Rechercher dans la communauté
Affichage des résultats pour les étiquettes 'science-fiction'.
40 résultats trouvés
-
Titre de l'album : Cyborgs - Tome 2 - Steel Scenariste de l'album : Jean-Luc Istin Dessinateur de l'album : Valentina Pinti & Arancia Studio Coloriste : J. Nanjan Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Donnée favorite aux élections face à Markus C. Tudor, Heather Macstone est visée dans un attentat où seule sa fille, Sam, survit. Gravement blessée, Sam reçoit des prothèses greffées par Russel. Qui a cherché à les éliminer et pour quelles raisons ? Plongée dans un univers de complots et de trahisons, Sam se sert de son corps de métal comme d'une arme pour découvrir la vérité. Critique : Hop vous connaissez Soleil, quand ils sortent une nouvelle série concept, on peut s'attendre à un album tous les 6 mois. Que l'on aime ou pas le modèle est celui-ci avec une multitude d'auteurs au dessin afin de tenir ces délais de fous. On a donc avec ce Cyborgs une série dans le standard habituel de Soleil en science-fiction ou en héroïc fantasy : un univers connu et cohérent, des one shots qui peuvent se lire séparément mais qui apportent ensemble pas mal d'éléments à l'univers, et une galerie de personnage qui se croisent et se recroisent mais sans prépondérance d'un personnage en particulier au fil des albums. Petite différence de taille cette fois-ci, chaque album fait bien avancer une intrigue globale et est centré sur le recrutement et l'intégration d'un nouveau personnage à une équipe tout en faisant progresser la mission commune de la dite équipe. Bon dit comme ça on est un peu sur Th Expendables en bd, mais cela donne au moins un fil conducteur intéressant et plus ambitieux car il ne se limite alors plus aux scénarios des seuls one shots. Tant mieux, c'est une bonne idée. Les dessins de Valentina Pinti et du Studio Arancia sont bien même si la colorisation et les décors sont un peu trop bruts pour moi. Ceci dit c'est souvent le cas en science fiction. Si l'ensemble ne brillera guère par son originalité, c'est efficace et servi par un découpage de qualité. Les amoureux d'univers de science fiction façon Travis ou Carmen seront servis car il ne s'agit pas ici de space opéra mais d'un futur terrien un peu calamiteux et très technologique quand même. L'action est assez soutenu même si cette fois-ci l'album est peut être un peu plus bavard. Autres infos : Storyboard par Kyko Duarte Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/cyborgs-tome-2-steel/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Hop vous connaissez Soleil, quand ils sortent une nouvelle série concept, on peut s'attendre à un album tous les 6 mois. Que l'on aime ou pas le modèle est celui-ci avec une multitude d'auteurs au dessin afin de tenir ces délais de fous. On a donc avec ce Cyborgs une série dans le standard habituel de Soleil en science-fiction ou en héroïc fantasy : un univers connu et cohérent, des one shots qui peuvent se lire séparément mais qui apportent ensemble pas mal d'éléments à l'univers, et une galerie de personnage qui se croisent et se recroisent mais sans prépondérance d'un personnage en particulier au fil des albums. Petite différence de taille cette fois-ci, chaque album fait bien avancer une intrigue globale et est centré sur le recrutement et l'intégration d'un nouveau personnage à une équipe tout en faisant progresser la mission commune de la dite équipe. Bon dit comme ça on est un peu sur Th Expendables en bd, mais cela donne au moins un fil conducteur intéressant et plus ambitieux car il ne se limite alors plus aux scénarios des seuls one shots. Tant mieux, c'est une bonne idée. Les dessins de Valentina Pinti et du Studio Arancia sont bien même si la colorisation et les décors sont un peu trop bruts pour moi. Ceci dit c'est souvent le cas en science fiction. Si l'ensemble ne brillera guère par son originalité, c'est efficace et servi par un découpage de qualité. Les amoureux d'univers de science fiction façon Travis ou Carmen seront servis car il ne s'agit pas ici de space opéra mais d'un futur terrien un peu calamiteux et très technologique quand même. L'action est assez soutenu même si cette fois-ci l'album est peut être un peu plus bavard.
-
Titre de l'album : Baby tome 1 Scenariste de l'album : Chang-Sheng Dessinateur de l'album : Chang-Sheng Coloriste : Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : 50% femme. 50% machine. 100% badass ! 1er décembre 2043... Le "Jour du Jugement" est proche. Dans les rues délabrées de Taïwan un parasite inconnu, Baby transforme les êtres humains en monstres mécaniques, provoquant un véritable carnage et poussant l'humanité au bord de l'extinction. Attaquée par l'un de ces mutants, Élisa survit, mais un Baby réussit à s'introduire dans sa main gauche, sans pour autant la transformer en un hybride mécanique ! Un an plus tard, Élisa décide de quitter la ville pour faire toute la lumière sur cette affaire. Alors qu'elle est gravement blessée, elle croise sous terre une équipe de chercheurs en mission secrète : ils doivent ramener une mystérieuse jeune fille nommée Alice au sanctuaire des humains. Alors qu'ils sont cernés par les mutants et se demandent si leur dernière heure a sonné, Alice pourrait bien être la clé de l'énigme... Quelle est la véritable origine de Baby ? Le mystère qui se cache derrière tout ce chaos sera élucidé au moment même où l'identité d'Alice sera révélée... Après Yan, Chang Sheng revisite le récit postapocalyptique et le survival dans une trilogie d'action survitaminée, entre Parasite et The Walking Dead ! Critique : Baby est un manga d’anticipation où l’humanité a presque disparue suite à la propagation d’un parasite nommé « baby » transformant les hommes en cyborg/machine. Les personnes touchées se laissent dominer par leurs instincts et deviennent hyper violentes. Au cours d’un combat contre un mutant, Eli, une jeune femme se fait contaminée. Accompagnée d’un robot médical qui semble être son seul ami, elle se retrouve par hasard avec un groupe de rescapés se dirigeant vers un abri sûr. Si la trame de fond semble un peu classique : un personnage principal pouvant utiliser des capacités de l’ennemi, se trouvant entre les deux espèces et représentant l’espoir de l’humanité ; certains développements sont innovants et l’enchainement des événements est efficace. Baby est publié en grand format mettant en avant un graphisme futuriste intéressant à la fois très net (lisible facilement sans surcharge) et détaillé quand il le faut. Cela rend une lecture très agréable et fluide. Au final, on obtient un premier tome convaincant et bien construit donnant envie de lire la suite. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/baby-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Baby est un manga d’anticipation où l’humanité a presque disparue suite à la propagation d’un parasite nommé « baby » transformant les hommes en cyborg/machine. Les personnes touchées se laissent dominer par leurs instincts et deviennent hyper violentes. Au cours d’un combat contre un mutant, Eli, une jeune femme se fait contaminée. Accompagnée d’un robot médical qui semble être son seul ami, elle se retrouve par hasard avec un groupe de rescapés se dirigeant vers un abri sûr. Si la trame de fond semble un peu classique : un personnage principal pouvant utiliser des capacités de l’ennemi, se trouvant entre les deux espèces et représentant l’espoir de l’humanité ; certains développements sont innovants et l’enchainement des événements est efficace. Baby est publié en grand format mettant en avant un graphisme futuriste intéressant à la fois très net (lisible facilement sans surcharge) et détaillé quand il le faut. Cela rend une lecture très agréable et fluide. Au final, on obtient un premier tome convaincant et bien construit donnant envie de lire la suite.
