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  • Bianca - Little lost lamb


    Nickad
    • Scenariste: MARGIOTTA Paolo Dessinateur: PERRONE Francesca Editeur: Shockdom Note :
      Résumé:

      Les plus forts survivent, les plus faibles succombent.. C´est la seule loi qui compte dans un monde qui a vu la disparition des humains et qui a su se passer de leur présence pour continuer à vivre. Les chasseurs traquent et tuent les proies, c´est inévitable. Mais, ce n´est pas le cas de Bianca, car elle a décidé de se rebeller contre cette loi et de se battre. Elle cherche sa vengeance.

      Type: Comic L'acheter sur bdfugue Genre: Drame Prix: -- Nb de pages: --
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    A l’instar de nombreux films Disney, Bianca met en scène des animaux anthropomorphes, ils ont une attitude humanoïde, marchent sur 2 pattes, portent des vêtements et raisonnent. Ici, il est question de la nature profonde des animaux, de leurs instincts, de la loi de la nature où les carnivores mangent les herbivores.

    Bianca, petite agnelle, voit tout son troupeau se faire dévorer. Encore trop jeune pour faire un repas convenable, le chef des carnivores la laisse livre, mais Bianca décide de devenir forte pour ne plus avoir peur et venger sa famille.

    Graphiquement très beau, les personnages auraient toute leur place dans un long métrage, l’œuvre porte une véritable réflexion : Bianca ne vit plus que par et pour la vengeance, quel destin peut-elle attendre ? Arrivera-t-elle à accomplir son objectif et si oui, n’ayant pas d’autre objectif, que fera-t-elle ensuite, quel sens donner à sa vie ? Le livre est vraiment très bien, montre les aspects principaux de la nature entre beauté et dure réalité car pour les animaux, c’est la loi du plus fort qui prime.

    Shockdom propose une édition de qualité, avec une couverture rigide et un marque page tissu intégré. Bianca est la première œuvre de Paolo Margiotta, que l’on peut aussi retrouver dans « Monsieur Prudhomme ». Quant à la dessinatrice Francesca Perrone, elle est aussi connue sous le pseudonyme Lillayfran et fait des illustrations pour boom-studios.

    bianca 1.jpg

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    Commentaires recommandés

    Il y a des scènes de combats avec un peu de sang mais ce n'est pas trop gore mais on n'est pas dans Disney ! Je dirais (mais je n'ai pas compté exactement) que les combats représentent 50% du livre

    bianca 2.png

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    C'est a la mode aussi l'antropomorphisme (au remarque ça l'a toujours été). Les dessins sont jolis et la coloration est pas mal, saturée juste comme il faut 🙂 C'est marrant dans la planche au dessus, la belle agnelle a une ressemblance frappante avec Leo (si! vous savez, le véritable roi lion 😉 ). Après l'histoire n'a pas l'air d'être originale si ce n'est qu'on dit "doux comme un agneau", donc j'imagine que l'intérêt vient de ce paradoxe, non?

    Modifié par kvin
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    il y a de ça mais j'ai trouvé qu'il y avait vraiment des pistes sur la vengeance : qu'est-ce qu'elle apporte ? et est-ce qu'à se venger on ne devient pas comme ceux dont on cherche à se venger ? Je ne dis pas que ces thèmes n'ont pas été vus et revus mais c'est bien fait et agréable visuellement

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    il y a 12 minutes, Kevin Nivek a dit :

    Donc ce livre doit être pas mal , mais 50% de combats par contre ....

    je vérifierai si tu veux, c'est peut-être moins... mais je n'ai pas eu l'impression de ne lire que ça

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    autant pour moi 😅, il y a une trentaine de pages violentes (combats et sang/corps) sur 128 pages, après comme l'histoire est dure, il y a des passage de violences psychologiques . Et il y a aussi une alternative de vie pour les herbivores (du coup beaucoup plus bucolique)

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      Alors forcément quand Ryôta découvre la personnalité de la mère de son camarade, dans sa tête, un plan se met en marche…

      Mother parasite est la rencontre de deux êtres « dérangés », chacun obnubilé par un amour excessif et potentiellement anormal (il va falloir aller plus loin pour voir l’étendue de la situation). On se sent vite gêné par l’attitude des personnages, il y a la façon dont ils se comportent mais surtout la manière dont Ryôta manipule son entourage.

      Le manga pourrait facilement se ranger dans la catégorie horreur. Mais pas une horreur violente, physique et sanglante. Il laisse un sentiment de mal-être, dérangeant et malsain qui grandit peu à peu ; c’est une horreur psychologique qui provoque un arrière-gout amer. On est tenté d’arrêter là mais tout autant tenté de continuer, c’est une étrange sensation.
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    • Demons star tome 4 (fin)
      Note :
      Demons star c’est fini et c’est dommage ! Voilà une vraie bonne série humoristique et courte en plus, ce qui peut motiver un certain nombre de lecteurs.

      Par d’étranges concours de circonstances et surtout à cause des interprétations farfelues de son comportement, Yusuke se forge une réputation incroyable. Ainsi il devient le démon rouge de 3e ordre, ce qui lui assure une place de choix dans l’organisation du lycée. Non seulement, Akira reconnait sa valeur mais de nombreux élèves se mettent sous ses ordres. La légende est née ! mais ce qui est surtout amusant c’est de voir comment elle est née ! Des personnages plus avisés ne seraient jamais arrivés au même résultat.

      Bien que l’histoire de Demons star se passe dans un lycée de garçons où règne la loi du plus fort et que l’on enchaîne les combats, il ne déplaira pas non plus au lectorat féminin. Pourvu d’une facétie ingénieuse, les quiproquos font rire et classe ce manga dans la catégorie humour. Je n’ai qu’un seul regret, j’aurai aimé voir plus de quiproquos et d’interprétations délirantes, mais c’est déjà très bien comme ça et on s’en réjouit.
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