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On va faire la chronique de Rick et Morty en deux phases. Ceux qui connaissent et aiment. Les autres. Pour ceux qui connaissent et qui aiment l'humour et l'univers de Rick et Morty, ce tome n'est clairement pas l'un des meilleurs, mais le thème fonctionne bien, l'histoire déroule pas mal, et l'esprit rick et morty est bien là. Pas trop d'inquiétudes donc si vous êtes fan, foncez. En bémol cependant j'ai trouvé la partie graphique parfois brouillone, alors certes il y a un lien avec l'histoire, mais c'est un peu trop marqué pour moi et pas très réussi. Pour ceux qui ne connaissent pas Rick et Morty, ou qui n'aiment pas. Bah vous ne risquez pas d'adhérer grâce à ce tome. S'il est facile d'accès pour les néophytes, les références aux autres épisodes et à l'univers de Rick et Morty étant finalement peu nombreuses, ce n'est clairement pas le plus drôle, ni celui où l'univers présenté apporte le plus. La version Donjon et Dragon était à ce titre plus réussie pour moi. Ce n'est pas pour vous, on est très loin de Fables.
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Titre de l'album : Rick & Morty - Il était une fois Scenariste de l'album : Sam Maggs Dessinateur de l'album : Sarah Stern & Emett Helen Coloriste : Sarah Stern Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : Rick et Morty entrent dans un monde à vous faire GRIMacer... un monde de contes de fées inversé !Lorsque Morty doit réviser un examen, Rick lui propose d'utiliser sa dernière invention pour intégrer complètement les connaissances de son manuel Avalonia : Mauvaises histoires pour mauvais enfants. Mais les choses tournent mal lorsque Rick et Morty sont tous deux entraînés à l'intérieur du livre et sont contraints de vivre une aventure dans un univers miroir des contes de Grimm, complètement tordu et bien loin des adaptations édulcorées qu'on connaît ! Critique : On va faire la chronique de Rick et Morty en deux phases. Ceux qui connaissent et aiment. Les autres. Pour ceux qui connaissent et qui aiment l'humour et l'univers de Rick et Morty, ce tome n'est clairement pas l'un des meilleurs, mais le thème fonctionne bien, l'histoire déroule pas mal, et l'esprit rick et morty est bien là. Pas trop d'inquiétudes donc si vous êtes fan, foncez. En bémol cependant j'ai trouvé la partie graphique parfois brouillone, alors certes il y a un lien avec l'histoire, mais c'est un peu trop marqué pour moi et pas très réussi. Pour ceux qui ne connaissent pas Rick et Morty, ou qui n'aiment pas. Bah vous ne risquez pas d'adhérer grâce à ce tome. S'il est facile d'accès pour les néophytes, les références aux autres épisodes et à l'univers de Rick et Morty étant finalement peu nombreuses, ce n'est clairement pas le plus drôle, ni celui où l'univers présenté apporte le plus. La version Donjon et Dragon était à ce titre plus réussie pour moi. Ce n'est pas pour vous, on est très loin de Fables. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/rick-morty-il-etait-une-fois/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Rain Scenariste de l'album : Jo Hill & David M. Booher Dessinateur de l'album : Zoé Thorogood Coloriste : Chris O'Halloran Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : À Boulder dans le Colorado, le ciel est dégagé et Honeysuckle Speck ne pourrait pas être plus heureuse. En cette journée d'aout ensoleillée, elle emménage enfin avec sa petite amie Yolanda. Mais quand le rêve tourne au cauchemar et que des nuages sombres s'accumulent libérant une pluie de clous qui déchiquettent la peau de ceux qui ne sont pas protégés, leur monde vole littéralement en éclat.RAIN donne de la vie à la progression de cet événement apocalyptique, alors que le déluge de clous se répand à travers le pays et le monde, menaçant tout ce que les jeunes amoureuses Honeysuckle et Yolanda chérissent.L'adaptation captivante de la novella de Joe Hill, acclamée par la critique et best-seller du New York Times, par le scénariste David M. Booher (Canto), la dessinatrice Zoe Thorogood (The Impending Blindness of Billie Scott), et le coloriste Chris O'Halloran (Ha-Ha). Critique : Qu'est ce que j'aime le travail éditorial sur le comics indépendant de Hi Comics. Certes quand il s'agit d'une partie du travail de Joe Hill on ne prends pas de gros risques d'un point de vue qualitatifs, mais quand même. Ce Rain en est le parfait exemple. Graphiquement c'est très particulier pour un public européens, on est vraiment sur du comics indé et pour être honnête il m'a fallut un petit temps d'adaptation avant de vraiment en apprécier le style et la finesse. Au niveau de l'histoire cela démarre sur les chapeaux de roue, et si la conclusion parait un peu facile, elle n'en reste pas moins assez bien menée vu l'ambition et le côté one shot/nouvelle. L'auteur nous livre à travers son histoire presque post apo sa vision de l'Amérique actuelle, avec ses craintes et ses moqueries. Cela a déjà été fait certes, mais l'exercice, parfois jouissif, n'en reste pas moins intéressant quand l'auteur s'appelle Joe Hill. Je ne peux que vous encourager à découvrir Rain, surtout si vous arrivez à vous adapter au style graphique très Comics. Autres infos : D'après la novella de Joe Hill Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/rain?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Qu'est ce que j'aime le travail éditorial sur le comics indépendant de Hi Comics. Certes quand il s'agit d'une partie du travail de Joe Hill on ne prends pas de gros risques d'un point de vue qualitatifs, mais quand même. Ce Rain en est le parfait exemple. Graphiquement c'est très particulier pour un public européens, on est vraiment sur du comics indé et pour être honnête il m'a fallut un petit temps d'adaptation avant de vraiment en apprécier le style et la finesse. Au niveau de l'histoire cela démarre sur les chapeaux de roue, et si la conclusion parait un peu facile, elle n'en reste pas moins assez bien menée vu l'ambition et le côté one shot/nouvelle. L'auteur nous livre à travers son histoire presque post apo sa vision de l'Amérique actuelle, avec ses craintes et ses moqueries. Cela a déjà été fait certes, mais l'exercice, parfois jouissif, n'en reste pas moins intéressant quand l'auteur s'appelle Joe Hill. Je ne peux que vous encourager à découvrir Rain, surtout si vous arrivez à vous adapter au style graphique très Comics.
