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Titre de l'album : Dragons et poison t2 Scenariste de l'album : Bauthian Dessinateur de l'album : Morse Coloriste : Morse Editeur de l'album : Drakoo Note : Résumé de l'album : Revenus dans le passé pour réparer leurs erreurs, Névo et Greyson sont confrontés à de nouveaux défis: circuler incognito,empêcher un meurtre, et surtout... convaincre leurs « eux d'avant » d'éviter les missions suicides. Car les deux aventuriers doivent bien l'admettre: qu'est-ce qu'ils étaient cons, quand ils étaient jeunes! Heureusement, ils peuvent compter sur leur amie Natch qui a bien l'intention de ne pas rester un personnage secondaire! Le trio parviendra-t-il à déjouer les pièges de la cité des poisons, du dragon irascible et de la gardienne retorse pour faire enfin fortune et - soyons fous - trouver le bonheur ? Car ce n'est pas parce qu'on est un guerrier qu'on n'a pas de sentiments, bon sang! Critique : Bon alors on va me dire que je suis trop gentil, je le vois venir d'ici. Mais ce n’est pas grave, j'assume. J'assume le fait d'aimer les BDs qui font du bien. Surtout en ce moment. Vous savez les BDs détentes bien pensées. Genre Lanfeust. Le fait de citer Lanfeust n'est absolument pas un hasard. J'ai en effet retrouvé tout ce que j'avais adoré dans les premier Lanfeust : Beaucoup d'humour (et a différents degrés), des bons sentiments, un poil de cynisme et des personnages très attachants. C'est sur ce dernier point que ce tome deux est excellent. On se demandait, après un tome 1 très sympa et mais mettant en place l'intrigue, comment allaient se comporter nos héros. Est ce qu'ils allaient tout résoudre, est ce qu'il trouverait une solution magique pour corriger le passé ? Et bien on a ici l'excellente surprise d'avoir une fin logique mais belle car porté par des personnages attachants et plus intelligents qu'ils ne laissaient paraitre. Alors oui ça ne sera pas LA bd qui vous instruira, ni celle qui révolutionnera la bande dessinée moderne. Mais le tout forme une bien belle histoire sur de bien beaux personnages que j'espère sincèrement revoir pour de nouvelles aventures ! Alors merci à Drakoo pour ce beau moment d'évasion qui permet de mettre un peu de soleil dans la grisaille actuelle. PS: cerise sur le gâteau, il sort un très bel écrin qui offre les deux tome à moins de 30 euro : https://www.bdfugue.com/dragon-et-poisons-ecrin-histoire-complete?ref=44 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dragon-poisons-tome-2-le-bedonnant-et-le-balafre?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Autobiographie d'une courgette est l'adaptation en bande dessinée du roman de Gilles Paris qui avait reçu un bon accueil du public. Le livre avait déjà été adapté pour la télévision et en film sous le titre, Ma vie de Courgette. Mais revenons à la bande dessinée, l'histoire se focalise sur Icare surnommé Courgette un enfant de neuf ans, élevé par sa mère alcoolique et violente. Suite à un regrettable accident, sa mère est morte et Courgette rejoint un orphelinat pour être pris en charge. Nous avons la vision de l'enfant ainsi que ces réflexions durant tout le titre. Cette bande dessinée est avant tout pour les plus jeunes lecteurs d'une dizaine d'année comme le garçon héros de l'histoire. On suit les aventures de ce jeune qui reprend une vie normale dans l'orphelinat où il est placé. Au niveau dessin, Camille K. réalise des planches qui vont très bien avec le thème et le genre. La dessinatrice ajoute même quelques cases dessinées de façon enfantine dans certaine planche. Autobiographie d'une courgette avait trouvé son public en roman donc je suis sûr que la bande dessinée attirera autant de jeunes lecteurs.
