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  • The_PoP
    • Scenariste: Romain Renard Dessinateur: Romain Renard Coloriste: Romain Renard Editeur: Le Lombard Note :
      Résumé:

      Quelque part au fin fond de la Californie, au début du XXe siècle, Cole Hupp vit à l'écart du monde, en attendant la fin. Mais en fait de Faucheuse, c'est Vivienne, une bibliothécaire curieuse de connaître la réalité du Far-West qui frappe à sa porte. Elle connaît son véritable nom : Red Dust, une légende inscrite dans la poussière et le sang du Wyoming. Vivienne est porteuse de nouvelles inquiétantes.
      Le ranch Triple 6, haut lieu des faits d'armes de Red, ne répond plus.

      Le vieux cow-boy n'a d'autre choix que de reprendre la route vers son passé. Un voyage à rebours parsemé de fantômes et de regrets au bout duquel il espère revoir celle qu'il n'a jamais pu oublier, Comanche. 

      Type: BD Europeene L'acheter sur bdfugue Genre: Western Prix: 22.50 Nb de pages: 152
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    J'ai grandi avec Comanche, Mike Steve B., et Durango. Le cinéma pour moi a longtemps été synonyme de Sergio Leone, de bons et de truands, et d'histoire de l'Ouest, mes palymobils étaient des cow boys. Alors lire Revoir Comanche était une évidence. Pour ne rien vous cacher, rien qu'à la lecture du pitch j'étais déjà foutu. Trop d'émotions. Tellement envie de lire la fin de cette histoire tellement frustrante entre Comanche et Red Dust.

    Les amateurs d'Hermann le savent bien, il n'a jamais vraiment mis en scène de romance dans ses séries ou ses bd. Ce n'est pas son sujet... Et pourtant celle qui se dessine en filigrane de sa série est parlante, pleine de pudeur, de tendresse, de non-dits et de rendez-vous manqués. Rarement une romance m'a autant marqué dans un Western sans n'être pourtant jamais vraiment mentionnée. C'est central et pourtant toujours en arrière plan. Même dans ce Revoir Comanche finalement, le ton est le même.

    Alors oui quand vous lisez Comanche pour la première fois, surtout encore enfant, vous n'y voyez d'abord que le flamboyant Red Dust et ses colts. Puis au fur et à mesure des lectures vous y voyez autre chose, d'abord le témoignage de la fin d'un monde inexorable, puis vous y apercevez un semblant d'utopie, comme un autre chemin pour l'humanité, un plaidoyer en sourdine et une ode imperceptible à l'humanité. Et venant d'Hermann, c'est plutôt rare. C'est dans les creux de cette histoire que vient se nicher Revoir Comanche. Dans son style graphique si particulier et hors du commun, Romain Renard vient nous apporter une conclusion à cette fresque magistrale. Alors non ce n'est plus vraiment Comanche. Mais c'est aussi ce que je voulais lire sans le savoir depuis si longtemps.

    Si j'essaye d'être un peu objectif, cette histoire pêche parfois un brin par facilité, il y a des choses que l'on voit venir, et des surprises qui n'en sont pas vraiment. Certaines scènes sont un peu convenues et classiques. Mais ce serait vraiment faire la fine bouche que de passer à côté pour si peu. Car Revoir Comanche nous prouve une fois de plus, qu'au grand dam de nos amis éditeur, il faut savoir terminer une série bd, même légendaire. C'est le plus beau cadeau que vous pouvez faire à une génération de lecteurs qui a grandit et vieillit avec elle. 

     

    Voilà, si Comanche a fait partie de votre vie comme moi, Revoir Comanche vous tirera de belles émotions, et un grand plaisir de lecture, même si le changement de style graphique vous marquera forcément. Si vous n'avez jamais lu Comanche par contre, je vous envie, car vous pouvez découvrir cette merveilleuse série pour la première fois. Merci M. Hermann, Merci Le Lombard, Merci M. Renard, moi je retourne les emprunter à mon papa, pour revoir le "triple 6"

     

     

     

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    Retour utilisateur

    Commentaires recommandés



    @poseidon2: si tu as lu Comanche c’est mieux que Melville. Sinon c’est un poil plus classique.

     

    En terme de comparaison pour moi on se rapproche plus d’un old man logan, d’un batman dark knight returns ou d’un the last ronin, voir d’un thorgal saga aaricia.

    mais vraiment, il est à lire si vous avez lu la série principale sinon préférez Melville. L’histoire n’est pas exempte de facilités.

     

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    Bon comme je suis un garçon consciencieux, je me suis replongé dans les vieux comanche de mon papa. Les dix premiers tomes. 

     

    Et bien je ne change pas un mot de ce que j'ai dit jusqu'ici. Si vous aimez un tant soit peu le Western et la bd, vous devez les lire. Aussi simple que cela. Certes il y a un ou deux tomes un poil redondants, et encore en les lisant les uns derrière les autres hein. Mais les 10 tomes sont tellement cohérents et montrent une photographie de l'évolution de l'Ouest. Avec des albums de 48 pages, et des personnages dont on a l'impression de tout connaitre en 3 vignettes. Non c'est juste très bon. Seul regret quand même, le personnage de comanche est un peu trop éclipsé par Red Dust. 

