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Titre de l'album : Thrace tome 3 - Omnia vincit amor Scenariste de l'album : Trif Dessinateur de l'album : Trif Coloriste : Andrea Celestini Editeur de l'album : Tabou Note : Résumé de l'album : Après avoir goûté à la gloire du Colisée, le jeune Thrace, Cleio subit sa première défaite. Battu par Maximus, le mirmillon impérial, il est entre la vie et la mort au sein de l'école de gladiature, alors même que l'Empereur décide de la faire détruire. De son côté, Adriana condamnée à l'exil, doit décider si elle doit quitter Rome pour toujours ou tenter toutes les manigances possibles pour rendre sa liberté à Cleio, son véritable amour. Qu'il s'agisse de l'intrigante Giulia, du sadique sénateur Primus, du machiavélique Quintus ou de l'Empereur lui-même : tout Rome semble vouloir s'opposer à l'amour entre Adriana et Cleio. Critique : Un mois après la sortie "tout public" du tome 3 chez l'éditeur Graph-Zepellin, la maison voisine Tabou sort sa version nettement plus complète. Elle comble avec une élégance rare les moments intimes voire violents parfois et offre une superbe conclusion au couple maudit Adriana et Cleio. Peut-il y avoir une fin heureuse dans cette ville empire où les trahisons sont reines et l'ascenseur social inexistant ? D'autant que le tome précédent laissait Cleio pour mort suite à sa défaite en combat singulier, et Adriana en proie à d'obscures manoeuvres politiques et autres pièges de Quintus . Séparés dans la violence , comment peuvent-ils se retrouver et s'aimer dans la paix et la sérénité ? Trif vient clôturer un formidable triptyque en donnant ses lettres de noblesses au péplum, un genre quelque peu oublié ces temps-ci dans le monde du 9ème art. Son trait fin , magnifié par les couleurs chaudes d'Andrea Celestini met en lumière la ville éternelle. Les trois albums sortis chez Tabou combleront amplement vos attentes, sur le plan narratif, graphique ainsi qu'une dose d'érotisme légère et toujours au service du récit. Amoureux des péplums et de la série Spartacus , foncez 😉 ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/thrace-3-omnia-vincit-amor/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Un mois après la sortie "tout public" du tome 3 chez l'éditeur Graph-Zepellin, la maison voisine Tabou sort sa version nettement plus complète. Elle comble avec une élégance rare les moments intimes voire violents parfois et offre une superbe conclusion au couple maudit Adriana et Cleio. Peut-il y avoir une fin heureuse dans cette ville empire où les trahisons sont reines et l'ascenseur social inexistant ? D'autant que le tome précédent laissait Cleio pour mort suite à sa défaite en combat singulier, et Adriana en proie à d'obscures manoeuvres politiques et autres pièges de Quintus . Séparés dans la violence , comment peuvent-ils se retrouver et s'aimer dans la paix et la sérénité ? Trif vient clôturer un formidable triptyque en donnant ses lettres de noblesses au péplum, un genre quelque peu oublié ces temps-ci dans le monde du 9ème art. Son trait fin , magnifié par les couleurs chaudes d'Andrea Celestini met en lumière la ville éternelle. Les trois albums sortis chez Tabou combleront amplement vos attentes, sur le plan narratif, graphique ainsi qu'une dose d'érotisme légère et toujours au service du récit. Amoureux des péplums et de la série Spartacus , foncez 😉 !
