Rechercher dans la communauté
Affichage des résultats pour les étiquettes 'bd'.
4 087 résultats trouvés
-
Le premier tome de cette série prévue en quatre volumes a commencé très fort avec des dessins très sombres et une ambiance lourde sur les champs de bataille. La violence prenait le dessus sur l’histoire basique de combats entre des mercenaires étranges. Le second tome a gagné au niveau de l’histoire avec la mise en avant de la psychologie des personnages principaux, en perdant en intensité des combats. Les dessins également évoluaient sur quelque chose de plus classique et plus coloré. Pour ce troisième tome, on va suivre un petit groupe de héros qui partent affronter des vampires dans leur repères pour mettre fin à leurs attaques de nuit. L’histoire est intéressante mais trop quelconque pour le genre. Alfio Buscaglia prend la suite des dessins dans un style plus conventionnel pour du fantastique. Au final, la série perd en intensité mais aussi en originalité au fil des albums. Il ne reste plus qu’un seul tome prévu pour milieu septembre afin de vraiment pouvoir juger dans sa globalité. Après les albums sont à petit prix pour le nombre de planches, même si le format est plus petit, le divertissement est au rendez-vous.
-
Titre de l'album : Sans âme Tome 3 : Ombre Scenariste de l'album : Stefano Vietti & Luca Enoch Dessinateur de l'album : Alfio Buscaglia Coloriste : Andres Mossa Editeur de l'album : Paquet Note : Résumé de l'album : Une troupe de mercenaires redoutés, vivant de pillages et de batailles sanglantes, les Sans-Âme... « Les Gospodakrùta », les « Seigneurs du sang », des êtres sans âge vénérés par les habitants de Merovie. Pour la troupe des « Sans-Âme », un adversaire redoutable que l'on dit venu du plus sombre de la nuit, des démons se nourrissant de sang et de la terreur qu'ils inspirent. La mort elle-même en aurait peur... Les sans-âme seront-ils assez puissants pour affronter cette menace venue d'un autre temps ? Critique : Le premier tome de cette série prévue en quatre volumes a commencé très fort avec des dessins très sombres et une ambiance lourde sur les champs de bataille. La violence prenait le dessus sur l’histoire basique de combats entre des mercenaires étranges. Le second tome a gagné au niveau de l’histoire avec la mise en avant de la psychologie des personnages principaux, en perdant en intensité des combats. Les dessins également évoluaient sur quelque chose de plus classique et plus coloré. Pour ce troisième tome, on va suivre un petit groupe de héros qui partent affronter des vampires dans leur repères pour mettre fin à leurs attaques de nuit. L’histoire est intéressante mais trop quelconque pour le genre. Alfio Buscaglia prend la suite des dessins dans un style plus conventionnel pour du fantastique. Au final, la série perd en intensité mais aussi en originalité au fil des albums. Il ne reste plus qu’un seul tome prévu pour milieu septembre afin de vraiment pouvoir juger dans sa globalité. Après les albums sont à petit prix pour le nombre de planches, même si le format est plus petit, le divertissement est au rendez-vous. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sans-ame-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
IL faudrait qu'Angoulème s'inspire de la sélection de Quai des bulles. La il y a de tout et j'en ai lu pas mal 🙂 Plus proche du public : prix quai des bulles Prix decouverte Prix Jeunesse source : http://prix.quaidesbulles.com/
-
Le convoyeur débute une nouvelle trilogie post-apocalyptique dans une ambiance western où l'homme a muté. En effet, dans l'histoire de Tristan Roulot, le fer est devenu aussi friable que du papier, transformant le monde que l'on connait, en rendant obsolète la plupart des structures. Cependant, l'impact le plus important provient du fer présent dans le sang de l'homme qui provoque des mutations. Dans ce monde, on suit le convoyeur un personnage mythique qui accepte toutes les commandes sans regarder le danger. Le récit est prenant et captive dès l’introduction avec ce retournement de situation assez bien amené pour présenter le convoyeur. Après les excellents westerns Sykes ou Texas Jacket, on retrouve Dimitri Armand dans un nouveau genre avec ce récit fantastique. L'auteur gère à merveille les décors en décomposition ainsi que les pouvoirs développés par l'ensemble de la population. Une version en noir et blanc dans un format plus grand était déjà disponible en librairie depuis quelques temps pour profiter du travail de Dimitri Armand. Je recommande fortement la lecture de ce premier tome qui débute très fort.
