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Titre de l'album : Le dernier festin de Rubin Scenariste de l'album : Ram V Dessinateur de l'album : Filipe Andrade Coloriste : Filipe Andrade Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Mohan l'avait pressenti dès leur première rencontre, ce Rubin Baksh ne lui disait rien qui vaille. Le simple fait de lui proposer plus d'argent pour se rencontrer qu'il n'en gagnait en un mois aurait dû lui mettre la puce à l'oreille. Mais la curiosité étant trop forte, et bien qu'il ait d'abord refusé sa proposition de l'accompagner sur les routes pour réaliser un documentaire culinaire, il finit par accepter. Cette quête de saveurs oubliées et cachées le mènera-t-elle, sans le savoir, au dernier festin de Rubin ? Critique : Le duo de "Toutes les morts de Laila Star" reviennent avec un nouvel album et un album encore une fois sur une divinité de la mythologie indienne. Enfin cette fois c'est un Ogre donc plutôt le méchant des histoires. Un personnages qui, encore une fois, se prend l'envie de sortir de sa retraite pour se meler à l'espèce humaine. Cette fois c'est pour partager son amour de la nourriture avec les humains, même si cela l'oblige à lutter contre sa propre nature. On ne peut nier la filiation avec "Toutes les morts de Laila Star". Graphiquement déjà on retrouve avec plaisir le pastel de Filipe Andrade avec ses couleurs pâles et ses flous. On retrouve aussi la pâte de Ram V avec un récit initiatique rondement mené le long de métaphore culinaire pas forcément facile à comprendre. C'est le seul "problème" de cette nouvelle collaboration : elle est plus exigeante que la précédente ou la narration nous guidait un peu plus. Ici il faut réussir à embrasser l'ambiance du récit, lire les recettes qui le parsèment et réussir à faire le parallèle avec l'aventure de notre Ogre et de son biographe. Intéressant, joli mais plus compliqué que le précédent. Santé ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-dernier-festin-de-rubin?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Le duo de "Toutes les morts de Laila Star" reviennent avec un nouvel album et un album encore une fois sur une divinité de la mythologie indienne. Enfin cette fois c'est un Ogre donc plutôt le méchant des histoires. Un personnages qui, encore une fois, se prend l'envie de sortir de sa retraite pour se meler à l'espèce humaine. Cette fois c'est pour partager son amour de la nourriture avec les humains, même si cela l'oblige à lutter contre sa propre nature. On ne peut nier la filiation avec "Toutes les morts de Laila Star". Graphiquement déjà on retrouve avec plaisir le pastel de Filipe Andrade avec ses couleurs pâles et ses flous. On retrouve aussi la pâte de Ram V avec un récit initiatique rondement mené le long de métaphore culinaire pas forcément facile à comprendre. C'est le seul "problème" de cette nouvelle collaboration : elle est plus exigeante que la précédente ou la narration nous guidait un peu plus. Ici il faut réussir à embrasser l'ambiance du récit, lire les recettes qui le parsèment et réussir à faire le parallèle avec l'aventure de notre Ogre et de son biographe. Intéressant, joli mais plus compliqué que le précédent. Santé !
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Titre de l'album : Nights tome 1 Scenariste de l'album : Wyatt Kennedy Dessinateur de l'album : Luigi Formisano Coloriste : Francesco Segama Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : 2003, Floride espagnole. Vince Okonma est un adolescent normal. Entre sa colocation avec un créateur de jeux vidéo, son cousin tueur à gages et son nouveau lycée, il s'adapte à sa nouvelle vie après le décès de ses parents. Il apprend également à côtoyer vampires et fantômes dans les couloirs de l'école. Sa nouvelle meilleure amie ? Gray, autoproclamée « plus grande vampire de tous les temps ». Jusqu'ici, tout va bien... Critique : Mmmhhh.... il n'y aurait pas une légère odeur de East of West .... non vous ne sentez pas ca ? A vous n'avez surement pas lu Nights alors 🙂 En effet je trouve que cet album, pourtant estampillé "Ado", à des aires de la fresque de Hickman. Alors on en est pas encore la mais il y a des trucs... une histoire de monde complètement décalée ou les monstres sont des entités comme les autres. Un monde ou les histoires d'amour entre des humains et des monstres ne choque personne mais aussi ou les pouvoirs de certains peuvent changer bien plus que les sentiments de l'autre. Le coté "une histoire simple qui se dirige vers quelque chose de bien plus dense" est aussi un des aspects qui m'a donné un sentiment de East of West. On sent bien, et la fin du tome va dans ce sens, que l'histoire ne nous a révélé qu'un petit bout d'un iceberg qui pourrait être bien plus important. Que ce soit Gray ou encore l'étrange association qui la surveille ou encore le passé de Vince