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  1. On avait parlé du tome 1 de Vampyria Inquisition lors de sa sortie et nous n'avions pas été vraiment emballé. Soleil nous propose donc avec ce tome 2 de terminer cette aventure proprement. Bon point déjà, le tome fait 80 pages, ce qui laisse aux auteurs le temps et le soin de dénouer leur riche intrigue. Eder Messias nous propose toujours son dessin vif, inspiré du manga mais enrichi par la bd européenne. Je n'ai pas été emballé mais cela plaira je pense au public adolescent visé par cette série. Les mises en couleurs sont plutôt réussies. Malheureusement le scénario et les personnages sont trop ciblés adolescents pour m'avoir vraiment intéressé, de même pour l'intrigue. Dommage car le postulat de base aurait pu se révéler plus prometteur.
  2. Titre de l'album : Vampyria - Inquisition - Tome 2 - Les vendanges pourpres Scenariste de l'album : Victor Dixen Dessinateur de l'album : Eder Messias Coloriste : Giulia Priori Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Chaque année, pour célébrer les vendanges d'automne, le comte de Chambord donne un grand bal masqué dont le faste rivalise avec les fêtes de Versailles. Les nobles vampyres accourent des quatre coins du royaume pour prendre part aux réjouissances.Mais cet automne, les monstres les plus effroyables se sont invités au bal, sous les masques les plus innocents... Critique : On avait parlé du tome 1 de Vampyria Inquisition lors de sa sortie et nous n'avions pas été vraiment emballé. Soleil nous propose donc avec ce tome 2 de terminer cette aventure proprement. Bon point déjà, le tome fait 80 pages, ce qui laisse aux auteurs le temps et le soin de dénouer leur riche intrigue. Eder Messias nous propose toujours son dessin vif, inspiré du manga mais enrichi par la bd européenne. Je n'ai pas été emballé mais cela plaira je pense au public adolescent visé par cette série. Les mises en couleurs sont plutôt réussies. Malheureusement le scénario et les personnages sont trop ciblés adolescents pour m'avoir vraiment intéressé, de même pour l'intrigue. Dommage car le postulat de base aurait pu se révéler plus prometteur. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/vampyria-inquisition-tome-2-les-vendanges-pourpres?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Voici une nouvelle série, plutôt positionnée sur le secteur jeunesse/ados qui a vu paraitre pas mal de belles choses ces derniers temps. S'il est encore trop tôt après ce tome 1 pour dire si cette série prendra date sur ce public là, il faut reconnaitre qu'à première vue les ingrédients sont là pour un développement un peu ambitieux mais maitrisé de cet univers assez bien pensé. Les planches de Stefano Vergani sont réussies, mêlant les influences sans pour autant en oublier les détails et décors. Sur une série jeunesse c'est une bonne initiative je trouve, reste peut être à rendre plus lisibles certaines scènes d'actions, qui pour le moment ne sont pas encore super claires, la faute au côté fantastique avec lequel il faudra composer. Je vous encourage à découvrir ce premier tome, qui reste aussi une lecture divertissante pour les adultes. A voir si l'essai sera confirmé au second tome.
  4. Titre de l'album : Lost Shelter - Tome 1 - Résonance Scenariste de l'album : Mattia Umelesi Dessinateur de l'album : Stefano Vergani Coloriste : Stefano Vergani Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Sur une planète comparable à la Terre au climat glacial et rude, Namet, jeune aspirant marchand, découvre incidemment que le fragment d'étoile qui soutient sa ville, puissante source d'énergie, s'est craquelé et va exploser incessamment. Il décide alors de partir seul en quête d'un Chercheur qui pourrait l'aider à trouver une nouvelle source d'énergie pour sauver sa ville et ses habitants... Critique : Voici une nouvelle série, plutôt positionnée sur le secteur jeunesse/ados qui a vu paraitre pas mal de belles choses ces derniers temps. S'il est encore trop tôt après ce tome 1 pour dire si cette série prendra date sur ce public là, il faut reconnaitre qu'à première vue les ingrédients sont là pour un développement un peu ambitieux mais maitrisé de cet univers assez bien pensé. Les planches de Stefano Vergani sont réussies, mêlant les influences sans pour autant en oublier les détails et décors. Sur une série jeunesse c'est une bonne initiative je trouve, reste peut être à rendre plus lisibles certaines scènes d'actions, qui pour le moment ne sont pas encore super claires, la faute au côté fantastique avec lequel il faudra composer. Je vous encourage à découvrir ce premier tome, qui reste aussi une lecture divertissante pour les adultes. A voir si l'essai sera confirmé au second tome. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/lost-shelter-tome-1-resonance?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. The_PoP

    Elles - Tome 1 - La nouvelle(s)

