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Tout ce qui a été posté par The_PoP
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Non mieux. Plus fin. Beaucoup plus subtil. Laurent Astier rend hommage à son meilleur ami décédé il y a une dizaine d’années.
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tu peux glisser un mot sur la force de vivre je pense, au pire à la place d'hawkmoon 🙂
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Titre de l'album : Samurai - Tome 18 - La tendresse des hyènes Scenariste de l'album : Jean-François Di Giorgio Dessinateur de l'album : Cristina Mormile Coloriste : Lorenzo Pieri Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Tombés dans le piège tendu par Yoshitaka qui se verrait sans déplaisir à la tête de l'Empire du soleil levant, l'étau se resserre autour du jeune prince et sa garde rapprochée. Impossible d'échapper au traquenard tendu par Yoshitaka. À moins, bien sûr, de déposer les armes. Mais entre la mort et le déshonneur, Takeo a vite fait son choix. Critique : L'une des séries phare de la bd franco belge sur les samouraï continue avec ce tome 18 riche en batailles. Christina Mormile a mis son empreinte désormais sur la série démarré par Frédéric Genêt au dessin. Si les visages sont peut être un peu moins détaillés la série continue d'avoir un certain sens de la mise en scène et beaucoup de fluidité des scènes d'actions et de batailles. J'apprécie toujours autant la plongée dans ce japon féodal qui s'il a pris un virage moins fantastique au fil des épisodes garde pourtant cette petite touche de magie qui fait son charme. Le fait que Jean-François Di Giorgio soit toujours aux manettes du scénario garantit la continuité de l'esprit de la série. Et au bout de 18 tomes il a toujours de belles histoires à nous raconter même si là on touche du doigt le dénouement provisoire d'un cycle. AU programme de cet opus donc on aura de la bataille, et encore de la bataille. J'ai apprécié que les auteurs trouvent le temps de nous y glisser une pointe de crapulerie, pour adoucir un peu tout le sang versé. Reste que Takeo est un samouraï d'exception et que l'on n'aime rien tant que de le voir sabrer du vilain ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/samurai-tome-18-la-tendresse-des-hyenes/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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L'une des séries phare de la bd franco belge sur les samouraï continue avec ce tome 18 riche en batailles. Christina Mormile a mis son empreinte désormais sur la série démarré par Frédéric Genêt au dessin. Si les visages sont peut être un peu moins détaillés la série continue d'avoir un certain sens de la mise en scène et beaucoup de fluidité des scènes d'actions et de batailles. J'apprécie toujours autant la plongée dans ce japon féodal qui s'il a pris un virage moins fantastique au fil des épisodes garde pourtant cette petite touche de magie qui fait son charme. Le fait que Jean-François Di Giorgio soit toujours aux manettes du scénario garantit la continuité de l'esprit de la série. Et au bout de 18 tomes il a toujours de belles histoires à nous raconter même si là on touche du doigt le dénouement provisoire d'un cycle. AU programme de cet opus donc on aura de la bataille, et encore de la bataille. J'ai apprécié que les auteurs trouvent le temps de nous y glisser une pointe de crapulerie, pour adoucir un peu tout le sang versé. Reste que Takeo est un samouraï d'exception et que l'on n'aime rien tant que de le voir sabrer du vilain !
