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  1. Titre de l'album : Les enfants de Buchenwald Scenariste de l'album : Dominique Missika Dessinateur de l'album : Anaïs Depommier Coloriste : Alessandra Alexakis Editeur de l'album : Steinkis Note : Résumé de l'album : En avril 1945, à la libération du camp de Buchenwald, plus d'un millier d'enfants juifs ne savent pas où aller. Ils ont miraculeusement survécu et sont pour la plupart orphelins. Une mobilisation internationale, animée par l'OEuvre de Secours aux Enfants, organise leur prise en charge et tente de les aider. En juin 1945, 426 d'entre eux sont accueillis en Normandie, le temps d'un été. Ils sont en mauvaise santé, traumatisés et sans repères. Médecins, éducateurs et assistantes sociales vont les soigner, les aider à se reconstruire, et à reprendre goût à la vie. Dans ce récit inspiré de témoignages, Dominique Missika nous raconte l'histoire bouleversante des Enfants de Buchenwald. Critique : Voilà un angle intéressant de la seconde guerre mondiale et les horreurs perpétrées par le régime nazi ! Les auteurs choisissent de nous montrer "l'après" , une fois les camps libérés, que sont devenus les survivants de ces enfers ? Ils se penchent sur ses centaines d'enfants, bien souvent orphelins ou ne sachant absolument pas où se trouvent leurs parents si ces derniers sont encore en vie. Les américains en libérateurs débutent un semblant d'organisation des survivants/réfugiés avec des interrogatoires simples sur leurs origines, car on le rappelle, les juifs arrivaient de toute l'Europe ! Ils découvrent vite l'immense trauma et les séquelles physiques et psychologiques sur ces êtres décharnés. On apprend ainsi qu'ils seront les derniers à quitter les camps, faute de lieux en capacité de les recevoir. Le destin de 4 garçons sera le fil rouge du récit avec leur transfert en France et leur "reconstruction" au sein de l'établissement avec des médecins, institutrices et autres personnes dévouées à cette cause. Une histoire poignante qui vous apprendra qu'une fois la guerre finie, d'autres combats furent menés et dans de grandes difficultés. Pour dépeindre ce récit, un graphisme semi-réaliste aux limites de la ligne claire, rendant l'ensemble humain avec une note de légèreté. La simplicité des traits sur les visages et les paysages fait que l'on s'attarde peu sur le dessin et plus sur les dialogues. Des annexes en fin d'album vous en apprendront d'avantage sur le destin de ces enfants marqués par le sceau de l'histoire d'une empreinte indélébile. Une lecture nécessaire ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-enfants-de-buchenwald/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Kevin Nivek

    Les enfants de Buchenwald

    Voilà un angle intéressant de la seconde guerre mondiale et les horreurs perpétrées par le régime nazi ! Les auteurs choisissent de nous montrer "l'après" , une fois les camps libérés, que sont devenus les survivants de ces enfers ? Ils se penchent sur ses centaines d'enfants, bien souvent orphelins ou ne sachant absolument pas où se trouvent leurs parents si ces derniers sont encore en vie. Les américains en libérateurs débutent un semblant d'organisation des survivants/réfugiés avec des interrogatoires simples sur leurs origines, car on le rappelle, les juifs arrivaient de toute l'Europe ! Ils découvrent vite l'immense trauma et les séquelles physiques et psychologiques sur ces êtres décharnés. On apprend ainsi qu'ils seront les derniers à quitter les camps, faute de lieux en capacité de les recevoir. Le destin de 4 garçons sera le fil rouge du récit avec leur transfert en France et leur "reconstruction" au sein de l'établissement avec des médecins, institutrices et autres personnes dévouées à cette cause. Une histoire poignante qui vous apprendra qu'une fois la guerre finie, d'autres combats furent menés et dans de grandes difficultés. Pour dépeindre ce récit, un graphisme semi-réaliste aux limites de la ligne claire, rendant l'ensemble humain avec une note de légèreté. La simplicité des traits sur les visages et les paysages fait que l'on s'attarde peu sur le dessin et plus sur les dialogues. Des annexes en fin d'album vous en apprendront d'avantage sur le destin de ces enfants marqués par le sceau de l'histoire d'une empreinte indélébile. Une lecture nécessaire !
  3. Nous pure shojo chez Kana et un shojo qui fait du bien. Un shojo qui ne fait pas vraiment dans l'originalité mais qui est bien écrit et bien réalisé. On suit une jeune fille très studieuse qui a le cœur sur la main, mais qui ne sait pas comment s'ouvrir aux autres. Une jeune fille qui tend la main a un jeune Yankee du lycée d'à côté, sans rien attendre en retour mais qui va découvrir.. l'amour. Oui oui on est dans un shojo. Mais comme je vous le disais, un shojo mignon tout plein et un shojo qui avance vite, sans trop vous en dire. On n'est pas dans des circonvolutions qui nous feront attendre 4 tomes le premier rendez-vous ! Ce qui nous fait nous poser de bonnes questions pour les tomes suivants. En effet cette série compte 6 tomes aux japons et est encore en court. On est donc intrigué par les possibilités de cette romance, au vu de son démarrage rapide et du fait qu'ils sont déjà à l'équivalent du tome 4 d'un shojo normal... Un nouveau shojo très mignon avec des belles perspectives. Et ce avec un tarif redevenu correct de 7.30 pour un premier tome de 192 pages. Comment résister ?