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Titre de l'album : La chair des Dieux Scenariste de l'album : Emka Dessinateur de l'album : Winoma Coloriste : Editeur de l'album : Tabou Note : Résumé de l'album : La mythologie n'a jamais cessé d'influencer l'imaginaire des artistes, fidèles aux récits originels, Winona et Emka proposent de s'y replonger en explorant les mythes avec toute la charge érotique et sexuelle qui leur est propre. La mythologie devient ainsi le lieu de toutes les luxures et de tous les excès. Vices et délices que tout amateur averti retrouve notamment dans les plus grandes sagas nordiques et qui sont ici reprises avec respect sans jamais omettre de nous dévoiler la chair des dieux et celle des mortels qui les rêvèrent. Critique : Source inépuisable d'histoires , la mythologie nordique est ici revisitée par deux auteurs talentueux , Winoma la dessinatrice et Emka le scénariste . Ils nous offrent une relecture érotique d'un cheminement possible des dieux vers le Ragnarok . Au fil des chapitres centrés sur les grandes divinités , on va découvrir le lien les unissant et les amenant à cette finalité semblant inéluctable . Loki est au centre des débats , on le découvre tel Prométhée , enchainé à une paroi rocheuse et soumis au venin quotidien d'un serpent . Pourquoi est-il puni de la sorte et comment va t'il s'en échapper ? On aperçoit Freyja accueillant les humains sur ses terres divines et interdites aux midgardiens , mais dans quel but ? L'homme peut-il côtoyer les dieux ? Odin et Thor seront bien évidemment de la partie , tout comme Hel et Fenrir entre autres . Au service de ce scénario à tiroirs , quelques scènes érotiques savoureuses , disséminées dans les chapitres et faisant la part belle aux corps parfaits des divinités nordiques . Le dessin à l'aquarelle en couleurs directes est d'une grande qualité. Les chairs s'entremêlent à deux voire plus et offrent un spectacle radieux pour les personnes majeures (bien entendu 🙂 ) . Les proportions sont acceptables , ces dieux semblent si humains lorsqu'ils sont dévêtus et occupés aux plaisirs charnels . Emka se paye le luxe de vous offrir une fin inattendue mais logique in fine , prouvant ici un art subtil des scénarios à tiroirs bien utilisé . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-chair-des-dieux/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Source inépuisable d'histoires , la mythologie nordique est ici revisitée par deux auteurs talentueux , Winoma la dessinatrice et Emka le scénariste . Ils nous offrent une relecture érotique d'un cheminement possible des dieux vers le Ragnarok . Au fil des chapitres centrés sur les grandes divinités , on va découvrir le lien les unissant et les amenant à cette finalité semblant inéluctable . Loki est au centre des débats , on le découvre tel Prométhée , enchainé à une paroi rocheuse et soumis au venin quotidien d'un serpent . Pourquoi est-il puni de la sorte et comment va t'il s'en échapper ? On aperçoit Freyja accueillant les humains sur ses terres divines et interdites aux midgardiens , mais dans quel but ? L'homme peut-il côtoyer les dieux ? Odin et Thor seront bien évidemment de la partie , tout comme Hel et Fenrir entre autres . Au service de ce scénario à tiroirs , quelques scènes érotiques savoureuses , disséminées dans les chapitres et faisant la part belle aux corps parfaits des divinités nordiques . Le dessin à l'aquarelle en couleurs directes est d'une grande qualité. Les chairs s'entremêlent à deux voire plus et offrent un spectacle radieux pour les personnes majeures (bien entendu 🙂 ) . Les proportions sont acceptables , ces dieux semblent si humains lorsqu'ils sont dévêtus et occupés aux plaisirs charnels . Emka se paye le luxe de vous offrir une fin inattendue mais logique in fine , prouvant ici un art subtil des scénarios à tiroirs bien utilisé .
