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  • The_PoP
    • Scenariste: Tiburce Oger Dessinateur: Collectif Coloriste: Collectif Editeur: Grand Angle Note :
      Résumé:

      Le parcours implacable et violent des hommes de loi de la conquête de l'Ouest. Un western à l'ombre des potences. En quatorze histoires, Lawmen of the West retrace les destins authentiques, célèbres ou méconnus, de représentants de l'ordre dans l'Ouest américain de 1813 à 1902. Minutemen, chasseurs de primes, shérifs et marshals, juges et bourreaux imposent peu à peu les lois de l'Homme blanc dans les contrées sauvages à l'ouest du Mississipi

       

      Au dessin dans le collectif on retrouve : Dimitri ARMAND, Jef, Paul GASTINE, Ronan TOULHOAT, Chris Regnault, Laurent ASTIER, Laurent HIRN, Corentin ROUGE, Dominique BERTAIL, Richard GUERINEAU, Mario MILANO, Alain, MOUNIER, CARAMALI SRL Ralph MEYER, Xavier BES

      Type: BD Europeene L'acheter sur bdfugue Genre: Western Prix: 19.90 Nb de pages: 120
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    Grand Angle et Tiburce Oger ne lésine pas sur cette série de one shot des "Of the West". Après Go West young man, Indians, et Gunmen, voici désormais Lawmen. La recette est toujours la même, Tiburce Oger nous livre une série d'histoires courtes sur des évènements historiques de la conquête de l'Ouest Américaine à l'aide d'une pléthore de dessinateurs tous plus talentueux les uns que les autres. 

    J'ai été d'ailleurs très surpris par le style et les planches de Jef qu'on avait vu dans un style bien différent sur ses propres one shots ces dernières années. 

    Le problème de ce genre d'albums, c'est que le format d'histoires courtes est très frustrant, surtout que le niveau d'intérêt des anecdotes choisies par Tiburce Oger reste assez variable. On sait que Tiburce Oger est plus que passionné par le sujet et que c'est un formidable conteur, mais honnêtement mon intérêt s'amenuise désormais à chaque tome de cette série, que l'on oublie finalement un peu vite. Pour les passionnés de Western comme moi cela reste une belle lecture, mais qui ne va plus titiller les ténors du genre. 

    Graphiquement par contre, il y a encore une fois du très très beau. Certaines planches sont juste magnifiques.

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    Commentaires recommandés

    Lu et je rejoins @The_PoP sur l'histoire qui peine à convaincre, par contre l'édition en NB et grand format, un régal pour les yeux, les dessins NB sont superbes, ils rehaussent le niveau de la BD, clairement. Mmmmh le  dernier avec Gunmen avait souffert du même genre de critique, va falloir faire gaffe l'ami Oger 😉 

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    L'ami Oger fait gaffe, ou essaie tout au moins, et il lui faut un an de recherches, de préparation et d'écriture de toutes ces histoires, courtes, trop courtes bien sûr, mais c'est là la contrainte. Les auteurs n'ont pas plus de temps que 6-10 pages à consacrer et l'éditeur veut rester sur cette pagination. Les critiques sont plutôt très bonnes, sauf sur ces deux posts que je découvre. Alors bien sûr, si mon écriture vous déplait, ne gâchez pas vos économies pour le prochain, ni votre temps sur le clavier , on ne peut pas plaire à tout le monde . Bonnes fêtes de fin d'année auprès de vos proches 😉  Tiburce Oger

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    On a trop de respect pour vous M. Oger pour considérer que c'est gâcher. Je ne peux guère mieux appuyer ces dires qu'avec les photos ci-jointes. Simplement s'il est toujours important de respecter le travail de l'artiste, et je ne crois pas que notre chronique lui manquait de respect, il faut aussi accepter que nous, simples amateurs, puissions donner nos ressentis. Evidemment nous ne sommes que des amateurs, mlais nous ne revendiquons rien de plus que le plaisir d'échanger nos avis sur la bande dessinée que nous aimons tant. 