-
Titre de l'album : Le convoyeur tome 1 - Nymphe Scenariste de l'album : Tristan Roulot Dessinateur de l'album : Dimitri Armand Coloriste : Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Un virus s'est répandu sur la terre. La "Rouille" s'est attaquée au fer, détruisant peu à peu les infrastructures, les véhicules, les outils,… Notre civilisation est revenue à l'âge de la pierre. Dans ce monde brutal, le légendaire Convoyeur incarne le seul espoir pour beaucoup de gens. Il accepte de remplir toutes les missions qu'on lui confie, quels qu'en soient les risques. En échange de quoi, les commanditaires doivent simplement manger un oeuf étrange… Critique : Le convoyeur débute une nouvelle trilogie post-apocalyptique dans une ambiance western où l'homme a muté. En effet, dans l'histoire de Tristan Roulot, le fer est devenu aussi friable que du papier, transformant le monde que l'on connait, en rendant obsolète la plupart des structures. Cependant, l'impact le plus important provient du fer présent dans le sang de l'homme qui provoque des mutations. Dans ce monde, on suit le convoyeur un personnage mythique qui accepte toutes les commandes sans regarder le danger. Le récit est prenant et captive dès l’introduction avec ce retournement de situation assez bien amené pour présenter le convoyeur. Après les excellents westerns Sykes ou Texas Jacket, on retrouve Dimitri Armand dans un nouveau genre avec ce récit fantastique. L'auteur gère à merveille les décors en décomposition ainsi que les pouvoirs développés par l'ensemble de la population. Une version en noir et blanc dans un format plus grand était déjà disponible en librairie depuis quelques temps pour profiter du travail de Dimitri Armand. Je recommande fortement la lecture de ce premier tome qui débute très fort. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-convoyeur-tome-1-nymphe?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Jean-David Morvan continue son intrigue historique avec ses trois personnages fictifs qui joueront un rôle important lors du 5 octobre 1789. Heure après heure, on suit le déroulement avec les femmes qui pénètrent dans Versailles pour convaincre le roi de passer des lois plus juste sur la condition des femmes. L'auteur peine à nous emmener dans son intrigue avec peut-être trop d'incohérence ou alors par manque de charisme des personnages. Toujours est-il que ce troisième tome clôture cette série uchronique et surréaliste. Au niveau des dessins, Julen Ribas livre de planches assez moyenne sur cette trilogie. Les personnages et décors manquent de finesses surtout après les couvertures qui sont en contrastes avec les planches intérieures. Les amateurs de récits historique et autre uchronie autour de la Révolution française pourront trouver leur compte avec Ah, ça ira et les autres peineront à rentrer dans l'histoire.
-
Titre de l'album : Ah, ça ira tome 3 - L'autrichienne et les cendres Scenariste de l'album : Jean-David Morvan Dessinateur de l'album : Julen Ribas Coloriste : Julen Ribas Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : C'est au château royal que s'achèvent les péripéties du trio Lisandro, Églantine, et Frédéric. Quelques mois après la Bastille, le mercenaire bravache, la militante féministe et le journaliste épris de liberté prennent le chemin de Versailles... « Rêve et crève », leur cri de ralliement résonne dans la galerie des Glaces avant qu'un final surprenant vienne conclure (ou relancer ?) leur aventure ! Critique : Jean-David Morvan continue son intrigue historique avec ses trois personnages fictifs qui joueront un rôle important lors du 5 octobre 1789. Heure après heure, on suit le déroulement avec les femmes qui pénètrent dans Versailles pour convaincre le roi de passer des lois plus juste sur la condition des femmes. L'auteur peine à nous emmener dans son intrigue avec peut-être trop d'incohérence ou alors par manque de charisme des personnages. Toujours est-il que ce troisième tome clôture cette série uchronique et surréaliste. Au niveau des dessins, Julen Ribas livre de planches assez moyenne sur cette trilogie. Les personnages et décors manquent de finesses surtout après les couvertures qui sont en contrastes avec les planches intérieures. Les amateurs de récits historique et autre uchronie autour de la Révolution française pourront trouver leur compte avec Ah, ça ira et les autres peineront à rentrer dans l'histoire. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ah-ca-ira-tome-3-l-autrichienne-et-les-cendres?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Résumé: Dans le Paris agité de 1848, la guerre, celle des esprits, celle des fusils, rythme la quête désespérée de Julie et Bernard, les amants maudits. Histoire d'un amour fou et d'une révolution trop jeune qui s'achève dans le sang. Y a t-il seulement assez de mots pour exprimer mon enthousiasme face à cette série culte ? Je ne pense pas, ce que j'aime chez Yslaire c'est qu'il donne à ses récits une dimenssion particulière, envoûtante. Sambre: La BD pouvait-elle nous offrir quelque chose d'aussi beau ? J'aime me plonger dans l'univers sombre de ces albums, il se dégage une émotion forte, un sentiment indéscriptible nous envahis, bref on est conquis du premier au dernier tome ! Maintenant, il faut attendre la suite et depuis que Yslaire à déchirer de planches et remporté ce fameux tome 5 à plus tard, la pression monte, j'en peu pluuuuuuus !!!!!! :shock: Du même auteur : - XXè ciel.com - Le Gang Mazda (scénario)
