Toute l’activité
- Aujourd’hui
-
Nickad a commencé à suivre Le pauvre bêta ne connaît pas l'amour tomes 1 & 2 , No-Go Zone X tome 1 , Blood-crawling princess tome 1 et 3 autres
-
Titre de l'album : No-Go Zone X tome 1 Scenariste de l'album : Romy Oishi Dessinateur de l'album : Meshe Coloriste : Editeur de l'album : Omaké Note : Résumé de l'album : Ryoka, une lycéenne, se réveille un beau matin et comprend rapidement qu'elle est seule, bloquée à l'intérieur de son immeuble dont tous les accès ont été fermés. D'après un message de sa mère se trouvant à l'extérieur, une mystérieuse créature appelée « X » se trouve dans leur appartement... Comment va-t-elle pouvoir s'enfuir ? Quelqu'un peut-il l'aider ? Et surtout, pourquoi Ryoka est-elle la seule à être restée enfermée dans cet immeuble ? Critique : Vous aimez Sweet Home ? Vous aimerez ce manga, enfin sauf si vous voulez un scénario original car les deux se ressemblent quand même beaucoup. Quand Ryôka se réveille de sa sieste, elle est seule dans son appartement mais pas dans son immeuble ! Un monstre géant s’est accolé au bâtiment, un monstre terrifiant qui attaque dès qu’il vous voit. Et c’est ainsi qu’elle mourut. Quand elle se réveille la seconde fois, elle est revenue au point de départ (son premier réveil) avec les souvenirs de la journée passée. Même si elle a du mal à y croire, elle essaye d’anticiper les événements et surtout échapper au monstre. Heureusement elle n’est pas seule dans l’immeuble et Shûhei, un camarade de classe et ami d’enfance, est aussi présent. Mais hélas, cette régression est accompagnée d’un changement important : ce n’est plus le même monstre ! Et c’est ainsi qu‘ils moururent ! Dans chaque boucle, de petits changements se produisent qui amèneront peut-être Ryôka vers le salut. On est dans une ambiance assez sombre où très peu d’informations sont données, ce qui fait que l’on ne sait jamais à quoi s’attendre. La série est finie en 3 tomes et ça c’est une bonne nouvelle car certains mangas ont tendance à trainer en longueur pour pas grand-chose. A suivre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/no-go-zone-x-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Vous aimez Sweet Home ? Vous aimerez ce manga, enfin sauf si vous voulez un scénario original car les deux se ressemblent quand même beaucoup. Quand Ryôka se réveille de sa sieste, elle est seule dans son appartement mais pas dans son immeuble ! Un monstre géant s’est accolé au bâtiment, un monstre terrifiant qui attaque dès qu’il vous voit. Et c’est ainsi qu’elle mourut. Quand elle se réveille la seconde fois, elle est revenue au point de départ (son premier réveil) avec les souvenirs de la journée passée. Même si elle a du mal à y croire, elle essaye d’anticiper les événements et surtout échapper au monstre. Heureusement elle n’est pas seule dans l’immeuble et Shûhei, un camarade de classe et ami d’enfance, est aussi présent. Mais hélas, cette régression est accompagnée d’un changement important : ce n’est plus le même monstre ! Et c’est ainsi qu‘ils moururent ! Dans chaque boucle, de petits changements se produisent qui amèneront peut-être Ryôka vers le salut. On est dans une ambiance assez sombre où très peu d’informations sont données, ce qui fait que l’on ne sait jamais à quoi s’attendre. La série est finie en 3 tomes et ça c’est une bonne nouvelle car certains mangas ont tendance à trainer en longueur pour pas grand-chose. A suivre.
-
Titre de l'album : Blood-crawling princess tome 1 Scenariste de l'album : Yuki Azuma Dessinateur de l'album : Yuki Azuma Coloriste : Editeur de l'album : Kurokawa Note : Résumé de l'album : Ils l'ont traînée dans la boue, elle va faire couler leur sang. La princesse Evita menait une vie modeste mais heureuse dans son petit royaume jusqu'au jour où le pays voisin attaque sans préavis. Elle assiste, impuissante, au sac de ses terres et au massacre de sa famille. Seule survivante, Evita est vendue à une maison close, où elle devient la prostituée Priscilla. Alors qu'elle semble condamnée à une vie de torture aux mains du troisième fils du souverain, les cloches de la révolte sonnent enfin. Critique : Un grand empire désireux de conquêtes et de pouvoir envahit un jour le petit royaume paisible de Batalia, exterminant la population. Par miracle Evita, la princesse du royaume arrive à s’échapper et n’a pas d’autre choix que de vendre son corps pour survivre. Elle est donc devenue, sous le nom de Priscilla, l’une des courtisanes les plus prisées de la ville de San Missa, un endroit dédié au plaisir composé de maisons closes où les femmes y sont retenues contre leur gré jusqu’à leur mort. Mais Priscilla n’est pas la gentille idiote qu’elle laisse paraitre et elle fomente sa vengeance contre l’empire en entrainant dans son sillage toutes les femmes de la cité. Il est temps de lancer la contre-attaque ! Si dans The brave wish revenging, on a Raoul, le héros trahi, qui prend sa revanche de façon extrême, Evita est son pendant féminin. Une héroïne forte qui va frapper un grand coup (plusieurs même !) que ce soit contre l’empire mais surtout contre les hommes. Pour dire, Kurokawa a accompagné l’envoi du service de presse d’un casse-noix, je vous laisse deviner son utilisation :) ! C’est antitotalitarisme et anti-patriarcal à souhait !! Par contre, le manga est violent et à réserver à un public averti. Reste à voir si le scénario va tomber dans une accumulation de scènes choquantes (comme son pendant) ou s’il va proposer une trame plus constructive et intéressante. À