouvent. Akira trouve une ruine inexploitée et notre manga se concentre donc sur cette découverte, mais aussi l'apprentissage du commerce et de la gestion de ce trésor. En effet si akira veut garder les gains des trouvailles pour lui, il faut qu'il manie avec doigté les informations qu'il distille. Ce tome est un tome plus posé où l'on s'amuse des découvertes des "artefacts" (genre sous-vêtements) et leurs raretés. Un tome qui permet aussi à Akira de commencé à se passer de son IA et de réfléchir un peu par lui-même. Bref un tome de transition intéressant.
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