    Pffffff, rarement une bd m'aura fait aussi radicalement changé d'avis que ce Elles. Pour être sincère avec vous, je ne l'avais même pas demandé aux éditions Le Lombard au début. Je ne me sentais clairement pas intéressé et je pensais que cette BD n'était juste pas faite pour moi. Et puis la grosse communication des éditions Le Lombard sur le sujet, et le nom de Kid Toussaint au scénario (entre autres), dont Pos' nous rabâche ici régulièrement tout le bien qu'il pense de son travail m'ont convaincu de me laisser tenter. Heureusement. C'est frais. C'est beau. C'est intelligent. C'est fait pour des ados, et c'est bien fait. Et les adultes le liront aussi avec intérêt et plaisir. J'ai vraiment besoin de vous en dire plus ? On ferme Elles avec un goût de trop peu, on trouve que finalement la pagination est un peu courte, alors même que vous venez de lire 96 pages. Certes elles sont petites, mais quand même. Elles traite d'un sujet complexe, sans démagogie ni simplisme, avec bienveillance et intelligence. Et humour parfois. Tout est bien dosé. Pour la partie graphique, quand l'argument de vente de l'éditeur est : " par l'auteur aux 300000 abonnés sur Instagram", habituellement je fuis. Mais là on est devant un pixar en image. Oui ce n'est pas nécessairement mon style préféré, mais cela fonctionne formidablement bien avec le propos et la colorisation est juste top. Petit bémol d'une demi étoile, car j'attends la confirmation de l'intelligence du scénario avec la suite... M. Toussaint ne nous décevez pas.
  6. Titre de l'album : Elles - Tome 1 - La nouvelle(s) Scenariste de l'album : Kid Toussaint Dessinateur de l'album : Aveline Stokart Coloriste : Aveline Stokart Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Elle, c'est une fille un peu comme tout le monde mais pas tout à fait comme les autres. Jeune fille pétillante et équilibrée, c'est tout naturellement qu'elle est intégrée dans une joyeuse bande d'amis dès son arrivée au collège Mercury. Mais se doutent-ils qu'Elle n'est pas seule ? Elle serait même plutôt cinq... Cinq personnalités hautes en couleurs et pas toujours amicales. Qui est Elle, réellement ? Critique : Pffffff, rarement une bd m'aura fait aussi radicalement changé d'avis que ce Elles. Pour être sincère avec vous, je ne l'avais même pas demandé aux éditions Le Lombard au début. Je ne me sentais clairement pas intéressé et je pensais que cette BD n'était juste pas faite pour moi. Et puis la grosse communication des éditions Le Lombard sur le sujet, et le nom de Kid Toussaint au scénario (entre autres), dont Pos' nous rabâche ici régulièrement tout le bien qu'il pense de son travail m'ont convaincu de me laisser tenter. Heureusement. C'est frais. C'est beau. C'est intelligent. C'est fait pour des ados, et c'est bien fait. Et les adultes le liront aussi avec intérêt et plaisir. J'ai vraiment besoin de vous en dire plus ? On ferme Elles avec un goût de trop peu, on trouve que finalement la pagination est un peu courte, alors même que vous venez de lire 96 pages. Certes elles sont petites, mais quand même. Elles traite d'un sujet complexe, sans démagogie ni simplisme, avec bienveillance et intelligence. Et humour parfois. Tout est bien dosé. Pour la partie graphique, quand l'argument de vente de l'éditeur est : " par l'auteur aux 300000 abonnés sur Instagram", habituellement je fuis. Mais là on est devant un pixar en image. Oui ce n'est pas nécessairement mon style préféré, mais cela fonctionne formidablement bien avec le propos et la colorisation est juste top. Petit bémol d'une demi étoile, car j'attends la confirmation de l'intelligence du scénario avec la suite... M. Toussaint ne nous décevez pas. Autres infos : Adolescence Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/elles-tome-1-la-nouvelle-s?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Titre de l'album : Vampyria - Inquisition Scenariste de l'album : Victor Dixen Dessinateur de l'album : Eder Messias Coloriste : Giulia Priori Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : En l'an 1715, Louis XIV le Roy-Soleil s'est transmuté en vampyre pour devenir le Roy des Ténèbres. Trois siècles plus tard, la Magna Vampyria s'étend à toute l'Europe. L'ordre y est maintenu par la toute-puissante Inquisition hématique. Chaque inquisiteur immortel est accompagné de son ombre, un valet mortel. Ces terribles duos sillonnent l'empire, prélevant la dîme du sang chez les roturiers. Critique : Soleil vient de lancer à grand renfort de communication une série dérivée de l'univers développé par Victor Vixen dans ses romans à succès Vampyria. Et La couverture est assez réussie et donne vite envie d'en découvrir plus. La cible de cette nouvelle série est clairement un public ados, entre l'histoire nous présentant des personnages relativement jeunes et le graphisme, assez inspiré de l'univers mangas et des séries ados récentes. L'histoire avance à 100 à l'heure, et on n'a ni le temps de niaiser, ni le temps de trop réfléchir, et le tout reste aisément compréhensible pour quelqu'un qui n'a jamais ouvert l'un des romans. Vampyria est plutôt réussi pour son public, mais en tant qu'adulte j'avoue que l'ensemble ne m'a pas passionné plus que ça tant les motivations des personnages m'ont semblées parfois un peu faciles. Le potentiel est néanmoins là désormais pour étoffer un peu le tout, on verra bien au second tome. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/vampyria-inquisition-tome-1-l-inquisiteur-et-son-ombre?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. The_PoP