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Allez une critique avec une note un petit trop haute pour une fois, mais c'est assumé. La demie étoile en trop est la pour remercier Kieron Gillen et Dan Mora de nous avoir livré une histoire dantesque, sortie de nulle part, hyper imaginative et surtout... terminé de bien belle façon. Car je n'ajoute qu'une demi étoile à ce tome 5 qui est excellent. Il a le mérite de réussir à cadrer un comics qui était parti dans tous les sens. Kieron Gillen réussit à recentrer ce tome sur nos héros et faire des résumés cachés des épisodes précédents pour nous permettre de vraiment apprécier un tome 5 qui conclut intelligemment une affaire quand même bien mal embarquée. Il réussit même l'exploit de nous faire nous concentrer sur le récit... quitte à oublier (certaine fois) les sublimes dessin de Dan Mora. Car là, sincèrement, les amateurs vont tomber de leurs chaises. La maitrise et la technique déployée ici touche au sublime. On a envie de relire ce tome cinq juste pour le "regarder" tellement le niveau graphique est magique La preuve en image : Vous aimez le fantastique ? vous aimez ce que vous venez de voir. Ne réfléchissez plus et foncer sur les 5 tomes de Once and Future !
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Titre de l'album : Once & future tome 5 Scenariste de l'album : Kieron Gillen Dessinateur de l'album : Dan Mora Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : C'est la veille de Noël et les rois convergent tous vers Excalibur, chacun déterminé à être celui qui règnera. Le chaos s'installe ! Et si personne n'avait la force de prendre l'épée ? Le monde connaîtra-t-il enfin la paix après tant de batailles, ou un personnage inattendu réclamera-t-il le trône ? Des rituels, des bombes et des batailles s'ensuivent, tandis que le destin final de Mary, Rose, Bridgette, Merlin va se jouer ! Critique : Allez une critique avec une note un petit trop haute pour une fois, mais c'est assumé. La demie étoile en trop est la pour remercier Kieron Gillen et Dan Mora de nous avoir livré une histoire dantesque, sortie de nulle part, hyper imaginative et surtout... terminé de bien belle façon. Car je n'ajoute qu'une demi étoile à ce tome 5 qui est excellent. Il a le mérite de réussir à cadrer un comics qui était parti dans tous les sens. Kieron Gillen réussit à recentrer ce tome sur nos héros et faire des résumés cachés des épisodes précédents pour nous permettre de vraiment apprécier un tome 5 qui conclut intelligemment une affaire quand même bien mal embarquée. Il réussit même l'exploit de nous faire nous concentrer sur le récit... quitte à oublier (certaine fois) les sublimes dessin de Dan Mora. Car là, sincèrement, les amateurs vont tomber de leurs chaises. La maitrise et la technique déployée ici touche au sublime. On a envie de relire ce tome cinq juste pour le "regarder" tellement le niveau graphique est magique La preuve en image : Vous aimez le fantastique ? vous aimez ce que vous venez de voir. Ne réfléchissez plus et foncer sur les 5 tomes de Once and Future ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/once-and-future-tome-5?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Bon alors je pense qu'en tant que fan de comics, vous êtes comme moi, et vous vous demandez : Mais qu'est-ce que c'est que ça ???? Si on est d'accord sur le fait quel multivers permet de faire tout et n'importe quoi.... là, on est quasiment au-delà du n'importe quoi ! Et bien, figurez-vous que... la lecture se passe plutôt bien ! Plus que les équivalences Dinosaures / Super héros, ce qui est vraiment intéressant, c'est la gestion des humains. En effet, les humains sont des "bestioles". Des trucs faibles comme les autres herbivores. Nos héros découvrent petit à petit ces créatures et leurs évolutions. Un point spécial sur les différences de langage qui apporte une véracité au récit et rend l'aspect "héros d'une race différente" vraiment évident. Cette gestion du rapport Bestioles / Dinosaures est vraiment sympa et fait passer cette lecture au-dessus du simple "What the fuck" comics.
