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  1. Titre de l'album : Absolute power tome 1 Scenariste de l'album : Mark Waid Dessinateur de l'album : Dan Mora Coloriste : Dan Mora Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Peu d'être humains ont su tenir tête aux super-héros avec autant de zèle et de détermination qu'Amanda Waller. Après une carrière de machinations, et grâce à la puissance combinée de l'inarrêtable Failsafe et de la glaçante Reine Brainiac, Waller a finalement atteint son but : priver tous les héros et vilains de la planète Terre de leurs capacités métahumaines. Alors que le chaos inonde les rues et qu'une vaste campagne de désinformation fait basculer l'opinion publique de son côté, la fondatrice de la Suicide Squad déclenche une véritable guerre éclair pour faire tomber tous les super-héros, les uns après les autres. En ces heures sombres, une résistance se forme... mais ces héros impuissants peuvent-ils vraiment vaincre la Trinité du Mal et leurs implacables sbires ? Contenu vo : Green Arrow #13-14 + Absolute Power: Free Comic Book Day 2024 + Absolute Power: Ground Zero + Absolute Power #1-2 + Superman #16 + Batman #151 + Wonder Woman #11 + Absolute Power: Task Force VII #1-3 + Green Lantern #13 Critique : Et bien çà faisait longtemps que je n'avais pas apprécié un crossover comme celui-ci ! Déjà chapeau bas à Urban Comics et au travail de recueil effectué. C'est peut-être ce qui m'a procuré ce plaisir de lecture : Cette édition recueil les numéros servant au récit de.... de toutes les séries DC. De green Arrow, à Green Lanterne en passant par les Teen Titans. De façon refleuri et ordonné, les éditeurs d'Urban nous livre les morceaux nécessaires à faire une histoire cohérente et entière. Alors j'entends déjà certains : oui il faudra faire avec les changements de dessins sur les chapitres importés. Mais on a l'habitude et puis, sincèrement, ce n'est pas cher payé au regard d'une histoire dense et chronologique. Ce travail est tellement bien fait qu'il couvre un scénario au final assez classique. Une Amanda Waller qui Pete complètement une durite et va au bout de sa guerre anti superpuissant et réussi à les priver de leurs pouvoirs. Rien de forcement très nouveau ci de n'est que, cette fois-ci, il n'y a pas de menace Galactique. La menace est intérieure et la frappe chirurgicale. Mis à part ce point de départ peut être un peu trop standard, ce crossover a aussi pour lui la mise à niveau de tous nos personnages. En effet, la suppression des pouvoirs touche tout le monde (ou presque bien sur :p) mais Mark Waid a eu l'intelligence de ne PAS faire en sorte que les héros classiques soient épargnés. Il nous livre un premier tome dense, bien ordonné, mais aussi aisément compréhensible. Fini l'époque des run complexe au possible de monsieur Snyder (que j'ai apprecié hein !). Mark Waid fait des crossover "simple" et accessible, mais bien construit. De quoi rassembler les fans de tout l'univers DC ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/absolute-power-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Ce deuxième volume représente ce que je n'aime pas trop dans ces parutions mensuelles : un tome moyen qui se comprend au niveau de l'histoire car on a passé la phase de surprise et on fait avancer nos personnages, notre histoire et densifier le background. Le dessin est toujours top et l'ambiance toujours aussi pesante. Bref toute une partie nécessaire, mais qui, lu séparément, a un gout de pas assez. On aurait envie de relire celui d'avant mais ce n'est pas vraiment le principe. bref ca dégrade la note de mon point de vu. Je pense toujours que l'ensemble sera une bonne histoire... mais quand elle sera finie.
  3. Titre de l'album : The one hand & the six fingers tome 2 Scenariste de l'album : Dan Watters | Ram V Dessinateur de l'album : Laurence Campbell Coloriste : Laurence Campbell Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : À Neo Novena, tandis que la nouvelle vague de crimes ravive de vieux traumatismes au sein de la population et de la sphère policière, la presse fait ses choux gras en questionnant l'incarcération du tristement célèbre « tueur à la main ». L'enquête de l'inspecteur Ari Nassar se poursuit, et le conduit à un vernissage d'un genre étonnant, alors que Johannes Vale s'effondre en tentant de comprendre ce qui lui arrive. Et si une puissance invisible était à l'oeuvre ? Contenu vo : The One Hand #2 + The Six Fingers #2 Critique : Ce deuxième volume représente ce que je n'aime pas trop dans ces parutions mensuelles : un tome moyen qui se comprend au niveau de l'histoire car on a passé la phase de surprise et on fait avancer nos personnages, notre histoire et densifier le background. Le dessin est toujours top et l'ambiance toujours aussi pesante. Bref toute une partie nécessaire, mais qui, lu séparément, a un gout de pas assez. On aurait envie de relire celui d'avant mais ce n'est pas vraiment le principe. bref ca dégrade la note de mon point de vu. Je pense toujours que l'ensemble sera une bonne histoire... mais quand elle sera finie. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-one-hand-the-six-fingers-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. poseidon2