- 1 commentaire
-
Titre de l'album : BOICHI SF short stories tome 1 Scenariste de l'album : BOICHI Dessinateur de l'album : BOICHI Coloriste : Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Quand la SF part dans huit directions différentes... Bienvenue dans ce premier volet du diptyque des SF Short Stories de Boichi ! Avec Les Voyageurs de l'espace-temps, le mangaka revient pour un recueil de huit nouvelles de science-fiction, traitant de sujets aussi variés que la dystopie, le voyage stellaire ou encore la rencontre avec d'autres créatures. Qu'il s'agisse d'un robot chargé de veiller sur les derniers éléments vivants à la suite d'une humanité condamnée, d'une mystérieuse opération ayant pour but de prolonger la vie - mais à quel prix ? - ou de la quête absolue d'un scientifique pour faire revivre une espèce malencontreusement disparue, toutes ces nouvelles se projettent dans l'avenir, mettant en avant la maestria d'un auteur hors norme. À noter que certaines nouvelles, déjà publiées dans son recueil, Hotel, sont à nouveau mises en avant, accompagnées de leur lot d'histoires inédites et d'anecdotes de création. Critique : Boichi n’est plus un auteur à présenter, il est d’ailleurs plutôt prolifique : pas moins de 13 titres parus en France en 17 ans dont Sun-ken Rock, Sanctum, Origin, Dr Stone et le prochain à paraître, le livre des multivers. Epris de fantastique et science-fiction, l’auteur a régulièrement écrit de courtes histoires qui sont regroupées ici dans un recueil en deux tomes. Les fans pourront y retrouver des histoires déjà parues dans le livre Hotel, édité en 2008 et devenu introuvable. Le livre est agrémenté de pages en couleurs et surtout des commentaires de l’auteur sur la genèse de ses œuvres. Certaines de ces histoires sont plutôt sérieuses comme Hotel – Since A.D. 2079 avec un discours écologique, d’autres sont plus farfelues, comme Rien que pour les thons ou se rapprochent plus du fantastique comme La légende de la nuit qui aurait sa place dans les Contes des mille et une nuits. Au final, on a un recueil plus ou moins intéressant, plus ou moins équilibré (dans la quantité et la teneur) qui plaira aux amateurs de science-fiction et surtout aux fans de l’auteur. On reconnaît bien la patte graphique de Boichi, qui, il faut bien le reconnaître, est particulièrement doué en la matière. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/boichi-sf-short-stories-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
- 4 réponses
-
- manga
- science-fiction
-
(et 1 en plus)
Étiqueté avec :
-
Boichi n’est plus un auteur à présenter, il est d’ailleurs plutôt prolifique : pas moins de 13 titres parus en France en 17 ans dont Sun-ken Rock, Sanctum, Origin, Dr Stone et le prochain à paraître, le livre des multivers. Epris de fantastique et science-fiction, l’auteur a régulièrement écrit de courtes histoires qui sont regroupées ici dans un recueil en deux tomes. Les fans pourront y retrouver des histoires déjà parues dans le livre Hotel, édité en 2008 et devenu introuvable. Le livre est agrémenté de pages en couleurs et surtout des commentaires de l’auteur sur la genèse de ses œuvres. Certaines de ces histoires sont plutôt sérieuses comme Hotel – Since A.D. 2079 avec un discours écologique, d’autres sont plus farfelues, comme Rien que pour les thons ou se rapprochent plus du fantastique comme La légende de la nuit qui aurait sa place dans les Contes des mille et une nuits. Au final, on a un recueil plus ou moins intéressant, plus ou moins équilibré (dans la quantité et la teneur) qui plaira aux amateurs de science-fiction et surtout aux fans de l’auteur. On reconnaît bien la patte graphique de Boichi, qui, il faut bien le reconnaître, est particulièrement doué en la matière.