lui-même, on sent bien que, malgré 200 pages super intéressantes, cet album est quasiment une introduction. Et c'est tant mieux 🙂 Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/nights-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Mmmhhh.... il n'y aurait pas une légère odeur de East of West .... non vous ne sentez pas ca ? A vous n'avez surement pas lu Nights alors 🙂 En effet je trouve que cet album, pourtant estampillé "Ado", à des aires de la fresque de Hickman. Alors on en est pas encore la mais il y a des trucs... une histoire de monde complètement décalée ou les monstres sont des entités comme les autres. Un monde ou les histoires d'amour entre des humains et des monstres ne choque personne mais aussi ou les pouvoirs de certains peuvent changer bien plus que les sentiments de l'autre. Le coté "une histoire simple qui se dirige vers quelque chose de bien plus dense" est aussi un des aspects qui m'a donné un sentiment de East of West. On sent bien, et la fin du tome va dans ce sens, que l'histoire ne nous a révélé qu'un petit bout d'un iceberg qui pourrait être bien plus important. Que ce soit Gray ou encore l'étrange association qui la surveille ou encore le passé de Vince lui-même, on sent bien que, malgré 200 pages super intéressantes, cet album est quasiment une introduction. Et c'est tant mieux 🙂
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Titre de l'album : L'étrange quotidien de Christopher Chaos tome 1 Scenariste de l'album : James Tyrion IV Dessinateur de l'album : Tate Brombal Coloriste : Isaac Goodhart Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Christopher Chaos est un adolescent pas tout à fait comme les autres. Toute sa vie, il a su qu'il avait quelque chose de différent. Son esprit brillant lui permet d'accomplir des merveilles qui dépassent les limites de l'imaginable. Malheureusement pour lui, ces compétences hors du commun sont aussi la source de bien des problèmes dans sa vie... Quand un jour, le tombeur de son lycée s'avère être un monstre tout droit sorti d'un film d'horreur, Christopher est plongé dans un monde rempli de créatures et de légendes, menacé par une secte de chasseurs bien déterminée à tous les éliminer. Critique : James Tyrion IV se lance dans une nouvelle série pour adolescent et d'amateurs de littérature fantastique des années 80. Je n'ai pas encore tranché quelle était la cible principale de ce Christopher Chaos. En effet les références à Frankenstein, Dracula, aux loups-garous et autres entités fantomatiques pourrait destiner ce comics aux connaisseurs (donc plus vieux) du genre. Cependant, le dessin et l'histoire elle-meme semble plus destiné à un public jeune. Le personnage de Christopher déjà : Garçon gay aux cheveux bleus, introvertis. Le lieu avec un lycée de campagne américaine. Les méchants, très méchants. Et puis le rythme qui met en avant l'action au détriment, parfois, de la compréhension. Bref un ensemble qui ne m'a pas forcément convaincu. J'ai bien aimé le mélange des monstres, mais pas vraiment la cohérence de l'ensemble (rien n'a l'air de choquer le grand public... ou on s'en fou) Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-etrange-quotidien-de-christopher-chaos-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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James Tyrion IV se lance dans une nouvelle série pour adolescent et d'amateurs de littérature fantastique des années 80. Je n'ai pas encore tranché quelle était la cible principale de ce Christopher Chaos. En effet les références à Frankenstein, Dracula, aux loups-garous et autres entités fantomatiques pourrait destiner ce comics aux connaisseurs (donc plus vieux) du genre. Cependant, le dessin et l'histoire elle-meme semble plus destiné à un public jeune. Le personnage de Christopher déjà : Garçon gay aux cheveux bleus, introvertis. Le lieu avec un lycée de campagne américaine. Les méchants, très méchants. Et puis le rythme qui met en avant l'action au détriment, parfois, de la compréhension. Bref un ensemble qui ne m'a pas forcément convaincu. J'ai bien aimé le mélange des monstres, mais pas vraiment la cohérence de l'ensemble (rien n'a l'air de choquer le grand public... ou on s'en fou)
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Urban comics reprend les histoires parues dans Urban Link pour redonner une nouvelle vie à des séries qui le mérite. C'est le cas pour Raven et Beast boys. Cette fois ci Urban édite les deux tomes en un seul gros. Ce qui a du sens tellement les deux destins des teens titans sont liés. Et offre un gros volume de lecture pour nos ados. Une histoire d'aventure, de romance, d'adolescence et de découverte de pouvoir. Tout ce qu'il faut pour nos adolescents et une occasion pour Urban de relancer la franchise des teen titans, ce tome étant le prélude au Robin des teens titans qui vient de sortir.
