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  • Black badge


    Admin1001BD
    • Scenariste: Matt Kindt Dessinateur: Tyler Jenkins Editeur: Futuropolis Note :
      Résumé:

      De toutes les organisations scouts, les Black Badges sont l'élite ; les meilleurs parmi les meilleurs. Les Black Badges sont une branche très secrète de scouts, chargée de missions secrètes qu'aucun adulte ne pourrait entreprendre. Mais en définitive, les petits gars en vert toujours prêts (selon la légende) savent peu de choses les uns des autres, et encore moins des autres organisations. Au sein de celles-ci, se cacherait un groupuscule utilisé par le gouvernement pour effectuer des opérations paramilitaires secrètes. En Corée du Nord, comme en Sibérie, qui se méfierait d'une bande d'ados étrangers en short ? Pourtant, au cours de l'une de ses missions, l'escouade des Black Badge devra choisir entre accomplir leur objectif ou secourir l'un de leurs camarades présumé mort des années auparavant. Les Black Badge sont une troupe de scouts d'élite. Ils sont chargés de missions que les adultes ne peuvent entreprendre. Une équipe d'espions digne de Mission impossible en culottes courtes. Mais il faut se méfier des apparences, le bien et le mal ne sont pas toujours là où l'on s'y attend... Après la série à succès GrassKings, Matt Kindt et Tyler Jenkins reviennent avec un roman graphique de 300 pages émouvant, drôle ou... horrible, parfois sur la même page.

      Type: Comic L'acheter sur bdfugue Genre: Action Prix: -- Nb de pages: --
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    Si comme moi vous etes fan de Matt Kindt, et bien jetez vous directement et le plus rapidement possible sur ce Black Badge. Le duo aux commandes de de GrassKings nous revient avec un énorme one shot et thriller d'espionnage sublime. L'idée de base est deja aussi osé que bien pensée : et si les scouts du monde étaient bien plus que de simple "campeurs à tendance Mac Gyver" ? Et si sous la bonhomie d'un groupe d'enfant, Matt Kindt voit lui de potentiels espions et agents de terrain capable, plus que des adultes, de passer inaperçu et de réaliser des actes de "protections de la nations".

    Et comme dans toute bonne histoire d'espionnage, comment savoir qui est le bon et qui est le mauvais espion, au milieu de menteurs professionnels ?

    Entre des personnages bien travaillés, un graphisme toujours au top et une histoires surprenante du début à la fin, ce Black Badge se révèle un must have complètement imprévu.
    Et donc une excellente et magnifique surprise 

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    Retour utilisateur

    Commentaires recommandés



    Ah ah ah j'aime tes posts Phil' sur le cinéma car ces années là sont celles de mes quinze ans ! Premiers émois. première tentatives de séduction à base de cinéma, avec déjà derrière moi les films montrés par mes parents, et devant moi tout le cinéma à découvrir avec le luxe de choisir mes propres films, d'aller au cinéma avec mes copains.
    Négociations autour du choix du film, certains étaient des évidences, d'autres de dramatiques choix budgétaires.

    Bref. Evidemment j'étais allé voir le Seigneur des anneaux. Evidemment je suis également allé voir les Harry Potter. Lecteur et amateur des deux séries de livres, je les attendais avec impatience. Ayant déjà vu le premier cycle des Star Wars, je suis également allé voir la seconde trilogie au cinéma.

    Je t'en livre mes souvenirs : le premier seigneur des anneaux m'avait paru un peu longuet. Enthousiasmant certes, prometteur surement. Mais longuet. J'en profitais pour jouer au connaisseur en pointant les raccourcis choisis par le réalisateur. Ah ah. Le second balaya mes réticences, plus d'action, plus de souffle héroique, des personnages poussés un peu plus dans leurs retranchements. J'adhérais.
    Pour les Harry Potter, je fus plus partagé. Si globalement j'appréciais beaucoup, le résultat étant assez proche de mes lectures, avoir des héros et personnages principaux enfants me laissait un peu sur le carreau. C'était une évidence mais du coup, plus dur de s'y identifier. En lisant les livres, ma différence d'âge avec Harry ne gênait pas mon imaginaire.
    La menace Fantôme de son côté m'avait laissé plus que mitigé. Je n'y retrouvais pas le sérieux et la tension des épisodes 5 et 6 de Star Wars, le personnage d'Anakin enfant n'avait pour moi pas sa place dans des champs de bataille interstellaire, de même que le personnage de Jar jar. La bataille finale me laissa également un goût amer, seulement atténué par le personnage de Dark Maul et la relation entre Qui Gon et Obi Wan (portée par deux acteurs que j'aime beaucoup). L'attaque des clones me laissa la même impression. Un grand spectacle mais finalement assez vide. Ce n'est qu'avec le troisième opus (qui a moult défauts par ailleurs) que je retrouvais un peu de ce que j'aimais dans star wars.