- 4 commentaires
-
- manga
- science-fiction
-
(et 1 en plus)
Étiqueté avec :
-
Titre de l'album : Flux Scenariste de l'album : Jop Dessinateur de l'album : Jop Coloriste : Jop Editeur de l'album : Ankama Note : Résumé de l'album : Sur la petite planète [P-412], Tildä No explore des terres stériles à la recherche de minéraux rares. Jeune chercheuse fraîchement recrutée par une compagnie d'énergie, c'est au cours d'une mission qu'elle croise le chemin de San Williams, vieux poète en exil. Leur destin bascule lorsqu'une tempête diluvienne aux effets spectaculaires s'abat sur eux. Rescapés du crash de leur véhicule, ils reprennent connaissance au milieu d'un paysage transformé. Et si les dunes ont mystérieusement laissé place à des marécages luxuriants, le décor n'est pas le seul à avoir subi les influences de l'orage... Leurs corps également métamorphosés, Tildä et San devront comprendre et trouver des réponses. S'ensuit un périple entre poésie et science où l'animal, le végétal, l'évolution, la survie ou la mort sont contenus dans une seule goutte de pluie... Critique : C'est un assez beau voyage que nous propose Jop avec la rencontre de personnages hétéroclites dans un univers qui va bouleverser de nombreux à priori ! Le titre "Flux" va prendre tout son sens au fil de la lecture, en se multipliant sous divers facettes. Tout d'abord le flux de découverte, avec notre héroïne Tildä missionnée par une grande compagnie énergétique pour y effectuer des relevés et diverses analyses des sols. Un évènement climatique inattendu avec une averse de pluie accompagnée de multiples orages va bouleverser les certitudes de la jeune exploratrice. Les paysages auparavant désertiques de cette planète vont de façon soudaine se transformer en campagnes verdoyantes et marécageuses. Sa rencontre avec un poète volontairement égaré, et la transformation de leurs corps va les pousser à entreprendre un flux migratoire vers la civilisation pour tenter de comprendre ces phénomènes extraordinaires. Flux temporel ensuite avec des colons vieillissants ou rajeunissants, voire métamorphosés en animaux. Mais aussi flux gravitationnel avec une mystérieuse boule noire lévitant, accompagnée d'une silhouette extra-terrestre suivant notre duo déboussolé ! Pour illustrer ce monde mystérieux, Jop réalise des planches à l'aquarelle en couleurs directes et charge en lavis les ciels ombrageux. Il impose une couleur dominante adaptée aux paysages rencontrés et aux variations de climat, cela renforce l'immersion du lecteur, un flux de couleurs judicieux 😉 . Le noir et blanc s'invite dans des double-pages illustrant une vieille dame prenant soin de son jardin, qui est-elle, quand est-elle ?? Un flux de mystères s'invite à son tour ! Laissez-vous entrainer dans ce flux de lecture aux côtés de Tildä et le poète San dans cette odyssée temporo-écologique favorisant la réflexion sur de nombreux sujets 😉 . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/flux/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
- 3 réponses
-
- bd
- science-fiction
-
(et 2 en plus)
Étiqueté avec :
-
C'est un assez beau voyage que nous propose Jop avec la rencontre de personnages hétéroclites dans un univers qui va bouleverser de nombreux à priori ! Le titre "Flux" va prendre tout son sens au fil de la lecture, en se multipliant sous divers facettes. Tout d'abord le flux de découverte, avec notre héroïne Tildä missionnée par une grande compagnie énergétique pour y effectuer des relevés et diverses analyses des sols. Un évènement climatique inattendu avec une averse de pluie accompagnée de multiples orages va bouleverser les certitudes de la jeune exploratrice. Les paysages auparavant désertiques de cette planète vont de façon soudaine se transformer en campagnes verdoyantes et marécageuses. Sa rencontre avec un poète volontairement égaré, et la transformation de leurs corps va les pousser à entreprendre un flux migratoire vers la civilisation pour tenter de comprendre ces phénomènes extraordinaires. Flux temporel ensuite avec des colons vieillissants ou rajeunissants, voire métamorphosés en animaux. Mais aussi flux gravitationnel avec une mystérieuse boule noire lévitant, accompagnée d'une silhouette extra-terrestre suivant notre duo déboussolé ! Pour illustrer ce monde mystérieux, Jop réalise des planches à l'aquarelle en couleurs directes et charge en lavis les ciels ombrageux. Il impose une couleur dominante adaptée aux paysages rencontrés et aux variations de climat, cela renforce l'immersion du lecteur, un flux de couleurs judicieux 😉 . Le noir et blanc s'invite dans des double-pages illustrant une vieille dame prenant soin de son jardin, qui est-elle, quand est-elle ?? Un flux de mystères s'invite à son tour ! Laissez-vous entrainer dans ce flux de lecture aux côtés de Tildä et le poète San dans cette odyssée temporo-écologique favorisant la réflexion sur de nombreux sujets 😉 .