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Titre de l'album : Jurassic league Scenariste de l'album : Daniel Warren Johnson Dessinateur de l'album : Juan Gedeon Coloriste : Juan Gedeon Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : L'histoire est connue : un nourrisson échappe à la destruction de sa planète natale et atterri sur Terre pour être élevé par des parents humains. Une déesse d'une cité perdue défend la vérité. Un théropode revêt un costume de chauve-souris pour semer la terreur dans le coeur des méchants. Cette trinité héroïque, ainsi qu'une Ligue d'autres dinosaures surpuissants, unissent leurs forces pour sauver une Terre préhistorique des sinistres machinations de Darkyloseid... Attends...quoi ? Ok, peut-être que vous ne connaissez pas l'histoire. Alors soyez témoin d'une toute nouvelle aventure plus ancienne que le temps, et découvrez la Ligue de Justice comme vous ne l'avez jamais vue auparavant ! Critique : Bon alors je pense qu'en tant que fan de comics, vous êtes comme moi, et vous vous demandez : Mais qu'est-ce que c'est que ça ???? Si on est d'accord sur le fait quel multivers permet de faire tout et n'importe quoi.... là, on est quasiment au-delà du n'importe quoi ! Et bien, figurez-vous que... la lecture se passe plutôt bien ! Plus que les équivalences Dinosaures / Super héros, ce qui est vraiment intéressant, c'est la gestion des humains. En effet, les humains sont des "bestioles". Des trucs faibles comme les autres herbivores. Nos héros découvrent petit à petit ces créatures et leurs évolutions. Un point spécial sur les différences de langage qui apporte une véracité au récit et rend l'aspect "héros d'une race différente" vraiment évident. Cette gestion du rapport Bestioles / Dinosaures est vraiment sympa et fait passer cette lecture au-dessus du simple "What the fuck" comics. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/jurassic-league?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Toutes les morts de Laila Starr Scenariste de l'album : Ram V Dessinateur de l'album : Andrade Felipe Coloriste : Andrade Felipe Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Mumbai, de nos jours. Mme Shah, en plein travail et coincée dans un embouteillage, hurle sur son mari au téléphone. Laila Starr, une jeune femme déjà fatiguée de tout, est allongée sur le rebord d'une fenêtre ouverte, plusieurs étages au-dessus du trafic. Et plus haut encore, bien au-delà des nuages, la déesse de la Mort est convoquée dans le bureau de son patron. Ces trois destins se rejoignent au moment où, simultanément Laila saute dans le vide, Mme Shah donne naissance à son fils Darius, et la Mort est renvoyée sans ménagement. Dans un futur, Darius est en effet celui qui découvrira le secret de l'immortalité et reléguera la Mort au rang de désagréable souvenir. Mais la Mort, incarnée dans le corps sans vie de Laila, compte bien retrouver sa place, même si elle doit pour cela éliminer le jeune Darius. Du moins, c'était le plan avant qu'un camion ne la fauche et qu'elle ne se retrouve à nouveau ressuscitée quelques années plus tard... Contenu vo : The Many Deaths of Laila Starr #1-5. Critique : Voilà mon deuxième coup de cœur comics de ce mois de mai : Toutes les morts de Laila Starr. Pourtant, je ne partais pas forcément confiant. Je dois reconnaitre que la mythologie indienne n'est pas une qui m'attire. Mais j'ai déjà été charmé par le graphisme et la mise en couleur. C'est beau, c'est aéré, c'est coloré et plein de vie. Et une fois ce regard posé, j'ai tout de suite été happé par le récit : L'idée de cette mort qui est rétrogradée à l'état de simple mortelle parce qu'un homme doit inventer l'immortalité..... c'est excellent. Tout comme le fait de faire découvrir à la morte elle-même ce que c'est que... mourir. Chance ou malchance, elle est ramenée à la vie par son ancien "collègue de bureau" et peu donc continuer ses vies. Vies qui croiseront toujours la route du même homme et qui changeront le point de vue de la mort sur son travail passé. Une très belle fable dans une édition sublime que je conseille, encore une fois, à tout le monde. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/toutes-les-morts-de-laila-starr?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Premier recueil d'histoire post James Tyrion IV dans l'univers Batman. Chip XXXX récupère un Batman aillant un vrai coup de mou, avec une Sélina partie faire un "Break", une fortune dilapidée par le Joker, un Bruce Wayne persona non gratta et une obligation de vivre dans les batcave de secours. Il n'y a pas à dire James Tyrion IV n'y est pas allé avec le dos de cuillère.... Après tant de changement, j'ai trouvé l'histoire proposée par Chip Zdarsky un peu hors sujet. En effet, il nous propose une bataille contre "un robot" devant abattre Batman si celui-ci dépassait les bornes. Un robot surpuissant étant capable de ridiculiser les plus grands héros de l'univers parce que c'est Batman qui l'a lui-même réalisé. C'est un peu trop gros, un peu trop aberrant. Que personne ne puisse rien faire et que l'on repasse en mode fin du monde d'un coup c'est trop. On aurait préféré un Batman en reconstruction… À réserver aux fans de Batman en monde sauveurs de l'univers
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Titre de l'album : Batman : Dark City Scenariste de l'album : Chip Zdarsky Dessinateur de l'album : Jorge Jiménez Coloriste : Jorge Jiménez Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Il est rassurant de penser que le protecteur de Gotham est un maître tacticien inébranlable ayant toujours dix coups d'avance sur ses ennemis. Mais, si c'était le cas, le crime à Gotham aurait été éradiqué il y a déjà bien longtemps. L'homme derrière le masque fascine car il n'est finalement qu'un simple mortel, et le propre de l'homme est d'être faillible. Tandis que les milliardaires les plus influents de Gotham se font assassiner les uns après les autres, Bruce Wayne broie du noir. Arrivera-t-il à s'extirper à temps de ses tourments personnels pour affronter une vieille connaissance et venir en aide à ceux qu'il s'est promis de protéger ? Critique : Premier recueil d'histoire post James Tyrion IV dans l'univers Batman. Chip XXXX récupère un Batman aillant un vrai coup de mou, avec une Sélina partie faire un "Break", une fortune dilapidée par le Joker, un Bruce Wayne persona non gratta et une obligation de vivre dans les batcave de secours. Il n'y a pas à dire James Tyrion IV n'y est pas allé avec le dos de cuillère.... Après tant de changement, j'ai trouvé l'histoire proposée par Chip Zdarsky un peu hors sujet. En effet, il nous propose une bataille contre "un robot" devant abattre Batman si celui-ci dépassait les bornes. Un robot surpuissant étant capable de ridiculiser les plus grands héros de l'univers parce que c'est Batman qui l'a lui-même réalisé. C'est un peu trop gros, un peu trop aberrant. Que personne ne puisse rien faire et que l'on repasse en mode fin du monde d'un coup c'est trop. On aurait préféré un Batman en reconstruction… À réserver aux fans de Batman en monde sauveurs de l'univers Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-dark-city-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Participatif Jeu : Marvel United X-Men
poseidon2 a posté un sujet dans Livres - Musique - Spectacles - Théatre - Musées
Petit coup de projecteur sur le jeu qui fait le buzz en ce moment sur kickstarter : Marvel United X-Men. Bon alors soyons clair il s'agit ici d'un objet de collection pour les fan des X-Men avant tout. Ensuite il y a quand meme un excellent jeu pour toute la famille. 10 minutes de règles, parties de 20 à 30 minutes avec tout le monde qui contrôle un X-Men pour lutter contre une méchant iconique. Mais il y a surtout une quantité impressionnante de figurine de X-Men de toutes les époques et de tout les styles. De quoi jouer avec sa team a soit, celle qu'on adorait quand on était gosse et que l'on retrouvait dans nos Super Strange ! Moi rien que d'évoquer Strange j'ai des souvenirs qui remontent....les vacances, les fascicules....pfff Apres parlons bien parlons peu : c'est cher. Allez compter quelque chose comme 90 euro pour le jeu de base. Mais pour compenser ce prix, la campagne marchant du tonnerre, il y a... et bien une quarantaine de figurine offerte : et ce n'est pas finit., il reste 12 jours..... Comme vous pouvez le voir il y a déjà de quoi faire. Et c'est sans compter des boites de héros supplémentaire que l'on peut ajouter. Je ne pousse pas trop à consommation d'habitude mais on a vu avec la premier version du jeu (Marvel Untied tout court, orienté Avengers) que le jeu était très bon et que les exclus kickstarter se vendaient super cher. Donc si vous etes vraiment fan des X-Men ou que vous avez envi de vous faire plaisir (je connaissent des gens qui rachètent des intégrales N&B de BDs qu'ils ont déjà alors bon...) ca se passe ici : https://www.kickstarter.com/projects/cmon/marvel-united-x-men/description Si jamais vous avez des question n'hésitez pas, moi je suis deja en train de choisir ma team favorite !! Poseidon, joueur et fan de X-Men donc foutu sur ce genre de jeu.... -
Titre de l'album : Money shot t1 Scenariste de l'album : Seeley Dessinateur de l'album : Beattie Coloriste : Beattie Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Loin dans notre futur, les humains n'ont pas profité de la chance que leur a donné une race extraterretres et s'est enfoncé dans un marasme économique tel qu'elle ne fait ... plus rien. Plus rien du tout. Un groupe de chercheur complètement désœuvré se rend compte que la seule facon de faire de l'argent à cette époque, c'est par le biais de videos pornographiques payantes en ligne, la seul chose qui intéresse les humains à l'heure actuelle.... et cette équipe y voit la possibilité de financer leur expédition.... Critique : Alors oui on est d'accord, le pitch de cette BD est vraiment suprenant et on a tout la pour faire un hentai. Mais... mais. Deja cette campagne, comme toutes les éditions Komics Initiative, est passée par un financement participatif qui nous a permis d'en savoir un peu plus avant de se lancer. De savoir, déjà, que graphiquement ca tenait la route. Dynamique, coloré et porté par un trait très propre. Restait à savoir si le scénario allait tenir la route.....et je dois dire que j'ai été agréablement surpris. Tout d'abord ce Money Shot n'est PAS une bd érotique. Une BD pour adulte c'est sur. Mais une BD plus coquine par moment qu'érotique. Mais le plus intéressant dans tout cela c'est que nos personnages sont et restent, tout au long de leur aventure, des scietifiques. Cette analyse permanente et leurs connaissances amènent quelques échanges et discours très sympas et font planner sur ce comics un sentiment de sérieux derrière le coté sexy de l'histoire. Au final entre le coté sexy et l'histoire d'exploration spatial, de découverte d'espèces extra terrestre et de critique du tout Youtube/Vidéos, ce Money shot se trouve être une vraie belle lecture détente. Une belle surprise dont on attend la suite, si elle existe, avec une certaine impatience, petits coquins fan de SF que nous sommes. Autres infos : Komics Initiative Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/money-shot?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Alors oui on est d'accord, le pitch de cette BD est vraiment suprenant et on a tout la pour faire un hentai. Mais... mais. Deja cette campagne, comme toutes les éditions Komics Initiative, est passée par un financement participatif qui nous a permis d'en savoir un peu plus avant de se lancer. De savoir, déjà, que graphiquement ca tenait la route. Dynamique, coloré et porté par un trait très propre. Restait à savoir si le scénario allait tenir la route.....et je dois dire que j'ai été agréablement surpris. Tout d'abord ce Money Shot n'est PAS une bd érotique. Une BD pour adulte c'est sur. Mais une BD plus coquine par moment qu'érotique. Mais le plus intéressant dans tout cela c'est que nos personnages sont et restent, tout au long de leur aventure, des scietifiques. Cette analyse permanente et leurs connaissances amènent quelques échanges et discours très sympas et font planner sur ce comics un sentiment de sérieux derrière le coté sexy de l'histoire. Au final entre le coté sexy et l'histoire d'exploration spatial, de découverte d'espèces extra terrestre et de critique du tout Youtube/Vidéos, ce Money shot se trouve être une vraie belle lecture détente. Une belle surprise dont on attend la suite, si elle existe, avec une certaine impatience, petits coquins fan de SF que nous sommes.