  4. Titre de l'album : C'est de l'amour, crois-moi ! tome 1 Scenariste de l'album : Fujimomo Dessinateur de l'album : Fujimomo Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Risa Amakawa est une lycéenne dont la devise est « dans la vie, il faut se débrouiller par soi-même ». Incapable de demander de l’aide aux autres, elle ne se sépare jamais de son sac très lourd. Un jour, elle sauve, par hasard, un jeune homme blessé aux airs de yankee japonais, Zen Ôhira. Ce dernier lui annonce qu’il veut lui rendre son bienfait ! Au début, Risa refuse, mais en voyant Zen accourir dans toutes les situations, elle commence à le percevoir différemment… Critique : Nous pure shojo chez Kana et un shojo qui fait du bien. Un shojo qui ne fait pas vraiment dans l'originalité mais qui est bien écrit et bien réalisé. On suit une jeune fille très studieuse qui a le cœur sur la main, mais qui ne sait pas comment s'ouvrir aux autres. Une jeune fille qui tend la main a un jeune Yankee du lycée d'à côté, sans rien attendre en retour mais qui va découvrir.. l'amour. Oui oui on est dans un shojo. Mais comme je vous le disais, un shojo mignon tout plein et un shojo qui avance vite, sans trop vous en dire. On n'est pas dans des circonvolutions qui nous feront attendre 4 tomes le premier rendez-vous ! Ce qui nous fait nous poser de bonnes questions pour les tomes suivants. En effet cette série compte 6 tomes aux japons et est encore en court. On est donc intrigué par les possibilités de cette romance, au vu de son démarrage rapide et du fait qu'ils sont déjà à l'équivalent du tome 4 d'un shojo normal... Un nouveau shojo très mignon avec des belles perspectives. Et ce avec un tarif redevenu correct de 7.30 pour un premier tome de 192 pages. Comment résister ? Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/c-est-de-l-amour-crois-moi-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Titre de l'album : Ce qu'il reste de nous Scenariste de l'album : Jacques Terpant Dessinateur de l'album : Jacques Terpant Coloriste : Jacques Terpant Editeur de l'album : Futuropolis Note : Résumé de l'album : À partir d'un petit village du Dauphiné dont il est originaire, Jacques Terpant raconte l'histoire de la civilisation rurale en France, de l'an mil, où ce monde s'installe, à sa mort, au XXe siècle. À travers six histoires qui se suivent dans le temps, en se basant sur son histoire familiale, il fait revivre les grandes étapes de notre histoire, de ce monde en soi, ses élites, ses bourgeois, ses prolétaires et ses paysans... «Je fais partie de cette génération qui a vu disparaître une civilisation qui avait duré dix siècles, une autre vient que je ne verrai pas. Au détour de lectures, à la radio, je les reconnais, ceux qui comme moi, ont entrevu cet ancien monde. Ils peuvent être très différents : des écrivains comme Pierre Bergounioux, Pierre Jourde, Pierre Michon, Richard Millet, Jean-Loup Trassard, Jean Clair ou Marie Hélène Lafon, des historiens comme Alain Corbin, le chanteur Jean-Louis Murat... Tous ont en commun cette conscience de l'irrémédiable disparition, qui fait parenté entre eux. C'est la coupure historique entre l'homme et la terre, la disparition de la société agraire traditionnelle qui avait construit ce monde. Un monde qui s'efface et dont, comme le Cheshire cat, le chat d'Alice au pays des Merveilles, nous en voyons encore le sourire là où beaucoup ne discernent plus rien. Comme Marie-Hélène Lafon, avec son Cantal, Bergounioux et sa Corrèze, Trassard en Mayenne, c'est à partir d'un pays du Dauphiné, le mien depuis toujours, que je vais chercher "Ce qu'il reste de nous", après mille ans d'histoire...» Jacques Terpant Critique : Jacques Terpant c'est un des auteurs de "chez moi". Un auteur des alpes. Du Vercors pour être précis. Mais je vais faire fi de cet attachement géographique pour essayer de faire une critique en me mettant dans la peau de lecteurs ne connaissant pas notre belle région. Jacques Terpant nous livre une fresque généalogique décrivant l'évolution de la civilisation rurale, à l'aune du changement radicale que sont l'ultra connexion, l'automatisation et l'intelligence artificielle. Il nous montre, sans juger, l'évolution d'un seul et même endroit, depuis les premiers récits écrits jusqu'aux toutes dernières modifications urbaines. Du premier châtelain d'Hostun à la construction de la route D125, Jacques Terpant nous raconte les anecdotes qui ont fait l'histoire de ce fief. Les anecdotes qui nous font parcourir 1000 ans d'histoire en 120 pages et nous font nous rappeler d'ou l'on vient. Si l'effort de recueil et l'effort d'utiliser les termes des récits retrouvés est louable, je dois bien dire que la première partie sur l'histoire moyenâgeuse est très difficile à lire. On se perd avec les noms des lieux, des personnages et de la généalogie. Plus la grande histoire avances, plus les petites histoires se font compréhensibles et plus elles nous parlent. Même pour quelqu'un comme moi qui ai plus tendance à regarder devant que derrière. Ces 120 pages prennent leur temps pour nous embarquer dans ce retour en arrière qu'il sera nécessaire de faire lire à la génération suivante, celle qui n'aura vraiment vu le travail des campagnes que dans les livres d'histoires. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ce-qu-il-reste-de-nous/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. poseidon2

    Ce qu'il reste de nous

    Jacques Terpant c'est un des auteurs de "chez moi". Un auteur des alpes. Du Vercors pour être précis. Mais je vais faire fi de cet attachement géographique pour essayer de faire une critique en me mettant dans la peau de lecteurs ne connaissant pas notre belle région. Jacques Terpant nous livre une fresque généalogique décrivant l'évolution de la civilisation rurale, à l'aune du changement radicale que sont l'ultra connexion, l'automatisation et l'intelligence artificielle. Il nous montre, sans juger, l'évolution d'un seul et même endroit, depuis les premiers récits écrits jusqu'aux toutes dernières modifications urbaines. Du premier châtelain d'Hostun à la construction de la route D125, Jacques Terpant nous raconte les anecdotes qui ont fait l'histoire de ce fief. Les anecdotes qui nous font parcourir 1000 ans d'histoire en 120 pages et nous font nous rappeler d'ou l'on vient. Si l'effort de recueil et l'effort d'utiliser les termes des récits retrouvés est louable, je dois bien dire que la première partie sur l'histoire moyenâgeuse est très difficile à lire. On se perd avec les noms des lieux, des personnages et de la généalogie. Plus la grande histoire avances, plus les petites histoires se font compréhensibles et plus elles nous parlent. Même pour quelqu'un comme moi qui ai plus tendance à regarder devant que derrière. Ces 120 pages prennent leur temps pour nous embarquer dans ce retour en arrière qu'il sera nécessaire de faire lire à la génération suivante, celle qui n'aura vraiment vu le travail des campagnes que dans les livres d'histoires.