    Vampyria - Inquisition

    Soleil vient de lancer à grand renfort de communication une série dérivée de l'univers développé par Victor Vixen dans ses romans à succès Vampyria. Et La couverture est assez réussie et donne vite envie d'en découvrir plus. La cible de cette nouvelle série est clairement un public ados, entre l'histoire nous présentant des personnages relativement jeunes et le graphisme, assez inspiré de l'univers mangas et des séries ados récentes. L'histoire avance à 100 à l'heure, et on n'a ni le temps de niaiser, ni le temps de trop réfléchir, et le tout reste aisément compréhensible pour quelqu'un qui n'a jamais ouvert l'un des romans. Vampyria est plutôt réussi pour son public, mais en tant qu'adulte j'avoue que l'ensemble ne m'a pas passionné plus que ça tant les motivations des personnages m'ont semblées parfois un peu faciles. Le potentiel est néanmoins là désormais pour étoffer un peu le tout, on verra bien au second tome.
  9. Titre de l'album : La longue marche des dindes Scenariste de l'album : Léonie Bischoff Dessinateur de l'album : Léonie Bischoff Coloriste : Léonie Bischoff Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : Missouri, été 1860. Après avoir quadruplé son CE1 à 15 ans, Simon diplômé d'office par Miss Rogers se voit refuser l'entrée en CE2 et doit gentiment déployer ses ailes. Aussi, le soir même de cette mauvaise nouvelle, lorsqu'il apprend que les dindes sur pattes valent 20 fois plus à Denver que chez lui, il décide d'acquérir 1000 têtes pour les convoyer sur 1000 kilomètres et prouver ainsi qu'il a le sens des affaires. Il recrute pour l'escorter une équipe improbable avec laquelle il va devoir traverser le désert, affronter les rocheuses et négocier avec les Indiens ! Ces derniers accepteront-ils de laisser passer cette étrange caravane qui doit atteindre Denver pour y faire fortune ? Le magnifique roman de Kathleen Karr adapté par l'autrice du brillant Anaïs Nin : sur la mer des mensonges, Léonie Bischoff, qui signe son premier titre jeunesse Critique : Encore une note à plus de 4 The PoP ? Tu radotes non ? Pas vraiment, c'est juste que nous avons en face de nous une très belle rentrée littéraire en bd. Il faut le reconnaitre, les mois de septembre deviennent de plus en plus difficiles en termes de choix pour les amateurs de bd. Cette adaptation d'un roman jeunesse à succès, par l'auteur du très remarqué Anaïs Nin sorti il y a deux ans, en est un parfait exemple. Pour l'amateur d'histoire que je suis c'est une réussite à tous les niveaux tant ce gentil conte un brin désuet réussi à ne jamais verser dans l'excès d'humanisme ou de naïveté, écueil pourtant parfois fatal à de nombreuses bd jeunesse. C'est juste, touchant, désarmant de facilité sans jamais nous sembler hors de notre réalité, le message véhiculé est simple et beau, et l'aventure palpable. Le dessin, parfois simple, reste beau et inspiré, expressif, et l'on dévore littéralement ce roman graphique de 144 pages pourtant destiné au plus jeunes. Une réussite à tous points de vue. L'une des belles surprises que je n'ai pas vue venir de la rentrée. Autres infos : Adapté du roman éponyme de Kathleen Karr Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-longue-marche-des-dindes?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. The_PoP

