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  1. Kevin Nivek

    Eden corp

    Titre de l'album : Eden corp Scenariste de l'album : Christopher Sebela , Abel Ferry, Alain Bismut Dessinateur de l'album : Marc Laming Coloriste : Lee Loughridge Editeur de l'album : Les humanoides associés Note : Résumé de l'album : Montée clandestinement à bord d'un vaisseau de l'Eden Corp conduisant des humains vers un monde meilleur, une famille fait une découverte qui va bouleverser le cours du voyage... Sur une Terre surpeuplée et en proie à la violence, Gabe et sa famille survivent grâce à des petits cambriolages. L'espoir représenté par les croiseurs stellaires, qui emmènent des colons vers un lointain paradis, semble hors d'atteinte. Alors, quand l'opportunité de prendre la place d'une autre famille à bord d'un vaisseau se présente, Gabe, Morgan et leur fille Kali décident de faire ce qu'il faut pour survivre. Mais une fois à bord, le rêve vire rapidement au cauchemar... Critique : Ah ça, vous allez être surpris en embarquant à bord du vaisseau gigantesque de la compagnie Eden corp ! Dans un monde futur où nous sommes trop nombreux sur terre et en proie à des problèmes écologiques , la découverte d'une nouvelle planète en capacité de nous accueillir tombe à point nommé . De régulières loteries sont organisées afin de choisir de façon aléatoire les heureux élus en partance pour ce nouveau monde . Le bon père de famille gabe (pas si "bon" que ça ) y joue de façon assidue , gardant cet espoir de côté afin de ne plus avoir à vivre des larcins que sa femme , sa fille et lui , commettent pour survivre . Aussi , lorsque qu'une famille voisine (père , mère, fille du même âge) gagne , Gabe saute sur l'occasion et prend leur place de façon totalement interdite . Les voilà à bord du vaisseau prêts à être cryogénisés dans des caissons " bioscann " , réglés donc sur le vainqueur supposé de la loterie 😉 Vous voyez venir l'incompatibilité ? Ce problème de réveil anticipé , mais en réalité salvateur , va les mener vers bien dans des dangers et le récit va prendre des allures de thriller dans un huis clos glaçant et hostile . Je ne vous en dis pas plus , mais sachez que les rebondissements sont nombreux et l'action omniprésente . Parti d'une idée originale des compères Alain Bismut et Abel Ferry , Christopher Sebela a écrit ce scénario de sa ville de Portland . Il parvient à faire monter la tension progressivement tout en stimulant le lecteur : comment cela va t'il finir ? Quelle échappatoire pour notre trio familial ?? Marc Laming réalise un travail remarquable de réalisme , les expressions des visages , les détails dans les coursives du vaisseau , les costumes , son trait immerge le lecteur ! Il faut souligner aussi le travail sur les couleurs et jeux de lumières saisissants , car les phases dans l'obscurité sont excessivement bien traitées . Cela donne une nouvelle oeuvre SF fidèle aux standards des "Humano" et un bon one-shot à lire bien emmitouflé sous un plaid par un jour de pluie 🙂 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/eden-corp/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. The_PoP

    La Légion sombre

    Titre de l'album : La Légion sombre Scenariste de l'album : Louis Dessinateur de l'album : Erwan Seure - Lebihan Coloriste : Erwan Seure - Lebihan Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : En quête permanente de recrues et de défis et sous l'égide de son chef suprême, Reid Eckart, l'armée d'I.S.S. Snipers s'est rebaptisée : « la Légion Sombre ». Dans cet univers sans espoir où seuls les plus forts survivent, Erioch prendra sous son aile Khali et leur rivalité s'étalera sur des années. La Légion Sombre semble quant à elle, sur le point d'éradiquer la dernière poche de résistance. Critique : Bon la Légion sombre s'adresse aux fans inconditionnels de ISS SNipers. Guerriers surpuissants, morale douteuse, montée en puissance, pouvoirs limite surnaturels, le tout dans un univers de sf en guerre permanente. Ce n'est pas très fin, cela donne suite directement aux derniers tomes de iss snipers, et les amateurs ne seront pas déboussolés pour deux sous par ce nouvel opus puisqu'on retrouve les mêmes personnages, le même univers, et que cela se passe directement après la fin de iss snipers. Graphiquement cela reste très joli, c'est de la belle sf, comme soleil sait bien le faire. Côté histoire là je vais être plus mesuré car c'est aussi vite lu qu'oublié. Pour développer un peu, ce que je trouve dommage dans cet univers de méchants surpuissants c'est que globalement cela manque un peu de finesse et que le "toujours plus méchant et sans coeur" montre vite ses limites. Les persos ne sont pas franchement attachants, et les méchants manquent de nuances. En résumé, cette série a pour moi les mêmes défauts et qualités qu'ISS Snipers... A réserver donc aux amateurs de cette dernière, pour les autres, je conseille plutôt de commencer par Conquêtes. Autres infos : Suite de ISS SNipers Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-legion-sombre-iss-snipers?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. The_PoP

    La Légion sombre

    Bon la Légion sombre s'adresse aux fans inconditionnels de ISS SNipers. Guerriers surpuissants, morale douteuse, montée en puissance, pouvoirs limite surnaturels, le tout dans un univers de sf en guerre permanente. Ce n'est pas très fin, cela donne suite directement aux derniers tomes de iss snipers, et les amateurs ne seront pas déboussolés pour deux sous par ce nouvel opus puisqu'on retrouve les mêmes personnages, le même univers, et que cela se passe directement après la fin de iss snipers. Graphiquement cela reste très joli, c'est de la belle sf, comme soleil sait bien le faire. Côté histoire là je vais être plus mesuré car c'est aussi vite lu qu'oublié. Pour développer un peu, ce que je trouve dommage dans cet univers de méchants surpuissants c'est que globalement cela manque un peu de finesse et que le "toujours plus méchant et sans coeur" montre vite ses limites. Les persos ne sont pas franchement attachants, et les méchants manquent de nuances. En résumé, cette série a pour moi les mêmes défauts et qualités qu'ISS Snipers... A réserver donc aux amateurs de cette dernière, pour les autres, je conseille plutôt de commencer par Conquêtes.
  4. Kevin Nivek