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Titre de l'album : Teen titans Raven et Beast boy - intégrale tome 1 Scenariste de l'album : Kami Garcia Dessinateur de l'album : Gabriel Picolo Coloriste : Gabriel Picolo Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Raven a beau n'avoir que dix-sept ans, la vie n'a pas manqué de lui infliger son lot d'épreuves douloureuses. La disparition de sa mère adoptive dans un tragique accident de voiture et l'amnésie totale qui en résulta marquent le début d'une longue et difficile reconstruction personnelle. Alors qu'elle ouvre une nouvelle page en partant s'installer à la Nouvelle-Orléans, d'étranges phénomènes visuels et auditifs commencent à se manifester. De son côté, l'étudiant en terminale, Garfield Logan cumule les complexes. Tous les autres étudiants semblent avoir trouvé leur place, ont l'air de savoir avec précision ce qu'ils aiment, ce qu'ils veulent et surtout qui ils sont, et Gar est encore bien loin de tout ça. Il est celui que personne ne remarque, et son crush, Alana, ne fait pas exception. Son souci du regard des autres finit par prendre une place démesurée, tandis que ses capacités imprévisibles se révèlent. Pour ces deux adolescents,la quête d'identité aux frontières du surnaturel qui anime leurs destins trouvera peut-être un point de rencontre ? Critique : Urban comics reprend les histoires parues dans Urban Link pour redonner une nouvelle vie à des séries qui le mérite. C'est le cas pour Raven et Beast boys. Cette fois ci Urban édite les deux tomes en un seul gros. Ce qui a du sens tellement les deux destins des teens titans sont liés. Et offre un gros volume de lecture pour nos ados. Une histoire d'aventure, de romance, d'adolescence et de découverte de pouvoir. Tout ce qu'il faut pour nos adolescents et une occasion pour Urban de relancer la franchise des teen titans, ce tome étant le prélude au Robin des teens titans qui vient de sortir. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/teen-titans-raven-et-beast-boy-integrale-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Joker - Les derniers jours d'un clown Scenariste de l'album : J.H. Williams III | Chuck Dixon | Jerry Ordway Dessinateur de l'album : Walter McDaniel | Scott Beatty | Ron Randall Coloriste : Walter McDaniel | Scott Beatty | Ron Randall Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Dans le Slab, la prison de sécurité maximale pour les criminels surpuissants, le Joker apprend qu'il est mourant. Il concocte alors un plan pour perpétuer son héritage, en partageant le venin qui l'a transformé en un sociopathe au visage pâle avec d'innombrables autres super-vilains. Pendant ce temps, Oracle, la première ligne de défense, est indisponible. Seule Black Canary répond présente pour essayer d'arrêter une émeute de malfaiteurs sanguinaires. Critique : En voici un album super surprenant. En effet au vu de la couverture, du dessin et de la période chronologique, j'étais sur que cet album était une réédition. Et bien après des recherches sur le net, il ne semblerait pas ! Et pourtant le dessin fait très années 80-90 et l'histoire se passe avec Tim Drake en tant que Robin. On est donc loin de la continuité actuelle. Cela mis à part l'histoire n'est pas trop mal. Le principe de voir ce que le Joker ferait si on lui déclarait qu'il allait mourir est plutôt sympa et le dessin old shool se marie plutôt bien avec les délires loufoques du Joker. Après l'histoire est un peu trop "consensuelle" et la fin cherche trop rapidement à retomber sur ses pattes pour que ce récit soit vraiment marquant. Un récit de vacances pour nostalgique. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/joker-les-derniers-jours-d-un-clown?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Elle est de retour !!! la plus délirante et plus tarée de toutes les héroïnes de comics est de retour à Fairyland et.... ce n'est pas pour faire des Cup cake ! Je me demandais bien comment Scottie Young allait relancer la série de dingo qui l'a fait connaitre en france. Et bien il ne cherche même pas trouver une histoire vraiment cohérente : Notre chère Gertrude, après avoir passé 30 ans sans vieillir à Fairyland, est une inadaptée sociale et n'enchaine rien de moins que des èches cuisant dans 100% de ce qu'elle fait ! Alors quelqu'un la téléporte dans Fairyland avec une mission débile qu'elle s'empresse d'accepter ! Bref le prétexte est trouvé et nous revoici lance dans l'aventure débile de Scottie Young.... qui n'est plus aux dessins d'ailleurs. Si graphiquement, c'est quasiment identique, l'histoire peine un peu à trouver de la fraicheur après nous avoir sortie l'intégralité des crasses dans la première série. On s'amuse quand même à retrouver notre héroïne mais on espère juste que sa vraie arrivée à Fairyland soit quand même différente de la première série
