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Titre de l'album : Tatari tome 2 Scenariste de l'album : Watari Dessinateur de l'album : Watari Coloriste : Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Tatari est un grand yokai, un bakeneko, qui a pris l'apparence de son ami Takeru après sa mort. Il fréquentait le lycée à sa place, incognito, mais Haruka Abe, descendant d'un onmyoji, l'a démasqué, rouvrant ainsi la porte d'un affrontement vieux de 1000 ans ! Quelle sera l'issue de ce combat ?! Pendant ce temps, à Hong-Kong, une bataille éclate entre les héritiers Belter, Setsuna, et d'autres yokais ! Critique : Pendant que Tatari combat Haruka qui essaye de l’exterminer, les frères et sœurs de Takeru se réunissent pour parler de la guerre de succession, chacun étant accompagné d’un yokai. Mais l’un d’eux avait prévu de profiter de la situation pour se débarrasser des autres et le combat est inévitable dévoilant les ambitions de chacun. Après des années passées comme chat domestique auprès de maîtres aimants, Tatari a changé : d’un yokai intraitable qu’il était autrefois, il se laisse influencer par l’esprit de Takeru et offre même son aide à ses proches. Seulement, entre les autres yokais et les onmyojis, il doit rester sur ses gardes et être prêt à combattre, car ce n’est que le début ! Si l’action est très présente dans le manga, ce n’est pas non plus la seule thématique du récit. On retrouve des histoires d’école, de l’amitié, de l’entraide… Tatari est devenu plus humain et cela se ressent dans ses actions. On peut donc ainsi passer d’un rythme à un autre et souffler un peu dans la lecture. Ce deuxième tome rentre un peu plus dans le vif du sujet et nous donne envie d’en savoir plus. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tatari-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Pendant que Tatari combat Haruka qui essaye de l’exterminer, les frères et sœurs de Takeru se réunissent pour parler de la guerre de succession, chacun étant accompagné d’un yokai. Mais l’un d’eux avait prévu de profiter de la situation pour se débarrasser des autres et le combat est inévitable dévoilant les ambitions de chacun. Après des années passées comme chat domestique auprès de maîtres aimants, Tatari a changé : d’un yokai intraitable qu’il était autrefois, il se laisse influencer par l’esprit de Takeru et offre même son aide à ses proches. Seulement, entre les autres yokais et les onmyojis, il doit rester sur ses gardes et être prêt à combattre, car ce n’est que le début ! Si l’action est très présente dans le manga, ce n’est pas non plus la seule thématique du récit. On retrouve des histoires d’école, de l’amitié, de l’entraide… Tatari est devenu plus humain et cela se ressent dans ses actions. On peut donc ainsi passer d’un rythme à un autre et souffler un peu dans la lecture. Ce deuxième tome rentre un peu plus dans le vif du sujet et nous donne envie d’en savoir plus.
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Au pays des légendes, du folklore et des yokais, Ryôya est un renard un peu coquin qui aime bien piquer de la nourriture à l’auberge où travaille Kokufû. Mais il est aussi du genre à s’attirer des problèmes, comme lorsque, voulant récupérer un tableau issu de son passé, il devient la cible de Benimaru, un ogre qui compte bien faire de lui son quatre-heures. Il demande alors de l’aide à Kokufû sans savoir que ce dernier est amoureux de lui depuis longtemps. Derrière l’aspect fantastique, l’amour est le thème principal de ce manga. Il y a l’amour secret de Kokufû envers Ryôya : un amour non avoué qui veille avec tendresse sur l’être aimé. Celui de Ryôya pour le peintre du tableau : un amour non conscient empreint de tristesse et de mélancolie qui dure depuis longtemps. Il y a l’amour physique de Benimaru envers le renard mais aussi avec son frère. Il y a un certain nombre de points intéressants dans l’histoire mais peut-être un peu trop dès le début, c’est légèrement fouillis. En plus d’attendre une issue joyeuse à la relation entre les deux personnages principaux, on a envie d’en savoir un peu plus sur les mystères du récit. Un manga à suivre donc.
