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BD Europeene

Affichage de[s] tout le contenu étiquetés 'BD', 'BDEuro' et 'BDEuropéene' et posté[e][s] durant les 0 derniers jours.

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  1. Hier
  2. The_PoP

    Ange Leca - Monstres américains

    Voici une très belle sortie que je vous invite à ne pas manquer. J'étais moi même passé à côté du premier tome, et je vais rattraper ce manquement sans faute. D'abord parce que le scénario nous emmène entre la corse et New York au début du vingtième siècle pour des enquêtes policières qui vont nous mettre aux prises avec des faits divers et des faits de société réels de cette époque là. C'est fait intelligemment et si au début on se sent un poil déboussolé, surtout sans avoir lu le premier tome, on se retrouve finalement vite happé et conquis par ces enquêtes. Ce sont bien des one shots mais qui s'inscrivent dans une forme de continuité, un peu dans ce qu'à pu faire Thorgal par exemple. J'aime ce modèle car il permet d'avoir des histoires complètes sans pour autant sacrifier une trame plus ambitieuse. Surtout que rien n'interdira de faire un petit cycle en dérogeant pour quelques tomes à la règle du one shot. Venons en au second point fort de cette sortie : les dessins de Victor Lepointe sont exquis. Ces couleurs sont sublimes et renforcent les ambiances fortement. On se sent transportés avec nos personnages et j'ai aimé cela. Les décors sont soignés et parfois merveilleux, les personnages sont nets et vivants, j'en redemande. Il y a la un véritable style, et une vraie patte graphique. Merci car cette bd a du demander un travail considérable, alors chapeau bas.
  3. Titre de l'album : Ange Leca - Monstres américains Scenariste de l'album : Tom Graffin & Jérôme Ropert Dessinateur de l'album : Victor Lapointe Coloriste : Victor Lapointe Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : New York suffoque, et les femmes s'évaporent... Été 1911. Ange Leca débarque à New York sous une chaleur accablante. Il n'a qu'une seule idée en tête : retrouver la trace d'Emma, sa passion inextinguible. Accueilli par César Capponi, détective embourbé dans sa dernière affaire, le Frenchie se voit malgré lui entraîné dans une enquête bientôt labyrinthique. Assisté par Ray, fils de César et étonnant newsboy, Ange n'oublie pas pour autant celle qu'il est venue chercher, et s'efforce de progresser sur tous les fronts. Un défi plus risqué qu'il n'y paraît... Critique : Voici une très belle sortie que je vous invite à ne pas manquer. J'étais moi même passé à côté du premier tome, et je vais rattraper ce manquement sans faute. D'abord parce que le scénario nous emmène entre la corse et New York au début du vingtième siècle pour des enquêtes policières qui vont nous mettre aux prises avec des faits divers et des faits de société réels de cette époque là. C'est fait intelligemment et si au début on se sent un poil déboussolé, surtout sans avoir lu le premier tome, on se retrouve finalement vite happé et conquis par ces enquêtes. Ce sont bien des one shots mais qui s'inscrivent dans une forme de continuité, un peu dans ce qu'à pu faire Thorgal par exemple. J'aime ce modèle car il permet d'avoir des histoires complètes sans pour autant sacrifier une trame plus ambitieuse. Surtout que rien n'interdira de faire un petit cycle en dérogeant pour quelques tomes à la règle du one shot. Venons en au second point fort de cette sortie : les dessins de Victor Lepointe sont exquis. Ces couleurs sont sublimes et renforcent les ambiances fortement. On se sent transportés avec nos personnages et j'ai aimé cela. Les décors sont soignés et parfois merveilleux, les personnages sont nets et vivants, j'en redemande. Il y a la un véritable style, et une vraie patte graphique. Merci car cette bd a du demander un travail considérable, alors chapeau bas. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ange-leca-tome-2-monstres-americains/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. The_PoP

    Pillard de guerre

    Oh quel plaisir que cette lecture... Un plaisir peut être un brin coupable tant l'ombre de l'immense "Il était une fois la révolution" plane sur cette lecture... Mais un plaisir tout de même. Il faut dire que le sujet n'a pas été essoré en bd franco belge. Et puis nos deux auteurs ont du talent, on avait déjà pu apprécier la qualité du duo sur la série AIR. Bon, pour Philippe Pelaez, prolifique et quasi incontournable ces dernières années cela devient une évidence de le dire tant ses qualités de scénariste ont été saluées sur ses multiples parutions ces dernières années. D'autant que sur des histoires de fripouilles en période révolutionnaire il a déjà montré qu'il était particulièrement à l'aise. Le dessin de Francis Porcel est juste, dans la pure tradition franco belge que nous affectionnons tant. Ses couleurs sont belles et rendent bien les ambiances. Ses personnages sont travaillés et les scènes sont lisibles et bien découpées, on a juste à se laisser porter par la lecture. A noter qu'il s'agit déjà du troisième tome de cette série après Pinard de guerre et Bagnard de guerre. Et si les tomes peuvent se lire en one shot sans soucis, cela reste un vrai plaisir de retrouver ce personnage de Ferdinand Tirencourt, certes peu recommandable mais parfois sympathique, au gré de ses aventures sur le théâtre des guerres du début du 20ème siècle.
  5. The_PoP