    Mission Cleopatre reste pour moi le gros choc de notre génération au cinéma. On a rit comme rarement. Tous mes potes se sont achetés le DVD dès sa sortie. Et on en parle encore souvent entre groupe de copains et copines pour se proposer des soirées où on se le remet. Statut de film culte donc pour ma génération. Je ne sais te citer que deux autres comédies de ces années là m'ayant autant plu : Le diner de con qui reste un chef d'oeuvre et Le Boulet, qui a pris un coup de vieux quand même. En écrivant cela je repense au regretté Jacque Villeret que j'adorais et dont le film Les enfants du marais me marqua au fer rouge quelques années plus tôt.

    Je vis également Spiderman au cinéma, et la romance ne m'apparut à l'époque pas du tout une bleuette et je crois d'ailleurs que MJ fit rêver pas mal de jeunes de ma génération. Pour ma part j'étais déjà définitivement tombé amoureux au cinéma deux ans auparavant de Julia Roberts dans Coup de Foudre à Notting Hill. Ceci dit le film ne me marqua à l'époque pas plus que ça malgré sa belle maitrise.


    Je vis par ailleurs :

    Blade 2
    Jason X
    Le papillon
    Le Smoking
    Bloody Sunday
    Dommage collatéral
    Monsieur Schmidt

    Sans commentaires.


    Ceci étant je viens de te livrer les impressions que je me rappelle avoir eu.


    La réflexion intéressante est maintenant le regard que je porte sur ces films :

    - libéré de mon problème d'identification, je revois les Harry Potter avec un grand plaisir. Au moins les 4 premiers qui comme les livres restent des friandises magnifiques.
    - Le seigneur des anneau reste pour moi un film marquant, que j'aime à revoir à l'occasion. Indubitablement associé aux fêtes de noël dans mon esprit en compagnie de Star wars.
    - la dernière trilogie SW a fini par me faire accepter la seconde. Je les revois avec plaisir, mais globalement ce ne sont pas de très bons films. Le second est même finalement le plus plat de cette seconde trilogie car je regarde le premier avec plaisir pour la cabotinage encore léger des acteurs, et le troisième pour la dramaturgie de la naissance de Vador. Le deux ne sert malheureusement à rien. Dommage tant la mue d'Anakin en Vador est trop rapide dans le dernier.
    - mission cleopatre reste un classique dont nous citons encore avec plaisir les répliques.
    - Spiderman est devenu un film meilleur en vieillissant car à l'époque finalement Marvel nous livrait encore de bons films. Depuis, noyés sous ce déluge de films quelconques aux scénarios inexistants, ce Spiderman prend une autre saveur. Oui le cinéma c'était mieux avant.
    - Mystic River, mes parents étaient allés le voir et moi pas à l'époque. j'ai du mettre dix ans avant de le voir. Cela reste un de mes Clint eastwood préféré, et l'un des films dont effectivement on ne sort pas indemne. Responsable dun cineclub d'étudiant quelques années plus tard, je le fis diffuser avec un grand plaisir.



    Merci Phil pour cette madeleine de proust
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    Ah ah ah j'aime tes posts Phil' sur le cinéma car ces années là sont celles de mes quinze ans ! Premiers émois. première tentatives de séduction à base de cinéma


    MdR : au début, j'ai cru que tu faisais allusion à ta vie sentimentale d'ado (pelotage dans les salles obscures) biggrin.gif mais je suppose que tu fais plutôt référence à ta... cinéphilie wink.gif

    Sinon, oui, je comprends ce que tu veux dire par le problème d'identification qui impacte la vision des films quand on est ado.
    J'ai connu la même chose mais une dizaine d'années plus tôt.

    Je ne sais te citer que deux autres comédies de ces années là m'ayant autant plu : Le diner de con qui reste un chef d'oeuvre et Le Boulet, qui a pris un coup de vieux quand même. En écrivant cela je repense au regretté Jacque Villeret que j'adorais et dont le film Les enfants du marais me marqua au fer rouge quelques années plus tôt.