    Avenir

    En usant des oeuvres passées comme 1984 de Orwell ou encore des principes de liberté de Rousseau , les auteurs imaginent un futur sous dominance de l'IA . Ainsi , l'IA détermine l'avenir de nos enfants en fonction d'algorithmes bien définis en vue d'orientations "forcées" n'autorisant aucun échec . Le chômage et la délinquance diminuent , les résultats semblent probants . L'histoire suit donc cette famille avec le jeune Matt soumis à ces tests avec un résultat négatif . Ses parents sont divisés sur le sujet , aussi sa mère tente le tout pour le tout afin de démontrer les failles du système , cette dernière croyant aux chances de son fils à un avenir autre que celui prédit . Elle et son frère journaliste , se lancent dans une quête sur les dessous de cette IA si omnipotente , mais aussi dans une introspection . Les auteurs posent ces questions essentielles : sommes-nous libres et avons-nous réellement envie de l'être ? Un avenir tracé par une IA , en dépit des rêves et autres souhaits établis durant l'enfance ? Un calcul froid et mathématique face à l'imaginaire et l'art ! Comment cette croisade familiale pour "sauver" Matt va t'elle se finir ? Dans cette course poursuite , vous découvrirez le travail de Eliot le dessinateur formé à l'école belge . Il signe sa première oeuvre avec ce one-shot . Son trait crayonné et rond propose des planches sombres et pluvieuses . Les visages sont expressifs et facilement reconnaissables . Le découpage des scènes est pertinent et sert un récit qui va à toute allure .
  5. Kevin Nivek

    Avenir

    Titre de l'album : Avenir Scenariste de l'album : Pierre-Roland Saint-Dizier , Pierre Benazech Dessinateur de l'album : Eliot Coloriste : Eliot , Julia Reynaud Editeur de l'album : Ankama Note : Résumé de l'album : Dans un futur proche, secoué par une crise économique profonde, l'intelligence artificielle est utilisée pour définir les prédispositions des enfants. Ce procédé mis au point par l'Institut CentrAvenir détermine la voie professionnelle à suivre, ne laissant guère de place aux aspirations personnelles. Quand le jeune Matt est soumis aux tests du programme ScanPsy, le constat est sans appel : il risque de développer des troubles du comportement et doit être placé dans un établissement adapté. Pour le soustraire à un avenir morose et lui permettre de réaliser son rêve de devenir artiste, sa famille va tout tenter. Mais la liberté a un prix qu'ils ne sont peut-être pas prêts à payer... Critique : En usant des oeuvres passées comme 1984 de Orwell ou encore des principes de liberté de Rousseau , les auteurs imaginent un futur sous dominance de l'IA . Ainsi , l'IA détermine l'avenir de nos enfants en fonction d'algorithmes bien définis en vue d'orientations "forcées" n'autorisant aucun échec . Le chômage et la délinquance diminuent , les résultats semblent probants . L'histoire suit donc cette famille avec le jeune Matt soumis à ces tests avec un résultat négatif . Ses parents sont divisés sur le sujet , aussi sa mère tente le tout pour le tout afin de démontrer les failles du système , cette dernière croyant aux chances de son fils à un avenir autre que celui prédit . Elle et son frère journaliste , se lancent dans une quête sur les dessous de cette IA si omnipotente , mais aussi dans une introspection . Les auteurs posent ces questions essentielles : sommes-nous libres et avons-nous réellement envie de l'être ? Un avenir tracé par une IA , en dépit des rêves et autres souhaits établis durant l'enfance ? Un calcul froid et mathématique face à l'imaginaire et l'art ! Comment cette croisade familiale pour "sauver" Matt va t'elle se finir ? Dans cette course poursuite , vous découvrirez le travail de Eliot le dessinateur formé à l'école belge . Il signe sa première oeuvre avec ce one-shot . Son trait crayonné et rond propose des planches sombres et pluvieuses . Les visages sont expressifs et facilement reconnaissables . Le découpage des scènes est pertinent et sert un récit qui va à toute allure . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/avenir/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Kevin Nivek

    Mekka Nikki

    Drôle de parcours que ce Mekka Nikki créé par son duo d'auteurs en 2015 sur internet , puis édité en 2020 avec une faillite de l'éditeur ; les Huma reprennent le flambeau en 2024 avec la parution de deux tomes cette année ! Cette saga est prévue en 4 tomes , il faut donc s'attendre à de multiples rebondissements . L'aventure débute donc avec Nikki , en partance de son village après un énième habitant pétrifié par cette curieuse maladie . Elle décide de braver les croyances et les peurs ancestrales pour tenter de trouver un antidote . Dans ce monde peuplé de diverses créatures , dont ces bêtes entourant le village , les dangers sont nombreux . Elle devra faire preuve d'ingéniosité et elle n'en manque pas . Il faut savoir que de curieux aéronefs ou morceaux d'engins détruits sont éparpillés sur le sol de la planète et elle sait très bien les recycler ! Où ce chemin va t'elle la mener et quelles surprises l'attendent ? Dans ce noir et blanc en petit format souple que les amateurs de mangas apprécieront , le récit va à une vitesse folle ! Le découpage immersif vous fera tourner les pages à toute allure . Des dialogues courts et ciselés , allant à l'essentiel , des visages expressifs aux nombreuses onomatopées , des personnages attachants , un scénario dévoilant au compte gouttes ses dessous ; voici la recette du couple belge Exaheva et Félix Laurent ! Le tome 2 est prévu en juin prochain 😉
  7. Kevin Nivek