    Pillard de guerre

    Titre de l'album : Pillard de guerre Scenariste de l'album : Philippe Pelaez Dessinateur de l'album : Francis Porcel Coloriste : Francis Porcel Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : La rencontre entre le révolutionnaire Pancho Villa et le pillard Ferdinand Tirancourt en pleine révolution mexicaine. Début xxe siècle. La vie n'est pas un long fleuve tranquille pour Pancho Villa. Le révolutionnaire est pourchassé par les Américains d'un côté, et de l'autre, il mène une guérilla contre son adversaire le président du Mexique qui a envoyé à ses trousses le général Murguia, surnommé « le boucher ». Heureusement, il peut compter sur ses troupes qui viennent de capturer un groupe de pillards menés par le Français Ferdinand Tirancourt. Évadé du bagne, ce dernier avoue sans aucun scrupule avoir été payé par le gouvernement américain pour le tuer. Les deux hommes concluent alors un marché : Ferdinand guide Pancho vers la mine de Las Palmilla où est caché un important stock d'armes, en échange, le révolutionnaire mexicain doit donner un sauf-conduit au Français pour qu'il quitte le continent. Mais il faut faire vite, car le boucher est sur leurs talons... Les deux hors-la-loi réussiront-ils à échapper aux Américains ? Critique : Oh quel plaisir que cette lecture... Un plaisir peut être un brin coupable tant l'ombre de l'immense "Il était une fois la révolution" plane sur cette lecture... Mais un plaisir tout de même. Il faut dire que le sujet n'a pas été essoré en bd franco belge. Et puis nos deux auteurs ont du talent, on avait déjà pu apprécier la qualité du duo sur la série AIR. Bon, pour Philippe Pelaez, prolifique et quasi incontournable ces dernières années cela devient une évidence de le dire tant ses qualités de scénariste ont été saluées sur ses multiples parutions ces dernières années. D'autant que sur des histoires de fripouilles en période révolutionnaire il a déjà montré qu'il était particulièrement à l'aise. Le dessin de Francis Porcel est juste, dans la pure tradition franco belge que nous affectionnons tant. Ses couleurs sont belles et rendent bien les ambiances. Ses personnages sont travaillés et les scènes sont lisibles et bien découpées, on a juste à se laisser porter par la lecture. A noter qu'il s'agit déjà du troisième tome de cette série après Pinard de guerre et Bagnard de guerre. Et si les tomes peuvent se lire en one shot sans soucis, cela reste un vrai plaisir de retrouver ce personnage de Ferdinand Tirencourt, certes peu recommandable mais parfois sympathique, au gré de ses aventures sur le théâtre des guerres du début du 20ème siècle. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/pillard-de-guerre-9791041103560/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. La dernière semaine
  7. Titre de l'album : La confrérie des tempêtes tome 1 - Thoorak Scenariste de l'album : JL Istin, Sylvain Cordurié Dessinateur de l'album : Giovanni Lorusso Coloriste : Olivier Héban Editeur de l'album : Oxymore Note : Résumé de l'album : Gamine de douze ans rêvant d’aventures, Agora affronte chaque jour le mépris des siens. Seul son père lui témoigne de l’affection et la couvre de cadeaux, tel le splendide médaillon qu’il lui offre avant le drame qui va changer sa vie… Lorsque des assassins débarquent dans sa maison, massacrent sa famille et la pourchassent pour la tuer, elle ne doit sa survie qu’à Thoorak, un orc de "La Confrérie des Tempêtes", de passage à Havrerhum. Se refusant à l’abandonner, Thoraak l’embarque à bord de "La Lanterne" où Agora découvrira que l’air salé du grand large a parfois le goût amer de la trahison. Entre secrets et violences, elle apprendra aussi et surtout que, quand le monde vous a tout pris, il ne vous reste qu’une option : la vengeance. Malheur à ses ennemis, car rien ni personne ne l’arrêtera. Critique : Nouvelle saga à venir pour le prolifique éditeur Oxymore avec La confrérie des tempêtes ! Cet univers créé par JL Istin et Sylvain Cordurié s'inscrit dans la lignée d'une autre série de leur catalogue : West fantasy. Ici les auteurs utilisent les races "tolkiennes" (avec quelques ajouts) dans un monde marin sur lequel naviguent entre autres, des pirates. Il est fait mention dans la préface d'un Empire prédominant ces îles ainsi que trois seigneurs pirates dirigeant la Confrérie des tempêtes. Ils ne reconnaissent pas l'autorité de l'empereur et créent leurs propres lois. C'est dans ce contexte que l'on découvre la jeune Agora, seule survivante du massacre de sa famille, se réfugiant dans les bras d'un orc membre de la Confrérie, Thoorak. On suivra son évolution au fil d'un lourd apprentissage teinté de violence et de trahison, jusqu'au final réservant son lot de surprises. Médaillon, magie, mensonges, vengeance et secrets de famille seront au programme de ces 72 pages à lire sans modération ! Certes la voix off et l'éternelle revanche composent l'épine dorsale (une nouvelle fois) de ce type de saga, mais elle est bien réalisée et s'inscrit dans une histoire plus vaste. Aratheon n'a pas fini de nous surprendre ! Au dessin ,on retrouve l'artiste italien Giovanni Lorusso ayant déjà travaillé avec JL Istin sur Les guerres d'Arran (Soleil). Son trait réaliste convient parfaitement au récit, les cases sont bien détaillées, les décors environnants sublimes, idem pour les navires. Un graphisme magnifié par les couleurs de Olivier Héban qui apporte du relief et de très beaux effets de lumières. On entre dans cet univers de pirates par la grande porte assurément et on a envie d'y retourner ! Cinq albums sont déjà prévus et il est fort possible que l'on retrouve des personnages présents dans cet opus lors du sixième tome 😉 Une très sympathique nouvelle saga à venir, aux couleurs du drapeau noir des pirates ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-confrerie-des-tempetes-tome-1-thoorak/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Nouvelle saga à venir pour le prolifique éditeur Oxymore avec La confrérie des tempêtes ! Cet univers créé par JL Istin et Sylvain Cordurié s'inscrit dans la lignée d'une autre série de leur catalogue : West fantasy. Ici les auteurs utilisent les races "tolkiennes" (avec quelques ajouts) dans un monde marin sur lequel naviguent entre autres, des pirates. Il est fait mention dans la préface d'un Empire prédominant ces îles ainsi que trois seigneurs pirates dirigeant la Confrérie des tempêtes. Ils ne reconnaissent pas l'autorité de l'empereur et créent leurs propres lois. C'est dans ce contexte que l'on découvre la jeune Agora, seule survivante du massacre de sa famille, se réfugiant dans les bras d'un orc membre de la Confrérie, Thoorak. On suivra son évolution au fil d'un lourd apprentissage teinté de violence et de trahison, jusqu'au final réservant son lot de surprises. Médaillon, magie, mensonges, vengeance et secrets de famille seront au programme de ces 72 pages à lire sans modération ! Certes la voix off et l'éternelle revanche composent l'épine dorsale (une nouvelle fois) de ce type de saga, mais elle est bien réalisée et s'inscrit dans une histoire plus vaste. Aratheon n'a pas fini de nous surprendre ! Au dessin ,on retrouve l'artiste italien Giovanni Lorusso ayant déjà travaillé avec JL Istin sur Les guerres d'Arran (Soleil). Son trait réaliste convient parfaitement au récit, les cases sont bien détaillées, les décors environnants sublimes, idem pour les navires. Un graphisme magnifié par les couleurs de Olivier Héban qui apporte du relief et de très beaux effets de lumières. On entre dans cet univers de pirates par la grande porte assurément et on a envie d'y retourner ! Cinq albums sont déjà prévus et il est fort possible que l'on retrouve des personnages présents dans cet opus lors du sixième tome 😉 Une très sympathique nouvelle saga à venir, aux couleurs du drapeau noir des pirates !
  9. Ce Caledonia nous propose une série sur la Rome antique confrontée en Angleterre à de terrifiantes divinités. Mais Rome est un empire qui ne compte pas se laisser abattre du moment que l'adversaire peut saigner. On avait laissé nos deux héros mal en point à l'issue du tome 1. Ce tome 2 reprend directement à l'issue de la fin du tome 1 et nous amène quelques révélations de taille. On plonge définitivement dans le fantastique et c'est plutôt réussi. Seuls bémols, je trouve les personnages un peu trop fades à mon goût et leur relation un peu trop téléphonée. Bon, cela ne nous empêche pas de découvrir ce nouvel univers avec plaisir. J'ai par ailleurs eu du mal avec le dessin, malgré une jolie colorisation. J'ai eu du mal avec le dessin d'Emmanuel Despujol que j'avais pourtant plutôt apprécié sur Side Show. Ici j'ai trouvé que cela manquait un peu de peps, de vitalité, de mouvements, et que les visages me semblaient un peu lisses et pas si expressifs au final. C'est sûr que je suis un peu dur en disant cela, c'est loin d'être mauvais et je ne veux manquer de respect à personne car l'on sent qu'il y a du travail derrière, mais les goûts et les couleurs ne se commandent pas bien et cela m'a un peu refroidit dans ma lecture de ce Caledonia. Alors allez le feuilleter et faites vous votre idée !
  10. Titre de l'album : Calédonia - Tome 2 - Le mur d'hadrien Scenariste de l'album : Éric Corbeyran Dessinateur de l'album : Emmanuel Despujol Coloriste : Juliette Despujol Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Face à des sénateurs n'ayant jamais vu un champ de bataille, Lucius a bien du mal à convaincre que leurs adversaires, les redoutables guerriers caledonii, se sont alliés à d'invincibles géants qui ne redoutent nullement ses légionnaires. Démis de ses fonctions et renvoyé en Caledonia, il est chargé de l'édification d'un mur censé assurer la défense des légions romaines en territoires conquis. Critique : Ce Caledonia nous propose une série sur la Rome antique confrontée en Angleterre à de terrifiantes divinités. Mais Rome est un empire qui ne compte pas se laisser abattre du moment que l'adversaire peut saigner. On avait laissé nos deux héros mal en point à l'issue du tome 1. Ce tome 2 reprend directement à l'issue de la fin du tome 1 et nous amène quelques révélations de taille. On plonge définitivement dans le fantastique et c'est plutôt réussi. Seuls bémols, je trouve les personnages un peu trop fades à mon goût et leur relation un peu trop téléphonée. Bon, cela ne nous empêche pas de découvrir ce nouvel univers avec plaisir. J'ai par ailleurs eu du mal avec le dessin, malgré une jolie colorisation. J'ai eu du mal avec le dessin d'Emmanuel Despujol que j'avais pourtant plutôt apprécié sur Side Show. Ici j'ai trouvé que cela manquait un peu de peps, de vitalité, de mouvements, et que les visages me semblaient un peu lisses et pas si expressifs au final. C'est sûr que je suis un peu dur en disant cela, c'est loin d'être mauvais et je ne veux manquer de respect à personne car l'on sent qu'il y a du travail derrière, mais les goûts et les couleurs ne se commandent pas bien et cela m'a un peu refroidit dans ma lecture de ce Caledonia. Alors allez le feuilleter et faites vous votre idée ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/caledonia-tome-2-le-sacre-d-adrien/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. The_PoP