    Oui, chouettes comédies aussi (il y a eu aussi Le Placard) avant que la comédie française devienne ce qu'elle est aujourd'hui : Aladin, Alad 2 et Aladvatefaire... rolleyes.gif
    Les Enfants du Marais, bon souvenir aussi. Comme Le bonheur est dans le pré.

    et je crois d'ailleurs que MJ fit rêver pas mal de jeunes de ma génération.


    hé hé wink.gif... faut avouer que, physiquement, oui je conçois qu'elle aura marqué une génération. J'aime moins la caractérisation du personnage, par contre, qui est vraiment très différente de la MJ des comics (même celle des tous débuts) nettement plus piquante voir provocatrice (et parfois même un peu garce !), la douceur revenant plutôt à Gwen.
    A ce sujet, moi j'ai plutôt "zingué" sur Emma Stone en Gwen Stacy dans The Amazing Spider-Man : quelle merveille wub.gif

    Pour ma part j'étais déjà définitivement tombé amoureux au cinéma deux ans auparavant de Julia Roberts dans Coup de Foudre à Notting Hill


    Ah ? Tiens donc... Le film portait bien son titre donc happy.gif

    la dernière trilogie SW a fini par me faire accepter la seconde


    Comme beaucoup de gens (moi compris). C'est au moins ce qu'aura réussi Disney ^^ Et tonton Georges doit bien ricaner quand même.

    Spiderman est devenu un film meilleur en vieillissant car à l'époque finalement Marvel nous livrait encore de bons films. Depuis, noyés sous ce déluge de films quelconques aux scénarios inexistants, ce Spiderman prend une autre saveur. Oui le cinéma c'était mieux avant.


    Oui, même topo qu'avec Star Wars. Comme je le disais dans mon post, bcp sont nostalgiques de la trilo de Raimi (oui, même du 3 ^^) par rapport à ce qu'à fait le MCU ces dernières années.
    Alors oui : c'était mieux avant.

    Mystic River, mes parents étaient allés le voir et moi pas à l'époque. j'ai du mettre dix ans avant de le voir. Cela reste un de mes Clint eastwood préféré, et l'un des films dont effectivement on ne sort pas indemne. Responsable dun cineclub d'étudiant quelques années plus tard, je le fis diffuser avec un grand plaisir.


    Je ne l'ai pas vu au cinéma non plus. Dernièrement, j'ai revu Gran Torino aussi : je suis toujours muet d'admiration devant ce film si sobre, si juste et si émouvant. Peut-être même davantage que Mystic River car il tire moins sur le pathos.

    Merci Phil pour cette madeleine de proust


    De rien : merci à toi de t'y intéresser. Ca m'incite à continuer mon projet en me disant que ce n'est pas tout à fait vain wink.gif

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    Mystic River ne tire pas sur le pathos !!!!


    Hum.


    Sinon t’avais bien compris je faisais évidemment vraiment allusions aux premières pelles, pelotage, rencards organisés au lycée et soirées billard + verre en sortie de cinéma :)

    Mes premiers amours / découvertes cinématographiques je dirais que ça c’est joué vers 12-13 ans...


    Pour Spidey, je n’en connaissais pas les comics. Et je ne les connais que mal aujourd’hui encore. J’ai toujours été plus Batou... du coup la MJ différente des comics m’avait pas marqué. Mais la scène dû bisous inverse sous l’eau... alors que gwen... ben... mon côté fleur bleu et ignorant ne lui pardonnait pas de prendre la place de MJ. Elle m’a pas marqué. Et le film était globalement pas ouf du tout.

    Pour l’intérêt de tes posts, si tu arrives à ne plus supprimer les messages des gens qui te répondent moi je crois que tu vas avoir un vrai petit succès :D
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    [quote]Sinon t'avais bien compris je faisais évidemment vraiment allusions aux premières pelles, pelotage, rencards organisés au lycée et soirées billard + verre en sortie de cinéma [/quote]
    Ah d'accord [img]http://www.1001bd.com/forums_BD/public/style_emoticons/default/biggrin.gif[/img]

    [quote]alors que gwen... ben... mon côté fleur bleu et ignorant ne lui pardonnait pas de prendre la place de MJ. Elle m'a pas marqué.[/quote]
    Roooh ! Comment peux-tu ? [img]http://www.1001bd.com/forums_BD/public/style_emoticons/default/mellow.gif[/img]