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Titre de l'album : La force de vivre Scenariste de l'album : Laurent Astier Dessinateur de l'album : Laurent Astier Coloriste : Laurent Astier Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : Dès leur rencontre, une amitié forte va naître entre Cyril et Laurent. De celles qui font grandir et changer pour le mieux. L'un, extraverti et solaire, est l'opposé de l'autre, timide et sombre. Le lien qui les unit est pourtant indicible et inexplicable. Laurent Astier raconte comment ce lien d'amitié perdure malgré la disparition de son ami emporté par la maladie. Critique : Il y a des bd qui vous parlent, qui vous attirent comme des aimants. La force de vivre m'a fait cet effet là. Je n'étais pas sensé la lire, et pourtant elle s'est imposée à moi dans une librairie. Grand bien m'en a fait. Hier @Kevin Nivek me demandait quelle était ma lecture de l'année, aujourd'hui en refermant La force de vivre, j'ai une nouvelle réponse à lui apporter. Entendons nous, malgré ses indéniables qualités ce n'est peut être pas le chef d'œuvre graphique, artistique ou narratif de l'année, mais j'ai pleuré en la refermant. Vraiment. Et cela ne m'arrive pas bien souvent dans ma vie. Parfois quand une bd vous émeut à ce point c'est qu'elle fait écho à votre propre vécu. Et ce n'est même pas vraiment le cas ici pour moi, si ce n'est peut être une histoire de génération et de vie dans lesquelles je peux reconnaitre une époque proche de celle que j'ai connu. Par contre la force de vivre nous parle de l'importance de l'amitié et de la vie en général. Beaucoup de chansons, de films, de livres majeurs sont dédiés aux grandes histoires d'amour. L'amitié, elle, a inspiré moins d'œuvres majeures. Et pourtant. En bref je ne sais pas vous dire pourquoi "La force de vivre" m'a autant marqué, mais ce que je sais avec certitude c'est que je ne serais pas le seul tant cette bd renferme une belle puissance évocatrice. Voilà, je connaissais le travail de Laurent Astier par sa série La Venin. Je trouve que sur la Force de vivre son dessin a franchi un énorme cap, plus empathique, plus émouvant. A la fin je ne peux que vous conseiller La force de vivre, surtout pour peu que vous aimiez l'amitié, la vie, les années 80-90 et voir de jeunes adultes se construire, se trouver. Cet ouvrage a été écrit avec les tripes, et il m'a profondément ému et marqué. Ce qui est frappant c'est que l'ensemble est plein de pudeur, de petites joies et de petites douleurs, d'instants remémorés. Pas d'excès, rien de surjoué, simplement souvent le mot juste. La multitude de thématiques rencontrées est aussi magnifique, car La force de vivre ne parle pas que d'un seul sujet mais de la vie en général, de la famille, des enfants, des amours. Les livres hommage sont souvent un peu lourds, un peu trop dans l'emphase, à appuyer sur les émotions et l'empathie, un peu trop dégoulinants. Ici rien de tout ça. Juste une impression de vrai, la vérité de Laurent Astier qui se met à nu. Alors merci M. Astier de m'avoir fait vivre ça, de m'avoir fait revivre des choses, de m'avoir donné autant d'émotions et de réflexions. Merci de nous avoir permis d'accéder à cela. Et merci à votre éditrice, qui a fait de l'excellent travail et dont je ne peux que confirmer la justesse de la direction qu'elle vous a permis de prendre, cela se ressent. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-force-de-vivre/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Il y a des bd qui vous parlent, qui vous attirent comme des aimants. La force de vivre m'a fait cet effet là. Je n'étais pas sensé la lire, et pourtant elle s'est imposée à moi dans une librairie. Grand bien m'en a fait. Hier @Kevin Nivek me demandait quelle était ma lecture de l'année, aujourd'hui en refermant La force de vivre, j'ai une nouvelle réponse à lui apporter. Entendons nous, malgré ses indéniables qualités ce n'est peut être pas le chef d'œuvre graphique, artistique ou narratif de l'année, mais j'ai pleuré en la refermant. Vraiment. Et cela ne m'arrive pas bien souvent dans ma vie. Parfois quand une bd vous émeut à ce point c'est qu'elle fait écho à votre propre vécu. Et ce n'est même pas vraiment le cas ici pour moi, si ce n'est peut être une histoire de génération et de vie dans lesquelles je peux reconnaitre une époque proche de celle que j'ai connu. Par contre la force de vivre nous parle de l'importance de l'amitié et de la vie en général. Beaucoup de chansons, de films, de livres majeurs sont dédiés aux grandes histoires d'amour. L'amitié, elle, a inspiré moins d'œuvres majeures. Et pourtant. En bref je ne sais pas vous dire pourquoi "La force de vivre" m'a autant marqué, mais ce que je sais avec certitude c'est que je ne serais pas le seul tant cette bd renferme une belle puissance évocatrice. Voilà, je connaissais le travail de Laurent Astier par sa série La Venin. Je trouve que sur la Force de vivre son dessin a franchi un énorme cap, plus empathique, plus émouvant. A la fin je ne peux que vous conseiller La force de vivre, surtout pour peu que vous aimiez l'amitié, la vie, les années 80-90 et voir de jeunes adultes se construire, se trouver. Cet ouvrage a été écrit avec les tripes, et il m'a profondément ému et marqué. Ce qui est frappant c'est que l'ensemble est plein de pudeur, de petites joies et de petites douleurs, d'instants remémorés. Pas d'excès, rien de surjoué, simplement souvent le mot juste. La multitude de thématiques rencontrées est aussi magnifique, car La force de vivre ne parle pas que d'un seul sujet mais de la vie en général, de la famille, des enfants, des amours. Les livres hommage sont souvent un peu lourds, un peu trop dans l'emphase, à appuyer sur les émotions et l'empathie, un peu trop dégoulinants. Ici rien de tout ça. Juste une impression de vrai, la vérité de Laurent Astier qui se met à nu. Alors merci M. Astier de m'avoir fait vivre ça, de m'avoir fait revivre des choses, de m'avoir donné autant d'émotions et de réflexions. Merci de nous avoir permis d'accéder à cela. Et merci à votre éditrice, qui a fait de l'excellent travail et dont je ne peux que confirmer la justesse de la direction qu'elle vous a permis de prendre, cela se ressent.