    Cyborgs - Tome 2 - Steel

    Hop vous connaissez Soleil, quand ils sortent une nouvelle série concept, on peut s'attendre à un album tous les 6 mois. Que l'on aime ou pas le modèle est celui-ci avec une multitude d'auteurs au dessin afin de tenir ces délais de fous. On a donc avec ce Cyborgs une série dans le standard habituel de Soleil en science-fiction ou en héroïc fantasy : un univers connu et cohérent, des one shots qui peuvent se lire séparément mais qui apportent ensemble pas mal d'éléments à l'univers, et une galerie de personnage qui se croisent et se recroisent mais sans prépondérance d'un personnage en particulier au fil des albums. Petite différence de taille cette fois-ci, chaque album fait bien avancer une intrigue globale et est centré sur le recrutement et l'intégration d'un nouveau personnage à une équipe tout en faisant progresser la mission commune de la dite équipe. Bon dit comme ça on est un peu sur Th Expendables en bd, mais cela donne au moins un fil conducteur intéressant et plus ambitieux car il ne se limite alors plus aux scénarios des seuls one shots. Tant mieux, c'est une bonne idée. Les dessins de Valentina Pinti et du Studio Arancia sont bien même si la colorisation et les décors sont un peu trop bruts pour moi. Ceci dit c'est souvent le cas en science fiction. Si l'ensemble ne brillera guère par son originalité, c'est efficace et servi par un découpage de qualité. Les amoureux d'univers de science fiction façon Travis ou Carmen seront servis car il ne s'agit pas ici de space opéra mais d'un futur terrien un peu calamiteux et très technologique quand même. L'action est assez soutenu même si cette fois-ci l'album est peut être un peu plus bavard.
  12. Titre de l'album : Cyborgs - Tome 2 - Steel Scenariste de l'album : Jean-Luc Istin Dessinateur de l'album : Valentina Pinti & Arancia Studio Coloriste : J. Nanjan Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Donnée favorite aux élections face à Markus C. Tudor, Heather Macstone est visée dans un attentat où seule sa fille, Sam, survit. Gravement blessée, Sam reçoit des prothèses greffées par Russel. Qui a cherché à les éliminer et pour quelles raisons ? Plongée dans un univers de complots et de trahisons, Sam se sert de son corps de métal comme d'une arme pour découvrir la vérité. Critique : Hop vous connaissez Soleil, quand ils sortent une nouvelle série concept, on peut s'attendre à un album tous les 6 mois. Que l'on aime ou pas le modèle est celui-ci avec une multitude d'auteurs au dessin afin de tenir ces délais de fous. On a donc avec ce Cyborgs une série dans le standard habituel de Soleil en science-fiction ou en héroïc fantasy : un univers connu et cohérent, des one shots qui peuvent se lire séparément mais qui apportent ensemble pas mal d'éléments à l'univers, et une galerie de personnage qui se croisent et se recroisent mais sans prépondérance d'un personnage en particulier au fil des albums. Petite différence de taille cette fois-ci, chaque album fait bien avancer une intrigue globale et est centré sur le recrutement et l'intégration d'un nouveau personnage à une équipe tout en faisant progresser la mission commune de la dite équipe. Bon dit comme ça on est un peu sur Th Expendables en bd, mais cela donne au moins un fil conducteur intéressant et plus ambitieux car il ne se limite alors plus aux scénarios des seuls one shots. Tant mieux, c'est une bonne idée. Les dessins de Valentina Pinti et du Studio Arancia sont bien même si la colorisation et les décors sont un peu trop bruts pour moi. Ceci dit c'est souvent le cas en science fiction. Si l'ensemble ne brillera guère par son originalité, c'est efficace et servi par un découpage de qualité. Les amoureux d'univers de science fiction façon Travis ou Carmen seront servis car il ne s'agit pas ici de space opéra mais d'un futur terrien un peu calamiteux et très technologique quand même. L'action est assez soutenu même si cette fois-ci l'album est peut être un peu plus bavard. Autres infos : Storyboard par Kyko Duarte Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/cyborgs-tome-2-steel/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Fabio Jacomelli dévoile la vie érotique d'un artiste peintre/dessinateur, ou du moins expose ses phantasmes dans trois histoires à ne pas montrer aux yeux innocents 😉 . Tout commence à Milan en 1985, par une nuit pluvieuse d'octobre, Fabio ne parvient pas à travailler envahi par le syndrome de la page blanche version dessinateur. Soudain, le téléphone sonne et Claudia l'appelle avec l'envie pressante de le voir. Les retrouvailles vont prendre un virage inattendu, l'étudiante en "langues appliquées" fera montre de ses talents experts pour le plus grand plaisir de Fabio ! Puis nous nous retrouvons en 1986 à l'école de Bande dessinée de Milan, une élégante inconnue nommée Laura demande à Fabio de participer à une séance privée de photographies. Ils se retrouvent dans une chambre d'hôtel aux murs rouges habillés de nombreux miroirs ! Là aussi, point de photos mais des ébats passionnés cherchant le bon angle dans le reflet des miroirs. Enfin, deux années s'écoulent et on retrouve Fabio faisant la rencontre de Elena au cours d'une soirée. Apprenant son métier d'artiste, elle lui propose vite de venir peindre sur les murs de son appartement. Une fois encore, l'objet initial de la visite trouvera une toute autre issue, dénudée et enchevêtrée ! L'auteur italien nous gratifie ses "exploits" sur des planches soignées avec un trait élégant et fin. Les corps sont "humains", point de membres disproportionnés ou encore de poitrines énormes. Il dégage une grande sensualité des trois ébats, avec pour chacun un vécu différent. Il parvient à donner une belle expressivité aux visages avec de l'intensité dans les regards, le tout est bien mis en couleurs par Claudia Guiliani, l'histoire ne dit juste pas de quelle Claudia il s'agit 😉 .
  14. Titre de l'album : La vie d'artiste... n'a pas que de mauvais côtés Scenariste de l'album : Fabio Jacomelli Dessinateur de l'album : Fabio Jacomelli Coloriste : Claudia Guiliani Editeur de l'album : Tabou Note : Résumé de l'album : Quelle est vraiment la vie érotique d'un artiste ? Fabio Jacomelli nous le dit à travers trois anecdotes. En trois histoires, l'auteur se raconte et nous livre un témoignage sincère et intime de sa vie d'artiste. Il explore et expose sa part la plus intime et met en scène et en images sa sexualité et ses fantasmes, son réel et son imaginaire d'auteur. Mais ne déflorons pas cette délicieuse bande dessinée. Laissons-nous guider par l'auteur lui-même ! Un album élégant, sensuel et intime. Critique : Fabio Jacomelli dévoile la vie érotique d'un artiste peintre/dessinateur, ou du moins expose ses phantasmes dans trois histoires à ne pas montrer aux yeux innocents 😉 . Tout commence à Milan en 1985, par une nuit pluvieuse d'octobre, Fabio ne parvient pas à travailler envahi par le syndrome de la page blanche version dessinateur. Soudain, le téléphone sonne et Claudia l'appelle avec l'envie pressante de le voir. Les retrouvailles vont prendre un virage inattendu, l'étudiante en "langues appliquées" fera montre de ses talents experts pour le plus grand plaisir de Fabio ! Puis nous nous retrouvons en 1986 à l'école de Bande dessinée de Milan, une élégante inconnue nommée Laura demande à Fabio de participer à une séance privée de photographies. Ils se retrouvent dans une chambre d'hôtel aux murs rouges habillés de nombreux miroirs ! Là aussi, point de photos mais des ébats passionnés cherchant le bon angle dans le reflet des miroirs. Enfin, deux années s'écoulent et on retrouve Fabio faisant la rencontre de Elena au cours d'une soirée. Apprenant son métier d'artiste, elle lui propose vite de venir peindre sur les murs de son appartement. Une fois encore, l'objet initial de la visite trouvera une toute autre issue, dénudée et enchevêtrée ! L'auteur italien nous gratifie ses "exploits" sur des planches soignées avec un trait élégant et fin. Les corps sont "humains", point de membres disproportionnés ou encore de poitrines énormes. Il dégage une grande sensualité des trois ébats, avec pour chacun un vécu différent. Il parvient à donner une belle expressivité aux visages avec de l'intensité dans les regards, le tout est bien mis en couleurs par Claudia Guiliani, l'histoire ne dit juste pas de quelle Claudia il s'agit 😉 . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-vie-d-artiste-n-a-pas-que-de-mauvais-cotes/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. poseidon2