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Titre de l'album : Autobiographie d'une courgette Scenariste de l'album : Ingrid Chabbert Dessinateur de l'album : Camille K. Coloriste : Camille K. Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Courgette vit seul avec sa mère alcoolique depuis le jour où son père est parti « faire le tour du monde avec une poule ». Un jour où sa mère s'en prend au ciel, il trouve un revolver et essaie de « tuer le ciel ». Sa mère tente de lui enlever l'arme, mais le coup part et la tue. Cet accident dramatique place Courgette aux Fontaines, un foyer pour enfants. Sa vie change radicalement, entre les « zéduc' » et les copains... mais surtout Raymond, le « gentil gendarme » et Camille, son amoureuse. Elle ressemble à une poupée de chiffon toute molle et ses yeux sont grands ouverts. Je pense aux films policiers où des tas de femmes se font tuer et après elles ressemblent à des tas de chiffons toutes molles et je me dis "c'est ça, j'ai tué maman" - Courgette, 9 ans. Critique : Autobiographie d'une courgette est l'adaptation en bande dessinée du roman de Gilles Paris qui avait reçu un bon accueil du public. Le livre avait déjà été adapté pour la télévision et en film sous le titre, Ma vie de Courgette. Mais revenons à la bande dessinée, l'histoire se focalise sur Icare surnommé Courgette un enfant de neuf ans, élevé par sa mère alcoolique et violente. Suite à un regrettable accident, sa mère est morte et Courgette rejoint un orphelinat pour être pris en charge. Nous avons la vision de l'enfant ainsi que ces réflexions durant tout le titre. Cette bande dessinée est avant tout pour les plus jeunes lecteurs d'une dizaine d'année comme le garçon héros de l'histoire. On suit les aventures de ce jeune qui reprend une vie normale dans l'orphelinat où il est placé. Au niveau dessin, Camille K. réalise des planches qui vont très bien avec le thème et le genre. La dessinatrice ajoute même quelques cases dessinées de façon enfantine dans certaine planche. Autobiographie d'une courgette avait trouvé son public en roman donc je suis sûr que la bande dessinée attirera autant de jeunes lecteurs. Autres infos : Edition Philéas Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/autobiographie-d-une-courgette?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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On connait surtout de Beethoven le fait qu'il soit sourd et que cela ne l'ait pas empêché de continuer à écrire de la musique. ON sait aussi que c'était un petit prodige. Mais on ne connait que peu son enfance et sa façon de vivre le fait d'être un prodige. Et bien cette BD documentaire de Mickael Ross (non rien à voir avec Alex) nous permet de combler ce manque et le fait superbement bien. Plein d'humour et de fantaisie, il nous montre une vie pas facile fait d'un père alcoolique qui exploitait ses talents et de la perte trop jeune d'une mère qu'il adorait. Mais cela nous montre aussi un travailleur acharné et ce depuis tout petit. Quelqu'un qui a toujours su ou sa musique devait le mener et qui a tout fait pour. Entre stress d'être mis en avant très jeune, ses premiers émois et son aventure musicale, ce Ludwig et Beethoven se dévore avec plaisir et intérêt et non sans plein de petit sourire en passant. Le mélange des trois est pourtant très rare. Chapeau monsieur Ross !
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Titre de l'album : Ludwig et Beethoven Scenariste de l'album : Mickael Ross Dessinateur de l'album : Mickael Ross Coloriste : Mickael Ross Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Petit-fils et fils de musicien, mais un père alcoolique et endetté qui veut surtout tirer profit de ses talents. Une mère aimante qui meurt quand il a dix-sept ans. Un talent brut extraordinaire mais une prime éducation musicale lacunaire. Compositeur révolutionnaire atteint de surdité précoce... Tout, chez Ludwig van Beethoven, relève d'une extrême dualité, d'un destin au mieux compliqué, au pire contrarié. Mikael Ross cette jeunesse d'un génie avec une énergie folle et une vraie virtuosité. Critique : On connait surtout de Beethoven le fait qu'il soit sourd et que cela ne l'ait pas empêché de continuer à écrire de la musique. ON sait aussi que c'était un petit prodige. Mais on ne connait que peu son enfance et sa façon de vivre le fait d'être un prodige. Et bien cette BD documentaire de Mickael Ross (non rien à voir avec Alex) nous permet de combler ce manque et le fait superbement bien. Plein d'humour et de fantaisie, il nous montre une vie pas facile fait d'un père alcoolique qui exploitait ses talents et de la perte trop jeune d'une mère qu'il adorait. Mais cela nous montre aussi un travailleur acharné et ce depuis tout petit. Quelqu'un qui a toujours su ou sa musique devait le mener et qui a tout fait pour. Entre stress d'être mis en avant très jeune, ses premiers émois et son aventure musicale, ce Ludwig et Beethoven se dévore avec plaisir et intérêt et non sans plein de petit sourire en passant. Le mélange des trois est pourtant très rare. Chapeau monsieur Ross ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ludwig-beethoven?