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Après un premier tome de mise en place intéressant et qui nous présentait un univers riche et au paradigme de départ assez passionnant, ce tome 2 avait la lourde tâche de devoir clôturer ce diptyque. Et forcément c'est compliqué car développer autant d'ambitions sur simplement 2 tomes en SF demande une immense maitrise narrative. On a donc un tome 2 qui va du coup très très très vite. Et un dénouement qui se déroule à la vitesse du Faucon Millenium. Personnellement c'est un regret pour moi, car cette conclusion m'a laissé sur ma fin en me demandant ce qu'aurait donné cette histoire originale et bien pensée sur 3 tomes. Graphiquement c'est toujours réussi, surtout pour une production d'un éditeur indépendant comme Kamiti. La couverture elle est juste sublime. Au final voici une petite série en 2 tomes de science fiction rafraichissante et qui sort un peu des sentiers battus.
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Titre de l'album : Red Sun - Tome 2 - Ma soeur Scenariste de l'album : Stéphane Louis Dessinateur de l'album : Alessandra De Bernardis Coloriste : Alessandra De Bernardis Editeur de l'album : Kamiti Note : Résumé de l'album : Suite et fin du diptyque RED SUN. En l'an 2627, ce qu'il reste de l'humanité - en voie d'extinction - est réduit en esclavage sur le système solaire Red Sun. La rébellion, dirigée par Cass, a gagné plusieurs batailles contre la coalition Alien. Mais ces derniers possèdent l'arme ultime, l'antégénésis. Le dénouement final approche... Critique : Après un premier tome de mise en place intéressant et qui nous présentait un univers riche et au paradigme de départ assez passionnant, ce tome 2 avait la lourde tâche de devoir clôturer ce diptyque. Et forcément c'est compliqué car développer autant d'ambitions sur simplement 2 tomes en SF demande une immense maitrise narrative. On a donc un tome 2 qui va du coup très très très vite. Et un dénouement qui se déroule à la vitesse du Faucon Millenium. Personnellement c'est un regret pour moi, car cette conclusion m'a laissé sur ma fin en me demandant ce qu'aurait donné cette histoire originale et bien pensée sur 3 tomes. Graphiquement c'est toujours réussi, surtout pour une production d'un éditeur indépendant comme Kamiti. La couverture elle est juste sublime. Au final voici une petite série en 2 tomes de science fiction rafraichissante et qui sort un peu des sentiers battus. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/red-sun-tome-2-ma-soeur?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Le premier tome de Monsieur Vadim avait été une excellente surprise avec un personnage principale attachant et un contexte aussi réaliste que bien fait. J'attendais donc avec impatience le tome 2 terminant l'histoire et... je dois dire que je suis un peu mi-figue mi-raisin sur ce deuxième tome. Si le début de tome est toujours très bon, la fin aurait mérité quelques pages de plus. Gihef, en ajoutant du poids et de l'importance au policier, ajoute une couche de trop à son scenario et ne se laisse pas la place nécessaire pour bien clarifier la fin de son histoire. Les 3 dernières pages vont beaucoup trop vite. On y croit difficilement et c'est un peu dommage car 3-4 pages ne plus auraient permis de vraiment expliquer les différentes branches de l'histoire. Reste que Monsieur Vadim est un bon diptyque porté par un super personnage principal assez hors du commun
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Titre de l'album : Monsieur Vadim t2 (fin) Scenariste de l'album : Gihef Dessinateur de l'album : Mertens Coloriste : Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : Arthritique et sans argent, le vieux légionnaire reprend les armes pour en gagner. Quitte à oublier l’honnêteté. Un légionnaire retraité se retrouve sans ressource et à la rue du jour au lendemain. Un concours de circonstances l’amène à devenir tueur à gages pour le compte d’un caïd désireux de conquérir la French Riviera. Sous son innocente apparence de vieillard grabataire, il va s’avérer être une arme redoutable. Enfin, lorsque son arthrose ne lui joue pas des tours… Critique : Le premier tome de Monsieur Vadim avait été une excellente surprise avec un personnage principale attachant et un contexte aussi réaliste que bien fait. J'attendais donc avec impatience le tome 2 terminant l'histoire et... je dois dire que je suis un peu mi-figue mi-raisin sur ce deuxième tome. Si le début de tome est toujours très bon, la fin aurait mérité quelques pages de plus. Gihef, en ajoutant du poids et de l'importance au policier, ajoute une couche de trop à son scenario et ne se laisse pas la place nécessaire pour bien clarifier la fin de son histoire. Les 3 dernières pages vont beaucoup trop vite. On y croit difficilement et c'est un peu dommage car 3-4 pages ne plus auraient permis de vraiment expliquer les différentes branches de l'histoire. Reste que Monsieur Vadim est un bon diptyque porté par un super personnage principal assez hors du commun Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/monsieur-vadim-tome-2-supplement-frites-et-sulfateuse?