    Épouvantail

    Titre de l'album : Épouvantail Scenariste de l'album : Philippe Pelaez Dessinateur de l'album : Stéphane Sénégas Coloriste : Stéphane Sénégas Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Dans une ferme isolée, Lily, une petite fille au caractère bien affirmé, vit avec son père et sa belle-mère. Elle partage son quotidien entre ses animaux, l'école et un épouvantail planté en haut d'un champ, de l'autre côté de la route. Un épouvantail qui, un jour, se met à lui parler. Les échanges sont houleux, car l'épouvantail se montre vulgaire : il n'a pas besoin d'amis, contrairement à Lily. Le mannequin de paille et de bois lui révèle qu'il a été le témoin d'un tragique accident de voiture sur la route, en bas du champ. Depuis, il a mal au ventre. Le père de Lily a lui aussi été un témoin capital de ce drame : il a pu sauver le passager mais pas la conductrice de la voiture, lorsque la voiture a dévalé le talus pour finir dans l'étang du bois qui jouxte la ferme. Le même étang que celui où est morte la mère de Lily. Tandis qu'une enquête est ouverte pour déterminer les circonstances exactes de l'accident, tous les protagonistes commencent à faire d'étranges cauchemars hantés par la présence singulière... de l'épouvantail. Cette bande dessinée, fruit de la collaboration entre Philippe Pelaez et Stéphane Sénégas, mêle drame et fantastique dans un univers à la Tim Burton. Les illustrations en noir et blanc subliment un récit où la frontière entre rêve et réalité vacille, créant une atmosphère aussi fascinante qu'inquiétante. Critique : En voilà une BD pas comme les autres. Graphiquement, c'est même radicalement différent de ce que l'on peut lire d'habitude. On est ici très proche de l'étrange Noël de Monsieur Jack, mais en noir et blanc et avec un coté plus anguleux et plus effrayant dans le dessin. Et pourtant… cette histoire qui a tout pour être effrayante se trouve être adoucie par notre personnage central : Lily. Car dans cet univers noir et blanc, plein de légende et de méchant épouvantail qui parle, on a Lily. Lily pleine de vie, d'envie et qui, malgré la disparition de sa mère, nous apporte un rayon de bonne humeur dans une histoire qui en a besoin. Non pas que l'histoire soit glauque. Elle est juste un peu effrayante, le lecteur ne sachant jamais si cet épouvantail est du côté de Lily ou non. Philippe Pelaez nous livre ici une superbe histoire, réussissant à entremêler une enquête policière et un récit d'angoisse, de bien belle façon, faisant osciller le lecteur entre peur et envie de savoir ce qu'il est vraiment arrivé à la mère de Lily, le tout saupoudrer de la joie d'une petite fille pleine de vie. Une lecture marquante Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/epouvantail?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. poseidon2