- 3 commentaires
-
- bd
- science-fiction
-
(et 2 en plus)
Étiqueté avec :
-
Titre de l'album : Conquêtes Tome 9 - Sahondra Scenariste de l'album : Olivier Peru Dessinateur de l'album : Louis et Kyko Duarte Coloriste : Olivier Héban Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Après soixante ans de voyage, l'armada africaine est à bout, elle doit débarquer sur Sahondra. Une planète paradisiaque régie par une absurdité biologique : aucune créature n'y mesure plus de quelques centimètres. Qu'est-ce qui tue et régule la biomasse animale ? Un virus ? Une forme de vie inconnue ? Kenya, biologiste de génie, doit percer ce mystère, sinon les siens mourront en exil. Critique : Allez c'est reparti pour un nouveau tome de Conquêtes, la série aux one shot sur un thème unique: "La survie des civilisations Terrestres dépend des vaisseaux de colonisations envoyés vers des planètes lointaines et incertaines." Avec ce tome nous partons cette fois avec les civilisations africaines à la découverte de Sahondra, planète superbe, mais comme d'habitude tout ne va pas se passer comme sur des roulettes et les protagonistes vont passer pas de multiples péripéties avant d'arriver à la planche finale de ce tome assez copieux (plus de 60 pages). Cette fable écologique, est encore une fois plutôt bien réussie. On retrouve des enjeux moraux entre un pouvoir militaire, civil, et des IA qui font cette fois aussi partie du voyage. La planète pourrait être une partie de l’Afrique (végétation, plan d'eau, ciel bleu et soleil...) et le bestiaire africain est lui aussi sur l'arche que constitue le vaisseau, et va débarquer en même temps sur la planète (singes, lions, antilopes...) Scénaristiquement, j'aime beaucoup. Je trouve ça malin et ça arrive à renouveler le thème un peu identique, tout de même, de tous les précédant tomes de la série avec brio. Tout en étant curieusement d'actualité.... Je n'en dirais pas plus pour ne pas spoiler. Petit bémol personnel sur le rendu graphique que je trouve un peu terne sur la plupart des planches sur la planète (ça s'explique aussi par l'histoire) et le design pas spécialement inspiré de la partie vaisseau dont on ne voit pas grand chose... Les planches pêchent un peu sur les tons utilisées également je trouve. Ca manque un peu de diversité au final. Mais bon, un très bon tome. Autres infos : Ne respirez jamais avant d'avoir fait bouillir votre air ! Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/conquetes-tome-9-sahondra?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
- 15 réponses
-
- 1
-
-
Titre de l'album : Dakota - Héritage mécanique Scenariste de l'album : Jacopo Paliaga Dessinateur de l'album : Maurizia Rubino Coloriste : Maurizia Rubino Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Il y a trois cents ans, un chaman mis au monde une créature hors du commun : un mécha. Aujourd'hui, ces objets mécaniques font pleinement partie du quotidien des humains. Lorsqu'un jour, en sortant de son école, Dakota tombe nez à nez avec Woody, le tout premier mécha. Ce qu'elle ignore au moment de cette rencontre, c'est qu'elle deviendra la nouvelle cible d'hommes souhaitant s'emparer de Woody. Une véritable chasse à l'homme ou plutôt au mécha est lancée. Mais qui des deux clans s'en sortira ? Critique : Jacopo Paliaga, l'auteur de la saga The frontier parue au Lombard, propose une nouvelle aventure mêlant méchas et humains dans un futur proche. On y découvre Dakota et son amie April dans leurs turpitudes d'adolescentes, famille, lycée, amitiés, jalousies, bref le quotidien des jeunes de cet âge. Un évènement va venir bouleverser leur quotidien : la venue d'un mécha non répertorié semblant attiré par Dakota et ses origines indiennes. Ensemble, elles vont tenter de percer son secret, mais elles ne sont pas seules ! Car dans l'ombre, le puissant dirigeant d'une entreprise hightech qui s'avère être aussi le père d'une camarade de classe assez teigneuse, se montre plus qu'intéressé par ce curieux mécha au look et aux pouvoirs différents. Une aventure menée tambours battants, au style "manga" avec des couleurs vives. On y décèle de nombreuses influences de "culture pop" avec ces méchas et autres robots dirigés par un humain, la grosse société cachant ses véritables intentions, et l'entourage familial de l'héroïne dissimulant ses secrets. Une lecture adressée aux ados, on est pleinement dans le public ciblé de l'éditeur Jungle. La fin, nimbée de mystères annonce un second tome "révélateur" ! A suivre donc 🙂 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dakota/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Jacopo Paliaga, l'auteur de la saga The frontier parue au Lombard, propose une nouvelle aventure mêlant méchas et humains dans un futur proche. On y découvre Dakota et son amie April dans leurs turpitudes d'adolescentes, famille, lycée, amitiés, jalousies, bref le quotidien des jeunes de cet âge. Un évènement va venir bouleverser leur quotidien : la venue d'un mécha non répertorié semblant attiré par Dakota et ses origines indiennes. Ensemble, elles vont tenter de percer son secret, mais elles ne sont pas seules ! Car dans l'ombre, le puissant dirigeant d'une entreprise hightech qui s'avère être aussi le père d'une camarade de classe assez teigneuse, se montre plus qu'intéressé par ce curieux mécha au look et aux pouvoirs différents. Une aventure menée tambours battants, au style "manga" avec des couleurs vives. On y décèle de nombreuses influences de "culture pop" avec ces méchas et autres robots dirigés par un humain, la grosse société cachant ses véritables intentions, et l'entourage familial de l'héroïne dissimulant ses secrets. Une lecture adressée aux ados, on est pleinement dans le public ciblé de l'éditeur Jungle. La fin, nimbée de mystères annonce un second tome "révélateur" ! A suivre donc 🙂
-
Titre de l'album : Mekka Nikki - tome 2 Scenariste de l'album : Exaheva Dessinateur de l'album : Félix Laurent Coloriste : Editeur de l'album : Les humanoides associés Note : Résumé de l'album : Les habitants du Terrier peuvent désormais compter sur Nikki et Perko pour leur fournir le carburant qui fera décoller leur vaisseau. Alors qu’ils préparent leur départ, des tensions fragilisent la communauté, qui s’apprête à subir une attaque d’une ampleur encore jamais vue. Critique : Après avoir retrouvé son père , Nikki va en découvrir un peu plus sur son passé et les raisons qui ont mené son paternel à tout quitter . Mais elle va aussi en apprendre d'avantage sur les enjeux du conflit malmenant sa planète . Un second tome riche en révélations avec de nombreux sauts dans le passé , notamment sur la planète Lorunis , berceau de la révolte en cours . Les auteurs ont ceci dit l'adresse de semer encore des pistes scénaristiques supplémentaires à explorer dans les deux tomes futurs . Le rythme est toujours aussi soutenu , les événements s'enchainent à toute allure , Exaheva donne beaucoup de dynamisme au scénario , rares sont les temps morts ! D'autant qu'avec cette fin , l'attente de la suite prévue en septembre va vous paraître longue 😉 . Félix Laurent réalise quand à lui des planches dans son style bien à lui . Malgré la quantité importante de personnages , on les reconnait sans problème , même ceux que l'on redécouvre jeune avec les flashbacks . On sent que le dessinateur prend un réel plaisir à créer des robots et autres machines pour dépeindre cet univers . Une série prévue en 4 tomes , les prochaines parutions sont prévues en septembre et octobre 2024 . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mekka-nikki-tome-2/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Après avoir retrouvé son père , Nikki va en découvrir un peu plus sur son passé et les raisons qui ont mené son paternel à tout quitter . Mais elle va aussi en apprendre d'avantage sur les enjeux du conflit malmenant sa planète . Un second tome riche en révélations avec de nombreux sauts dans le passé , notamment sur la planète Lorunis , berceau de la révolte en cours . Les auteurs ont ceci dit l'adresse de semer encore des pistes scénaristiques supplémentaires à explorer dans les deux tomes futurs . Le rythme est toujours aussi soutenu , les événements s'enchainent à toute allure , Exaheva donne beaucoup de dynamisme au scénario , rares sont les temps morts ! D'autant qu'avec cette fin , l'attente de la suite prévue en septembre va vous paraître longue 😉 . Félix Laurent réalise quand à lui des planches dans son style bien à lui . Malgré la quantité importante de personnages , on les reconnait sans problème , même ceux que l'on redécouvre jeune avec les flashbacks . On sent que le dessinateur prend un réel plaisir à créer des robots et autres machines pour dépeindre cet univers . Une série prévue en 4 tomes , les prochaines parutions sont prévues en septembre et octobre 2024 .