     

    Ceci étant dit, on ne se prie par pour crier haut et fort que l'on a aimé voir adoré certains de vos ouvrages : comme ici 

    ou là : 

    ou encore ici : 

    ou là : 

     

     

    Acceptez simplement que ces avis dithyrambiques n'ont de valeur que si l'on sait aussi dire quand on aime moins. Alors oui la plume de "l'ami Oger" est toujours aussi appréciée chez nous, même si on a davantage aimé vos ouvrages romanesques que cette plongée plus documentaire dans l'Ouest qui vous tient tant à coeur. Et là où d'autres critiques ont, il est vrai, adoré, nous avons été plus mitigés. Qu'a cela ne tienne, sur d'autres ouvrages c'est bien l'inverse qui s'est produit et c'est juste normal, et gage de notre indépendance de ton malgré tout l'amour que l'on porte aux auteurs. 

    Quand à économiser notre temps sur le clavier, c'est là bien mal nous connaître, nous n'aimons ici rien tant que nous écharper sur les goûts et les couleurs, en toute vacuité et parfois mauvaise foi, mais sans jamais trahir notre amour ce la bande dessinée.

     

    Je ne goûte guère l'idée de vous avoir ennuyé, car vous êtes l'un des auteurs qui a finit de me faire basculer dans la bd, alors si vous me le permettez, puis-je vous proposer une toute petite interview écrite pour nous permettre de mieux comprendre cette série, son développement et que vous nous parliez de vos autres projets ? On n'est peut être pas d'accord sur cet ouvrage, mais c'est parfois bien plus enrichissant. 

     

    Merci en tout cas pour votre passage sur notre modeste site M. Oger, nous n'avons que trop rarement le plaisir d'échanger avec des auteurs. 

    Nous vous souhaitons également de belles fêtes de fin d'année.

     

     

    oger.thumb.jpg.b669452cd0c47ee4c811cb38849559e0.jpg

     

     

     

     

     

     

     

     

    Modifié par The_PoP
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    Effectivement, nulle intention de blesser juste de donner un avis sur l'évolution de cette saga de l'ouest américain. Accepter les critiques fait partie du jeu et si j'ai vraiment adoré et encensé les deux premiers tomes de ce western à grande échelle, je suis navré d'avouer que les deux suivant m'ont moins convaincu. Ceci dit je les ai quand même achetés 😉 et ils ont une place de choix dans ma collection. Pour tout vous dire, je rêverais de vous voir adapter ce style de petites histoires sur les pionniers; je pense qu'il y a vraiment matière à réflexion sur ce pan de leur histoire. L'évolution de ces familles dans le temps se prête totalement à vos précédents ouvrages de ce type. Pioneers of the west !

    Un grand merci pour votre passage et notez ce site de la distinguée concurrence qui place les deux derniers opus en deçà des premiers, comme nous ici 😉 

    https://www.planetebd.com/auteur/tiburce-oger/199.html

    Passez de belles fêtes !

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    Oui, ce sera avec plaisir que je répondrai à votre interview. Le concept qui a attisé la curiosité s'est bien sûr estompé, l'effet de surprise a disparu. Dans Marianne, ils trouvent que le tome 4 est le meilleur, allez savoir. Je pense juste que c'est la façon dont on critique un album, un film ou autre qui peut être mal interprétée. Dire qu'une oeuvre est moins bonne, c'est censé passer pour un jugement universel, et non un jugement personnel qui ne sera pas partagé par tout le monde. Je suis content que vous ayez aimé certains albums que j'ai réalisés, il s'agissait d'histoires longues dans lesquelles il est facile de prendre son temps, comme une série Netflix ( dans lesquelles j'ai souvent l'impression de l'avoir perdu, mon temps 🙂 ). Le jeu des histoires courtes, comme des sketchs, peut être terriblement frustrant pour le lecteur comme l'auteur, et en même temps un défi passionnant. Il me permet de montrer des personnages que le curieux pourra aller voir de plus près, et surtout pour moi de donner une musicalité à mes textes; Ce ne sont en fait que de petites chansons de geste sur des héros d'autrefois 😉 

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    Avec grand plaisir alors, on va plancher sur quelque chose de sérieux, mais pas trop long et sur quelle adresse email peut-on vous envoyer nos questions ? Promis on évitera pas trop les questions qui fâchent, mais on a aussi beaucoup d'autres de questions sur l'ensemble de votre oeuvre qui nous mettront tous d'accord je l'espère 🙂

     

    Vous pouvez m'écrire via la messagerie du site si vous le souhaitez, je vous envoie sinon mon email par message privé. 