suivre Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/blood-crawling-princess-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Un grand empire désireux de conquêtes et de pouvoir envahit un jour le petit royaume paisible de Batalia, exterminant la population. Par miracle Evita, la princesse du royaume arrive à s’échapper et n’a pas d’autre choix que de vendre son corps pour survivre. Elle est donc devenue, sous le nom de Priscilla, l’une des courtisanes les plus prisées de la ville de San Missa, un endroit dédié au plaisir composé de maisons closes où les femmes y sont retenues contre leur gré jusqu’à leur mort. Mais Priscilla n’est pas la gentille idiote qu’elle laisse paraitre et elle fomente sa vengeance contre l’empire en entrainant dans son sillage toutes les femmes de la cité. Il est temps de lancer la contre-attaque ! Si dans The brave wish revenging, on a Raoul, le héros trahi, qui prend sa revanche de façon extrême, Evita est son pendant féminin. Une héroïne forte qui va frapper un grand coup (plusieurs même !) que ce soit contre l’empire mais surtout contre les hommes. Pour dire, Kurokawa a accompagné l’envoi du service de presse d’un casse-noix, je vous laisse deviner son utilisation :) ! C’est antitotalitarisme et anti-patriarcal à souhait !! Par contre, le manga est violent et à réserver à un public averti. Reste à voir si le scénario va tomber dans une accumulation de scènes choquantes (comme son pendant) ou s’il va proposer une trame plus constructive et intéressante. À suivre
-
Titre de l'album : The world's finest assassin tomes 1 & 2 Scenariste de l'album : Rui Tsukiyo Dessinateur de l'album : Hamao Sumeragi Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Ayant la lourde et dure mission de tuer le héros qui provoquera la fin du monde, Lugh vise à devenir le meilleur assassin de l'histoire en mélangeant les compétences issues de son ancienne vie et la magie de ce monde. Voici l'histoire fantastique mêlant réincarnation et assassins ! Critique : J’ai découvert cette série par son anime que j’avais bien apprécié. Je n’ai pas été déçue par le manga, les deux sont cohérents que ce soit au niveau du graphisme ou du scénario. Notre héros était un assassin hors pair mais dans ce genre d’organisation, il n’y a pas de retraite (Comme pour Killer Peter !) : vous mourrez en mission ou vous êtes éliminé ! C’est ce qui s’est passé pour notre héros, il est mort lors de l’explosion d’un avion. Mais son profil intéressait la déesse d’un autre monde qui cherche des personnes capables d’éliminer le futur héros de son monde. Comme souvent, le héros surpuissant est un problème : soit il fait de l’ombre au roi en place soit il se lâche et représente une calamité pour les habitants. Donc Lugh (c’est son nouveau nom) se voit offrir une nouvelle vie avec un objectif à atteindre : assassiner le héros mais seulement après qu’il ait vaincu le seigneur démon !! Pour cela, il peut choisir quelques compétences et renaît dans une famille avec des moyens : les Tuatha Dé, une famille d’assassins au service de la royauté. Le voilà donc à améliorer ses compétences, chercher des armes ou des techniques efficaces et trouver des renseignements sur sa cible. Mais ce qu’il n’avait pas anticiper ce sont les liens affectifs qu’il va développer : famille, amis et amour ! On a un shonen efficace bien ficelé et rythmé. Les personnages sont attachants, le graphisme est agréable et adapté et le scénario contient assez d’évènements pour ne pas avoir le temps de s’ennuyer. Par contre, je ne sais pas si la partie « harem » était nécessaire mais c’est un élément classique de ce genre d’isekai et vu qu’il n’est pas trop lourd, il ne dérange pas. Una aventure à suivre ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-world-s-finest-assassin-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
J’ai découvert cette série par son anime que j’avais bien apprécié. Je n’ai pas été déçue par le manga, les deux sont cohérents que ce soit au niveau du graphisme ou du scénario. Notre héros était un assassin hors pair mais dans ce genre d’organisation, il n’y a pas de retraite (Comme pour Killer Peter !) : vous mourrez en mission ou vous êtes éliminé ! C’est ce qui s’est passé pour notre héros, il est mort lors de l’explosion d’un avion. Mais son profil intéressait la déesse d’un autre monde qui cherche des personnes capables d’éliminer le futur héros de son monde. Comme souvent, le héros surpuissant est un problème : soit il fait de l’ombre au roi en place soit il se lâche et représente une calamité pour les habitants. Donc Lugh (c’est son nouveau nom) se voit offrir une nouvelle vie avec un objectif à atteindre : assassiner le héros mais seulement après qu’il ait vaincu le seigneur démon !! Pour cela, il peut choisir quelques compétences et renaît dans une famille avec des moyens : les Tuatha Dé, une famille d’assassins au service de la royauté. Le voilà donc à améliorer ses compétences, chercher des armes ou des techniques efficaces et trouver des renseignements sur sa cible. Mais ce qu’il n’avait pas anticiper ce sont les liens affectifs qu’il va développer : famille, amis et amour ! On a un shonen efficace bien ficelé et rythmé. Les personnages sont attachants, le graphisme est agréable et adapté et le scénario contient assez d’évènements pour ne pas avoir le temps de s’ennuyer. Par contre, je ne sais pas si la partie « harem » était nécessaire mais c’est un élément classique de ce genre d’isekai et vu qu’il n’est pas trop lourd, il ne dérange pas. Una aventure à suivre !