    Mekka Nikki

    Titre de l'album : Mekka Nikki Scenariste de l'album : Exaheva Dessinateur de l'album : Félix Laurent Coloriste : Editeur de l'album : Les humanoides associés Note : Résumé de l'album : Une terrible malédiction s'est abattue sur le village de Nikki, pétrifiant un à un ses habitants. Sans nouvelles de son père depuis plus de dix ans, elle s'élance à son tour à la recherche d'un remède par-delà la forêt, un territoire infesté de créatures effroyables. Dans sa quête désespérée, elle est recueillie par une communauté qui se défend contre les attaques d'une planète lointaine. Aidée de ses jambes mécaniques et d'un petit robot facétieux, Nikki décide de se battre à leurs côtés et se découvre des pouvoirs insoupçonnés... Critique : Drôle de parcours que ce Mekka Nikki créé par son duo d'auteurs en 2015 sur internet , puis édité en 2020 avec une faillite de l'éditeur ; les Huma reprennent le flambeau en 2024 avec la parution de deux tomes cette année ! Cette saga est prévue en 4 tomes , il faut donc s'attendre à de multiples rebondissements . L'aventure débute donc avec Nikki , en partance de son village après un énième habitant pétrifié par cette curieuse maladie . Elle décide de braver les croyances et les peurs ancestrales pour tenter de trouver un antidote . Dans ce monde peuplé de diverses créatures , dont ces bêtes entourant le village , les dangers sont nombreux . Elle devra faire preuve d'ingéniosité et elle n'en manque pas . Il faut savoir que de curieux aéronefs ou morceaux d'engins détruits sont éparpillés sur le sol de la planète et elle sait très bien les recycler ! Où ce chemin va t'elle la mener et quelles surprises l'attendent ? Dans ce noir et blanc en petit format souple que les amateurs de mangas apprécieront , le récit va à une vitesse folle ! Le découpage immersif vous fera tourner les pages à toute allure . Des dialogues courts et ciselés , allant à l'essentiel , des visages expressifs aux nombreuses onomatopées , des personnages attachants , un scénario dévoilant au compte gouttes ses dessous ; voici la recette du couple belge Exaheva et Félix Laurent ! Le tome 2 est prévu en juin prochain 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mekka-nikki-tome-1-9782731684483/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Fin de la série de SF pure de Marazano. Et fin qui respecte l'esprit de la série sans être magistrale non plus. Mais une série comme celle ci pouvait etre l'étre vraiment ? En effet, Marazano ne nous livre ni un space opera, ni une histoire post apocalyptique, ni de l'anticipation d'aventure. Aucun de ces "sous-genre" de la science-fiction qui promet des rebondissements, batailles spatiales et autres surprises. Ici on parle de science-fiction réfléchie, de découverte spatiale, d'exploration et de réflexion sur l'espace temps..... en gros l'interstellar de la BD si vous voulez. Et en cela cette fin est bien réussie (même si certain diront que Marazano fait une fin à la Marazano mais... difficile de lui reprocher) : Elle nous livre une conclusion à notre histoire en cours sans chercher à nous livrer une genèse de l'univers et sans sortir un deux ex machina du chapeau. De la bonne SF avec un bon gout des livres des années 70-80, grande période de la littérature SF
  9. Titre de l'album : Les chroniques de l'univers tome 3 - Fragments de la jeunesse éternelle Scenariste de l'album : Richard Marazano Dessinateur de l'album : Ingo Romling Coloriste : Ingo Romling Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Qui n'a jamais rêvé de voyager dans l'espace, en quête de savoir ? A bord du Thucydide, l'équipage d'étudiants et leur doyen sont toujours perdus dans le temps et l'espace, à la recherche d'un moyen de rentrer sur Terre et de percer les secrets des mythiques Chroniques de l'Univers. Hôtes indésirables de la planète Cordelia 7 qui semble étrangement vivante, Oot-Jah, Mark, Qsi, Polly, Adya et leur compagnon de fortune Pearl devront être plus que jamais soudés pour espérer trouver l'artefact qui leur permettra de décrypter les Chroniques. Même si cela veut dire faire face à d'infâmes créatures et à un énigmatique miraculé... Se pourrait-il enfin que le dénouement de cette quête interstellaire soit proche ? Critique : Fin de la série de SF pure de Marazano. Et fin qui respecte l'esprit de la série sans être magistrale non plus. Mais une série comme celle ci pouvait etre l'étre vraiment ? En effet, Marazano ne nous livre ni un space opera, ni une histoire post apocalyptique, ni de l'anticipation d'aventure. Aucun de ces "sous-genre" de la science-fiction qui promet des rebondissements, batailles spatiales et autres surprises. Ici on parle de science-fiction réfléchie, de découverte spatiale, d'exploration et de réflexion sur l'espace temps..... en gros l'interstellar de la BD si vous voulez. Et en cela cette fin est bien réussie (même si certain diront que Marazano fait une fin à la Marazano mais... difficile de lui reprocher) : Elle nous livre une conclusion à notre histoire en cours sans chercher à nous livrer une genèse de l'univers et sans sortir un deux ex machina du chapeau. De la bonne SF avec un bon gout des livres des années 70-80, grande période de la littérature SF Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-chroniques-de-l-univers-tome-3-fragments-de-la-jeunesse-eternelle?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Kevin Nivek

    Eden corp

    Ah ça, vous allez être surpris en embarquant à bord du vaisseau gigantesque de la compagnie Eden corp ! Dans un monde futur où nous sommes trop nombreux sur terre et en proie à des problèmes écologiques , la découverte d'une nouvelle planète en capacité de nous accueillir tombe à point nommé . De régulières loteries sont organisées afin de choisir de façon aléatoire les heureux élus en partance pour ce nouveau monde . Le bon père de famille gabe (pas si "bon" que ça ) y joue de façon assidue , gardant cet espoir de côté afin de ne plus avoir à vivre des larcins que sa femme , sa fille et lui , commettent pour survivre . Aussi , lorsque qu'une famille voisine (père , mère, fille du même âge) gagne , Gabe saute sur l'occasion et prend leur place de façon totalement interdite . Les voilà à bord du vaisseau prêts à être cryogénisés dans des caissons " bioscann " , réglés donc sur le vainqueur supposé de la loterie 😉 Vous voyez venir l'incompatibilité ? Ce problème de réveil anticipé , mais en réalité salvateur , va les mener vers bien dans des dangers et le récit va prendre des allures de thriller dans un huis clos glaçant et hostile . Je ne vous en dis pas plus , mais sachez que les rebondissements sont nombreux et l'action omniprésente . Parti d'une idée originale des compères Alain Bismut et Abel Ferry , Christopher Sebela a écrit ce scénario de sa ville de Portland . Il parvient à faire monter la tension progressivement tout en stimulant le lecteur : comment cela va t'il finir ? Quelle échappatoire pour notre trio familial ?? Marc Laming réalise un travail remarquable de réalisme , les expressions des visages , les détails dans les coursives du vaisseau , les costumes , son trait immerge le lecteur ! Il faut souligner aussi le travail sur les couleurs et jeux de lumières saisissants , car les phases dans l'obscurité sont excessivement bien traitées . Cela donne une nouvelle oeuvre SF fidèle aux standards des "Humano" et un bon one-shot à lire bien emmitouflé sous un plaid par un jour de pluie 🙂
  11. Kevin Nivek