    Scarlett - mission spéciale

    Je vous disais tout le bien que je pensais de cette franchise. Et bien ce n'est pas Scarlett qui me fera revenir en arrière sur mes dires. Après les robots, les bikers américains, les mercenaires, voici venir les ninjas ! Alors il semble que nous sommes ici plus proches de l'univers de GI Joe, plus vaguement lié à Transformers, mais, comme pour les autres, on voit quand même trainer Cobra Commander, décidément au centre de tout cet univers. Cela procure le même petit plaisir à ceux qui ont lu les tomes précédents. Mais, encore plus que dans Destro, ce tome-ci est indépendant et est surtout une histoire d'espionnage musclé et de filles ninja badass comme rarement. C'est très joli, c'est intelligent et dense. Un mix entre Tom Cruise dans Mission impossible et Uma Thurman dans Kill Bill. Que pourrait-on demander de plus à ce one shot d'action ?
  5. Titre de l'album : Scarlett - mission spéciale Scenariste de l'album : Kelly Thompson Dessinateur de l'album : Marco Ferrari Coloriste : Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Shana « Scarlett » O'Hara est sur le point d'entreprendre la mission la plus dangereuse de sa carrière: infiltrer la mystérieuse organisation japonaise du Clan Arashikage, pour percer les secrets de leur nouvelle et mystérieuse arme. Sa seule piste est son ancienne partenaire, Jinx, devenue membre active au service des Arashikage. Scarlett n'a d'autres choix que d'utiliser ses compétences très particulières pour survivre sous couverture... et lever le voile sur une nouvelle source d'énergie qui pourrait bien bouleverser les rapports de force de la planète entière. SCARLETT est l'occasion pour Kelly THOMPSON (BIRDS OF PREY, Black Widow) d'ouvrir le coffre à jouets de l'Energon Universe pour y faire ce qu'elle sait faire de mieux : un récit d'espionnage ultra rythmé, autour d'un personnage féminin badass et extrêmement bien caractérisé. Contenu vo : Scarlett #1-5. Critique : Je vous disais tout le bien que je pensais de cette franchise. Et bien ce n'est pas Scarlett qui me fera revenir en arrière sur mes dires. Après les robots, les bikers américains, les mercenaires, voici venir les ninjas ! Alors il semble que nous sommes ici plus proches de l'univers de GI Joe, plus vaguement lié à Transformers, mais, comme pour les autres, on voit quand même trainer Cobra Commander, décidément au centre de tout cet univers. Cela procure le même petit plaisir à ceux qui ont lu les tomes précédents. Mais, encore plus que dans Destro, ce tome-ci est indépendant et est surtout une histoire d'espionnage musclé et de filles ninja badass comme rarement. C'est très joli, c'est intelligent et dense. Un mix entre Tom Cruise dans Mission impossible et Uma Thurman dans Kill Bill. Que pourrait-on demander de plus à ce one shot d'action ? Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/energon-universe-scarlett-mission-speciale?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. poseidon2