- Hier
-
Titre de l'album : Vavam Vampire tome 1 Scenariste de l'album : Hiromasa Okujima Dessinateur de l'album : Hiromasa Okujima Coloriste : Editeur de l'album : Crunchyroll Note : Résumé de l'album : Ranmaru Mori vit et travaille aux bains de la Carpe, tenus par la famille Tatsuno depuis des générations. Le jeune homme est particulièrement proche de Rihito qui s'apprête à entrer au lycée. Tel un grand frère bienveillant, il est toujours là pour offrir un conseil ou veiller sur l'adolescent dans l'ombre. Après tout, Rihito lui a sauvé la vie, il y a des années de ça. Depuis, Ranmaru attend le moment idéal pour le dévorer. Car l'employé modèle est un vampire de 450 piges et surtout un fin gourmet ! Il fera tout pour protéger Rihito jusqu'à sa majorité : quand le sang des jeunes hommes purs est le plus délicieux. Mais le lycée, c'est l'arrivée de tous les vices dans l'existence d'un garçon entre sorties en tre potes, filles et rites de passage... Pour espérer croquer le fruit de son travail acharné, le vampire va devoir se démener ! Critique : Qui est Ranmaru Mori ? c’est certes un samurai à l’époque d’Oda Nobunaga mais c’est surtout l’employé des bains de la Carpe au Japon contemporain. Un employé un peu spécial car derrière son comportement d’employé modèle, c’est surtout un vampire qui lorgne sur le fils de famille, il attend depuis une décennie que ce dernier atteigne la majorité avent de la croquer car pour lui, rien n’est plus délicieux que le sang d’un adolescent encore vierge qui s’ouvre à ses premiers émois ! Mais son plan risque de tomber à l’eau le jour où le garçon vit son premier coup de foudre : Ranmaru compte bien se débarrasser de la gêneuse ! Voici un vampire bien différent de ceux que l’on a l’habitude de voir dans les mangas. Oublié le vampire séduisant au cœur des shojo ou le vampire puissant et combatif des shonen ! Ran ne rentre dans aucune case connue : il n’est pas imbu de lui-même, ne joue pas au mystérieux (il dit ouvertement qu’il est un vampire), il est prêt à faire n’importe quel travail ou action pour atteindre son objectif. Au final, on a un scénario original, un personnage intéressant et beaucoup de pointes d’humour qui font de cette série un pur moment de divertissement sans prise de tête. Pour information l’anime est sorti en janvier 2025 au Japon et diffusé en simulcast sur Netflix, il y aura aussi un long métrage qui devrait sortir sur les écrans nippons cet été. En attendant, vous pouvez vous offrir la version collector du premier tome avec une jaquette alternative et un standee de Ranmaru. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/vavam-vampire-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Qui est Ranmaru Mori ? c’est certes un samurai à l’époque d’Oda Nobunaga mais c’est surtout l’employé des bains de la Carpe au Japon contemporain. Un employé un peu spécial car derrière son comportement d’employé modèle, c’est surtout un vampire qui lorgne sur le fils de famille, il attend depuis une décennie que ce dernier atteigne la majorité avent de la croquer car pour lui, rien n’est plus délicieux que le sang d’un adolescent encore vierge qui s’ouvre à ses premiers émois ! Mais son plan risque de tomber à l’eau le jour où le garçon vit son premier coup de foudre : Ranmaru compte bien se débarrasser de la gêneuse ! Voici un vampire bien différent de ceux que l’on a l’habitude de voir dans les mangas. Oublié le vampire séduisant au cœur des shojo ou le vampire puissant et combatif des shonen ! Ran ne rentre dans aucune case connue : il n’est pas imbu de lui-même, ne joue pas au mystérieux (il dit ouvertement qu’il est un vampire), il est prêt à faire n’importe quel travail ou action pour atteindre son objectif. Au final, on a un scénario original, un personnage intéressant et beaucoup de pointes d’humour qui font de cette série un pur moment de divertissement sans prise de tête. Pour information l’anime est sorti en janvier 2025 au Japon et diffusé en simulcast sur Netflix, il y aura aussi un long métrage qui devrait sortir sur les écrans nippons cet été. En attendant, vous pouvez vous offrir la version collector du premier tome avec une jaquette alternative et un standee de Ranmaru.