- 123 réponses
-
- bd
- série fleuve
-
(et 1 en plus)
Étiqueté avec :
-
Je vous ai déjà dit que j'aimais beaucoup David Ratte ? Ma fille mon enfant était une des très belles lectures de l'année dernière et les Voyages des Pères restent un énorme moment de bonne humeur. Et cette bonne humeur est de retour avec ce "Réfugiés climatiques & Castagnettes". Le pitch, pas forcément irréaliste, se prête bien à imaginer des situations irréalistes. Mais là où David Ratte est bon c'est que ce sont vraiment les réactions des gens et les personnes choisies qui sont très drôle. Notre personnage principale est coincé au possible et le fait de se retrouver avec ces étrangers et surtout cette grand-mère (et sa petite fille) chamboule complètement sa vie. David Ratte sait trouver des personnages hauts en couleurs. La mère de Louis est tout particulièrement savoureuse. Sans rien inventer du tout, David Ratte réussi à nous livrer une histoire touchante, rigolote et surtout encore une fois, très humaines. Une vraie belle lecture détente pour l'été.
-
Titre de l'album : Réfugiés climatiques & castagnettes t1 Scenariste de l'album : David Ratte Dessinateur de l'album : Famille Ratte Coloriste : Famille Ratte Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : Quiconque disposant d’un logement suffisamment grand devra héberger un ou plusieurs réfugiés climatiques sous peine de poursuites. Le réchauffement climatique s’est accentué au point que Portugais, Espagnols et Italiens doivent fuir vers le Nord. Pour faire face à cette crise migratoire sans précé- dent, les gouvernements décrètent la réquisition des surfaces habitables disponibles afin d’accueillir les réfugiés. Louis, un jeune homme de bonne famille souffrant de TOC et vivant seul, voit sa vie basculer le jour où il doit accueillir Maria, une octogénaire espagnole. Névrosé et peu démonstratif, Louis vit cette occupation de son espace vital de manière douloureuse et angoissante. La joie de vivre de Maria et la découverte d’une autre culture vont-elles faire de lui un homme nouveau ? Critique : Je vous ai déjà dit que j'aimais beaucoup David Ratte ? Ma fille mon enfant était une des très belles lectures de l'année dernière et les Voyages des Pères restent un énorme moment de bonne humeur. Et cette bonne humeur est de retour avec ce "Réfugiés climatiques & Castagnettes". Le pitch, pas forcément irréaliste, se prête bien à imaginer des situations irréalistes. Mais là où David Ratte est bon c'est que ce sont vraiment les réactions des gens et les personnes choisies qui sont très drôle. Notre personnage principale est coincé au possible et le fait de se retrouver avec ces étrangers et surtout cette grand-mère (et sa petite fille) chamboule complètement sa vie. David Ratte sait trouver des personnages hauts en couleurs. La mère de Louis est tout particulièrement savoureuse. Sans rien inventer du tout, David Ratte réussi à nous livrer une histoire touchante, rigolote et surtout encore une fois, très humaines. Une vraie belle lecture détente pour l'été. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/refugies-climatiques-castagnettes-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Sorti au mois de mai il s'agit du second tome de ce drame historique ayant pour théâtre la seconde guerre mondiale et plus particulièrement la période d'occupation allemande de la France. Le Merlu est une bd assez classique dans sa trame et dans sa réalisation mais néanmoins réalisée très soigneusement et sans grand défauts. Pour les amateurs de l'époque et des drames historiques je ne peux que la recommander tant personnages et scénario sont bien amenés. Les dessins de Jérome Phalippou et les couleurs de Patrick Larme rendent bien la période. Les visages et les expressions bien sculptées permettent de s'immerger dans les luttes des personnages et la fin du tome arrive plus vite qu'on ne le veut, e qui est plutôt bon signe pour un tome de 56 pages quand même. Ce tome 2 reprend l'intrigue à la suite du tome 1 et nous développe simplement les petites histoires de nos héros dans la Grande Histoire. Gageons que les prochains tomes seront aussi bien réalisés mais je fais confiance au auteurs et au éditions Paquet pour cela.