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Titre de l'album : Mou Scenariste de l'album : Benoît Feroumont Dessinateur de l'album : Benoît Feroumont Coloriste : Benoît Feroumont Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Charles est un loser qui rate tout. Jusqu'au soir où il rencontre dans un bar Paola, une jeune chimiste, qui le ramène chez elle. Après un rapport plutôt décevant, Charles s'enfuit après avoir bu une boisson (très mauvaise) dans le frigo. Il ignore qu'il a ingurgité une expérience de Paola sur la structure osseuse des astronautes. Le lendemain matin, il se réveille transformé en monstre plein de tentacules. Son destin vient de basculer... Avec Mou !, Benoît Feroumont nous offre une fable érotique hilarante où un loser transformé en monstre à tentacules devient le fantasme numéro un de toute la ville. Critique : Quand j'ai feuilleté ce Mou, je me suis demandé ce que j'avais entre les mains. Était-ce une espèce d'hentai français avec des filles dénudées et des tentacules ? J'ai été rapidement rassuré car cet album est plus une histoire rigolote mais traitant d'un sujet qui est plus complexe qu'il n'y parait : l'image que renvoient les films X et autres images qui "définissent" ce que doit être une relation sexuelle et le poids que cela fait peser sur la gent masculine. Et oui pour une fois on parle du côté masculin de ce problème. Non pas que le côté féminin de cette déformation du plaisir ne soit pas traité, mais notre auteur nous montre un personnage qui n'a aucune estime de lui-même car ne réussi pas à tenir aussi longtemps que dans les films. S'en suis une transformation lui présentant la chose différemment et les femmes sous un nouveau jour, chacune aillant leurs particularités. Bref une lecture erotico rigolote au final mais traitant d'un vrai sujet. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mou?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Quand j'ai feuilleté ce Mou, je me suis demandé ce que j'avais entre les mains. Était-ce une espèce d'hentai français avec des filles dénudées et des tentacules ? J'ai été rapidement rassuré car cet album est plus une histoire rigolote mais traitant d'un sujet qui est plus complexe qu'il n'y parait : l'image que renvoient les films X et autres images qui "définissent" ce que doit être une relation sexuelle et le poids que cela fait peser sur la gent masculine. Et oui pour une fois on parle du côté masculin de ce problème. Non pas que le côté féminin de cette déformation du plaisir ne soit pas traité, mais notre auteur nous montre un personnage qui n'a aucune estime de lui-même car ne réussi pas à tenir aussi longtemps que dans les films. S'en suis une transformation lui présentant la chose différemment et les femmes sous un nouveau jour, chacune aillant leurs particularités. Bref une lecture erotico rigolote au final mais traitant d'un vrai sujet.
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Titre de l'album : Kiff - Adorables et cruelles Scenariste de l'album : Max Sulfur Dessinateur de l'album : Max Sulfur Coloriste : Editeur de l'album : Tabou Note : Résumé de l'album : Troisième opus de Kiff la série qui joue la carte "happy sex" de situations coquines et comiques où les demoiselles, tantôt adorables, tantôt cruelles, ont un appétit sexuel insatiable. Elles savent prendre des initiatives et leurs formes épanouies ne laissent pas de marbre le beau Markus. Retrouvez tous les joyeux personnages, funs et terriblement excitants personnages qui vous ont fait "kiffer" la série. Dans un style décomplexé et un réalisme très hot, Max Sulfur revient avec ce recueil d'historiettes qui donnent chaud pour notre plus grand plaisir ! Critique : Déjà le troisième tome de l'auteur Max Sulfur et ses héroïnes pulpeuses aux prises d'initiatives certaines . Dans ce Kiff , Adorables et cruelles , il continue d'enchaîner les scènes dans divers contextes (et positions^^) pour le plus grand plaisir des yeux . Son style réaliste fait encore des merveilles , les amateurs seront comblés . Un homme et une femme ou bien souvent , des femmes , composent ce ballet d'échanges de fluides et de situations où dominations consenties et plaisirs charnels seront les maîtres mots . Le "cameraman" Max Sulfur vous proposera plusieurs points de vue : éloigné , global , première personne , de haut en bas , vous serez au plus proche de l'action et ne perdrez rien des envies soudaines de cette galerie de femmes rondes , minces et débordantes d'énergie ! Il est à noter la formidable condition physique du "pauvre hère " victime des exactions de ces adoratrices de la bagatelle ! En effet , les éjaculations se succèdent et s'enchainent sans aucun relâchement ni baisse de rythme ! Chapeau bas 🙂 messieurs ! Du porno-érotisme hétéro un peu plus destiné à un public masculin certes , mais pouvant trouver sa place auprès des femmes avides de découvertes . Une suite dans la lignée des deux premiers tomes , sans aucune perte de qualité graphique , se permettant même d'accentuer encore un peu plus l'intensité des ébats ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/kiff-tome-3-adorables-cruelles/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Déjà le troisième tome de l'auteur Max Sulfur et ses héroïnes pulpeuses aux prises d'initiatives certaines . Dans ce Kiff , Adorables et cruelles , il continue d'enchaîner les scènes dans divers contextes (et positions^^) pour le plus grand plaisir des yeux . Son style réaliste fait encore des merveilles , les amateurs seront comblés . Un homme et une femme ou bien souvent , des femmes , composent ce ballet d'échanges de fluides et de situations où dominations consenties et plaisirs charnels seront les maîtres mots . Le "cameraman" Max Sulfur vous proposera plusieurs points de vue : éloigné , global , première personne , de haut en bas , vous serez au plus proche de l'action et ne perdrez rien des envies soudaines de cette galerie de femmes rondes , minces et débordantes d'énergie ! Il est à noter la formidable condition physique du "pauvre hère " victime des exactions de ces adoratrices de la bagatelle ! En effet , les éjaculations se succèdent et s'enchainent sans aucun relâchement ni baisse de rythme ! Chapeau bas 🙂 messieurs ! Du porno-érotisme hétéro un peu plus destiné à un public masculin certes , mais pouvant trouver sa place auprès des femmes avides de découvertes . Une suite dans la lignée des deux premiers tomes , sans aucune perte de qualité graphique , se permettant même d'accentuer encore un peu plus l'intensité des ébats !