    Destro - seigneur de guerre

    Plus ça va, plus j'apprécie la façon de faire de cet Energonverse. Cette idée de présenter les personnages principaux de l'univers via des one shot est excellente. En effet, cela nous donne des véritables récits d'action légèrement fantastiques autonomes. Des histoires coup de poing avec des personnages transverses pas trop intrusifs. Juste ce qu'il faut pour donner du contexte, mais rien qui n'oblige une connaissance approfondie. De la même façon, les tomes Trasnformers peuvent se lire sans avoir lu ses histoires parallèles, mais seront plus savoureuses avec cette connaissance du background commun. C'est encore le cas avec ce Destro, qui nous montre un petit peu de Cobra Commander, un petit peu d'energon, des ouïes dire sur Transformers, Duke... mais est avant tout une guerre de pouvoir avec les seigneurs de guerre du moment. Une lutte qui tourne à l'affrontement pur et simple.... affrontement à grand renfort d'arme de guerre et de trahison. Rien de bien fantastique sur ce tome-là. Mais une histoire qui continue d'étendre tout doucement un univers qui se trouve être bien pus intéressant que ce que laissent paraître les films sur les Transformers.
  7. Titre de l'album : Destro - seigneur de guerre Scenariste de l'album : Dan Watters Dessinateur de l'album : Andrei Bressan Coloriste : Andrei Bressan Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : James McCullen Destro XXIV est l'homme derrière M.A.R.S. Industries, leader incontesté de la vente d'armes de haute technologie aux puissances mondiales... Mais l'émergence de l'Energon a tout changé. Alors que les ambitions de Destro grandissent, les « jumeaux pourpres » Tomax et Xamot Paoli émergent pour détruire leurs concurrents, et Cobra Commander réalise que son allié de fortune pourrait bien devenir son plus grand rival. Contenu vo : Destro #1-5 Critique : Plus ça va, plus j'apprécie la façon de faire de cet Energonverse. Cette idée de présenter les personnages principaux de l'univers via des one shot est excellente. En effet, cela nous donne des véritables récits d'action légèrement fantastiques autonomes. Des histoires coup de poing avec des personnages transverses pas trop intrusifs. Juste ce qu'il faut pour donner du contexte, mais rien qui n'oblige une connaissance approfondie. De la même façon, les tomes Trasnformers peuvent se lire sans avoir lu ses histoires parallèles, mais seront plus savoureuses avec cette connaissance du background commun. C'est encore le cas avec ce Destro, qui nous montre un petit peu de Cobra Commander, un petit peu d'energon, des ouïes dire sur Transformers, Duke... mais est avant tout une guerre de pouvoir avec les seigneurs de guerre du moment. Une lutte qui tourne à l'affrontement pur et simple.... affrontement à grand renfort d'arme de guerre et de trahison. Rien de bien fantastique sur ce tome-là. Mais une histoire qui continue d'étendre tout doucement un univers qui se trouve être bien pus intéressant que ce que laissent paraître les films sur les Transformers. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/destro-seigneur-de-guerre?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Titre de l'album : Aucune tombe assez profonde Scenariste de l'album : Skottie Young Dessinateur de l'album : Jorge Corona Coloriste : Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Après une vie de crime et de violence, Ryder est tombée amoureuse et a choisi de se ranger pour se concentrer sur son rôle de mère. Mais lorsqu'elle apprend que tout ce pour quoi elle s'est battue risque de lui être enlevé, elle reprend ses revolvers et se met en route, car le temps lui est compté. Direction : Cypress, la ville à l'autre bout du monde. Son objectif : tuer celle qui tente de lui prendre la vie... la Mort elle-même. Contenu vo : Ain't No Grave #1-5 Critique : Les grands formats Urban se multiplient et c'est souvent pour faire la part belle à une patte graphique. Ce Aucune tombe assez profonde ne fera pas mentir les précédents. Si le western fantastique imaginé par Skottie Young est fidèle à ses précédents récits, c'est-à-dire délirant, ambitieux (Vouloir tuer la mort, c'est quand même balaise) et trash, le point remarquable ici est la patte graphique de Jorge Corona. Si vous n'aimez pas le comics new génération, plein d'emphases graphiques et d'exagération, le tout très coloré, passé votre chemin, peu importe e scenario. Par contre, si c'est un style qui vous parle, penchez-vous sur ce one shot. Il n'est comme nul autre. Aussi émouvant et triste que dynamique et violent. On se sait vraiment si on doit aimer notre héroïne. Si elle à le droit de réclamer un supplément de vie, au regard de toutes celles qu'elle a prises. Une finesse de scénario qui récompensera ceux qui ont pris à bras-le-corps le coté graphique. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/aucune-tombe-assez-profonde?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. poseidon2