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Titre de l'album : Mon amour secret tome 1 Scenariste de l'album : Emu Sotome Dessinateur de l'album : Emu Sotome Coloriste : Editeur de l'album : Taifu Note : Résumé de l'album : Dans un monde peuplé de monstres et de yokai, le jeune dragon Kurokaze travaille dans un ryôkan où il côtoie régulièrement Ryoya, un dieu renard turbulent. Celui-ci est toujours en train de s'attirer des ennuis, et Kurokaze ne peut pas s'empêcher d'avoir envie de le protéger. Un jour, Ryoya trouve la piste d'une peinture qu'il cherchait depuis de très nombreuse années. Malheureusement, celle-ci est en possession d'un démon puissant, qui perçoit tout à fait à quel point Ryoya la désire... Et jusqu'où Ryoya serait prêt à aller pour l'obtenir. Critique : Au pays des légendes, du folklore et des yokais, Ryôya est un renard un peu coquin qui aime bien piquer de la nourriture à l’auberge où travaille Kokufû. Mais il est aussi du genre à s’attirer des problèmes, comme lorsque, voulant récupérer un tableau issu de son passé, il devient la cible de Benimaru, un ogre qui compte bien faire de lui son quatre-heures. Il demande alors de l’aide à Kokufû sans savoir que ce dernier est amoureux de lui depuis longtemps. Derrière l’aspect fantastique, l’amour est le thème principal de ce manga. Il y a l’amour secret de Kokufû envers Ryôya : un amour non avoué qui veille avec tendresse sur l’être aimé. Celui de Ryôya pour le peintre du tableau : un amour non conscient empreint de tristesse et de mélancolie qui dure depuis longtemps. Il y a l’amour physique de Benimaru envers le renard mais aussi avec son frère. Il y a un certain nombre de points intéressants dans l’histoire mais peut-être un peu trop dès le début, c’est légèrement fouillis. En plus d’attendre une issue joyeuse à la relation entre les deux personnages principaux, on a envie d’en savoir un peu plus sur les mystères du récit. Un manga à suivre donc. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mon-amour-secret-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Retour à Tomioka Scenariste de l'album : Laurent Galandon Dessinateur de l'album : Michaël Crouzat Coloriste : Andrès Garrido Martin , Clara Patino Bueno Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Osamu partage avec sa grand-mère son goût pour le merveilleux. Proche des yôkai, ces créatures magiques et malicieuses, il se tient loin des humains depuis qu'ils ont fui Tomioka après l'accident nucléaire de Fukushima. Mais lorsque Bâ-chan décède, Osamu ne peut se résoudre à l'enterrer loin de leur maison. Il convainc alors sa soeur, Akiko, de fuguer pour déposer ses cendres au pied de l'autel familial, au coeur de la zone interdite... Critique : Et voilà , premier coup de coeur pour cette rentrée littéraire avec cet excellent Retour à Tomioka , du talentueux Laurent Galandon . Avec pour toile de fond la catastrophe de Fukushima , il dresse le portrait d'une partie des habitants ayant souffert de ce drame , tout en amenant un optimisme pour l'avenir , d'une sincérité émouvante . " Parce que s'adresser aux jeunes sur les thèmes contemporains , comme ceux soulevés dans le livre , c'est planter les graines de l'analyse critique chez les adolescents et les adultes en devenir" . Cette déclaration du scénariste représente l'essence même de cette aventure familiale . Pas un pamphlet contre le nucléaire , mais une prise de conscience par le biais d'une aventure somme toute humaine . Il incorpore avec talent le traditionalisme nippon ainsi que les croyances avec les fameux yokais que les plus jeunes peuvent apercevoir . Lorsque sa grand-mère décède , le jeune Osamu se lance dans une quête désespérée mais aussi initiatique pour ramener les cendres de la défunte sur l'autel familial en pleine zone contaminée et interdite au public . On plonge avec notre intrépide héros dans les méandres des rues abandonnées , avec les commerces et autres maisons laissées à la nature reprenant ses droits . Accompagné de sa soeur Akiko , ils accompliront l'impensable car , sans passé , sans tradition , on ne peut nourrir d'ambitions futures , surtout dans un pays à l'histoire aussi riche que le Japon . De la tension , de l'émotion , une course poursuite haletante dans un milieu naturel si particulier . Pour sa première oeuvre dans le monde de la BD , Michaël Crouzat réalise de jolies planches avec des personnages aux traits "manga" , très fidèles aux arts dessinés locaux . Il a puisé dans de nombreuses photographies prises sur les lieux , dans un grand soucis de conformité et respect , pour mieux nous immerger . Une réussite totale ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/retour-a-tomioka/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Et voilà , premier coup de coeur pour cette rentrée littéraire avec cet excellent Retour à Tomioka , du talentueux Laurent Galandon . Avec pour toile de fond la catastrophe de Fukushima , il dresse le portrait d'une partie des habitants ayant souffert de ce drame , tout en amenant un optimisme pour l'avenir , d'une sincérité émouvante . " Parce que s'adresser aux jeunes sur les thèmes contemporains , comme ceux soulevés dans le livre , c'est planter les graines de l'analyse critique chez les adolescents et les adultes en devenir" . Cette déclaration du scénariste représente l'essence même de cette aventure familiale . Pas un pamphlet contre le nucléaire , mais une prise de conscience par le biais d'une aventure somme toute humaine . Il incorpore avec talent le traditionalisme nippon ainsi que les croyances avec les fameux yokais que les plus jeunes peuvent apercevoir . Lorsque sa grand-mère décède , le jeune Osamu se lance dans une quête désespérée mais aussi initiatique pour ramener les cendres de la défunte sur l'autel familial en pleine zone contaminée et interdite au public . On plonge avec notre intrépide héros dans les méandres des rues abandonnées , avec les commerces et autres maisons laissées à la nature reprenant ses droits . Accompagné de sa soeur Akiko , ils accompliront l'impensable car , sans passé , sans tradition , on ne peut nourrir d'ambitions futures , surtout dans un pays à l'histoire aussi riche que le Japon . De la tension , de l'émotion , une course poursuite haletante dans un milieu naturel si particulier . Pour sa première oeuvre dans le monde de la BD , Michaël Crouzat réalise de jolies planches avec des personnages aux traits "manga" , très fidèles aux arts dessinés locaux . Il a puisé dans de nombreuses photographies prises sur les lieux , dans un grand soucis de conformité et respect , pour mieux nous immerger . Une réussite totale !