    La longue marche des dindes

    Encore une note à plus de 4 The PoP ? Tu radotes non ? Pas vraiment, c'est juste que nous avons en face de nous une très belle rentrée littéraire en bd. Il faut le reconnaitre, les mois de septembre deviennent de plus en plus difficiles en termes de choix pour les amateurs de bd. Cette adaptation d'un roman jeunesse à succès, par l'auteur du très remarqué Anaïs Nin sorti il y a deux ans, en est un parfait exemple. Pour l'amateur d'histoire que je suis c'est une réussite à tous les niveaux tant ce gentil conte un brin désuet réussi à ne jamais verser dans l'excès d'humanisme ou de naïveté, écueil pourtant parfois fatal à de nombreuses bd jeunesse. C'est juste, touchant, désarmant de facilité sans jamais nous sembler hors de notre réalité, le message véhiculé est simple et beau, et l'aventure palpable. Le dessin, parfois simple, reste beau et inspiré, expressif, et l'on dévore littéralement ce roman graphique de 144 pages pourtant destiné au plus jeunes. Une réussite à tous points de vue. L'une des belles surprises que je n'ai pas vue venir de la rentrée.
  11. Second tome de nos deux aventuriers qui enquêtent grâce à l'exploration urbaine (Urbex donc) sur des affaires familiales et paranormales. L'étrange villa est loin de révéler tous ses secrets mais continue de se dévoiler peu à peu. Les indices sont posés, et on comprend bien que certains seront utilisés plus tard. Les relations entre nos deux héros vont grandement évoluer dans ce tome, et dans une direction étonnamment inattendue, c'est chouette. Clarke nous livre une nouvelle fois de belles planches, qui si elles s'inscrivent dans les codes de la bd pour ados réussiront toutefois à faire passer de beaux moments au lecteur adulte. Le thème général d'urbex ne m'a pas parlé plus que cela je vous l'avoue, et comme le paranormal n'est guère une passion pour moi aussi, vous comprendrez plus facilement la note que j'ai mis qui ne reflète pas forcément la qualité globale de cette BD pour ado. Les goûts et les couleurs...
  12. Titre de l'album : Urbex - Tome 2 - Douleurs fantômes Scenariste de l'album : Vincent Dugomier Dessinateur de l'album : Clarke Coloriste : Mikl Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Alex et Julie partagent bien plus que l'Urbex : ils viennent de se découvrir une arrière-grand-mère en commun ! C'est la Villa Pandora, « leur » manoir fantôme, qui le leur a révélé. Et sans doute dissimule-t-elle encore bien des réponses. Mais Pandora est telle une psyché humaine : tortueuse et hantée par son passé. Pour en pousser les portes les plus recluses, ils vont devoir continuer leur oeuvre de « psys de l'urbex ». Peut-être, alors, que cet héritage maudit cessera de venir les tourmenter jusque dans leur quotidien, et dans leur chair... Critique : Second tome de nos deux aventuriers qui enquêtent grâce à l'exploration urbaine (Urbex donc) sur des affaires familiales et paranormales. L'étrange villa est loin de révéler tous ses secrets mais continue de se dévoiler peu à peu. Les indices sont posés, et on comprend bien que certains seront utilisés plus tard. Les relations entre nos deux héros vont grandement évoluer dans ce tome, et dans une direction étonnamment inattendue, c'est chouette. Clarke nous livre une nouvelle fois de belles planches, qui si elles s'inscrivent dans les codes de la bd pour ados réussiront toutefois à faire passer de beaux moments au lecteur adulte. Le thème général d'urbex ne m'a pas parlé plus que cela je vous l'avoue, et comme le paranormal n'est guère une passion pour moi aussi, vous comprendrez plus facilement la note que j'ai mis qui ne reflète pas forcément la qualité globale de cette BD pour ado. Les goûts et les couleurs... Autres infos : Exploration urbaine pour ados doublée d'enquête fantastique Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/urbex-tome-2-douleurs-fantomes?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Pfiou, que j'aime ce genre de lectures ! La finesse de la couverture et des choix graphiques m'avaient fait envie, et puis ne nous voilons pas la face, je suis un très bon client pour les romans graphiques façon tranche de vie. Celui-ci est toutefois particulièrement réussi, et je serai bien en peine de lui trouver des défauts. C'est tendre et touchant, sans jamais devenir niais, ça parle de tous, des adultes au enfants, de nos lâchetés, de nos courages, de la vie qui est parfois bien rude, et de ces moments hors du temps qui façonnent parfois grandement ce que nous deviendront. A travers la photographie et le récit d'une journée d'été, l'auteur réussit avec beaucoup de tendresse à nous dépeindre la vie, la vraie. Je vais en profiter pour mettre les pieds dans le plat, car parfois cela dissuade des lecteurs qui passeraient à côté d'une bien belle lecture. Non cette bd ne