    Métal hurlant tome 10

    La relance du trimestriel Métal hurlant poursuit son chemin avec un 10ème tome aux nombreuses qualités . Même son de cloche qu'avec les précédents ,le volume se compose d'histoires BD courtes entrecoupées d'interviews , conseils filmographiques dans la veine "métalienne" et des nouvelles romancées . On attaque avec 3 jours en septembre d'un auteur russe Nikola Pisarev et son graphisme ultra réaliste sur fond de voyage dans le temps . Une trouvaille qui mériterait sa place au sein d'un éditeur 😉 Puis , une longue interview du maître Alan Moore sur sa vision du monde du 9ème art , mais pas que ! Vous découvrirez ensuite un artiste brésilien et son trait japonisant élégant et subtil , avec Brèches . Munuera , bien connu pour son travail sur Spirou et les Campbell , entre autres , donne sa vision des dieux de l'Olympe , accrochez-vous c'est surprenant !Chabouté et son noir et blanc réaliste et oppressant propose la journée d'un artiste tentant de joindre l'URSSAF . Attention , petite pépite graphique de Antonio Lapone et Jean-Philippe Peyraud , sur Life in a day . Un dessin typique années 60 dans une Amérique du même âge envahie de publicités et produits de consommation . La rédaction nous fait découvrir une romancière argentine : Mariana Enriquez et son univers sombre et gothique . J'avoue m'être laissé séduit par sa présentation et les louanges que la presse internationale lui adresse depuis peu , j'ai commandé son roman phare : Notre part de nuit . Le scénariste BD Richard Marazano propose une nouvelle qui je dois bien l'avouer ne m'a pas transcendé : Premiers matériaux pour une théorie du Glitch . En revanche , Florian Breuil un artiste réunionnais nous démontre les nombreuses facettes de son talent graphique à travers Quantum god , avec pour toile de fond l'IA et les mondes artificiels . Un dessin juste incroyable , j'espère qu'un prochain album à la pagination plus importante est prévu car il semble être de la veine des grands , j'ai pensé à Jaouen Salaun pour tout vous dire ! Vous l'aurez compris , une lecture dense et une nouvelle fois passionnante . Mr Dionnet peut être rassuré , son héritage est sauvegardé 🙂
  12. Titre de l'album : Métal hurlant tome 10 Scenariste de l'album : Collectif Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Les humanoides associés Note : Résumé de l'album : Tout commence un matin, dans la normalité rassurante de notre quotidien. Comme venue de nulle-part, une anomalie surgit soudain. Elle semble anodine et sans la moindre importance, mais elle va faire basculer notre existence dans une autre réalité, nous plongeant parfois dans le fantastique, parfois dans la science-fiction ou même quelquefois dans l'horreur. Plus rien de ce qui nous entoure n'aura encore la même signification. Critique : La relance du trimestriel Métal hurlant poursuit son chemin avec un 10ème tome aux nombreuses qualités . Même son de cloche qu'avec les précédents ,le volume se compose d'histoires BD courtes entrecoupées d'interviews , conseils filmographiques dans la veine "métalienne" et des nouvelles romancées . On attaque avec 3 jours en septembre d'un auteur russe Nikola Pisarev et son graphisme ultra réaliste sur fond de voyage dans le temps . Une trouvaille qui mériterait sa place au sein d'un éditeur 😉 Puis , une longue interview du maître Alan Moore sur sa vision du monde du 9ème art , mais pas que ! Vous découvrirez ensuite un artiste brésilien et son trait japonisant élégant et subtil , avec Brèches . Munuera , bien connu pour son travail sur Spirou et les Campbell , entre autres , donne sa vision des dieux de l'Olympe , accrochez-vous c'est surprenant !Chabouté et son noir et blanc réaliste et oppressant propose la journée d'un artiste tentant de joindre l'URSSAF . Attention , petite pépite graphique de Antonio Lapone et Jean-Philippe Peyraud , sur Life in a day . Un dessin typique années 60 dans une Amérique du même âge envahie de publicités et produits de consommation . La rédaction nous fait découvrir une romancière argentine : Mariana Enriquez et son univers sombre et gothique . J'avoue m'être laissé séduit par sa présentation et les louanges que la presse internationale lui adresse depuis peu , j'ai commandé son roman phare : Notre part de nuit . Le scénariste BD Richard Marazano propose une nouvelle qui je dois bien l'avouer ne m'a pas transcendé : Premiers matériaux pour une théorie du Glitch . En revanche , Florian Breuil un artiste réunionnais nous démontre les nombreuses facettes de son talent graphique à travers Quantum god , avec pour toile de fond l'IA et les mondes artificiels . Un dessin juste incroyable , j'espère qu'un prochain album à la pagination plus importante est prévu car il semble être de la veine des grands , j'ai pensé à Jaouen Salaun pour tout vous dire ! Vous l'aurez compris , une lecture dense et une nouvelle fois passionnante . Mr Dionnet peut être rassuré , son héritage est sauvegardé 🙂 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/metal-hurlant-tome-10-la-mecanique-du-grain-de-sable/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Titre de l'album : Les murailles invisibles tome 2 Scenariste de l'album : Alex Chauvel Dessinateur de l'album : Ludovic Rio Coloriste : Ludovic Rio Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : De nos jours, des murs invisibles et infranchissables surgissent du néant et segmentent la Terre en une multitude de zones. Dans chacune le temps s'écoule à des vitesses différentes... Lino, un homme de notre époque, croise un groupe d'explorateurs venant de Nostoc, une civilisation avancée située plusieurs siècles dans notre futur. Capables de franchir les murailles invisibles, ils sont à la recherche de la source de ces dernières. Alex Chauvel et Ludovic Rio (auteur de "Aion") revisitent le voyage temporel dans cette série qui combine brillamment SF, dystopie et aventure. Critique : Suite des murailles invisibles et suite qui augmente d'un cran le rythme de l'histoire. Après un premier tome introductif sur les murs et nous présentant notre héros, ce tome deux est lui entièrement consacré à la découverte de nouveau univers et aux explications sur ce que sont ces murs et les règles qui les régissent. C'est le premier point d'intérêt de ce tome deux. On ne se contente pas de nous dire "vous ne saurez jamais", on nous montre des débuts de réponses sur comment marchent ces murs, à défaut d'où est-ce qu'ils viennent. Le deuxième point est l'apparition de l'homme en bleu, mais aussi la découverte d'une civilisation avancée ayant "dompté" les murs. Une civilisation qui semble vouloir le bien des autres... en apparence. Un tome deux qui sort un peu du récit de SF pure pour s'orienter un peu plus vers le thriller dans le prochain tome. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-murailles-invisibles-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. poseidon2