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Après le remarqué 300 grammes dont nous avons longuement dit le plus grand bien ici, et avant leur prochain titre Alamänder, très attendu dont le financement via Ulule est en cours, les éditions Kamiti, fondées par des passionnés de BD nous livrent le tome 2 de leur série Aeka. Je n'ai malheureusement pas lu le premier tome, mais sachez que ce tome-ci se suffit à lui même une fois passé les premières pages un peu déroutantes. On est dans un monde médiéval Fantastique Japonais, un petit peu dans la lignée des romans de Thomas Day. L'univers présenté est cohérent riche et très sympathique, malheureusement je vous avoue que j'ai eu beaucoup de mal à rentrer dans le style de narration proposée par le duo de scénaristes, des transitions un peu rapides, des passages narratifs qui cassent un peu le rythme, un peu trop de voix off pour moi. J'ai trouvé que l'ensemble manquait de fluidité. Alors attention hein, ce n'est rien de rédhibitoire, et je penche plus pour un choix délibéré des auteurs que d'un manque d'expérience des auteurs, cela fonctionnera probablement très bien avec beaucoup de lecteurs, simplement moi à titre tout à fait personnel cela m'a un petit peu gêné. Graphiquement cependant c'est bien réussi, on sent que Fabrizio Cosentino est capable de nous livrer des planches magnifiques, et j'espère qu'il aura bientôt les moyens de peaufiner encore plus son travail pour aller vraiment au bout des choses. Il y a du potentiel derrière le travail de ce dessinateur. Clairement les amateurs du premier devraient y trouver leur compte tant ce tome 2 conclut l'histoire en beauté. Pour les autres c'est l'occasion de découvrir une bd d'aventure, très inspirée du manga, mais qui se lira sur un grand format dans le bon sens pour notre plus grand plaisir. Voici la bande annonce : Et les premières pages parce que je vous aime beaucoup 🙂
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Titre de l'album : Aeka - Tome 2 - Dernier Printemps Scenariste de l'album : Fuat Erkol & Christian Simon Dessinateur de l'album : Fabrizio Cosentino Coloriste : Fabrizio Cosentino Editeur de l'album : Kamiti Note : Résumé de l'album : Saito, un paysan jovial et roublard, quitte sa ferme natale en quête d'aventures. Des aventures qui auraient tourné court si Aeka, jeune fille d'une quinzaine d'années, ne lui avait pas sauvé la vie. Fasciné par la jeune fille et son art du combat, Saito aura fort à faire pour gagner sa confiance et percer les mystères qui l'entourent. Ce qu'il découvrira fera voler en éclat toutes ses croyances... Aeka est une série de Japan Fantasy qui mêle le chambara (récit de sabres) et les créatures mythologiques (les dragons), le tout sur fond de quête initiatique et de vengeance. Critique : Après le remarqué 300 grammes dont nous avons longuement dit le plus grand bien ici, et avant leur prochain titre Alamänder, très attendu dont le financement via Ulule est en cours, les éditions Kamiti, fondées par des passionnés de BD nous livrent le tome 2 de leur série Aeka. Je n'ai malheureusement pas lu le premier tome, mais sachez que ce tome-ci se suffit à lui même une fois passé les premières pages un peu déroutantes. On est dans un monde médiéval Fantastique Japonais, un petit peu dans la lignée des romans de Thomas Day. L'univers présenté est cohérent riche et très sympathique, malheureusement je vous avoue que j'ai eu beaucoup de mal à rentrer dans le style de narration proposée par le duo de scénaristes, des transitions un peu rapides, des passages narratifs qui cassent un peu le rythme, un peu trop de voix off pour moi. J'ai trouvé que l'ensemble manquait de fluidité. Alors attention hein, ce n'est rien de rédhibitoire, et je penche plus pour un choix délibéré des auteurs que d'un manque d'expérience des auteurs, cela fonctionnera probablement très bien avec beaucoup de lecteurs, simplement moi à titre tout à fait personnel cela m'a un petit peu gêné. Graphiquement cependant c'est bien réussi, on sent que Fabrizio Cosentino est capable de nous livrer des planches magnifiques, et j'espère qu'il aura bientôt les moyens de peaufiner encore plus son travail pour aller vraiment au bout des choses. Il y a du potentiel derrière le travail de ce dessinateur. Clairement les amateurs du premier devraient y trouver leur compte tant ce tome 2 conclut l'histoire en beauté. Pour les autres c'est l'occasion de découvrir une bd d'aventure, très inspirée du manga, mais qui se lira sur un grand format dans le bon sens pour notre plus grand plaisir. Voici la bande annonce : Et les premières pages parce que je vous aime beaucoup 🙂 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/aeka-tome-2-dernier-printemps?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Suite et fin de cette aventure de science-fiction librement inspirée par les romans de La nuit des temps de René Barjavel ou bien encore la Sphère d'or de Erle Cox. Ce thriller d'anticipation laisse progressivement place à une histoire de science-fiction autour du personnage féminin découvert à l'intérieur d'un sarcophage. En effet, elle communique par télépathie avec Roy mais aussi avec tous les autres personnages à travers une technologie qui utilise l'eau pour projeter des vidéos d'un monde étrange ou alors de la Terre. Phillipe Gauckler laisse les lecteurs se faire leur propre idée du monde d'origine de la femme du sarcophage. En parallèle, l'auteur continue de donner la vision des indiens plus proche de la nature que les hommes de pays technologiquement avancé. On lit l'histoire sur plusieurs niveaux entre l'action présente, l'action passée et l'action dans le monde inconnu. Les dessins de Phillipe Gauckler sont absolument magnifiques surtout sur les doubles planches de vision et décors du monde extraterrestre. Les teintes sont de bleu avec les couleurs en directes pour un rendu très immersif. Un cahier graphique termine l’album avec des citations et des esquisses et doubles d’illustrations pour le plaisir des yeux. Kebek est un diptyque très intéressant dans le développement de l'intrigue qui change d’autres titres du même genre en bande dessinée.