-
Titre de l'album : Comme dans un shojo tomes 1 & 2 Scenariste de l'album : Shina Suzuka Dessinateur de l'album : Shina Suzuka Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Kitaoji est un bel homme d'affaires qui rêve d'une romance comme dans les shojo. Un jour, par hasard, il apprend qu'Arima, son collègue de travail, lit aussi des mangas pour filles, et ils deviennent amis. Kitaoji est ravi de trouver quelqu'un à qui parler de sa passion secrète pour la première fois, mais il y a en fait un gros malentendu entre les deux... !? Critique : Quand un homme fan de shojo rencontre un homme homosexuel, il peut vite y avoir des malentendus mais rien que la communication ne saurait résoudre ! Cette relation va vite évoluer d’amitié en amour. Elle n’est pas non plus la thématique principale de ce manga car ici, on parle d’identité, de vivre ses passions et de les assumer. On parle du regard des autres et de la bienséance aux yeux de la société. Kitaôji est un très bon homme d’affaires, il représente le gendre idéal, celui que toutes les jeunes femmes espèrent avoir comme époux. Seulement, il est passionné de shojo et s’en cache depuis que son ex l’a regardé de travers avec un soupçon de dégoût. Alors lorsqu’il découvre que son collègue lit aussi des shojos, il pense qu’ils sont pareils et se dévoile sauf que ce dernier n’a pas vraiment les mêmes intentions. C’est un très bon manga, en dehors du très beau dessin, il a des thématiques importantes. Comment s’assumer dans une société bourrée de préjugés et de règles restrictives ? Pourquoi les hommes ne pourraient pas lire de shojo ? Comment dépasser un traumatisme ? Et tout simplement comment communiquer ? Et puis, il y a un côté très mignon, très fleurs bleues et romantique… très shojo quoi ! Ça met du baume au cœur et un sourire aux lèvres. À lire. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/comme-dans-un-shojo-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Quand un homme fan de shojo rencontre un homme homosexuel, il peut vite y avoir des malentendus mais rien que la communication ne saurait résoudre ! Cette relation va vite évoluer d’amitié en amour. Elle n’est pas non plus la thématique principale de ce manga car ici, on parle d’identité, de vivre ses passions et de les assumer. On parle du regard des autres et de la bienséance aux yeux de la société. Kitaôji est un très bon homme d’affaires, il représente le gendre idéal, celui que toutes les jeunes femmes espèrent avoir comme époux. Seulement, il est passionné de shojo et s’en cache depuis que son ex l’a regardé de travers avec un soupçon de dégoût. Alors lorsqu’il découvre que son collègue lit aussi des shojos, il pense qu’ils sont pareils et se dévoile sauf que ce dernier n’a pas vraiment les mêmes intentions. C’est un très bon manga, en dehors du très beau dessin, il a des thématiques importantes. Comment s’assumer dans une société bourrée de préjugés et de règles restrictives ? Pourquoi les hommes ne pourraient pas lire de shojo ? Comment dépasser un traumatisme ? Et tout simplement comment communiquer ? Et puis, il y a un côté très mignon, très fleurs bleues et romantique… très shojo quoi ! Ça met du baume au cœur et un sourire aux lèvres. À lire.
-
Coquin va ! T'aurais pu nous sortir ta belle plume pour celui-ci !
-
J’aime tes chroniques 🙂
-
Titre de l'album : Calédonia - Tome 2 - Le mur d'hadrien Scenariste de l'album : Éric Corbeyran Dessinateur de l'album : Emmanuel Despujol Coloriste : Juliette Despujol Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Face à des sénateurs n'ayant jamais vu un champ de bataille, Lucius a bien du mal à convaincre que leurs adversaires, les redoutables guerriers caledonii, se sont alliés à d'invincibles géants qui ne redoutent nullement ses légionnaires. Démis de ses fonctions et renvoyé en Caledonia, il est chargé de l'édification d'un mur censé assurer la défense des légions romaines en territoires conquis. Critique : Ce Caledonia nous propose une série sur la Rome antique confrontée en Angleterre à de terrifiantes divinités. Mais Rome est un empire qui ne compte pas se laisser abattre du moment que l'adversaire peut saigner. On avait laissé nos deux héros mal en point à l'issue du tome 1. Ce tome 2 reprend directement à l'issue de la fin du tome 1 et nous amène quelques révélations de taille. On plonge définitivement dans le fantastique et c'est plutôt réussi. Seuls bémols, je trouve les personnages un peu trop fades à mon goût et leur relation un peu trop téléphonée. Bon, cela ne nous empêche pas de découvrir ce nouvel univers avec plaisir. J'ai par ailleurs eu du mal avec le dessin, malgré une jolie colorisation. J'ai eu du mal avec le dessin d'Emmanuel Despujol que j'avais pourtant plutôt apprécié sur Side Show. Ici j'ai trouvé que cela manquait un peu de peps, de vitalité, de mouvements, et que les visages me semblaient un peu lisses et pas si expressifs au final. C'est sûr que je suis un peu dur en disant cela, c'est loin d'être mauvais et je ne veux manquer de respect à personne car l'on sent qu'il y a du travail derrière, mais les goûts et les couleurs ne se commandent pas bien et cela m'a un peu refroidit dans ma lecture de ce Caledonia. Alors allez le feuilleter et faites vous votre idée ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/caledonia-tome-2-le-sacre-d-adrien/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
- bd
- fantastique
-
(et 2 en plus)
Étiqueté avec :
-
Ce Caledonia nous propose une série sur la Rome antique confrontée en Angleterre à de terrifiantes divinités. Mais Rome est un empire qui ne compte pas se laisser abattre du moment que l'adversaire peut saigner. On avait laissé nos deux héros mal en point à l'issue du tome 1. Ce tome 2 reprend directement à l'issue de la fin du tome 1 et nous amène quelques révélations de taille. On plonge définitivement dans le fantastique et c'est plutôt réussi. Seuls bémols, je trouve les personnages un peu trop fades à mon goût et leur relation un peu trop téléphonée. Bon, cela ne nous empêche pas de découvrir ce nouvel univers avec plaisir. J'ai par ailleurs eu du mal avec le dessin, malgré une jolie colorisation. J'ai eu du mal avec le dessin d'Emmanuel Despujol que j'avais pourtant plutôt apprécié sur Side Show. Ici j'ai trouvé que cela manquait un peu de peps, de vitalité, de mouvements, et que les visages me semblaient un peu lisses et pas si expressifs au final. C'est sûr que je suis un peu dur en disant cela, c'est loin d'être mauvais et je ne veux manquer de respect à personne car l'on sent qu'il y a du travail derrière, mais les goûts et les couleurs ne se commandent pas bien et cela m'a un peu refroidit dans ma lecture de ce Caledonia. Alors allez le feuilleter et faites vous votre idée !