traite pas de l'homosexualité. Ce n'est finalement même pas le sujet, il s'agit avant tout de tranches de vies et de problématiques amoureuses vécues par plusieurs personnages à divers moment de leurs vies. Un beau et grand moment, d'une rare pudeur, et pourtant, tout y est dit ou presque. Les personnages ne sont ni excessifs, ni quelconques, ils sont un peu de nous quelque part, et ça fait du bien. Il faut bien reconnaitre sur l'ecueil parfois de ces romans graphiques intimistes et vie quotidienne sont que finalement, les enjeux, les non dits ne sont pas toujours clairs pour le lecteur, et parfois en voulant être trop minimaliste, on finit par avoir une impression de banalité, et un manque d'intérêt. Rassurez-vous, ici vous lirez jusqu'au bout une fois ce roman graphique ouvert. Je tiens également à dire que souvent l'appréciation de ce genre de roman graphique tient beaucoup à notre vécu personnel et à ce que cela peut nous renvoyer. Ici ce n'est pas le cas, cette histoire m'a intéressée pour ce qu'elle est puisqu'elle ne se rapprochait pas vraiment de mes vécus. Une petite merveille donc, à découvrir et que je ne manquerais pas de prêter autour de moi. A noter que si je n'en ai que peu parlé, le dessin est au diapason de la couverture et du propos. Une franche réussite, une histoire d'une rare justesse, de celles que je n'attendais pas à ce niveau. Cerise sur le gâteau, vous pourrez le faire lire à vos ados sans soucis.
  14. Titre de l'album : Toutes les princesses meurent après minuit Scenariste de l'album : Quentin Zuttion Dessinateur de l'album : Quentin Zuttion Coloriste : Quentin Zuttion Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : 31 août 1997 au matin, dans un pavillon de banlieue, une mère de famille repasse le linge quand la télévision lui apprend la nouvelle : Lady Di est morte cette nuit. Au même moment dans la salle de bain, Lulu, son fils de 8 ans, se tartine la bouche de rouge à lèvre et s'imagine embrasser son petit voisin. De son côté, Cam, en pleine adolescence, cache son petit copain dans sa chambre sous le refrain de la musique du moment. Quant au père, il rentre seulement à la maison, lui n'a pas dormi ici. De l'éveil du désir aux passions fanées, le portrait amoureux de cette famille s'esquisse à travers cette journée ensoleillée qui va changer leur vie... Critique : Pfiou, que j'aime ce genre de lectures ! La finesse de la couverture et des choix graphiques m'avaient fait envie, et puis ne nous voilons pas la face, je suis un très bon client pour les romans graphiques façon tranche de vie. Celui-ci est toutefois particulièrement réussi, et je serai bien en peine de lui trouver des défauts. C'est tendre et touchant, sans jamais devenir niais, ça parle de tous, des adultes au enfants, de nos lâchetés, de nos courages, de la vie qui est parfois bien rude, et de ces moments hors du temps qui façonnent parfois grandement ce que nous deviendront. A travers la photographie et le récit d'une journée d'été, l'auteur réussit avec beaucoup de tendresse à nous dépeindre la vie, la vraie. Je vais en profiter pour mettre les pieds dans le plat, car parfois cela dissuade des lecteurs qui passeraient à côté d'une bien belle lecture. Non cette bd ne traite pas de l'homosexualité. Ce n'est finalement même pas le sujet, il s'agit avant tout de tranches de vies et de problématiques amoureuses vécues par plusieurs personnages à divers moment de leurs vies. Un beau et grand moment, d'une rare pudeur, et pourtant, tout y est dit ou presque. Les personnages ne sont ni excessifs, ni quelconques, ils sont un peu de nous quelque part, et ça fait du bien. Il faut bien reconnaitre sur l'ecueil parfois de ces romans graphiques intimistes et vie quotidienne sont que finalement, les enjeux, les non dits ne sont pas toujours clairs pour le lecteur, et parfois en voulant être trop minimaliste, on finit par avoir une impression de banalité, et un manque d'intérêt. Rassurez-vous, ici vous lirez jusqu'au bout une fois ce roman graphique ouvert. Je tiens également à dire que souvent l'appréciation de ce genre de roman graphique tient beaucoup à notre vécu personnel et à ce que cela peut nous renvoyer. Ici ce n'est pas le cas, cette histoire m'a intéressée pour ce qu'elle est puisqu'elle ne se rapprochait pas vraiment de mes vécus. Une petite merveille donc, à découvrir et que je ne manquerais pas de prêter autour de moi. A noter que si je n'en ai que peu parlé, le dessin est au diapason de la couverture et du propos. Une franche réussite, une histoire d'une rare justesse, de celles que je n'attendais pas à ce niveau. Cerise sur le gâteau, vous pourrez le faire lire à vos ados sans soucis. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/toutes-les-princesses-meurent-apres-minuit?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. The_PoP