  7. Titre de l'album : Duncross - Contre les créatures du mal Scenariste de l'album : Derek Laufman Dessinateur de l'album : Derek Laufman Coloriste : Derek Laufman Editeur de l'album : Bamboo Note : Résumé de l'album : Fun et action dans la Dark Fantasy ! Le père McKellen est l'assistant de Sir Duncross, un chevalier qui ne craint pas la peur. Il est témoin de toutes ses missions ayant pour but de purifier le monde des créatures du mal. Que ce soit dans une chapelle abandonnée ou en haut d'une tour près du rivage, Duncross est là pour les éliminer. Des monstres et des combats pour une aventure 100% fun. Critique : C'est un ovni assez particulier que celui-ci car il se présente tout d'abord comme une série d'action humoristique. Hors il n'en n'est pas grand chose du côté de l'humour hormis le trait de Derek Laufman car sur le fond c'est une quête bien sombre que poursuivent nos deux héros. Certes ça castagne et il y a bien quelques punchlines, mais comme toujours quand il s'agit de débusquer le mal, on ne tombe pas toujours sur ce que l'on imagine au départ. C'est bien un one shot, même si on imagine que l'auteur aurait eu bien d'autres aventures de ses deux personnages à nous raconter, et pour tout vous dire, cela a un parfum un peu d'inachevé ou de trop peu car le potentiel était là. Reste donc le charme de ces deux compères un peu désuets et à l'ancienne dans leur chasse aux démons 🙂 Et c'est déjà bien. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/duncross-contre-les-creatures-du-mal/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. C'est un ovni assez particulier que celui-ci car il se présente tout d'abord comme une série d'action humoristique. Hors il n'en n'est pas grand chose du côté de l'humour hormis le trait de Derek Laufman car sur le fond c'est une quête bien sombre que poursuivent nos deux héros. Certes ça castagne et il y a bien quelques punchlines, mais comme toujours quand il s'agit de débusquer le mal, on ne tombe pas toujours sur ce que l'on imagine au départ. C'est bien un one shot, même si on imagine que l'auteur aurait eu bien d'autres aventures de ses deux personnages à nous raconter, et pour tout vous dire, cela a un parfum un peu d'inachevé ou de trop peu car le potentiel était là. Reste donc le charme de ces deux compères un peu désuets et à l'ancienne dans leur chasse aux démons 🙂 Et c'est déjà bien.
  9. Titre de l'album : Thorgal Saga - De givre et de feu Scenariste de l'album : Olivier Legrand & Jean-Blaise Djian Dessinateur de l'album : David Etien Coloriste : Bruno Tatti Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Pris dans une tempête surnaturelle et échoué sur une banquise glaciale, Thorgal découvre que le Fimbulvinter, le légendaire grand hiver annonçant la fin du monde, est proche. Pour sauver les siens et stopper cette menace, il devra s'aventurer jusqu'au coeur du royaume des géants et affronter les flammes de Muspelheim. En compagnie d'alliés aussi mystérieux et dangereux que la magicienne Vakva, fille de la Reine-Sorcière de l'île du Givre, il entame une quête périlleuse afin de dérober le Feu Magique capable de repousser l'hiver éternel. L'avenir des mondes est désormais entre les mains de Thorgal. Critique : Avec d'ors et déjà 2 tomes sur 3 dans les best of de 1001bd et le dernier qui était quand même déjà sacrément bien, il est peu dire que le paris des éditions du Lombard avec son Throgal Saga est une réussite. Il faut reconnaitre que dupliquer une partie des recettes du succès de la collection Signé sur un mythe comme Thorgal avait tout pour nous plaire. Ce quatrième tome va s'inscrire directement dans cette lignée, car il s'agit encore de l'un de mes coups de coeur de cette année. Il faut dire que le mélange : auteurs de qualités, héros intrépide et attachant, et mythologie du grand nord ne peut que me plaire. Si la couverture version feu m'a laissé un petit peu dubitatif sur le fait que le dessin de David Etien saurait s'adapter au style Thorgal, j'ai été rassuré dès les premières pages. Le style est bien respectueux de l'œuvre sans se renier pour autant, et la mise en couleur de grande qualité de Bruno Tatti ne fait que rendre l'ensemble encore plus séduisant. Le scénario d'Olivier Legrand & Jean-Blaise Djian se révèle infiniment respectueux de l'œuvre et du personnage tout en nous plongeant une nouvelle fois dans la mythologie nordique. Thorgal se retrouvera, fidèle à lui même encore et toujours opposé aux dieux et à leurs jeux. Il y a de l'odyssée d'Ulysse dans le destin de notre Thorgal, et ce n'est pas pour me déplaire. Je reste un grand amateur de mythologie nordique (surtout depuis les derniers God of War je le confesse) alors revoir encore et encore ces personnages reste un immense plaisir. Je ne peux que vous conseiller ces Thorgal saga qui viennent magnifier l'un de nos meilleurs héros de bd franco belge. L'édition en plus est de très bonne qualité, et la pagination à la hauteur pour ces one shots. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/thorgal-saga-de-givre-et-de-feu-couverture-feu?