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Chez Soleil on ne traine pas vraiment, à peine le tome 1 digéré que voici le second tome sur le thème des ISS Snipers. Las, si Soleil a probablement voulu retenter le joli coup réalisé avec sa série Conquêtes en s'en inspirant, force est de constater que la recette : one shot dans le même univers, SF classique, Action prépondérante, peu de lien entre chaque one shot ne fonctionne pas vraiment ici. Il faut croire qu'il manque d'autres ingrédients. Le tome 1 n,'était pas si inintéressant, mais ce tome 2 sera malheureusement oublié aussi vite qu'il a été lu. Est-ce que cela en fait une mauvaise BD ? Loin de là, puisque graphiquement ou scénaristiquement, le contenu est largement honorable. Simplement je suis déçu par la direction éditoriale donnée à cette série. Les personnages sont monoblocs, taillés à la serpe dans le granit, et la plupart du temps complètement dépourvus d'émotions. On ne croise que très peu d'humains dans cette série. L'action est certes présente, mais elle manque souvent de finesse, d'enjeux palpitants et de rebondissements. Le destin de ces anti-héros m'ai finalement assez complètement indifférent, et l'univers de SF présenté est sympa mais a déjà été vu et revu des dizaines de fois. Alors si globalement j'ai adhéré à Conqu^tes, pour le moment ISS Snipers m'a laissé sur la touche. Espérons que les prochains tomes viennent étoffer un peu cette série dont les auteurs font pourtant le job.
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Titre de l'album : I.S.S. Snipers - Tome 2 - Khol Murdock Scenariste de l'album : Louis Dessinateur de l'album : Stéphane Créty & Juliette Créty Coloriste : J. Nanjan Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : La planète Khaliste 24 est prisonnière du traître Gunnar, un monstre modifié qui surclasse les Snipers eux-mêmes ! Incapables de se déployer car limités en autonomie les Snipers enragent. Une unité expérimentale et secrète a cette précieuse autonomie, on les appelle « les Loups ». L'avenir de l'humanité est entre les mains d'un seul loup et pas n'importe lequel, Khôl Murdock, l'alpha de la meute ! Critique : Chez Soleil on ne traine pas vraiment, à peine le tome 1 digéré que voici le second tome sur le thème des ISS Snipers. Las, si Soleil a probablement voulu retenter le joli coup réalisé avec sa série Conquêtes en s'en inspirant, force est de constater que la recette : one shot dans le même univers, SF classique, Action prépondérante, peu de lien entre chaque one shot ne fonctionne pas vraiment ici. Il faut croire qu'il manque d'autres ingrédients. Le tome 1 n,'était pas si inintéressant, mais ce tome 2 sera malheureusement oublié aussi vite qu'il a été lu. Est-ce que cela en fait une mauvaise BD ? Loin de là, puisque graphiquement ou scénaristiquement, le contenu est largement honorable. Simplement je suis déçu par la direction éditoriale donnée à cette série. Les personnages sont monoblocs, taillés à la serpe dans le granit, et la plupart du temps complètement dépourvus d'émotions. On ne croise que très peu d'humains dans cette série. L'action est certes présente, mais elle manque souvent de finesse, d'enjeux palpitants et de rebondissements. Le destin de ces anti-héros m'ai finalement assez complètement indifférent, et l'univers de SF présenté est sympa mais a déjà été vu et revu des dizaines de fois. Alors si globalement j'ai adhéré à Conqu^tes, pour le moment ISS Snipers m'a laissé sur la touche. Espérons que les prochains tomes viennent étoffer un peu cette série dont les auteurs font pourtant le job. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/i-s-s-snipers-t02-khol-murdock?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Polar humoristique solidement ancré dans notre belle France, et assez souvent à Marseille, Léo Loden fait figure de vétéran dans les séries de BD franco pelge de polar légèrement humoristique. Il faut dire qu'au bout de 28 tomes il n'est probablement pas facile pour les auteurs de raconter de nouvelles choses ? Et bien à priori, Carrere et Nikoloff ont encore des histoires à nous raconter, tout en faisant gentiment évoluer le personnage de Leo Loden. Gentiment rigolo, l'intrigue est suffisamment développée pour qu'on arrive à la fin en ayant passé un bon moment de lecture entrecoupé de nombreux sourires, et finalement n'est-ce pas ce que l'on recherche quand on ouvre un léo Loden ? Paris réussi donc pour ce tome 28 qui ravira je pense les habitués de la série tout autant que les néophytes, puisqu'il peut très bien se lire sans avoir de connaissance particulière de la série. Une bd qui sent bon les vieilles productions franco-belge, et finalement parfois, on n'en demande guère plus.