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Titre de l'album : Kebek tome 2 - Adamante Scenariste de l'album : Philippe Gauckler Dessinateur de l'album : Philippe Gauckler Coloriste : Philippe Gauckler Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Un récit de science-fiction situé dans la province de Eeyou Istchee Baie-James, région des Monts Otish, au Québec. Roy, gravement brûlé à la fin du tome 1, guérit de ses blessures à une vitesse que les médecins ne peuvent expliquer. La découverte de la femme à l’intérieur du sarcophage a enflammé les réseaux sociaux et le monde entier suit cette découverte humaine et scientifique. Qui est-elle, d’où vient-elle et surtout de quelle époque ? Les fresques murales découvertes à proximité de la sphère dateraient de 400.000 ans, bien avant homo-sapiens. Et pourtant la sphère semble issue d’une technologie encore inaccessible à la science actuelle. «Elle» est vivante, et va bientôt pouvoir répondre à ces questions… Critique : Suite et fin de cette aventure de science-fiction librement inspirée par les romans de La nuit des temps de René Barjavel ou bien encore la Sphère d'or de Erle Cox. Ce thriller d'anticipation laisse progressivement place à une histoire de science-fiction autour du personnage féminin découvert à l'intérieur d'un sarcophage. En effet, elle communique par télépathie avec Roy mais aussi avec tous les autres personnages à travers une technologie qui utilise l'eau pour projeter des vidéos d'un monde étrange ou alors de la Terre. Phillipe Gauckler laisse les lecteurs se faire leur propre idée du monde d'origine de la femme du sarcophage. En parallèle, l'auteur continue de donner la vision des indiens plus proche de la nature que les hommes de pays technologiquement avancé. On lit l'histoire sur plusieurs niveaux entre l'action présente, l'action passée et l'action dans le monde inconnu. Les dessins de Phillipe Gauckler sont absolument magnifiques surtout sur les doubles planches de vision et décors du monde extraterrestre. Les teintes sont de bleu avec les couleurs en directes pour un rendu très immersif. Un cahier graphique termine l’album avec des citations et des esquisses et doubles d’illustrations pour le plaisir des yeux. Kebek est un diptyque très intéressant dans le développement de l'intrigue qui change d’autres titres du même genre en bande dessinée. Autres infos : Daniel Maghen édition Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/kebek-adamante-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Doan Bui est une journaliste de métier et scénarise cette bande dessinée documentaire sur ce que sont les fakes news et à quoi elles servent. Sur une dizaine de chapitres, Doan Bui tente de répondre à ces questions autour des fakes news. Elle dénonce à l'aide de ses enquêtes dans différents pays comment les fakes news peuvent changer la face du monde et comment elles sont présentes partout de nos jours. Doan Bui doit reconnaitre qu'au détriment des vrais journalistes, maintenant les fakes news sont plus simples à mettre en place et touchent beaucoup plus de monde. Le nombre de journalistes diminuent mais ce phénomène est dû à notre société. Divers sujets sont abordés comme les partisans de la terre plate (platistes), le contrôle des élections présidentielles aux États-Unis, les personnes contre les vaccins, les illuminatis et aussi un petit historique des fakes news. Les dessins de Leslie Plée sont minimalistes pour décrire les sujets abordés. A force de fake news, la population ne sait plus reconnaitre la véritable information d'une information mensongère. Les médias sont souvent contrôlés et tout le monde est perdu ou doit se faire sa propre information.
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Titre de l'album : Fake news, l'info qui ne tourne pas rond Scenariste de l'album : Doan Bui Dessinateur de l'album : Leslie Plée Coloriste : Leslie Plée Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Des climatosceptiques aux platistes, des usines à clics d'Europe de l'Est aux Illuminati, des algorithmes devenus fous à Donald Trump (propagateur n°1 de « vérités » alternatives), les infox sont partout. Ludiques et pédagogiques, les autrices nous font passer dans l'envers de leurs fabrications et nous réapprennent à aiguiser notre esprit critique. Critique : Doan Bui est une journaliste de métier et scénarise cette bande dessinée documentaire sur ce que sont les fakes news et à quoi elles servent. Sur une dizaine de chapitres, Doan Bui tente de répondre à ces questions autour des fakes news. Elle dénonce à l'aide de ses enquêtes dans différents pays comment les fakes news peuvent changer la face du monde et comment elles sont présentes partout de nos jours. Doan Bui doit reconnaitre qu'au détriment des vrais journalistes, maintenant les fakes news sont plus simples à mettre en place et touchent beaucoup plus de monde. Le nombre de journalistes diminuent mais ce phénomène est dû à notre société. Divers sujets sont abordés comme les partisans de la terre plate (platistes), le contrôle des élections présidentielles aux États-Unis, les personnes contre les vaccins, les illuminatis et aussi un petit historique des fakes news. Les dessins de Leslie Plée sont minimalistes pour décrire les sujets abordés. A force de fake news, la population ne sait plus reconnaitre la véritable information d'une information mensongère. Les médias sont souvent contrôlés et tout le monde est perdu ou doit se faire sa propre information. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/fake-news-l-info-qui-ne-tourne-pas-rond?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Début d'une série prevue en 4 tomes chez Dargaud avec la sortie de Didier Poli de ses contes Grecques. Didier Poli tient une place toute particulière chez moi car l'enfant de l'orage est une des BD qui m'a lancé dans la bande dessinée du XXIieme siècle. J'en garderais toujours un souvenir impérissable. Bon alors certes depuis le trait de monsieur Poli a legerement changé. Mais pas en mal. Il nous montre ici un trait vraiment adulte. Un trait plus sobre et plus dur qui convient parfaitement à l'aventure proposé par Jeremy Le Gris. Car c'et bien d'une aventure dont il est question. Je dirais meme l'Aventure avec un grand A. La quête Initiatique d'un petit groupe qui n'ait pas sans rappeler les grandes quêtes du Graal ou des autres mystères que nous offre la littérature mondiale. Ici il est ni plus ni moins question de que savoir pure. Un savoir nécessaire mais inconnu dans un monde transformé par l'apocalypse. Jeremy le Gris a eu le bon gout de ne pas s'appesantir sur cet apocalypse et ses sources. C'est juste un point de depart et pour une fois dans une histoire post apocalyptique, on ne cherche pas la cause, on cherche comment se relever. Une histoire post apocalyptique ou l'apocalypse n'a pas lieu dans une sphere moderne mais au moyen âge ce qui offre à notre scenariste la possibilité de faire repartir les survivant à un age de pierre à peine dépassé. Et elle lui offre donc la possibilité d'une aventure innovante et en plus annonce qu'elle va se donner le temps en 4 tomes. De bien belles promesses qu'il ne reste qu'à concretiser dans les prochains tomes !