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Titre de l'album : East of West t10(fin) Scenariste de l'album : Jonathan Hickman Dessinateur de l'album : Nick Dragotta Coloriste : Nick Dragotta Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Conquête, Guerre et Famine ont enfin retrouvé la trace de Mort et de son fils, le prophétique Babylone. Après s'être débarrassé d'une multitude de Psaumes, des robots tueurs d'un autre temps, Mort apprend que Guerre a passé un marché avec son fils. S'il suit les Cavaliers pour prendre son rôle de Grande Bête de l'Apocalypse alors Mort aura la vie sauve. Mais il y certains pactes que l'on ne peut faire avec la Mort... Critique : En voilà une fin qui va faire parler. EN effet il sera, après un récit aussi intense et aussi complexe, de satisfaire tout le monde. Cette critique comportera donc un minimum de spoiler, sans quoi... ben je ne pourrais rien dire du tout. Pour ceux qui ne l'ont pas lu, sachez que j'ai adoré mais que ça ne se sera donc pas le cas de tout le monde. J'ai adoré cette dichotomie entre la complexité de l'histoire et la simplicité de cette fin. En effet plutôt que de chercher à forcement en rajouter encore quitte à ne plus rien maitriser, Hickman revient à la base de tout ce qui fait l'homme c'est à dire sa capacité à aimer. Cela paraitra surement peu pour beaucoup mais je trouve que cela tranche vraiment avec ce à quoi je m'attendais. Je m'attendais à.... et je ne savais pas à quoi m'attendre. C'est ce qui est toujours bien avec Hickman c'est qu'on ne sait jamais vraiment à quoi s'attendre. Et moi cette fin m'a plu et me suffit. Plus rien en suspens, une histoire qui se termine pour en laisser la place à une autre. Une belle fin de temps en temps ca du bien je trouve. A relire d'une seule traite. PS: pour ceux qui découvrirait la série, Urban a sortie l'histoire en 3 superbes intégrales ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/east-of-west-tome-10?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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En voilà une fin qui va faire parler. EN effet il sera, après un récit aussi intense et aussi complexe, de satisfaire tout le monde. Cette critique comportera donc un minimum de spoiler, sans quoi... ben je ne pourrais rien dire du tout. Pour ceux qui ne l'ont pas lu, sachez que j'ai adoré mais que ça ne se sera donc pas le cas de tout le monde. J'ai adoré cette dichotomie entre la complexité de l'histoire et la simplicité de cette fin. En effet plutôt que de chercher à forcement en rajouter encore quitte à ne plus rien maitriser, Hickman revient à la base de tout ce qui fait l'homme c'est à dire sa capacité à aimer. Cela paraitra surement peu pour beaucoup mais je trouve que cela tranche vraiment avec ce à quoi je m'attendais. Je m'attendais à.... et je ne savais pas à quoi m'attendre. C'est ce qui est toujours bien avec Hickman c'est qu'on ne sait jamais vraiment à quoi s'attendre. Et moi cette fin m'a plu et me suffit. Plus rien en suspens, une histoire qui se termine pour en laisser la place à une autre. Une belle fin de temps en temps ca du bien je trouve. A relire d'une seule traite. PS: pour ceux qui découvrirait la série, Urban a sortie l'histoire en 3 superbes intégrales !