    Les murailles invisibles tome 2

    Suite des murailles invisibles et suite qui augmente d'un cran le rythme de l'histoire. Après un premier tome introductif sur les murs et nous présentant notre héros, ce tome deux est lui entièrement consacré à la découverte de nouveau univers et aux explications sur ce que sont ces murs et les règles qui les régissent. C'est le premier point d'intérêt de ce tome deux. On ne se contente pas de nous dire "vous ne saurez jamais", on nous montre des débuts de réponses sur comment marchent ces murs, à défaut d'où est-ce qu'ils viennent. Le deuxième point est l'apparition de l'homme en bleu, mais aussi la découverte d'une civilisation avancée ayant "dompté" les murs. Une civilisation qui semble vouloir le bien des autres... en apparence. Un tome deux qui sort un peu du récit de SF pure pour s'orienter un peu plus vers le thriller dans le prochain tome.
  15. Kevin Nivek

    Sol-13

    Après L'ange aux ailes de lumière , Horlemonde et Les décastés d'Orion , les Humanoïdes associés poursuivent leurs adaptations BD des oeuvres de Julia Verlanger . Ici il s'agit d'une assez libre transposition D'un lieu lointain nommé Soltrois , paru en 1979 . Il dépeint une planète aquatique lointaine colonisée par l'homme et "un peu" oubliée par la CDE . Avec très peu de terres immergées , les humains vivent de pêche au sein d'une société d'un âge reculé . Ils sont sous la domination d'une population extra-terrestre qui est dotée de technologies largement supérieures , en atteste cet engin sur la splendide couverture . Ils semblent venir du fond des mers et reviennent inlassablement ponctionner leur quotas d'humains sur des périodes régulières . Pour quelles raisons ? Agente de la CDE , Eiko découvre cet esclavagisme des temps modernes et mène l'enquête . On retrouve il est vrai les poncifs de science-fiction assez récurrents comme la domination technologique d'une peuplade , mais Harry Bozino puise dans l'imaginaire de Julia Verlanger et apporte sa touche personnelle . Des intrigues du CDE , en passant par des questions écologiques , il donne une vent de fraîcheur au roman initial . Le dessin réaliste de Federico Dallochio immerge , pour ne pas dire submerge le lecteur dans cette planète aux immense étendues marines et donc sous marines 😉 . On notera cependant quelques visages figés dans leurs expressions , mais cela n'enlève en rien la patte graphique de l'auteur italien . Ce dernier étant rompu aux joutes de SF car il a réalisé des adaptations de Gears of war , ainsi qu'un tome de Androïdes paru chez Soleil . Il s'inscrit parfaitement dans cette mouvance italienne avec les Rafaelle et autres Zucheri . Les Huma rendent une fois de plus hommage à Julia Verlanger et son imaginaire SF si avant-gardiste avec ce nouvel opus .
  16. Kevin Nivek