- 3 commentaires
-
Titre de l'album : Le merlu tome 2 - Les routes du sang Scenariste de l'album : Thierry Dubois Dessinateur de l'album : Jérome Phalippou Coloriste : Patrick Larme Editeur de l'album : Paquet Note : Résumé de l'album : Décembre 1941, Pearl Harbor vient d'être attaqué par l'aviation japonaise. Le monde s'enfonce un peu plus dans une guerre mondiale. Georges Colin a disparu depuis plusieurs moi, tué par l'armée allemande ? Marie-Jeanne n'y croit pas... Mais résignée, elle s'est mariée à Jean-Claude, sympathisant actif de l'occupant, afin de faire cesser les ennuis pour son père. Pendant ce temps, le transport doit continuer et les entreprises Colin et Leduc survivent tant bien que mal... Et quelques part, un certain Merlu s'active dans le maquis... Critique : Sorti au mois de mai il s'agit du second tome de ce drame historique ayant pour théâtre la seconde guerre mondiale et plus particulièrement la période d'occupation allemande de la France. Le Merlu est une bd assez classique dans sa trame et dans sa réalisation mais néanmoins réalisée très soigneusement et sans grand défauts. Pour les amateurs de l'époque et des drames historiques je ne peux que la recommander tant personnages et scénario sont bien amenés. Les dessins de Jérome Phalippou et les couleurs de Patrick Larme rendent bien la période. Les visages et les expressions bien sculptées permettent de s'immerger dans les luttes des personnages et la fin du tome arrive plus vite qu'on ne le veut, e qui est plutôt bon signe pour un tome de 56 pages quand même. Ce tome 2 reprend l'intrigue à la suite du tome 1 et nous développe simplement les petites histoires de nos héros dans la Grande Histoire. Gageons que les prochains tomes seront aussi bien réalisés mais je fais confiance au auteurs et au éditions Paquet pour cela. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-merlu-tome-2-les-routes-du-sang?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
- 3 réponses
-
Quelle excellente surprise que ce tome 2 de Ellis Island. Je m'attendais à une bonne suite et surtout à continuer d'apprécier les dessins de Miras mais au final il se trouve que c'est le scenario de Philippe Charlot qui m'a bluffé. Il réussit à ne pas céder à la tentation d'un débarquement sur le sol américain. Non bien au contraire il densifie son histoire en faisant grandir notre personnage. Il grandit en se servant de ce que le monde lui offre et, surtout, lui permet. Notre héros est obligé de se faire corrompre par le système pour survivre et essayer de faire survivre son idéal. L'ajout du côté "famille" resté en Italie, de la petite amie aux parents en passant par le frère, ajoute un côté dramatique qui n'est pas pour nous déplaire. Au final on a se retrouve avec une histoire dure, une histoire vraie, une histoire comme on imagine qu'elle a dû se passer plusieurs fois sur Ellis Island !