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Titre de l'album : Léo Loden - Tome 28 - Carmina Burrata Scenariste de l'album : Nicoloff Dessinateur de l'album : Carrere Coloriste : Cerise Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Diane est remplaçante à l'opéra de Marseille. À l'occasion d'une adaptation controversée de Carmen, elle endosse le premier rôle pour le meilleur et surtout pour le pire. Qui dans l'entourage de la production a intérêt à voir la pièce sabotée? Leo et Tonton doivent faire toute la clarté sur ces accidents à répétition qui font de plus en plus figure d'attentats. Critique : Polar humoristique solidement ancré dans notre belle France, et assez souvent à Marseille, Léo Loden fait figure de vétéran dans les séries de BD franco pelge de polar légèrement humoristique. Il faut dire qu'au bout de 28 tomes il n'est probablement pas facile pour les auteurs de raconter de nouvelles choses ? Et bien à priori, Carrere et Nikoloff ont encore des histoires à nous raconter, tout en faisant gentiment évoluer le personnage de Leo Loden. Gentiment rigolo, l'intrigue est suffisamment développée pour qu'on arrive à la fin en ayant passé un bon moment de lecture entrecoupé de nombreux sourires, et finalement n'est-ce pas ce que l'on recherche quand on ouvre un léo Loden ? Paris réussi donc pour ce tome 28 qui ravira je pense les habitués de la série tout autant que les néophytes, puisqu'il peut très bien se lire sans avoir de connaissance particulière de la série. Une bd qui sent bon les vieilles productions franco-belge, et finalement parfois, on n'en demande guère plus. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/leo-loden-tome-28-carmina-burrata?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Bon je l'avoue je suis un écolo convaincu. Et je l'avoue également je galère pourtant à changer certaines de mes habitudes. Alors je ne sais pas si je suis la cible principale de cette BD qui serait plus percutante j'imagine sur des sceptiques de l'action écologique, quoique. Reste que l'humour, souvent acerbe et parfois très bien vu fonctionne pas si mal par rapport à mes craintes de base à la réception de cet opus. Clairement à destination des petits comme des grands il est porteur d'un message relativement intelligent et suffisamment nuancé pour être lu par n'importe quel esprit un peu ouvert à la contradiction. Graphiquement ce n'est pas un sommet du genre mais ce n'est pas non plus le but recherché dans ce genre de bd. Reste que le potentiel de relecture (excepté dans 20 ans pour en pleurer) est assez faible.
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Titre de l'album : Selma - Planet blues Scenariste de l'album : Benoit Vieillard Dessinateur de l'album : Benoit Vieillard Coloriste : Benoit Vieillard Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Les océans, la forêt amazonienne, les ours polaires et les abeilles ont tous un gros problème : vous, les adultes ! Surconsommer, gaspiller, polluer, votre grand n'importe quoi n'a-t-il donc pas de limites ? Les climato-sceptiques sont parmi nous ! Stoppons-les avant qu'ils ne dominent le Monde ! Il est vrai que notre planète a un énorme potentiel économique... Gâteaux, peluches et trottinettes ! Critique : Bon je l'avoue je suis un écolo convaincu. Et je l'avoue également je galère pourtant à changer certaines de mes habitudes. Alors je ne sais pas si je suis la cible principale de cette BD qui serait plus percutante j'imagine sur des sceptiques de l'action écologique, quoique. Reste que l'humour, souvent acerbe et parfois très bien vu fonctionne pas si mal par rapport à mes craintes de base à la réception de cet opus. Clairement à destination des petits comme des grands il est porteur d'un message relativement intelligent et suffisamment nuancé pour être lu par n'importe quel esprit un peu ouvert à la contradiction. Graphiquement ce n'est pas un sommet du genre mais ce n'est pas non plus le but recherché dans ce genre de bd. Reste que le potentiel de relecture (excepté dans 20 ans pour en pleurer) est assez faible. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/selma-planet-blues?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Le troisième et dernier tome de Deadwood Dick est plus imposant par sa pagination plus importante pour relater les évènements réels qui se sont déroulés à Adobe Walls. Ce regroupement de quelques habitations et d'un saloon se situait dans les territoires Comanches, Apaches et d'autres tribus indiennes. Le scénariste Boselli Mauro adapte un autre récit de Joe R. Lansdale avec les deux personnages principaux Deadwood Dick et Black Hat Jack. Trois dessinateurs se sont succédés sur la série avec des styles différents mais toujours de grande qualité. Cette fois ci, Andreucci assure des planches réalistes et très bien réalisées pour dépeindre la seconde bataille d'Adobe Walls avec des scènes d'actions très rythmées. J'ai beaucoup apprécié cette trilogie sur Deadwood Dick qui propose des albums de qualité pour plonger dans des histoires de western très prenantes avec un héros charismatique.