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Titre de l'album : Cyborgs - Tome 1 - Ronin Scenariste de l'album : Jean Luc Istin Dessinateur de l'album : Kael Ngu Coloriste : Florent Daniel Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Yuko est née handicapée, elle porte des prothèses en plastique, pâles substituts des laissés-pour-compte. Elle vit avec Akira, maître en arts martiaux et entraîneur des Trakeurs, les mercenaires du dictateur Tudor. Quand une loi sur l'euthanasie des êtres "imparfaits" est publiée, la cité s'embrase les obligeant à fuir. Pourchassés par les Trakeurs, leur cavale chaotique les mènera jusqu'à Russel. Critique : Nouvelle série de Science fiction qui ne sera pas sans rappeler ISS Snipers au fidèles lecteurs des éditions Soleil. On retrouve le prolifique Jean-Luc Istin une nouvelle fois au scénario et l'expérimenté Benoit Dellac au storyboard. Ils sont rejoints par le dessinateur Kael Ngu, qui a démarré sa carrière dans le monde des comics US avant d'être attrapé par Soleil pour lancer cette nouvelle série de one shots... On est vraiment sur une série qui tient plus de l'action que de la science fiction, tant le rythme est effréné et le background à peine esquissé. Ceci étant dit l'univers reste prometteur, et je pense que ce seront des one shots mais avec un lien assez fort entre eux puisqu'il s'agit vraisemblablement du début de la formation d'une équipe liée par un but commun, le narrateur étant le seul changement entre chaque tomes. Mais ça je pourrai vous en dire plus sur la structure de la série après le prochain tome. Les dessins de Kael Ngu sont très bien, assez originaux même par rapport aux productions soleil habituelles, et c'est agréable de ne pas avoir l'impression de se retrouver devant un clone des séries passées. Mention spéciale à la pagination, car 84 pages cela laisse vraiment le temps de raconter une histoire et c'est appréciable. Autres infos : Storyboard par Benoit Dellac Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : http://www.bdfugue.com/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Titre de l'album : Soà - Le silence de mes cris Scenariste de l'album : Gérard Cousseau Dessinateur de l'album : Abdessalam "Shinja" Mouataqid Coloriste : Abdessalam "Shinja" Mouataqid Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : Une fantastique histoire de femme et un hymne à la résilience. 1886. Sur une petite île bretonne, le curé remarque l'intelligence exceptionnelle de Soà, une fillette sourde et muette, et convainc son père de l'envoyer étudier sur le continent. Commence alors pour la jeune fille un long cheminement semé d'embûches et de larmes qui lui fera pourtant soulever des montagnes, mais aussi découvrir et surmonter le traumatisme d'enfance qui lui a fait perdre une partie de ses sens. Du sauvetage de naufragés à l'aide à des familles juives durant la Seconde Guerre mondiale, en passant par son combat en tant que suffragette, Soà va trouver sa voie, envers et contre tout, et devenir une défenseuse des droits des femmes à travers le monde. Critique : J'aurais du mal à vous expliquer mais parfois il y a des bandes dessinées que vous n'avez pas spécialement envie de lire. Vous savez qu'elles sont probablement excellentes, mais l'humeur du jour, le thème de la bd, ou vos envies du moment ne collent pas. C'est le cas avec ce Soà dont le moins que l'on puisse dire c'est que la couverture est réussie pourtant. Et puis finalement vous vous lancez, et vous vous rendez compte au fil des pages que vous êtes heureux de vous être faits violence. Ce Soà c'est exactement cela. Une très belle lecture, et si côté graphisme, j'ai mis un peu de temps à m'adapter au style; pourtant flamboyant mais pas si conventionnel en bd franco belge, côté scénario on plonge très vite dans ce monde là du début du vingtième siècle. Le style de "Shinja" est plus que remarquable et au fil des pages on a sous nos yeux des paysages somptueux et des personnages vivants. Bravo aux auteurs donc, il est souvent difficile de faire changer d'avis ou d'humeur sur une bd. Le destin de Soa est bouleversant et marquant, et sa mise en bd est très réussie. Je ne peux que vous en recommander la lecture, c'est marquant. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/soa-le-silence-de-mes-cris/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. poseidon2

    Flavor girls tome 1

    Nouvelle série "hybride" pour Dargaud dans sa collection "Combo". Série hybride car empruntant coté graphique et base de scenario, au manga. Mais se lisant dans le sens de lecture français, étant tout en couleur, et ajoutant un côté humoristique pus européen que japonais. Un ensemble qui s'assemble bien et nous donne un très bon début d'histoire, qui alterne entre les hommages aux mythes japonais (Sailor Moon, Goldorak....) et l'aventure touchante de jeunes filles qui n'ont rien demandées, mais qui se voient confier le destin de rien de moins que l'humanité. Les personnages des jeunes filles sont un peu caricaturaux (la cheffe réfléchie, la sportive ronchonne, la gentille avec tous de la novelle ingénue) mais cela n'est pas gênant, car elles sont bien maitrisées et le quatuor se partage bien la scène. Cerise sur le gâteau, les ennemis, à la Goldorak, ont une vraie motivation et un véritable objectif qui ajoute une nouvelle dimension en fin d'album. Un premier tome dense et intéressant pour une série à suivre !