-
Titre de l'album : Ellis Island t2 : le rève américain Scenariste de l'album : Philippe Charlot Dessinateur de l'album : Miras Coloriste : Miras Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : Tu y débarques un Italien, un Allemand, un Irlandais, un Juif, un Russe et il en sort un Américain...!». Que faire quand vous vous retrouvez coincé, à la merci d'une administration inhumaine ? Que faire quand tout un village a misé sur vous et n'a plus pour espoir que l'argent que vous pourrez lui envoyer ? Que faire quand la femme que vous aimez désespère de venir vous rejoindre ? Que faire quand, la seule personne qui vous tend la main est un avocat véreux et sans scrupules ? Que faire quand, pour vous laisser survivre, on vous oblige à tuer ? Que faire...? Critique : Quelle excellente surprise que ce tome 2 de Ellis Island. Je m'attendais à une bonne suite et surtout à continuer d'apprécier les dessins de Miras mais au final il se trouve que c'est le scenario de Philippe Charlot qui m'a bluffé. Il réussit à ne pas céder à la tentation d'un débarquement sur le sol américain. Non bien au contraire il densifie son histoire en faisant grandir notre personnage. Il grandit en se servant de ce que le monde lui offre et, surtout, lui permet. Notre héros est obligé de se faire corrompre par le système pour survivre et essayer de faire survivre son idéal. L'ajout du côté "famille" resté en Italie, de la petite amie aux parents en passant par le frère, ajoute un côté dramatique qui n'est pas pour nous déplaire. Au final on a se retrouve avec une histoire dure, une histoire vraie, une histoire comme on imagine qu'elle a dû se passer plusieurs fois sur Ellis Island ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ellis-island-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Alors la sixième ? C’est nous ou ce n'est pas nous ? C'est fou comme cette lecture remet les choses en perspective. On s’enorgueillit de nos 10 000 années d'histoire de l'Homme mais c'est au final une goutte d'eau dans un océan qu'est l'histoire de la planète. A l'échelle de la planète l'homme est un grain de poussière dont l'extinction passera encore plus inaperçu que celle des d'espèces millénaires. Cette BD réussie un chalenge tout sauf facile : celui de ne pas être ennuyeuses sur quelque 128 pages en traitant d'un sujet qui pourrait être rébarbatif. L'inclusion du personnage de la reportrice est la vraie bonne idée en termes de narration. En effet elle n'a pas les connaissances sur ces sujets là mais n'est pas traitée comme une fille complètement neuneu. Elle a les réflexions que l'on aurait nous sur ce genre de sujet pointu. On s'identifie donc bien au personnage et on est surpris de se retrouver avec les mêmes interrogations qu'elle. Cela aide bien à la lecture. Graphiquement parlant c'est pareil. Le choix de parsemer le récit de dessins rigolos ou de mise en image "enfantine" rend la lecture fluide malgré le contenu dense techniquement parlant; Bref une vraie réussite de vulgarisation scientifique accessible à tous, même aux enfants.
-
Titre de l'album : Extinctions, le crepuscule des espèces Scenariste de l'album : Jean-Baptiste De Panafieu Dessinateur de l'album : Alexandre Franc Coloriste : Alexandre Franc Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Sur une île de l'océan Arctique, les journalistes Emma et Luis vont pendant deux mois suivre une équipe scientifique qui étudie le risque mortel que fait peser le réchauffement climatique sur la faune et la flore. Comment des espèces entières sont-elles amenées à disparaître ? Que dit la science de la sixième extinction de masse que nous vivons aujourd'hui ? Quelles étaient les cinq premières ? Comment se sont-elles produites et dans quel contexte ? Et après nous, le déluge ?... Le biologiste Jean-Baptiste de Panafieu et le dessinateur Alexandre Franc nous offrent une description détaillée de ces phénomènes aussi fascinants qu'inquiétants. Avec humour et précision, ils expliquent la disparition des espèces actuelles et les conséquences de cette sixième extinction. Critique : Alors la sixième ? C’est nous ou ce n'est pas nous ? C'est fou comme cette lecture remet les choses en perspective. On s’enorgueillit de nos 10 000 années d'histoire de l'Homme mais c'est au final une goutte d'eau dans un océan qu'est l'histoire de la planète. A l'échelle de la planète l'homme est un grain de poussière dont l'extinction passera encore plus inaperçu que celle des d'espèces millénaires. Cette BD réussie un chalenge tout sauf facile : celui de ne pas être ennuyeuses sur quelque 128 pages en traitant d'un sujet qui pourrait être rébarbatif. L'inclusion du personnage de la reportrice est la vraie bonne idée en termes de narration. En effet elle n'a pas les connaissances sur ces sujets là mais n'est pas traitée comme une fille complètement neuneu. Elle a les réflexions que l'on aurait nous sur ce genre de sujet pointu. On s'identifie donc bien au personnage et on est surpris de se retrouver avec les mêmes interrogations qu'elle. Cela aide bien à la lecture. Graphiquement parlant c'est pareil. Le choix de parsemer le récit de dessins rigolos ou de mise en image "enfantine" rend la lecture fluide malgré le contenu dense techniquement parlant; Bref une vraie réussite de vulgarisation scientifique accessible à tous, même aux enfants. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/extinctions-le-crepuscule-des-especes?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
L'île d'om est un récit fantastique très prenant qui se déroule dans une ville avec des personnages étranges. On suit plusieurs protagonistes, deux faucheurs, l'un expérimenté et son disciple, un jeune homme et son oncle, trois hommes chauves avec des bâtons et un chat. L'auteur complet Marc Jondot a créé un univers très surprenant sur le thème de la fin de vie et du passage à la mort. Les faucheurs ont une cible bien précise dont il faudra couper le fil d'argent relié à chaque personne lors de sa mort. Les dessins sont magnifiques en noir et blanc avec des nuances de gris dans un style réaliste très réussi. Les décors sont très détaillés, on passe d'un village en bord de mer vers les limbes avec des décors fantastique et des immenses dédales décorés de statues immenses. Pour le coup, la couverture est bien représentative des dessins intérieurs. Marc Jondot réalise sa première bande dessinée avec L'île d'Om et je surveillerai ses prochaines productions. L'album est constitué d'une centaine de planches, séparé en plusieurs chapitres pour suivre les différents personnages dans leur quête lors d’une nuit agitée et pleine de surprise.
