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  1. poseidon2

    Raven tome 3 - Furies (Fin)

    On était tous d'accord, chez 1001bd, pour dire que le plus dur serait quasiment de rater la fin de cette trilogie, tellement les deux précédents étaient bons. Et bien si Lauffray a fait dans la facilité( i e il nous livre une bonne fin), il l'a fait d'une très belle façon ! En effet, ce tome est plus que bon, il est excellent. Graphiquement, on n'avait aucun doute tellement le style "pirate" lui va à merveille depuis Long John Silver. Mais encore fallait-il terminer ce scenario"dans les règles" comme dit monsieur mouche. Et ce tome trois deviendrait presque la définition de la règle tellement c'est une fin... digne des codes de la piraterie ! Des combats, des trahisons, du bluff, des navires, des trésors, mais aussi un héros aux grandes illusions et une Némésis qui n'a pas dit son dernier mot. On en prend plein les yeux et on se téléporte immédiatement sur les mats du Capricorne en criant : Libérer la grand voile !! Le début était haletant, la fin est, elle, succulente de décontraction. Allez ce soir, c'est l'ile aux trésors, puis relecture de Long Joh Silver !
  2. Titre de l'album : Robespierre, le sphinx mélancolique Scenariste de l'album : Makyo Dessinateur de l'album : Simone Gabrielli Coloriste : Alessandro Polelli Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : 1791. Robespierre, dit l'Incorruptible, est député au sein de la première assemblée constituante. Depuis la tribune, il harangue ses confrères pour les convaincre d'abolir la peine de mort, et pourtant, deux ans plus tard, il leur intimera de voter l'exécution de Louis XVI... Comment le jeune avocat d'Arras, défenseur d'une justice sociale, peut-il participer à instaurer la Terreur ? Critique : Le scénariste Makyo présente une partie de la biographie sur Maximilien de Robespierre un personnage essentiel dans la révolution française et surtout dans le gouvernement de la Terreur. Le récit nous apporte plusieurs faits historiques mais surtout met en évidence les contradictions dans les mesures mis en place par Robespierre. La plus importante étant l'abolition de la peine de mort pour ensuite demander l'exécution du roi par la guillotine. Ce personne est intransigeant même ses proches seront exécutés sous ses recommandations. L'homme est tourmenté et souvent souffrant de par ses décisions qu'ils confessent à sa compagne. On découvre sa passion pour la peinture et une certaine logique pour faire régner la paix dans la république. La partie graphique retranscrit bien l'époque entre la convention, le palais royal ou les habitations parisienne. Robespierre, le sphinx mélancolique est un one shot de la nouvelle série les légendes noires de l’histoire. Cette série fait partie des trois séries possédant une édition luxueuse avec dos toilé et dorure. L’album ne possède pas de cahier historique, mais la chronologie des évènements est très bien respectée pour apporter suffisamment informations. Cette série sera composée de quatre album et le prochain sera sur Louis XI. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/robespierre-le-sphinx-melancolique/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Le scénariste Makyo présente une partie de la biographie sur Maximilien de Robespierre un personnage essentiel dans la révolution française et surtout dans le gouvernement de la Terreur. Le récit nous apporte plusieurs faits historiques mais surtout met en évidence les contradictions dans les mesures mis en place par Robespierre. La plus importante étant l'abolition de la peine de mort pour ensuite demander l'exécution du roi par la guillotine. Ce personne est intransigeant même ses proches seront exécutés sous ses recommandations. L'homme est tourmenté et souvent souffrant de par ses décisions qu'ils confessent à sa compagne. On découvre sa passion pour la peinture et une certaine logique pour faire régner la paix dans la république. La partie graphique retranscrit bien l'époque entre la convention, le palais royal ou les habitations parisienne. Robespierre, le sphinx mélancolique est un one shot de la nouvelle série les légendes noires de l’histoire. Cette série fait partie des trois séries possédant une édition luxueuse avec dos toilé et dorure. L’album ne possède pas de cahier historique, mais la chronologie des évènements est très bien respectée pour apporter suffisamment informations. Cette série sera composée de quatre album et le prochain sera sur Louis XI.
  4. Titre de l'album : Survival - Tome 1 - Warm Springs Scenariste de l'album : Christophe Bec Dessinateur de l'album : Valerio Giangiordano Coloriste : Stefania Aquaro Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Des alpinistes chevronnés partent à l'assaut du Mont Jefferson, en Oregon. Ils vont croiser la route d'inquiétants chasseurs lourdement armés auxquels ils apprennent qu'ils ne feront que traverser la réserve indienne de Warm Springs. Mais un évènement tragique survient et une traque sanglante s'engage bientôt sur les hauts sommets... Critique : Nouvelle série de one shot concept aux éditions Soleil, Survival va nous présenter sur chaque tome un scénario complet différent ayant pour point commun de nous présenter une histoire de survie. Ce premier tome démarre avec une expédition de montagnards qui au détour d'un drame malheureux va se retrouver pris en chasse par un autre groupe. Survie donc, et jeu de massacre sans pitié vont alterner entre les pages pour nous mener à une conclusion surprenante et haletante. Il y a un peu de "Duel" et de "Clifhanger" dans ce final sur les étendues de haute montagne présenté ici. Malheureusement les motivations des différents protagonistes sont un peu légères, et les 56 pages passent un peu trop vite, sans vraiment nous marquer à l'exception des scènes de morts. Le dessin de Valerio Giangiordano est très bon pour tout ce qui touche aux mises en scènes et aux paysages, mais de mon goût, il pêche un peu sur les visages, trop lisses à mon goût. Survival est une bonne nouvelle série de bd pour les adeptes de Survival justement et de jeux de massacre en conditions extrêmes ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/survival-warm-springs/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Commençons à parler de ce dernier tome de green class en saluant le job de l'éditeur : 72 pages de super qualité, une série un peu jeunesse mais moderne et intéressante pour adultes terminée en 5 tomes, des couv sublimes à la vue et au touché, et un dessin hyper dynamique, le tout pour moins de 15€, bah je dis chapeau bas. Le scénario est toujours aussi original, même si là forcément on est sur sa conclusion et que les nouveautés sont forcément moins marquantes. Je suis toujours stupéfait par le chemin pris par cette bd après un premier tome original mais classique dans son déroulement, et le coup de pelle dans la gueule du lecteur avec les sauts narratifs du second tome qui m'ont bien perdu à l'époque. Aujourd'hui encore, il faut que je relise une nouvelle fois l'ensemble pour mieux saisir les pièces du puzzle qui s'est dessiné dans les deux derniers tomes. Rayon critique je note juste l'évolution très très (trop?) rapide de nos héros en pro de la survie là où des escouades de forces spéciales se font décimer comme des idiots. C'est un peu facile, m'enfin, je pinaille. Côté dessin, si les fonds des cases sont souvent un peu trop nues pour que l'on s'extasie dessus, du côté du mouvement, de la mise en scène et du dynamisme du bazar, on touche à ce qui se fait de mieux dans le genre, reprenant donc au passage quelques codes du manga et comics qui amènent beaucoup de fluidité à l'ensemble. David Tako gère aussi à merveille ses visages et ses personnages, qui ont le mérite de se distinguer en terme de look et de personnalités de ce qu'on a déjà lu cent fois. Et puis cette couv' texturée.... Miam. bref si vous ne connaissez pas Green class, lancez vous. En dehors d'un tome 2 qui va vous laissé un peu dubitatif niveau scénario, la suite confirmera que c'est du tout bon, et finie en 5 tomes. bravo.
  6. The_PoP

