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Titre de l'album : Joker, l'homme qui cessa de rire Scenariste de l'album : Matthew Rosenberg Dessinateur de l'album : Carmine Di Giandomenico Coloriste : Carmine Di Giandomenico Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Quand le chat n'est pas là, les souris dansent... L'absence du Joker à Gotham a laissé le terrain libre à ses plus fidèles rivaux, qui n'ont pas tardé à se partager le pouvoir sur les bas-fonds de la ville. Double-face, le Pingouin, le Sphinx ou encore Black Mask, aucun n'était préparé au retour du Prince Clown du Crime, et encore moins à sa vendetta. S'il ne peut pas reprendre Gotham, il prendra le contrôle des États-Unis ! Critique : La première impression en regardant ce one shot, c'est Ouahhhhh il y a de la lecture ! 488 pages d'un run complet axé sur le Joker.... en fin LE Joker, vous avez dit ? On parle plutôt ici DES Jokers ! Car c'est bien la le grand intérêt de cet album : c'est une ode au personnage du Joker et aux multiples facettes qu'il a pu avoir. Une ode, mais aussi un rappel. Le rappel que le personnage du Joker, "normalisé" par le run Joker Infinite et rendu drôle, est en fait surement le plus sadique et le plus terrible de tous les monstres de Gotham. Ce tome est dense et il est violent. Suffisamment pour que nos auteurs entrecoupent les chapitres par des chapitres "humoristiques" sur la recherche de l'amour par le Joker lui même.... Et malgré cela, on est pris à la gorge par la trame principale de cette histoire qui n'a même pas besoin de l'apparition de Batman pour être passionnante. On regrettera juste une fin un peu trop étrange... mais encore cet est pallié par un épisode de la série Knight Terrors qui est surement le meilleur de cet épisode oubliable. Bref un bien beau one shot pour tous les amateurs d'un Joker Violent et sans scrupules. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/joker-l-homme-qui-cessa-de-rire?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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La première impression en regardant ce one shot, c'est Ouahhhhh il y a de la lecture ! 488 pages d'un run complet axé sur le Joker.... en fin LE Joker, vous avez dit ? On parle plutôt ici DES Jokers ! Car c'est bien la le grand intérêt de cet album : c'est une ode au personnage du Joker et aux multiples facettes qu'il a pu avoir. Une ode, mais aussi un rappel. Le rappel que le personnage du Joker, "normalisé" par le run Joker Infinite et rendu drôle, est en fait surement le plus sadique et le plus terrible de tous les monstres de Gotham. Ce tome est dense et il est violent. Suffisamment pour que nos auteurs entrecoupent les chapitres par des chapitres "humoristiques" sur la recherche de l'amour par le Joker lui même.... Et malgré cela, on est pris à la gorge par la trame principale de cette histoire qui n'a même pas besoin de l'apparition de Batman pour être passionnante. On regrettera juste une fin un peu trop étrange... mais encore cet est pallié par un épisode de la série Knight Terrors qui est surement le meilleur de cet épisode oubliable. Bref un bien beau one shot pour tous les amateurs d'un Joker Violent et sans scrupules.
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Titre de l'album : Le pingouin tome 1 Scenariste de l'album : Chip Zdarsky | Tom King Dessinateur de l'album : Rafael De Latorre | Belén Ortega Coloriste : Rafael De Latorre | Belén Ortega Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Le Pingouin est mort. Finie la lutte pour le contrôle des activités criminelles qui rythment les nuits de Gotham. Enfin, c'est ce que tout le monde croit. Chargée de retrouver ses enfants, Catwoman découvre qu'Oswald Cobblepot est en vie, caché sous une fausse identité à Metropolis. Mais lorsqu'elle lui apprend que ses enfants sont en danger, restera-t-il caché comme il se l'était promis ? Ou se laissera-t-il regagner par cette addiction plus forte que toutes les autres : affronter Batman ? Critique : Qui de mieux pour réhabiliter "Le Pingouin" que Le scénariste chouchou de DC, j'ai nommé Tom King. Un scénariste qui s'est spécialisé dans la refonte des bases des personnages iconiques de l'univers de DC et qui fait de même ici en prenant un pingouin "mort" pour en faire un vrai méchant. Mais pas un méchant en mode super vilain. Tom King en fait un méchant humain. Sans superpouvoir autre que sa cruauté et la peur qu'il distille. Si ce premier tome n'est que l'introduction de cette ré-introduction du pingouin dans l'univers de Gotham, il met en place un nombre important de changements dans l'univers des mafieux de Gotham. Des changements qui auront des conséquences plus larges que la simple domination de la pègre. Tom King nous livre une aventure de Batman (sans Batman d'ailleurs) très sombre avec un pingouin violent et très loin de la rédemption, mais surtout un univers de l'ombre (coucou Amanda) qui entend se faire une place de choix dans un univers en plein mouvement. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-pingouin-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Qui de mieux pour réhabiliter "Le Pingouin" que Le scénariste chouchou de DC, j'ai nommé Tom King. Un scénariste qui s'est spécialisé dans la refonte des bases des personnages iconiques de l'univers de DC et qui fait de même ici en prenant un pingouin "mort" pour en faire un vrai méchant. Mais pas un méchant en mode super vilain. Tom King en fait un méchant humain. Sans superpouvoir autre que sa cruauté et la peur qu'il distille. Si ce premier tome n'est que l'introduction de cette ré-introduction du pingouin dans l'univers de Gotham, il met en place un nombre important de changements dans l'univers des mafieux de Gotham. Des changements qui auront des conséquences plus larges que la simple domination de la pègre. Tom King nous livre une aventure de Batman (sans Batman d'ailleurs) très sombre avec un pingouin violent et très loin de la rédemption, mais surtout un univers de l'ombre (coucou Amanda) qui entend se faire une place de choix dans un univers en plein mouvement.