-
- bd
- fantastique
-
(et 2 en plus)
Étiqueté avec :
-
Titre de l'album : Cyborgs - Tome 2 - Steel Scenariste de l'album : Jean-Luc Istin Dessinateur de l'album : Valentina Pinti & Arancia Studio Coloriste : J. Nanjan Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Donnée favorite aux élections face à Markus C. Tudor, Heather Macstone est visée dans un attentat où seule sa fille, Sam, survit. Gravement blessée, Sam reçoit des prothèses greffées par Russel. Qui a cherché à les éliminer et pour quelles raisons ? Plongée dans un univers de complots et de trahisons, Sam se sert de son corps de métal comme d'une arme pour découvrir la vérité. Critique : Hop vous connaissez Soleil, quand ils sortent une nouvelle série concept, on peut s'attendre à un album tous les 6 mois. Que l'on aime ou pas le modèle est celui-ci avec une multitude d'auteurs au dessin afin de tenir ces délais de fous. On a donc avec ce Cyborgs une série dans le standard habituel de Soleil en science-fiction ou en héroïc fantasy : un univers connu et cohérent, des one shots qui peuvent se lire séparément mais qui apportent ensemble pas mal d'éléments à l'univers, et une galerie de personnage qui se croisent et se recroisent mais sans prépondérance d'un personnage en particulier au fil des albums. Petite différence de taille cette fois-ci, chaque album fait bien avancer une intrigue globale et est centré sur le recrutement et l'intégration d'un nouveau personnage à une équipe tout en faisant progresser la mission commune de la dite équipe. Bon dit comme ça on est un peu sur Th Expendables en bd, mais cela donne au moins un fil conducteur intéressant et plus ambitieux car il ne se limite alors plus aux scénarios des seuls one shots. Tant mieux, c'est une bonne idée. Les dessins de Valentina Pinti et du Studio Arancia sont bien même si la colorisation et les décors sont un peu trop bruts pour moi. Ceci dit c'est souvent le cas en science fiction. Si l'ensemble ne brillera guère par son originalité, c'est efficace et servi par un découpage de qualité. Les amoureux d'univers de science fiction façon Travis ou Carmen seront servis car il ne s'agit pas ici de space opéra mais d'un futur terrien un peu calamiteux et très technologique quand même. L'action est assez soutenu même si cette fois-ci l'album est peut être un peu plus bavard. Autres infos : Storyboard par Kyko Duarte Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/cyborgs-tome-2-steel/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Hop vous connaissez Soleil, quand ils sortent une nouvelle série concept, on peut s'attendre à un album tous les 6 mois. Que l'on aime ou pas le modèle est celui-ci avec une multitude d'auteurs au dessin afin de tenir ces délais de fous. On a donc avec ce Cyborgs une série dans le standard habituel de Soleil en science-fiction ou en héroïc fantasy : un univers connu et cohérent, des one shots qui peuvent se lire séparément mais qui apportent ensemble pas mal d'éléments à l'univers, et une galerie de personnage qui se croisent et se recroisent mais sans prépondérance d'un personnage en particulier au fil des albums. Petite différence de taille cette fois-ci, chaque album fait bien avancer une intrigue globale et est centré sur le recrutement et l'intégration d'un nouveau personnage à une équipe tout en faisant progresser la mission commune de la dite équipe. Bon dit comme ça on est un peu sur Th Expendables en bd, mais cela donne au moins un fil conducteur intéressant et plus ambitieux car il ne se limite alors plus aux scénarios des seuls one shots. Tant mieux, c'est une bonne idée. Les dessins de Valentina Pinti et du Studio Arancia sont bien même si la colorisation et les décors sont un peu trop bruts pour moi. Ceci dit c'est souvent le cas en science fiction. Si l'ensemble ne brillera guère par son originalité, c'est efficace et servi par un découpage de qualité. Les amoureux d'univers de science fiction façon Travis ou Carmen seront servis car il ne s'agit pas ici de space opéra mais d'un futur terrien un peu calamiteux et très technologique quand même. L'action est assez soutenu même si cette fois-ci l'album est peut être un peu plus bavard.