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Titre de l'album : Hors des sentiers battus - tome 1 Scenariste de l'album : Marie Sann Dessinateur de l'album : Marie Sann Coloriste : Editeur de l'album : Tabou Note : Résumé de l'album : Pour Lizzy, jeune étudiante, qui emménage pour ses études en colocation avec Elva une amie plus âgée et bien plus délurée, le sexe et les relations amoureuses ne sont pas sa priorité. Mais lorsque la curiosité la pousse à visiter un sex-shop pour la première fois, Lizzy commence à explorer sa sexualité. Des jouets sexuels aux applications de rencontres en passant par les premières expériences, elle essaie des choses nouvelles et sort des sentiers battus pour découvrir peu à peu un intérêt certain pour le côté le plus coquin du sexe. Critique : L'illustratrice berlinoise Marie Sann réalise sa première incursion dans le monde du 9ème art avec une nouvelle série publié chez Tabou . Ce premier tome est une introduction aux multiples découvertes de Lizzy . En effet , elle va au fil de ses rencontres professionnelles et culturelles , réaliser une immersion de son propre corps et sa sexualité . Une évolution 2.0 vers des horizons auxquels elle n'aurait jamais songés auparavant ! Cela commence par la visite d'un sex-shop "moderne" et non destiné à un public exclusivement masculin , puis des discussions et autres "formations" sur le bondage et autre Shibari (art japonais ) , avec pour finalité des travaux pratiques 😉 Lizzy explore ces nouvelles facettes de son corps avec pour leitmotiv le plaisir partagé, une mise en avant du féminin et surtout , des pratiques sexuelles sortant des sentiers battus . De son trait rond , Marie Sann réalise des planches colorées "girly" avec un trait précis et détaillé . Ce style "Disney" convient parfaitement au côté édulcoré de l'héroïne Lizzy avec ses cheveux roses et son visage de princesse . Que les fans de l'éditeur se rassurent , en solo , en couple hétéro , homo , "les scènes d'action" sont rares mais distillées avec élégance tout en suivant la trame scénaristique et ses rebondissements . L'auteure nous laisse d'ailleurs sur un cliffhanger qui va faire paraître longue l'attente du second tome . Si le côté "cartoon" du dessin ne vous effraie pas pour ce genre de lecture , plongez dans cette aventure avec Lizzy la jeune étudiante exploratrice des sens 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/hors-des-sentiers-battus-tome-1/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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L'illustratrice berlinoise Marie Sann réalise sa première incursion dans le monde du 9ème art avec une nouvelle série publié chez Tabou . Ce premier tome est une introduction aux multiples découvertes de Lizzy . En effet , elle va au fil de ses rencontres professionnelles et culturelles , réaliser une immersion de son propre corps et sa sexualité . Une évolution 2.0 vers des horizons auxquels elle n'aurait jamais songés auparavant ! Cela commence par la visite d'un sex-shop "moderne" et non destiné à un public exclusivement masculin , puis des discussions et autres "formations" sur le bondage et autre Shibari (art japonais ) , avec pour finalité des travaux pratiques 😉 Lizzy explore ces nouvelles facettes de son corps avec pour leitmotiv le plaisir partagé, une mise en avant du féminin et surtout , des pratiques sexuelles sortant des sentiers battus . De son trait rond , Marie Sann réalise des planches colorées "girly" avec un trait précis et détaillé . Ce style "Disney" convient parfaitement au côté édulcoré de l'héroïne Lizzy avec ses cheveux roses et son visage de princesse . Que les fans de l'éditeur se rassurent , en solo , en couple hétéro , homo , "les scènes d'action" sont rares mais distillées avec élégance tout en suivant la trame scénaristique et ses rebondissements . L'auteure nous laisse d'ailleurs sur un cliffhanger qui va faire paraître longue l'attente du second tome . Si le côté "cartoon" du dessin ne vous effraie pas pour ce genre de lecture , plongez dans cette aventure avec Lizzy la jeune étudiante exploratrice des sens 😉