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Titre de l'album : Le monde flashpoint t1 : batman Scenariste de l'album : Collectif Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Bienvenue dans un monde où la guerre fait rage entre les Atlantes du Roi Arthur et les Amazones de la Princesse Diana. Un monde dans lequel Thomas Wayne protège Gotham, une ville rongée par le vice et le jeu, d'une poigne de fer sous le masque de Batman. Un monde dans lequel un pirate nommé Deathstroke conduit son navire, le Ravager, sur des surfaces submergées. Un monde dans lequel les Grayson et Deadman sont les attractions principales du Cirque Haly. Et un monde dans lequel, les Secret Seven sont appelés à se rassembler. Bienvenue dans le monde de Flashpoint. Contenu : Flashpoint Batman: Knight of Vengeance #1-3 ; Flashpoint Deadman & The Flying Graysons #1-3 ; Flashpoint Deathstroke & The Curse of the Ravager #1-3 ; Flashpoint Secret Seven #1-3 Critique : Je ne connaissais que l'histoire principale de Flashpoint et je dois dire que les rééditions d'Urban sur l'univers de Flashpoint me font découvrir plein de récits que j'avais ratés dont certains supers intéressants. Vous savez que j'ai normalement du mal avec les recueils autour des super héros. Là ce qui est bien c'est que les histoires présentées ici font plusieurs numéros. On ne parle pas de recueils d'histoires qui ne sont que des présentations rapides de personnages. On a ici des vraies histoires et surtout on a des vrais changements par rapport à l'univers DC tel qu'on le connait. C'est ça qui rend la lecture super sympa quand on connait l'univers DC : On se rend compte que les changements induit par le flashpoint changent radicalement la face du monde et donc chacun de nos personnages favoris voit sa vie complètement chamboulé : On savait déjà qui était le Batman de cette variation temporelle mais on ne connaissait pas son lien avec le Pingouin et, cerise sur le gâteau (et conclusion d'un magnifique récit, qui est le Joker de cette époque. L'histoire des Graysons est, elle, complètement changée avec un Dick qui vit avec ses parents dans un cirque qui cherche à survivre avec des attractions comme Killer Shark ou encore Deadman qui n'est pas "Dead". Bref une vision nouvelle de voir nos personnages qui est vraiment rafraichissantes. Les auteurs réussissent bien à montrer que les personnages restent fidèles à leurs originaux mais que le fait de vivre différemment peut changer leurs psychologies. J’ai juste un seul regret c’est que je n’avais jamais entendu parler de la plupart des membres du groupe des 7 secret (mise à part Zatanna). Vivement le prochain tome pour découvrir d’autres destinées à d’autre héros. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-monde-de-flashpoint-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Je ne connaissais que l'histoire principale de Flashpoint et je dois dire que les rééditions d'Urban sur l'univers de Flashpoint me font découvrir plein de récits que j'avais ratés dont certains supers intéressants. Vous savez que j'ai normalement du mal avec les recueils autour des super héros. Là ce qui est bien c'est que les histoires présentées ici font plusieurs numéros. On ne parle pas de recueils d'histoires qui ne sont que des présentations rapides de personnages. On a ici des vraies histoires et surtout on a des vrais changements par rapport à l'univers DC tel qu'on le connait. C'est ça qui rend la lecture super sympa quand on connait l'univers DC : On se rend compte que les changements induit par le flashpoint changent radicalement la face du monde et donc chacun de nos personnages favoris voit sa vie complètement chamboulé : On savait déjà qui était le Batman de cette variation temporelle mais on ne connaissait pas son lien avec le Pingouin et, cerise sur le gâteau (et conclusion d'un magnifique récit, qui est le Joker de cette époque. L'histoire des Graysons est, elle, complètement changée avec un Dick qui vit avec ses parents dans un cirque qui cherche à survivre avec des attractions comme Killer Shark ou encore Deadman qui n'est pas "Dead". Bref une vision nouvelle de voir nos personnages qui est vraiment rafraichissantes. Les auteurs réussissent bien à montrer que les personnages restent fidèles à leurs originaux mais que le fait de vivre différemment peut changer leurs psychologies. J’ai juste un seul regret c’est que je n’avais jamais entendu parler de la plupart des membres du groupe des 7 secret (mise à part Zatanna). Vivement le prochain tome pour découvrir d’autres destinées à d’autre héros.
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Titre de l'album : Middlewest t3 (fin) : resilience Scenariste de l'album : Scottir Young Dessinateur de l'album : Jorge Corona Coloriste : Jorge Corona Editeur de l'album : Urban Link Note : Résumé de l'album : Kidnappés et exploités par Nicolas Raider dans ses champs d'ethol, Abel, Bobby et les dizaines d'autres enfants retenus avec eux tentent de survivre dans cet environnement toxique où le moindre geste malheureux peut leur être fatal. Abel aimerait tellement pouvoir revenir en arrière et retrouver le doux foyer du clan Hurst. Si seulement il n'avait pas tout gâché en laissant sa colère prendre le dessus... Mais l'heure n'est plus aux regrets. Il lui faut désormais aller de l'avant. Et s'il veut enfin faire la paix avec lui-même et envisager son avenir sous un jour plus serein, il va lui falloir affronter une fois pour toute les démons de son passé. Critique : Pffff j'attendais cette fin d'histoire avec impatience et je dois dire que je n'ai pas été déçu. Graphiquement déjà on a l'impression que Jorge Corona a encore progressé. Les passages finaux sont justes époustouflant de maitrise. On comprend tout ce que l'on voit dans un contexte difficile. Chapeau. Niveau histoire.... pas forcément beaucoup de surprise mais c'est plutôt une bonne chose. Cette absence de nouvelles pistes ou de nouveaux mystères permet à Scottie Young de prendre le temps de clôturer comme il faut l'histoire en cours. Ni trop vite, ni trop lentement. Pile poil ce que l'on voulait lire. C'est beau, c'est émouvant, c'est dynamique et cela forme sans conteste la meilleure histoire de Scottie Young à l'heure actuelle. Je ne vous gâcherais pas plus la lecture de cette excellente conclusion. J'envie juste un peu ce qui n'ont jamais lu la série et vont lire les 3 tomes d'un coup. A la prochaine Abel ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/middlewest-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Pffff j'attendais cette fin d'histoire avec impatience et je dois dire que je n'ai pas été déçu. Graphiquement déjà on a l'impression que Jorge Corona a encore progressé. Les passages finaux sont justes époustouflant de maitrise. On comprend tout ce que l'on voit dans un contexte difficile. Chapeau. Niveau histoire.... pas forcément beaucoup de surprise mais c'est plutôt une bonne chose. Cette absence de nouvelles pistes ou de nouveaux mystères permet à Scottie Young de prendre le temps de clôturer comme il faut l'histoire en cours. Ni trop vite, ni trop lentement. Pile poil ce que l'on voulait lire. C'est beau, c'est émouvant, c'est dynamique et cela forme sans conteste la meilleure histoire de Scottie Young à l'heure actuelle. Je ne vous gâcherais pas plus la lecture de cette excellente conclusion. J'envie juste un peu ce qui n'ont jamais lu la série et vont lire les 3 tomes d'un coup. A la prochaine Abel !