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Titre de l'album : Joker the winning card Scenariste de l'album : Tom King Dessinateur de l'album : Mitch Gerads Coloriste : Mitch Gerads Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Batman, Année Un. Alors que Bruce Wayne est encore en phase d'apprentissage pour incarner pleinement le Chevalier Noir, Gordon se lance sur la trace d'un mystérieux clown psychotique en pleine folie meurtrière. Ses intentions sont floues, ses mobiles inexistants, et alors que Gotham est plongée dans la peur, Gordon et Batman vont apprendre ce qu'il en coûte de sous-estimer le Joker. Critique : Tom King continue l'exploration des méchants iconiques de Batman avec le plus iconique de tous : le Joker. Comme à chaque fois il reprend le mythe à la base et le reconstruit avec cette fois une construction d'un joker des pus sournois et vicieux. Ce Joker ci est à ranger dans la case de ceux qui font peur, très peur. Ce joker est un cauchemar. De l'ordre de ceux que l'on raconte aux enfants pour leur faire peur. D'ailleurs Tom King reprend bien cet aspect dans sa mise en scène toujours autant cinématographique, ou l'on retrouve le Joker sous un lit, dernière une porte, apparaissant dans une voiture. C'est donc une minihistoire très dure mais pas uniquement à cause du Joker. Très dure aussi car Batman suis le chemin du joker, chemin qui mène à la folie. C'est sombre, dure, bien écrit et bien pensé (les cases ou le joker "parle" sont magiques) par contre c'est quand même un peu court. 112 pages pour u comics ce n'est pas beaucoup. Alors certes, au vu de la transformation en "serial killer de sang froid" du Joker, il aurait fallu ajouter autre chose au scénario pour durer plus longtemps mais tout de même. Pour 17 euros, ça ne fait pas beaucoup de pages. Ah ! j'ai oublié de dire que graphiquement, c'était superbe, mais entre les illustrations ci-dessous et la couverture vous deviez vous en douter ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/joker-the-winning-card?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Tom King continue l'exploration des méchants iconiques de Batman avec le plus iconique de tous : le Joker. Comme à chaque fois il reprend le mythe à la base et le reconstruit avec cette fois une construction d'un joker des pus sournois et vicieux. Ce Joker ci est à ranger dans la case de ceux qui font peur, très peur. Ce joker est un cauchemar. De l'ordre de ceux que l'on raconte aux enfants pour leur faire peur. D'ailleurs Tom King reprend bien cet aspect dans sa mise en scène toujours autant cinématographique, ou l'on retrouve le Joker sous un lit, dernière une porte, apparaissant dans une voiture. C'est donc une minihistoire très dure mais pas uniquement à cause du Joker. Très dure aussi car Batman suis le chemin du joker, chemin qui mène à la folie. C'est sombre, dure, bien écrit et bien pensé (les cases ou le joker "parle" sont magiques) par contre c'est quand même un peu court. 112 pages pour u comics ce n'est pas beaucoup. Alors certes, au vu de la transformation en "serial killer de sang froid" du Joker, il aurait fallu ajouter autre chose au scénario pour durer plus longtemps mais tout de même. Pour 17 euros, ça ne fait pas beaucoup de pages. Ah ! j'ai oublié de dire que graphiquement, c'était superbe, mais entre les illustrations ci-dessous et la couverture vous deviez vous en douter !