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Titre de l'album : Les ages perdus T1 : le fort des landes Scenariste de l'album : Jérôme Le Gris Dessinateur de l'album : Didier Poli Coloriste : Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : À la veille de l'An Mil, le feu du ciel se déchaîne sur la Terre et la plonge dans une nuit éternelle. Les villes sont rayées de la carte. Les humains se réfugient dans des grottes. Le temps de l'Obscure est venu... Quelques milliers d'années plus tard, tandis que le soleil est réapparu, la vie reprend enfin ses droits. Mais les savoirs anciens ont disparu. Pour survivre, des clans nomades se forment et se partagent les territoires et les ressources selon des règles établies. Un homme, Primus, a trouvé le moyen de faire pousser une plante, l'engrain. Sa découverte permettrait aux siens de ne plus jamais connaître la faim. Mais elle remet en cause la coutume et le pouvoir des autres clans... À la mort de Primus, il appartient à sa fille, Elaìne de Moòr, de prendre en main le destin de son peuple et de le préserver de la destruction. Critique : Début d'une série prevue en 4 tomes chez Dargaud avec la sortie de Didier Poli de ses contes Grecques. Didier Poli tient une place toute particulière chez moi car l'enfant de l'orage est une des BD qui m'a lancé dans la bande dessinée du XXIieme siècle. J'en garderais toujours un souvenir impérissable. Bon alors certes depuis le trait de monsieur Poli a legerement changé. Mais pas en mal. Il nous montre ici un trait vraiment adulte. Un trait plus sobre et plus dur qui convient parfaitement à l'aventure proposé par Jeremy Le Gris. Car c'et bien d'une aventure dont il est question. Je dirais meme l'Aventure avec un grand A. La quête Initiatique d'un petit groupe qui n'ait pas sans rappeler les grandes quêtes du Graal ou des autres mystères que nous offre la littérature mondiale. Ici il est ni plus ni moins question de que savoir pure. Un savoir nécessaire mais inconnu dans un monde transformé par l'apocalypse. Jeremy le Gris a eu le bon gout de ne pas s'appesantir sur cet apocalypse et ses sources. C'est juste un point de depart et pour une fois dans une histoire post apocalyptique, on ne cherche pas la cause, on cherche comment se relever. Une histoire post apocalyptique ou l'apocalypse n'a pas lieu dans une sphere moderne mais au moyen âge ce qui offre à notre scenariste la possibilité de faire repartir les survivant à un age de pierre à peine dépassé. Et elle lui offre donc la possibilité d'une aventure innovante et en plus annonce qu'elle va se donner le temps en 4 tomes. De bien belles promesses qu'il ne reste qu'à concretiser dans les prochains tomes ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-ages-perdus-tome-1-fort-des-landes?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Chapeau bas à M. Runberg pour nous proposer sur ce tome d'Optic Squad un vrai scénario bien foutu, complexe, avec de mutliples intérêts et intrigues croisées. Le rythme est bon, très soutenu, et les enjeux finissent pas être clairs. C'est un plaisir de lire M. Runberg quand il est à ce niveau là. C'est un grand oui, cet Optic Squad commence sérieusement à se rapprocher de ce que Carmen Mc Callum a pu nous proposer. Alors comme c'est une sacrée référence, je vais quand même y apporter un bémol. Les dessins du tome 1 m'avaient laissé une belle impression, mais là en lisant ce tome 2 il y a quelque chose qui m'a un peu gêné. C'est beau, c'est bien fait, mais j'ai eu du mal à rentrer dans le dessin. Hors le dessinateur n'a pas changé et seul le coloriste à changé entre les deux tomes. J'aurais beaucoup de mal à vous expliquer quelles sont les différences qui m'ont embêté, même en ayant posé et ouvert les deux tomes côte à côte. Alors faites vous votre impression puisque pour moi ce dont je parle est déjà visible en comparant les deux couv'. Puis venez en discuter avec moi. Quoiqu'il en soit Optic Squad est une bonne série de science fiction que je ne peux que vous recommander.