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Titre de l'album : Bully wars Scenariste de l'album : Skottie Young Dessinateur de l'album : Aaron Conley Coloriste : Aaron Conley ( Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Tout au long de leur scolarité à Rottenville, Spencer, Edith, Ernie et bien d'autres ont dû subir les brimades incessantes de la plus grosse brute de l'école, Rufus Ruffhouse. En rentrant au lycée, ils n'auraient jamais imaginé que les choses puissent changer, que leur ennemi de toujours allait trouver plus fort que lui et devenir à son tour victime de harcèlement scolaire. Comble : lui qui pensait être le tyran le plus craint et respecté de la ville n'a même pas été convié à la célèbre « guerre des Brutes », dont Hock est l'indétrônable vainqueur depuis maintenant trois ans. Son ego en prend un sacré coup. C'est alors qu'une alliance étonnante va se faire entre Rufus et ses anciens boucs émissaires pour tenter de survivre ensemble au concours façon Hunger Games qui s'annonce. Critique : Bon encore une fois je pousse le coup de coeur un poil loin mais j'aime bien mettre en avant des productions qui sortent des sentier battus. Et donc encore une fois cela me pousse à mettre en avant une production de Scottie Young. Scottie Young est le trublion du comics à l'heure actuelle. Il s'est fait remarquer avec l'excellent I Hate Fairy Land et il n'a rien de moins que récupéré un « Fauve jeunesse 12-16 ans » pour son Middlwest. Alors du Scotie Young ca se lit dans un certain état d'esprit. C'est rigolo car je me rend compte, en relisant ma critique du T1 de I hate Fairyland, qu'à la première lecture je n'était pas réceptif à cet humour WTF 😛 Mais le covid amenant un besoin d'évasion et d'humour, j'ai adoré ce même humour dans Bully Wars. Scottie Young c'est de l'humour trash. Et la on suit rien de moins qu'une grosse brute de collège qui débarque au lycée et se retrouve confrontée à d'autres brutes. Il doit donc faire appel aux geek de services qu'il maltraitait au collège pour l'aider à devenir la plus grosse brute du lycée en remportant la "Bully wars" ou guerre des brutes en Français. C'est n'importe quoi mais c'est super drôle et très dynamique. En terme de couleur on en prend plein les yeux, et en terme de drôleries on a des personnages qui font tellement n'importe quoi qu'on ne peux que rigoler de leurs aventures. Donc oui c'est n'importe quoi mais en cette période de covid on a besoin d'un peu de relâchement ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/bully-wars?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Bon encore une fois je pousse le coup de coeur un poil loin mais j'aime bien mettre en avant des productions qui sortent des sentier battus. Et donc encore une fois cela me pousse à mettre en avant une production de Scottie Young. Scottie Young est le trublion du comics à l'heure actuelle. Il s'est fait remarquer avec l'excellent I Hate Fairy Land et il n'a rien de moins que récupéré un « Fauve jeunesse 12-16 ans » pour son Middlwest. Alors du Scotie Young ca se lit dans un certain état d'esprit. C'est rigolo car je me rend compte, en relisant ma critique du T1 de I hate Fairyland, qu'à la première lecture je n'était pas réceptif à cet humour WTF 😛 Mais le covid amenant un besoin d'évasion et d'humour, j'ai adoré ce même humour dans Bully Wars. Scottie Young c'est de l'humour trash. Et la on suit rien de moins qu'une grosse brute de collège qui débarque au lycée et se retrouve confrontée à d'autres brutes. Il doit donc faire appel aux geek de services qu'il maltraitait au collège pour l'aider à devenir la plus grosse brute du lycée en remportant la "Bully wars" ou guerre des brutes en Français. C'est n'importe quoi mais c'est super drôle et très dynamique. En terme de couleur on en prend plein les yeux, et en terme de drôleries on a des personnages qui font tellement n'importe quoi qu'on ne peux que rigoler de leurs aventures. Donc oui c'est n'importe quoi mais en cette période de covid on a besoin d'un peu de relâchement !