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Titre de l'album : Fluff fairyland ! t1 Scenariste de l'album : Skottie Young Dessinateur de l'album : Brett Bean Coloriste : Brett Bean Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Gertrude a passé trente ans a Fairyland, et le moins qu'on puisse dire, c'est qu'elle était plus que ravie de quitter ENFIN cet univers de cinglés pour retrouver notre monde triste et ennuyant ! Le souci, c'est que notre maniaque aux cheveux verts n'est pas bonne à grand-chose, si ce n'est massacrer ceux qui la contrarient un peu trop à coup d'attendrisseur à viande et de caisse enregistreuse... Alors, quand on vient lui demander son aide pour retrouver un gamin paumé à Fairyland, elle se dit que ses talents seront au moins employés à leur juste valeur ! Critique : Elle est de retour !!! la plus délirante et plus tarée de toutes les héroïnes de comics est de retour à Fairyland et.... ce n'est pas pour faire des Cup cake ! Je me demandais bien comment Scottie Young allait relancer la série de dingo qui l'a fait connaitre en france. Et bien il ne cherche même pas trouver une histoire vraiment cohérente : Notre chère Gertrude, après avoir passé 30 ans sans vieillir à Fairyland, est une inadaptée sociale et n'enchaine rien de moins que des èches cuisant dans 100% de ce qu'elle fait ! Alors quelqu'un la téléporte dans Fairyland avec une mission débile qu'elle s'empresse d'accepter ! Bref le prétexte est trouvé et nous revoici lance dans l'aventure débile de Scottie Young.... qui n'est plus aux dessins d'ailleurs. Si graphiquement, c'est quasiment identique, l'histoire peine un peu à trouver de la fraicheur après nous avoir sortie l'intégralité des crasses dans la première série. On s'amuse quand même à retrouver notre héroïne mais on espère juste que sa vraie arrivée à Fairyland soit quand même différente de la première série Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/fluff-fairyland-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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En voici un album super surprenant. En effet au vu de la couverture, du dessin et de la période chronologique, j'étais sur que cet album était une réédition. Et bien après des recherches sur le net, il ne semblerait pas ! Et pourtant le dessin fait très années 80-90 et l'histoire se passe avec Tim Drake en tant que Robin. On est donc loin de la continuité actuelle. Cela mis à part l'histoire n'est pas trop mal. Le principe de voir ce que le Joker ferait si on lui déclarait qu'il allait mourir est plutôt sympa et le dessin old shool se marie plutôt bien avec les délires loufoques du Joker. Après l'histoire est un peu trop "consensuelle" et la fin cherche trop rapidement à retomber sur ses pattes pour que ce récit soit vraiment marquant. Un récit de vacances pour nostalgique.
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Titre de l'album : Twig tome 1 - Dans l'ombre du héros Scenariste de l'album : Skottie Young Dessinateur de l'album : Kyle Strahm Coloriste : Kyle Strahm Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : C'est un grand jour pour Twig, qui débute sa première journée de travail. Lui qui rêvait de devenir chef cuisinier doit malheureusement laisser ses rêves derrière lui pour suivre les pas de son père récemment disparu. Le voilà donc parti (avec un peu de retard !), accompagné de son ami Splat, pour un voyage dont il n'imagine pas encore à quel point il bouleversera sa vie ! Âge : 6+. Critique : Quand Scottie Young est aux manettes d'une série, on s'attend toujours à énormément de surprises et de couleurs ! La couverture va dans ce sens. L'interrogation venait plus de l'aspect très enfantin de cette dernière. Non pas que les récits enfantins ne soient pas sympas. Juste qu'on a déjà vu Scottie Young nous a livré des albums faussement enfantins et radicalement violent et vulgaire. Tout ce qu'on aime 🙂 Ici pas de tricherie. On est dans une aventure aussi mignonne que bien dessinée ! Une aventure dans un univers encore une fois super imaginatif, très onirique et non sans rappeler (au plus ancien) l'histoire sans fin. On se laisse porter avec plaisir par les aventures de notre jeune héros et par l'aspect très sensible du scenario. Les fans e comics au long cours risquent d'être déçus par ce one shot un peu court, mais les enfants rêveurs et leurs parents seront eux conquis ! A noter que ce comics est vendu en couverture souple ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/twig-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Quand Scottie Young est aux manettes d'une série, on s'attend toujours à énormément de surprises et de couleurs ! La couverture va dans ce sens. L'interrogation venait plus de l'aspect très enfantin de cette dernière. Non pas que les récits enfantins ne soient pas sympas. Juste qu'on a déjà vu Scottie Young nous a livré des albums faussement enfantins et radicalement violent et vulgaire. Tout ce qu'on aime 🙂 Ici pas de tricherie. On est dans une aventure aussi mignonne que bien dessinée ! Une aventure dans un univers encore une fois super imaginatif, très onirique et non sans rappeler (au plus ancien) l'histoire sans fin. On se laisse porter avec plaisir par les aventures de notre jeune héros et par l'aspect très sensible du scenario. Les fans e comics au long cours risquent d'être déçus par ce one shot un peu court, mais les enfants rêveurs et leurs parents seront eux conquis ! A noter que ce comics est vendu en couverture souple !