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Titre de l'album : Deadwood dick tome 3 Scenariste de l'album : Boselli Mauro Dessinateur de l'album : Andreucci Coloriste : Editeur de l'album : Paquet Note : Résumé de l'album : 27 juin 1874, seconde bataille d'Adobe Wells. Deadwood Dick, son ami Black Hat Jack et une centaine de chasseurs de bison font face à des centaines de Comanches, Cheyenne et Kiowas. Un jour où il n'a pas été facile de conserver son scalp ! Adapté d'une nouvelle de Joe R. Lansdale dont il reprend le style irrévérencieux et enjoué, cet album nous plonge dans un Far-West poussiéreux, sombre et violent. Critique : Le troisième et dernier tome de Deadwood Dick est plus imposant par sa pagination plus importante pour relater les évènements réels qui se sont déroulés à Adobe Walls. Ce regroupement de quelques habitations et d'un saloon se situait dans les territoires Comanches, Apaches et d'autres tribus indiennes. Le scénariste Boselli Mauro adapte un autre récit de Joe R. Lansdale avec les deux personnages principaux Deadwood Dick et Black Hat Jack. Trois dessinateurs se sont succédés sur la série avec des styles différents mais toujours de grande qualité. Cette fois ci, Andreucci assure des planches réalistes et très bien réalisées pour dépeindre la seconde bataille d'Adobe Walls avec des scènes d'actions très rythmées. J'ai beaucoup apprécié cette trilogie sur Deadwood Dick qui propose des albums de qualité pour plonger dans des histoires de western très prenantes avec un héros charismatique. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/deadwood-dick-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Claudia chevalier vampire est le spin-off de la série Requiem chevalier vampire, avec pour personnage principale la démoniaque Claudia. Cette série est rééditée également comme Requiem aux éditions Glénat depuis quelques années et ce cinquième tome est la suite inédite depuis le quatrième tome sorti en 2010. Les lecteurs de la série vont pouvoir être heureux de poursuivre le récit alors qu'il reste encore deux autres tomes à être réédité de Requiem. Mais revenons à ce cinquième tome, l'histoire de Pat Mills tourne autour de la célébration de l'anniversaire de la fille de Claudia. Elle doit être sacrifiée pour permettre à Claudia de poursuivre sa mort sur Résurrection. L'histoire nous révèle comment Claudia est devenue la gardienne de la porte des enfers mais aussi comment sa fille découvre le passé d'une mère aimante. Comme pour Requiem, on a l'impression que l'histoire stagne et peine à avancer avec un récit complexe ou qui manque de fluidité par rapport à Requiem. La partie graphique de Franck Tacito manque de finesse surtout quand on voit la couverture magnifique de Ledroit. Les personnages ont des proportions étranges ou qui changent d’une page à l’autre. Dommage, car il est amusant de retrouver des personnages comme Mortis ou Black Sabbath. Claudia n'atteindra jamais la qualité de la série principale mais les amateurs de récits dark trouveront leur compte surtout après autant d'années d'attente.