    En fait, si Gwen/Emma Stone m'a davantage plu que MJ/Kirsten Dunst - outre le physique - c'est parce que je la trouve moins nunuche et plus mature.
    D'ailleurs, la relation Peter/Gwen est plus mature et adulte que celle de Peter/MJ, qui fait vraiment trop amourette de collégiens (même pas lycéens) à mes yeux.
    Mais n'oublie pas que quand j'ai été voir le premier Spider-Man de Raimi, j'avais déjà 19 ans. Ca joue.
    [size="2"]Alors oui, le film de Marc Webb est clairement moins bien que ceux de Raimi pour toute la partie sur Spidey mais, pour la romance, je préfère celle-là.[/size]
    [size="2"][quote]Pour l'intérêt de tes posts, si tu arrives à ne plus supprimer les messages des gens qui te répondent moi je crois que tu vas avoir un vrai petit succès [/size]:D[size="2"][/quote][/size]
    [size="2"]Ah ? Tu crois que c'est pour ça que j'ai si peu de réponses ? [/size][img]http://www.1001bd.com/forums_BD/public/style_emoticons/default/biggrin.gif[/img]
    Si ça se trouve, j'ai eu plein de réponses enthousiastes sur mon sujet "Harold Ramis : du zénith au nadir" mais je les ai toutes effacées.
    Oui, ça doit être ça [img]http://www.1001bd.com/forums_BD/public/style_emoticons/default/happy.gif[/img]
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    Faudrait que je revois le premier Spidey. J’ai pas gardé cette image de MJ...

    Soit c’est les comics qui te la rende de base moins sympathique, soit c’est moi qui suit comme souvent beaucoup trop gentil avec les romances au cinoche.

    Ceci dit je n’ai vu le troisième Spidey qu’une seule fois
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    [quote name='The_PoP' timestamp='1589095052' post='186607']Faudrait que je revois le premier Spidey. J'ai pas gardé cette image de MJ... Soit c'est les comics qui te la rende de base moins sympathique, soit c'est moi qui suit comme souvent beaucoup trop gentil avec les romances au cinoche. [/quote]
    Une précision quand même : je parle surtout de la MJ [b]du premier film[/b] (puisque c'est de celui-là qu'il est question dans ce topic).
    Même en faisant abstraction de la MJ des comics, celle du premier film de Raimi est vraiment très très... gentille et rien d'autre. Elle est lisse, sans aspérités, sans causticité non plus ni réplique intéressante (contrairement à Gwen [img]http://www.1001bd.com/forums_BD/public/style_emoticons/default/wink.gif[/img][size="2"]). En un mot : potiche.[/size]
    Ce perso fonctionne sur deux modes en fait : soit elle s'illumine comme une ampoule quand elle croise Peter (qui, lui aussi, est tellement benêt qu'il ne remarque jamais rien) soit elle joue le rôle de "fan-girl" de Spider-Man et la fille en détresse.

    Maintenant, dans le 2 et le 3, ils ont nuancé et étoffé un peu le perso.
    Dans le 2, elle affiche quand même plus de caractère, notamment face à l'inconstance de Peter (avec sa pièce de théâtre, etc...) et elle a aussi une bonne réplique à la fin quand elle dit un truc du genre "nous serions idiots de n'être qu'à moitié nous-même".
    Et dans le 3, elle s'assombrit - comme Peter - en devenant amer, jalouse, et même en étant forcée de rompre avec Peter à cause des manigances d'Harry.
    En fait, il ne faut pas oublier que dans cette trilogie, il y a le thème sous-jacent pour les personnages du passage de l'adolescence à l'âge adulte : entre le 1 et le 3, le trio Peter/MJ/Harry n'est plus le même : ils ont appris l'amertume propre à la vie d'adulte, les déceptions, les rancoeurs, etc....
    Donc, forcément, MJ est progressivement moins nunuche, plus affirmée et son personnage est plus développé.

    Mais dans le 1... en fait, c'est simple : la relation Peter/MJ est très proche des mangas shônen sentimentaux (type Love Hina) où le garçon (ultra benêt) met 30 tomes à oser déclarer sa flamme et la fille se contente d'être mignonne et gentille.
    Je me souviens que, dans la salle, lors de leurs scènes, je devais sûrement lever les yeux au ciel à chaque fois tant j'étais assez gêné par le ton très gnangnan [img]http://www.1001bd.com/forums_BD/public/style_emoticons/default/rolleyes.gif[/img]
    Ce qui n'a pas été le cas dans les deux volets suivants.