  13. Titre de l'album : Flavor girls tome 1 Scenariste de l'album : Loic Locatelli Dessinateur de l'album : Loic Locatelli Coloriste : Loic Locatelli Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Naoko, Camille et V sont les Flavor Girls, les Gardiennes du Fruit Sacré ! Leur mission : défendre la Terre contre la menace des Agarthiens, dont les intentions demeurent inconnues. Parallèlement la jeune Sara, étudiante brillante qui voudrait faire un stage à l'ONU pour changer le monde, se voit assigner un rôle qui dépasse ses rêves les plus fous : être la quatrième gardienne ! Tandis que les Flavor Girls perfectionnent leurs pouvoirs avec leur Maîtresse, Himiko, leur dernière recrue saura-t-elle déjà les aider à sauver la planète d'un danger de destruction imminent ?... Critique : Nouvelle série "hybride" pour Dargaud dans sa collection "Combo". Série hybride car empruntant coté graphique et base de scenario, au manga. Mais se lisant dans le sens de lecture français, étant tout en couleur, et ajoutant un côté humoristique pus européen que japonais. Un ensemble qui s'assemble bien et nous donne un très bon début d'histoire, qui alterne entre les hommages aux mythes japonais (Sailor Moon, Goldorak....) et l'aventure touchante de jeunes filles qui n'ont rien demandées, mais qui se voient confier le destin de rien de moins que l'humanité. Les personnages des jeunes filles sont un peu caricaturaux (la cheffe réfléchie, la sportive ronchonne, la gentille avec tous de la novelle ingénue) mais cela n'est pas gênant, car elles sont bien maitrisées et le quatuor se partage bien la scène. Cerise sur le gâteau, les ennemis, à la Goldorak, ont une vraie motivation et un véritable objectif qui ajoute une nouvelle dimension en fin d'album. Un premier tome dense et intéressant pour une série à suivre ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/flavor-girls-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Titre de l'album : The prism - Tome 2 Scenariste de l'album : Matteo de Longis Dessinateur de l'album : Matteo de Longis Coloriste : Matteo de Longis Editeur de l'album : Oxymore Note : Résumé de l'album : À la surface de la Terre, des espaces immenses sont recouverts par le S.O.T.W. (Smoke On The Water). Ce phénomène, lié à la pollution sonore, efface la vie là où il passe... La seule option pour le contenir vient d'une mégacorporation dont l'objectif est d'envoyer dans l'espace un supergroupe de rock pour enregistrer un album. Le projet «The Prism» vise à réunir les meilleurs musiciens pour sauver la vie sur Terre et enrayer le S.O.T.W. La suite narre les exploits des «REC missions» sur les différentes planètes du système solaire et révèle l'histoire et les motivations de chaque musicien, ici, celles de Dorian. Batteur d'origine ukrainienne, il jouait avec son frère à Odessa jusqu'à ce que n'éclate la guerre entre l'Ukraine et la Russie, bouleversant ainsi leurs vies. Critique : Après une premier tome introductif situant le contexte et présentant brièvement les personnages, l'auteur complet Matteo de Longis aborde la suite aux confins de l'espace. En effet, le "vaisseau-guitarre" transportant l'équipe de techniciens et musiciens censés sauver le monde du SOTW est sur le point d'entrer en orbite de Mercure, première étape du voyage stellaire musical. L'histoire aborde en parallèle le passé de Dorian le batteur ukrainien. On y suit ses concerts clandestins sous la menace d'une invasion russe (encore oui 🙂 ), puis le conflit russo-ukrainien une fois bien établi avec un danger omniprésent perturbant leur quotidien. Il va puiser dans ce passé et y trouver des ressources pour atteindre une sorte de trans musicale lui permettant de réaliser les objectifs fixés sur le sol mercurien. Car oui, ils se posent sur Mercure et entame leur tournée interplanétaire, où comment sauver l'humanité au son du rock ! Mais sous des températures extrêmes et la menace de météorites, le danger rôde telle l'invasion russe passée, avec des conséquences, inattendues 😉 L'auteur semble axer les tomes sur la présentation d'un des protagonistes tout en ajoutant des éléments de récit faisant avancer l'histoire principale. Il manie toujours aussi bien le découpage et innove avec des onomatopées "sonores" permettant au lecteur d'imaginer facilement un son approprié. C'est véritablement une expérience de lecture. Les couleurs sont "flashies" et immersives, à l'image des nombreux effets spéciaux lumineux. Il n'hésite pas à présenter des plans larges ou des pages entières, renforçant l'immensité spatiale. Il invente le "space-rock" remplaçant le space-opéra ! Je vous laisse découvrir quelle sera la prochaine destination de notre équipage et sur qui il sera centré 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-prism-tome-2-red-shift/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Kevin Nivek

    The prism - Tome 2

    Après une premier tome introductif situant le contexte et présentant brièvement les personnages, l'auteur complet Matteo de Longis aborde la suite aux confins de l'espace. En effet, le "vaisseau-guitarre" transportant l'équipe de techniciens et musiciens censés sauver le monde du SOTW est sur le point d'entrer en orbite de Mercure, première étape du voyage stellaire musical. L'histoire aborde en parallèle le passé de Dorian le batteur ukrainien. On y suit ses concerts clandestins sous la menace d'une invasion russe (encore oui 🙂 ), puis le conflit russo-ukrainien une fois bien établi avec un danger omniprésent perturbant leur quotidien. Il va puiser dans ce passé et y trouver des ressources pour atteindre une sorte de trans musicale lui permettant de réaliser les objectifs fixés sur le sol mercurien. Car oui, ils se posent sur Mercure et entame leur tournée interplanétaire, où comment sauver l'humanité au son du rock ! Mais sous des températures extrêmes et la menace de météorites, le danger rôde telle l'invasion russe passée, avec des conséquences, inattendues 😉 L'auteur semble axer les tomes sur la présentation d'un des protagonistes tout en ajoutant des éléments de récit faisant avancer l'histoire principale. Il manie toujours aussi bien le découpage et innove avec des onomatopées "sonores" permettant au lecteur d'imaginer facilement un son approprié. C'est véritablement une expérience de lecture. Les couleurs sont "flashies" et immersives, à l'image des nombreux effets spéciaux lumineux. Il n'hésite pas à présenter des plans larges ou des pages entières, renforçant l'immensité spatiale. Il invente le "space-rock" remplaçant le space-opéra ! Je vous laisse découvrir quelle sera la prochaine destination de notre équipage et sur qui il sera centré 😉
  16. The_PoP

    Didi - Tome 2 - Métamorphose

    Le tome 1 de Didi avait été une bonne surprise car je l'avoue je n'en attendais pas grand chose tant le pitch me semblait étrange. Force était de constater que l'ensemble fonctionnait bien, mais ce second tome est cette fois-ci plus attendu alors qu'en est-il ? Si la surprise ne fonctionne plus autant, et que la trame de l'histoire devient finalement plus classique, cette série n'en perd pas ses qualités intrinsèques pour autant : un scénario bien construit autour d'une narration dynamique et efficace, des personnages bien pensés, et un dessin plutôt agréable. Didi est une série qui fonctionne bien, et que mes neveux ont beaucoup apprécié. On n'est certes pas sur le très haut de la bd jeunesse, mais c'est une lecture très agréable, le découpage hyper dynamique et visuel des pages rendant le tout vraiment fluide. Les jeunes amateurs de fantastique seront ravis. A noter que je trouve la couverture un peu trop tendre par rapport au contenu graphique de l'album, bien plus mordant, notamment au niveau de la colorisation. Christian Galli réussit là un beau début de série en tant qu'auteur complet.