    Survival - Tome 1 - Warm Springs

    Nouvelle série de one shot concept aux éditions Soleil, Survival va nous présenter sur chaque tome un scénario complet différent ayant pour point commun de nous présenter une histoire de survie. Ce premier tome démarre avec une expédition de montagnards qui au détour d'un drame malheureux va se retrouver pris en chasse par un autre groupe. Survie donc, et jeu de massacre sans pitié vont alterner entre les pages pour nous mener à une conclusion surprenante et haletante. Il y a un peu de "Duel" et de "Clifhanger" dans ce final sur les étendues de haute montagne présenté ici. Malheureusement les motivations des différents protagonistes sont un peu légères, et les 56 pages passent un peu trop vite, sans vraiment nous marquer à l'exception des scènes de morts. Le dessin de Valerio Giangiordano est très bon pour tout ce qui touche aux mises en scènes et aux paysages, mais de mon goût, il pêche un peu sur les visages, trop lisses à mon goût. Survival est une bonne nouvelle série de bd pour les adeptes de Survival justement et de jeux de massacre en conditions extrêmes !
  7. Suite à fin de la trilogie de Bruno Bessadi chez Drakoo et l'une des séries d'aventure les plus réussies avec une fresque bien gérée tout au long de ces trois tomes. Bessadi ne tombe pas dans le piège de la complexification à outrance de son histoire et nous livre une véritable fin à notre histoire de succession volée. On apprend tout ce que l'on cherchait à savoir sur la lignée de notre lion mais surtout sur Bakham. La fin est belle et logique. Une fin qui valide une bonne BD d'aventure très bien l'illustrée. Une aventure comme on aime en lire en BD
  8. Titre de l'album : L' ogre lion tome 3 - Le dernier lion Scenariste de l'album : Bruno Bessadi Dessinateur de l'album : Bruno Bessadi Coloriste : Bruno Bessadi Editeur de l'album : Drakoo Note : Résumé de l'album : Une généreuse aventure tendre et farouche où s'entrechoquent démon maléfique et injustices sociales. Enfin de retour sur ses terres natales, Kgosi entreprend l'ultime chapitre de sa quête de rédemption. Il doit libérer son peuple de l'esclavage et se libérer lui-même de l'emprise du roi-démon BaKham. Mais son frère, l'usurpateur Kagisio, a pactisé avec une force incontrôlable et dévastatrice : la bataille finale semble suicidaire, à moins que la princesse Byra Nialy ne parte à la recherche d'une aide mystérieuse et... légendaire. Critique : Suite à fin de la trilogie de Bruno Bessadi chez Drakoo et l'une des séries d'aventure les plus réussies avec une fresque bien gérée tout au long de ces trois tomes. Bessadi ne tombe pas dans le piège de la complexification à outrance de son histoire et nous livre une véritable fin à notre histoire de succession volée. On apprend tout ce que l'on cherchait à savoir sur la lignée de notre lion mais surtout sur Bakham. La fin est belle et logique. Une fin qui valide une bonne BD d'aventure très bien l'illustrée. Une aventure comme on aime en lire en BD Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-ogre-lion-tome-3-le-dernier-lion?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Titre de l'album : Civilisations - Crète Scenariste de l'album : Simona Mogavino Dessinateur de l'album : Carlos Gomez Coloriste : Lorenzo Pieri & Luca Saponti Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : 1600 avant J.-C. L'île de Théra, aujourd'hui connue sous le nom de Santorin, abrite une glorieuse civilisation minoenne guidée par une société matriarcale. Dans ce récit, d'anciennes vérités et mythes perdus tels Minos, Arianne et les mystères du labyrinthe du Minotaure résonnent avec notre époque dans une histoire qui explore la résilience humaine face à la majesté de la nature. Critique : Civilisation - Crête est le premier tome de la trilogie Civilisation une des trois nouvelles séries historiques éditées dans un format luxueux avec dos toilé et dorure. La scénariste Simona Mogavino nous propose une réécriture de la mythologie grecque et plus particulièrement de Minos, Ariane, Dédale et du Minotaure. L'autrice installe son récit dans un monde matriarcal sur l'île de Crête avant l'éruption du volcan. On s'éloigne des mythes pour ancrer l'histoire dans un récit plus réaliste et crédible tout en conservant les croyances de l'époque et leur dieux. Avec des albums volumineux, les auteurs peuvent prendre leur temps pour développer l’intrigue. Cet album se termine également sur un cahier historique pour revenir en détails sur les personnages importants. La partie graphique de Carlos Gomez se veut très réaliste comme le récit. L'auteur gère très bien les décors pour dépeindre les temps anciens. Simona Mogavino et Carlos Gomez ont déjà collaboré plusieurs fois sur d'autres récits historiques des reines de sang Aliénor ou Rani Lakshmi Bai et maitrisent leur sujet. Le format de cette série convient bien avec des albums doubles permettant de poursuivre et conclure en un volume l’histoire de la Crête et prochainement de l’Egypte et puis Rome. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/civilisations-crete/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. alx23