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Titre de l'album : Nancy in hell- tome 2 - L'enfer sur terre Scenariste de l'album : El Torres Dessinateur de l'album : Enrique Lopez Lorenzana Coloriste : Fran Gamboa Editeur de l'album : Graph Zeppelin Note : Résumé de l'album : Lorsque Nancy et Lucifer se libèrent de l'Enfer, (voir le tome 1, Nancy in Hell, Graph Zeppelin, 2015) les portes restées ouvertes, laissent les démons se répandre sur Terre. Dans ce chaos, les anges décident que détruire la planète est le mal nécessaire pour sauver le monde des humains de l'invasion infernale. Nancy et Lucifer décident de s'allier à leur pire ennemi, Mr Macabre, pour arrêter ce carnage. Mais cela suffirat- il pour vaincre les forces divines ? Critique : Et voilà , 9 ans après , El Torres et son équipe hispanique reviennent enfin nous offrir la suite des (mes)aventures de Nancy la blonde pulpeuse à la tronçonneuse ravageuse ! Les auteurs nous laissaient sur une terre envahie de monstres avec une porte des enfers restée entrouverte , et bien vous allez découvrir le destin de Lucifer et Nancy dans une nouvelle orgie d'hémoglobine 🙂 Enrique Lopez Lorenzana reprend le flambeau au dessin et on y perd pas au change , c'est toujours aussi détaillé et dévêtu . Voire un peu plus "érotique" car on découvre une invasion d'anges aux plastiques avantageuses et aux motivations diverses , avec pour unique accoutrement leurs ailes ou un simple ruban . Nancy a de la concurrence dans cet opus moins riche en suspens mais qui comble ce léger vide par un déluge d'action . Un bestiaire varié va s'opposer à notre duo qui devra faire preuve de perspicacité pour s'en sortir . Gros monstres , anges déchus , Mr Macabre , prisonniers psychopathes , sauveteurs , une belle galerie de personnages tente sous nos yeux de trouver une solution à ce déchainement de violence . La tronçonneuse ronronne , Nancy tranche dans le vif , Lucifer est toujours en proie avec ses démons intérieurs , Mr Macabre va vous surprendre . Vous l'aurez compris , la suite est d'aussi bonne facture que l'introduction et elle se paie le luxe de finir elle aussi sur un cliffhanger prometteur 😉 N'attendons pas 9 ans pour un tome 3 Mr El Torres s'il vous plaît ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/nancy-in-hell-tome-2-l-enfer-sur-terre/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Et voilà , 9 ans après , El Torres et son équipe hispanique reviennent enfin nous offrir la suite des (mes)aventures de Nancy la blonde pulpeuse à la tronçonneuse ravageuse ! Les auteurs nous laissaient sur une terre envahie de monstres avec une porte des enfers restée entrouverte , et bien vous allez découvrir le destin de Lucifer et Nancy dans une nouvelle orgie d'hémoglobine 🙂 Enrique Lopez Lorenzana reprend le flambeau au dessin et on y perd pas au change , c'est toujours aussi détaillé et dévêtu . Voire un peu plus "érotique" car on découvre une invasion d'anges aux plastiques avantageuses et aux motivations diverses , avec pour unique accoutrement leurs ailes ou un simple ruban . Nancy a de la concurrence dans cet opus moins riche en suspens mais qui comble ce léger vide par un déluge d'action . Un bestiaire varié va s'opposer à notre duo qui devra faire preuve de perspicacité pour s'en sortir . Gros monstres , anges déchus , Mr Macabre , prisonniers psychopathes , sauveteurs , une belle galerie de personnages tente sous nos yeux de trouver une solution à ce déchainement de violence . La tronçonneuse ronronne , Nancy tranche dans le vif , Lucifer est toujours en proie avec ses démons intérieurs , Mr Macabre va vous surprendre . Vous l'aurez compris , la suite est d'aussi bonne facture que l'introduction et elle se paie le luxe de finir elle aussi sur un cliffhanger prometteur 😉 N'attendons pas 9 ans pour un tome 3 Mr El Torres s'il vous plaît !