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Titre de l'album : Claudia tome 5 - La nuit du loup-garou Scenariste de l'album : Pat Mills Dessinateur de l'album : Franck Tacito Coloriste : Slo Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Prématurément décédée suite à un sacrifice raté, la gardienne de la porte des enfers renaît dans le chaos de résurrection, un monde où le temps est inversé. Désormais créature des ténèbres, elle y est adoubée chevalier vampire sous le nom de Claudia Démona. Tout serait pour le mieux dans le pire des mondes, n'était la clause de son contrat qui lui impose d'achever dans les six mois ses obligations terrestres. Or personne n'est jamais ressorti des enfers... Critique : Claudia chevalier vampire est le spin-off de la série Requiem chevalier vampire, avec pour personnage principale la démoniaque Claudia. Cette série est rééditée également comme Requiem aux éditions Glénat depuis quelques années et ce cinquième tome est la suite inédite depuis le quatrième tome sorti en 2010. Les lecteurs de la série vont pouvoir être heureux de poursuivre le récit alors qu'il reste encore deux autres tomes à être réédité de Requiem. Mais revenons à ce cinquième tome, l'histoire de Pat Mills tourne autour de la célébration de l'anniversaire de la fille de Claudia. Elle doit être sacrifiée pour permettre à Claudia de poursuivre sa mort sur Résurrection. L'histoire nous révèle comment Claudia est devenue la gardienne de la porte des enfers mais aussi comment sa fille découvre le passé d'une mère aimante. Comme pour Requiem, on a l'impression que l'histoire stagne et peine à avancer avec un récit complexe ou qui manque de fluidité par rapport à Requiem. La partie graphique de Franck Tacito manque de finesse surtout quand on voit la couverture magnifique de Ledroit. Les personnages ont des proportions étranges ou qui changent d’une page à l’autre. Dommage, car il est amusant de retrouver des personnages comme Mortis ou Black Sabbath. Claudia n'atteindra jamais la qualité de la série principale mais les amateurs de récits dark trouveront leur compte surtout après autant d'années d'attente. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/claudia-tome-5-la-nuit-du-loup-garou?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Flic à la PJ débute une nouvelle série basée sur de véritables enquêtes policières, avec la collaboration entre le scénariste Corbeyran et l'inspecteur de police Ludovic Armoët. Ce premier tome se focalise sur une enquête de go fast avec tout le travail de terrain et surtout de filature de la police pour démanteler le trafique de drogue. La voix-off de Ludovic Armoët intervient souvent pour noter la véracité des faits et la différence entre la réalité et les films policiers. Corbeyran livre une histoire prenante entre l'enquête et l'histoire personnelle sur la jeunesse de l'inspecteur principal. Les auteurs donnent plusieurs autres anecdotes sur les collègues de Ludovic Armoët, pour que les personnages gagnent en profondeur d'album en album. D'ailleurs le prochain tome est déjà annoncé à la fin de l'album pour une nouvelle affaire avec la même équipe policière. Les dessins de Luca Malisan sont de intéressants pour dépeindre de façon réaliste les faits et gestes des inspecteurs. Flic à la PJ est une lecture agréable, avec les faits relatés par un inspecteur pour être au plus proche de la vie des inspecteurs au quotidien. Les amateurs de récits policiers seront comblés par le démarrage de cette nouvelle série.
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Titre de l'album : Flic à la PJ tome 1 - Go fast Scenariste de l'album : Corbeyran, Ludovic Armoët Dessinateur de l'album : Luca Malisan Coloriste : Chiara Zeppegno Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Quand il était enfant, petit Réunionnais, Ludovic n'avait qu'une idée : devenir inspecteur de police en métropole... Aujourd'hui retraité de la fonction publique, il nous confie dans chaque album l'évolution du rêve de ce petit garçon et nous fait vivre l'une des enquêtes qui l'a particulièrement marqué durant sa carrière, souvent du fait de la personnalité des bandits qu'il cherchait à attraper... Critique : Flic à la PJ débute une nouvelle série basée sur de véritables enquêtes policières, avec la collaboration entre le scénariste Corbeyran et l'inspecteur de police Ludovic Armoët. Ce premier tome se focalise sur une enquête de go fast avec tout le travail de terrain et surtout de filature de la police pour démanteler le trafique de drogue. La voix-off de Ludovic Armoët intervient souvent pour noter la véracité des faits et la différence entre la réalité et les films policiers. Corbeyran livre une histoire prenante entre l'enquête et l'histoire personnelle sur la jeunesse de l'inspecteur principal. Les auteurs donnent plusieurs autres anecdotes sur les collègues de Ludovic Armoët, pour que les personnages gagnent en profondeur d'album en album. D'ailleurs le prochain tome est déjà annoncé à la fin de l'album pour une nouvelle affaire avec la même équipe policière. Les dessins de Luca Malisan sont de intéressants pour dépeindre de façon réaliste les faits et gestes des inspecteurs. Flic à la PJ est une lecture agréable, avec les faits relatés par un inspecteur pour être au plus proche de la vie des inspecteurs au quotidien. Les amateurs de récits policiers seront comblés par le démarrage de cette nouvelle série. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/flic-a-la-pj-tome-1-go-fast?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Et voici déjà le tome 7 de Conquêtes, qui est reparti pour un second cycle après 5 premier opus plutôt réussis. Rien de bien neuf donc pour ce 7ème album, on a toujours aussi peu d'informations sur les raisons ou les circonstances du départ de la Terre, ni sur les fameux "Conquérants". Bref, encore plus spécialement sur ce tome, on navigue à vu au départ. Après le talent des scénaristes fait qu'ils nous livrent une nouvelle bonne histoire de SF avec pourtant le même postulat de base. Dans Conquêtes on est vraiment dans le coeur de la SF conquête spatiale, avec des inspirations évidentes dans les classiques du genre. Niveau dessin c'est plutôt du très bon dans un style réaliste contemporain, et là où la Sf est parfois un brin minimaliste, ici les visages et scènes d'actions sont bien représentées et les paysages comme souvent très détaillés. La colorisation est très propre et renforce bien l'ambiance. Je regrette un peu le final de cet album qui trouve sa solution un peu "facilement" et sans que l'on n'en maitrise bien les conséquences sur la suite... Il n'en reste pas moins que la lecture y est touffue, agréable, et c'est un nouvel opus très correct de sf pour Conquêtes.