    Civilisations - Crète

    Civilisation - Crête est le premier tome de la trilogie Civilisation une des trois nouvelles séries historiques éditées dans un format luxueux avec dos toilé et dorure. La scénariste Simona Mogavino nous propose une réécriture de la mythologie grecque et plus particulièrement de Minos, Ariane, Dédale et du Minotaure. L'autrice installe son récit dans un monde matriarcal sur l'île de Crête avant l'éruption du volcan. On s'éloigne des mythes pour ancrer l'histoire dans un récit plus réaliste et crédible tout en conservant les croyances de l'époque et leur dieux. Avec des albums volumineux, les auteurs peuvent prendre leur temps pour développer l’intrigue. Cet album se termine également sur un cahier historique pour revenir en détails sur les personnages importants. La partie graphique de Carlos Gomez se veut très réaliste comme le récit. L'auteur gère très bien les décors pour dépeindre les temps anciens. Simona Mogavino et Carlos Gomez ont déjà collaboré plusieurs fois sur d'autres récits historiques des reines de sang Aliénor ou Rani Lakshmi Bai et maitrisent leur sujet. Le format de cette série convient bien avec des albums doubles permettant de poursuivre et conclure en un volume l’histoire de la Crête et prochainement de l’Egypte et puis Rome.
  11. Kevin Nivek