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Titre de l'album : Trois chardons Scenariste de l'album : Cécile Becq Dessinateur de l'album : Cécile Becq Coloriste : Cécile Becq Editeur de l'album : Sarbacane Note : Résumé de l'album : Écosse, île de Skye, juin 1933. Habillée de noir, une jeune femme se recueille sur une tombe toute fraîche. C'est celle de son époux. Moïra a à peine 35 ans qu'elle se retrouve veuve et sans ressources. Margaret, sa soeur aînée, lui propose de l'héberger elle et ses deux jeunes enfants le temps de se retourner. Les deux soeurs commencent à cohabiter dans la ferme simple et austère où Margaret vit seule depuis qu'elle a perdu son enfant. Elles sont rapidement rejointes par Effie, leur jeune soeur, sensuelle et gaie, qui déboule d'Édimbourg fuyant Adam son mari volage. Confinées dans ce cottage perdu au milieu de la lande, ces trois femmes brisées tentent de se reconstruire ensemble au gré de moments de complicité mais aussi de mises au point sur des rancoeurs familiales enfouies. Une rencontre va venir tout chambouler : Moïra, en plein deuil, laissera-t-elle un nouvel homme entrer dans sa vie ? Critique : Vous connaissez l'adage sur la grande difficulté de garder un niveau élevé après une première oeuvre saluée par la critique de façon amplement méritée ? Son Ama , le souffle des femmes avaient enthousiasmé le public au point de recevoir un prix au salon du livre de Montreuil . Cécile Becq poursuit son ascension dans le monde du 9ème art avec ce drame romantique situé sur la non moins superbe île de Skye en Ecosse . Nous y suivons durant une année les différentes étapes du deuil de Moïra qui vient de perdre subitement son mari . Elle est entourée par ses enfants et surtout par ses deux soeurs , chacune au caractère bien trempé et rencontrant aussi des difficultés d'ordre personnel . Nous découvrons une fratrie soudée mais pas que ! Des passifs font irruption et viennent perturber cette entraide . Au détour de cases centrées sur des regards ou de mains se frôlant , l'auteure distille l'émotion ressentie par les protagonistes . Sa ligne claire amène une douceur et une certaine quiétude alors que les trois soeurs font face à une tempête de sentiments . Elle délaisse la bichromie de sa première oeuvre pour nous faire vivre une explosion de couleurs , telle que l'on peut ressentir en arpentant les contreforts de l'île de Skye , magnifique écrin écossais . Je soupçonne fortement Cécile Becq d'y avoir séjournée , car pour avoir eu la chance de la visiter , j'ai entre autres , reconnu sans peine le Old man of Storr et cette île a laissé une empreinte indélébile en moi . On comprend aisément qu'un tel environnement soit source d'inspiration ! 3 chardons pour 3 soeurs en pleine résilience , dans un récit prenant son temps et touchant le lecteur de plein fouet . Quel joli travail de l'auteure , on en redemande ! Un léger bémol me concernant : j'aurais souhaité revoir la baie de Talisker avec cette finesse du trait . Mais cela n'engage vraiment que moi 🙂 . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/trois-chardons/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Vous connaissez l'adage sur la grande difficulté de garder un niveau élevé après une première oeuvre saluée par la critique de façon amplement méritée ? Son Ama , le souffle des femmes avaient enthousiasmé le public au point de recevoir un prix au salon du livre de Montreuil . Cécile Becq poursuit son ascension dans le monde du 9ème art avec ce drame romantique situé sur la non moins superbe île de Skye en Ecosse . Nous y suivons durant une année les différentes étapes du deuil de Moïra qui vient de perdre subitement son mari . Elle est entourée par ses enfants et surtout par ses deux soeurs , chacune au caractère bien trempé et rencontrant aussi des difficultés d'ordre personnel . Nous découvrons une fratrie soudée mais pas que ! Des passifs font irruption et viennent perturber cette entraide . Au détour de cases centrées sur des regards ou de mains se frôlant , l'auteure