     

    Merci en tous cas de faire vivre notre passion, même quand on est un peu ronchons 🙂

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    il y a 24 minutes, tiburce oger a dit :

    Le jeu des histoires courtes,

    Je le répète, vous l'avez formidablement réalisé lors des deux premiers tomes hein 😉 . Vraiment ravi de votre réponse positive à une petite interview !

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    Il y a 13 heures, tiburce oger a dit :

    Le jeu des histoires courtes, comme des sketchs, peut être terriblement frustrant pour le lecteur comme l'auteur

    Moi j'avoue que c'est pour cela que le format ne m'attire pas trop.

    J'aime me projeter dans une histoire / personnages et le format "histoires" courtes a tendance à me repousser pour cela.

    Alors qu'une belle saga comme Gorn.. j'ai l'impression d'être un membre de la famille 🙂

    Et c'est pour moi un peu problématique. Car ces formats "cours" se multiplient, je trouve, répondant à un lectorat nouveau qui peine à rester concentré plus de 10 minutes (smartphone effect)..... 

     

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    Aucun risque à en tenter un… c’est de la super bd globalement, nous c’est le format histoires courtes qui a finit par moins nous convenir, mais regarde nos critiques des deux premiers on avait adoré.

     

     

    par contre tu peux les lire dans le sens que tu veux….

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    • Dans l'indifférence générale
      Note :
      Voilà un sacré coup de coeur pour cet "essai" graphique au dessin somptueux et innovant dans son découpage, ainsi que le propos si fort et lourd de conséquences. Je lui souhaite la même réussite dans les bacs des libraires que Le monde sans fin de Jancovici et Blain (Dargaud). Dans un genre moins scientifique mais avec des phrases "coup de poing" et surtout une symbiose des cases dessinées ingénieuse et parlante, Roberto Grossi frise le génie pour imprimer notre rétine de messages. On se rend bien compte que nos petits gestes écologiques ne suffisent plus, il devient impératif d'imprimer une direction responsable aux élites gouvernantes. Nous faisons partie des pays les plus riches et nous polluons sans vergogne avec des chiffres de production de CO2 inimaginables. Sur la même ligne que Jancovici, Roberto Grossi "accuse" le capitalisme et sa surproduction, on pense ainsi à la "décroissance" souhaitée par l'ingénieur français. Il démontre chiffres à l'appui l'accentuation majeure de nos rejets de gaz à effet de serre depuis la révolution industrielle anglaise avec la machine à vapeur de Watt notamment. Un peu plus de 200 ans durant lesquels les progrès scientifiques ont été les plus importants mais aussi les plus néfastes pour la planète bleue. L'auteur utilise subtilement en fil directif de l'histoire un homme dans l'océan, seul, avec en face un requin fonçant gueule béante vers lui ! La catastrophe est imminente, que peut-il faire ? Nous en sommes là avec Taylor Swift prenant son jet privé comme l'on prendrait son scooter pour aller chercher du pain. Il raconte aussi ses souvenirs d'enfance en voyage à Chamonix et sa Mer de glace, glacier en constant retrait depuis des années. J'ai vu aussi le glacier lors de ma jeunesse et j'y retourne régulièrement avec le Montenvers, on ajoute toujours plus de marches pour descendre arpenter la glace... Jusqu'où allons nous descendre ? A lire et à faire lire à tous vos proches. 
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    • Kabuki
      Note :
      Le duo de bienfaiteurs qui nous avaient enchantés avec Shamisen (Ankama) remet ça avec une quête identitaire sur fond de folklore japonais. On connait cette forme théâtrale du Kabuki, qui allie danse, musique, dramaturgie et de nombreux costumes. Les auteurs attribuent au personnage principal le nom de Kabuki, en digne représentant de cet art né au début du XVII ème siècle sous l'ère Edo. D'emblée on est frappé par la virtuosité graphique et le sens de la mise en scène, chaque case se contemple car la suivante lui ressemble mais avec une lueur un peu plus prononcée et cela va en s'accentuant jusqu'à la découverte de Kabuki en scène, c'est un enfant déguisé en femme. Dans une société patriarcale comme l'est le Japon, cela passe plutôt mal et Yokai ainsi qu'humains ne cessent de l'humilier et le décourager dans cette voie ! Kabuki persévère et multiplie les expériences pour trouver son véritable "moi" et vivre en paix avec lui/elle. De nombreux passages oniriques sont dessinés avec grand talent, on saisit parfaitement la métaphore de la chrysalide et du papillon. J'insiste vraiment sur les nombreuses qualités graphiques qui m'avaient enthousiasmées lors de la lecture de Shamisen. le traitement des jeux de lumières, la finesse du trait, Guilherme Petreca est un grand talent. Le scénariste Tiago Minamisawa a voulu rendre hommage aux personnes transgenres tuées au Brésil, le pays détient d'ailleurs le plus haut taux de meurtre envers cette communauté dans le monde. Cela donne une lecture spirituelle et contemplative, peut-être un peu moins accessible que Shamisen. A découvrir !
      • 0 réponse
    • Partitions irlandaises tome 3 (fin) - Le refrain
      Note :
      Voici le dernier tome de cette trilogie de Kris et Bailly sur l'histoire conflictuel de l'Irlande du Nord et le conflit entre catholique et Protestant.