-
Titre de l'album : L'île d'Om Scenariste de l'album : Marc Jondot Dessinateur de l'album : Marc Jondot Coloriste : Marc Jondot Editeur de l'album : Mosquito Note : Résumé de l'album : Arthur, jeune homme rêveur, vit en bord de mer dans une ville étrange. Il travaille pour son vieil oncle toujours plongé dans ses livres. Un jour, la mort débarque chez lui. Plus exactement un faucheur novice dont c'est la première mission. Il ne vient pas chercher son oncle, mais Arthur ! Se présentant comme un simple messager, il le convainc de le suivre dans les sous-sols de la maison. Arthur y découvre une immense cité, labyrinthe de pierre et de canaux. Ils doivent se rendre sur l'île d'Om où l'attendent toutes les réponses. Comme souvent le voyage se révèlera plus intéressant que son but... Critique : L'île d'om est un récit fantastique très prenant qui se déroule dans une ville avec des personnages étranges. On suit plusieurs protagonistes, deux faucheurs, l'un expérimenté et son disciple, un jeune homme et son oncle, trois hommes chauves avec des bâtons et un chat. L'auteur complet Marc Jondot a créé un univers très surprenant sur le thème de la fin de vie et du passage à la mort. Les faucheurs ont une cible bien précise dont il faudra couper le fil d'argent relié à chaque personne lors de sa mort. Les dessins sont magnifiques en noir et blanc avec des nuances de gris dans un style réaliste très réussi. Les décors sont très détaillés, on passe d'un village en bord de mer vers les limbes avec des décors fantastique et des immenses dédales décorés de statues immenses. Pour le coup, la couverture est bien représentative des dessins intérieurs. Marc Jondot réalise sa première bande dessinée avec L'île d'Om et je surveillerai ses prochaines productions. L'album est constitué d'une centaine de planches, séparé en plusieurs chapitres pour suivre les différents personnages dans leur quête lors d’une nuit agitée et pleine de surprise. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-ile-d-om?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Je dois vous avouer que malgré les prix reçus, je ne connaissais pas du tout Ninn. Quand on m'a porposé de lire le T5, j'ai donc longuement hésité. Se lancer en milieu de série ce n'est jamais facile. Mais la, et on peux remercier les éditions Kennes pour ca, c'est super bien fait : la BD commence par deux pages nous resituant l'histoire. Un peu comme un résumé mais suffisament imagé pour que l'on puisse profiter à 100% de l'histoire qui suit. Cela aurait été dommage d'être perdu car cette histoire commence tambour battant et ne s'arrête jamais. Une vraie BD d'aventure pour jeune public. Ni trop compliqué ni trop simple. Pleine d'aventure, un peu de suspens et des héros qui ne se laissent jamais abattre. Et cerise sur le gâteau, un album qui est autonome. En effet cet album nous fait visiter Magic City et la fin de l'album nous emmène ailleurs. Je comprend mieux le succes aupres du public adolescent. Cet ensemble à tout pour leur plaire. Ce tome cinq marque, en terme d'histoire, le retour d'un personnage des tomes precedents mais aussi de nouveaux compagnons et surtout une avancée sur le Kreuz. Bref il y a aussi un fil rouge sur l'ensemble de la série. Pile poil de quoi me donner envie de lire les précédents. PS: a noter qu'un ex libris est offert via notre partenaire bdfugue pour l'achat de ce tome 5
-