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Titre de l'album : Joker - Les derniers jours d'un clown Scenariste de l'album : J.H. Williams III | Chuck Dixon | Jerry Ordway Dessinateur de l'album : Walter McDaniel | Scott Beatty | Ron Randall Coloriste : Walter McDaniel | Scott Beatty | Ron Randall Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Dans le Slab, la prison de sécurité maximale pour les criminels surpuissants, le Joker apprend qu'il est mourant. Il concocte alors un plan pour perpétuer son héritage, en partageant le venin qui l'a transformé en un sociopathe au visage pâle avec d'innombrables autres super-vilains. Pendant ce temps, Oracle, la première ligne de défense, est indisponible. Seule Black Canary répond présente pour essayer d'arrêter une émeute de malfaiteurs sanguinaires. Critique : En voici un album super surprenant. En effet au vu de la couverture, du dessin et de la période chronologique, j'étais sur que cet album était une réédition. Et bien après des recherches sur le net, il ne semblerait pas ! Et pourtant le dessin fait très années 80-90 et l'histoire se passe avec Tim Drake en tant que Robin. On est donc loin de la continuité actuelle. Cela mis à part l'histoire n'est pas trop mal. Le principe de voir ce que le Joker ferait si on lui déclarait qu'il allait mourir est plutôt sympa et le dessin old shool se marie plutôt bien avec les délires loufoques du Joker. Après l'histoire est un peu trop "consensuelle" et la fin cherche trop rapidement à retomber sur ses pattes pour que ce récit soit vraiment marquant. Un récit de vacances pour nostalgique. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/joker-les-derniers-jours-d-un-clown?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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En voici un album super surprenant. En effet au vu de la couverture, du dessin et de la période chronologique, j'étais sur que cet album était une réédition. Et bien après des recherches sur le net, il ne semblerait pas ! Et pourtant le dessin fait très années 80-90 et l'histoire se passe avec Tim Drake en tant que Robin. On est donc loin de la continuité actuelle. Cela mis à part l'histoire n'est pas trop mal. Le principe de voir ce que le Joker ferait si on lui déclarait qu'il allait mourir est plutôt sympa et le dessin old shool se marie plutôt bien avec les délires loufoques du Joker. Après l'histoire est un peu trop "consensuelle" et la fin cherche trop rapidement à retomber sur ses pattes pour que ce récit soit vraiment marquant. Un récit de vacances pour nostalgique.
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Titre de l'album : Batman & Robin dynamic duo tome 1 Scenariste de l'album : Joshua Williamson Dessinateur de l'album : Simone Di Meo Coloriste : Simone Di Meo Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Les plus monstrueux voyous de Gotham s'associent et transforment la ville en une véritable jungle urbaine ! Le duo d'aventuriers formé par Batman et Robin doit anéantir le cerveau de l'opération criminelle. Mais un vilain, jusqu'alors inconnu, ourdit une vengeance contre le Chevalier Noir lui-même. Le jeune Damian, face à ses propres obligations scolaires, peut-il aider son père à éteindre cette menace avant qu'il ne soit Critique : Hop la c'est finit les aventures solo. Avec pour cible un public plus jeune, DC nous ressort un titre avec nos deux héros phares que sont Batman et Robin. Et avec le lien de filiation entre les deux et aussi la nouvelle vie de Bruce Wayne, loin des fast du manoir, c'est d'autant plus facile de relancer le duo. En se basant sur une relation d'un père qui cherche à vraiment l'être et un ado qui est trop précoce, Joshua Williamson nous livre un mélange intéressant entre vie de famille et histoire super héroïque. Assez intelligemment, il choisit une histoire héroïque très standard, ce qui laisse de la place aux discussions père / fils, mais aussi à l'introduction de la "vraie vie" de Damian au lycée. Porté par des dessins modernes et particulièrement jolis de Simone Di Meo, ce tome plaira particulièrement aux ados et leur permettra de se lancer sur les traces du dynamic duo de DC Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-robin-dynamic-duo-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Hop la c'est finit