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Titre de l'album : Zorro - D'entre les morts Scenariste de l'album : Sean Murphy Dessinateur de l'album : Sean Murphy Coloriste : Sean Murphy Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Dans la ville mexicaine de La Vega, tout le monde honore la mémoire de Zorro qui, 180 ans auparavant, aurait signé le porche de l'église de son célèbre Z. Tout le monde, sauf les cartels. Ces derniers voient d'un mauvais oeil cette célébration populiste, symbole de révolution, au point d'assassiner l'acteur chargé de cet hommage. Vingt ans plus tard, ses deux enfants, Rosa et Diego, finissent par recroiser le chemin du cartel parricide et doivent se rendre à l'évidence, l'heure de la vengeance a sonné. Contenu vo : ZORRO: MAN OF THE DEAD #1-4. Critique : C'était le coup de tonnerre de l'année dernière. L'annonce de l'envie de Sean Murphy de livrer sa version de, rien de moins, que Zorro ! En tant que fan absolu de Punk Rock Jesus et de The white Knight, c'est avec beaucoup d'attente que j'ai ouvert ce Zorro et j'ai été.... surpris. Oui oui surpris. Je ne m'attendais pas du tout à ca. Sean Murphy récupère le mythe de Zorro, ne le change pas (le mythe) mais transpose uniquement l'époque.... Ça vous parait surement bizarre décrit comme cela, mais c'est globalement ça. Sean Murphy nous livre un Zorro à cheval qui lutte contre des trafiquants de drogue armés de pistolet et de véhicules. C'est un mélange étrange et loin d'être inintéressant qui ne plaira pas forcément à tout le monde même s'il est, encore une fois, magnifié par le trait magique de Sean Murphy. J'avoue cependant que j'aimerais voir Sean Murphy reprendre ses habits de pellerons de la BD et se plonger sur autres choses que des mythes pour revenir à des histoires peut être plus confidentielles. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/zorro-d-entre-les-morts?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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C'était le coup de tonnerre de l'année dernière. L'annonce de l'envie de Sean Murphy de livrer sa version de, rien de moins, que Zorro ! En tant que fan absolu de Punk Rock Jesus et de The white Knight, c'est avec beaucoup d'attente que j'ai ouvert ce Zorro et j'ai été.... surpris. Oui oui surpris. Je ne m'attendais pas du tout à ca. Sean Murphy récupère le mythe de Zorro, ne le change pas (le mythe) mais transpose uniquement l'époque.... Ça vous parait surement bizarre décrit comme cela, mais c'est globalement ça. Sean Murphy nous livre un Zorro à cheval qui lutte contre des trafiquants de drogue armés de pistolet et de véhicules. C'est un mélange étrange et loin d'être inintéressant qui ne plaira pas forcément à tout le monde même s'il est, encore une fois, magnifié par le trait magique de Sean Murphy. J'avoue cependant que j'aimerais voir Sean Murphy reprendre ses habits de pellerons de la BD et se plonger sur autres choses que des mythes pour revenir à des histoires peut être plus confidentielles.