Titre de l'album : Ninn t5, Magic city Scenariste de l'album : Jean-Michel Darlot Dessinateur de l'album : Johan Pilet Coloriste : Johan Pilet Editeur de l'album : Kennes Note : Résumé de l'album : Magic City... Un antique parc d'attractions perdu au coeur des Grands Lointains, abandonné depuis plus d'un siècle. Intriguée, Ninn décide de s'y rendre, emmenant avec elle son tigre de papier et ses amis Chad et Ulrika. Mal leur en prend: pourchassés par des géants de pierre, les quatre compagnons s'y retrouvent bloqués. Mais sont-ils réellement seuls? Quels secrets ce parc abandonné recèle-t-il? Et surtout, quelle est cette mystérieuse entité qui semble le hanter, et qui va rapidement prendre nos héros pour cible? Saluée par la critique, la série Ninn a reçu le prix des collèges Angoulême2017, le prix des lecteurs du Journal de Mickey2016, le prix Livrentête «Bandes dessinées Juniors» 2016-2017 et le prix Conseil départemental de Loir-et-Cher2016. Critique : Je dois vous avouer que malgré les prix reçus, je ne connaissais pas du tout Ninn. Quand on m'a porposé de lire le T5, j'ai donc longuement hésité. Se lancer en milieu de série ce n'est jamais facile. Mais la, et on peux remercier les éditions Kennes pour ca, c'est super bien fait : la BD commence par deux pages nous resituant l'histoire. Un peu comme un résumé mais suffisament imagé pour que l'on puisse profiter à 100% de l'histoire qui suit. Cela aurait été dommage d'être perdu car cette histoire commence tambour battant et ne s'arrête jamais. Une vraie BD d'aventure pour jeune public. Ni trop compliqué ni trop simple. Pleine d'aventure, un peu de suspens et des héros qui ne se laissent jamais abattre. Et cerise sur le gâteau, un album qui est autonome. En effet cet album nous fait visiter Magic City et la fin de l'album nous emmène ailleurs. Je comprend mieux le succes aupres du public adolescent. Cet ensemble à tout pour leur plaire. Ce tome cinq marque, en terme d'histoire, le retour d'un personnage des tomes precedents mais aussi de nouveaux compagnons et surtout une avancée sur le Kreuz. Bref il y a aussi un fil rouge sur l'ensemble de la série. Pile poil de quoi me donner envie de lire les précédents. PS: a noter qu'un ex libris est offert via notre partenaire bdfugue pour l'achat de ce tome 5 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ninn-tome-5?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Il m'a fallut une bonne semaine pour digérer cette lecture. Une bonne semaine pour me demander ce que j'aurais fait à la place de Benjamin. Une semaine pour me rendre compte que cette lecture l'avait marquée. Si j'ai l'habitude des scénarios de Jim et la puissance de son analyse des relations humaines, cette "étreinte" est magnifiée par les dessins de Laurent Bonneau. Et dans ces récits profondement humains, le rendu graphique est super important. Et la c'est une grosse claque. Les non-dits sont superbement mis en avant et les sentiments de Benjamin expliqués par un simple dessin. On se retrouve très rapidement à se mettre à la place de notre "héros" et subir, comme lui, les tourments des sentiments de trahison ainsi que les remords et la culpabilité de celui qui reste. Car c'est cette épineuse question que nous propose Jim : celui qui reste a t il le droit de passer à autre chose ? et Si oui, le peut il ? Cette histoire est prenante, intime et nous questionne sur la vie. Une histoire de Jim en somme mais le dessin de Bonneau en plus. A lire.