distille l'émotion ressentie par les protagonistes . Sa ligne claire amène une douceur et une certaine quiétude alors que les trois soeurs font face à une tempête de sentiments . Elle délaisse la bichromie de sa première oeuvre pour nous faire vivre une explosion de couleurs , telle que l'on peut ressentir en arpentant les contreforts de l'île de Skye , magnifique écrin écossais . Je soupçonne fortement Cécile Becq d'y avoir séjournée , car pour avoir eu la chance de la visiter , j'ai entre autres , reconnu sans peine le Old man of Storr et cette île a laissé une empreinte indélébile en moi . On comprend aisément qu'un tel environnement soit source d'inspiration ! 3 chardons pour 3 soeurs en pleine résilience , dans un récit prenant son temps et touchant le lecteur de plein fouet . Quel joli travail de l'auteure , on en redemande ! Un léger bémol me concernant : j'aurais souhaité revoir la baie de Talisker avec cette finesse du trait . Mais cela n'engage vraiment que moi 🙂 .
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Titre de l'album : Quand je suis arrivée au château Scenariste de l'album : Emily Dessinateur de l'album : Caroll Coloriste : Emily Caroll Editeur de l'album : IMHO Note : Résumé de l'album : Après les succès retentissants de Dans les bois (Casterman) et de Speak (Rue de Sèvres), le nouveau conte horrifique d’Emily Carroll revient au source du genre gothique : les vampires. Si le livre semble suivre la trame classique d’un chasseur de vampire en train de s’infiltrer dans le château d’un vampire, c’est pour mieux perdre son lecteur dans un dédale narratif et graphique où le vrai héros n’est pas celui qu’on croît. Comme tant de jeunes filles avant elle, une jeune femme se rend au château avec la ferme intention de mettre un terme aux terribles agissements de la Comtesse. Mais rien ne pouvait la préparer à l’horreur qui se cachait dans ses tourelles maléfiques. Riches de ses influences gothiques, Emily Carroll distille une horreur sourde teintée d’érotisme. Critique : Après le remarqué Speak , centré sur le harcèlement scolaire et ses dérives , Emily Caroll revient au fantastique avec ce conte adulte que Tim Burton n'aurait pas renié . Une jeune femme pénètre dans un château que l'on devine maléfique , et rencontre un Dracula au féminin d'une élégance rare . Un jeu de séduction va se mettre en place et la domination supposée de la châtelaine pourrait révéler de sombres secrets . Ce qui frappe avant tout au fil des pages , c'est la finesse du trait et le découpage voulu par l'auteure canadienne . Pas de gaufrier à proprement parler , mais un ballet de corps et visages occupant l'espace dans une symphonie anxiogène . Le noir et blanc agrémenté de rouge sang rend le tableau final inquiétant et mystérieux . Vous l'aurez compris , le dessin est l'atout majeur de ce roman graphique . J'ai une réserve cependant sur le déroulé de l'histoire , qui commence très bien , faisant monter le suspens sur les motivations de chacune , mais réservant un final complexe et brouillon . Reste au lecteur de se faire sa propre opinion, mais c'est un livre qui nécessite assurément une relecture , afin de bien saisir les nombreux détails graphiques et scénaristiques ; ce qui reste un atout 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/quand-je-suis-arrivee-au-chateau/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Après le remarqué Speak , centré sur le harcèlement scolaire et ses dérives , Emily Caroll revient au fantastique avec ce conte adulte que Tim Burton n'aurait pas renié . Une jeune femme pénètre dans un château que l'on devine maléfique , et rencontre un Dracula au féminin d'une élégance rare . Un jeu de séduction va se mettre en place et la domination supposée de la châtelaine pourrait révéler de sombres secrets . Ce qui frappe avant tout au fil des pages , c'est la finesse du trait et le découpage voulu par l'auteure canadienne . Pas de gaufrier à proprement parler , mais un ballet de corps et visages occupant l'espace dans une symphonie anxiogène . Le noir et blanc agrémenté de rouge sang rend le tableau final inquiétant et mystérieux . Vous l'aurez compris , le dessin est l'atout majeur de ce roman graphique . J'ai une réserve cependant sur le déroulé de l'histoire , qui commence très bien , faisant monter le suspens sur les motivations de chacune , mais réservant un final complexe et brouillon . Reste au lecteur de se faire sa propre opinion, mais c'est un livre qui nécessite assurément une relecture , afin de bien saisir les nombreux détails graphiques et scénaristiques ; ce qui reste un atout 😉