    Les enfants Sabletemps tome 1

    Les éditions Jungle continuent de mélanger grande histoire et aventure, avec il est vrai un certain succès. Après le très sympathique Clan des salamandres , voici venir les enfants Sabletemps ! Nous ne sommes plus au temps de François 1er, mais bel et bien au XIXème siècle à Paris durant la fabrication sous l'autorité de Bartholdi de la statue de la Liberté, promise aux américains. Le hic étant que nous voyageons dans le temps en compagnie d'Alexandrine, qui elle est issue de nos jours contemporains ! Par le biais d'un vieux manoir et de diverses clés mystérieuses, elle se retrouve prisonnière du passé en compagnie de deux frères et soeurs, qui pourraient posséder un lien avec elle ! Tout va très vite dans cette aventure, où les révélations s'enchainent, accompagnées de nouveaux mystères, dont cette fin énigmatique laissant la porte ouverte à un second tome attendu ! Le scénario à quatre mains est bien ficelé, car les voyages dans le temps peuvent très vite devenir complexes et contradictoires selon les visions de chacun. Les deux auteurs restent sur une ligne directive simple mais efficace, ne s'embarrassant pas avec les fameux paradoxes temporels (pour l'instant) . Gageons que le second tome sera du même acabit. La dessinatrice italienne Alessandra Marsili use d'un trait rond, très "webtoon" format en vogue en ce moment, en y ajoutant des couleurs et effets de reliefs saisissants. Le rendu est dynamique, le mouvement est omniprésent surtout dans les scènes de courses-poursuites. Un bon premier tome méritant confirmation dans le second opus.
  12. Titre de l'album : Les enfants Sabletemps tome 1 Scenariste de l'album : Charlie Laurens , Alexandre Arlène Dessinateur de l'album : Alessandra Marsili Coloriste : Alessandra Marsili Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Dans le vieux manoir de sa grand-tante, Alexandrine surprend deux enfants habillés de façon étrange, Rose et Léopold. En les poursuivant à travers les portes de la demeure, elle se retrouve piégée dans le Paris du XIXe siècle ! Ensemble, ils partent en quête d'un père disparu et de mystérieuses clefs, une aventure qui les mènera jusqu'aux ateliers d'Auguste Bartholdi, le sculpteur de la Statue de la Liberté. Critique : Les éditions Jungle continuent de mélanger grande histoire et aventure, avec il est vrai un certain succès. Après le très sympathique Clan des salamandres , voici venir les enfants Sabletemps ! Nous ne sommes plus au temps de François 1er, mais bel et bien au XIXème siècle à Paris durant la fabrication sous l'autorité de Bartholdi de la statue de la Liberté, promise aux américains. Le hic étant que nous voyageons dans le temps en compagnie d'Alexandrine, qui elle est issue de nos jours contemporains ! Par le biais d'un vieux manoir et de diverses clés mystérieuses, elle se retrouve prisonnière du passé en compagnie de deux frères et soeurs, qui pourraient posséder un lien avec elle ! Tout va très vite dans cette aventure, où les révélations s'enchainent, accompagnées de nouveaux mystères, dont cette fin énigmatique laissant la porte ouverte à un second tome attendu ! Le scénario à quatre mains est bien ficelé, car les voyages dans le temps peuvent très vite devenir complexes et contradictoires selon les visions de chacun. Les deux auteurs restent sur une ligne directive simple mais efficace, ne s'embarrassant pas avec les fameux paradoxes temporels (pour l'instant) . Gageons que le second tome sera du même acabit. La dessinatrice italienne Alessandra Marsili use d'un trait rond, très "webtoon" format en vogue en ce moment, en y ajoutant des couleurs et effets de reliefs saisissants. Le rendu est dynamique, le mouvement est omniprésent surtout dans les scènes de courses-poursuites. Un bon premier tome méritant confirmation dans le second opus. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-enfants-sabletemps-tome-1/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. L'auteur Youssef Daoud utilise une approche originale pour retracer le parcours impression d'Orson Welles par le regarde d'Orson Welles. Le pari était osé mais fonctionne très bien, donc Orson nous parle de lui-même, de ses œuvres théâtral, de ses émissions radios ou encore de ses films ou encore des films abandonnés. Cette biographie retrace la jeunesse d’Orson en mettant en avant son intérêt pour toutes les formes d’art en général et qu'il fréquente les salons d’intellectuels. La carrière de Welles démarre très vite où l’auteur multiplie les succès, son émission radio sur la guerre des mondes puis Citizen Kane pour le cinéma sans compter les nombreuses pièces de théâtre. Puis progressivement comme l’annonce le sous-titre, Welles va souvent être en opposition avec les producteurs de films et les exigences d’Hollywood pour plaire aux public et faire de l’argent. Welles continue de vouloir créer de nouvelles choses avec des projets ambitieux mais très cher. Welles passa de moins en moins bien par sa personnalité forte et son caractère. La partie graphique de Youssef Daoud est très travaillé en noir et blanc avec des dégradés de gris et surtout des touches de couleur jaune. Si vous recherchez à approfondir vos connaissances sur Orson Welles le génie du cinéma, vous trouvez votre compte avec cet album.
  14. Titre de l'album : Orson - Welles, l'artiste et son ombre Scenariste de l'album : Youssef Daoud Dessinateur de l'album : Youssef Daoud Coloriste : Youssef Daoud Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Après avoir excellé au théâtre et à la radio, Welles débarque avec fracas à Hollywood en réalisant son premier long-métrage en 1941 : Citizen Kane, l'un des chefs d'oeuvres du cinéma. Mais, très vite, il va connaître de nombreux revers et découvrir le prix à payer pour son génie, sa célébrité précoce, son indépendance farouche et son sens de la tragédie Shakespearienne. Critique : L'auteur Youssef Daoud utilise une approche originale pour retracer le parcours impression d'Orson Welles par le regarde d'Orson Welles. Le pari était osé mais fonctionne très bien, donc Orson nous parle de lui-même, de ses œuvres théâtral, de ses émissions radios ou encore de ses films ou encore des films abandonnés. Cette biographie retrace la jeunesse d’Orson en mettant en avant son intérêt pour toutes les formes d’art en général et qu'il fréquente les salons d’intellectuels. La carrière de Welles démarre très vite où l’auteur multiplie les succès, son émission radio sur la guerre des mondes puis Citizen Kane pour le cinéma sans compter les nombreuses pièces de théâtre. Puis progressivement comme l’annonce le sous-titre, Welles va souvent être en opposition avec les producteurs de films et les exigences d’Hollywood pour plaire aux public et faire de l’argent. Welles continue de vouloir créer de nouvelles choses avec des projets ambitieux mais très cher. Welles passa de moins en moins bien par sa personnalité forte et son caractère. La partie graphique de Youssef Daoud est très travaillé en noir et blanc avec des dégradés de gris et surtout des touches de couleur jaune. Si vous recherchez à approfondir vos connaissances sur Orson Welles le génie du cinéma, vous trouvez votre compte avec cet album. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/orson-welles-l-artiste-et-son-ombre/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Titre de l'album : Thrace tome 3 - Omnia vincit amor Scenariste de l'album : Trif Dessinateur de l'album : Trif Coloriste : Andrea Celestini Editeur de l'album : Tabou Note : Résumé de l'album : Après avoir goûté à la gloire du Colisée, le jeune Thrace, Cleio subit sa première défaite. Battu par Maximus, le mirmillon impérial, il est entre la vie et la mort au sein de l'école de gladiature, alors même que l'Empereur décide de la faire détruire. De son côté, Adriana condamnée à l'exil, doit décider si elle doit quitter Rome pour toujours ou tenter toutes les manigances possibles pour rendre sa liberté à Cleio, son véritable amour. Qu'il s'agisse de l'intrigante Giulia, du sadique sénateur Primus, du machiavélique Quintus ou de l'Empereur lui-même : tout Rome semble vouloir s'opposer à l'amour entre Adriana et Cleio. Critique : Un mois après la sortie "tout public" du tome 3 chez l'éditeur Graph-Zepellin, la maison voisine Tabou sort sa version nettement plus complète. Elle comble avec une élégance rare les moments intimes voire violents parfois et offre une superbe conclusion au couple maudit Adriana et Cleio. Peut-il y avoir une fin heureuse dans cette ville empire où les trahisons sont reines et l'ascenseur social inexistant ? D'autant que le tome précédent laissait Cleio pour mort suite à sa défaite en combat singulier, et Adriana en proie à d'obscures manoeuvres politiques et autres pièges de Quintus . Séparés dans la violence , comment peuvent-ils se retrouver et s'aimer dans la paix et la sérénité ? Trif vient clôturer un formidable triptyque en donnant ses lettres de noblesses au péplum, un genre quelque peu oublié ces temps-ci dans le monde du 9ème art. Son trait fin , magnifié par les couleurs chaudes d'Andrea Celestini met en lumière la ville éternelle. Les trois albums sortis chez Tabou combleront amplement vos attentes, sur le plan narratif, graphique ainsi qu'une dose d'érotisme légère et toujours au service du récit. Amoureux des péplums et de la série Spartacus , foncez 😉 ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/thrace-3-omnia-vincit-amor/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Titre de l'album : Emma et Capucine tome 8 - Le premier jour de ma nouvelle vie ! Scenariste de l'album : Jérôme Hamon Dessinateur de l'album : Lena Sayaphoum Coloriste : Lena Sayaphoum Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Capucine et Emma semblent plus épanouies que jamais et continuent de tracer leur chemin dans la danse. Mais l'année scolaire touche bientôt à sa fin et les soeurs doivent faire face à de nouveaux défis. Emma et Jake commencent tous deux un stage, elle dans un magasin vendant des articles de danse, lui dans une société de production. Le stage de Jake le passionne mais il est frustré de ne pas pouvoir toucher au matériel mis à sa disposition et montrer de quoi il est capable. Toute la bande décide donc de réaliser un nouveau clip. Mais Jake n'étant pas satisfait du résultat, Emma propose de l'aider en se chargeant de la chorégraphie. Et si c'était l'occasion pour Emma de se découvrir un nouveau talent ? Capucine, quant à elle vit son rêve et danse à l'Opera Bastille entourée de ses meilleures amies et des danseurs qu'elle admire. Mais son trio est mis en péril par le départ de Manon, qui part à New York l'année prochaine. Capucine accuse le coup mais elle peut compter sur le soutien de Maël et de sa soeur, prêts à tout pour l'aider. Critique : Un tome Feel Good puissance mille avec ce tome 8. Un tome qui fait du bien et ce même s'il est un peu trop vite lu. Un tome qui nous montre deux sœurs, ainsi que leurs parents, épanouis et bien dans leurs bottes. Que ce soit en termes de vie amoureuse qu'en termes de danse, notre petite famille respire la tranquillité et ca fait du bien au moral. Fini les soucis de cœur ou les problématiques de poursuite d'étude. Place à une grande et belle entente pour une famille qui donne envie et qui nous fait nous dire que oui un instant de bonheur familial c'est possible. Sans chercher plus, cet album est ce qu'il nous faut dans cette période triste de début d'automne. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/emma-et-capucine-tome-8-le-premier-jour-de-ma-nouvelle-vie?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Un tome Feel Good puissance mille avec ce tome 8. Un tome qui fait du bien et ce même s'il est un peu trop vite lu. Un tome qui nous montre deux sœurs, ainsi que leurs parents, épanouis et bien dans leurs bottes. Que ce soit en termes de vie amoureuse qu'en termes de danse, notre petite famille respire la tranquillité et ca fait du bien au moral. Fini les soucis de cœur ou les problématiques de poursuite d'étude. Place à une grande et belle entente pour une famille qui donne envie et qui nous fait nous dire que oui un instant de bonheur familial c'est possible. Sans chercher plus, cet album est ce qu'il nous faut dans cette période triste de début d'automne.
  18. Après une tome sur les jeux vidéos et leurs dérives , Cookie Kalkair remet ça avec les fameux réseaux sociaux tant décriés! Etant parent d'ados, je suis donc parfaitement ciblé et j'ai démarré cette lecture curieux des enseignements à venir. Pour donner corps à son analyse, il illustre un échange entre son avatar et sa soeur cadette. Deux points de vue différents, lui en tant qu'aîné possédant un regard méfiant et elle bien plus jeune et rompue aux joutes de tous ces sites. De cette discussion animée par l'humour et la bonne humeur, en ressort une analyse profonde avec en premier lieu l'élaboration et le fonctionnement de ces réseaux sociaux (RS) ainsi que leur impact sur l'humain. L'arrivée des smartphones, premiers supports en utilisation des RS va déclencher une avalanche ne cessant de dévaler, comme le "scrolling" infini (autre invention des RS) ou "deep scrolling". La courbe de suicides chez les jeunes est par exemple en augmentation exponentielle en 2010, date des débuts des smartphones... Mais , car il y a un mais et il me coûte de le dire en tant que personne réfractaire aux RS, leur utilité peut s'avérer positive si elle est contrôlée. C'est ce que la soeur de Cookie démontre, preuves à l'appui. Je vous laisse les découvrir dans cet ouvrage maniant humour et détente tout en apprenant. La balance décisionnelle concernant ces réseaux sociaux sera d'autant plus étoffée par tout ce que vous aurez appris à la lecture de cet ouvrage malin.