-
Titre de l'album : La Légion sombre Scenariste de l'album : Louis Dessinateur de l'album : Erwan Seure - Lebihan Coloriste : Erwan Seure - Lebihan Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : En quête permanente de recrues et de défis et sous l'égide de son chef suprême, Reid Eckart, l'armée d'I.S.S. Snipers s'est rebaptisée : « la Légion Sombre ». Dans cet univers sans espoir où seuls les plus forts survivent, Erioch prendra sous son aile Khali et leur rivalité s'étalera sur des années. La Légion Sombre semble quant à elle, sur le point d'éradiquer la dernière poche de résistance. Critique : Bon la Légion sombre s'adresse aux fans inconditionnels de ISS SNipers. Guerriers surpuissants, morale douteuse, montée en puissance, pouvoirs limite surnaturels, le tout dans un univers de sf en guerre permanente. Ce n'est pas très fin, cela donne suite directement aux derniers tomes de iss snipers, et les amateurs ne seront pas déboussolés pour deux sous par ce nouvel opus puisqu'on retrouve les mêmes personnages, le même univers, et que cela se passe directement après la fin de iss snipers. Graphiquement cela reste très joli, c'est de la belle sf, comme soleil sait bien le faire. Côté histoire là je vais être plus mesuré car c'est aussi vite lu qu'oublié. Pour développer un peu, ce que je trouve dommage dans cet univers de méchants surpuissants c'est que globalement cela manque un peu de finesse et que le "toujours plus méchant et sans coeur" montre vite ses limites. Les persos ne sont pas franchement attachants, et les méchants manquent de nuances. En résumé, cette série a pour moi les mêmes défauts et qualités qu'ISS Snipers... A réserver donc aux amateurs de cette dernière, pour les autres, je conseille plutôt de commencer par Conquêtes. Autres infos : Suite de ISS SNipers Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-legion-sombre-iss-snipers?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
- 5 réponses
-
- bd
- science-fiction
-
(et 2 en plus)
Étiqueté avec :
-
Bon la Légion sombre s'adresse aux fans inconditionnels de ISS SNipers. Guerriers surpuissants, morale douteuse, montée en puissance, pouvoirs limite surnaturels, le tout dans un univers de sf en guerre permanente. Ce n'est pas très fin, cela donne suite directement aux derniers tomes de iss snipers, et les amateurs ne seront pas déboussolés pour deux sous par ce nouvel opus puisqu'on retrouve les mêmes personnages, le même univers, et que cela se passe directement après la fin de iss snipers. Graphiquement cela reste très joli, c'est de la belle sf, comme soleil sait bien le faire. Côté histoire là je vais être plus mesuré car c'est aussi vite lu qu'oublié. Pour développer un peu, ce que je trouve dommage dans cet univers de méchants surpuissants c'est que globalement cela manque un peu de finesse et que le "toujours plus méchant et sans coeur" montre vite ses limites. Les persos ne sont pas franchement attachants, et les méchants manquent de nuances. En résumé, cette série a pour moi les mêmes défauts et qualités qu'ISS Snipers... A réserver donc aux amateurs de cette dernière, pour les autres, je conseille plutôt de commencer par Conquêtes.
- 5 commentaires
-
- bd
- science-fiction
-
(et 2 en plus)
Étiqueté avec :
-
Après deux années d'attente, nous pouvons lire la suite d'Europa, la nouvelle série de science-fiction de Léo et Rodolphe, deux scénaristes chevronnés dans Ce registre. L'histoire se scinde en deux parties distinctes. Une histoire se déroule sur Terre, avec plusieurs intrigues dont celle avec un nouveau gourou qui remet en question la science et même les voyages spatiaux. On peut suivre également l'enquête d'un inspecteur sur la mort d’un proche du pape ou un journaliste en quête de réponses dans les sphères fermée de l'église catholique. La seconde histoire se déroule sur la base Europa située sur la quatrième lune de Jupiter, avec de l’exploration dans une ambiance plus SF. Les intrigues sont multiples et l'on avance pour connaitre toutes les ramifications. Les dessins de Zoran Janjetov sont dans un style classique même si l'auteur est à l'aise dans les décors et vaisseaux, les visages semblent crispés dans l'action sur quelqeus cases. Europa continu de passionner surtout avec les découvertes des personnages dans la base Europa où règne une ambiance paranoïaque, comme tous les personnages se suspectes.