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Titre de l'album : Kiff tome 2 - Félines et perverses Scenariste de l'album : Max Sulfur Dessinateur de l'album : Max Sulfur Coloriste : Max Sulfur Editeur de l'album : Tabou Note : Résumé de l'album : Il n'est jamais facile d'être entouré de jolies filles surtout quand elles ont une idée bien en tête. KIFF sont des recueils d'histoires où les femmes prennent les choses en mains et elles savent y faire pour obtenir ce qu'elles désirent ! Alors, si vous en voulez plus, découvrez ce nouveau KIFF où toutes sont aussi félines que perverses ! Retrouvez les personnages qui ont fait le succès de KIFF : Pulpeuses et généreuses ! Critique : Second tome des aventures de bureau , mais pas que , pour ce personnel qui passe plus de temps à pratiquer la bagatelle que travailler ! D'emblée , la jeune stagiaire interrogée par sa supérieure , nous dévoile le contenu de sa première journée , passant du directeur au comptable , puis des secrétaires , bref , une énergie redoutable !! Max Sulfur propose des planches détaillées avec son trait rond aux courbures généreuses , les gros plans s'enchaînent dans une frénésie sexuelle qui ne laisse aucun répit aux lecteurs . Les femmes sont pulpeuses et les hommes plutôt bien membrés . Le dessin réaliste aux couleurs froides est assez remarquable de détails , on se rapprocherait presque du travail de Terry Dodson , c'est dire la performance de ce nouveau venu ayant fait ses armes dans la publicité avant de se lancer dans le 9ème art . Il est à noter aussi les dialogues qui sont lourds de second sens selon les situations , voire positions vécues par les protagonistes . Un brin d'humour ajouté , lors des ébats en tous genres , rendant ces scènes vivantes et qui feront esquisser un sourire aux lecteurs . A ne pas confier dans toutes les mains , car on est plus dans un registre de pornographie que de situations érotiques . A noter qu'il est promo sur le site éditeur 😉 Kiff2-Extrait.pdf Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/kiff-tome-2-felines-perverses/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Second tome des aventures de bureau , mais pas que , pour ce personnel qui passe plus de temps à pratiquer la bagatelle que travailler ! D'emblée , la jeune stagiaire interrogée par sa supérieure , nous dévoile le contenu de sa première journée , passant du directeur au comptable , puis des secrétaires , bref , une énergie redoutable !! Max Sulfur propose des planches détaillées avec son trait rond aux courbures généreuses , les gros plans s'enchaînent dans une frénésie sexuelle qui ne laisse aucun répit aux lecteurs . Les femmes sont pulpeuses et les hommes plutôt bien membrés . Le dessin réaliste aux couleurs froides est assez remarquable de détails , on se rapprocherait presque du travail de Terry Dodson , c'est dire la performance de ce nouveau venu ayant fait ses armes dans la publicité avant de se lancer dans le 9ème art . Il est à noter aussi les dialogues qui sont lourds de second sens selon les situations , voire positions vécues par les protagonistes . Un brin d'humour ajouté , lors des ébats en tous genres , rendant ces scènes vivantes et qui feront esquisser un sourire aux lecteurs . A ne pas confier dans toutes les mains , car on est plus dans un registre de pornographie que de situations érotiques . A noter qu'il est promo sur le site éditeur 😉 Kiff2-Extrait.pdf
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