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  • Ne reste que l'aube


    poseidon2
    • Scenariste: Thierry Murat Dessinateur: Thierry Murat Coloriste: Thierry Murat Editeur: Futuropolis Note :
      Résumé:

      Thierry Murat revient avec le dernier volet d'un triptyque explorant la création artistique à travers les genres littéraires. Avec Ne reste que l'aube, il revisite le genre littéraire du récit de vampire et aborde les thèmes de l'art et de l'immortalité... En choisissant de situer son histoire dans un futur proche, il porte un regard aiguisé sur l'avenir de notre monde, devenu déshumanisé par la montée des réseaux sociaux, un monde où l'humanité se trouve peut-être là où on ne l'attend plus. Jørgen Nyberg est un peintre célèbre de la deuxième moitié du XXIe siècle. Il a installé sa notoriété grandissante avec des peintures de scènes intimistes aux formats gigantesques. D'une modernité implacable, ses toiles ont la particularité d'être exécutées avec une technique très ancienne de la Renaissance italienne. Ses oeuvres font autant parler d'elles sur le Workin'glass, le réseau social dominant, que la volonté de l'artiste de ne jamais apparaître en public. Avant d'être Jørgen Nyberg, il fût l'une des figures marquantes du Cinquecento, Giacomo della Fenice. Malheureusement, il meurt à 46 ans, en 1531, en Toscane, mordu à mort dans une ruelle de Sienne. L'immortalité lui est offerte par son agresseur, un vampire et collectionneur d'art qu'il n'a jamais revu. Cinq siècles plus tard, il vit et travaille dans un immense loft au 153e étage d'une tour de Stockholm où il réside, la lumière de l'aube y étant plus confortable. Un jour, Yris, l'intelligence artificielle qui gère son lien avec le monde extérieur, lui conseille vivement d'accepter un rendez-vous avec Niels, un jeune artiste étudiant fasciné par l'oeuvre et la troublante personnalité de Jørgen Nyberg. Une rencontre qui va bouleverser leurs vies.

      Type: BD Europeene L'acheter sur bdfugue Genre: Fantastique Prix: -- Nb de pages: --
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    Ne reste que l’aube, ou quand Thierry Murat reprend Entretien avec un vampire et calle l'histoire au XXII ieme siècle.

    Ça devrait vous suffire non ? Car qui dit Thierry Murat dit forcement de sublime illustration. Des dessins sur des grandes cases qui mettent en valeur le travail graphique effectué. Qui dit Entretien avec un Vampire dit Vampire, avec sa vie nocturne et appuie le choix d'un ouvrage en teintes de noir et gris, mais dit aussi réflexion sur l'immortalité et le poids des ans. Ce poids que l'on cherche mais que l'immortalité de notre Vampire rend pesant. Et qui dit XXII ieme siècle dit, en regardant notre XXI ieme siècle, une dérive des réseaux sociaux, une fin de la vie privée et permet à Thierry Murat de confronter cette globalité au besoin d'indépendance et de secret du Vampire.

    Une sublime réflexion sur l'idée d'immortalité et les dérives futurs des réseaux sociaux et de leurs pouvoirs.

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    Commentaires recommandés

    Ca m'a l'air bien sympathique aussi celui là, c'est le 3e donc ? Pas vu passer les 2 premiers. Je suivais au début Fututopolis (un peu comme je suis les Aire Libre), et puis... il y en a eu de trop (mais je dois en avoir un 20 taines quand même de mémoire). Les mathéo étant sans doute les plus emblématiques.

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    Ah, bah je crois que je suis foutu pour celui là... du coup, c'est quoi les 2 autres? animabilis et au vent mauvais? car si celui ci me plaît, il y a des chances que je me fasse la trilogie...

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    il y a 20 minutes, kvin a dit :

    Ah, bah je crois que je suis foutu pour celui là... du coup, c'est quoi les 2 autres? animabilis et au vent mauvais? car si celui ci me plaît, il y a des chances que je me fasse la trilogie...