-
Titre de l'album : L'étreinte Scenariste de l'album : Jim Dessinateur de l'album : Laurent Bonneau Coloriste : Laurent Bonneau Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : Une histoire sur nos icebergs et sur le désir de ne pas sombrer sous la surface. Lorsque Benjamin se réveille à l'hôpital à la suite d'un accident de voiture, il apprend que sa femme est dans le coma. Les nouvelles des médecins ne sont pas bonnes. Les semaines passent sans le moindre espoir. Benjamin se raccroche peu à peu à l'image de cette inconnue allongée sur la plage qu'il a photographiée avant le drame. Qui est-elle ? Comme un appel à la vie, il décide de partir à sa recherche. Mais comment la retrouver ? Et comment ne pas se noyer dans cette culpabilité ? Ne pas se voir en traître ? S'autoriser à prolonger sa vie quand celle de sa femme est suspendue ? Critique : Il m'a fallut une bonne semaine pour digérer cette lecture. Une bonne semaine pour me demander ce que j'aurais fait à la place de Benjamin. Une semaine pour me rendre compte que cette lecture l'avait marquée. Si j'ai l'habitude des scénarios de Jim et la puissance de son analyse des relations humaines, cette "étreinte" est magnifiée par les dessins de Laurent Bonneau. Et dans ces récits profondement humains, le rendu graphique est super important. Et la c'est une grosse claque. Les non-dits sont superbement mis en avant et les sentiments de Benjamin expliqués par un simple dessin. On se retrouve très rapidement à se mettre à la place de notre "héros" et subir, comme lui, les tourments des sentiments de trahison ainsi que les remords et la culpabilité de celui qui reste. Car c'est cette épineuse question que nous propose Jim : celui qui reste a t il le droit de passer à autre chose ? et Si oui, le peut il ? Cette histoire est prenante, intime et nous questionne sur la vie. Une histoire de Jim en somme mais le dessin de Bonneau en plus. A lire. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-etreinte-histoire-complete?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Jean-Claude Denis, auteur reconnu pour Tous à Matha ou encore Luc Leroi, nous livre ici un recueil d'histoires courtes ou de chroniques parues dans differents magazines dans les années 90. Un recueil qui montre le vrai décalage entre les années 90 et l'ère numerique de 2020. Un coup dans le retroviseur mais aussi un appel à la détente et aux vacances. Porté par des histoires globalement réussis (j'ai juste du mal avec les histoire en une planche), ce recueil se lit tranquillement pour préparer des vacances d'été. A prendre au bord de la piscine avec une citronnade et les souvenirs des an nées 90 pleins la tête. Exactement ce que je recherche en ce moment
-
Titre de l'album : Relief de l'ancien monde Scenariste de l'album : Jean-Claude Denis Dessinateur de l'album : Jean-Claude Denis Coloriste : Jean-Claude Denis Editeur de l'album : Futuropolis Note : Résumé de l'album : Reliefs de l'Ancien Monde est composé de récits (plus ou moins) courts. Certains ont été publiés dans la presse, d'autres sont totalement inédits. Récits drolatiques, fins et subtils, qui disent la vie telle que l'auteur l'a perçue, à la fin du siècle passé. Récits qui montrent, avec une acuité remarquable, que ces « reliefs » - ce qu'il reste de ces années ou ce qui en est la partie la plus aiguë - ressemblent à s'y méprendre aux temps actuels. Le nouveau monde n'a pas complètement effacé l'ancien. Au fond, ces histoires sont prétextes à mettre en scène la vie ordinaire des gens. De ceux qu'on croise dans la rue, au bistrot ou que l'on côtoie en vacances... Critique : Jean-Claude Denis, auteur reconnu pour Tous à Matha ou encore Luc Leroi, nous livre ici un recueil d'histoires courtes ou de chroniques parues dans differents magazines dans les années 90. Un recueil qui montre le vrai décalage entre les années 90 et l'ère numerique de 2020. Un coup dans le retroviseur mais aussi un appel à la détente et aux vacances. Porté par des histoires globalement réussis (j'ai juste du mal avec les histoire en une planche), ce recueil se lit tranquillement pour préparer des vacances d'été. A prendre au bord de la piscine avec une citronnade et les souvenirs des an nées 90 pleins la tête. Exactement ce que je recherche en ce moment Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/reliefs-de-l-ancien-monde?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Dans ce one shot, les références sont nombreuses à divers auteurs de récits de science-fiction ou personnalités ayant jouées un rôle dans l'imaginaire fictif. En effet, il suffit de voir les noms des héros de l'histoire pour s'en apercevoir. Après une introduction futuriste, Farice Lebeault nous plonge dans un récit imaginaire très poussé entre les personnages croisés où le contexte même de l'histoire. Avec ce genre de récit, il est difficile de bien retomber mais cela fonctionne à merveille avec Sélénie. Les lecteurs plus avisés que d'autres comprendront la fin assez vite dans la lecture comme tout est assez étrange. Il est préférable d'être scénariste et dessinateur pour dépeindre cet univers créé avec tous les personnages fantastiques croisés. La partie graphique est remarquable avec des dessins très inventifs qui nous perdent un peu après l’introduction. L'album se termine sur un cahier graphique avec plusieurs recherches graphiques des héros. Il est préférable de pas trop parler de cet album pour laisser le suspense aux lecteurs qui seront attirés par l'univers de Sélénie et la couverture est bien représentative de ce qui attend le lecteur.