    Aucune tombe assez profonde

    Les grands formats Urban se multiplient et c'est souvent pour faire la part belle à une patte graphique. Ce Aucune tombe assez profonde ne fera pas mentir les précédents. Si le western fantastique imaginé par Skottie Young est fidèle à ses précédents récits, c'est-à-dire délirant, ambitieux (Vouloir tuer la mort, c'est quand même balaise) et trash, le point remarquable ici est la patte graphique de Jorge Corona. Si vous n'aimez pas le comics new génération, plein d'emphases graphiques et d'exagération, le tout très coloré, passé votre chemin, peu importe e scenario. Par contre, si c'est un style qui vous parle, penchez-vous sur ce one shot. Il n'est comme nul autre. Aussi émouvant et triste que dynamique et violent. On se sait vraiment si on doit aimer notre héroïne. Si elle à le droit de réclamer un supplément de vie, au regard de toutes celles qu'elle a prises. Une finesse de scénario qui récompensera ceux qui ont pris à bras-le-corps le coté graphique.
  10. Titre de l'album : The one hand & the six fingers tome 1 Scenariste de l'album : V Ram Dessinateur de l'album : Dan Watters Coloriste : Laurence Campbell Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : 2873. À Neo Novena, l'inspecteur Ari Nassar fête à peine son départ en retraite qu'un meurtre le replonge instantanément dans une affaire vieille de vingt-trois ans. Trente-deux victimes, une empreinte palmaire unique à six doigts et deux assassins au même modus operandi déjà placés sous les verrous par Ari lui-même. Alors qui ? Et pourquoi maintenant ? Non loin de là, l'étudiant en archéologie Johannes Vale réalise avec horreur qu'il n'est peut-être pas étranger à ce crime brutal, seulement... il ne se souvient de rien ! Contenu vo : The One Hand # 1 + The Six Fingers #1. Critique : Mmmhhhh Alors ok ce premier fascicule peut être acheté avec un coffret pour ranger les 6 tomes à venir. Ce qui sera quand même sympa dans la bibliothèque. Mais je ne sais pas. J'ai toujours pensé que le format fascicule n'était pas vraiment adapté au lectorat français. Car oui on parle bien ici d'un fascicule de 72 pages en couverture souple. 3 chapitres.... Bon après il faut rendre à Urban que le prix et ... le même. Un harcover de 12 chapitre est à 31. Ici c'est 7.90 mais il y a 4 fois moins de contenus. Après j'espère que la série marchera, car c'est quand même un thriller bien sympa dont on veut diablement connaitre la suite. Un pur thriller avec un vieil enquêteur qui refuse sa retraite car un copieur commet des crimes comme ... deux précédents tueurs en série. C'est sombre (très ? ). C'est dense. Réfléchit et signé Ram V.... Mis à part le gout de trop peu, on a quasiment tous bon. Avec un numéro par mois annoncé, seulement 6 numéros et un coffret pour les ranger tous..... il y a de quoi réfléchir à changer ses habitudes. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-one-hand-the-six-fingers-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Mmmhhhh Alors ok ce premier fascicule peut être acheté avec un coffret pour ranger les 6 tomes à venir. Ce qui sera quand même sympa dans la bibliothèque. Mais je ne sais pas. J'ai toujours pensé que le format fascicule n'était pas vraiment adapté au lectorat français. Car oui on parle bien ici d'un fascicule de 72 pages en couverture souple. 3 chapitres.... Bon après il faut rendre à Urban que le prix et ... le même. Un harcover de 12 chapitre est à 31. Ici c'est 7.90 mais il y a 4 fois moins de contenus. Après j'espère que la série marchera, car c'est quand même un thriller bien sympa dont on veut diablement connaitre la suite. Un pur thriller avec un vieil enquêteur qui refuse sa retraite car un copieur commet des crimes comme ... deux précédents tueurs en série. C'est sombre (très ? ). C'est dense. Réfléchit et signé Ram V.... Mis à part le gout de trop peu, on a quasiment tous bon. Avec un numéro par mois annoncé, seulement 6 numéros et un coffret pour les ranger tous..... il y a de quoi réfléchir à changer ses habitudes.
  12. poseidon2