      Ce tome trois, que l'on a attendu longtemps, conclu de bien belle façon cette histoire de famille et qui nous montre qu'il est tous sauf aisé de se défaire de l'historique familial.

      Entre suspens, échange de coup de feux et révélations sur le passé de chacun, on a un troisième tome sans temps mort pour une trilogie engagée qui nous raconte l'histoire d'un petit bout de terre qui cherche à se défaire des histoires du passé pour se focaliser sur l'avenir.

      Note : dû au temps espacé ( tous les deux ans) de parutions des albums, je conseille une relecture de l'intégrale pour bien apprécier ce troisième tome.
      • 0 réponse
    • Coups de coeur
      Note :
      Dans cette autobiographie, l'autrice Tcheque Jislová nous livre une véritable psychanalyse sur sa relation à... l'amour. Rien de moins que ca. Une grande question qui travaille tout le monde mais qui est encore plus prégnant chez Štěpánka vu... ce que l'on apprend sur son passé.

      Je ne vous révèlerais pas cette surprise mais vous encourage à découvrir cette BD qui réussit, sur un très gros volume de pages, à nous accrocher de bout en bout. Le graphisme dynamique et un choix de nuance de rouge très intelligent. Štěpánka joue avec les pages et les limites de la BD pour nous livrer un ensemble réussi qui réussi, malgré le sujet déjà vu et revu, à ne pas nous ennuyer et à nous faire réfléchir sur notre définition à l'amour et au sexe opposé.

      Petite cerise sur un gâteau déjà beau, Štěpánka nous livre quelques pages de psychologie infantile intéressante et documentée.
      • 0 réponse

    • Beast king and medicinal herb tome 2
      Note :
      Le tome 1 de The beast king and medicinal herb était une des bonnes surprises de ce début d'année avec un point de vue rafraîchissant sur les monstres des donjons.

      C'est donc un peu tristement que j'ai découvert que ce tome deux rentrait deja "dans le rang". Non pas qu'il ne soit mauvais. On découvre des nouveaux monstres dans un nouveau donjon et notre héroïne avance dans sa compréhension de Galion.

      Mais on est déjà dans l'aventure qui part pour être super linéaire avec à chaque épisode son donjon et chaque donjon son monstre à soigner. C'est dommage car le premier avait bien utilisé le copain "différence de point de vue" entre monstres et humains tout comme la fait que c'est le gagnant qui écrit l'histoire.

      J'aurais préféré retrouver cela plutôt que de découvrir un super gros monstres qui vole avec ses poils....

      J'espère que le tome trois me surprendra en tout cas !

       
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