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Titre de l'album : Optic Squad - Tome 2 - Mission Los Angeles Scenariste de l'album : Sylvain Runberg Dessinateur de l'album : Stéphane Bervas Coloriste : Stéphane Astier Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : Californie, le candidat favori Zak Demarest, est en campagne et brigue son deuxième mandat de Président des Western States. Tandis qu’il promeut son futur projet de santé publique d’Imunocard, la délégation est violemment attaquée par un groupe néofaciste, qui considère le programme social de Demarest comme une atteinte aux valeurs de la liberté. L’attentat fait plusieurs victimes dont l’un des agents des Optic Squad infiltrés dans le staff du candidat. Katryn est désignée pour poursuivre la mission d’infiltration avec Valdo. Suite à une série de décès assez obscurs au sein des sympathisants de Demarest, de forts soupçons de dangerosité et de manipulation pèsent sur la technologie envisagée. Les Optic Squad n’ont que les quelques jours qui les séparent des élections pour découvrir si les bonnes intentions du Président sont bien réelles. Critique : Chapeau bas à M. Runberg pour nous proposer sur ce tome d'Optic Squad un vrai scénario bien foutu, complexe, avec de mutliples intérêts et intrigues croisées. Le rythme est bon, très soutenu, et les enjeux finissent pas être clairs. C'est un plaisir de lire M. Runberg quand il est à ce niveau là. C'est un grand oui, cet Optic Squad commence sérieusement à se rapprocher de ce que Carmen Mc Callum a pu nous proposer. Alors comme c'est une sacrée référence, je vais quand même y apporter un bémol. Les dessins du tome 1 m'avaient laissé une belle impression, mais là en lisant ce tome 2 il y a quelque chose qui m'a un peu gêné. C'est beau, c'est bien fait, mais j'ai eu du mal à rentrer dans le dessin. Hors le dessinateur n'a pas changé et seul le coloriste à changé entre les deux tomes. J'aurais beaucoup de mal à vous expliquer quelles sont les différences qui m'ont embêté, même en ayant posé et ouvert les deux tomes côte à côte. Alors faites vous votre impression puisque pour moi ce dont je parle est déjà visible en comparant les deux couv'. Puis venez en discuter avec moi. Quoiqu'il en soit Optic Squad est une bonne série de science fiction que je ne peux que vous recommander. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/optic-squad-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Si le précédent tome ne m'avait pas laissé une impression remarquable, j'avoue que ce tome-ci m'a fait reconsidérer ma position quand à la résurrection de Ric Hochet aux éditions du Lombard. En effet ce tome fourmille de bonnes idées, et on sent que le traitement avec un regard actuel sur une époque passée est ici bien pensé, et apporte quelque chose pour une fois. Zidrou nous démontre une fois de plus son talent même s'il n'avait plus grand chose à nous prouver. Le personnage du commissaire Griot et l'expatriation temporaire du commissaire Gordon apporte un vrai vent de fraicheur à la série, et le duo formé par Ric et la pétillante Nadine monte clairement en puissance. L'action et l'enquête sont menées à un bon rythme et les trois affaires simultanées sont narrées avec beaucoup de clarté. Les dessins de Simon Van Liemt font eux honneur aux belles années de la ligne claire, et se montrent très efficaces sur ce polar même s'ils ne regorgent pas forcément de détails ou de planches remarquables. Ces nouvelles aventures de Ric Hochet vont enfin redevenir une lecture que j'attendrais avec plaisir et impatience, et c'est tant mieux. Espérons que Zidrou garde son inspiration.
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Les nouvelles enquêtes de Ric Hochet - Tome 5 - Commissaire Griot
The_PoP a posté un sujet dans Toute la BD
Titre de l'album : Les nouvelles enquêtes de Ric Hochet - Tome 5 - Commissaire Griot Scenariste de l'album : Zidrou Dessinateur de l'album : Simon Van Liemt Coloriste : Cerminaro Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Suite à un échange international, Bourdon est envoyé au Sénégal tandis que le commissaire Dior prend sa place au Quai des Orfèvres. Un commissaire noir, ça bouleverse les habitudes et Dior est confronté à un racisme brutal. Entre-temps, Cupidon, un redoutable tueur en série, rôde dans les rues de Paris... Critique : Si le précédent tome ne m'avait pas laissé une impression remarquable, j'avoue que ce tome-ci m'a fait reconsidérer ma position quand à la résurrection de Ric Hochet aux éditions du Lombard. En effet ce tome fourmille de bonnes idées, et on sent que le traitement avec un regard actuel sur une époque passée est ici bien pensé, et apporte quelque chose pour une fois. Zidrou nous démontre une fois de plus son talent même s'il n'avait plus grand chose à nous prouver. Le personnage du commissaire Griot et l'expatriation temporaire du commissaire Gordon apporte un vrai vent de fraicheur à la série, et le duo formé par Ric et la pétillante Nadine monte clairement en puissance. L'action et l'enquête sont menées à un bon rythme et les trois affaires simultanées sont narrées avec beaucoup de clarté. Les dessins de Simon Van Liemt font eux honneur aux belles années de la ligne claire, et se montrent très efficaces sur ce polar même s'ils ne regorgent pas forcément de détails ou de planches remarquables. Ces nouvelles aventures de Ric Hochet vont enfin redevenir une lecture que j'attendrais avec plaisir et impatience, et c'est tant mieux. Espérons que Zidrou garde son inspiration. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-nouvelles-enquetes-de-ric-hochet-tome-5-commissaire-griot?ref=44 Voir la totalité de enregistrement- 2 réponses
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Au scénario de ce nouvel opus de Doggybags one shot, on retrouve Mud qui est un habitué de la série depuis quelques parutions. Mud était déjà le scénariste du tome précédent de la série intitulé Trenchfoot, sur des rednecks. Cette fois-ci, l'auteur nous propose une histoire d'anticipation aux Etats-Unis à la suite de la situation actuelle et du virus. On suit un groupe de survivalistes en conflit avec des soldats dans un état en guerre suite aux mesures du nouveau président qui retire les libertés des citoyens. L'histoire sera en huit clos puisqu'elle se déroulera dans un tank. L'angoisse sera palpable et l'équipage du tank devra coopérer pour survivre. Au niveau des dessins, Prozeet fait un travail de qualité dans la veine des productions du label 619. Prozeet a déjà travaillé également sur une histoire courte de la série principale. Après un deuxième one shot par Mud, Je ne pense pas être un amateur de ses histoires alors que j’apprécie beaucoup les récits Doggybags en général. J'ai tout de même une préférence pour les Doggybags au format trois histoires courtes avec des équipes artistiques différentes.