  19. Titre de l'album : Les réseaux sociaux et nos ados Scenariste de l'album : Cookie Kalkair Dessinateur de l'album : Cookie Kalkair Coloriste : Editeur de l'album : Steinkis Note : Résumé de l'album : C'est avec humour et autodérision que Cookie Kalkair se lance dans une étude sur les réseaux sociaux. Mêlant analyse et conseils pratiques, Cookie explore leurs aspects négatifs et positifs au travers de : la gestion du temps, l'estime de soi ou encore la toxicité en ligne. Un guide à destination de ceux qui veulent comprendre les mécaniques des réseaux sociaux et ouvrir un espace de dialogue avec les ados. Pour construire ensemble un regard critique sur nos pratiques. Critique : Après une tome sur les jeux vidéos et leurs dérives , Cookie Kalkair remet ça avec les fameux réseaux sociaux tant décriés! Etant parent d'ados, je suis donc parfaitement ciblé et j'ai démarré cette lecture curieux des enseignements à venir. Pour donner corps à son analyse, il illustre un échange entre son avatar et sa soeur cadette. Deux points de vue différents, lui en tant qu'aîné possédant un regard méfiant et elle bien plus jeune et rompue aux joutes de tous ces sites. De cette discussion animée par l'humour et la bonne humeur, en ressort une analyse profonde avec en premier lieu l'élaboration et le fonctionnement de ces réseaux sociaux (RS) ainsi que leur impact sur l'humain. L'arrivée des smartphones, premiers supports en utilisation des RS va déclencher une avalanche ne cessant de dévaler, comme le "scrolling" infini (autre invention des RS) ou "deep scrolling". La courbe de suicides chez les jeunes est par exemple en augmentation exponentielle en 2010, date des débuts des smartphones... Mais , car il y a un mais et il me coûte de le dire en tant que personne réfractaire aux RS, leur utilité peut s'avérer positive si elle est contrôlée. C'est ce que la soeur de Cookie démontre, preuves à l'appui. Je vous laisse les découvrir dans cet ouvrage maniant humour et détente tout en apprenant. La balance décisionnelle concernant ces réseaux sociaux sera d'autant plus étoffée par tout ce que vous aurez appris à la lecture de cet ouvrage malin. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-reseaux-sociaux-et-nos-ados/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Tous les amateurs de récits historiques vont être comblés avec les trois nouvelles séries dont les premiers sont sortis en même temps en librairie. Les éditions Delcourt proposent des albums soignés avec des dos toilés, dorure et une pagination importante d'une centaine de planches. Les tomes se terminent sur des cahiers historiques pour apporter des informations supplémentaires. Avec les couronnes de France, l'album propose une première partie sur Philippe Auguste puis une seconde sur Philippe Le Bel avec une cinquantaine d'année entre les deux récits, plus calme au niveau du royaume de France. Le scénariste Jean-Pierre Pécau se charge des deux récits dont le premier retrace la vie de Philippe Auguste depuis sa naissance, ses batailles en compagnie de son cousin Richard Cœur de Lion et ensuite contre lui jusqu'à sa victoire. L'album se poursuit sur Philippe Le Bel devenant roi puis ses combats contre les templiers, les juifs jusqu'à sa mort. Milan Jovanovic dessine la première partie dans un style très réaliste avec les champs de combat en France ou Palestine. La seconde partie est dessinée par Fabrizio Faina et Marco Pizi dans un style similaire. Diego Parada assure les couleurs des deux hsitoires pour une transition à peine perceptible. Cette édition luxueuse de récits historiques devrait séduire de nombreux lecteurs. Quatre autres tomes sont programmés jusqu’en 2026. En parallèle, le premier tome de la trilogie sur les civilisations est sorti comme le premier tome sur les légendes noires de l’histoire avec un premier tome sur Robespierre.
  21. Titre de l'album : La Couronne de France tome 1 - De Philippe Auguste à Philippe le Bel Scenariste de l'album : Jean-Pierre Pécau Dessinateur de l'album : Milan Jovanovic, Fabrizio Faina, Marco Pizi Coloriste : Diego Parada Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Ce premier tome débute à la naissance de Philippe II Auguste qui fut le premier à se doter du titre de « Roi de France », et nous fait vivre la lutte contre l'empire germanique et l'Angleterre, sur fond de croisades et de bataille de Bouvines. Le royaume de France existe pour la première fois. Critique : Tous les amateurs de récits historiques vont être comblés avec les trois nouvelles séries dont les premiers sont sortis en même temps en librairie. Les éditions Delcourt proposent des albums soignés avec des dos toilés, dorure et une pagination importante d'une centaine de planches. Les tomes se terminent sur des cahiers historiques pour apporter des informations supplémentaires. Avec les couronnes de France, l'album propose une première partie sur Philippe Auguste puis une seconde sur Philippe Le Bel avec une cinquantaine d'année entre les deux récits, plus calme au niveau du royaume de France. Le scénariste Jean-Pierre Pécau se charge des deux récits dont le premier retrace la vie de Philippe Auguste depuis sa naissance, ses batailles en compagnie de son cousin Richard Cœur de Lion et ensuite contre lui jusqu'à sa victoire. L'album se poursuit sur Philippe Le Bel devenant roi puis ses combats contre les templiers, les juifs jusqu'à sa mort. Milan Jovanovic dessine la première partie dans un style très réaliste avec les champs de combat en France ou Palestine. La seconde partie est dessinée par Fabrizio Faina et Marco Pizi dans un style similaire. Diego Parada assure les couleurs des deux hsitoires pour une transition à peine perceptible. Cette édition luxueuse de récits historiques devrait séduire de nombreux lecteurs. Quatre autres tomes sont programmés jusqu’en 2026. En parallèle, le premier tome de la trilogie sur les civilisations est sorti comme le premier tome sur les légendes noires de l’histoire avec un premier tome sur Robespierre. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-couronne-de-france-tome-1/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Kevin Nivek