-
Titre de l'album : Europa tome 2 Scenariste de l'album : Léo & Rodolphe Dessinateur de l'album : Zoran Janjetov Coloriste : Zoran Janjetov Jr Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Personne ne sait ce qu'il est advenu des équipes envoyées successivement sur Europa. La possibilité d'un sabotage devient de plus en plus probable. Pendant ce temps sur Terre une foule de dévots créationnistes crient au complot et croient dénoncer la mascarade qui prétend que l'on peut envoyer un homme dans l'espace. Pourtant il y a bien des hommes sur Europa et ils ont besoin d'aide. Critique : Après deux années d'attente, nous pouvons lire la suite d'Europa, la nouvelle série de science-fiction de Léo et Rodolphe, deux scénaristes chevronnés dans Ce registre. L'histoire se scinde en deux parties distinctes. Une histoire se déroule sur Terre, avec plusieurs intrigues dont celle avec un nouveau gourou qui remet en question la science et même les voyages spatiaux. On peut suivre également l'enquête d'un inspecteur sur la mort d’un proche du pape ou un journaliste en quête de réponses dans les sphères fermée de l'église catholique. La seconde histoire se déroule sur la base Europa située sur la quatrième lune de Jupiter, avec de l’exploration dans une ambiance plus SF. Les intrigues sont multiples et l'on avance pour connaitre toutes les ramifications. Les dessins de Zoran Janjetov sont dans un style classique même si l'auteur est à l'aise dans les décors et vaisseaux, les visages semblent crispés dans l'action sur quelqeus cases. Europa continu de passionner surtout avec les découvertes des personnages dans la base Europa où règne une ambiance paranoïaque, comme tous les personnages se suspectes. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/europa-tome-2/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Titre de l'album : Inexistences Scenariste de l'album : Christophe Bec Dessinateur de l'album : Christophe Bec Coloriste : Sebastien Gerard Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Dans les montagnes perdues, tout n'est que désolation. Les survivants errent dans un paysage désolé où ne subsistent que des ruines prises dans les glaces. De grands cataclysmes ont soumis la planète à d'interminables hivers. Il existerait pourtant un sanctuaire où vivrait un enfant bleu, qui aurait conservé la mémoire des temps anciens. Une légende que va tenter de vérifier le sniper nommé Sol. Critique : Ouf, celle là je l'avais pas vue venir. La préface de Bec explique bien que cet Inexistence est son Oeuvre. Celle qu'il voulait faire depuis longtemps, celle qu'il a mis 5 ans à peaufiner, avec à l'esprit ce qu'on pu apporter Enki Bilal, Moebius ou Druillet à la bd. Bon forcément avec cette ambition là, ce temps là, et le talent que l'on ne peut que reconnaitre à Christophe Bec, on sait que l'on va avoir quelque chose de remarquable entre les mains. C'est le cas, pas de doutes, Inexistences va marquer. Par contre attention, je le dis rapidement pour lever le doute, il ne faut pas s'attendre à lire de la bd classique. Non pas à cause des mélanges de narrations, du passage de la prose à la bd, ou à l'illustration pure et simple, non. Mais plutôt car Christophe Bec ne va pas vraiment s'attacher à nous livrer une histoire, ou des personnages. Il nous livre plutôt ses craintes ou sa vision d'un monde futur désastreux pour l'humanité. Son final est d'ailleurs plus philosophique qu'autre chose, et nous pose une question qui me semble essentielle. Il voulait marquer de son empreinte la bd, je ne sais pas dire si c'est fait car son oeuvre est à la fois plus que de la bd, tout en n'en perdant quelques qualités au passage. Si l'univers graphique et les doubles planches et autres plans extra larges, mis en avant par une édition remarquable, sont époustouflants et portent la marque d'un grand maître, j'ai pour ma part trouvé dommage que Christophe Bec n'en profite pas pour nous raconter une sacrée histoire. Comme s'il avait fallut quelque part s'extirper de son côté populaire et romanesque pour pouvoir rentrer dans l'histoire de l'art. Dommage donc tant il nous a déjà prouvé ses talents de narrateur hors pair. Mais ne vous y trompez pas, si je fais un peu la fine bouche c'est pour vous avertir, pour vous éviter une éventuelle déception sur la nature de ce livre, qui tient plus du roman graphique finalement que de la bd franco belge. Ceci étant dit, foncez, ouvrez le en librairies, laissez vous emporter, allez découvrir ce joyau. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/inexistences?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
- 13 réponses
-
- 1
-
-
- roman graphique
- bd
-
(et 6 en plus)
Étiqueté avec :
-
Ouf, celle là je l'avais pas vue venir. La préface de Bec explique bien que cet Inexistence est son Oeuvre. Celle qu'il voulait faire depuis longtemps, celle qu'il a mis 5 ans à peaufiner, avec à l'esprit ce qu'on pu apporter Enki Bilal, Moebius ou Druillet à la bd. Bon forcément avec cette ambition là, ce temps là, et le talent que l'on ne peut que reconnaitre à Christophe Bec, on sait que l'on va avoir quelque chose de remarquable entre les mains. C'est le cas, pas de doutes, Inexistences va marquer. Par contre attention, je le dis rapidement pour lever le doute, il ne faut pas s'attendre à lire de la bd classique. Non pas à cause des mélanges de narrations, du passage de la prose à la bd, ou à l'illustration pure et simple, non. Mais plutôt car Christophe Bec ne va pas vraiment s'attacher à nous livrer une histoire, ou des personnages. Il nous livre plutôt ses craintes ou sa vision d'un monde futur désastreux pour l'humanité. Son final est d'ailleurs plus philosophique qu'autre chose, et nous pose une question qui me semble essentielle. Il voulait marquer de son empreinte la bd, je ne sais pas dire si c'est fait car son oeuvre est à la fois plus que de la bd, tout en n'en perdant quelques qualités au passage. Si l'univers graphique et les doubles planches et autres plans extra larges, mis en avant par une édition remarquable, sont époustouflants et portent la marque d'un grand maître, j'ai pour ma part trouvé dommage que Christophe Bec n'en profite pas pour nous raconter une sacrée histoire. Comme s'il avait fallut quelque part s'extirper de son côté populaire et romanesque pour pouvoir rentrer dans l'histoire de l'art. Dommage donc tant il nous a déjà prouvé ses talents de narrateur hors pair. Mais ne vous y trompez pas, si je fais un peu la fine bouche c'est pour vous avertir, pour vous éviter une éventuelle déception sur la nature de ce livre, qui tient plus du roman graphique finalement que de la bd franco belge. Ceci étant dit, foncez, ouvrez le en librairies, laissez vous emporter, allez découvrir ce joyau.