-
Titre de l'album : Le pauvre bêta ne connaît pas l'amour tomes 1 & 2 Scenariste de l'album : Shima Yashiki Dessinateur de l'album : Shima Yashiki Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Suzuharu Seno (bêta) est le majordome personnel de Ryôsuke Isezaki (alpha),héritier d'une illustre famille. Libre et incontrôlable, Ryôsuke ne se satisfait pas des omégas avec qui il couche et il essaye de séduire Seno, dont le corps réagit malgré lui, même en sachant que son maître n'est pas sérieux... Un maître alpha fait tomber son majordome bêta dans son piège amoureux ! Critique : Seno est le majordome attitré de Ryôsuke, un alpha dominant et aussi son ami d’enfance. Il fait passer son travail avant et reste stoïque en toute occasion également quand Ryôsuke le provoque volontairement en ayant des relations sexuelles avec des omegas devant lui. Cependant Seno a de plus en plus de mal à contenir sa propre libido et se rend secrètement en ville pour avoir des relations d’une nuit en se faisant passer pour un omega. Mais il se peut que ses changements physiques aient une origine qu’il ignore… Les Bêtas ne sont pas forcément les personnages le plus mis à l’honneur dans l’omegaverse et souvent, sous l’influence des phéromones alpha, ils finissent par changer de genre. C’est une facilité dans le scénario qui permet des scènes érotiques osées ! Ce manga propose une approche différente et assez surprenante que je ne vous dévoilerai pas ! La série n’est pas désagréable mais manque un peu de peps. La révélation de fin du tome un est cassez dérangeante… Et j’ai un peu peur que la fin tombe dans l’écueil de la facilité, ce sera à voir dans le 3e et dernier tome de la série. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-pauvre-beta-ne-connait-pas-l-amour-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
- manga
- omegaverse
-
(et 1 en plus)
Étiqueté avec :
-
Seno est le majordome attitré de Ryôsuke, un alpha dominant et aussi son ami d’enfance. Il fait passer son travail avant et reste stoïque en toute occasion également quand Ryôsuke le provoque volontairement en ayant des relations sexuelles avec des omegas devant lui. Cependant Seno a de plus en plus de mal à contenir sa propre libido et se rend secrètement en ville pour avoir des relations d’une nuit en se faisant passer pour un omega. Mais il se peut que ses changements physiques aient une origine qu’il ignore… Les Bêtas ne sont pas forcément les personnages le plus mis à l’honneur dans l’omegaverse et souvent, sous l’influence des phéromones alpha, ils finissent par changer de genre. C’est une facilité dans le scénario qui permet des scènes érotiques osées ! Ce manga propose une approche différente et assez surprenante que je ne vous dévoilerai pas ! La série n’est pas désagréable mais manque un peu de peps. La révélation de fin du tome un est cassez dérangeante… Et j’ai un peu peur que la fin tombe dans l’écueil de la facilité, ce sera à voir dans le 3e et dernier tome de la série.
-
- manga
- omegaverse
-
(et 1 en plus)
Étiqueté avec :
-
Fiou les claires de lunes c'est devenu TRES rare
-
Faut vraiment que je craque sur celle la mais tellement de retard...
-
Non mais les aquarelles ca fait quasiment tout le temps ca !
-
Tu vois ce que je veux dire ? Le dessin de NGuyen est frustrant parfois car son aquarelle peut paraître brouillonne ou vide avec peu de détails. Quand dans Origines, tu as une aquarelle solide, parfois trop chargée même; et tu n'arrives pas à déterminer si ce que tu vois est beau ou pas ! Cela doit venir de moi !
-
Titre de l'album : La vie d'artiste... n'a pas que de mauvais côtés Scenariste de l'album : Fabio Jacomelli Dessinateur de l'album : Fabio Jacomelli Coloriste : Claudia Guiliani Editeur de l'album : Tabou Note : Résumé de l'album : Quelle est vraiment la vie érotique d'un artiste ? Fabio Jacomelli nous le dit à travers trois anecdotes. En trois histoires, l'auteur se raconte et nous livre un témoignage sincère et intime de sa vie d'artiste. Il explore et expose sa part la plus intime et met en scène et en images sa sexualité et ses fantasmes, son réel et son imaginaire d'auteur. Mais ne déflorons pas cette délicieuse bande dessinée. Laissons-nous guider par l'auteur lui-même ! Un album élégant, sensuel et intime. Critique : Fabio Jacomelli dévoile la vie érotique d'un artiste peintre/dessinateur, ou du moins expose ses phantasmes dans trois histoires à ne pas montrer aux yeux innocents 😉 . Tout commence à Milan en 1985, par une nuit pluvieuse d'octobre, Fabio ne parvient pas à travailler envahi par le syndrome de la page blanche version dessinateur. Soudain, le téléphone sonne et Claudia l'appelle avec l'envie pressante de le voir. Les retrouvailles vont prendre un virage inattendu, l'étudiante en "langues appliquées" fera montre de ses talents experts pour le plus grand plaisir de Fabio ! Puis nous nous retrouvons en 1986 à l'école de Bande dessinée de Milan, une élégante inconnue nommée Laura demande à Fabio de participer à une séance privée de photographies. Ils se retrouvent dans une chambre d'hôtel aux murs rouges habillés de nombreux miroirs ! Là aussi, point de photos mais des ébats passionnés cherchant le bon angle dans le reflet des miroirs. Enfin, deux années s'écoulent et on retrouve Fabio faisant la rencontre de Elena au cours d'une soirée. Apprenant son métier d'artiste, elle lui propose vite de venir peindre sur les murs de son appartement. Une fois encore, l'objet initial de la visite trouvera une toute autre issue, dénudée et enchevêtrée ! L'auteur italien nous gratifie ses "exploits" sur des planches soignées avec un trait élégant et fin. Les corps sont "humains", point de membres disproportionnés ou encore de poitrines énormes. Il dégage une grande sensualité des trois ébats, avec pour chacun un vécu différent. Il parvient à donner une belle expressivité aux visages avec de l'intensité dans les regards, le tout est bien mis en couleurs par Claudia Guiliani, l'histoire ne dit juste pas de quelle Claudia il s'agit 😉 . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-vie-d-artiste-n-a-pas-que-de-mauvais-cotes/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