les aventures solo. Avec pour cible un public plus jeune, DC nous ressort un titre avec nos deux héros phares que sont Batman et Robin. Et avec le lien de filiation entre les deux et aussi la nouvelle vie de Bruce Wayne, loin des fast du manoir, c'est d'autant plus facile de relancer le duo. En se basant sur une relation d'un père qui cherche à vraiment l'être et un ado qui est trop précoce, Joshua Williamson nous livre un mélange intéressant entre vie de famille et histoire super héroïque. Assez intelligemment, il choisit une histoire héroïque très standard, ce qui laisse de la place aux discussions père / fils, mais aussi à l'introduction de la "vraie vie" de Damian au lycée. Porté par des dessins modernes et particulièrement jolis de Simone Di Meo, ce tome plaira particulièrement aux ados et leur permettra de se lancer sur les traces du dynamic duo de DC
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Titre de l'album : Justice League - Knight terrors Scenariste de l'album : Joshua Williamson Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Lorsque Batman, Superman et Wonder Woman découvrent le corps de l'un de leurs plus anciens ennemis dans le Hall de Justice, leur enquête les mène au-delà de la réalité vers un nouveau méchant appelé Insomnia... qui utilise ses pouvoirs pour engloutir chaque héros et méchant dans leurs propres cauchemars sombres et tordus. Le seul moyen de sauver le monde du sommeil éternel est d'appeler à l'aide un héros improbable : Deadman ! Critique : Mmmmhh ..... Bon autant vous le dire avant de commencer : ce tome n'a pas grand-chose de Justice League. C'est plutôt une aventure de "Deadman". Au mieux un crossover Deadman/Batman. Je vous dis cela, car c'est un personnage peu connu de l'univers DC. Non pas qu'il ne faille pas le connaitre. Juste pour que vous ne soyez pas déçu. Cela mis à part, cette histoire est plutôt sympa… si on ne connait pas Sandman de Gaiman. Car si on connait, comme moi, on ne peut s'empêcher de se dire que cette histoire est globalement… irréelle. En effet la plupart des personnages vu ici, tels que John Dee ou The Sandman sont des personnages qui sont partis prenants ou au moins dans la préfère du roi des rêves. Alors voir une planète entière plongée dans le cauchemar sans le voir intervenir... c'est pour moi n'importe quoi. C'est une partie du scenario des premiers Gaiman, mais c'est surtout super bizarre avec la renaissance du nouveau roi des rêves et le succès de la série éponyme. Si Williamson ne voulait pas faire intervenir Dream, il aurait au moins plus en parler en mode "Le roi des rêves doit être occupé ailleurs".... Et cette phrase que j'ai attendu tout du long n'est jamais venue. J'avoue que ca m'a gâche la lecture d'une histoire qui sera surement une lecture sympathique pour les non-connaisseur du tisseur. Vous êtes donc prévenu. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/justice-league-knight-terrors/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Mmmmhh ..... Bon autant vous le dire avant de commencer : ce tome n'a pas grand-chose de Justice League. C'est plutôt une aventure de "Deadman". Au mieux un crossover Deadman/Batman. Je vous dis cela, car c'est un personnage peu connu de l'univers DC. Non pas qu'il ne faille pas le connaitre. Juste pour que vous ne soyez pas déçu. Cela mis à part, cette histoire est plutôt sympa… si on ne connait pas Sandman de Gaiman. Car si on connait, comme moi, on ne peut s'empêcher de se dire que cette histoire est globalement… irréelle. En effet la plupart des personnages vu ici, tels que John Dee ou The Sandman sont des personnages qui sont partis prenants ou au moins dans la préfère du roi des rêves. Alors voir une planète entière plongée dans le cauchemar sans le voir intervenir... c'est pour moi n'importe quoi. C'est une partie du scenario des premiers Gaiman, mais c'est surtout super bizarre avec la renaissance du nouveau roi des rêves et le succès de la série éponyme. Si Williamson ne voulait pas faire intervenir Dream, il aurait au moins plus en parler en mode "Le roi des rêves doit être occupé ailleurs".... Et cette phrase que j'ai attendu tout du long n'est jamais venue. J'avoue que ca m'a gâche la lecture d'une histoire qui sera surement une lecture sympathique pour les non-connaisseur du tisseur. Vous êtes donc prévenu.