- 13 commentaires
-
- 1
-
-
- roman graphique
- bd
-
(et 6 en plus)
Étiqueté avec :
-
Bonjour, Je recherche surtout des retours et des gens avec qui partager mes idées de futures épisodes 🙂 ! Qui suis-je? Je vis au Pays de Galles et je me suis mis sérieusement au dessin il y a 2 ans et demi. A l' époque, je programmais beaucoup trop: j'avais sorti mon premier jeux vidéo sur Steam en parallèle de mon boulot de data scientist. Du coup, mes mains/doigts avaient besoin d'une pause. Après avoir tenté de monter un portfolio pour devenir illustrateur pour enfants, je me suis mis à la bande dessinée en tant que hobby. Mon expérience en BD? J' ai lu beaucoup de BDs pendant mon enfance (des Schtroumpfs à Blacksad, en passant par les Meta-barons). Aprés une grande période de jachère (oú je programmais beaucoup), je me remets doucement à redécouvrir les comics et les BD, et le goût du dessin. J'ai fait une premiére planche de John Space en Anglais, pour découvrir la chaine de production et les outils (ex: Clip Studio Paint). Et ensuite je me suis lancé dans ce nouvel épisode de 5 pages. Qu'est ce que John Space? Je pourrais écrire un long post à propos de John Space. En quelque mots, l'idée de John Space est de faire des épisodes bourrées d'action, tout en amenant le lecteur, par le biais de la science-fiction, à une réflection sur l' aptitude des humains à créer des civilisations durables et en équilibre avec leur environment. Ce premier épisode ne fait qu' éfleurer cette idée. Les retours et critiques constructives sont les bienvenus! j'aimerais beaucoup faire un second épisode et profiter de l'occasion pour améliorer ma technique (ex: création d' histoire prenante, composition, plan de caméra, character design, etc). Merci pour votre lecture et à bientôt!
- 9 réponses
-
- sci-fi
- science-fiction
-
(et 1 en plus)
Étiqueté avec :
-
Je n'ai pas consulté le résumé de cette histoire avant de m'y plonger . Je dois bien avouer ne pas connaître l'écrivaine Lois Lowry et encore moins ce roman sorti en 1994 et adapté au cinéma en 2014 sous le nom The giver . C'est donc avec un regard neuf et curieux que j'ai découvert cette société aux codes bien particuliers . Oubliez notre mode de vie occidental judéo-chrétien , ici tout est nouveau , du vocabulaire employé au mode de vie ! Une société dystopique dépeinte avec brio par le dessinateur Russel en noir et blanc , mais pas que 😉 . Il est nécessaire d'accepter de ne rien comprendre en début de lecture. et découvrir ce récit centré sur Jonas . On saisit très vite les limites de ce monde à travers le fonctionnement des cellules familiales ou encore les rôles de chacun , le tout étant de comprendre : pourquoi ? Que cache cette société qui semble parfaite de prime abord ? Russel parvient à instaurer une réelle ambiance avec son trait européen et son découpage dynamique . Vous verrez que même ce choix de bichromie n'est pas une volonté de l'artiste , mais un symbole en respect avec le roman . Une adaptation de talent , faite par un auteur complet , ayant déjà travaillé avec Neil Gaiman entre autres et récompensé aux Eisner . Le tout étant de se laisser porter par la lecture , rassurez-vous , tout "s'éclaircira" à la fin 😉 .
-
- bd
- science-fiction
-
(et 3 en plus)
Étiqueté avec :
-
Titre de l'album : Le passeur Scenariste de l'album : Lois Lowry Dessinateur de l'album : P. Craig Russel Coloriste : P. Craig Russel Editeur de l'album : Philéas Note : Résumé de l'album : Lorsque Jonas aura douze ans, il se verra attribuer, comme tous les enfants de son âge, sa future fonction dans la communauté. Dans le monde où vit Jonas, la guerre, la pauvreté, le chômage, le divorce n'existent pas. Les inégalités n'existent pas. La désobéissance et la révolte n'existent pas. Jonas ne sait pas encore qu'il est unique... L'harmonie règne dans la communauté. Les cellules familiales sont constituées avec soin par le comité des sages. Les personnes trop âgées, ainsi que les nouveau-nés inaptes sont " déliés ", personne ne sait exactement ce que cela veut dire. Dans la communauté, une seule personne détient véritablement le savoir : le Receveur de Mémoire. Lui seul sait comment était le monde quand il y avait encore des animaux, quand l'oeil humain pouvait voir les couleurs, quand les gens tombaient amoureux. Mêlant science-fiction et philosophie, Lois Lowry signe un roman envoûtant d'une incroyable densité, dans un style très particulier, où les genres cohabitent. La réflexion profonde, intelligente et sensible du récit original est ici parfaitement retranscrite dans l'adaptation de P. Craig Russel. Critique : Je n'ai pas consulté le résumé de cette histoire avant de m'y plonger . Je dois bien avouer ne pas connaître l'écrivaine Lois Lowry et encore moins ce roman sorti en 1994 et adapté au cinéma en 2014 sous le nom The giver . C'est donc avec un regard neuf et curieux que j'ai découvert cette société aux codes bien particuliers . Oubliez notre mode de vie occidental judéo-chrétien , ici tout est nouveau , du vocabulaire employé au mode de vie ! Une société dystopique dépeinte avec brio par le dessinateur Russel en noir et blanc , mais pas que 😉 . Il est nécessaire d'accepter de ne rien comprendre en début de lecture. et découvrir ce récit centré sur Jonas . On saisit très vite les limites de ce monde à travers le fonctionnement des cellules familiales ou encore les rôles de chacun , le tout étant de comprendre : pourquoi ? Que cache cette société qui semble parfaite de prime abord ? Russel parvient à instaurer une réelle ambiance avec son trait européen et son découpage dynamique . Vous verrez que même ce choix de bichromie n'est pas une volonté de l'artiste , mais un symbole en respect avec le roman . Une adaptation de talent , faite par un auteur complet , ayant déjà travaillé avec Neil Gaiman entre autres et récompensé aux Eisner . Le tout étant de se laisser porter par la lecture , rassurez-vous , tout "s'éclaircira" à la fin 😉 . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-passeur-9782385020194/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