    Animabilis il y a des chances vu la description (loup garou)

    Il y avait une bande annonce sur blog de l'auteur que je trouve excellente (et c'est rare que je trouve une BA de BD intéressante):

     

    Plus d'infos dispo @poseidon2 🙂 ?

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    Desolé désolé je suis en congé "fin de travaux + garde de gosses" 😛 

    Donc la trilogie est pour moi :

    Ne reste que l'aube + Animabilis + Etunwan 

    Mais c'est une "trilogie" parce que l'auteur le dit. Il cherche a revisiter le Western, le mythe du loup garou et du vampire de facon artistique. Mais Thierry Murat c'est 100% d'albums sublime  de toute facon !

    J'ai adoré Etunwan

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    C'est ce que je me disais en parcourant les 1ères pages des albums, j'ai pris Ne reste que l'aube + Animabilis pour démarrer, et pas les autres (mais plusieurs sont trèèèèèès tentant). Hate que ça arrive maintenant, je connais pas du tout l'auteur ^^

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    Il y a 13 heures, kvin a dit :

    Moi non plus je ne connaissais pas... En fait ce site, c'est comme cwowd (niveau tentation) mais pour les BDs, c'est ça? xD

    Carrément , depuis que j'y suis , j'ai jamais acheté autant de comics , même des mangas depuis peu !!

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    Le 16/04/2021 à 22:07, kvin a dit :

    En fait ce site, c'est comme cwowd (niveau tentation) mais pour les BDs, c'est ça?

    Un peu mais ca permet surtout (enfin on essaye) une vraie ouverture sur les possibilités du neuvieme art 😉

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    Je n'aime pas batman mais j'aime les histoires de vampires.

    Qu'est ce que c'est bien. C'est direct. Droit au bout. Sublime comme tu le disais. Je découvre l'auteur et c'est très surprenant (et génial) je trouve. C''est vraiment divinement réalisé. La critique de la société via les réseaux sociaux aussi.... c'est beau.

    Etunwan va sans doute être dans un prochain achat.

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    • G.I. Joe tome 1
      Note :
      Ca y est ! Les intro à coup de one shot présentant chacun de protagonistes les plus importants sont sortis (Duke, Cobra Commander, Destro....) et   Joshua Williamson  nous livre maintenant le premier tome de la "série mère"GI Jo.

      Je mets des guillemets car cette série est implantée dans l'Energonverse et donc l'univers des Transformers. Transformers qui devraient avoir un impact sur notre histoire au vu de la fin de ce premier tome.... mais ne sautons pas les étapes.

      Ce premier tome est avant tout un rappel de qui est qui et des forces en puissances. Un premier affrontement qui définit les belligérants, les oppositions de styles et l'impact de l'arrivée des Transformers via l'utilisation de l'energon.

      Coté histoire, on retrouve une aventure classique avec des méchants vraiment méchants et des gentils, prêt au sacrifice, particulièrement balaises.

      Bref une bonne mise en bouche un poil classique et "facile" mais qui devrait voir son intrigue décoller avec l'arrivée des Autobots de tout bords.
      • 0 réponse
    • Rook exodus tome 1
      Note :
      Alala certains disent que les vacances ne sont pas le bon moment pour trouver des pépites.

      Et bien ne les écoutez pas et rendez hommage à Urban qui nous sort l'une des meilleurs BD d'aventure / SF de l'année en plein durant les vacances.

      Cette aventure est top ! Les dessins sont super beaux et l'histoire est digne des meilleurs scenarios hollywoodiens. Exactement ce qu'il faut pour les vacances. De l'aventure, du suspens, un héros badass mais blasé, une mythologie plutôt sympa et un gros volume de pages pour un tome un qui forme presque un one shot complet.

      L'histoire est bien expliquée et même si elle ne réinvente pas le genre "SF Colonisateur", Geoff Johns ajoute une variation  importante : Notre héros peu, grâce à un casque, contrôler les corbeaux... Et il n'est pas le seul à pouvoir contrôler certains animaux.