    Absolute power tome 1

    Et bien çà faisait longtemps que je n'avais pas apprécié un crossover comme celui-ci ! Déjà chapeau bas à Urban Comics et au travail de recueil effectué. C'est peut-être ce qui m'a procuré ce plaisir de lecture : Cette édition recueil les numéros servant au récit de.... de toutes les séries DC. De green Arrow, à Green Lanterne en passant par les Teen Titans. De façon refleuri et ordonné, les éditeurs d'Urban nous livre les morceaux nécessaires à faire une histoire cohérente et entière. Alors j'entends déjà certains : oui il faudra faire avec les changements de dessins sur les chapitres importés. Mais on a l'habitude et puis, sincèrement, ce n'est pas cher payé au regard d'une histoire dense et chronologique. Ce travail est tellement bien fait qu'il couvre un scénario au final assez classique. Une Amanda Waller qui Pete complètement une durite et va au bout de sa guerre anti superpuissant et réussi à les priver de leurs pouvoirs. Rien de forcement très nouveau ci de n'est que, cette fois-ci, il n'y a pas de menace Galactique. La menace est intérieure et la frappe chirurgicale. Mis à part ce point de départ peut être un peu trop standard, ce crossover a aussi pour lui la mise à niveau de tous nos personnages. En effet, la suppression des pouvoirs touche tout le monde (ou presque bien sur :p) mais Mark Waid a eu l'intelligence de ne PAS faire en sorte que les héros classiques soient épargnés. Il nous livre un premier tome dense, bien ordonné, mais aussi aisément compréhensible. Fini l'époque des run complexe au possible de monsieur Snyder (que j'ai apprecié hein !). Mark Waid fait des crossover "simple" et accessible, mais bien construit. De quoi rassembler les fans de tout l'univers DC !
  13. Titre de l'album : Sandman - Dead boy detectives Scenariste de l'album : Toby Litt Dessinateur de l'album : Mark Buckingham Coloriste : Mark Buckingham Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Edwin Paine et Charles Roland ont beaucoup en commun : ce sont tous deux des écoliers anglais qui adorent les romans policiers, et ils ont eux-mêmes été amenés à résoudre des énigmes. Ils sont également tous les deux morts, une condition qui s'est avérée moins gênante qu'on ne pourrait le croire. Les deux garçons retournent à l'internat de St. Hilarions, pour percer les mystères de cet internat tyrannique et y font la rencontre de Crystal, une limier technophile. Critique : Avant d'entrer dans la critique a proprement parler, autant être clair tout de suite : Cette histoire n'a rien (ou quasiment rien) à voir avec Sandman. Pas de Morphée, pas de Dream, pas de Gaiman non plus. Un léger soupçon de "Death" et des personnages issus d'une histoire parallèle d'une histoire parallèle de Sandman... N'espérez rien de ce côté-là. On pourrait même dire que ce one shot s'adresse quasiment plus aux fans de Fables. Graphiquement déjà, c'est avec plaisir que l'on retrouve Mark Buckingham pour la deuxième fois ce mois-ci après le spin off de Fables. Si l'univers n'est pas exactement le même, son trait correspond parfaitement à nos fantômes et à leur univers fantastique. Coté histoire, on a ici plusieurs histoires servant à présenter nos héros, mais aussi Crystal, qui sert de personnage central de cet album. Des histoires sympathiques qui ont le bon gout de toutes converger pour faire de ce one shot une véritable histoire finie, oscillant entre passé et présent, mais aussi entre royaume des morts et des vivants. Toby Litt manie bien deux niveaux de lectures permettant une lecture enfantine tout autant qu'une vision adultes de ce recit. Une lecture très sympa pour les vacances ! Attention, pour ceux qui auraient vu la saison 1 de la série, les personnages du comics sont ... des enfants. Ca n'enlève rien à l'histoire mais change par rapport aux jeunes adultes de la série. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sandman-dead-boy-detectives?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. poseidon2