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Titre de l'album : Batman & Joker - Deadly duo Scenariste de l'album : Marc Silvestri Dessinateur de l'album : Marc Silvestri Coloriste : Marc Silvestri Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : De mystérieuses goules à l'apparence du Joker sillonnent les rues de Gotham, semant têtes coupées et cadavres sur leur passage. Dans ce chaos funeste, Harley Quinn et le Commissaire Gordon manquent à l'appel. Le Chevalier Noir se met aussitôt à leur recherche, et ne tarde pas à comprendre que quelqu'un d'autre suit leur piste : le Prince Clown du Crime. Les ennemis jurés vont devoir se résoudre à l'impensable pour arriver à leurs fins : enterrer la hache de guerre. Critique : Batman a fait équipe avec beaucoup de personnages au cours de son histoire, mais rarement avec le Joker, hors Whie Knight bien sur. Pour associer ces deux ennemis intimes, il faut absolument une base de "rencontre" fiable tellement rien ne pourrait nous faire adhérer à ce duo improbable. C'est le cas dans ce deadly Duo avec un duo qui commence... à la moitié du tome. A un moment ou cela paraitra logique à tous lecteurs. Mais plus que former le duo, il faut lui fournir un ennemi à sa hauteur et.... c'est la que j'ai eu plus de mal. En effet, j'ai trouvé que notre histoire était trop fantastique et pas assez réfléchie. Ce que j'aime dans Batman ce sont des scenarios bien ficelés, sans failles et qui mettent le détective à l'épreuve. La, on a un scenario en début de World War Z qui s'arrête bizarrement après des combats "façon cinéma" impressionnants mais pas vraiment "Batmanesque", c'est-à-dire plus en brutalité qu'en réflexion et gadget. Si la dualité Batman/Joker est intéressante avec un Batman qui doit mettre de l'eau dans son vin, l'emballage scénaristique est malheureusement trop creux pour moi. Et ce malgré un dessin vraiment très sympa de Silvestri. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-joker-deadly-duo/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Batman / Spawn 1994 Scenariste de l'album : Alan Grant | Frank Miller | Douglas Moench | Charles Dixon Dessinateur de l'album : Klaus Janson (Dessin, Couleurs) | Todd McFarlane Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Un mal ancien est revenu à Gotham City. La dernière fois qu'il est apparu, une colonie entière a été rayée de la surface de la Terre, ne laissant qu'un seul indice : Croatoan. Qui que soit Croatoan, il faudra tout le talent d'enquêteur de Batman et les capacités surnaturelles d'un ancien soldat devenu Hellspawn pour sauver les citoyens de Gotham de l'enfer qui est sur le point de se déchaîner sur notre monde. Critique : Vous êtes fan de Batman ? Vous etes fan de Cross over chelou ? Non ? ben passez votre chemin. Oui ? Et bien... je vous laisserais juge. Ce "recueil" nous propose deux histoires à deux époques différentes d'un l'une avec Franck Miller au dessin... rien que cela....et oui rien que cela. En effet, si la première histoire est intéressante, mais assez old school, avec un vrai aspect Diabolique qui sied à Spawn, la deuxième devait servir à surfer sur le succès du Dark Knight et vendre des albums. L'histoire est donc assez quelconque mais avec Franck Miller en nom sur la couverture. J'ai d'ailleurs déjà oublié une grande partie de l'histoire. Un ensemble assez moyen dont Urban justifie le prix en comblant l'album avec une version noir et blanc de la première histoire… bref pas très intéressant mais heureusement pas si cher que cela Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-spawn-1994?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Vous êtes fan de Batman ? Vous etes fan de Cross over chelou ? Non ? ben passez votre chemin. Oui ? Et bien... je vous laisserais juge. Ce "recueil" nous propose deux histoires à deux époques différentes d'un l'une avec Franck Miller au dessin... rien que cela....et oui rien que cela. En effet, si la première histoire est intéressante, mais assez old school, avec un vrai aspect Diabolique qui sied à Spawn, la deuxième devait servir à surfer sur le succès du Dark Knight et vendre des albums. L'histoire est donc assez quelconque mais avec Franck Miller en nom sur la couverture. J'ai d'ailleurs déjà oublié une grande partie de l'histoire. Un ensemble assez moyen dont Urban justifie le prix en comblant l'album avec une version noir et blanc de la première histoire… bref pas très intéressant mais heureusement pas si cher que cela
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Batman a fait équipe avec beaucoup de personnages au cours de son histoire, mais rarement avec le Joker, hors Whie Knight bien sur. Pour associer ces deux ennemis intimes, il faut absolument une base de "rencontre" fiable tellement rien ne pourrait nous faire adhérer à ce duo improbable. C'est le cas dans ce deadly Duo avec un duo qui commence... à la moitié du tome. A un moment ou cela paraitra logique à tous lecteurs. Mais plus que former le duo, il faut lui fournir un ennemi à sa hauteur et.... c'est la que j'ai eu plus de mal. En effet, j'ai trouvé que notre histoire était trop fantastique et pas assez réfléchie. Ce que j'aime dans Batman ce sont des scenarios bien ficelés, sans failles et qui mettent le détective à l'épreuve. La, on a un scenario en début de World War Z qui s'arrête bizarrement après des combats "façon cinéma" impressionnants mais pas vraiment "Batmanesque", c'est-à-dire plus en brutalité qu'en réflexion et gadget. Si la dualité Batman/Joker est intéressante avec un Batman qui doit mettre de l'eau dans son vin, l'emballage scénaristique est malheureusement trop creux pour moi. Et ce malgré un dessin vraiment très sympa de Silvestri.