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@VladNirky tu vois tu es à 2/4 alors 🙂
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Pour le moment le tome 3 de tête de chien je dirais mais il faut que j’y réfléchisse un petit peu @VladNirky: ça mérite d’aller au bout…
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Nan moi c’est un peu court pour la lecture de l’année. c’est trop intelligent, les personnages sont trop humains pour avoir fait vibrer l’ado en moi…. et puis le tome 3 de tête de chien sapristi !
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West fantasy tome 5 - L'assassin, le rônin et la catin
The_PoP a répondu à un(e) sujet de Kevin Nivek dans Toute la BD
Allez grâce à kevin je m’y suis collé. Les 5 tomes à la suite et…. même constat que sur conquêtes, elfes, nains, inquisiteurs, androïdes, iss sniper and co : les one shorts en série dessinant en creux un univers c’est plutôt bien… mais ça finit vite par lasser si un cycle avec de plus grand enjeux ne se dessine pas et sans une forme de récurrence des personnages. c’est ce qu’ils ont mis en place pour relancer l’univers des terres d’arran et c’est bien vu. la le concept me semble plus foireux, car 1/ ils font mourir beaucoup de personnages. 2/ le contexte de la conquête de l’Ouest ne se prête pas à de grands affrontements épiques de puissances militaires. 3/ 3 persos principaux sur une seule bd c’est trop, il y en a trop des sous exploités. dernier reproche également : et pas des moindres. je trouve que l’abus de la voix off du personnage/narrateur ralentit considérablement la bd, diminue la fluidité de lecture et rend le tout trop bavard sans apporter grand chose… et c’est un point commun fort à toutes ces séries. bon j’ai l’air de raler mais sinon côté positif : c’est assez fun a lire, c’est beau, mention spéciale sur le dernier tome, la convergence de ces deux univers incongrus est quand même très sympa. Après tout pourquoi les univers de fantasy resteraient ils bloque au moyen âge ? mention spéciale aux petits bouts de steampunk disséminés un peu partout. -
Titre de l'album : Traqué dans l'espace Scenariste de l'album : Michael Park & Chris Baldie Dessinateur de l'album : Chris Baldie Coloriste : Chris Baldie Editeur de l'album : Bamboo Note : Résumé de l'album : Il est le dernier humain de l'univers, sa valeur est inestimable.Que la chasse commence ! L'humanité a disparu. Il est le dernier Homme survivant. Prisonnier d'un sarcophage échoué sur une planète de glace, il revient à la vie. Mais il n'a plus aucun repère car tout ce qui faisait son monde a disparu. Désormais, seul représentant de son espèce, il devient une marchandise à la valeur inestimable. Traqué par tout ce que l'univers compte de chasseurs de prime, il va devoir se battre, s'enfuir sans jamais renoncer dans un seul but : survivre. Action, gunfights lasers et résilience ! Suivez la traque épique à travers l'espace d'un vieux capitaine fatigué. Critique : Quelle belle idée que d'inverser un peu les rôles. Cette fois-ci c'est bien l'humanité qui s'est faite éradiquer. Et le dernier homme qui devient la chose la plus précieuse de l'univers. Le pitch est simple mais en renversant les rôles il permet d'obtenir une belle dramaturgie ainsi qu'un souffle de fraicheur qui évite à ce space opéra d'avoir un trop grand air de déjà vu. On embarque assez vite dans cette aventure, rythmée et sans temps morts jusqu'à la dernière page. Les seconds rôles apportent un peu de fraicheur à ce héros parfois un peu dépassé par les évènements. Les clins d'oeils à la SF y sont nombreux pour les amateurs. Le style graphique lui est assez particulier, et aurait gagné je trouve a un peu plus de lisibilité dans les scènes d'actions. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/traque-dans-l-espace/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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- space opéra
- aventure
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(et 4 en plus)
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Quelle belle idée que d'inverser un peu les rôles. Cette fois-ci c'est bien l'humanité qui s'est faite éradiquer. Et le dernier homme qui devient la chose la plus précieuse de l'univers. Le pitch est simple mais en renversant les rôles il permet d'obtenir une belle dramaturgie ainsi qu'un souffle de fraicheur qui évite à ce space opéra d'avoir un trop grand air de déjà vu. On embarque assez vite dans cette aventure, rythmée et sans temps morts jusqu'à la dernière page. Les seconds rôles apportent un peu de fraicheur à ce héros parfois un peu dépassé par les évènements. Les clins d'oeils à la SF y sont nombreux pour les amateurs. Le style graphique lui est assez particulier, et aurait gagné je trouve a un peu plus de lisibilité dans les scènes d'actions.