  17. Titre de l'album : Didi - Tome 2 - Métamorphose Scenariste de l'album : Christian Galli Dessinateur de l'album : Christian Galli Coloriste : Christian Galli Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Aidé par les incroyables pouvoirs de Didi, Simon cherche à percer le mystère de la disparition de son grand-père. Dans leur quête, lui et ses amis découvrent bientôt d'autres animaux évolués, aux capacités uniques ! Mais ces derniers sont en fait manipulés par un mystérieux Léonard, un redoutable ennemi qui veut s'approprier le pouvoir de Didi. Notre groupe de héros devra déjouer ses plans et libérer les grenouilles captives, avant qu'elles ne deviennent des armes malgré elles ! Critique : Le tome 1 de Didi avait été une bonne surprise car je l'avoue je n'en attendais pas grand chose tant le pitch me semblait étrange. Force était de constater que l'ensemble fonctionnait bien, mais ce second tome est cette fois-ci plus attendu alors qu'en est-il ? Si la surprise ne fonctionne plus autant, et que la trame de l'histoire devient finalement plus classique, cette série n'en perd pas ses qualités intrinsèques pour autant : un scénario bien construit autour d'une narration dynamique et efficace, des personnages bien pensés, et un dessin plutôt agréable. Didi est une série qui fonctionne bien, et que mes neveux ont beaucoup apprécié. On n'est certes pas sur le très haut de la bd jeunesse, mais c'est une lecture très agréable, le découpage hyper dynamique et visuel des pages rendant le tout vraiment fluide. Les jeunes amateurs de fantastique seront ravis. A noter que je trouve la couverture un peu trop tendre par rapport au contenu graphique de l'album, bien plus mordant, notamment au niveau de la colorisation. Christian Galli réussit là un beau début de série en tant qu'auteur complet. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/didi-tome-2-metamorphose/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. La troupe de Dorothée arrive enfin aux portes de la fabuleuse cité d'émeraude et espère rencontrer le grand magicien d'Oz ! Dorothée souhaite en effet retourner chez elle au Kansas et seul cet être mystérieux serait capable d'exaucer ce voeu. Un à un ils pénètrent dans l'antre du magicien et font leur demande. Une dernière requête d'Oz semble être l'unique solution pour accéder à leurs désirs, aussi ils se lancent dans cette entreprise au mépris des dangers ! Une fois de plus l'aventure vient à eux, mais ils font face en groupe par une grande solidarité et un peu d'aide extérieure 😉 . Les voici de retour en cité verte, le grand magicien tiendra t'il ses promesses ? Les apparences sont parfois trompeuses, même en pays d'Oz ! Une très jolie suite, fidèle au roman qui vient conclure ce diptyque riche en révélations. La lecture va de surprises en surprises et l'aventure prend des airs de chemin initiatique pour les membres du groupe. Chacun exprimera son talent et parviendra à se recréer grâce à un soupçon de magie mais pas que 😉 ! Ce monde magique est d'une grande diversité et fait toujours preuve d'un imaginaire débordant, plus de 120 ans après sa première édition aux Etats-Unis. Riche en symboles, il permet une double lecture, enfants et adultes y trouveront leur compte 🙂 . Le trait rond et doux de Hélène Canac est particulièrement réussi, idem pour ses couleurs donnant de la vivacité au récit. On parcourt ses pages avec le sourire et l'impression d'être cerné par la magie environnante, un beau voyage ! Des annexes avec des petits jeux et questions sur l'histoire complètent cette sympathique BD, pour ceux qui ne connaissent pas encore cette histoire presque éternelle !