    Green Class - Tome 4 - L'éveil

    Ah que j'en veux toujours aux auteurs pour cette transition entre le tome 1 et le tome 2 qui m'a semblée tellement hardue pour le lecteur... Quand on voit la maitrise qu'il y a eu ensuite dans la narration sur les 2 tomes suivants c'est dommage car je pense que Green class aurait gagné des lecteurs. Cette série a tout pour plaire à un public large : un thème classique bien travaillé qui se révèle finalement surprenant, des héros ados mais qui "vieillissent" vite dans les épreuves, permettant à adultes comme aux ados de s'y retrouver, de l'action et des enjeux clairs finalement au bout de deux tomes, une édition très qualitative avec une couverture vraiment plaisante, et pour finir, cerise sur le gâteau, un dessin de David Tako toujours vif, dynamique et personnalisant à merveille ses héros. Bref, j'aime Green Class et je regrette que le tome 2 nous ai fait un peu décrocher du fil conducteur de la série à l'époque, car nul doute que sans cela ce serait l'une des sorties marquantes de la rentrée. La première comparaison qui me vient c'est Gung Ho, et si Green Class ne boxe peut être pas tout à fait dans la même catégorie, il n'y pas trois classes d'écart entre les deux séries. C'est vous dire si l'ensemble est réussi.
  16. Titre de l'album : Green Class - Tome 4 - L'éveil Scenariste de l'album : Jérôme Hamon Dessinateur de l'album : David Tako Coloriste : David Tako Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Le plan de Naïa ayant foiré en beauté, nos cinq amis sont à présent séparés. Pire, ils sont traqués par des militaires bien décidés à ne laisser personne les empêcher d'ouvrir le portail entre la Terre et le monde des grands anciens. Le général espère que ces derniers feront table rase de l'humanité et de tous ses excès. Mais, dans leur fuite, Lucas et Sato découvrent une fresque qui pose une question des plus dérangeantes : si les « infectés » - les Shoggoths ? sont les serviteurs des Grands Anciens et qu'ils sont déjà venus sur Terre, alors pourquoi n'ont-ils pas ouvert le portail à l'époque ? Critique : Ah que j'en veux toujours aux auteurs pour cette transition entre le tome 1 et le tome 2 qui m'a semblée tellement hardue pour le lecteur... Quand on voit la maitrise qu'il y a eu ensuite dans la narration sur les 2 tomes suivants c'est dommage car je pense que Green class aurait gagné des lecteurs. Cette série a tout pour plaire à un public large : un thème classique bien travaillé qui se révèle finalement surprenant, des héros ados mais qui "vieillissent" vite dans les épreuves, permettant à adultes comme aux ados de s'y retrouver, de l'action et des enjeux clairs finalement au bout de deux tomes, une édition très qualitative avec une couverture vraiment plaisante, et pour finir, cerise sur le gâteau, un dessin de David Tako toujours vif, dynamique et personnalisant à merveille ses héros. Bref, j'aime Green Class et je regrette que le tome 2 nous ai fait un peu décrocher du fil conducteur de la série à l'époque, car nul doute que sans cela ce serait l'une des sorties marquantes de la rentrée. La première comparaison qui me vient c'est Gung Ho, et si Green Class ne boxe peut être pas tout à fait dans la même catégorie, il n'y pas trois classes d'écart entre les deux séries. C'est vous dire si l'ensemble est réussi. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/green-class-tome-4-l-eveil/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. The_PoP

    Les vous

    Titre de l'album : Les vous Scenariste de l'album : Nicolas Pitz Dessinateur de l'album : Nicolas Pitz Coloriste : Nicolas Pitz Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : Dans un village tranquille des Alpes italiennes, un énorme rocher se décroche de la montagne et cause la mort d'un pêcheur. Les anciens disent que c'est la Main de Pierre, qui protégeait la région des esprits. Simple légende ? Pourtant, des vagues agitent la surface du lac. Un champion de kayak chavire sans raison. Une femme entend soudain son mari mort il y a plus de vingt ans. Et un gardien trouve des empreintes... mais de quoi ? Blu, une jeune fille aux yeux couleur d'eau, a l'impression que des voix essaient de lui parler. Qui êtes-vous, les Vous ? Critique : Les vous est un récit fantastique destiné aux jeunes ados sous format de roman graphique avec une couverture souple et 130 pages de lecture. L'histoire est adaptée du roman de Davide Morosinotto et si vous me connaissez vous savez que je suis plutôt friand des adaptations de bons romans en romans graphiques ou bd. Ici j'ai été un peu déçu car, soyons sincère, j'ai trouvé le trait de Nicolas Pitz un peu léger. Je n'ai pas vraiment été happé par ces représentations là où sur Sombres Citrouilles, sont trait m'avait plutôt plu. Ici j'ai eu du mal, et si l'histoire m'a globalement bien plu, l'ensemble a manqué un peu de piquant pour moi pour se distinguer des autres productions du genre. Autres infos : adapté du roman de Davide Morosinotto Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-vous?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. The_PoP