La vie d'artiste... n'a pas que de mauvais côtés
Kevin Nivek a posté un enregistrement dans Critiques
Fabio Jacomelli dévoile la vie érotique d'un artiste peintre/dessinateur, ou du moins expose ses phantasmes dans trois histoires à ne pas montrer aux yeux innocents 😉 . Tout commence à Milan en 1985, par une nuit pluvieuse d'octobre, Fabio ne parvient pas à travailler envahi par le syndrome de la page blanche version dessinateur. Soudain, le téléphone sonne et Claudia l'appelle avec l'envie pressante de le voir. Les retrouvailles vont prendre un virage inattendu, l'étudiante en "langues appliquées" fera montre de ses talents experts pour le plus grand plaisir de Fabio ! Puis nous nous retrouvons en 1986 à l'école de Bande dessinée de Milan, une élégante inconnue nommée Laura demande à Fabio de participer à une séance privée de photographies. Ils se retrouvent dans une chambre d'hôtel aux murs rouges habillés de nombreux miroirs ! Là aussi, point de photos mais des ébats passionnés cherchant le bon angle dans le reflet des miroirs. Enfin, deux années s'écoulent et on retrouve Fabio faisant la rencontre de Elena au cours d'une soirée. Apprenant son métier d'artiste, elle lui propose vite de venir peindre sur les murs de son appartement. Une fois encore, l'objet initial de la visite trouvera une toute autre issue, dénudée et enchevêtrée ! L'auteur italien nous gratifie ses "exploits" sur des planches soignées avec un trait élégant et fin. Les corps sont "humains", point de membres disproportionnés ou encore de poitrines énormes. Il dégage une grande sensualité des trois ébats, avec pour chacun un vécu différent. Il parvient à donner une belle expressivité aux visages avec de l'intensité dans les regards, le tout est bien mis en couleurs par Claudia Guiliani, l'histoire ne dit juste pas de quelle Claudia il s'agit 😉 . -
T'in mais c'est que ca doit rapporter Meian car le pari est risqué la....
-
Un best of BD au hasard
-
Dernières Critiques
BD européenes/Comics
-
Calédonia - Tome 2 - Le mur d'hadrien
The_PoP a posté un enregistrement dans Critiques,
Note :Ce Caledonia nous propose une série sur la Rome antique confrontée en Angleterre à de terrifiantes divinités. Mais Rome est un empire qui ne compte pas se laisser abattre du moment que l'adversaire peut saigner. On avait laissé nos deux héros mal en point à l'issue du tome 1. Ce tome 2 reprend directement à l'issue de la fin du tome 1 et nous amène quelques révélations de taille. On plonge définitivement dans le fantastique et c'est plutôt réussi. Seuls bémols, je trouve les personnages un peu trop fades à mon goût et leur relation un peu trop téléphonée. Bon, cela ne nous empêche pas de découvrir ce nouvel univers avec plaisir.
J'ai par ailleurs eu du mal avec le dessin, malgré une jolie colorisation. J'ai eu du mal avec le dessin d'Emmanuel Despujol que j'avais pourtant plutôt apprécié sur Side Show. Ici j'ai trouvé que cela manquait un peu de peps, de vitalité, de mouvements, et que les visages me semblaient un peu lisses et pas si expressifs au final. C'est sûr que je suis un peu dur en disant cela, et je ne veux manquer de respect à personne car l'on sent qu'il y a du travail derrière, mais les goûts et les couleurs ne se commandent pas bien et cela m'a un peu refroidit dans ma lecture de ce Caledonia. Alors allez le feuilleter et faites vous votre idée !-
- 0 réponse
Choisi par
The_PoP, -
-
Cyborgs - Tome 2 - Steel
The_PoP a posté un enregistrement dans Critiques,
Note :Hop vous connaissez Soleil, quand ils sortent une nouvelle série concept, on peut s'attendre à un album tous les 6 mois. Que l'on aime ou pas le modèle est celui-ci avec une multitude d'auteurs au dessin afin de tenir ces délais de fous.
On a donc avec ce Cyborgs une série dans le standard habituel de Soleil en science-fiction ou en héroïc fantasy : un univers connu et cohérent, des one shots qui peuvent se lire séparément mais qui apportent ensemble pas mal d'éléments à l'univers, et une galerie de personnage qui se croisent et se recroisent mais sans prépondérance d'un personnage en particulier au fil des albums. Petite différence de taille cette fois-ci, chaque album fait bien avancer une intrigue globale et est centré sur le recrutement et l'intégration d'un nouveau personnage à une équipe tout en faisant progresser la mission commune de la dite équipe. Bon dit comme ça on est un peu sur Th Expendables en bd, mais cela donne au moins un fil conducteur intéressant et plus ambitieux car il ne se limite alors plus aux scénarios des seuls one shots. Tant mieux, c'est une bonne idée.
Les dessins de Valentina Pinti et du Studio Arancia sont bien même si la colorisation et les décors sont un peu trop bruts pour moi. Ceci dit c'est souvent le cas en science fiction. Si l'ensemble ne brillera guère par son originalité, c'est efficace et servi par un découpage de qualité.