- bd
- science-fiction
-
(et 3 en plus)
Étiqueté avec :
-
Titre de l'album : Attraction Scenariste de l'album : Jerry Frissen Dessinateur de l'album : Roberto Zaghi Coloriste : Ive Zvorcina Editeur de l'album : Les humanoides associés Note : Résumé de l'album : C'est l'aube d'une ère nouvelle pour l'humanité : le premier contact avec une civilisation extraterrestre, les Eo'Tarx, est établi. Danko Orton fait partie de la délégation humaine envoyée pour étudier et communiquer avec ce peuple. Il rencontre No'Mi son homologue Alien. Mais leur travail se trouve rapidement perturbé lorsque que No'mi et Danko s'attachent l'un à l'autre quitte à mettre l'échange entre leurs deux civilisations en péril. Critique : Ayant déjà travaillé sur de la SF avec le mythique Jodorowsky sur la suite du Méta-baron , Jerry Frissen s'est lancé en solitaire dans cette aventure spatiale . En lisant le pitch , vous allez vous dire qu'il s'agit d'un mélange des films : Rencontre du 3ème type , et Arrival . On discerne effectivement un peu de ces productions cinématographiques , mais il y ajoute un fort côté psychologique et surtout l'amour avec un grand A . Le linguiste Danko Orton et son interlocutrice extraterrestre No'Mi vont effectivement tomber amoureux au fil de leurs échanges . Une formidable attraction à laquelle ils vont succomber , les entrainant dans des tumultes absolument pas envisagés par leurs directions respectives . Quelles sont les prérogatives de ce peuple venant du confins de l'univers (ou d'un autre 😉 ) ? Les Eo'Tarx sont aussi bien plus avancés que nous dans les domaines technologiques , sont-ils une menace ? L'auteur ménage le suspens et utilise l'histoire d'amour comme fil conducteur au récit , dévoilant les secrets et ambitions de chacun des protagonistes . La rencontre et les interactions sociales entre ces deux peuples humanoïdes sont très bien pensées . L'histoire , le ton donné, et l'originalité du monde des "aliens" sont bien évidemment les atouts principaux de ce one-shot . J'ai en revanche de petites réserves sur le dessin assez inégal . Les parties "spatiales" sont très bien réalisées , mais l'artiste peine sur les phases intramuros pauvres en détails , ainsi que sur certaines expressions faciales des protagonistes . Cependant ,tout ceci est gommé par un travail graphique des plus original sur les scènes extra-planétaires . La vison donnée de cette civilisation et son décorum, regorge d'idées neuves , on peut donc féliciter les auteurs pour cela . Créer et divertir avec ce genre de postulat devient de plus en plus difficile , ce vent de fraîcheur est donc des plus réjouissant . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/attraction-9782731669855/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
- 4 réponses
-
- bd
- science-fiction
-
(et 2 en plus)
Étiqueté avec :
-
Ayant déjà travaillé sur de la SF avec le mythique Jodorowsky sur la suite du Méta-baron , Jerry Frissen s'est lancé en solitaire dans cette aventure spatiale . En lisant le pitch , vous allez vous dire qu'il s'agit d'un mélange des films : Rencontre du 3ème type , et Arrival . On discerne effectivement un peu de ces productions cinématographiques , mais il y ajoute un fort côté psychologique et surtout l'amour avec un grand A . Le linguiste Danko Orton et son interlocutrice extraterrestre No'Mi vont effectivement tomber amoureux au fil de leurs échanges . Une formidable attraction à laquelle ils vont succomber , les entrainant dans des tumultes absolument pas envisagés par leurs directions respectives . Quelles sont les prérogatives de ce peuple venant du confins de l'univers (ou d'un autre 😉 ) ? Les Eo'Tarx sont aussi bien plus avancés que nous dans les domaines technologiques , sont-ils une menace ? L'auteur ménage le suspens et utilise l'histoire d'amour comme fil conducteur au récit , dévoilant les secrets et ambitions de chacun des protagonistes . La rencontre et les interactions sociales entre ces deux peuples humanoïdes sont très bien pensées . L'histoire , le ton donné, et l'originalité du monde des "aliens" sont bien évidemment les atouts principaux de ce one-shot . J'ai en revanche de petites réserves sur le dessin assez inégal . Les parties "spatiales" sont très bien réalisées , mais l'artiste peine sur les phases intramuros pauvres en détails , ainsi que sur certaines expressions faciales des protagonistes . Cependant ,tout ceci est gommé par un travail graphique des plus original sur les scènes extra-planétaires . La vison donnée de cette civilisation et son décorum, regorge d'idées neuves , on peut donc féliciter les auteurs pour cela . Créer et divertir avec ce genre de postulat devient de plus en plus difficile , ce vent de fraîcheur est donc des plus réjouissant .
- 4 commentaires
-
- bd
- science-fiction
-
(et 2 en plus)
Étiqueté avec :
-
Paris Fan Festival - 15 & 16 avril - Paris Porte de Versailles, pavillon 6
Nickad a posté un évènement du calendrier dans Community Calendar
jusqu’àEncore un super salon pour le week-end à venir si vous êtes en région parisienne De nombreux invités et un programme chargé à découvrir ci-dessous et sur le site officiel Paris Fan Festival - Evènement du 15 au 16 Avril 2023- 1 commentaire
-
- 1
-