    Les vous

    Les vous est un récit fantastique destiné aux jeunes ados sous format de roman graphique avec une couverture souple et 130 pages de lecture. L'histoire est adaptée du roman de Davide Morosinotto et si vous me connaissez vous savez que je suis plutôt friand des adaptations de bons romans en romans graphiques ou bd. Ici j'ai été un peu déçu car, soyons sincère, j'ai trouvé le trait de Nicolas Pitz un peu léger. Je n'ai pas vraiment été happé par ces représentations là où sur Sombres Citrouilles, sont trait m'avait plutôt plu. Ici j'ai eu du mal, et si l'histoire m'a globalement bien plu, l'ensemble a manqué un peu de piquant pour moi pour se distinguer des autres productions du genre.
  19. Titre de l'album : La forêt du temps - Tome 1 - Les enfants de la pierre Scenariste de l'album : Tristan Roulot Dessinateur de l'album : Mateo Guerrero Coloriste : Amparo Crespo Cardenete Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Au coeur d'un village hors du temps, Max, Miléva et les autres jeunes élèves du Vénérable ont mis l'éternité à profit pour développer leur intellect, sans limites. Mais cette stase érudite prend fin le jour où une mystérieuse adulte dérobe une partie du cristal qui les protégeait de l'écoulement du temps. Si rien n'est fait, ce dernier reprendra ses droits, et se fera payer les intérêts. Pour empêcher cela, une petite équipe s'aventure hors du village, à la recherche de la voleuse. Leur érudition suffira-t-elle à les protéger de cette fuite du temps qu'on appelle la Vie ? Critique : Eh eh eh, qu'est-ce que ça fait plaisir d'être surpris par une BD. Parce qu'en dehors de la jolie couverture, il faut reconnaitre que je n'attendais comme d'habitude rien d'une bd orientée "enfants". Oui je suis parfois un vieux con. Et là, et bien, pages après pages, je me fais happer, j'essaye de comprendre, je m'attache, bref, je suis immergé dans cette aventure. Je referme la bd. Et je reregarde plus attentivement le nom des auteurs. On a donc Tristan Roulot, scénariste de beaucoup de belles découvertes bd récentes à commencer par Le Convoyeur mais aussi, Psykoparis, ou les Chroniques Diplomatiques. Et à ses côtés on retrouve Mateo Guerrero, dessinateur récent entre autre de la série Jacob Kayne que j'ai tant apprécié. Bon effectivement quand des auteurs confirmés en bande dessinée adultes se lancent dans la bd jeunesse, à priori c'est pas pour nous sortir Un petit Spirou. Paris réussi donc avec cette forêt du temps qui mêle habilement enfants, adolescents, magie, adultes, mystères et aventure pour nous offrir un tome des plus réjouissant, que les parents liront aussi avidement que leurs enfants à chaque nouveau tome, j'en fais le paris. Ce n'est peut être pas le nouvel Harry Potter, mais c'est fichtrement bien foutu quand même. Autres infos : A ne pas manquer de 7 à 77 ans. Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-foret-du-temps-tome-1-les-enfants-de-la-pierre?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Eh eh eh, qu'est-ce que ça fait plaisir d'être surpris par une BD. Parce qu'en dehors de la jolie couverture, il faut reconnaitre que je n'attendais comme d'habitude rien d'une bd orientée "enfants". Oui je suis parfois un vieux con. Et là, et bien, pages après pages, je me fais happer, j'essaye de comprendre, je m'attache, bref, je suis immergé dans cette aventure. Je referme la bd. Et je reregarde plus attentivement le nom des auteurs. On a donc Tristan Roulot, scénariste de beaucoup de belles découvertes bd récentes à commencer par Le Convoyeur mais aussi, Psykoparis, ou les Chroniques Diplomatiques. Et à ses côtés on retrouve Mateo Guerrero, dessinateur récent entre autre de la série Jacob Kayne que j'ai tant apprécié. Bon effectivement quand des auteurs confirmés en bande dessinée adultes se lancent dans la bd jeunesse, à priori c'est pas pour nous sortir Un petit Spirou. Paris réussi donc avec cette forêt du temps qui mêle habilement enfants, adolescents, magie, adultes, mystères et aventure pour nous offrir un tome des plus réjouissant, que les parents liront aussi avidement que leurs enfants à chaque nouveau tome, j'en fais le paris. Ce n'est peut être pas le nouvel Harry Potter, mais c'est fichtrement bien foutu quand même.
  21. The_PoP

    Cosplay

    Belle et agréable surprise que ce Cosplay dont je n'attendais pas grand chose, étant assez loin de cet univers de fan. Le thème du Cosplay est ici bien exploité, au service d'une histoire efficace qui ne tient pas sur deux lignes. La mise en scène hyper dynamique de Maribel Conejero et son trait tout en mouvement et en expressivité me fait dire qu'on la reverra très bientôt publiée en français. C'est presque trop propre pour une bd d'action humour à destination d'un public ado/fans... Ce qui est plutôt bienvenu donc 🙂 Le scénario de Matias Istolainen est relativement simple, mais efficace et il se permet même le luxe de proposer quelques rebondissements bienvenus, le tout sans extravagance invraisemblable. Bref, c'est bon et bien. Les vannes et les gags sont bien calibrés et vous vous surprendrez à sourire une paire de fois. Pour les puristes il est à noter que l'album se termine par un "cherche et trouve" en double page blindé de références à la pop culture. Dès lors si vous aimez l'univers Cosplay, la pop culture, ou que vous cherchez une bonne bd pour ados, pourquoi se priver ?
  22. The_PoP