    @redfoxone : ah oui, merde, j'ai oublié [b]La Mémoire dans la peau[/b]. [img]http://www.1001bd.com/forums_BD/public/style_emoticons/default/dry.gif[/img]
    Ceci dit, pour 2001, j'ai oublié [i]Mulholland Drive [/i][img]http://www.1001bd.com/forums_BD/public/style_emoticons/default/blink.gif[/img][size="2"], peut-être le chef-d'oeuvre de cette année-là pour moi. [/size]
    Faut dire que je ne parle pas de tous les films non plus : il faut encore que j'ai quelque chose à dire dessus et pour la Mémoire (je vais encore me faire des ennemis ^^), je n'ai rien à en dire et je n'ai jamais accroché à la saga. Je vais le mettre dans la liste en bas du post.
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    Ouais le premier la mémoire dans la peau m’avait bien scotché à l’époque au cinéma. Après c’est devenu moins bon. Mais le premier : redoutablement efficace...
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    (Ca y est : je vais encore me faire taper dessus [img]http://www.1001bd.com/forums_BD/public/style_emoticons/default/dry.gif[/img])


    Décidément, de ce que vous en dites, Travis me tente de moins en moins.

    Et mentionner Heat ne me semble pas une bonne comparaison : Heat est un polar psychologique avant tout, d'une durée de 3h00, avec seulement deux grosses scènes d'action (la scène du casse et la fin) alors que La Mémoire dans la Peau, c'est du pur film d'action avec, 90% du temps, un type qui court et qui cogne.
    C'est d'ailleurs pour ça que je ne trouve rien à en dire. En fait, La mémoire dans la peau me ferait plutôt penser au Fugitif avec Harrison Ford ou le bien nommé Poursuite avec Keanu Reeves.
    C'est une méthode éprouvée à Hollywood : un pitch développé sur 20-30 minutes de film (un faux coupable recherché, un espion amnésique qu'on cherche à buter, un scientifique qui a inventé une forme d'énergie qui ne fait pas les affaires des entreprises) et puis, c'est 1h30 de course poursuite.
    Comme dirait Deadpool : booooored ! (je ronfle)

    A ne pas confondre cependant avec les action-movie comme les Die Hard (que j'aime bcp) ou même les John Wick car, eux, ils assument dès le départ leur statut de film d'action avec un scénario et des enjeux basique(s) sans tromper le spectateur sur le produit. Mais avec La mémoire dans la peau (sois-disant tiré du roman de Robert Ludlum ), ils vous font miroiter [b]un film d'espionnage[/b] (façon Les Trois Jours du Condor) mais, au final, on a surtout [b]un film d'action[/b].
    [size="2"]J'ai dit que je n'avais rien à dire sur le film mais si finalement [/size][img]http://www.1001bd.com/forums_BD/public/style_emoticons/default/wink.gif[/img]
    Mais pas en bien [img]http://www.1001bd.com/forums_BD/public/style_emoticons/default/dry.gif[/img]


    Et une idée en entraînant une autre...

    Le pire, c'est quand ils utilisent ce même procédé dans la SF : The Island, Total Recall (le remake surtout), Impostor, A l'aube du sixième jour, Freejack... .
    De la paresse scénaristique, du faux film de SF qui, après une demi-heure d'exposition SF, n'est plus que prétexte à de l'action non-stop et du "c'est toi le chat"
    Qu'est-ce que je déteste ce procédé ! [img]http://www.1001bd.com/forums_BD/public/style_emoticons/default/angry.gif[/img]
    Qu'est-ce que j'ai pu râler dans les années 90 avec ces films où les mecs se disent : "bah, la plupart des spectateurs vont s'ennuyer si on développe l'aspect SF, donc on va mettre plein d'action à la place".
    Comme pour l'espionnage en fait : trop prise de tête pour l'américain lambda. Donc, on va plutôt mettre : un mec qui court.
    Rien à voir avec The Arrival ou Interstellar, ce que j'appelle de la [b]vraie[/b] SF.