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- space opéra
- aventure
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Titre de l'album : La terre verte Scenariste de l'album : Alain Ayroles Dessinateur de l'album : Hervé Tanquerelle Coloriste : Merlet Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Aux derniers temps du Moyen Age, les ultimes descendants des Vikings tentent désespérément de survivre sur les rivages glacés du Groenland. Un homme au lourd passé, en quête d'une seconde chance, débarque parmi eux. Leur apportera-t-il le salut ou précipitera-t-il l'effondrement de la « Terre verte » ? Critique : Sur les conseils avisés de Kevin, qui s'est pourtant bien gardé d'en faire la chronique, j'ai investi dans "La terre verte". je dis investis, car un album à 35€, on commence à y réfléchir à deux fois avant de franchir le pas. Sauf que là, on a un pavé de 256 pages, dense, beau, et que sur la couverture il est indiqué que M. Ayroles en a écris le scénario. Alors je ne sais pas pour vous, mais moi M. Ayroles, je trouve que ce qu'il écrit arrive toujours à réussir l'exploit d'être intelligent ET romanesque. Une bonne raison donc de lui faire confiance. Si le dessin de Hervé Tanquerelle est remarquable a plus d'un titre, et qu'il attirera beaucoup de monde, je vous avoue que ce n'est pas mon style préféré, mais c'est vraiment une histoire de goûts et de couleur, et peut être aussi de son amour pour les gueules bien marquées. Il n'empêche que je m'incline face à la qualité du travail, des découpages, des ambiances, et à la réussite totale des personnages. C'est très bien, et si ce n'est pas vraiment votre style au départ, vous aurez oublié comme moi dès la 10ème page que vous aviez des réticences ou des pudeurs de gazelle. Le scénario d'Alain Ayroles est une nouvelle fois une merveille de finesse, d'analyse de l'homme, tout en conservant pourtant à chaque page, un sens de la narration et du drame à toute épreuve. Impossible de ne pas succomber pour ma part, c'est vraiment excellent, et cela ne ressemble pas à grand chose que vous ayez déjà lu. Bref, faites comme moi foncez rattraper votre retard, car c'est une bd que définitivement on aura bien du mal à oublier ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-terre-verte/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Sur les conseils avisés de Kevin, qui s'est pourtant bien gardé d'en faire la chronique, j'ai investi dans "La terre verte". je dis investis, car un album à 35€, on commence à y réfléchir à deux fois avant de franchir le pas. Sauf que là, on a un pavé de 256 pages, dense, beau, et que sur la couverture il est indiqué que M. Ayroles en a écris le scénario. Alors je ne sais pas pour vous, mais moi M. Ayroles, je trouve que ce qu'il écrit arrive toujours à réussir l'exploit d'être intelligent ET romanesque. Une bonne raison donc de lui faire confiance. Si le dessin de Hervé Tanquerelle est remarquable a plus d'un titre, et qu'il attirera beaucoup de monde, je vous avoue que ce n'est pas mon style préféré, mais c'est vraiment une histoire de goûts et de couleur, et peut être aussi de son amour pour les gueules bien marquées. Il n'empêche que je m'incline face à la qualité du travail, des découpages, des ambiances, et à la réussite totale des personnages. C'est très bien, et si ce n'est pas vraiment votre style au départ, vous aurez oublié comme moi dès la 10ème page que vous aviez des réticences ou des pudeurs de gazelle. Le scénario d'Alain Ayroles est une nouvelle fois une merveille de finesse, d'analyse de l'homme, tout en conservant pourtant à chaque page, un sens de la narration et du drame à toute épreuve. Impossible de ne pas succomber pour ma part, c'est vraiment excellent, et cela ne ressemble pas à grand chose que vous ayez déjà lu. Bref, faites comme moi foncez rattraper votre retard, car c'est une bd que définitivement on aura bien du mal à oublier !