  19. Titre de l'album : Le magicien d'Oz tome 2 - La méchante sorcière de l'ouest Scenariste de l'album : Maxe L'Hermenier Dessinateur de l'album : Hélène Canac Coloriste : Hélène Canac Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Dorothée et ses amis rencontrent enfin le magicien d'Oz pour lui exposer leurs souhaits. Cependant, le sorcier, intraitable, leur impose d'éliminer la méchante sorcière de l'Ouest avant d'accéder à leurs désirs. De nouveau sur la route, Dorothée, le lion peureux, l'épouvantail sans cervelle et le bûcheron en fer blanc devront affronter de nombreux dangers et vivront des aventures qui changeront leur destin. Toutefois, pour Dorothée, le chemin est encore long avant de pouvoir retourner au Kansas... Un carnet rédigé et validé par des enseignants complète cet album. Critique : La troupe de Dorothée arrive enfin aux portes de la fabuleuse cité d'émeraude et espère rencontrer le grand magicien d'Oz ! Dorothée souhaite en effet retourner chez elle au Kansas et seul cet être mystérieux serait capable d'exaucer ce voeu. Un à un ils pénètrent dans l'antre du magicien et font leur demande. Une dernière requête d'Oz semble être l'unique solution pour accéder à leurs désirs, aussi ils se lancent dans cette entreprise au mépris des dangers ! Une fois de plus l'aventure vient à eux, mais ils font face en groupe par une grande solidarité et un peu d'aide extérieure 😉 . Les voici de retour en cité verte, le grand magicien tiendra t'il ses promesses ? Les apparences sont parfois trompeuses, même en pays d'Oz ! Une très jolie suite, fidèle au roman qui vient conclure ce diptyque riche en révélations. La lecture va de surprises en surprises et l'aventure prend des airs de chemin initiatique pour les membres du groupe. Chacun exprimera son talent et parviendra à se recréer grâce à un soupçon de magie mais pas que 😉 ! Ce monde magique est d'une grande diversité et fait toujours preuve d'un imaginaire débordant, plus de 120 ans après sa première édition aux Etats-Unis. Riche en symboles, il permet une double lecture, enfants et adultes y trouveront leur compte 🙂 . Le trait rond et doux de Hélène Canac est particulièrement réussi, idem pour ses couleurs donnant de la vivacité au récit. On parcourt ses pages avec le sourire et l'impression d'être cerné par la magie environnante, un beau voyage ! Des annexes avec des petits jeux et questions sur l'histoire complètent cette sympathique BD, pour ceux qui ne connaissent pas encore cette histoire presque éternelle ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-magicien-d-oz-tome-2-la-mechante-sorciere-de-l-ouest/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. poseidon2

    Le meilleur des deux mondes

    En voila une bonne question : comment présenter à nos enfants un avenir autre qu'écologiquement triste et sans espoir ? C'est le questionnement que nous propose Alice Desbiolles dans son ouvrage "Le meilleur des deux mondes". Elle nous propose de sortir du militantisme pour se poser tout bonnement la question d'un "comment" raisonnable en nous faisant voyager au travers de toutes les époques pour nous sortir de notre fatalisme et nous montrer que nous pouvons encore croire à un bel avenir pour nos enfants. Si le lien entre les différentes époques est parfois tenu, avec de saut un peu abrupt d'un lieu/époque à l'autre, l'album dégage quand même une véritable envie de dédramatiser le débat pour continuer à le faire avancer. Un album pour la bonne cause, tout de même un petit peu exigeant pour le grand public.
  21. Titre de l'album : Le meilleur des deux mondes Scenariste de l'album : Alice Desbiolles Dessinateur de l'album : Anne Defréville Coloriste : Anne Defréville Editeur de l'album : Futuropolis Note : Résumé de l'album : Le meilleur des deux mondes est la bande dessinée officielle de l'exposition permanente «Urgence climatique», visible à la Cité des sciences et de l'industrie jusqu'en 2034. Découvrez le récit du voyage scientifique et onirique d'une jeune mère, à la recherche d'un futur désirable à offrir à son fils. Elle ira puiser dans les racines de sa conscience écologique, les savoirs des siècles passés et la connaissance scientifique actuelle afin de trouver la voie de la réconciliation. La médecin de santé publique Alice Desbiolles fut l'une des premières à développer le concept d'éco-anxiété. Pour autant, elle souhaite alerter sur les dérives potentielles de cet état. Aussi invite-t-elle à sortir d'un militantisme écolo trop injonctif pour rester soucieux de la démocratie et du désir d'agir. «Si j'avais considéré le combat comme perdu d'avance, je ne serai sûrement pas devenue maman. J'ai résisté aux sirènes du désenchantement. Allons chercher de quoi nous réapproprier notre avenir». Anne Defréville offre de son dessin apaisant une introspection sur nos contradictions face à la planète... Cette BD inspirante et documentée nous emmène des peintures rupestres de la grotte de Pech Merle à la jungle amazonienne, en passant par les marchés provençaux et les grands musées scientifiques du pays. Avec les interventions (plus ou moins volontaires) de Romain Gary, un dodo, Alexandre de Humboldt (naturaliste, géographe et explorateur), Aimé Bonplant (botaniste), Alexandra David-Néel (orientaliste, écrivaine, féministe), Doc Endoc, Sophie Dubuisson-Quellier (sociologue), Adrian Stalter (co-commissaire de l'exposition), Philippe Bihouix (spécialiste des ressources minérales et promoteur de slow-tech), Laurent Hazard (Directeur de Recherche en Agroécologie ), un moine tibétain et bien d'autres... Album réalisé en coédition avec la Cité des Sciences. Critique : En voila une bonne question : comment présenter à nos enfants un avenir autre qu'écologiquement triste et sans espoir ? C'est le questionnement que nous propose Alice Desbiolles dans son ouvrage "Le meilleur des deux mondes". Elle nous propose de sortir du militantisme pour se poser tout bonnement la question d'un "comment" raisonnable en nous faisant voyager au travers de toutes les époques pour nous sortir de notre fatalisme et nous montrer que nous pouvons encore croire à un bel avenir pour nos enfants. Si le lien entre les différentes époques est parfois tenu, avec de saut un peu abrupt d'un lieu/époque à l'autre, l'album dégage quand même une véritable envie de dédramatiser le débat pour continuer à le faire avancer. Un album pour la bonne cause, tout de même un petit peu exigeant pour le grand public. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-meilleur-des-deux-mondes?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. The_PoP

    Thorgal Saga - De givre et de feu

    Avec d'ors et déjà 2 tomes sur 3 dans les best of de 1001bd et le dernier qui était quand même déjà sacrément bien, il est peu dire que le paris des éditions du Lombard avec son Throgal Saga est une réussite. Il faut reconnaitre que dupliquer une partie des recettes du succès de la collection Signé sur un mythe comme Thorgal avait tout pour nous plaire. Ce quatrième tome va s'inscrire directement dans cette lignée, car il s'agit encore de l'un de mes coups de coeur de cette année. Il faut dire que le mélange : auteurs de qualités, héros intrépide et attachant, et mythologie du grand nord ne peut que me plaire. Si la couverture version feu m'a laissé un petit peu dubitatif sur le fait que le dessin de David Etien saurait s'adapter au style Thorgal, j'ai été rassuré dès les premières pages. Le style est bien respectueux de l'œuvre sans se renier pour autant, et la mise en couleur de grande qualité de Bruno Tatti ne fait que rendre l'ensemble encore plus séduisant. Le scénario d'Olivier Legrand & Jean-Blaise Djian se révèle infiniment respectueux de l'œuvre et du personnage tout en nous plongeant une nouvelle fois dans la mythologie nordique. Thorgal se retrouvera, fidèle à lui même encore et toujours opposé aux dieux et à leurs jeux. Il y a de l'odyssée d'Ulysse dans le destin de notre Thorgal, et ce n'est pas pour me déplaire. Je reste un grand amateur de mythologie nordique (surtout depuis les derniers God of War je le confesse) alors revoir encore et encore ces personnages reste un immense plaisir. Je ne peux que vous conseiller ces Thorgal saga qui viennent magnifier l'un de nos meilleurs héros de bd franco belge. L'édition en plus est de très bonne qualité, et la pagination à la hauteur pour ces one shots.