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Titre de l'album : Conquêtes - Tome 7 - Tanami Scenariste de l'album : Nicolas Jarry & Jean Luc Istin Dessinateur de l'album : Zivorad Radivojevic Coloriste : Vincent Powell Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Une poignée de survivants se réveille au milieu d'une jungle à bord d'une chaloupe extraterrestre. Tout ce dont ils se souviennent c'est de leur fuite pour échapper à la destruction de la Terre. Il leur faudra recoller les morceaux du puzzle qui les a menés jusque-là pour espérer survivre. Mais à mesure que le voile de l'amnésie se déchire, ils découvrent que l'ennemi n'est pas qu'à l'extérieur. Critique : Et voici déjà le tome 7 de Conquêtes, qui est reparti pour un second cycle après 5 premier opus plutôt réussis. Rien de bien neuf donc pour ce 7ème album, on a toujours aussi peu d'informations sur les raisons ou les circonstances du départ de la Terre, ni sur les fameux "Conquérants". Bref, encore plus spécialement sur ce tome, on navigue à vu au départ. Après le talent des scénaristes fait qu'ils nous livrent une nouvelle bonne histoire de SF avec pourtant le même postulat de base. Dans Conquêtes on est vraiment dans le coeur de la SF conquête spatiale, avec des inspirations évidentes dans les classiques du genre. Niveau dessin c'est plutôt du très bon dans un style réaliste contemporain, et là où la Sf est parfois un brin minimaliste, ici les visages et scènes d'actions sont bien représentées et les paysages comme souvent très détaillés. La colorisation est très propre et renforce bien l'ambiance. Je regrette un peu le final de cet album qui trouve sa solution un peu "facilement" et sans que l'on n'en maitrise bien les conséquences sur la suite... Il n'en reste pas moins que la lecture y est touffue, agréable, et c'est un nouvel opus très correct de sf pour Conquêtes. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/conquetes-tome-7-tanami?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Edifiant. C'est le mot qui me vient à la lecture de ce reportage. Edifiant car je n'avais pas idée tant du mode de vie des chinois dans les années 80 que de l'ampleur de la "révolution avorter de 89". En effet on nous parle beaucoup de la place Tian'anmen tout ça tout ça. Mais on ne sait que trop peu à quel point cela a été violent et à quel point cela a changé radicalement la vie de beaucoup de Pékinois. Les jeunes y croyaient dure comme fer. Et les journalistes et expatriés aussi. Ou du moins l'espéraient. C'est ce qui est aussi très bien fait dans ce reportage. Eric Meyer nous raconte sa découverte de la chine en tant que reporter. Mais c'est autant la découverte de son nouveau statut d'espion anti-communiste (de facto étant européen) et la surveillance et les bâtons mis dans les roues par les autorités chinoises, que la découverte de la vie en chine dans les années 80. Une découverte qui a suffisamment transformé notre auteur pour qu'il décide de faire sa vie en chine. De sa découverte du pays à la naissance de son fils à Hong Kong en passant par la place Tian'anmen et le massacre qui y a eu lieu, Eric Meyer nous livre ici un reportage qui en apprendra beaucoup à une jeunesse d'aujourd'hui qui ne se rend peut être pas compte de ce que symbolise la place Tian'anmen
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Titre de l'album : Robinson à Pekin - journal d'un reporter en chine Scenariste de l'album : Eric Meyer Dessinateur de l'album : Aude Massot Coloriste : Aude Masot Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : En atterrissant à Pékin le 5 septembre 1987, le journaliste Eric Meyer n'aurait jamais imaginé rester sur place plus de quelques mois. Pourtant, plus de trente belles années séparent ce jeune homme curieux et débordant d'entrain de l'homme qui nous raconte aujourd'hui son histoire. Celle d'un coup de foudre pour une culture aux antipodes des codes occidentaux, d'une vie semée d'embûches mais d'autant d'émerveillements. Car décider de vivre en Chine, d'y travailler et d'y fonder une famille, c'est choisir de plonger dans l'inconnu, chercher à comprendre l'autre sans le juger, respecter sans pour autant adhérer. Et en effet, certains événements trouvent difficilement de justifications recevables. C'est à ce moment-là que la plume du reporter s'élève et prend le risque de dénoncer les agissements d'un régime froid, impitoyable et tout puissant en apparences. Dans ROBINSON À PÉKIN, Eric Meyer revient sur ses deux premières années de vie en Chine, son acclimatation à la vie locale, mais aussi sur « le printemps de Pékin » qui vit se multiplier les manifestations d'étudiants, d'ouvriers et d'intellectuels chinois, jusqu'à leur répression, le 4 juin 1989, sur la place Tian'anmen. Un témoignage unique en son genre, foisonnant d'anecdotes et de situations à peine croyables. Une tranche de vie à nulle autre pareille. Critique : Edifiant. C'est le mot qui me vient à la lecture de ce reportage. Edifiant car je n'avais pas idée tant du mode de vie des chinois dans les années 80 que de l'ampleur de la "révolution avorter de 89". En effet on nous parle beaucoup de la place Tian'anmen tout ça tout ça. Mais on ne sait que trop peu à quel point cela a été violent et à quel point cela a changé radicalement la vie de beaucoup de Pékinois. Les jeunes y croyaient dure comme fer. Et les journalistes