    Sandman - Dead boy detectives

    Avant d'entrer dans la critique a proprement parler, autant être clair tout de suite : Cette histoire n'a rien (ou quasiment rien) à voir avec Sandman. Pas de Morphée, pas de Dream, pas de Gaiman non plus. Un léger soupçon de "Death" et des personnages issus d'une histoire parallèle d'une histoire parallèle de Sandman... N'espérez rien de ce côté-là. On pourrait même dire que ce one shot s'adresse quasiment plus aux fans de Fables. Graphiquement déjà, c'est avec plaisir que l'on retrouve Mark Buckingham pour la deuxième fois ce mois-ci après le spin off de Fables. Si l'univers n'est pas exactement le même, son trait correspond parfaitement à nos fantômes et à leur univers fantastique. Coté histoire, on a ici plusieurs histoires servant à présenter nos héros, mais aussi Crystal, qui sert de personnage central de cet album. Des histoires sympathiques qui ont le bon gout de toutes converger pour faire de ce one shot une véritable histoire finie, oscillant entre passé et présent, mais aussi entre royaume des morts et des vivants. Toby Litt manie bien deux niveaux de lectures permettant une lecture enfantine tout autant qu'une vision adultes de ce recit. Une lecture très sympa pour les vacances ! Attention, pour ceux qui auraient vu la saison 1 de la série, les personnages du comics sont ... des enfants. Ca n'enlève rien à l'histoire mais change par rapport aux jeunes adultes de la série.
  15. Titre de l'album : L'étrange créature du lac noir vit toujours Scenariste de l'album : Dan Watters | Ram V Dessinateur de l'album : Matthew Roberts Coloriste : Matthew Roberts Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Kate Marsden, une journaliste d'investigation tourmentée par son passé, est à la recherche d'un tueur en série qui se cacherait au coeur de la forêt Amazonienne. Mais en suivant la trace de ce dément, elle croise par accident la route d'une autre menace potentielle, une entité devenu un mythe dans la région : l'Etrange Créature du Lac Noir. Les Monstres Universal débarquent chez Urban ! Découvrez les plus grands mythes horrifiques du cinéma tels que Dracula, l'Etrange Créature du Lac Noir, Frankeinstein et bien d'autres, modernisés par les meilleurs auteurs de la scène comics moderne, dans des éditions grand format prestige ! Contenu vo : Universal Monsters: The Creature from the Black Lagoon Lives! #1-4. Critique : Urban comics continue sa diversification avec sa série sur les monstres. Apres Dracula, voici venir la créature du lac noir. Et avec elle un récit classique qui rend hommage au film des années 50. One shot intéressant nous montrant une histoire sombre et intrigante, mêlant le thriller avec la recherche, par notre héroïne du FBI, de son agresseur, tueur en série notable, avec du fantastique et de l'effrayant. Pour tout vous dire on à vraiment l'impression de voir un des épisodes "bis" de X-Files. Vous savez ces épisodes qui ne parlaient pas d'extraterrestre mais de fantastique. Et bien on est pile la dedans. C'est très sympa à lire mais un poil classique de mon point de vue. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/universal-monsters-l-etrange-creature-du-lac-noir-vit-toujours?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Urban comics continue sa diversification avec sa série sur les monstres. Apres Dracula, voici venir la créature du lac noir. Et avec elle un récit classique qui rend hommage au film des années 50. One shot intéressant nous montrant une histoire sombre et intrigante, mêlant le thriller avec la recherche, par notre héroïne du FBI, de son agresseur, tueur en série notable, avec du fantastique et de l'effrayant. Pour tout vous dire on à vraiment l'impression de voir un des épisodes "bis" de X-Files. Vous savez ces épisodes qui ne parlaient pas d'extraterrestre mais de fantastique. Et bien on est pile la dedans. C'est très sympa à lire mais un poil classique de mon point de vue.
  17. Titre de l'album : Le mythe de l'ossuaire - Les résidents Scenariste de l'album : Jeff Lemire Dessinateur de l'album : Andrea Sorrentino Coloriste : Andrea Sorrentino Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : A la mort d'un de leurs voisins, dix habitants d'un HLM qui ne se connaissent que peu et que tout oppose devront coopérer alors que des phénomènes étranges surviennent autour d'eux. Invasion de mouches, baignoires remplies de sang, hallucinations glaçantes... le lugubre bâtiment cache une bien sombre histoire et un passage vers une dimension terrifiante, dans les tréfonds de laquelle ses résidents devront s'aventurer pour espérer en percer les mystères... et rester en vie. Contenu vo : The Bone Orchard Mythos: Tenement #1-10. Critique : Ceux qui nous suivent savent que je n'ai pas vraiment d'appétence pour les BDs d'horreur. J'ai eu du mal avec le dernier en date chez Urban d'ailleurs (le deviant). Et pourtant, pourtant.... ce mythe de l'ossuaire, comme les précédents, m'a scotché. Surement le talent de Jeff Lemire et la beauté du dessin d'Andrea Sorentino.... Surement le mélange des deux. Mais je mettrai le talent de Jeff Lemire un peu au-dessus. En effet il réussit, encore une fois, à trouver le juste milieu entre le récit d'angoisse et le récit d'aventure. Un mix savoureux à mi-chemin entre Sanctuaire et les mythes de Cthulhu. Lemire a créé une vraie mythologie sombre comme a pu le faire Lovecraft avec son géant vert. On a beau être mal à l'aise en le fermant.... on en redemande ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-mythe-de-l-ossuaire-les-residents?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. poseidon2