    Sol-13

    Titre de l'album : Sol-13 Scenariste de l'album : Harry Bozino , Julia Verlanger Dessinateur de l'album : Federico Dallochio Coloriste : Editeur de l'album : Les humanoides associés Note : Résumé de l'album : Alors qu'Eiko, une agente de la CDE (Compagnie des Étoiles), envoyée en reconnaissance sur la planète Sol 13, disparait, une mission de sauvetage est lancée. A la tête d'un commando, Jatred découvre une planète sauvage sur laquelle la population humaine a été réduite en esclavage par une race alien aux pouvoirs psychiques et à la technologie très avancée : les Mokkais. Devant l'urgence de la situation, les agents de la CDE devront malgré eux prendre part à une révolte pour libérer les humains du joug terrible des extraterrestres. Critique : Après L'ange aux ailes de lumière , Horlemonde et Les décastés d'Orion , les Humanoïdes associés poursuivent leurs adaptations BD des oeuvres de Julia Verlanger . Ici il s'agit d'une assez libre transposition D'un lieu lointain nommé Soltrois , paru en 1979 . Il dépeint une planète aquatique lointaine colonisée par l'homme et "un peu" oubliée par la CDE . Avec très peu de terres immergées , les humains vivent de pêche au sein d'une société d'un âge reculé . Ils sont sous la domination d'une population extra-terrestre qui est dotée de technologies largement supérieures , en atteste cet engin sur la splendide couverture . Ils semblent venir du fond des mers et reviennent inlassablement ponctionner leur quotas d'humains sur des périodes régulières . Pour quelles raisons ? Agente de la CDE , Eiko découvre cet esclavagisme des temps modernes et mène l'enquête . On retrouve il est vrai les poncifs de science-fiction assez récurrents comme la domination technologique d'une peuplade , mais Harry Bozino puise dans l'imaginaire de Julia Verlanger et apporte sa touche personnelle . Des intrigues du CDE , en passant par des questions écologiques , il donne une vent de fraîcheur au roman initial . Le dessin réaliste de Federico Dallochio immerge , pour ne pas dire submerge le lecteur dans cette planète aux immense étendues marines et donc sous marines 😉 . On notera cependant quelques visages figés dans leurs expressions , mais cela n'enlève en rien la patte graphique de l'auteur italien . Ce dernier étant rompu aux joutes de SF car il a réalisé des adaptations de Gears of war , ainsi qu'un tome de Androïdes paru chez Soleil . Il s'inscrit parfaitement dans cette mouvance italienne avec les Rafaelle et autres Zucheri . Les Huma rendent une fois de plus hommage à Julia Verlanger et son imaginaire SF si avant-gardiste avec ce nouvel opus . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sol13/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. La série la bibliothèque de Daniel Clowes propose toutes les rééditions des albums de Daniel Clowes ainsi que des albums inédits de l'auteur en version française. Daniel Clowes est un auteur majeur de comics indépendants aux Etats-Unis, avec de grands classiques du genre dont Patience. J'ai découvert Clowes avec la première édition de Patience qui reste pour moi la référence dans le genre SF, avec voyage dans le temps autour d'une histoire d'amour et d'un drame. Une fois commencé, il est impossible d'abandonner la lecture, pour découvrir la suite de l'aventure. On souhaite connaitre comment Jack le protagoniste éloigné d'un héros va résoudre les problématiques par amour. La couverture retranscrit très bien les dessins des planches intérieures dans un style entre classique pour rendre hommage et très moderne. Daniel Clowes au même titre que Charles Bruns sont des auteurs qui influencent beaucoup par leur style graphique ainsi que leur histoire souvent étrange et dure à mettre en image. Les couleurs de cette nouvelle édition sont plus éclatantes et proche de celles d'origines. Je n'ai pas encore lu toutes les parutions en français de Daniel Clowes mais patience reste pour le moment le titre le plus abouti de l'auteur et plus facile d'accès par rapport à Comme un gant de velours pris dans la fonte. Je ne peux que vous recommander la lecture de ce titre et de découvrir cette bibliothèques de Daniel Clowes.
  18. Titre de l'album : La bibliothèque de Daniel Clowes - Patience Scenariste de l'album : Daniel Clowes Dessinateur de l'album : Daniel Clowes Coloriste : Daniel Clowes Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Patience est une histoire d'amour, un récit de science-fiction, une enquête sur un fond de thriller mais Patience c'est d'abord et avant tout une histoire mise en scène avec génie par Daniel Clowes et dont l'amour n'y est pas mièvre, la SF est élégante et l'enquêteur névrosé se révèle plus inquiétant que rassurant. Pourtant on ne lâche pas la lecture de ce roman graphique tant est maitrisé son scénario. Critique : La série la bibliothèque de Daniel Clowes propose toutes les rééditions des albums de Daniel Clowes ainsi que des albums inédits de l'auteur en version française. Daniel Clowes est un auteur majeur de comics indépendants aux Etats-Unis, avec de grands classiques du genre dont Patience. J'ai découvert Clowes avec la première édition de Patience qui reste pour moi la référence dans le genre SF, avec voyage dans le temps autour d'une histoire d'amour et d'un drame. Une fois commencé, il est impossible d'abandonner la lecture, pour découvrir la suite de l'aventure. On souhaite connaitre comment Jack le protagoniste éloigné d'un héros va résoudre les problématiques par amour. La couverture retranscrit très bien les dessins des planches intérieures dans un style entre classique pour rendre hommage et très moderne. Daniel Clowes au même titre que Charles Bruns sont des auteurs qui influencent beaucoup par leur style graphique ainsi que leur histoire souvent étrange et dure à mettre en image. Les couleurs de cette nouvelle édition sont plus éclatantes et proche de celles d'origines. Je n'ai pas encore lu toutes les parutions en français de Daniel Clowes mais patience reste pour le moment le titre le plus abouti de l'auteur et plus facile d'accès par rapport à Comme un gant de velours pris dans la fonte. Je ne peux que vous recommander la lecture de ce titre et de découvrir cette bibliothèques de Daniel Clowes. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-bibliotheque-de-daniel-clowes-patience/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. poseidon2

    Rebuild the world tome 7

    Pfff encore un tome qui va a 200 à l'heure. Presque trop vite. Un tome qui nous raconte la fin du conflit entre Akira et le pilleur d'artefact. Une fin de conflit qui montre qu'Akira à un caractère bien trempée, mais aussi que son égérie à des limites de pouvoirs. Des limites qui pourraient bien jouer des tours à Akira dans le prochain tome. Une série qui ne mollit pas et fonce droit vers son objectif. Reste à trouver lequel
  20. Titre de l'album : Rebuild the world tome 7 Scenariste de l'album : Nahuse Dessinateur de l'album : Kirihito Ayamura Coloriste : Editeur de l'album : Vega-Dupuis Note : Résumé de l'album : Akira est pris dans une embuscade et s'apprête à abattre son assaillant, lorsque Reina et Shiori arrivent sur les lieux. L'assaillant fait alors croire que notre héros a tenté de l'assassiner, ce qui crée un malentendu et met ce dernier dans une position délicate. Cependant, lorsque nos protagonistes s'y attendent le moins, l'antagoniste prend Reina en otage et ordonne à Shiori de tuer Akira pour que la jeune fille puisse avoir la vie sauve. S'ensuit alors un combat déchaîné entre les deux chasseurs... Mais le véritable ennemi essaie simplement de gagner du temps, car il n'agit pas seul... C'est compter sans la réactivité d'Akira qui réussit à l'abattre après de nombreux obstacles. Cependant, la mort du mystérieux antagoniste enclenche automatiquement le désir de vengeance de ses complices qui partent à la poursuite de notre héros avec un seul objectif : le tuer. Critique : Pfff encore un tome qui va a 200 à l'heure. Presque trop vite. Un tome qui nous raconte la fin du conflit entre Akira et le pilleur d'artefact. Une fin de conflit qui montre qu'Akira à un caractère bien trempée, mais aussi que son égérie à des limites de pouvoirs. Des limites qui pourraient bien jouer des tours à Akira dans le prochain tome. Une série qui ne mollit pas et fonce droit vers son objectif. Reste à trouver lequel Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/rebuild-the-world-tome-7?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Kevin Nivek

    Morpheus

    Yann Bécu adapte son roman à succès Les bras de Morphée dans cette nouvelle parution de grande qualité aux Humanos . Le postulat de départ est des plus innovant et intrigant , surtout à une époque où le temps de sommeil de l'humanité ne fait que régresser . En effet , il imagine un monde ayant subi les outrages du virus nommé Morpheus en hommage à la déesse Morphée ,divinité des rêves . Plus question d'insomnies , bien au contraire , les hommes dorment 20h par jour ! Le romancier nous expose une nouvelle société régie par ce nouveau monde de fonctionnement. Les frontières sont tombées et les villes retranchées derrière de hauts murs , chacun tente de vivre en utilisant du mieux possible son compte d'heures "éveillé" ! Juliette , la protagoniste principale désire sauver sa fille de ce fléau et entreprend avec un professeur une quête à travers une Europe dévastée pour trouver un antidote . De nombreux secrets pèsent sur les épaules des personnages , il est impossible de refermer le livre sans l'avoir terminé 😉 . A l'image de la couverture , riche en mouvement , attendez-vous à être transportés et saisis par le suspens et la tension omniprésents . Le dessinateur italien Francesco Trifogli , continue son association avec les Humanoïdes associés (Feu de Thésée , Sang des immortels) et nous délivre un dessin certes académique , mais d'un réalisme saisissant . Le découpage est cinématographique , on est littéralement immergé dans cette aventure . Un très bon one-shot qui pourrait avoir une suite , étant donnée la fin et cet univers si riche , à suivre je l'espère 🙂
  22. Kevin Nivek