    Quand j'y pense... on se plaint du cinéma de ces dernières années mais, en SF, on a eu des films bien plus intéressants (notamment grâce à Nolan et Villeneuve) et vraiment SF que dans les années 90 où on avait une SF bien pourrie avec zéro ambition au niveau des neurones.
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    Curieux, j'ai jamais pris la mémoire dans la peau pour un film d'espionnage tellement c'est de l'action road movie. ^^


    Sinon j'ai beaucoup aimé les HP bien sûr, même si je n'arrive plus à regarder les premiers. Et le seigneur des anneau (surtout le 1, que j'avais vu en cinemax à l'époque qui était le top de l'époque du coin). Et le truc était longuet quand même avec des creux, mais super beau.

    J'ai voué un culte à Mystic River pendant un pack d'année mais à nouveau, le syndrome : je connais le film par coeur, fait que j'ai du mal à le voir à nouveau.


    Le 1er spiderman était franchement bon aussi.

    Je garde une tendresse particulière pour le 1er des nouveaux star wars et une grosse déception de 2 suivants.

    Solaris m'a pas beaucoup frappé. Arrêtes moi si tu peux non plus.
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    Pareil que RR sur la mémoire dans la peau. Belle surprise pour ma part car la façon de le filmer et de représenter l'action était très efficace. Mais je m'étais pas dit que j'allais voir un thriller d'espionnage par contre.

    Arrete moi si tu peux j'avais bien aimé au cinéma. Mais il ne m'a jamais trop donné envie de le revoir.
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    @Pop : je n'avais même pas envie de relever tant ça sent l'asticotage de ta part [img]http://www.1001bd.com/forums_BD/public/style_emoticons/default/rolleyes.gif[/img]
    Je n'ai rien dit contre la scène du baiser (bien faites j'en conviens) mais contre la [u]caractérisation[/u] du perso de MJ. CQFD.

    Et pour La mémoire dans la peau... à la base, c'est tiré d'un roman d'espionnage de Robert Ludlum (un classique du genre) qui a aussi fortement inspiré Van Hamme pour XIII.
    Et même si vous allez encore me dire que le roman, on s'en fout... voilà encore un procédé qui m'agace, tiens : reprendre le titre et la trame (très très appauvrie) d'un roman connu et donc tromper le public qui connaît le bouquin, ne serait-ce même que de réputation. Il y a eu un téléfilm dans les années 90 qui était plus fidèle au roman que le film avec Damon.
    Autant écrire un scénario original d'action movie en reprenant l'idée de base (Van Hamme ne s'est pas gêné pour le faire ^^) plutôt que de faire une pseudo-adaptation avec le titre "La mémoire dans la peau" et la mention "tiré du best-seller de Robert Ludlum" [img]http://www.1001bd.com/forums_BD/public/style_emoticons/default/dry.gif[/img][size=2]. [/size]
    [size=2]Evidemment, c'est plus vendeur mais c'est surtout très trompeur.[/size]

    Sinon, j'ai bien conscience qu'il existe en fait deux types de films "d'espionnage" : ceux qui privilégient l'action (les James Bond, La mémoire dans la peau, Ennemi d'état, le récent Atomic Blonde) et les vrais films d’espionnage comme :
    - L'espion qui venait du froid
    - La maison russie
    - Les Trois jours du Condor
    - Le Quatrième Protocole
    - Osterman Week-End
    (qui sont tous des adaptations de romans d'espionnage d'auteurs comme John Le Carré ou Robert Ludlum).
    Il y a aussi Spy Game : Jeu d'espions (2001) avec Redford et Pitt qui est un des rares derniers vrais films d'espionnage que j'ai vu.
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    La mémoire dans la peau, la trame de fond du 1er est très bonne je trouve.L'héritage est d'ailleurs, à mon avis meilleur, que les suites semi bancales pour le scénario.


    Je ne connais que de nom la plupart de ces films d'espionnage. Le vrai film d'espionnage pour moi c'est Les Patriotes, qui fonctionne toujours malgrè quelques années. Et en série le bureau des Légendes (au moins les 2 premières saisons... après ça se perd...)
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    Bizarre tant Spy Games m’avait donné l’impression d’un navet décevant à l’époque.

    Il mérite peut être une révision tant j’avais du mal avec Brad Pitt et Robert Redford plus jeune.
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    Tiens je ai revu 8 miles.
    Bah c’est moins chouette que dans mon souvenir quand même.

    Faut dire que je l’ai regardé en Vf ça n’aide pas.

    8 miles ben... ça manque de rap finalement. Et Eminem n’est pas un acteur qui marque.