      Cela offre énormément de possibilités scénaristiques bien exploitées par Geof Johns qui nous livre sans conteste l'un des albums d'actions les plus prenant depuis la fin de Lazarus
        • Like
      • 1 réponse
    • Orgies barbares tome 8
      Note :
      Déjà le tome 8 pour cette saga débutée il y a un peu plus de 10 ans par l'espagnol Erich Hartmann ! Il conserve le principe de minis histoires mettant en scène de jolies femmes dans ce monde "érotic-fantasy", avec des dialogues savoureux. N'ayant pas lu les tomes précédents j'ai été un peu perdu parfois dans cette farandole de protagonistes féminins, les annexes en fin d'album portant sur une présentation des héroïnes fut la bienvenue. Qu'à cela ne tienne, même si je n'ai pas bien tout compris, les enjeux restent assez sommaires et indubitablement portés sur la bagatelle. Oubliez l'érotisme des autres sorties BD du catalogue Tabou, ici on est dans un vrai porno avec gros plans, prises multiples (oubliez le bricolage hein), en solo, couples lesbiens, c'est en effet un large tour d'horizon s'offrant à vous ! J'en oublie presque la scène introductive avec un démon doté de deux membres, je vous laisse imaginer la suite 😉 . La magie opère dans ces lieux de luxure où les corps s'abandonnent aux divers plaisirs sexuels. A noter le trait délicieux de l'artiste espagnol avec ces poses lascives des corps embrasant les yeux des lecteurs, habillées ou dénudées les femmes dégagent une grande sensualité à travers son style tout en rondeur et préservant les proportions "humaines", à l'exception parfois des membres masculins "surhumains" 😉 . Une découverte des us et coutumes de ce monde médiéval magique en empruntant de nombreuses portes dérobées dans les couloirs étroits et sombres des châteaux, avec en plus des intrigues de palais. Oserez-vous pénétrer ces lieux ? 

      https://www.tabou-editions.com/bandes-dessinees/71048-orgies-barbares-volume-7-9782359542202.html

       

       

       
      • 8 réponses

    • The eminence in shadow tome 14
      Note :
      Tiens j'aurais bien aimé, pour une fois, que cet arc du plus longtemps.

      En effet on voit ici le retour de Cid dans son univers de prédilection alors qu'on l'aurait bien vu rester un peu plus dans celui de sa naissance, pour comprendre un peu plus si la disparition de Minoru Kageno à quelque chose à voir avec l'apparition des monstres et de la magie.

      Mais d'un autre coté, on est aussi content de retrouver nos personnages annexes tels que Rose ou encore la soeur de Cid. Ce tome est globalement porté par un personnage de Beta qui porte bien son nom et son émerveillement devant les banalités de notre monde.

      Un tome très agréable à lire comme toute la série depuis le début.
      • 0 réponse
    • Jigoro - Recueil d'histoires courtes
      Note :
      Amis nostalgiques de Yawara et fan d'Urasawa, voici un recueil d'histoires courtes pour vos vacances.

      Des histoires courtes qui parlent, en partie, de la jeunesse de Jigoro... enfin de sa prétendue jeunesse. En effet, plutôt que de nous livrer une véritable "biographie" de Jigoror, Urasawa nous donne une "auto-biographie", avec le bagou et la véracité sommes toutes douteuses des histoires de Jigoro comme on a pu le voir dans Yawara.

      on retrouve donc avec plaisir notre papi du Judo avec ses exagérations et son fond de vérité.

      Mais ce recueil ne parle pas uniquement de Jigoro. C'est à peu près la moitié. S'ensuivent deux histoires courtes en plusieurs chapitres, n'ayant rien à voir avec Yawara mais montrant les travaux d'Urasawa dans les années 90.

      En gros un recueil pour les fans de l'auteur et de Yawara mais qui n'a rien d'obligatoire ni de véritablement important.
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