    Morpheus

    Titre de l'album : Morpheus Scenariste de l'album : Yann Bécu Dessinateur de l'album : Francesco Trifogli Coloriste : Axel Gonzalbo Editeur de l'album : Les humanoides associés Note : Résumé de l'album : Depuis l'apparition du virus Morpheus, l'humanité est condamnée au sommeil vingt heures par jour. Pour tenter de survivre à ce chaos, les principales capitales ont déclaré leur indépendance dans une Europe au bord de l'implosion. A Prague, la mercenaire Juliette tente d'offrir une vie décente à sa fille en multipliant les missions périlleuses et en prenant des drogues pour rester éveillée. Sa rencontre avec le professeur Ivanov lui redonne l'espoir d'éradiquer le virus et de sauver sa fille. Commence alors pour eux une course frénétique à travers le no-man's land européen, avec plusieurs groupes armés à leurs trousses... Critique : Yann Bécu adapte son roman à succès Les bras de Morphée dans cette nouvelle parution de grande qualité aux Humanos . Le postulat de départ est des plus innovant et intrigant , surtout à une époque où le temps de sommeil de l'humanité ne fait que régresser . En effet , il imagine un monde ayant subi les outrages du virus nommé Morpheus en hommage à la déesse Morphée ,divinité des rêves . Plus question d'insomnies , bien au contraire , les hommes dorment 20h par jour ! Le romancier nous expose une nouvelle société régie par ce nouveau monde de fonctionnement. Les frontières sont tombées et les villes retranchées derrière de hauts murs , chacun tente de vivre en utilisant du mieux possible son compte d'heures "éveillé" ! Juliette , la protagoniste principale désire sauver sa fille de ce fléau et entreprend avec un professeur une quête à travers une Europe dévastée pour trouver un antidote . De nombreux secrets pèsent sur les épaules des personnages , il est impossible de refermer le livre sans l'avoir terminé 😉 . A l'image de la couverture , riche en mouvement , attendez-vous à être transportés et saisis par le suspens et la tension omniprésents . Le dessinateur italien Francesco Trifogli , continue son association avec les Humanoïdes associés (Feu de Thésée , Sang des immortels) et nous délivre un dessin certes académique , mais d'un réalisme saisissant . Le découpage est cinématographique , on est littéralement immergé dans cette aventure . Un très bon one-shot qui pourrait avoir une suite , étant donnée la fin et cet univers si riche , à suivre je l'espère 🙂 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/morpheus/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Titre de l'album : La saga Prométhée Scenariste de l'album : Christophe Bec Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Quel rôle peut jouer le sous-marin USS Scorpion au coeur de la terrible invasion alien ?Un sacrifice sur un lieu sacré du Pérou il y a plus de 10000 ans pourrait-il stopper cette attaque ?Quel message pour l'Humanité contiennent les 716 disques découverts près du Tibet ?Un fascinant récit prolongeant et approfondissant l'une des plus ambitieuses séries fantastiques jamais produites. Critique : A l'occasion de la sortie du 24ème tome de la saga Prométhée de Cristophe Bec , je souhaitais effectuer un retour sur l'ensemble de cette histoire , qui représente la plus longue aventure éditoriale de l'aveyronnais . Sachez aussi qu'un 25ème tome , nommé "tome 0" arrivera en février - mars , dessiné par un collectif d'artistes anglophones . Il est absolument essentiel de posséder les 23 tomes et de les lire à la suite pour une immersion profonde et surtout une compréhension globale de ce scénario dantesque . Des tiroirs , vous en aurez , et ce que vous découvrirez et ne comprendrez pas dans les premiers tomes , sera élucidé (pour la plupart) dans les suivants ! La galerie de personnages est telle qu'un suivi assidu est impératif , faute d'être largué . Les protagonistes qui n'ont aucun lien entre eux , vont au fil de leurs péripéties et autres voyages dans le temps , se retrouver interconnectés . Un scénario avec cette ambition et les attentes qu'il suscite au lecteur se doit de répondre à toutes les interrogations , surtout en 23 tomes ! Et si les 3/4 sont dévoilés , il demeure des questions sans réponses au terme de la saga . J'espérais trouver ces réponses dans ce tome 24 , mais il nous présente des histoires avec de nouveaux personnages évoluant en parallèle des "têtes connues" du fil narratif principal . Il offre un complément assez bien réalisé , mais pas vraiment indispensable selon moi . Après ces considérations scénaristiques , attardons-nous sur le dessin , autre pierre de voûte de toute saga BD qui se respecte . Bec réalise les 3 premiers albums , puis passe le relais à son fidèle acolyte Raffaele du 4 au 17 , Diaz fini jusqu'au 23 . Comme illustré dans les planches ci-dessous par ordre chronologique , le trait se veut réaliste et pourvu d'une coloration réussie . Les changements de dessinateurs ne choqueront pas le lecteur car ils ont des propriétés similaires . Le tome 24 est composé d'un collectif d'artistes avec du bon et du moins bon , la planche proposée figure dans le haut du panier de l'ouvrage . Dans l'ensemble on est sur un graphisme assez "mainstream" mais qui convient parfaitement au propos et aux lecteurs grand public . Au terme de cette lecture massive , je suis partagé . D'un côté , on se régale de ce scénario d'une ambition folle , avec une utilisation des voyages temporels assez cohérente . Mais il subsiste des questions sans réponses au terme de l'aventure et c'est assez regrettable . Certes des interrogations ne présentant pas un intérêt supérieur à la compréhension globale du sujet , mais sur une saga de 24 tomes , pourquoi ne pas y répondre ? Mon autre impression générale tient aux albums eux-mêmes : sur les 24 , je n'en retiens aucun de mémorable , MAIS , aucun non plus de "filaire" , c'est à dire n'apportant rien à l'histoire et d'un ennui profond . On feuillette les BD avec frénésie , encaissant les nombreux rebondissements et cliffhangers de fin de tome , et on est tenu en haleine jusqu'au 23ème . Maintenir ce degré de qualité reste un excellent point pour cette aventure qui vaut le coup d'oeil et vous tiendra en haleine . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/promethee-tome-24-invasion-finale/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Kevin Nivek