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Titre de l'album : Wonder Woman - hors-la-loi tome 1 Scenariste de l'album : Tom King Dessinateur de l'album : Daniel Sampere Belén Ortega Coloriste : Daniel Sampere Belén Ortega Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Un massacre vient d'avoir lieu. La coupable serait une mystérieuse Amazone. Devant une telle atrocité, le Congrès n'a d'autre choix que de promulguer l'Amazon Safety Act, défendant le sol américain à toute citoyenne de Themyscira. Pour que cette loi soit appliquée au plus vite, le gouvernement met au point une équipe spéciale, dont le but est de bannir celles qui refusent d'obtempérer, et ce, par tous les moyens nécessaires. C'est donc une Wonder Woman hors-la-loi qui va devoir démêler le vrai du faux dans cette affaire. Et la vérité risque de la surprendre... Critique : Encore un personnage iconique de DC repris par Tom King après Batman, Super girl et d'autres. C'est donc au tour de Wonder Woman de passer à la moulinette de Tom King. Comme d'habitude, Tom king nous surprend en faisant commencer ce récit... dans le futur ou nous suivons rien de moins que les enfants de nos héros : Damian en Batman adulte, Jon en superman et ... la fille mystère de Wonder Woman ! Fille qui est le principal ajout et intérêt de l'interprétation de King. Même si notre fille est juste "spectatrice", elle apporte un vrai questionnement en plus de l'habituelle histoire. Car, une fois n'est pas coutume, l'histoire est assez standard. Alors oui il y a bien le "roi des États-Unis" et la façon dont il veut absolument écraser Wonder Woman. On retrouve aussi le coté "humain" des personnages de King avec une WW aussi stoïque que possible devant la bêtise humaine... mais ce n'est pas l'aventure du siècle. Alors que les passages avec sa fille et surtout les ajouts de fin de tome qui montrent le lien entre les 3 enfants au fil des ages, ca c'est nouveau et rafraichissant, tendant vers une trinité plus unie que jamais dans l'histoire de DC. Bref pas le meilleur DC mais des perspectives rafraichissantes avec ces enfants de héros. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/wonder-woman-hors-la-loi-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Encore un personnage iconique de DC repris par Tom King après Batman, Super girl et d'autres. C'est donc au tour de Wonder Woman de passer à la moulinette de Tom King. Comme d'habitude, Tom king nous surprend en faisant commencer ce récit... dans le futur ou nous suivons rien de moins que les enfants de nos héros : Damian en Batman adulte, Jon en superman et ... la fille mystère de Wonder Woman ! Fille qui est le principal ajout et intérêt de l'interprétation de King. Même si notre fille est juste "spectatrice", elle apporte un vrai questionnement en plus de l'habituelle histoire. Car, une fois n'est pas coutume, l'histoire est assez standard. Alors oui il y a bien le "roi des États-Unis" et la façon dont il veut absolument écraser Wonder Woman. On retrouve aussi le coté "humain" des personnages de King avec une WW aussi stoïque que possible devant la bêtise humaine... mais ce n'est pas l'aventure du siècle. Alors que les passages avec sa fille et surtout les ajouts de fin de tome qui montrent le lien entre les 3 enfants au fil des ages, ca c'est nouveau et rafraichissant, tendant vers une trinité plus unie que jamais dans l'histoire de DC. Bref pas le meilleur DC mais des perspectives rafraichissantes avec ces enfants de héros.
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Titre de l'album : Dawn of Green Arrow & Black Canary tome 1 Scenariste de l'album : Collectif Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Perdu sur une planète qui n'est pas la sienne depuis la dernière crise cosmique, Olivier Queen est recherché par sa famille. Roy Harper et Black Canary vont s'unir pour tenter un sauvetage qui s'annonce plus compliqué que prévu : des forces maléfiques sont déterminées à les séparer à tout prix, dont un certain Troublemaker... Critique : Bim encore un excellent premier tome dans la série des "Dawn of". Peut-être même le meilleur. Et pourtant je n'ai jamais été un grand fan de l'archer de chez DC. Je l'ai toujours trouvé un peu froid.... mais là, l'histoire concerne la famille complète de l'archer. Le point de départ (qui rejoint le Shazam d'ailleurs) est qu'Oliver a disparu et le reste de l'équipe le cherche. On se retrouve donc avec une histoire partagée entre tous les personnages de l'équipe et Oliver est un personnage comme un autre, plongé dans une histoire de grande envergure impliquant des personnages divers et variés de l'univers DC, mais tout en restant cohérente et... entière. C'est en effet le GROS point positif de ce tome-ci : l'histoire est "finie" à la fin de ce tome 1 ce qui n'est pas le cas des autres 🙂 Allez donc essayer ce nouvel archer vert ! Ce tome ne vous