    Dommage, il y a de bonnes idées et trouvailles.
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    Jamais vu.
    Faut dire que le rap et moi, ça fait deux. Et avec Eminem en plus, ça fait trois. [img]http://www.1001bd.com/forums_BD/public/style_emoticons/default/wink.gif[/img]
    Et même si le film va au-delà de ça... ben... on a tous ses a priori disons.

    [color="#1C2837"][font="Verdana, Tahoma, Arial,"][quote]Faut dire que je l'ai regardé en Vf ça n'aide pas.[/quote][/font][/color]
    [color="#1C2837"][font="Verdana, Tahoma, Arial,"]Aïe, effectivement. Surtout quand c'est une personnalité connue dont on connaît la voix qui joue [/font][/color][img]http://www.1001bd.com/forums_BD/public/style_emoticons/default/dry.gif[/img]

    [size="2"]Sinon, ça n'a rien à voir mais j'ai revu [b]Stranger than fiction (L'incroyable Destin d'Harol Crick)[/b] hier. [/size]
    [size="2"]Toujours sympa et original, avec un humour étrangement décalé et un excellent casting : Will Ferrel (que pourtant je n'aime pas) excellent dans le rôle-titre, Dustin Hoffman tordant en prof de littérature bizarre, Maggie Gyllenhall espiègle et craquante et Emma Thomson en écrivain(e) dépressive.[/size]
    [size="2"]J'en reparlerai sans doute dans le topic de l'année 2006 [/size][img]http://www.1001bd.com/forums_BD/public/style_emoticons/default/wink.gif[/img]
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    Ahhh c'est ma fauteeeeeeee trop désolé. J'ai voulut modifier car il était trop long.... RR tu peux retrouver le message d'origine ? 

     

     

    Trop desolé phil = On va s'en sortir t'inquiete 🙂

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    Ca va 🙂 Dans le pire des cas, je peux retrouver les textes dans mes fichiers et les photos mais il faudra tout remettre. Si vous pouviez retrouver le message d'origine, ça m'arrangerait. Là, je viens de remettre en forme l'année 2003 (avec les notes étoiles en plus 🤩

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    il y a 29 minutes, VladNirky a dit :

    Rien n’est perdu 

    En fait non moi c'était 2001 et 2004 que j'ai retouché. Celui là... c'est pas moi. Ou alors je ne sais pas comment 😂😂😂

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    • Orgies barbares tome 8
      Note :
      Déjà le tome 8 pour cette saga débutée il y a un peu plus de 10 ans par l'espagnol Erich Hartmann ! Il conserve le principe de minis histoires mettant en scène de jolies femmes dans ce monde "érotic-fantasy", avec des dialogues savoureux. N'ayant pas lu les tomes précédents j'ai été un peu perdu parfois dans cette farandole de protagonistes féminins, les annexes en fin d'album portant sur une présentation des héroïnes fut la bienvenue. Qu'à cela ne tienne, même si je n'ai pas bien tout compris, les enjeux restent assez sommaires et indubitablement portés sur la bagatelle. Oubliez l'érotisme des autres sorties BD du catalogue Tabou, ici on est dans un vrai porno avec gros plans, prises multiples (oubliez le bricolage hein), en solo, couples lesbiens, c'est en effet un large tour d'horizon s'offrant à vous ! J'en oublie presque la scène introductive avec un démon doté de deux membres, je vous laisse imaginer la suite 😉 . La magie opère dans ces lieux de luxure où les corps s'abandonnent aux divers plaisirs sexuels. A noter le trait délicieux de l'artiste espagnol avec ces poses lascives des corps embrasant les yeux des lecteurs, habillées ou dénudées les femmes dégagent une grande sensualité à travers son style tout en rondeur et préservant les proportions "humaines", à l'exception parfois des membres masculins "surhumains" 😉 . Une découverte des us et coutumes de ce monde médiéval magique en empruntant de nombreuses portes dérobées dans les couloirs étroits et sombres des châteaux, avec en plus des intrigues de palais. Oserez-vous pénétrer ces lieux ? 

      https://www.tabou-editions.com/bandes-dessinees/71048-orgies-barbares-volume-7-9782359542202.html

       

       

       
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    • Dred Scott - Tome 1 - New York 1893
      Note :
      Dred Scott a tout de la bonne idée. D'abord un thème peu exploité, à part gangs of new york, je n'ai pas en tête beaucoup d'oeuvres connues de ce côté de l'atlantique pour avoir exploré le New York du XIXème siècle. Ici on se situe après la fin de la guerre de secession, et c'est la seconde bonne idée. Nous proposer un récit tout en nuances de gris, absolument pas manichéens, ou le lecteur doit rester constamment éveillé pour ne pas se faire avoir par les scénaristes. 