et expatriés aussi. Ou du moins l'espéraient. C'est ce qui est aussi très bien fait dans ce reportage. Eric Meyer nous raconte sa découverte de la chine en tant que reporter. Mais c'est autant la découverte de son nouveau statut d'espion anti-communiste (de facto étant européen) et la surveillance et les bâtons mis dans les roues par les autorités chinoises, que la découverte de la vie en chine dans les années 80. Une découverte qui a suffisamment transformé notre auteur pour qu'il décide de faire sa vie en chine. De sa découverte du pays à la naissance de son fils à Hong Kong en passant par la place Tian'anmen et le massacre qui y a eu lieu, Eric Meyer nous livre ici un reportage qui en apprendra beaucoup à une jeunesse d'aujourd'hui qui ne se rend peut être pas compte de ce que symbolise la place Tian'anmen Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/robinson-a-pekin-journal-reporter-chine?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Je fais partie de ces gens qui ne traînent pas beaucoup sur internet et je ne connaissais donc pas du tout le blog war and pea. Ni sa version anglaise ni celle française. J'ai donc été vraiment surpris par cette lecture. Surpris par le coté absurde assumé. Surpris surtout par me retrouver en train de sourire presque à chaque page par ce côté absurde. On le dit souvent ; quand on veut faire dans l'absurde, il ne faut pas le faire à moitié. Et bien là nos auteurs y vont à fond. Entre la sorcière coquine ayant un rapport certaine avec son balais, la mort qui s'ennuie ou joue avec les gens, ou tout bonnement les réflexions stupides que l'on peut tous avoir de temps en temps, ce "Des sorcières et des hommes" offre un vrai et sympathique moment de détente. Et ça tombe bien ... c'est les vacances ! Je vous encourage donc à débrancher votre cerveau et à vous plonger dans ces petits moments hors du temps. Cela vous fera du bien !
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Titre de l'album : Des sorcières et des hommes Scenariste de l'album : Jonhatan Kunz Dessinateur de l'album : Elizabeth Pich Coloriste : Elizabeth Pich Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Découvrez enfin la version française du compte Instagram à succès @war.and.peas : une BD hilarante, absurde et féministe !Entre les aventures d'une sorcière coquine, les revendications de la Mort (qui trouve ne pas être assez payée pour son job) et la vie quotidienne de simples humains, le compte Instagram offre de succulentes BD avec son humour absurde, décalé et engagé.Venez rire des déboires de ces personnages hauts en couleur et laissez-vous surprendre par une multitude de situations im-pro-ba-bles ! Critique : Je fais partie de ces gens qui ne traînent pas beaucoup sur internet et je ne connaissais donc pas du tout le blog war and pea. Ni sa version anglaise ni celle française. J'ai donc été vraiment surpris par cette lecture. Surpris par le coté absurde assumé. Surpris surtout par me retrouver en train de sourire presque à chaque page par ce côté absurde. On le dit souvent ; quand on veut faire dans l'absurde, il ne faut pas le faire à moitié. Et bien là nos auteurs y vont à fond. Entre la sorcière coquine ayant un rapport certaine avec son balais, la mort qui s'ennuie ou joue avec les gens, ou tout bonnement les réflexions stupides que l'on peut tous avoir de temps en temps, ce "Des sorcières et des hommes" offre un vrai et sympathique moment de détente. Et ça tombe bien ... c'est les vacances ! Je vous encourage donc à débrancher votre cerveau et à vous plonger dans ces petits moments hors du temps. Cela vous fera du bien ! Autres infos : Edition FIRST Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : http://www.bdfugue.com/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Le sexisme ordinaire, voilà un sujet intéressant et important, si de tels comportements étaient courants il y a quelques années et que la majorité des gens ne disaient rien car c’était la norme, l’heure actuelle est à la prise de conscience que ce soit pour ceux qui commettent les actes ou pour les victimes, car il faut comprendre que le sexisme est partout et quand on a grandi avec ces agissements dans une société patriarcale, il est difficile de se dire que ce n’est pas normal. J’ai eu l’occasion de suivre une formation en situation virtuelle et il est intéressant de voir à quel point le sexisme est présent dans la vie courante et bien que la majorité des victimes soient des femmes, certains hommes le subissent aussi et d’ailleurs, il n’y avait pas une seule personne à cette formation qui n’y avait pas déjà été confronté. J’attendais tellement de ce livre ! Et bien qu’il décrit très bien des situations inadmissibles à l’école et dans le milieu du mannequinat, bien qu’il montre à quel point la peur d’intervenir est présente (surtout pour les jeunes), il aurait pu être tellement plus fort ! J’aurais aimé que l’histoire se déroule dans une situation plus ordinaire (une situation familiale plus classique, un monde professionnel moins élitiste), montrer que le sexisme est omniprésent, cela aurait eu tellement plus d’impact ! Et puis, je regrette que la majorité du livre tourne autour des règles, car non seulement, c’est restrictif et il est dommage de se dire que c’est le seul aspect de la féminité avec lequel on peut lutter (c’est un peu le message qui reste de cette lecture).