obligera pas à poursuivre donc ce n'est pas un pari trop risqué ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dawn-of-green-arrow-black-canary-tome-1/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Once upon a time at the end of the world tome 1 Scenariste de l'album : Jason Aaron Dessinateur de l'album : Nick Dragotta | Alex Tefenkgi Coloriste : Nick Dragotta | Alex Tefenkgi Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Voilà des jours que Mezzy navigue sur sa barque de fortune, traversant des continents de plastique fondu, évitant des abysses infernaux et des geysers de feu noir. Elle n'a pas croisé âme qui vive depuis des lunes, et ses vivres sont à présent épuisés. Elle n'a maintenant d'autre choix que d'errer dans une jungle urbaine hostile où elle espère trouver de quoi se nourrir. Mais une rencontre inattendue va tout changer. Le jeune Maceo, avec lequel elle n'a rien en commun, entre soudain dans sa vie. Vaut-il mieux parcourir une planète ravagée seule, ou accompagnée ? Critique : Nouvelle série de Jason Aaron qui avait quitté le monde du comics indépendant depuis Sea of Stars si je ne m'abuse. Le genre d'album que tout fan de l'auteur attendant avec impatience. Encore plus quand on imagine la fin du monde qu'il pourrait nous livrer. Et bien j'avoue être mi-figue mi-raisin sur ce premier tome. Le scenario de Aaron est plutôt sympa, même si très orienté ado/jeunes adultes, avec un road trip entre deux personnages dont on sait dès le début qu'ils tomberont amoureux (un gars une fille...) et des poursuivants assez mystérieux. S'il est un peu trop classique dans la partie "présent", Aaron titille notre curiosité avec des planches de notre héros "dans le futur" avec un futur radicalement différent de tout ce que l'on pourrait imaginer arriver à nos deux héros. Des excellents hameçons pour nous laisser imaginer un scenario plus complexe qu'il n'y parait. Coté dessin le trait de Tefenkgi est globalement bien adapté à la partie "ado de l'histoire" mais pas vraiment à la partie plus "hard" dans le futur ou elle est un peu trop brouillonne. En bref un premier intriguant, mais surtout sauvé par l'habileté de Aaron à nous laisser envisager le futur de l'album Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/once-upon-a-time-at-the-end-of-the-world-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Nouvelle série de Jason Aaron qui avait quitté le monde du comics indépendant depuis Sea of Stars si je ne m'abuse. Le genre d'album que tout fan de l'auteur attendant avec impatience. Encore plus quand on imagine la fin du monde qu'il pourrait nous livrer. Et bien j'avoue être mi-figue mi-raisin sur ce premier tome. Le scenario de Aaron est plutôt sympa, même si très orienté ado/jeunes adultes, avec un road trip entre deux personnages dont on sait dès le début qu'ils tomberont amoureux (un gars une fille...) et des poursuivants assez mystérieux. S'il est un peu trop classique dans la partie "présent", Aaron titille notre curiosité avec des planches de notre héros "dans le futur" avec un futur radicalement différent de tout ce que l'on pourrait imaginer arriver à nos deux héros. Des excellents hameçons pour nous laisser imaginer un scenario plus complexe qu'il n'y parait. Coté dessin le trait de Tefenkgi est globalement bien adapté à la partie "ado de l'histoire" mais pas vraiment à la partie plus "hard" dans le futur ou elle est un peu trop brouillonne. En bref un premier intriguant, mais surtout sauvé par l'habileté de Aaron à nous laisser envisager le futur de l'album
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Titre de l'album : Superman lost Scenariste de l'album : Christopher Priest Dessinateur de l'album : Carlo Pagulayan Coloriste : Carlo Pagulayan Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Lois Lane et Clark Kent filent le parfait amour, dans un appartement normal, avec leurs petites habitudes de couple normal. Clark enfile certes collants et cape de temps à autre pour sauver le monde, mais à part ça, tout est des plus ordinaires à Metropolis. Jusqu'au jour où Superman rentre à la maison, après une mission de routine... Debout au milieu du salon, il garde son costume, montrant tous les signes extérieurs d'un trouble de stress post-traumatique, et déclare : « Je suis parti... 