    Bref, foncez, allez les lire, régalez vous, la série s'achète pour une bouchée de pain d'occasion et se lit avec plaisir, elle n'a pas vieillit d'un poil, à part niveau colorisation évidemment. 

     

    Ce qui m'a le plus marqué c'est de se rendre compte qu'en 48 pages, greg' livrait des histoires complètes, cohérentes, sans trop de zones d'ombres ni d'incohérences. Sans abuser des voix off ou autre descriptif, ce qui rend comanche bien plus vivant et dynamique que les premiers Blueberry par exemple.

     

     

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    Demande kevin. Il vient de succomber. 
     

    par pudeur je ne te dirais pas ce qu’il m’a écrit sur une « comparaison » avec son bouncer mais il ne se plaint pas de sa lecture 🙂

     

     

    bon sinon il y a quand même une petite polémique sur un éventuel plagiat sur certaines planches pour revoir comanche… je n’ai pas été plus choqué que ça, certains passages étant simplement assez convenus. Le dessin étant forcément original cela porte surtout sur les cadrages et le scénario.

     

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    Mmhhh, je pense sincèrement que ta haine pour Jodo altère ton jugement sur Bouncer, qui vaut beaucoup mieux que tes critiques incessantes et infondées 😉 

    J'en veux pour preuve ces divers classements de sites spécialisés, pas de "footix" de la BD :

    https://www.bedetheque.com/indispensables-style-Western.html

    https://www.senscritique.com/top/resultats/les_meilleures_bd_de_western/785709

    https://www.comixtrip.fr/tops/top-20-bd-western/

    https://www.bede.fr/bd-western

     

    Le dernier est un peu trop récent.

    Je vois Bouncer régulièrement mentionné et pas dans les dernières places hein 🙂 .

    En toute objectivité si je dois comparer les deux, et encore, dans ce genre de saga il faut y ajouter. Blueberry mais je n'ai lu que une ou deux intégrales 😞 

     

    Dessin : Comanche 8/10 ; Bouncer 9/10 : Blueberry 9/10

    Scénario : Comanche 9/10 ; Bouncer 7/10 ; Blueberry ? ( je mets 7 à Bouncer car il lui manque la continuité , il agit par cycles, comme Blueberry il me semble)

     

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    Ben pour Bouncer c'est assez simple : les scénarios ne m'ont pas passionné, je n'ai pas eu d'empathie pour aucun personnages, et le dessin de boucq me laisse assez froid. Je ne dis pas que c'est pas beau ou pas bien, mais ce n'est clairement pas pour moi, au point où j'ai revendu mon intégrale sans états d'âmes ni regrets. Et je ne m'en rappelle que vaguement tellement cela ne m'a ni marqué, ni vraiment intéressé. Les thématiques récurrentes de jodo ne m'intéressent pas. Et encore moins en western. 

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    Je te rassure tout le monde a compris ta mauvaise foi sur Jodo, et ne le dis pas que tu ne te forces pas hein 😉.

    Je suis polyvalent aussi, c’est d’ailleurs un gros problème dans la BD car on a envie de tout lire, tout acheter ! 

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    Tu parles, quand j’ai revendu son intégrale du bouncer j’ai eu de la peine pour le gars qui me l’achetait. Limite des scrupules tiens. 
     

    encore un pauvre gars enfumé par le tapage autour du pseudo génie scenaristique de jodo le torturé… alors qu’un Dorison lui est supérieur sur tous les plans

    Modifié par The_PoP
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    Je ne réponds même plus... Je pense à tous ces gens qui mettent cette saga dans le très haut du panier et qui sont tous des imbéciles pour Monsieur @The_PoP , car j'ai bien prouvé sur plusieurs sites référencés que Bouncer c'était du western sérieux. Probablement trop intellectuel pour @The_PoP , je ne sais pas !

    Il y a 2 heures, The_PoP a dit :

    peine pour le gars

    Quand cette personne va découvrir le trait incroyable de Boucq il va vouloir se lancer dans tout le reste !

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    Nan mais je sais que ça te défrise mais j'argumente moi, je me planque pas derrière des classements rédigés à l'applaudimètre. Une fois encore la question de l'audience ou de la popularité ne m'intéresse guère. Il suffit de voir ce qui se vend le plus en france pour s'en convaincre.

    Alors oui je le dis Jodo a été mis sur un piédestal il y a longtemps, comme Moebius d'ailleurs car il s'inscrivait dans un courant artistique et de pensée assez particulier. Qui n'est pas du tout ma came bien que j'en ai lu (enfin rarement jusqu'au bout) une bonne partie de ses séries : bouncer entre autre mais aussi les meta barons, les chevaliers d'heliopolis, juan solo, les fils d'el topo, sang royal, borgia. 