    Pas d'lézard

    Titre de l'album : Pas d'lézard Scenariste de l'album : POG Dessinateur de l'album : Francesca Carita Coloriste : Vera Daviet Editeur de l'album : Oxymore Note : Résumé de l'album : Dans un monde où les dinosaures vivent parmi les Hommes... certains d'entre eux sont intégrés tandis que d'autres sont restés au stade du crétacé. Et quand des dinosaures sauvages et agressifs menacent la tranquillité des habitants de la ville, les passions se déchaînent sur fond de violence. Dans ce climat de terreur, Mattéo, un garçon en fauteuil roulant, se lie d'amitié avec Ziyu¨l, un jeune vélociraptor qui vient d'emménager dans son immeuble. Mattéo et Ziyu¨l sauront-ils préserver la paix et leur amitié ? Critique : Lorsque deux spécialistes de la BD enfants s'associent , cela ne peut donner qu'une histoire sympa et innovante ! En effet, POG le scénariste utilise de nombreuses thématiques telles que l'écologie, le harcèlement scolaire, l'immigration et la politique, en ajoutant bien entendu une pointe de mystères. Cela donne une histoire bien menée dans un environnement original et parfaitement adapté au public ciblé 😉 . Il crée une dystopie dans laquelle les dinosaures n'ont pas subi d'extinction de masse et ont même pour certains poursuivit leur évolution jusqu'à parler et vivre comme les humains. Ces derniers vivent retranchés dans une ville protégée par de hauts murs afin de se protéger des dinosaures carnivores restés à l'état "animal". Dans un tel contexte, l'auteur manie habilement les craintes d'une partie de la population hostile à cette cohabitation, des peurs personnifiées par un postulant au fauteuil de maire qui n'est pas sans rappeler une certaine Marine LP. Le paradoxe étant que les humains se servent de ces géants quadrupèdes pour les tâches quotidiennes, comme les transports en commun ou la production d'énergie. L'écologie s'insère subtilement dans le récit et dans la tête des jeunes lecteurs ! Le suspens est au rendez-vous, car de nombreuses questions demeurent à la fin de ce premier tome surprenant. Pour illustrer ce monde nouveau, la dessinatrice Francesca Carita réalise un travail soigné et précis. Des personnages reconnaissables, des cases détaillées et un découpage dynamique donnant de la fluidité à l'histoire. Un bon duo pour un premier bon tome , on veut savoir la suite ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/pas-d-lezard-nueva-lutetia/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Kevin Nivek

    Pas d'lézard

    Lorsque deux spécialistes de la BD enfants s'associent , cela ne peut donner qu'une histoire sympa et innovante ! En effet, POG le scénariste utilise de nombreuses thématiques telles que l'écologie, le harcèlement scolaire, l'immigration et la politique, en ajoutant bien entendu une pointe de mystères. Cela donne une histoire bien menée dans un environnement original et parfaitement adapté au public ciblé 😉 . Il crée une dystopie dans laquelle les dinosaures n'ont pas subi d'extinction de masse et ont même pour certains poursuivit leur évolution jusqu'à parler et vivre comme les humains. Ces derniers vivent retranchés dans une ville protégée par de hauts murs afin de se protéger des dinosaures carnivores restés à l'état "animal". Dans un tel contexte, l'auteur manie habilement les craintes d'une partie de la population hostile à cette cohabitation, des peurs personnifiées par un postulant au fauteuil de maire qui n'est pas sans rappeler une certaine Marine LP. Le paradoxe étant que les humains se servent de ces géants quadrupèdes pour les tâches quotidiennes, comme les transports en commun ou la production d'énergie. L'écologie s'insère subtilement dans le récit et dans la tête des jeunes lecteurs ! Le suspens est au rendez-vous, car de nombreuses questions demeurent à la fin de ce premier tome surprenant. Pour illustrer ce monde nouveau, la dessinatrice Francesca Carita réalise un travail soigné et précis. Des personnages reconnaissables, des cases détaillées et un découpage dynamique donnant de la fluidité à l'histoire. Un bon duo pour un premier bon tome , on veut savoir la suite !
  24. Kevin Nivek