    Cosplay

    Titre de l'album : Cosplay Scenariste de l'album : Matias Istolainen Dessinateur de l'album : Maribel Conejero Coloriste : Maribel Conejero Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : La vie d'un ado ordinaire de grande banlieue parisienne n'est pas toujours riante. Heureusement pour Abel, c'est bientôt le Comic-Kon et son concours de cosplay ! Il a fignolé chaque détail de son costume de Batman et compte bien s'évader de sa vie trop ordinaire, le temps d'une journée sous le masque. Mais les terroristes qui investissent la convention armes à la main ne jouent pas, eux. Entraînés dans un véritable scénario de comics, Abel et ses amis apprendront que, cosplay ou pas, ce n'est pas le costume qui fait le héros. Critique : Belle et agréable surprise que ce Cosplay dont je n'attendais pas grand chose, étant assez loin de cet univers de fan. Le thème du Cosplay est ici bien exploité, au service d'une histoire efficace qui ne tient pas sur deux lignes. La mise en scène hyper dynamique de Maribel Conejero et son trait tout en mouvement et en expressivité me fait dire qu'on la reverra très bientôt publiée en français. C'est presque trop propre pour une bd d'action humour à destination d'un public ado/fans... Ce qui est plutôt bienvenu donc 🙂 Le scénario de Matias Istolainen est relativement simple, mais efficace et il se permet même le luxe de proposer quelques rebondissements bienvenus, le tout sans extravagance invraisemblable. Bref, c'est bon et bien. Les vannes et les gags sont bien calibrés et vous vous surprendrez à sourire une paire de fois. Pour les puristes il est à noter que l'album se termine par un "cherche et trouve" en double page blindé de références à la pop culture. Dès lors si vous aimez l'univers Cosplay, la pop culture, ou que vous cherchez une bonne bd pour ados, pourquoi se priver ? Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/cosplay?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Ce 15ème opus de TMNT est une grosse déception pour moi et marque mon décrochage sur la série dont les débuts m'avaient pourtant bien plut. Graphiquement tout d'abord, je trouve que le boulot réalisé par les deux dessinateurs (Damien Couceiro sur les chapitres 1 et 3 & Bram Revel sur les chapitres 4 et 5) est très largement un cran en dessous des productions actuelles en comics et même des dessins du début de la série. Mais finalement ce qu'il s'est passé sur l'évolution graphique de la série est sensiblement identique du côté du scénario d'ailleurs puisque, là aussi, on a basculé définitivement sur une cible jeunesse au niveau du contenu, de la complexité ou des enjeux. Ce Teenage Mutant Ninja Turtles est désormais à réserver aux fans des tortues, aux nostalgiques ou aux plus jeunes.
  24. Titre de l'album : Les tortues ninja - TMNT tome 15 - L'invasion des tricératons Scenariste de l'album : Kevin Eastman & Tom Waltz & Bobby Curnow Dessinateur de l'album : Damien Couceiro & Bram Revel Coloriste : Ronda Pattison Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : La dimension X s'invite sur Terre et le chaos est imminent ! Les Tortues sont de retour chez elles... mais elles ne sont pas seules.Arrachés à la Terre il y a des milliers d'années, les Tricératons sont enfin libres de regagner leur planète-mère. Et s'ils viennent en paix, la Force de Protection de la Terre leur réserve un accueil des plus hostiles. Le conflit gronde et menace de tout dévaster sur son passage... Face à cette invasion intergalactique en plein coeur de New York, les fils de Splinter parviendront-ils à apaiser les tensions avant que le monde ne soit plongé dans le chaos d'une guerre totale ? Critique : Ce 15ème opus de TMNT est une grosse déception pour moi et marque mon décrochage sur la série dont les débuts m'avaient pourtant bien plut. Graphiquement tout d'abord, je trouve que le boulot réalisé par les deux dessinateurs (Damien Couceiro sur les chapitres 1 et 3 & Bram Revel sur les chapitres 4 et 5) est très largement un cran en dessous des productions actuelles en comics et même des dessins du début de la série. Mais finalement ce qu'il s'est passé sur l'évolution graphique de la série est sensiblement identique du côté du scénario d'ailleurs puisque, là aussi, on a basculé définitivement sur une cible jeunesse au niveau du contenu, de la complexité ou des enjeux. Ce Teenage Mutant Ninja Turtles est désormais à réserver aux fans des tortues, aux nostalgiques ou aux plus jeunes. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-tortues-ninja-tmnt-tome-15-l-invasion-des-triceratons?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. The_PoP

    Enemy - Tome 2 - Les autres

    Pour tout vous dire, j'avais complètement zappé la sortie du tome 1 de Enemy. Cela ne m'a pas empêché d'apprécier ce tome 2 même si forcément il me manquait une bonne part de l'intrigue. Suffisamment intéressé par ce second tome, je suis allé voir les avis sur le premier tome et il faut bien reconnaitre que c'était globalement mitigé, avec de grosses interrogations pesant sur le scénario. Et bien je pense que ce tome 2 a su répondre de belle manière à ces interrogations. Les révélations avancent vite, les relations entre les personnages évoluent bien, et l'action reste très présente. Graphiquement pour de la bd à destination des ados c'est très très joli. J'ai été vraiment bluffé par la profondeur du dessin derrière une apparente "facilité". C'est très lisible, beau et pourtant suffisamment détaillé là où le genre nous habitue souvent à une forme de facilité. Je suis parfois dubitatif sur la facilité de certains scénarios du duo Ange, mais là c'est un grand oui pour moi. Bref si vous avez des ados, que vous ou eux aimez la science fiction, je ne peux que vous conseiller cette série.
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