20 ans. » SUPERMAN : LOST, une maxi-série de dix numéros scénarisée par Christopher PRIEST, à qui l'on doit un run de Black Panther chez Marvel, mais également des passages sur la JUSTICE LEAGUE et DEATHSTROKE. Critique : Superman Lost est un one shot ambitieux sur notre homme d'acier. Ambitieux car ayant la volonté de faire... perdre sa volonté à notre inamovible Clark Kent. Et Christopher Priest réussi cet exploit. Il réussit à nous transformer notre Superman en un homme brisé et apathie et à la faire avec une bonne justification. Qui ne serait pas troublé après un voyage dans l'espace de 20 années.... surtout si en revenant les autres ont l'impression qu'il ne s'est passé que quelques heures. Christopher Priest nous livre un superman écartelé par sa volonté de justice, peu importe ou dans l'univers et l'envie de rentrer chez lui. Un écartèlement suffisant pour le briser.... Ce voyage est graphiquement impressionnant. Carlo Pagulayan nous livre une copie presque parfaite et les passages dans l'espace son somptueux ? Le scenario est quant à lui très complexe... et aurait peut-être mérité de l'être un peu moins. il est compliqué de bien faire le rapprochement entre l'aventure de superman et l'enquête de Lois. L'aventure de superman est elle même déjà un peu tordue avec des aller-retour temporels et "universels" parfois un peu touffus. Je pense qu'une deuxième lecture m'éclairera un peu plus mais.... tout le monde n'a pas forcément le temps pour une deuxième lecture. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/superman-lost?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Superman Lost est un one shot ambitieux sur notre homme d'acier. Ambitieux car ayant la volonté de faire... perdre sa volonté à notre inamovible Clark Kent. Et Christopher Priest réussi cet exploit. Il réussit à nous transformer notre Superman en un homme brisé et apathie et à la faire avec une bonne justification. Qui ne serait pas troublé après un voyage dans l'espace de 20 années.... surtout si en revenant les autres ont l'impression qu'il ne s'est passé que quelques heures. Christopher Priest nous livre un superman écartelé par sa volonté de justice, peu importe ou dans l'univers et l'envie de rentrer chez lui. Un écartèlement suffisant pour le briser.... Ce voyage est graphiquement impressionnant. Carlo Pagulayan nous livre une copie presque parfaite et les passages dans l'espace son somptueux ? Le scenario est quant à lui très complexe... et aurait peut-être mérité de l'être un peu moins. il est compliqué de bien faire le rapprochement entre l'aventure de superman et l'enquête de Lois. L'aventure de superman est elle même déjà un peu tordue avec des aller-retour temporels et "universels" parfois un peu touffus. Je pense qu'une deuxième lecture m'éclairera un peu plus mais.... tout le monde n'a pas forcément le temps pour une deuxième lecture.
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Titre de l'album : Batman & Robin dynamic duo tome 1 Scenariste de l'album : Joshua Williamson Dessinateur de l'album : Simone Di Meo Coloriste : Simone Di Meo Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Les plus monstrueux voyous de Gotham s'associent et transforment la ville en une véritable jungle urbaine ! Le duo d'aventuriers formé par Batman et Robin doit anéantir le cerveau de l'opération criminelle. Mais un vilain, jusqu'alors inconnu, ourdit une vengeance contre le Chevalier Noir lui-même. Le jeune Damian, face à ses propres obligations scolaires, peut-il aider son père à éteindre cette menace avant qu'il ne soit Critique : Hop la c'est finit les aventures solo. Avec pour cible un public plus jeune, DC nous ressort un titre avec nos deux héros phares que sont Batman et Robin. Et avec le lien de filiation entre les deux et aussi la nouvelle vie de Bruce Wayne, loin des fast du manoir, c'est d'autant plus facile de relancer le duo. En se basant sur une relation d'un père qui cherche à vraiment l'être et un ado qui est trop précoce, Joshua Williamson nous livre un mélange intéressant entre vie de famille et histoire super héroïque. Assez intelligemment, il choisit une histoire héroïque très standard, ce qui laisse de la place aux discussions père / fils, mais aussi à l'introduction de la "vraie vie" de Damian au lycée. Porté par des dessins modernes et particulièrement jolis de Simone Di Meo, ce tome plaira particulièrement aux ados et leur permettra de se lancer sur les traces du dynamic duo de DC Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-robin-dynamic-duo-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Hop la c'est finit les aventures solo. Avec pour cible un public plus jeune, DC nous ressort un titre avec nos deux héros phares que sont Batman et Robin. Et avec le lien de filiation entre les deux et aussi la nouvelle vie de Bruce Wayne, loin des fast du manoir, c'est d'autant plus facile de relancer le duo. En se basant sur une relation d'un père qui cherche à vraiment l'être et un ado qui est trop précoce, Joshua Williamson nous livre un mélange intéressant entre vie de famille et histoire super héroïque. Assez intelligemment, il choisit une histoire héroïque très standard, ce qui laisse de la place aux discussions père / fils, mais aussi à l'introduction de la "vraie vie" de Damian au lycée. Porté par des dessins modernes et particulièrement jolis de Simone Di Meo, ce tome plaira particulièrement aux ados et leur permettra de se lancer sur les traces du dynamic duo de DC