    Modigliani

    Artiste complet (sculpture, dessin, peinture) , Ernesto Anderle poursuit ses déclarations d'amour aux grands peintres italiens . Après un réussi Caravage publié chez Petitàpetit , il réitère l'exercice avec Modigliani pour la rentrée littéraire de l'éditeur Steinkis. On y retrouve son trait particulier à l'aquarelle mais avec des contours marqués et puissants à l'encrage noir . C'est assez déstabilisant car certaines cases semblent incomplètes ou mal finies , pendant que d'autres semblent vouloir sortir des pages, transpirantes de vie ! Plutôt que de réaliser une biographie simple et classique, il met en scène une quête d'identité avec pour toile de fond la vie du peintre italien. En effet, Jeanne sa fille unique cherche à remonter le temps au fil de ses discussions avec sa grand-mère et comprendre réellement qui étaient ses parents ! Ce chemin va la conduire à Paris, la ville ayant permis à Modigliani de véritablement percer. Vous découvrirez ainsi les rencontres avec Picasso ( un ami/ennemi), Renoir, mais aussi les nombreuses difficultés éprouvées pour vivre de son art. La rencontre avec Jeanne Hébuterne va marquer un tournant dans cette vie de bohème marquée par la maladie et la fée verte. Cette plongée dans le Paris des années 1910 à 1920 est passionnante, d'autant que je connaissais ce peintre de nom, mais pas à travers ses oeuvres et ce style qu'il a forgé et imposé malgré les ombreuses critiques de l'époque. Le Nu couché ci-dessous a été vendu plus de 150000000 lors d'une vente aux enchères il y a quelques années ! Un comble en voyant Modigliani vivre dans la misère toute sa vie ... Sans aimer son style, voire l'Art, vous apprécierez le trait d'Ernesto Anderle et son style onirique. Je recommande tout particulièrement la plongée dans l'inconscient de Jeanne opérée par Modigliani lorsqu'il réalise son portrait. Une mise en image vertigineuse, on entre dans la tête du peintre littéralement.
  25. Kevin Nivek

    Modigliani

    Titre de l'album : Modigliani Scenariste de l'album : Ernesto Anderle Dessinateur de l'album : Ernesto Anderle Coloriste : Ernesto Anderle Editeur de l'album : Steinkis Note : Résumé de l'album : Jeanne, fille unique d'Amedeo Modigliani, cherche à comprendre quel homme était son père, disparu alors qu'elle n'était qu'une enfant. Peintre de génie, artiste maudit, rival et ami de Picasso, Amedeo Modigliani fut applaudi et censuré. Au fil du témoignage de son vieil ami, Maurice Utrillo, s'esquisse petit à petit pour Jeanne le portrait de ce père, fou d'amour pour l'art, pour la vie, et pour sa mère, Jeanne Hébuterne... Critique : Artiste complet (sculpture, dessin, peinture) , Ernesto Anderle poursuit ses déclarations d'amour aux grands peintres italiens . Après un réussi Caravage publié chez Petitàpetit , il réitère l'exercice avec Modigliani pour la rentrée littéraire de l'éditeur Steinkis. On y retrouve son trait particulier à l'aquarelle mais avec des contours marqués et puissants à l'encrage noir . C'est assez déstabilisant car certaines cases semblent incomplètes ou mal finies , pendant que d'autres semblent vouloir sortir des pages, transpirantes de vie ! Plutôt que de réaliser une biographie simple et classique, il met en scène une quête d'identité avec pour toile de fond la vie du peintre italien. En effet, Jeanne sa fille unique cherche à remonter le temps au fil de ses discussions avec sa grand-mère et comprendre réellement qui étaient ses parents ! Ce chemin va la conduire à Paris, la ville ayant permis à Modigliani de véritablement percer. Vous découvrirez ainsi les rencontres avec Picasso ( un ami/ennemi), Renoir, mais aussi les nombreuses difficultés éprouvées pour vivre de son art. La rencontre avec Jeanne Hébuterne va marquer un tournant dans cette vie de bohème marquée par la maladie et la fée verte. Cette plongée dans le Paris des années 1910 à 1920 est passionnante, d'autant que je connaissais ce peintre de nom, mais pas à travers ses oeuvres et ce style qu'il a forgé et imposé malgré les ombreuses critiques de l'époque. Le Nu couché ci-dessous a été vendu plus de 150000000 lors d'une vente aux enchères il y a quelques années ! Un comble en voyant Modigliani vivre dans la misère toute sa vie ... Sans aimer son style, voire l'Art, vous apprécierez le trait d'Ernesto Anderle et son style onirique. Je recommande tout particulièrement la plongée dans l'inconscient de Jeanne opérée par Modigliani lorsqu'il réalise son portrait. Une mise en image vertigineuse, on entre dans la tête du peintre littéralement. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/modigliani/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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