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Titre de l'album : Doggybags D.O.G Scenariste de l'album : Mud Dessinateur de l'album : Prozeet Coloriste : Prozeet Editeur de l'album : Ankama Note : Résumé de l'album : L'histoire se déroule en 2034, au coeur des États-Unis, alors en marche vers un nouveau conflit mondial et empêtrés dans une guerre civile. La trame historique du pays entre 2019 et 2034 est basée sur le modèle de l'Allemagne de l'entre-deux guerres et exacerbe les crises, dérives politiques et idéologiques émergentes aujourd'hui sur le sol américain. Critique : Au scénario de ce nouvel opus de Doggybags one shot, on retrouve Mud qui est un habitué de la série depuis quelques parutions. Mud était déjà le scénariste du tome précédent de la série intitulé Trenchfoot, sur des rednecks. Cette fois-ci, l'auteur nous propose une histoire d'anticipation aux Etats-Unis à la suite de la situation actuelle et du virus. On suit un groupe de survivalistes en conflit avec des soldats dans un état en guerre suite aux mesures du nouveau président qui retire les libertés des citoyens. L'histoire sera en huit clos puisqu'elle se déroulera dans un tank. L'angoisse sera palpable et l'équipage du tank devra coopérer pour survivre. Au niveau des dessins, Prozeet fait un travail de qualité dans la veine des productions du label 619. Prozeet a déjà travaillé également sur une histoire courte de la série principale. Après un deuxième one shot par Mud, Je ne pense pas être un amateur de ses histoires alors que j’apprécie beaucoup les récits Doggybags en général. J'ai tout de même une préférence pour les Doggybags au format trois histoires courtes avec des équipes artistiques différentes. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/doggybags-one-shot-d-o-g?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Avant de me lancer dans la critique de Céleste, je tiens à dire que la note attribuée l'est pour un publique de petite fille. En effet cet album est à destination de 6-10 ans grand max. Une fois ce ci dit, on a l'a une BD très mignonne et vraiment parfaite pour les petites filles. On est ici dans une grosse dose de bon sentiment et de bienveillance. Des couleurs qui brillent, des dessins dynamiques, des licornes et des arc-en-ciel. La totale. Un bonbon multicolore au scenario simple, aux écriture assez larges, pour permettre à un très jeune publique apprenant à lire (ma file de CP par exemple) de se lancer toute seule dans la vraie lecture d'une BD. Une réussite pour un prix contenu. A lire.... si vous avez entre 6 et 8 ans bien sur 😉
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Titre de l'album : Céleste la licorne tome 2 - Sauvons les arcs-en-ciel Scenariste de l'album : Geneviève Guilbault/ Lisette Morival Dessinateur de l'album : Jérémy Parigi Coloriste : Jérémy Parigi Editeur de l'album : Kennes Note : Résumé de l'album : Que se passe-t-il sur Terre et dans le ciel ? Catastrophe! Les couleurs sont en train de disparaître! Les arcs-en-ciel seront bientôt gris si ça continue.... Décidées à trouver une solution, Céleste et Luna-Belle s'envolent jusqu'au royaume des fées. Là, elles apprennent que la pierre éclatante, qui donne la couleur à tous les objets sur la Terre, a été volée! Un indice les guide vers le volcan noir... Malgré le danger, il est grand temps d'y aller car bientôt, c'est le jaune qui disparaîtra et ainsi donc le beau soleil... Critique : Avant de me lancer dans la critique de Céleste, je tiens à dire que la note attribuée l'est pour un publique de petite fille. En effet cet album est à destination de 6-10 ans grand max. Une fois ce ci dit, on a l'a une BD très mignonne et vraiment parfaite pour les petites filles. On est ici dans une grosse dose de bon sentiment et de bienveillance. Des couleurs qui brillent, des dessins dynamiques, des licornes et des arc-en-ciel. La totale. Un bonbon multicolore au scenario simple, aux écriture assez larges, pour permettre à un très jeune publique apprenant à lire (ma file de CP par exemple) de se lancer toute seule dans la vraie lecture d'une BD. Une réussite pour un prix contenu. A lire.... si vous avez entre 6 et 8 ans bien sur 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/celeste-la-licorne-tome-2-sauvons-les-arcs-en-ciel?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Bon, j'ai un chien depuis quelques mois, alors forcément une BD humour sur ce thème, ça me tentait pas mal, surtout avec le format court des strips. Sauf que cela n'a pas marché sur moi, trop peu de sourires et d'amusements, pas mal de gags sur lesquels je n'ai pas accroché et un dessin qui ne m'a pas fait plus marrer que cela. Dommage, je pense que l'auteur s'est trompé de cible en essayant de nous faire passer des vannes sur les hommes à travers les chiens, soit le curseur n'est pas assez loin dans cette démarche, soit il fallait faire une bd de gags de chiens, là on reste sur notre faim des deux côtés. Après parler d'une BD humour est toujours délicat, car ce qui ne fonctionne pas chez l'un peut très bien fonctionner chez d'autres. Globalement ce Clebs est un moment de lecture sympa, mais qui ne restera pas dans ma mémoire des BD humour. J'espère que la nouvelle collection Pop de chez soleil nous proposera des sorties plus consistantes.