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Titre de l'album : Batman - one bad day - Gueule d'argile Scenariste de l'album : Jackson Lanzing | Collin Kelly Dessinateur de l'album : Alejandro Germánico Benito González Coloriste : Alejandro Germánico Benito González Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Basil Karlo a toujours rêvé d'être acteur... ou plutôt d'être le plus grand acteur de tous les temps. Mais lorsqu'il est devenu Gueule d'Argile, sa vie a pris un tournant inattendu. Aujourd'hui, après bien des années de lutte face à Batman, il a décidé de changer d'air. Arrivé dans la capitale mondiale du cinéma, loin de l'atmosphère viciée de Gotham, il s'y forge une nouvelle identité et reprend son rêve où il l'avait laissé. Mais pour arriver à être la star qu'il souhaite devenir, il va devoir façonner Los Angeles à son image... Critique : Dernier volume des Batman one day (ouf pour le budget des fans de DC) et un volume qui se finit cette minisérie de bien belle façon. Cet album s'éloigne de Batman et même de Gotham pour nous livrer un récit émouvant sur un personnage torturé. Un personnage qui passe trop souvent pour un des gros bourrins béta de l'univers de Batman et que nos auteurs nous pressent de bien belle façon. Graphiquement parlant rien a redire de Alejandro Germánico Benito González qui fait un travail de qualité pour un personnage "gluant" pas facile à apprivoiser. Un bon tome sur un personnage trop méconnu et sous-estimé dans le Bat-Verse. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-one-bad-day-gueule-d-argile?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Dernier volume des Batman one day (ouf pour le budget des fans de DC) et un volume qui se finit cette minisérie de bien belle façon. Cet album s'éloigne de Batman et même de Gotham pour nous livrer un récit émouvant sur un personnage torturé. Un personnage qui passe trop souvent pour un des gros bourrins béta de l'univers de Batman et que nos auteurs nous pressent de bien belle façon. Graphiquement parlant rien a redire de Alejandro Germánico Benito González qui fait un travail de qualité pour un personnage "gluant" pas facile à apprivoiser. Un bon tome sur un personnage trop méconnu et sous-estimé dans le Bat-Verse.
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Titre de l'album : Batman Killing time Scenariste de l'album : Tom King Dessinateur de l'album : David Marquez Coloriste : David Marquez Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Gotham City, 4 mars, 16h46. Banque centrale. Un étrange client fait son apparition. Personne ne le sait, mais le braquage du siècle est sur le point d'avoir lieu, dans cette banque précisément. Trois malfrats ? Catwoman, le Pingouin et le Riddler ? s'associent pour mener à bien leur mission, juste histoire de tuer le temps... Critique : Une histoire de Batman avec Tom King aux manettes , on en redemande tant il magnifie ses histoires . Il peut les complexifier aussi ! Le pitch mentionne un braquage de banque , quoi de plus naturel à Gotham city avec autant de vilains sillonnant les rues ,sauf que ! Sauf que l'ami Tom King intègre des éléments nouveaux tels la mythologie et surtout , il décompose sa narration en plusieurs lignes de temps ! Je ne parle pas de mythologie grecque liée à Wonder woman, mais plutôt la véritable légende hellène . Et lorsque je mentionne plusieurs timelines , attendez-vous à sauter les jours voire les heures , d'avant en arrière et inversement ! On peut éprouver une certaine difficulté à rester dans le récit , il est nécessaire de brancher son cerveau 😉 Mais c'est indéniablement bien réalisé , avec un suspens terrible et un souffle de renouveau dans l'approche narrative des super-héros , tellement bienvenu ! L'ancien analyste de la CIA s'entoure d'un dessinateur correspondant bien à ses standards , David Marquez et son trait "comics" dans la lignée d'un David Finch et autres collaborateurs de son Batman rebirth . Un dessin net , en rondeur , lumineux et détaillé . Le découpage cher à King en 6 petites cases , toujours aussi cinématographique , se retrouve ça et là en cours de lecture . Il s'agit clairement d'un one-shot de très bonne facture , avec un mais : une complexité exacerbée . Vous refermerez ce livre avec un sentiment de satisfaction mêlé à de l' incompréhension . Un fait regrettable certes , mais invitant à d'autres lectures réjouissantes, car les pages se tournent de façon compulsive dans ce polar "Gothamien" . On a hâte de le voir à l'oeuvre dans ce "DCU" que James Gunn veut mettre en place pour concurrencer de façon plus efficace le MCU ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-killing-time/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Une