    La saga Prométhée

    A l'occasion de la sortie du 24ème tome de la saga Prométhée de Cristophe Bec , je souhaitais effectuer un retour sur l'ensemble de cette histoire , qui représente la plus longue aventure éditoriale de l'aveyronnais . Sachez aussi qu'un 25ème tome , nommé "tome 0" arrivera en février - mars , dessiné par un collectif d'artistes anglophones . Il est absolument essentiel de posséder les 23 tomes et de les lire à la suite pour une immersion profonde et surtout une compréhension globale de ce scénario dantesque . Des tiroirs , vous en aurez , et ce que vous découvrirez et ne comprendrez pas dans les premiers tomes , sera élucidé (pour la plupart) dans les suivants ! La galerie de personnages est telle qu'un suivi assidu est impératif , faute d'être largué . Les protagonistes qui n'ont aucun lien entre eux , vont au fil de leurs péripéties et autres voyages dans le temps , se retrouver interconnectés . Un scénario avec cette ambition et les attentes qu'il suscite au lecteur se doit de répondre à toutes les interrogations , surtout en 23 tomes ! Et si les 3/4 sont dévoilés , il demeure des questions sans réponses au terme de la saga . J'espérais trouver ces réponses dans ce tome 24 , mais il nous présente des histoires avec de nouveaux personnages évoluant en parallèle des "têtes connues" du fil narratif principal . Il offre un complément assez bien réalisé , mais pas vraiment indispensable selon moi . Après ces considérations scénaristiques , attardons-nous sur le dessin , autre pierre de voûte de toute saga BD qui se respecte . Bec réalise les 3 premiers albums , puis passe le relais à son fidèle acolyte Raffaele du 4 au 17 , Diaz fini jusqu'au 23 . Comme illustré dans les planches ci-dessous par ordre chronologique , le trait se veut réaliste et pourvu d'une coloration réussie . Les changements de dessinateurs ne choqueront pas le lecteur car ils ont des propriétés similaires . Le tome 24 est composé d'un collectif d'artistes avec du bon et du moins bon , la planche proposée figure dans le haut du panier de l'ouvrage . Dans l'ensemble on est sur un graphisme assez "mainstream" mais qui convient parfaitement au propos et aux lecteurs grand public . Au terme de cette lecture massive , je suis partagé . D'un côté , on se régale de ce scénario d'une ambition folle , avec une utilisation des voyages temporels assez cohérente . Mais il subsiste des questions sans réponses au terme de l'aventure et c'est assez regrettable . Certes des interrogations ne présentant pas un intérêt supérieur à la compréhension globale du sujet , mais sur une saga de 24 tomes , pourquoi ne pas y répondre ? Mon autre impression générale tient aux albums eux-mêmes : sur les 24 , je n'en retiens aucun de mémorable , MAIS , aucun non plus de "filaire" , c'est à dire n'apportant rien à l'histoire et d'un ennui profond . On feuillette les BD avec frénésie , encaissant les nombreux rebondissements et cliffhangers de fin de tome , et on est tenu en haleine jusqu'au 23ème . Maintenir ce degré de qualité reste un excellent point pour cette aventure qui vaut le coup d'oeil et vous tiendra en haleine .
  25. alx23

    Space relic hunters

    Titre de l'album : Space relic hunters Scenariste de l'album : Sylvain Runberg Dessinateur de l'album : Grun Coloriste : Grun Editeur de l'album : Daniel Maghen Note : Résumé de l'album : Dans une galaxie régie par un quatuor souverain d'une grande puissance, Xia et Little Mercur sont les chasseurs de reliques les plus célèbres du coin. Ils vivent au gré de leurs trafics jusqu'au jour où leur dernière mission pourrait bien leur coûter la vie. Ce space opera retourne autant les cerveaux que les estomacs ! Après une guerre de religion interplanétaire et une galaxie dévastée 200 ans plus tôt, quatre dieux, surnommés Le Grand Quatuor , décident d'ériger un nouvel empire. Ils instaurent une dictature violente et répressive, anéantissant toutes formes de religions autres que celle vouée à leur propre culte. Les Légions divines ont été créées pour faire respecter cet ordre, mais malgré leur surveillance, les différents peuples et espèces continuent de vénérer en secret leurs anciens dieux. Cette situation engendre un trafic galactique de reliques aliènes, liées à de nombreux cultes dorénavant interdits. Qui dit interdit, dit contrebande et la naissance de Relic Hunters. C'est de cette activité que vivent Xia, une humaine, et Little Mercur, un alien masqué dont on ne connaît pas la race. Ils font partie des meilleurs chasseurs de reliques de la galaxie et sont rejoints pour une nouvelle mission par Vitellius, un ex-centurion déserteur des Légions divines. Critique : On retrouve la même équipe artistique de la trilogie de science-fiction On mars, pour un one shot de plus d'une centaine de pages pour mettre en image ce space opera plein d'action. Sylvain Runberg s'est déjà forgé une bonne réputation de scénariste avec toutes ses productions. Il est très à l'aise sur ce genre science-fiction, avec cette histoire où trois chasseurs de reliques doivent faire équipe pour avoir la récompense s'ils retrouvent cet objet d'une religion oubliée. Les personnages sont haut en couleur entre l'humaine alcoolique de par sa religion, un alien discret et un ancien soldat de la légion divine. Les trois héros sont engagés pour affronter toutes sortes de danger sur plusieurs planètes pour leur réussir leur mission. Grun est un dessinateur habitué également aux récits de SF, il s'amuse à mettre en scène les personnages dans des mondes exotiques avec des races extraterrestres. Les scènes d'action sont bien rythmées et les planches très détaillées. L'album se termine sur des recherches graphiques de l'auteur. Si vous avez appréciez On mars, vous devriez êtes conquis par cette nouvelle production de Runberg et Grun. Sinon ce one shot est une bonne occasion de découvrir leur travail. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/space-relic-hunters?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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