     

    Ben je suis désolé mais ses thèmes de la foire aux monstres, de la famille incestueuse, au mieux, du pervers toutes les deux pages, du viol et de l'ultra violence gratuite toutes les 5, ben même enrobé de fantastique, de fiction, et de création de monde et univers assez incroyable, je n'adhère pas, car c'est finalement à mon sens très pauvre en sentiments humains. Jodo c'est le scénariste de l'indicible, super. Ben moi ça me lasse, ça m'ennuie. Ados quand j'ai découvert ça c'était transgressif, adulte c'est presque un peu puéril. Je n'achète pas une bd pour faire la psychanalyse du dessinateur, sauf pour larcenet car en terme de talent on est à des années lumières de Jodo.

     

     

    Donc j'enfonce le clou, car tu vois j'ai argumenté, factuellement : un Dorison mérite cent fois plus d'être encensé qu'un Jodo : troisième testament, long john silver, le chateau des animaux, 1629, undertaker. Merci au revoir 🙂

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    Pauvres en sentiments humains !

    Quand on lit ce qu’on lit !

    je t’invite à relire La caste alors , tu y verras de l’amour et de la poésie dans pas mal de tomes. Idem pour le Lama blanc qui aborde le Népal et l’expansionnisme chinois avec une dose de chamanisme mais en même temps oui il cultive ces thèmes. On sait ce qu’on va lire en prenant du Jodo et je le redis , tout n’est pas bon ou «  à portée de tout le monde » . Je ne suis pas un grand fan de Moebius non plus qui lui a pu profiter de ces journalistes contemplatifs . Je ne pense que l’ami chilien avec ses thématiques parfois borderlines en ait bénéficié très honnêtement. Oui il a fréquenté le cortège de Métal hurlant avec Druillet etc…. Il a son univers c’est vrai aussi , je le reconnais qu’il est clivant . Je serais curieux de savoir ce que Dorisson pense de Jodo tiens ! À mon avis pas du mal hein 😉. Perdurer comme il le fait à plus de 90 ans c’est un gage de talent indéniable. Les mauvais ou moyens ne peuvent rester au haut niveau tant d’années comme ça . 
    Sans parler des plus grands dessinateurs avec lesquels il a travaillé durant sa carrière. Des fous ces gens ma parole 😜. Qu'une vague de journalistes l'aient encensé à la fin des années 70 je suis bien d'accord, il fréquentait des milieux parisiens particuliers. Mais que aujourd'hui, on mentionne encore son génie créatif et son style littéraire, c'est quand même dingue ça ! Une épidémie a du frapper les critiques actuels du 9éme art je ne vois pas d'autre explication !
     

    On a bien compris que tu n’aimes pas ne t’inquiète pas 😉
     

     

    Modifié par Kevin Nivek
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    Purée le lama blanc, je l’avais oublié celui là aussi ^^

    qu’est ce que je me suis infligé en me remettant à la BD quand j’ai commencé à bosser … et effectivement fallait les lire car Jodo était culte. Sincèrement a part la caste (que je n’ai pas relu depuis 2 decades je pense), je n’en conserve aucun bon souvenir.

    et l’incal est pas loin d’être dans la même catégorie. Faudrait que je retente peut être… heureusement que j’ai d’autres choses à lire avant 😀

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    Tiens je viens de me rappeler que j’ai lu aussi le début des technoperes… 

     

    mais si on s’ouvre on s’ouvre mon @Kevin Nivek… c’est juste qu’après s’être bien ouverts bah on se demande si ça valait vraiment le coup ?

     

    je n’en n’ai vraiment pas fini une a part sang royal…

     

     

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      Seul bémol sur ce Dred Scott, je trouve le dessin un cran en dessous des dernières sorties chez Grand Angle. Attention c'est propre et loin d'être mauvais, mais que ce soit le dessin ou la colorisation je trouve qu'il y manque le petit supplément de charme et d'âme qui donne envie, probablement par manque de temps car le talent est bien là. Dommage car je trouvais la couv' très réussie et pleine de promesses... C'est tout de même avant tout une question une nouvelle fois de goûts et de couleurs. 

      Ceci dit ce Dred Scoot est vraiment agréable à lire et cache de jolis rebondissements qui nous feront en attendre la suite avec impatience.
      • 1 réponse
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      Note :
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      C'est ce qui est dingue dans cette histoire de famille. Nos trois générations de Piccard ont inventé énormément de trucs connus et ayant aidé à repousser les limites de la science et de la connaissance humaine.

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      • 0 réponse

    • The new gate tome 5 & 6
      Note :
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      Un manga toujours porté par une nostalgie super présente et une bienveillance de tous les instants de notre héros qui n'abuse pas de ces pouvoirs, se contentant de continuer son exploration du monde.
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      Note :
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      Les Bêtas ne sont pas forcément les personnages le plus mis à l’honneur dans l’omegaverse et souvent, sous l’influence des phéromones alpha, ils finissent par changer de genre. C’est une facilité dans le scénario qui permet des scènes érotiques osées ! Ce manga propose une approche différente et assez surprenante que je ne vous dévoilerai pas !

      La série n’est pas désagréable mais manque un peu de peps. La révélation de fin du tome un est cassez dérangeante… Et j’ai un peu peur que la fin tombe dans l’écueil de la facilité, ce sera à voir dans le 3e et dernier tome de la série.
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