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Titre de l'album : Ray Ringo - Tome 1 - La porte du diable Scenariste de l'album : Éric Corbeyran Dessinateur de l'album : Roman Surzhenko Coloriste : Roman Surzhenko Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Ray Ringo, le courageux convoyeur de la Wells Fargo, doit sauver Lean, sa fiancée, traquée par sa famille mormone prête à tout pour la récupérer. Entre courses poursuites endiablées et plaines arides de l'Ouest, Ringo s'engage dans une aventure riche en action et en rebondissements, où chaque décision peut tout changer. Le grand retour de Ringo, le héros de western créé par William Vance. Critique : Et hop encore un Western old school pour Bibi ! Merci les éditions du Lombard qui ont décidé de nous relancer le personnage de Ringo. Certes ce n'est pas le plus célèbre de nos aventuriers du grand ouest, mais il a eu sa propre série de 3 albums qui a couru sur presque une décennie à l'époque. Et quand votre papa n'est rien de moins que William Vance, il y a de pires héritages. C'était finalement assez logique d'aller chercher Roman Surzhenko pour reprendre le style de William Vance car après tout quand on a déjà repris l'héritage de Swolfs (Durango) et de Rosinksi ( Thorgal saga - shaigan) on peut bien s'attaquer au papa de XIII. Ceci étant dit il fallait un peu dépoussiérer le mythe, car la série originale fait ses 50 ans et en terme de narration, la bd franco belge nous a délivré des séries de Western plus vivantes. C'est chose faite avec ce tome 1 qui va nous placer notre Ringo dans la quête habituelle du héros : aller secourir sa fiancée prisonnière 🙂. Bref, j'ai passé un joli moment de lecture, et si Roman Surzhenko ne réitère pas tout à fait l'excellence graphique de son adaptation de Thorgal, je le trouve un petit peu plus à l'aise sur le style de Ringo que sur ses débuts sur Durango. Mais ne nous leurrons pas, la tâche d'Eric Corbeyran au scénario est d'ampleur : comment nous livrer une histoire moderne ou intemporelle tout en respectant les codes de Ringo (série de Cowboy finalement assez tranquille) ? Attention car aujourd'hui comme hier la concurrence est féroce, et il faudra peut être que Ringo sorte de son costume de Boy Scout ou que l'intrigue se fasse plus dure ou sombre pour nous surprendre et nous prendre au jeu. La suite nous le dira... Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ray-ringo-tome-1-la-porte-du-diable/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Et hop encore un Western old school pour Bibi ! Merci les éditions du Lombard qui ont décidé de nous relancer le personnage de Ringo. Certes ce n'est pas le plus célèbre de nos aventuriers du grand ouest, mais il a eu sa propre série de 3 albums qui a couru sur presque une décennie à l'époque. Et quand votre papa n'est rien de moins que William Vance, il y a de pires héritages. C'était finalement assez logique d'aller chercher Roman Surzhenko pour reprendre le style de William Vance car après tout quand on a déjà repris l'héritage de Swolfs (Durango) et de Rosinksi ( Thorgal saga - shaigan) on peut bien s'attaquer au papa de XIII. Ceci étant dit il fallait un peu dépoussiérer le mythe, car la série originale fait ses 50 ans et en terme de narration, la bd franco belge nous a délivré des séries de Western plus vivantes. C'est chose faite avec ce tome 1 qui va nous placer notre Ringo dans la quête habituelle du héros : aller secourir sa fiancée prisonnière 🙂. Bref, j'ai passé un joli moment de lecture, et si Roman Surzhenko ne réitère pas tout à fait l'excellence graphique de son adaptation de Thorgal, je le trouve un petit peu plus à l'aise sur le style de Ringo que sur ses débuts sur Durango. Mais ne nous leurrons pas, la tâche d'Eric Corbeyran au scénario est d'ampleur : comment nous livrer une histoire moderne ou intemporelle tout en respectant les codes de Ringo (série de Cowboy finalement assez tranquille) ? Attention car aujourd'hui comme hier la concurrence est féroce, et il faudra peut être que Ringo sorte de son costume de Boy Scout ou que l'intrigue se fasse plus dure ou sombre pour nous surprendre et nous prendre au jeu. La suite nous le dira...