    Épouvantail

    En voilà une BD pas comme les autres. Graphiquement, c'est même radicalement différent de ce que l'on peut lire d'habitude. On est ici très proche de l'étrange Noël de Monsieur Jack, mais en noir et blanc et avec un coté plus anguleux et plus effrayant dans le dessin. Et pourtant… cette histoire qui a tout pour être effrayante se trouve être adoucie par notre personnage central : Lily. Car dans cet univers noir et blanc, plein de légende et de méchant épouvantail qui parle, on a Lily. Lily pleine de vie, d'envie et qui, malgré la disparition de sa mère, nous apporte un rayon de bonne humeur dans une histoire qui en a besoin. Non pas que l'histoire soit glauque. Elle est juste un peu effrayante, le lecteur ne sachant jamais si cet épouvantail est du côté de Lily ou non. Philippe Pelaez nous livre ici une superbe histoire, réussissant à entremêler une enquête policière et un récit d'angoisse, de bien belle façon, faisant osciller le lecteur entre peur et envie de savoir ce qu'il est vraiment arrivé à la mère de Lily, le tout saupoudrer de la joie d'une petite fille pleine de vie. Une lecture marquante
  17. Titre de l'album : Empires tome 4 - La compagnie des écorchés Scenariste de l'album : Nicolas Jarry Dessinateur de l'album : Ornella Savarese Coloriste : Silvia Fabris Editeur de l'album : Oxymore Note : Résumé de l'album : Samara la sauvage, l’envoûtante Kahanë et Mira l’indomptable sont des libre-lames, des sœurs aux liens trempés dans le sang de leurs ennemis. Toutes trois ont juré dans les profondeurs d’Abîmes, avec les ténèbres pour seules témoins, de se venger de leur capitaine qui les a trahies afin de sauver sa peau. Elles ne le tueront pas, pas avant de lui avoir pris tout ce à quoi il tenait : son honneur, sa fortune et sa compagnie… Alors seulement, elles lui ouvriront la gorge et le laisseront se noyer dans son propre sang… Critique : La nouvelle saga Empires de l'éditeur Oxymore continue son bonhomme de chemin avec déjà la sortie du tome 4, la compagnie des écorchés. On y suit trois soeurs, Samara, Kahanë et Mira laissées pour mortes dans les entrailles d'une immense caverne par leur capitaine de compagnie. Suite à un long périple, elles regagnent la surface et sa lumière en jurant de se venger ! Mais attaquer une compagnie entière requiert des moyens et des hommes. Chacune vont se lancer dans une quête de renforts bien précis pour assouvir leur désir de revanche. Elles feront face à leur passé et devront surmonter leurs démons intérieurs dans cette voie jalonnée de sang. La recette de Nicolas Jarry officiant aussi chez Soleil sur les sagas Elfes et Nains, se retrouve une nouvelle fois avec des voix-off et le passé trouble ressurgissant et troublant l'objectif de vengeance. Les trois soeurs présentent toutes des caractéristiques propres et il est assez plaisant de passer d'une à l'autre au fil de l'histoire. Ornella Savarese qui a déjà travaillé sur la série Mages (Soleil) nous livre un dessin soigné et appliqué aux nombreux décors variés et impressionnants. Silvia Fabris assure les couleurs, une nouvelle fois impeccables, jouant bien sur les effets lumineux et les jeux d'ombres. Le tome 5 à la rentrée littéraire de septembre clôturera ce premier cycle Empires, nous commencerons à y voir plus clair sur les objectifs scénaristiques de Nicolas Jarry et JL Istin, les architectes de cet univers dark fantasy. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/empires-tome-4-la-compagnie-des-ecorches/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. La nouvelle saga Empires de l'éditeur Oxymore continue son bonhomme de chemin avec déjà la sortie du tome 4, la compagnie des écorchés. On y suit trois soeurs, Samara, Kahanë et Mira laissées pour mortes dans les entrailles d'une immense caverne par leur capitaine de compagnie. Suite à un long périple, elles regagnent la surface et sa lumière en jurant de se venger ! Mais attaquer une compagnie entière requiert des moyens et des hommes. Chacune vont se lancer dans une quête de renforts bien précis pour assouvir leur désir de revanche. Elles feront face à leur passé et devront surmonter leurs démons intérieurs dans cette voie jalonnée de sang. La recette de Nicolas Jarry officiant aussi chez Soleil sur les sagas Elfes et Nains, se retrouve une nouvelle fois avec des voix-off et le passé trouble ressurgissant et troublant l'objectif de vengeance. Les trois soeurs présentent toutes des caractéristiques propres et il est assez plaisant de passer d'une à l'autre au fil de l'histoire. Ornella Savarese qui a déjà travaillé sur la série Mages (Soleil) nous livre un dessin soigné et appliqué aux nombreux décors variés et impressionnants. Silvia Fabris assure les couleurs, une nouvelle fois impeccables, jouant bien sur les effets lumineux et les jeux d'ombres. Le tome 5 à la rentrée littéraire de septembre clôturera ce premier cycle Empires, nous commencerons à y voir plus clair sur les objectifs scénaristiques de Nicolas Jarry et JL Istin, les architectes de cet univers dark fantasy.
  19. poseidon2