Les amoureux d'univers de science fiction façon Travis ou Carmen seront servis car il ne s'agit pas ici de space opéra mais d'un futur terrien un peu calamiteux et très technologique quand même. L'action est assez soutenu même si cette fois-ci l'album est peut être un peu plus bavard.-
-
- 2 réponses
Choisi par
The_PoP, -
Mangas
-
Blood-crawling princess tome 1
Nickad a posté un enregistrement dans Critiques,
Note :Un grand empire désireux de conquêtes et de pouvoir envahit un jour le petit royaume paisible de Batalia, exterminant la population. Par miracle Evita, la princesse du royaume arrive à s’échapper et n’a pas d’autre choix que de vendre son corps pour survivre. Elle est donc devenue, sous le nom de Priscilla, l’une des courtisanes les plus prisées de la ville de San Missa, un endroit dédié au plaisir composé de maisons closes où les femmes y sont retenues contre leur gré jusqu’à leur mort.
Mais Priscilla n’est pas la gentille idiote qu’elle laisse paraitre et elle fomente sa vengeance contre l’empire en entrainant dans son sillage toutes les femmes de la cité. Il est temps de lancer la contre-attaque !
Si dans The brave wish revenging, on a Raoul, le héros trahi, qui prend sa revanche de façon extrême, Evita est son pendant féminin. Une héroïne forte qui va frapper un grand coup (plusieurs même !) que ce soit contre l’empire mais surtout contre les hommes. Pour dire, Kurokawa a accompagné l’envoi du service de presse d’un casse-noix, je vous laisse deviner son utilisation :) !
C’est antitotalitarisme et anti-patriarcal à souhait !! Par contre, le manga est violent et à réserver à un public averti. Reste à voir si le scénario va tomber dans une accumulation de scènes choquantes (comme son pendant) ou s’il va proposer une trame plus constructive et intéressante. À suivre-
- 0 réponse
Choisi par
Nickad, -
-
The world's finest assassin tomes 1 & 2
Nickad a posté un enregistrement dans Critiques,
Note :J’ai découvert cette série par son anime que j’avais bien apprécié. Je n’ai pas été déçue par le manga, les deux sont cohérents que ce soit au niveau du graphisme ou du scénario.
Notre héros était un assassin hors pair mais dans ce genre d’organisation, il n’y a pas de retraite (Comme pour Killer Peter !) : vous mourrez en mission ou vous êtes éliminé ! C’est ce qui s’est passé pour notre héros, il est mort lors de l’explosion d’un avion. Mais son profil intéressait la déesse d’un autre monde qui cherche des personnes capables d’éliminer le futur héros de son monde. Comme souvent, le héros surpuissant est un problème : soit il fait de l’ombre au roi en place soit il se lâche et représente une calamité pour les habitants.
Donc Lugh (c’est son nouveau nom) se voit offrir une nouvelle vie avec un objectif à atteindre : assassiner le héros mais seulement après qu’il ait vaincu le seigneur démon !! Pour cela, il peut choisir quelques compétences et renaît dans une famille avec des moyens : les Tuatha Dé, une famille d’assassins au service de la royauté. Le voilà donc à améliorer ses compétences, chercher des armes ou des techniques efficaces et trouver des renseignements sur sa cible. Mais ce qu’il n’avait pas anticiper ce sont les liens affectifs qu’il va développer : famille, amis et amour !
On a un shonen efficace bien ficelé et rythmé. Les personnages sont attachants, le graphisme est agréable et adapté et le scénario contient assez d’évènements pour ne pas avoir le temps de s’ennuyer. Par contre, je ne sais pas si la partie « harem » était nécessaire mais c’est un élément classique de ce genre d’isekai et vu qu’il n’est pas trop lourd, il ne dérange pas. Una aventure à suivre !-
- 0 réponse
Choisi par
Nickad, -
-
Vavam Vampire tome 1
Nickad a posté un enregistrement dans Critiques,
Note :Qui est Ranmaru Mori ? c’est certes un samurai à l’époque d’Oda Nobunaga mais c’est surtout l’employé des bains de la Carpe au Japon contemporain. Un employé un peu spécial car derrière son comportement d’employé modèle, c’est surtout un vampire qui lorgne sur le fils de famille, il attend depuis une décennie que ce dernier atteigne la majorité avent de la croquer car pour lui, rien n’est plus délicieux que le sang d’un adolescent encore vierge qui s’ouvre à ses premiers émois !
Mais son plan risque de tomber à l’eau le jour où le garçon vit son premier coup de foudre : Ranmaru compte bien se débarrasser de la gêneuse !
Voici un vampire bien différent de ceux que l’on a l’habitude de voir dans les mangas. Oublié le vampire séduisant au cœur des shojo ou le vampire puissant et combatif des shonen ! Ran ne rentre dans aucune case connue : il n’est pas imbu de lui-même, ne joue pas au mystérieux (il dit ouvertement qu’il est un vampire), il est prêt à faire n’importe quel travail ou action pour atteindre son objectif.
Au final, on a un scénario original, un personnage intéressant et beaucoup de pointes d’humour qui font de cette série un pur moment de divertissement sans prise de tête.
Pour information l’anime est sorti en janvier 2025 au Japon et diffusé en simulcast sur Netflix, il y aura aussi un long métrage qui devrait sortir sur les écrans nippons cet été. En attendant, vous pouvez vous offrir la version collector du premier tome avec une jaquette alternative et un standee de Ranmaru.-
- 0 réponse
Choisi par
Nickad, -
-