histoire de Batman avec Tom King aux manettes , on en redemande tant il magnifie ses histoires . Il peut les complexifier aussi ! Le pitch mentionne un braquage de banque , quoi de plus naturel à Gotham city avec autant de vilains sillonnant les rues ,sauf que ! Sauf que l'ami Tom King intègre des éléments nouveaux tels la mythologie et surtout , il décompose sa narration en plusieurs lignes de temps ! Je ne parle pas de mythologie grecque liée à Wonder woman, mais plutôt la véritable légende hellène . Et lorsque je mentionne plusieurs timelines , attendez-vous à sauter les jours voire les heures , d'avant en arrière et inversement ! On peut éprouver une certaine difficulté à rester dans le récit , il est nécessaire de brancher son cerveau 😉 Mais c'est indéniablement bien réalisé , avec un suspens terrible et un souffle de renouveau dans l'approche narrative des super-héros , tellement bienvenu ! L'ancien analyste de la CIA s'entoure d'un dessinateur correspondant bien à ses standards , David Marquez et son trait "comics" dans la lignée d'un David Finch et autres collaborateurs de son Batman rebirth . Un dessin net , en rondeur , lumineux et détaillé . Le découpage cher à King en 6 petites cases , toujours aussi cinématographique , se retrouve ça et là en cours de lecture . Il s'agit clairement d'un one-shot de très bonne facture , avec un mais : une complexité exacerbée . Vous refermerez ce livre avec un sentiment de satisfaction mêlé à de l' incompréhension . Un fait regrettable certes , mais invitant à d'autres lectures réjouissantes, car les pages se tournent de façon compulsive dans ce polar "Gothamien" . On a hâte de le voir à l'oeuvre dans ce "DCU" que James Gunn veut mettre en place pour concurrencer de façon plus efficace le MCU !
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Titre de l'album : Poison Ivy tome 1 - Cercle vertueux Scenariste de l'album : Neil Gaiman | Gwendolyn Willow Wilson Dessinateur de l'album : Marcio Takara | Brian Level | Danai Kilaidonis | Mark Buckingham Coloriste : Marcio Takara | Brian Level | Danai Kilaidonis Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Pamela Isley a été beaucoup de choses dans sa vie. Une super-vilaine, une scientifique, une activiste, une reine et... une morte. Dans un nouveau corps, et animée d'un objectif radical, Ivy quitte Gotham et celle qui l'y retenait pour entreprendre la plus grande mission de sa vie, un cadeau qui guérira enfin les maux de notre planète : l'extinction de l'humanité. Critique : Batman Infinite tome 2 et 3 nous a livré le mini arc "State of Fear" qui a vu Pamela Isley acquérir le pouvoir de contrôle totale sur la Sève en devenant sa reine. Contrôle qui lui faisait perdre la raison et dont seul l'amour de Harley Quinn a triomphé. On retrouve donc un premier run centré sur Poison Ivy qui fait office de reboot et de point de départ. En fait c'est, étrangement, plus un point final qu'un point de départ, car ce tome nous présente une Poison Ivy qui ne sait plus où elle doit se placer, en pleine cure de désintoxication de son overdose de pouvoir en tant que reine. Ce premier tome est particulièrement réussi. Porté par une narration sous forme de courrier à Harley qui mêle réflexion sur sa vie et son auto-psychanalyse, ce premier tome est au final un one shot dense, violent et assez profond sur les thèmes chers au personnage : la place de l'homme sur terre, les dégâts qu'il cause et le remède "facile" de la suppression de la menace. Si on ajoute un véritable méchant qui revient aux sources des débuts de Poison Ivy, on a tout ce qu'il faut pour en faire un point de départ réussi pour qui souhaiterait suivre les aventures de Pamela Isley. Je conseille quand même a toute personne souhaitant se lancer dans l'aventure de faire l'effort de lire les Batman infinite, colonne vertébrale de tous ces spin off "Infinite" Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/poison-ivy-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Batman Infinite tome 2 et 3 nous a livré le mini arc "State of Fear" qui a vu Pamela Isley acquérir le pouvoir de contrôle totale sur la Sève en devenant sa reine. Contrôle qui lui faisait perdre la raison et dont seul l'amour de Harley Quinn a triomphé. On retrouve donc un premier run centré sur Poison Ivy qui fait office de reboot et de point de départ. En fait c'est, étrangement, plus un point final qu'un point de départ, car ce tome nous présente une Poison Ivy qui ne sait plus où elle doit se placer, en pleine cure de désintoxication de son overdose de pouvoir en tant que reine. Ce premier tome est particulièrement réussi. Porté par une narration sous forme de courrier à Harley qui mêle réflexion sur sa vie et son auto-psychanalyse, ce premier tome est au final un one shot dense, violent et assez profond sur les thèmes chers au personnage : la place de l'homme sur terre, les dégâts qu'il cause et le remède "facile" de la suppression de la menace. Si on ajoute un véritable méchant qui revient aux sources des débuts de Poison Ivy, on a tout ce qu'il faut pour en faire un point de départ réussi pour qui souhaiterait suivre les aventures de Pamela Isley. Je conseille quand même a toute personne souhaitant se lancer dans l'aventure de faire l'effort de lire les Batman infinite, colonne vertébrale de tous ces spin off "Infinite"