    Constance et les ombres tome 1

    Vous avez vu Monstres et Cie de Pixar ? Vous aimez les monstres à l'apparence terrifiante, mais qui sont en fait gentils comme tout ? Et bien cela ... ne suffit pas pour aimer cette histoire qui se trouve être moins enfantine qu'il n'y parait. En effet si le pitch fait très "Monstres & Cie en 1900", l'histoire elle est plus compliquée, avec des histoires de famille inquiétante, une place de l'enfant digne de l'époque et un mini coté fantastique pas désagréable. Une BD qui se laisse lire avec plaisir porté par un graphisme efficace avec des monstres véritablement effrayant et une constance craquante. Attention quand même a ne pas prendre cette BD pour un public trop jeune. La compréhension des sous-entendus sur la disparition du frère et le comportement des parents sont parties prenantes de l'histoire et risque de dépasser les plus jeunes lecteurs.
  20. Titre de l'album : Constance et les ombres tome 1 Scenariste de l'album : Ingrid Chabbert Dessinateur de l'album : Luisa Russo Coloriste : Luisa Russo Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Dans cette riche demeure du début du XXe siècle, Constance pourrait vivre heureuse. Mais voilà : ses parents, inquiets pour sa santé — pourtant excellente —, la maintiennent dans un étrange isolement, aussi bien physique qu'affectif, alors que dehors rôdent d'étranges loups spectraux que seule Constance peut voir... Heureusement, la jeune fille a trouvé un ami : Horace, un gentil monstre qui veille sur elle depuis sa naissance et qui éclaire ses journées du soleil tout neuf de l'amitié ! De quoi faire oublier à Constance la mystérieuse disparition de son grand frère, la dureté de ses parents, la pesanteur de certains secrets familiaux mais surtout l'ombre des loups qui se rapprochent et n'attendent que l'occasion de trouver un passage pour l'atteindre... Entre Dickens et Stephen King, Constance va vous faire frissonner de peur et d'émotion(s) dans cette palpitante aventure initiatique mêlant fantastique, secrets de famille et amitié. Critique : Vous avez vu Monstres et Cie de Pixar ? Vous aimez les monstres à l'apparence terrifiante, mais qui sont en fait gentils comme tout ? Et bien cela ... ne suffit pas pour aimer cette histoire qui se trouve être moins enfantine qu'il n'y parait. En effet si le pitch fait très "Monstres & Cie en 1900", l'histoire elle est plus compliquée, avec des histoires de famille inquiétante, une place de l'enfant digne de l'époque et un mini coté fantastique pas désagréable. Une BD qui se laisse lire avec plaisir porté par un graphisme efficace avec des monstres véritablement effrayant et une constance craquante. Attention quand même a ne pas prendre cette BD pour un public trop jeune. La compréhension des sous-entendus sur la disparition du frère et le comportement des parents sont parties prenantes de l'histoire et risque de dépasser les plus jeunes lecteurs. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/constance-et-les-ombres-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Titre de l'album : Au chant des grenouilles tome 3 - Le club du samedi Scenariste de l'album : Barbara Canepa, Anaïs Halard Dessinateur de l'album : Giovanni Rigano Coloriste : Giovanni Rigano Editeur de l'album : Oxymore Note : Résumé de l'album : Le grand concours de pâtisserie se poursuit à Greenwood ! Le Club du Samedi s’apprête à résoudre l’une de ses affaires les plus délicates : le mystère du gâteau empoisonné. Honey, le renard studieux, se retrouve embarqué dans une mission secrète menée par Fog le corbeau et Basil le grillon, à l’insu du reste du groupe. Alors que l’aventure prend une tournure aussi trouble que boueuse, Honey et ses amis, Vanille, Moon, Shadow et les autres, devront unir leurs forces pour résoudre ce mystère. Ce premier arc narratif, en trois tomes, touche à sa fin, mais le Club du Samedi poursuit ses aventures avec de nouvelles histoires complètes par album, à découvrir dès le tome 4. Critique : Quel plaisir de retourner dans la forêt enchantée de Greenwood en compagnie de nos amis du Club du samedi ! Souvenez-vous la fin du tome 2 avec ce gâteau empoisonné par qui et comment !! Nos pâtissiers en culottes courtes vont mener l'enquête et débusquer la personne impliquée dans ce mystère ayant perturbé le concours. Honey, Fog et Basil s'enfoncent dans les marais en poursuivant la piste du fameux chewing-gum trouvé et vous irez de surprises en surprises jusqu'au bouquet final et sa grande révélation 😉 . Sur le même principe que les tomes précédents, on retrouve des annexes au fil de la lecture amenant des informations complémentaires. Ainsi, vous apprendrez le rôle essentiel des insectes pollinisateurs avec en chefs de file les abeilles. Vous saurez reconnaître les différentes empreintes laissées par les animaux dans la forêt et vous apprendrez même les vertus de l'argile ! On retrouve aux pinceaux un nouvel artiste en la personne de Giovanni Rigano, qui s'inscrit dans le même niveau d'exigence que ses prédécesseurs. Ce monde animalier est formidablement réussi, les personnages sont expressifs et bien détaillés, il en va de même pour la colorisation d'une très grande qualité. Chaque page tournée est un régal pour les yeux, personnellement j'attends avec impatience le travail de Alexis Nesme sur cette saga des plus sympathique ! Pour les petits et les grands 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/au-chant-des-grenouilles-tome-3-le-club-du-samedi/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Quel plaisir de retourner dans la forêt enchantée de Greenwood en compagnie de nos amis du Club du samedi ! Souvenez-vous la fin du tome 2 avec ce gâteau empoisonné par qui et comment !! Nos pâtissiers en culottes courtes vont mener l'enquête et débusquer la personne impliquée dans ce mystère ayant perturbé le concours. Honey, Fog et Basil s'enfoncent dans les marais en poursuivant la piste du fameux chewing-gum trouvé et vous irez de surprises en surprises jusqu'au bouquet final et sa grande révélation 😉 . Sur le même principe que les tomes précédents, on retrouve des annexes au fil de la lecture amenant des informations complémentaires. Ainsi, vous apprendrez le rôle essentiel des insectes pollinisateurs avec en chefs de file les abeilles. Vous saurez reconnaître les différentes empreintes laissées par les animaux dans la forêt et vous apprendrez même les vertus de l'argile ! On retrouve aux pinceaux un nouvel artiste en la personne de Giovanni Rigano, qui s'inscrit dans le même niveau d'exigence que ses prédécesseurs. Ce monde animalier est formidablement réussi, les personnages sont expressifs et bien détaillés, il en va de même pour la colorisation d'une très grande qualité. Chaque page tournée est un régal pour les yeux, personnellement j'attends avec impatience le travail de Alexis Nesme sur cette saga des plus sympathique ! Pour les petits et les grands 😉
  23. Kevin Nivek

    Ommegang 1930

    Titre de l'album : Ommegang 1930 Scenariste de l'album : Patrick Weber Dessinateur de l'album : Thomas Liera Coloriste : Thomas Liera Editeur de l'album : Anspach editions Note : Résumé de l'album : Bruxelles, 1930. Après 145 ans d'absence, des passionnés s'efforcent de ressusciter la parade de l'Ommegang, symbole de l'histoire belge. Mais alors que les derniers préparatifs battent leur plein, un participant est assassiné d'un carreau d'arbalète en pleine répétition. Stan Stanislas, journaliste au Patriote belge, s'empare immédiatement de l'affaire. Tandis qu'il tente d'élucider le meurtre, les sabotages se multiplient. Il devient progressivement clair qu'un groupe de conspirateurs cherche à perturber l'Ommegang, et qui sait, peut-être même à déstabiliser la Belgique. Qui tire les ficelles de ce complot ? Pourquoi cette innocente célébration historique déclenche-t-elle une telle violence ? Stan et ses amis vont devoir affronter une menace sournoise dont l'objectif pourrait être bien plus grand que la simple annulation d'une parade. Critique : A l'occasion des futures commémorations de l'Ommegang les 2 et 4 juillet prochain, l'éditeur belge Anspach propose une nouvelle aventure historique liée à cet événement. Suite à de nombreuses "occupations", la Belgique se retrouve enfin libre et indépendante en 1830, Patrick Weber en scénariste attitré et surtout historien, choisi de placer cette aventure en 1930. Un centenaire qui doit être célébré en véritable hommage à l'histoire du pays et son lien étroit avec Charles Quint; mais les préparatifs sont perturbés par une série de sabotages et surtout d'un meurtre ! Le temps presse et les organisateurs ne peuvent annuler les cérémonies prévues, aussi, bien aidés par un jeune journaliste avide de scoops et passionnés de romans policiers, ils mènent l'enquête. Patrick Weber réalise une nouvelle fois un scénario efficace en mêlant grande histoire et fiction avec un "whodunit" réservant bien des surprises ! On apprend au fil des anecdotes dévoilées tout du long et on cherche réellement à comprendre qui, pourquoi, comment ? Un suspens savamment distillé et mis en images par la ligne claire de Thomas Liera. Ce dernier délaisse la BD documentaire au profit de la fiction et son trait s'inscrit parfaitement dans la ligne éditoriale de la section "histoire" d'Anspach. Son dessin manque parfois un peu de finesse par rapport à celui de Baudouin Deville sur la saga Kathleen, mais il restitue parfaitement les décors d'époque ainsi que les costumes. Pour avoir visité il y a peu Bruxelles et sa grand place, j'ai été ravi d'y retourner sous son crayon 🙂 . Si la grande histoire vous intéresse, les annexes sur l'Ommegang en fin d'album sont assez complètes et bien documentées. Plus d'infos ici : https://ommegang.be/ Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ommegang-1930/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Kevin Nivek

    Ommegang 1930

    A l'occasion des futures commémorations de l'Ommegang les 2 et 4 juillet prochain, l'éditeur belge Anspach propose une nouvelle aventure historique liée à cet événement. Suite à de nombreuses "occupations", la Belgique se retrouve enfin libre et indépendante en 1830, Patrick Weber en scénariste attitré et surtout historien, choisi de placer cette aventure en 1930. Un centenaire qui doit être célébré en véritable hommage à l'histoire du pays et son lien étroit avec Charles Quint; mais les préparatifs sont perturbés par une série de sabotages et surtout d'un meurtre ! Le temps presse et les organisateurs ne peuvent annuler les cérémonies prévues, aussi, bien aidés par un jeune journaliste avide de scoops et passionnés de romans policiers, ils mènent l'enquête. Patrick Weber réalise une nouvelle fois un scénario efficace en mêlant grande histoire et fiction avec un "whodunit" réservant bien des surprises ! On apprend au fil des anecdotes dévoilées tout du long et on cherche réellement à comprendre qui, pourquoi, comment ? Un suspens savamment distillé et mis en images par la ligne claire de Thomas Liera. Ce dernier délaisse la BD documentaire au profit de la fiction et son trait s'inscrit parfaitement dans la ligne éditoriale de la section "histoire" d'Anspach. Son dessin manque parfois un peu de finesse par rapport à celui de Baudouin Deville sur la saga Kathleen, mais il restitue parfaitement les décors d'époque ainsi que les costumes. Pour avoir visité il y a peu Bruxelles et sa grand place, j'ai été ravi d'y retourner sous son crayon 🙂 . Si la grande histoire vous intéresse, les annexes sur l'Ommegang en fin d'album sont assez complètes et bien documentées. Plus d'infos ici : https://ommegang.be/
  25. Avant
  26. N'en déplaise à nos amis bordelais, j'avoue ne pas du tout connaitre le personnage de Gilles Bertin. Trop jeune pour avoir ouï-dire du braquage et trop loin pour connaitre la légende locale". J'ai donc découvert avec beaucoup d'empathie et d'un certaine tendresse le personnage. Pur produit de son époque, Gilles Bertin a traversé les années 70-80 en surfant sur la drogue, le punk, la débrouille et le gros casse mal géré qui l'a obligé à se cacher 30 ans. Ce qui est particulièrement sympathique dans cette adaptation de Stéphane Oiry , c'est le traitement en entier de la vie de Gilles Bertin, sans en faire trop. pas de sacralisation du héros local ni de blâme du braqueur. Juste la description d'un homme que l'on pourrait connaitre et qui à fiat ce qu'il pensait nécessaire pour survivre à une époque ou pas facile pour les personnes le rentrant pas dans les cases prédéfinies par la société de l'époque. Ce "Les héros du peuple sont immortels" s'est avéré une très bonne lecture, empreinte de nostalgie d'une époque révolue.
  27. Titre de l'album : Les héros du peuple sont immortels Scenariste de l'album : Stéphane Oiry Dessinateur de l'album : Stéphane Oiry Coloriste : Stéphane Oiry Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Avec Camera Silens, le groupe punk qu'il a créé, Gilles Bertin oscille entre concerts turbulents, tremplins rock et petites combines. Jusqu'au jour où il braque près de 12 millions de francs à la Brink's. Ses complices sont rapidement rattrapés... mais Gilles parvient à s'échapper en passant les Pyrénées. Une cavale de plusieurs décennies commence alors. Figure sans concession des années 1980, Gilles Bertin a publié une autobiographie à succès, "Trente ans de cavale". Adaptation rock de celle-ci, "Les Héros du peuple sont immortels" relate son parcours en forme de rédemption depuis les années punk et sida, jusqu'aux années 2010. Critique : N'en déplaise à nos amis bordelais, j'avoue ne pas du tout connaitre le personnage de Gilles Bertin. Trop jeune pour avoir ouï-dire du braquage et trop loin pour connaitre la légende locale". J'ai donc découvert avec beaucoup d'empathie et d'un certaine tendresse le personnage. Pur produit de son époque, Gilles Bertin a traversé les années 70-80 en surfant sur la drogue, le punk, la débrouille et le gros casse mal géré qui l'a obligé à se cacher 30 ans. Ce qui est particulièrement sympathique dans cette adaptation de Stéphane Oiry , c'est le traitement en entier de la vie de Gilles Bertin, sans en faire trop. pas de sacralisation du héros local ni de blâme du braqueur. Juste la description d'un homme que l'on pourrait connaitre et qui à fiat ce qu'il pensait nécessaire pour survivre à une époque ou pas facile pour les personnes le rentrant pas dans les cases prédéfinies par la société de l'époque. Ce "Les héros du peuple sont immortels" s'est avéré une très bonne lecture, empreinte de nostalgie d'une époque révolue. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-heros-du-peuple-sont-immortels?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  28. Titre de l'album : Alfred, un amour de chat ! Scenariste de l'album : Romina Denti Dessinateur de l'album : Valentino Forlini Coloriste : Valentino Forlini Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Moi, c'est Alfred. J'étais un petit chaton des rues, jusqu'au jour où deux fillettes sont tombées sous mon charme. D'un côté, Violet vit dans une grande maison digne d'un château, pleine de jouets, de friandises... mais elle ne me laisse jamais un instant de répit. De l'autre, Mary n'a pas grand-chose, pourtant son petit foyer déborde de rires, de câlins... et d'une balançoire qui me fait rêver. Qui choisir ? Et surtout... comment résister à tant d'amour ? Critique : Le catalogue de l'éditeur jeunesse Jungle s'enrichit d'une nouvelle sortie colorée et bien dans l'esprit Disney avec ce tome 1 Alfred, un amour de chat ! Valentino Forlini le dessinateur a travaillé des années pour le studio hollywoodien et cela se sent dans son trait rond et agréable sentant bon les animations récentes. On y suit Alfred, un chaton errant dans les rues de Liverpool de la fin du XIX ème siècle, dont l'unique objectif est de se nourrir. Le destin va lui apporter deux jeunes filles issues de classes sociales différentes. Violet est d'une grande famille noble locale, pendant que Mary est fille d'ouvrier avec une mère "rallongeant la soupe" tous les soirs. D'un côté l'opulence mais la sollicitation permanente chez les gens aisés et de l'autre une assiette presque vide mais des câlins et un amour sincère. Alfred vivra de brefs moments dans ces deux maisons et sera soumis à un choix cornélien pour son avenir ! Dans quelle famille rester ?? De bons sentiments, une description légère des grands écarts sociaux et un peu d'humour, les éléments de la recette du premier tome semblent un peu minces pour une lecture à deux niveaux (adulte et enfant). On est vraiment ici dans un ouvrage pour les plus petits, sachant lire bien entendu 🙂 . Les dialogues sont concis, les auteurs ont eu la bonne idée de dessiner les bulles dans lesquelles Alfred exprime ses pensées en forme de tête de chat, pour bien les différencier des bulles "humaines". La fin laisse entrevoir une suite avec un possible retournement de situation, Alfred n'est pas au bout de ses surprises ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/alfred-un-amour-de-chat/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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  • Un best of BD au hasard

  • Dernières Critiques

    • Ange Leca - Monstres américains
      Note :
      Voici une très belle sortie que je vous invite à ne pas manquer. J'étais moi même passé à côté du premier tome, et je vais rattraper ce manquement sans faute. D'abord parce que le scénario nous emmène entre la corse et New York au début du vingtième siècle pour des enquêtes policières qui vont nous mettre aux prises avec des faits divers et des faits de société réels de cette époque là. C'est fait intelligemment et si au début on se sent un poil déboussolé, surtout sans avoir lu le premier tome, on se retrouve finalement vite happé et conquis par ces enquêtes. Ce sont bien des one shots mais qui s'inscrivent dans une forme de continuité, un peu dans ce qu'à pu faire Thorgal par exemple.  

      J'aime ce modèle car il permet d'avoir des histoires complètes sans pour autant sacrifier une trame plus ambitieuse. Surtout que rien n'interdira de faire un petit cycle en dérogeant pour quelques tomes à la règle du one shot. 

      Venons en au second point fort de cette sortie : les dessins de Victor Lepointe sont exquis. Ces couleurs sont sublimes et renforcent les ambiances fortement. On se sent transportés avec nos personnages et j'ai aimé cela. Les décors sont soignés et parfois merveilleux, les personnages sont nets et vivants, j'en redemande. Il y a la un véritable style, et une vraie patte graphique. Merci car cette bd a du demander un travail considérable, alors chapeau bas. 
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    • Pillard de guerre
      Note :
      Oh quel plaisir que cette lecture... Un plaisir peut être un brin coupable tant l'ombre de l'immense "Il était une fois la révolution" plane sur cette lecture... Mais un plaisir tout de même. Il faut dire que le sujet n'a pas été essoré en bd franco belge. Et puis nos deux auteurs ont du talent, on avait déjà pu apprécier la qualité du duo sur la série AIR. Bon, pour Philippe Pelaez, prolifique et quasi incontournable ces dernières années cela devient une évidence de le dire tant ses qualités de scénariste ont été saluées sur ses multiples parutions ces dernières années. D'autant que sur des histoires de fripouilles en période révolutionnaire il a déjà montré qu'il était particulièrement à l'aise.

      Le dessin de Francis Porcel est juste, dans la pure tradition franco belge que nous affectionnons tant. Ses couleurs sont belles et rendent bien les ambiances. Ses personnages sont travaillés et les scènes sont lisibles et bien découpées, on a juste à se laisser porter par la lecture.

      A noter qu'il s'agit déjà du troisième tome de cette série après Pinard de guerre et Bagnard de guerre. Et si les tomes peuvent se lire en one shot sans soucis, cela reste un vrai plaisir de retrouver ce personnage de Ferdinand Tirencourt, certes peu recommandable mais parfois sympathique, au gré de ses aventures sur le théâtre des guerres du début du 20ème siècle. 

       
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    • La confrérie des tempêtes tome 1 - Thoorak
      Note :
      Nouvelle saga à venir pour le prolifique éditeur Oxymore avec La confrérie des tempêtes ! Cet univers créé par JL Istin et Sylvain Cordurié s'inscrit dans la lignée d'une autre série de leur catalogue : West fantasy. Ici les auteurs utilisent les races "tolkiennes" (avec quelques ajouts) dans un monde marin sur lequel naviguent entre autres, des pirates. Il est fait mention dans la préface d'un Empire prédominant ces îles ainsi que trois seigneurs pirates dirigeant la Confrérie des tempêtes. Ils ne reconnaissent pas l'autorité de l'empereur et créent leurs propres lois. C'est dans ce contexte que l'on découvre la jeune Agora, seule survivante du massacre de sa famille, se réfugiant dans les bras d'un orc membre de la Confrérie, Thoorak.  On suivra son évolution au fil d'un lourd apprentissage teinté de violence et de trahison, jusqu'au final réservant son lot de surprises. Médaillon, magie, mensonges, vengeance et secrets de famille seront au programme de ces 72 pages à lire sans modération ! Certes la voix off et l'éternelle revanche composent l'épine dorsale (une nouvelle fois) de ce type de saga, mais elle est bien réalisée et s'inscrit dans une histoire plus vaste. Aratheon n'a pas fini de nous surprendre ! Au dessin ,on retrouve l'artiste italien Giovanni Lorusso ayant déjà travaillé avec JL Istin sur Les guerres d'Arran (Soleil). Son trait réaliste convient parfaitement au récit, les cases sont bien détaillées, les décors environnants sublimes, idem pour les navires. Un graphisme magnifié par les couleurs de Olivier Héban qui apporte du relief et de très beaux effets de lumières. On entre dans cet univers de pirates par la grande porte assurément et on a envie d'y retourner ! Cinq albums sont déjà prévus et il est fort possible que l'on retrouve des personnages présents dans cet opus lors du sixième tome 😉 Une très sympathique nouvelle saga à venir, aux couleurs du drapeau noir des pirates ! 
      • 3 réponses

    • Blood-crawling princess tome 1
      Note :
      Un grand empire désireux de conquêtes et de pouvoir envahit un jour le petit royaume paisible de Batalia, exterminant la population. Par miracle Evita, la princesse du royaume arrive à s’échapper et n’a pas d’autre choix que de vendre son corps pour survivre. Elle est donc devenue, sous le nom de Priscilla, l’une des courtisanes les plus prisées de la ville de San Missa, un endroit dédié au plaisir composé de maisons closes où les femmes y sont retenues contre leur gré jusqu’à leur mort.

      Mais Priscilla n’est pas la gentille idiote qu’elle laisse paraitre et elle fomente sa vengeance contre l’empire en entrainant dans son sillage toutes les femmes de la cité. Il est temps de lancer la contre-attaque !

      Si dans The brave wish revenging, on a Raoul, le héros trahi, qui prend sa revanche de façon extrême, Evita est son pendant féminin. Une héroïne forte qui va frapper un grand coup (plusieurs même !) que ce soit contre l’empire mais surtout contre les hommes. Pour dire, Kurokawa a accompagné l’envoi du service de presse d’un casse-noix, je vous laisse deviner son utilisation :) !

      C’est antitotalitarisme et anti-patriarcal à souhait !! Par contre, le manga est violent et à réserver à un public averti. Reste à voir si le scénario va tomber dans une accumulation de scènes choquantes (comme son pendant) ou s’il va proposer une trame plus constructive et intéressante. À suivre
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    • The world's finest assassin tomes 1 & 2
      Note :
      J’ai découvert cette série par son anime que j’avais bien apprécié. Je n’ai pas été déçue par le manga, les deux sont cohérents que ce soit au niveau du graphisme ou du scénario.

      Notre héros était un assassin hors pair mais dans ce genre d’organisation, il n’y a pas de retraite (Comme pour Killer Peter !) : vous mourrez en mission ou vous êtes éliminé ! C’est ce qui s’est passé pour notre héros, il est mort lors de l’explosion d’un avion. Mais son profil intéressait la déesse d’un autre monde qui cherche des personnes capables d’éliminer le futur héros de son monde. Comme souvent, le héros surpuissant est un problème : soit il fait de l’ombre au roi en place soit il se lâche et représente une calamité pour les habitants.

      Donc Lugh (c’est son nouveau nom) se voit offrir une nouvelle vie avec un objectif à atteindre : assassiner le héros mais seulement après qu’il ait vaincu le seigneur démon !! Pour cela, il peut choisir quelques compétences et renaît dans une famille avec des moyens : les Tuatha Dé, une famille d’assassins au service de la royauté. Le voilà donc à améliorer ses compétences, chercher des armes ou des techniques efficaces et trouver des renseignements sur sa cible. Mais ce qu’il n’avait pas anticiper ce sont les liens affectifs qu’il va développer : famille, amis et amour !

      On a un shonen efficace bien ficelé et rythmé. Les personnages sont attachants, le graphisme est agréable et adapté et le scénario contient assez d’évènements pour ne pas avoir le temps de s’ennuyer. Par contre, je ne sais pas si la partie « harem » était nécessaire mais c’est un élément classique de ce genre d’isekai et vu qu’il n’est pas trop lourd, il ne dérange pas. Una aventure à suivre !
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