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Sherlock Holmes contre Arsène Lupin - Tome 1 - La quête d'éternité
The_PoP a posté un sujet dans Toute la BD
Titre de l'album : Sherlock Holmes contre Arsène Lupin - Tome 1 - La quête d'éternité Scenariste de l'album : Denis-Pierre Filippi Dessinateur de l'album : Roger Vidal Coloriste : Roger Vidal et Léa Chrétien Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Deux génies, deux méthodes, une confrontation explosive. Sherlock Holmes, le détective logique et implacable, et Arsène Lupin, le gentleman cambrioleur audacieux, se retrouvent face à face dans une course effrénée. À travers mystères et trahisons, les deux rivaux sont contraints de s'allier pour suivre la trace d'une organisation se réclamant de Moriarty. Entre l'intelligence froide de Holmes et l'ingéniosité flamboyante de Lupin, qui sortira vainqueur de ce duel où chaque geste, chaque mot, chaque coup est un défi lancé à l'autre ? Critique : Elle fait plaisir cette BD. D'abord parce que j'ai été un très très grand amateur de M. Lupin dans ma jeunesse, puis j'ai aimé Sherlock Holmes aussi. Ensuite parce qu'elle est fun. Une intrigue relativement simple avec un peu de mysticisme, un duo qui fonctionne très bien avec deux gros egos en rivalité, de l'action, de l'aventure, des adversaires plus qu'au niveau et surtout des dialogues réussis. Par contre que cela soit entendu le titre aurait plutôt du être Arsène Lupin Et Sherlock Holmes 🙂 mais c'est moins accrocheur. Toujours est-il que cette intrigue menée tambour battante m'a réjoui et certes cela ne suffira peut être pas à tenir dans le temps, mais pour un début c'est largement plus qu'il ne m'en faut côté histoire. Et quand le dessin se met au diapason pour nous livrer de belles planches, de beaux héros et adversaires, et des décors variés, et bien, il n'y a plus qu'à profiter. Petit bémol, je trouve l'intérieur plus réussi graphiquement que la couverture... Mais il vaut mieux ça que l'inverse ! Ce Arsène Lupin et Sherlock Holmes n'est peut être pas la bd de l'année, mais moi j'ai pris énormément de plaisir à lire cette aventure et j'attendrais la suite avec bonheur ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sherlock-holmes-contre-arsene-lupin-tome-1-la-quete-d-eternite/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement -
Elle fait plaisir cette BD. D'abord parce que j'ai été un très très grand amateur de M. Lupin dans ma jeunesse, puis j'ai aimé Sherlock Holmes aussi. Ensuite parce qu'elle est fun. Une intrigue relativement simple avec un peu de mysticisme, un duo qui fonctionne très bien avec deux gros egos en rivalité, de l'action, de l'aventure, des adversaires plus qu'au niveau et surtout des dialogues réussis. Par contre que cela soit entendu le titre aurait plutôt du être Arsène Lupin Et Sherlock Holmes 🙂 mais c'est moins accrocheur. Toujours est-il que cette intrigue menée tambour battante m'a réjoui et certes cela ne suffira peut être pas à tenir dans le temps, mais pour un début c'est largement plus qu'il ne m'en faut côté histoire. Et quand le dessin se met au diapason pour nous livrer de belles planches, de beaux héros et adversaires, et des décors variés, et bien, il n'y a plus qu'à profiter. Petit bémol, je trouve l'intérieur plus réussi graphiquement que la couverture... Mais il vaut mieux ça que l'inverse ! Ce Arsène Lupin et Sherlock Holmes n'est peut être pas la bd de l'année, mais moi j'ai pris énormément de plaisir à lire cette aventure et j'attendrais la suite avec bonheur !