  23. Plus Nino grandit, plus Thierry Agnello maitrise son personnage et plus le personnage permet d'ouvrir les themes de ce droit au but. Ici on aborde.... les femmes 🙂 Jusque la Nino n'était concentré que sur le foot. La il trouve d'autre sujet que le foot pur. Mais cet album ne contient pas que ca et c'est ce qui est très bien dans tome. En effet on parle aussi dans ce tome 21 de la gestion du succès et de l'argent, avec les parents de Nino dans le besoin et Nino qui reçoit une grosse prime. Comment gérer l'honneur de ces parents mais les aider quand même ? Une double problématique intéressante et toujours parsemée de foot car la copine de Nino... est une footballeuse bien sur !
  24. Titre de l'album : Droit au but tome 21 - Bienvenue sur l'Olympe ! Scenariste de l'album : Thierry Agnello Dessinateur de l'album : Pedro J. Colombo Coloriste : Pedro J. Colombo Editeur de l'album : Hugo bd Note : Résumé de l'album : Droit au But, la bande-dessinée pour les 7-13 ans revient avec le tome 21 ! Double mission pour Nino, passé enfin pro : sauver les 3 Gabians de la faillite et mener vers son destin une jeune joueuse hors du commun ! Lors d'une petite fête organisée aux 3 Gabians à l'occasion de son passage en pro, Nino surprend des bribes de conversation entre ses parents : côté finances, la situation du bar est catastrophique, sans doute va-t-il falloir se résoudre à vendre l'établissement. Nino souhaiterait venir en aide à son père mais celui-ci, par fierté, refuse. Aux abords du city-stade de la Major, Nino repère une jeune fille très douée ballon au pied. Il tente d'en apprendre plus sur son compte mais la joueuse est très farouche et disparaît chaque fois qu'il tente de l'approcher. Grâce à l'aide de ses coéquipiers - et de son grand-père !, il parvient à la convaincre de passer un test pour intégrer l'équipe féminine de l'OM. Mais Akissi doit se consacrer prioritairement à ses études ! Critique : Plus Nino grandit, plus Thierry Agnello maitrise son personnage et plus le personnage permet d'ouvrir les themes de ce droit au but. Ici on aborde.... les femmes 🙂 Jusque la Nino n'était concentré que sur le foot. La il trouve d'autre sujet que le foot pur. Mais cet album ne contient pas que ca et c'est ce qui est très bien dans tome. En effet on parle aussi dans ce tome 21 de la gestion du succès et de l'argent, avec les parents de Nino dans le besoin et Nino qui reçoit une grosse prime. Comment gérer l'honneur de ces parents mais les aider quand même ? Une double problématique intéressante et toujours parsemée de foot car la copine de Nino... est une footballeuse bien sur ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/droit-au-but-tome-21-bienvenue-sur-l-olympe/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Titre de l'album : Les héricornes - Tome 3 - Le silence de Ketys Scenariste de l'album : Kid Toussaint Dessinateur de l'album : Verónica Álvarez Coloriste : Verónica Álvarez Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Le temple d'Aurora, destination finale des Héricornes, semble plus proche que jamais ! Néanmoins, le chemin restant est parsemé de dangers, tantôt survolé par des Hypalecs au bec acéré, tantôt constellé d'Orcons toujours aussi rustres. En filigrane, se dessinent l'enfance et le destin de la mystérieuse Lully : comment une petite fille si différente de son peuple est-elle devenue l'héritière de Ketys ? Ce n'est pas tout : dans ce troisième opus, le secret bien gardé d'une autre Héricorne va être révélé. Pour le bien du groupe et de sa propre licorne ? Peut-être bien… Critique : Le lombard nous propose son troisième tome de sa série jeunesse plutôt destinée à nos jeunes filles je pense par les thématiques abordées. Le scénario de Kid Toussaint me déçoit un petit peu pour le moment car l'ensemble reste assez simple, et les interactions entre les personnages peu riches. Certes cela laisse la place aux péripéties mais je trouve que par rapport aux autre séries jeunesse du Lombard, Les héricornes manque un petit peu d'ambition. Comme si l'on ne pouvait pas aimer les licornes et les histoires un peu plus étayées. Dommage donc, d'autant que si les dessins de Verónica Álvarez sont propres, il leur manque aussi le petit supplément d'âme qui rendrait cette bd plus remarquable. L'ensemble est bien mais je le trouve trop limité pour le conseiller à quelqu'un d'autre qu'à une jeune personne fan de licornes. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-hericornes-tome-3-le-silence-de-ketys/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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