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Titre de l'album : Clebs - Tome 1 - Pas de chienchien pour sa mémère Scenariste de l'album : Olivier Supiot Dessinateur de l'album : Olivier Supiot Coloriste : Olivier Supiot Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Clebs ! est une série de gags dont les héros ou plutôt les anti-héros sont nos plus fidèles compagnons, les chiens. Chaque personnage possède un caractère singulier : le crétin de service, l'obsédé sexuel myope, la fashion victime relookeuse, le gueulard maladroit etc. Des clebs avec des travers très humains qui nous rappellent notre côté cabot... Critique : Bon, j'ai un chien depuis quelques mois, alors forcément une BD humour sur ce thème, ça me tentait pas mal, surtout avec le format court des strips. Sauf que cela n'a pas marché sur moi, trop peu de sourires et d'amusements, pas mal de gags sur lesquels je n'ai pas accroché et un dessin qui ne m'a pas fait plus marrer que cela. Dommage, je pense que l'auteur s'est trompé de cible en essayant de nous faire passer des vannes sur les hommes à travers les chiens, soit le curseur n'est pas assez loin dans cette démarche, soit il fallait faire une bd de gags de chiens, là on reste sur notre faim des deux côtés. Après parler d'une BD humour est toujours délicat, car ce qui ne fonctionne pas chez l'un peut très bien fonctionner chez d'autres. Globalement ce Clebs est un moment de lecture sympa, mais qui ne restera pas dans ma mémoire des BD humour. J'espère que la nouvelle collection Pop de chez soleil nous proposera des sorties plus consistantes. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/clebs-tome-1-pas-de-chienchien-pour-sa-memere?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Communiqué de presse : Innover en s'appuyant sur le fond Depuis sa relance en 2005, la maison d’édition a édité plus de 600 titres et porte un catalogue de caractère. Nouveau pas en avant : le 26 mai 2021, elle publiera ses 3 premiers livres au format poche, 3 titres emblématiques de Futuro. Le marché du roman graphique a énormément évolué ces dernières années, touchant des genres aussi variés que l’Histoire, le Document, la Littérature et aujourd’hui les Essais qui sont en plein essor. Mais avec un nombre de nouveautés toujours croissant, il devient de plus en plus difficile de s’y repérer pour les lecteurs. Il est plus difficile, aussi, pour les ouvrages de garder leur place en librairie. Initier FUTUROPOLIS POCHE, c’est affirmer notre identité d’éditeur ouvert sur le monde, faire vivre autrement notre fonds et permettre à plus de lecteurs de les découvrir. Jeter de nouveaux ponts Si la pandémie a bouleversé le monde du livre en 2020, elle a également révélé le besoin de lecture pour tous. Plus que jamais, il nous a semblé nécessaire de rendre plus accessibles les titres de notre fonds. Après de nombreuses initiatives numériques, nous avons choisi d’étendre cette souplesse à notre catalogue « papier » et d’innover en proposant quelques titres au format poche. En 2021, choisir d’adapter en format souple trois livres représentatifs de l’esprit Futuro, c’est faire le pari de partager plus largement une ligne éditoriale marquée, puisque adapter le format c’est aussi adapter le prix du livre. 3 titres seront donc disponibles chaque année en mai. La collection FUTUROPOLIS POCHE emprunte la forme des éditions de poche, avec un format de 14,8 x 20 cm et une reliure brochée. Mais sa finition reste soignée avec un papier crème et une impression au plus proche de l’édition grand format, qui permet une reproduction fidèle au travail des auteurs. Faisons le pari aujourd’hui qu’ils toucheront l’esprit et le cœur d’une plus grande communauté encore.
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Alors ça va paraitre incongru voir incompréhensible aux jeunots mais.... qu'est-ce que ça sent bon la série B de chez Delcourt ce Téléportation Inc. Au milieu de la lecture je me serais cru avec un des très bons albums de Nash ou de Carme entre les mains. De la BD d'aventure grand spectacle. Bon on retrouve un mini coté humour qui rapproche plus cette BD de Travis que de Carmen mais l'héroïne est une jolie fille donc bon... Pour le reste on est sur ce qui se faisait de mieux en divertissement au début des années 2000: un dessin efficace, une coloration pêchue, une héroïne forte en caractère et surtout une aventure mi SF mi western supère rafraichissante. Car si la couverture fait très SF, ce qui fait la vrai nouveauté c'est de mettre cette aventure en place dans un monde typé western, aux confluences de Westworld et de Valerian (pour l'aspect space opera). Bref de la BD popcorn comme on en fait plus vraiment. Un vrai bon moment de détente et d'aventure, loin des normes de "dureté" et de "réalisme" des parutions actuelles. J'en viens à rêver que cette série nous livre plus de jolie diptyque c'est pour dire 🙂