    Klaus - intégrale

    Mmmmhhh tient donc, Urban reprend des titres de Glenat Comics. Ca peut promettre de belles choses. En tout cas, c'est dans un bien bel écrin que Urban nous livre cette réédition "intégrale" des aventures de Klaus par Grant Morisson et... surtout Dan Mora. Je dis surtout, car c'est quand même un des avantages premiers de cette série : Admirer le sublime trait de Dan Mora. Mais il n'y a pas que cela, surtout durant cette période de Noël. Grant Morisson nous livre une transposition du père Noel en tant que superhéros qui se transforme en super divertissement. L'histoire fantastico-moyennageuse se prête tout à fait aux légendes sur le père Noël. Le "méchant" en mode scrooge du moyennage renvoie bien au père Noël plein de pouvoir magique.... Enfin ca c'est pour la première moitié qui équivaut au tome 1. Ensuite s'en-suit.... des histoires courtes qui plongent vraiment dans le super-héroïsme. Et la, ca dépendra des gouts de chacun. En effet on a des histoires avec des extraterrestres, des entités magiques et d'autres.... Mais avec en fil rouge le vieillissement de notre Santa et son décalage grandissant avec la population d'un monde devenu moderne. Mais reste que cela fera un super bon cadeau de Noel pour tout amateur de comics "dynamique". A noter qu'il y a un super calendrier de l'avent avec 25 images sur la voie de Santa en fait de ce très beau recueil !
  19. Titre de l'album : Klaus - intégrale Scenariste de l'album : Grant Morrison Dessinateur de l'album : Dan Mora Coloriste : Dan Mora Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Dans un monde médiéval fantastique, un trappeur itinérant du nom de Klaus entre dans l'enceinte de Grimsvig. Mais la ville a bien changé depuis sa dernière visite... Celle qui respirait la joie de vivre est désormais dirigée d'une main de fer par le tyran Magnus, qui a enrôlé de force tous les hommes valides pour travailler aux mines de charbon de la région. Et ce n'est pas tout : ses soldats sèment la terreur, interdisant la cérémonie du solstice d'hiver et sa traditionnelle remise de cadeaux. Sous ses airs taciturnes, Klaus sera-t-il l'homme capable de faire revenir le soleil dans le coeur des habitants ? Critique : Mmmmhhh tient donc, Urban reprend des titres de Glenat Comics. Ca peut promettre de belles choses. En tout cas, c'est dans un bien bel écrin que Urban nous livre cette réédition "intégrale" des aventures de Klaus par Grant Morisson et... surtout Dan Mora. Je dis surtout, car c'est quand même un des avantages premiers de cette série : Admirer le sublime trait de Dan Mora. Mais il n'y a pas que cela, surtout durant cette période de Noël. Grant Morisson nous livre une transposition du père Noel en tant que superhéros qui se transforme en super divertissement. L'histoire fantastico-moyennageuse se prête tout à fait aux légendes sur le père Noël. Le "méchant" en mode scrooge du moyennage renvoie bien au père Noël plein de pouvoir magique.... Enfin ca c'est pour la première moitié qui équivaut au tome 1. Ensuite s'en-suit.... des histoires courtes qui plongent vraiment dans le super-héroïsme. Et la, ca dépendra des gouts de chacun. En effet on a des histoires avec des extraterrestres, des entités magiques et d'autres.... Mais avec en fil rouge le vieillissement de notre Santa et son décalage grandissant avec la population d'un monde devenu moderne. Mais reste que cela fera un super bon cadeau de Noel pour tout amateur de comics "dynamique". A noter qu'il y a un super calendrier de l'avent avec 25 images sur la voie de Santa en fait de ce très beau recueil ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/klaus-histoire-pere-noel-integrale?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Ceux qui nous suivent savent que je n'ai pas vraiment d'appétence pour les BDs d'horreur. J'ai eu du mal avec le dernier en date chez Urban d'ailleurs (le deviant). Et pourtant, pourtant.... ce mythe de l'ossuaire, comme les précédents, m'a scotché. Surement le talent de Jeff Lemire et la beauté du dessin d'Andrea Sorentino.... Surement le mélange des deux. Mais je mettrai le talent de Jeff Lemire un peu au-dessus. En effet il réussit, encore une fois, à trouver le juste milieu entre le récit d'angoisse et le récit d'aventure. Un mix savoureux à mi-chemin entre Sanctuaire et les mythes de Cthulhu. Lemire a créé une vraie mythologie sombre comme a pu le faire Lovecraft avec son géant vert. On a beau être mal à l'aise en le fermant.... on en redemande !
  21. Titre de l'album : Créature commandos présente Frankenstein Scenariste de l'album : Grant Morrison | Jeff Lemire Dessinateur de l'album : Alberto Ponticelli | Doug Mahnke Coloriste : Alberto Ponticelli | Doug Mahnke Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Loin des bancs de la Justice League adorée du grand public, Frankenstein fait partie d'un réseau d'êtres étranges qui travaillent pour une organisation gouvernementale encore plus étrange : les Sur-Humains Agents de Défense de l'État, plus connus sous le nom de S.H.A.D.E. Avec son équipe, le monstre le plus célèbre de l'histoire protège l'humanité des menaces surnaturelles. Mais peut-il protéger le monde de menaces encore plus horribles que lui ? Et surtout, étant lui-même vilipendé pour ce qu'il est, voudra-t-il accepter cette mission ? Contenu vo : Seven Soldiers #1-4 + Frankenstein : Agent of S.H.A.D.E. #1-7. Critique : Urban continue sa diversification de l'univers de Batman avec maintenant une minisérie sur Frankenstein et les Créatures Commandos. Une série qui ne comptera que 2 volumes et qui nous raconte l'histoire d'un Frankenstein pas comme les autres. Loin d'un Frankenstein décérébré comme a pu le rendre célèbre le film du début du 20ieme siècle. On le découvre super puissant, immortel (car déjà mort en fait) et très puissant, s'occupant de tout ce que les héros normaux ne prennent pas. Ce qui nécessite de la sauvagerie, des morts et des gerbes de sang, peu importe sa couleur. Nos deux scénaristes nous livrent deux histoires qui se tiennent et garde le même niveau de WTF et de repartis cinglantes. Un bon défouloir pour un personnage que je n'aurais pas calé dans la catégorie héros.... Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/creature-commandos-presente-frankenstein?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Urban continue sa diversification de l'univers de Batman avec maintenant une minisérie sur Frankenstein et les Créatures Commandos. Une série qui ne comptera que 2 volumes et qui nous raconte l'histoire d'un Frankenstein pas comme les autres. Loin d'un Frankenstein décérébré comme a pu le rendre célèbre le film du début du 20ieme siècle. On le découvre super puissant, immortel (car déjà mort en fait) et très puissant, s'occupant de tout ce que les héros normaux ne prennent pas. Ce qui nécessite de la sauvagerie, des morts et des gerbes de sang, peu importe sa couleur. Nos deux scénaristes nous livrent deux histoires qui se tiennent et garde le même niveau de WTF et de repartis cinglantes. Un bon défouloir pour un personnage que je n'aurais pas calé dans la catégorie héros....
  23. Titre de l'album : Batman - City of madness Scenariste de l'album : Christian Ward Dessinateur de l'album : Christian Ward Coloriste : Christian Ward Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : La Cour des Hiboux, sinistre cabale gothamienne qui tire les ficelles dans l'ombre, garde un portail menant à une Gotham City déformée, en proie à des créatures terrifiantes dépassant largement les frontières de l'imaginable. Quand ce passage entre les deux mondes cède une créature de la nuit s'infiltre dans Gotham avec un objectif bien précis en tête : trouver son propre Robin pour l'accompagner dans son éternelle quête de vengeance... Critique : Nouveau one shot chez Urban. Un one shot comme on les aime chez Urban/ DC avec une histoire dense et un tome hors continuité. Un tome entièrement confié à Christian Ward qui nous livre une maestria graphique comme rarement quand on aime le travail torturé et coloré. Si vous aimez le travail de Ward, foncez. Si vous etes moins fan.. et bien ce one shot vaux le coup. L'histoire proposée est un mix entre le multivers noir et la cour des hiboux. Un mix intéressant centré sur batman et sa part sombre. On regrettera juste le traitement des personnages secondaire peut être un peu trop rapide mais c'est dure d'être vraiment complet sur un seul tome. En bref un bon one shot de batman et un très bon si on aime Ward. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-city-of-madness?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. poseidon2