      Bravo donc au duo d'auteurs Tom Graffin et Jérôme Ropert qui nous offrent un second chouette récit ce mois-ci à New York après la sortie du tome 2 de Ange Lecca. 

      Seul bémol sur ce Dred Scott, je trouve le dessin un cran en dessous des dernières sorties chez Grand Angle. Attention c'est propre et loin d'être mauvais, mais que ce soit le dessin ou la colorisation je trouve qu'il y manque le petit supplément de charme et d'âme qui donne envie, probablement par manque de temps car le talent est bien là. Dommage car je trouvais la couv' très réussie et pleine de promesses... C'est tout de même avant tout une question une nouvelle fois de goûts et de couleurs. 

      Ceci dit ce Dred Scoot est vraiment agréable à lire et cache de jolis rebondissements qui nous feront en attendre la suite avec impatience.
      • 1 réponse
    • 1, 2, 3 Piccard - Pionniers du ciel et des abysses
      Note :
      Belle découverte que l'histoire de ces Piccard. Pour être très transparent, je n'avais jamais entendu parler d'eux. La ou, en tant que bon français, j'ai entendu parler de Jacques Yves Cousteau mais pas des inventeurs du bathyscaphe. Et si seulement c'était uniquement le bathyscaphe....

      C'est ce qui est dingue dans cette histoire de famille. Nos trois générations de Piccard ont inventé énormément de trucs connus et ayant aidé à repousser les limites de la science et de la connaissance humaine.

      Du premier vol stratosphérique, en ballon, au premier tour du monde dans un avion entièrement solaire, cette famille d'ingénieur "self made" est passé du plus haut dans le ciel au plus profond des océans, en ayant toujours pour objectif la promotion de la science.

      Des aventuriers de la science qui montre de l'on pouvait (et l'on peut surement encore) se lancer des défis alliant prouesse scientifique et courage, et cela, même à l'air d'Elon Musk et consort.
      • 0 réponse

    • The new gate tome 5 & 6
      Note :
      Shin continue d'essayer de recoller les morceaux sur les événements qui se sont produits lors de la fin du jeu et cherche toujours une porte de sortie pour retrouver son véritable univers.

      Pour ce faire il reprend contact avec d'anciens partenaires toujours vivants... mais vieux de 500 ans. Après l'euphorie de retrouver sa force mais aussi Shnee, il se heurte à la mortalité et la vieillesse des personnes qui sont, eux, restés là durant ces 500 ans.

      Bref un tome 5 qui conclue l'arc du retour du héros et nous lance vers un tome 6 qui lance un nouvel arc ou un ennemi semble pointer le bout de son nez. Ce qui nous fait remarquer que les premiers tomes ont été super agréables à lire, alors même qu'il n'y avait que des gentils.

      Un manga toujours porté par une nostalgie super présente et une bienveillance de tous les instants de notre héros qui n'abuse pas de ces pouvoirs, se contentant de continuer son exploration du monde.
      • 0 réponse
    • Le pauvre bêta ne connaît pas l'amour tomes 1 & 2
      Note :
      Seno est le majordome attitré de Ryôsuke, un alpha dominant et aussi son ami d’enfance. Il fait passer son travail avant et reste stoïque en toute occasion également quand Ryôsuke le provoque volontairement en ayant des relations sexuelles avec des omegas devant lui.

      Cependant Seno a de plus en plus de mal à contenir sa propre libido et se rend secrètement en ville pour avoir des relations d’une nuit en se faisant passer pour un omega. Mais il se peut que ses changements physiques aient une origine qu’il ignore…

      Les Bêtas ne sont pas forcément les personnages le plus mis à l’honneur dans l’omegaverse et souvent, sous l’influence des phéromones alpha, ils finissent par changer de genre. C’est une facilité dans le scénario qui permet des scènes érotiques osées ! Ce manga propose une approche différente et assez surprenante que je ne vous dévoilerai pas !

      La série n’est pas désagréable mais manque un peu de peps. La révélation de fin du tome un est cassez dérangeante… Et j’ai un peu peur que la fin tombe dans l’écueil de la facilité, ce sera à voir dans le 3e et dernier tome de la série.
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