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Titre de l'album : Namor - Voyage au fond des mers Scenariste de l'album : Peter Milligan Dessinateur de l'album : Esad Ribic Coloriste : Esad Ribic Editeur de l'album : Panini Note : Résumé de l'album : 1950 : le scientifique Randolph Stein part explorer les abysses a bord du sous-marin Platon, afin de démontrer l'invraisemblance de la légende de l'Atlantide. Il ne sait pas encore qu'il va faire un voyage incroyable qui le conduira devant le souverain et protecteur du royaume marin, Namor, le Prince des Mers ! Ecrit par Peter Milligan (X-Statix) et illustré par Esad Ribic (Thor, Silver Surfer: Requiem, Les Eternels), ce must-have plonge Namor au coeur d'un drame psychologique où les hommes perdent la raison en découvrant les mystérieuses créatures qui peuplent les profondeurs. Critique : Actualité oblige , avec la sortie de Black Panther Wakanda forever , Panini sort des rééditions d'histoires liées aux héros présents dans le film . Ici , il s'agit de Namor qui fait sa première ( brillante) apparition au sein du MCU . Et quoi de mieux qu'une histoire dessinée par Mr Ribic , l'homme du fameux Silver surfer requiem . Nous ne sommes point dans l'espace mais bien au fond des océans , avec toute la superstition marine qui accompagne nos marins engagés dans cette quête de l'Atlantide , mais pas que ! Des soupçons pèsent aussi sur la présence d'une créature sous-marine , un être démoniaque à la force inimaginable : Namor ! Pour illustrer cette descente aux enfers , Ribic va utiliser des couleurs plutôt ternes , pâles , et sombres . L'obscurité règne au fond des mers , ainsi que dans les submersibles . Les auteurs ont voulu représenter Namor comme une menace et il n'est pas rare au hasard des cases d'apercevoir une main sur un hublot , une ombre sur un des rares reflets lumineux , ou encore une forme humanoïde dans un recoin sombre du bâtiment . Cette peur grandissante va accentuer la paranoïa chez les marins et ce voyage va se transformer en véritable descente aux enfers . On pense à Joseph Conrad et son roman Au coeur des ténèbres . Mais au delà de l'horreur dépeinte , Milligan nous fait s'interroger aussi sur l'après ! En effet la quête de l'Atlantide , similaire à celle du Graal ressemble à un idéal impossible à conquérir . Mais une fois l'objectif atteint , que faire ? L'humanité avec tout le poids de son héritage , est-elle prête à accepter l'impossible ? Une fois de plus Namor oscille entre le bien et le mal , pour notre plus grand plaisir . "Si on regarde trop dans les abysses , les abysses voient au fond de nous" Nietzsche . PS : Je mets volontairement le type "horreur" et non "super-héros" car le ton est adulte avec des gros mots et la présence de sang . Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/namor-voyage-au-fond-des-mers-must-have/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Actualité oblige , avec la sortie de Black Panther Wakanda forever , Panini sort des rééditions d'histoires liées aux héros présents dans le film . Ici , il s'agit de Namor qui fait sa première ( brillante) apparition au sein du MCU . Et quoi de mieux qu'une histoire dessinée par Mr Ribic , l'homme du fameux Silver surfer requiem . Nous ne sommes point dans l'espace mais bien au fond des océans , avec toute la superstition marine qui accompagne nos marins engagés dans cette quête de l'Atlantide , mais pas que ! Des soupçons pèsent aussi sur la présence d'une créature sous-marine , un être démoniaque à la force inimaginable : Namor ! Pour illustrer cette descente aux enfers , Ribic va utiliser des couleurs plutôt ternes , pâles , et sombres . L'obscurité règne au fond des mers , ainsi que dans les submersibles . Les auteurs ont voulu représenter Namor comme une menace et il n'est pas rare au hasard des cases d'apercevoir une main sur un hublot , une ombre sur un des rares reflets lumineux , ou encore une forme humanoïde dans un recoin sombre du bâtiment . Cette peur grandissante va accentuer la paranoïa chez les marins et ce voyage va se transformer en véritable descente aux enfers . On pense à Joseph Conrad et son roman Au coeur des ténèbres . Mais au delà de l'horreur dépeinte , Milligan nous fait s'interroger aussi sur l'après ! En effet la quête de l'Atlantide , similaire à celle du Graal ressemble à un idéal impossible à conquérir . Mais une fois l'objectif atteint , que faire ? L'humanité avec tout le poids de son héritage , est-elle prête à accepter l'impossible ? Une fois de plus Namor oscille entre le bien et le mal , pour notre plus grand plaisir . "Si on regarde trop dans les abysses , les abysses voient au fond de nous" Nietzsche . PS : Je mets volontairement le type "horreur" et non "super-héros" car le ton est adulte avec des gros mots et la présence de sang .
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Je l'attendais ce tome 2, c'est peu de le dire. En effet le tome 1 finissait sur un suspens insoutenable ! Et le deux recommence donc exactement la ou l'on s'est arrêté....autant vous dire qu'il vaut mieux relire le 1 pour comprendre quelque chose. C'est donc ce que j'ai fait et ce qui m'a fait adorer la première partie de l'album. La fin de l'arc "introductif" à l'univers de Adventurman st juste parfait. Rien à redire. Les dessins sont toujours sublimes. La fin de l'histoire est magnifique. entre larmes de joies et de tristesses. Ce qui n'aide pas la deuxième partie. En effet, la suite de l'album part sur les aventures de notre nouvelle "Adventurem'man" et de son équipe à elle. Le rythme est donc forcement un cran en dessous et monte doucement en puissance avec une fin d'album forcément énervante et les personnages (sa famille sans ne rien divulgacher) secondaires qui composent son équipe prennent énormément de "volume". Un tome coupé en deux avec une fin de première histoire a 5/5 et un début de deuxième à 4/5. À noter qu'il faut faire attention ; l'album parait gros de loin, mais il y a un bon cinquième qui est un dossier sur ls coulisses de Adventureman. Dossier TRES intéressant avec le nombre d'albums souhaité (3 en tout pour la base), les spin off si ca marche toujours etc etc.... mais un truc qui n'est pas de la BD quand même 😉