    Batman - City of madness

    Nouveau one shot chez Urban. Un one shot comme on les aime chez Urban/ DC avec une histoire dense et un tome hors continuité. Un tome entièrement confié à Christian Ward qui nous livre une maestria graphique comme rarement quand on aime le travail torturé et coloré. Si vous aimez le travail de Ward, foncez. Si vous etes moins fan.. et bien ce one shot vaux le coup. L'histoire proposée est un mix entre le multivers noir et la cour des hiboux. Un mix intéressant centré sur batman et sa part sombre. On regrettera juste le traitement des personnages secondaire peut être un peu trop rapide mais c'est dure d'être vraiment complet sur un seul tome. En bref un bon one shot de batman et un très bon si on aime Ward.
  25. poseidon2

    Duke

    Deuxième tome autour de la création des GI Joes après celui sur la création de Cobra (ou inversement en fonction de votre sens de lecture) et quatrième tome de cette année sur le reboot de l'energonverse de Joshua Williamson. J'avais été bluffé par le tome sur Commander Cobra. Je vous laisse voir la critique. Celui-ci sur Duke est plus "consensuel". Un héros qui est renié par une hiérarchie qui ne veut pas dévoiler l'existence des Transformers, quitte à s'aliéner son meilleur élément. L'histoire est donc assez classique, ne mettant que peu l'accent sur les entités extraterrestres de Cobra ou des Transformers. Alors certes, quand on a lu les autres, on remarquera plein de petits détails qui font le sel de ces tomes croisés et cela nous fera apprécier ce Duke. J'ai un peu peur que les autres n'y voit pas grand-chose de plus qu'un Expendables en BD..... Attendons de voir le premier tome de GI Joes, qui devrait redéfinir ce tome comme un préquel, avant de vraiment juger l'interet de ce Duke.
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