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Titre de l'album : Notre guerre contre le sexisme ordinaire Scenariste de l'album : SHERRY Kev & MULLANE Mullane Dessinateur de l'album : VECCHIO Katia Coloriste : Editeur de l'album : Les humanoides associés Note : Résumé de l'album : À seize ans, Sélène est une féministe militante admirée de ses amis. Elle ne craint pas les petits caïds, ni même les professeurs, et n'hésite pas à leur tenir tête. Mais un jour la provocation va trop loin, et Sélène est humiliée publiquement. Désormais l'adolescente n'a plus qu'une idée en tête : dénoncer les comportements sexistes au lycée, à la manière forte s'il le faut. Critique : Le sexisme ordinaire, voilà un sujet intéressant et important, si de tels comportements étaient courants il y a quelques années et que la majorité des gens ne disaient rien car c’était la norme, l’heure actuelle est à la prise de conscience que ce soit pour ceux qui commettent les actes ou pour les victimes, car il faut comprendre que le sexisme est partout et quand on a grandi avec ces agissements dans une société patriarcale, il est difficile de se dire que ce n’est pas normal. J’ai eu l’occasion de suivre une formation en situation virtuelle et il est intéressant de voir à quel point le sexisme est présent dans la vie courante et bien que la majorité des victimes soient des femmes, certains hommes le subissent aussi et d’ailleurs, il n’y avait pas une seule personne à cette formation qui n’y avait pas déjà été confronté. J’attendais tellement de ce livre ! Et bien qu’il décrit très bien des situations inadmissibles à l’école et dans le milieu du mannequinat, bien qu’il montre à quel point la peur d’intervenir est présente (surtout pour les jeunes), il aurait pu être tellement plus fort ! J’aurais aimé que l’histoire se déroule dans une situation plus ordinaire (une situation familiale plus classique, un monde professionnel moins élitiste), montrer que le sexisme est omniprésent, cela aurait eu tellement plus d’impact ! Et puis, je regrette que la majorité du livre tourne autour des règles, car non seulement, c’est restrictif et il est dommage de se dire que c’est le seul aspect de la féminité avec lequel on peut lutter (c’est un peu le message qui reste de cette lecture). Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/notre-guerre-contre-le-sexisme-ordinaire?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Troisième et dernier tome de la série Dans les yeux de Lya. J'attendais avec impatience la fin de cette série jeunesse qui a choisi comme héroïne une fille en fauteuil roulant. Un choix intéressant et un traitement d'une jeune fille pleine d'envie malgré son handicap mais surtout devant vivre avec sa rancœur contre le chauffard qui l'a cloué dans ce fauteuil. Ce troisième tome est essentiellement tourné la dessus. On apprend logiquement qui est le fautif mais l'histoire est vraiment centrée sur la gestion de cette rencontre par Lya : comment elle gère sa colère ou comment aborder cette personne qui s'est quand même enfuit en la laissant pour morte. Coté scénario on est loin de l'enquête tranquille que l'on pensait et c'est tant mieux. La complexité amenée nous surprend mais semble logique au final. Une très bonne conclusion d'une excellente série pour ado dont on regrettera juste une conclusion qui aurait peut-être mérité 3-4 pages de plus, que ce soit au niveau de l'accident que des relations de Lya avec.... surprise 😉