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ah ah ah tu m'étonnes 🙂
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Second tome aux éditions Kalopsia, décidément prolifiques en cette fin d'année de cette série de Fantasy menée par Blaede et Vukic. Et si on connait tout le talent de Vukic (Les élus de Swarga, orcs et gobelins, mages, elfes, merlin, etc...) il me reste sur cette série un point qui me titille, pourquoi les visages de ses deux héros semblent ils si rigides, comme figés. C'était déjà mon ressenti sur le tome 1 et ce tome 2 m'a renvoyé la même impression. Attention, l'ensemble est de bonne tenue, et c'est de la fantasy agréable pour les yeux. Mais ce point de détail continue de me chiffonner car je ne l'ai pas remarqué sur les élus de Swargapar exemple du même auteur.... Et surtout cela ne concerne essentiellement que les deux visages des héros (voir la couverture par exemple)... M'enfin on passe vite au dessus et cela ne dérange pas vraiment. Pour le reste, l'intrigue prend de l'ampleur, et sans rien vous en dévoiler, sachez juste que même si l'histoire narrée a parfois des airs qui ne semblent pas inconnus, à la fin on aimerait bien lire la suite rapidement. Et comme d'habitude, ça c'est bon signe. Ce tome 2 nous fait voyager, à la rencontre de villes imaginaires, de personnages secondaires bien pensés, et nous distille de bons rebondissements en plus de quelques éléments de contexte. Bref, si vous avez aimé le premier tome, ne boudez donc pas votre plaisir.
- 1 commentaire
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Titre de l'album : Seeds of Wars - Tome 2 - La reine corsaire Scenariste de l'album : Blaede Dessinateur de l'album : Bojan Vukic Coloriste : Erwan Seure Le Bihan Editeur de l'album : Kalopsia Note : Résumé de l'album : Second tome aux éditions Kalopsia, décidément prolifiques en cette fin d'année de cette série de Fantasy menée par Blaede et Vukic. Et si on connait tout le talent de Vukic, il me reste sur cette série un point qui me titille, pourquoi ses visages de ses deux héros semblent ils si statiques, comme figés. C'était déjà mon ressenti sur le tome 1 et ce tome 2 m'a renvoyé la même impression. Attention, l'ensemble est de bonne tenue, et c'est de la fantasy agréable pour les yeux. Mais ce point de détail continue de me chiffonner. Pour le reste, l'intrigue prend de l'ampleur, et sans rien vous en dévoiler, sachez juste que même si l'histoire narrée a parfois des airs bien connus, à la fin on aimerait bien lire la suite rapidement. Et comme d'habitude, ça c'est bon signe. Critique : Second tome aux éditions Kalopsia, décidément prolifiques en cette fin d'année de cette série de Fantasy menée par Blaede et Vukic. Et si on connait tout le talent de Vukic (Les élus de Swarga, orcs et gobelins, mages, elfes, merlin, etc...) il me reste sur cette série un point qui me titille, pourquoi les visages de ses deux héros semblent ils si rigides, comme figés. C'était déjà mon ressenti sur le tome 1 et ce tome 2 m'a renvoyé la même impression. Attention, l'ensemble est de bonne tenue, et c'est de la fantasy agréable pour les yeux. Mais ce point de détail continue de me chiffonner car je ne l'ai pas remarqué sur les élus de Swargapar exemple du même auteur.... Et surtout cela ne concerne essentiellement que les deux visages des héros (voir la couverture par exemple)... M'enfin on passe vite au dessus et cela ne dérange pas vraiment. Pour le reste, l'intrigue prend de l'ampleur, et sans rien vous en dévoiler, sachez juste que même si l'histoire narrée a parfois des airs qui ne semblent pas inconnus, à la fin on aimerait bien lire la suite rapidement. Et comme d'habitude, ça c'est bon signe. Ce tome 2 nous fait voyager, à la rencontre de villes imaginaires, de personnages secondaires bien pensés, et nous distille de bons rebondissements en plus de quelques éléments de contexte. Bref, si vous avez aimé le premier tome, ne boudez donc pas votre plaisir. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/seeds-of-wars-la-reine-corsaire/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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@VladNirkyTu as lu le roman ????
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Oui, très posée, très fluide, expressive et qui crée une atmosphère avec peu de dialogues.
- 2 réponses
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- roman graphiqe
- drame
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(et 1 en plus)
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Rohhhhhh t’aimes pas les dessins de munuera ?????
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1/4 au test ?