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Titre de l'album : Batman - one bad day - Catwoman Scenariste de l'album : Gwendolyn Willow Wilson Dessinateur de l'album : Jamie McKelvie Coloriste : Jamie McKelvie Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Alors que Selina Kyle n'était qu'une adolescente, sa mère a dû se résoudre à vendre une broche dont elle avait héritée à un prêteur sur gages peu scrupuleux. Quelques années plus tard, lorsque Catwoman apprend que ce bijou est en réalité d'une valeur inestimable, elle n'a plus qu'une idée en tête : reprendre ce trésor familial à tout prix ! Mais cette course effrénée ne risque-t-elle pas de déterminer le reste de son existence ? Contenu vo : Batman - One Bad Day: Catwoman. Critique : Bon décidément cette collection n'est pas moi. Encore une fois, on nous présente ici, à assez cher, une histoire hors contexte et surtout hors d'un vrai intérêt pour les amateurs de DC. On se concentre sur l'aspect voleuse de Catwoman et on lui invente un passé cherchant à faire ressortir son côté "gentille" mais... voleuse quand même. Batman parait ringard au possible et complètement à côté de ses pompes en mode amoureux transit qui laisse faire sa bien-aimée. C'est sans véritable intérêt sauf pour ceux qui ne connaissent pas du tout le personnage. Graphiquement c'est pas loin du service minimum ce qui fait de ce Catwoman l'un des moins intéressant de la série. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-one-bad-day-catwoman?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Bon décidément cette collection n'est pas moi. Encore une fois, on nous présente ici, à assez cher, une histoire hors contexte et surtout hors d'un vrai intérêt pour les amateurs de DC. On se concentre sur l'aspect voleuse de Catwoman et on lui invente un passé cherchant à faire ressortir son côté "gentille" mais... voleuse quand même. Batman parait ringard au possible et complètement à côté de ses pompes en mode amoureux transit qui laisse faire sa bien-aimée. C'est sans véritable intérêt sauf pour ceux qui ne connaissent pas du tout le personnage. Graphiquement c'est pas loin du service minimum ce qui fait de ce Catwoman l'un des moins intéressant de la série.
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Titre de l'album : Batman - nocturne tome 1 Scenariste de l'album : Ram V. Dessinateur de l'album : Rafael Albuquerque Coloriste : Rafael Albuquerque Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Il y a quelque chose de pourri au royaume de Gotham. Peu importe les épreuves que Bruce surmonte, et les pistes qu'il poursuit, le plus grand détective du monde n'arrive pas à trouver la source de la peur rampante qu'il ressent - comme si ses démons intérieurs s'emballaient et lui annonçaient sa mort imminente. Pendant ce temps, de vrais démons rôdent dans l'ombre et enveloppent la Cité de leurs ténèbres alors qu'une mélodie séculaire hante la nuit de Gotham. Le rideau se lève, la complainte sinistre s'élève... et Batman pourrait cette fois rester à terre. Critique : Batman Nocturne est une série qui démarre sur la famille Arkham et son lien historique avec Gotham. Un peu comme l'avait fait Sean Murphy avec son Curse of the White Knight, Ram V nous livre une histoire remontant aux sources de Gotham.... et je dois bien avouer que ce lien est quand même bien tiré par les cheveux. Si l'ensemble est sympa, porté par un Rafael Albuquerque de haut niveau, elle est pour l'instant un peu plombée par ce démarrage sorti de nul part. En effet on ne comprend pas bien pourquoi ces méchants débarquent et la seule solution qu'il nous ait donné est qu'ils n'ont pas digéré… la destruction de l'asile qui porte leur nom… Bref pas bien crédible et, si on fait confiance à Ram V, cela semble pour l'instant un peu forcé. Comme si après l'idée de Sean Murphy, chez DC quelqu'un avait dit : on va faire pareil dans la branche principale. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-nocturne-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement