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  1. Titre de l'album : Pepper Page sauve l'univers ! Scenariste de l'album : Landry Q. Walker Dessinateur de l'album : Eric Jones Coloriste : Eric Jones Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : Pepper Page, une jeune orpheline de 15 ans, n'aspire qu'à une chose : s'évader de son quotidien en trouvant refuge dans les bandes dessinées de son héroïne favorite, Supernova. Une expérience scientifique aux résultats inattendus menée par le Professeur Killian, son enseignant en science, va la propulser dans la peau et dans l'univers de sa super-héros fétiche. Accompagnée de Mister McKittens, un chat transporté malencontreusement avec elle dans cet univers fantastique, Pepper va être confrontée à la vie pleine d'action, d'aventure et de mystère d'une vraie héroïne... et comprendre par la même occasion que la réalité est parfois plus étrange que la fiction ! Critique : Qu'il est difficile d'expliquer ce qu'on n'a pas apprécié dans une bd, d'autant plus quand cela n'est pas forcément évident tant la qualité globale de celle-ci où le travail des auteur ne saurait être remise en cause objectivement. Ne vous fiez pas nécessairement à ma note assez basse, ce Pepper Page a de belles qualités, et forcément étant très orienté ados je ne suis pas vraiment le public cible. Peut être suis-je un petit peu blasé de ce type d'histoires mais je me suis assez rapidement ennuyé dans ce Pepper Page avec une forte impression de déjà lu doublée d'une difficulté à m'immerger dans le monde proposé. Les enjeux et personnages ne m'ont pas parlé. Dommage car au fond si l'histoire est assez connue désormais du fan de héros qui se retrouve plongé dans la peau ou les aventures de ses idoles, cela aboutit pourtant souvent à des bd mémorables. Las, même le dessin bien léché d'Eric Jones n'aura réussi à me faire tenir jusqu'au bout. D'où ma note. A réserver pour moi aux jeunes ados (peut être même plutôt orientés pour les jeunes filles) qui y trouveront probablement bien plus leur compte que moi. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/pepper-page-sauve-l-univers?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. The_PoP

    Pepper Page sauve l'univers !

    Qu'il est difficile d'expliquer ce qu'on n'a pas apprécié dans une bd, d'autant plus quand cela n'est pas forcément évident tant la qualité globale de celle-ci où le travail des auteur ne saurait être remise en cause objectivement. Ne vous fiez pas nécessairement à ma note assez basse, ce Pepper Page a de belles qualités, et forcément étant très orienté ados je ne suis pas vraiment le public cible. Peut être suis-je un petit peu blasé de ce type d'histoires mais je me suis assez rapidement ennuyé dans ce Pepper Page avec une forte impression de déjà lu doublée d'une difficulté à m'immerger dans le monde proposé. Les enjeux et personnages ne m'ont pas parlé. Dommage car au fond si l'histoire est assez connue désormais du fan de héros qui se retrouve plongé dans la peau ou les aventures de ses idoles, cela aboutit pourtant souvent à des bd mémorables. Las, même le dessin bien léché d'Eric Jones n'aura réussi à me faire tenir jusqu'au bout. D'où ma note. A réserver pour moi aux jeunes ados (peut être même plutôt orientés pour les jeunes filles) qui y trouveront probablement bien plus leur compte que moi.
  3. David Chauvel poursuit l'aventure et l'exploration avec les vikings en terre inconnue face à des indiens de l'actuel Canada. On retrouve Sigrid en compagnie de ses sauveurs qui tente de se faire accepter de ce peuple vivant en harmonie avec la nature. Cependant, son ennemi juré à réussi à rejoindre la colonie viking avec pour mission de mener des guerriers pour récupérer par tous les moyens le mystérieux objet que Sigrid garde toujours sur elle. Le récit se base sur les dernières découvertes archéologiques montrant que les vikings ont découvert l’Amérique du nord, cinq siècles avant Christophe Colomb. Le scénariste imagine comment les deux civilisations différentes ont pu se rencontrer et échanger avec leur différence. La religion catholique n’est pas en reste avec l’histoire de la relique qui impacta les vikings et plus tard les indiens. La dessinatrice Maria Riccio succède à Patrick Pion dans un style relativement similaire mais on perd quand même en finesse de trait. Les couleurs de Lou assurent une cohérence entre les deux dessins. Sigrid est un dytique de qualité sur les aventures d’une viking voulant vivre avec les indiens. Avec cette suite on perd un peu du rythme du premier tome.
  4. Titre de l'album : Sigrid tome 2 - Les maîtres de ce pays Scenariste de l'album : David Chauvel Dessinateur de l'album : Maria Riccio Coloriste : Lou Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Sigrid, la jeune rescapée viking, a dû affronter les siens et fuir en compagnie de Gotheyet. Tandis que du côté des colons, une expédition punitive se prépare, la jeune femme découvre le mode de vie de son nouveau peuple d'adoption... Prise en étau, Sigrid va non seulement devoir choisir entre deux mondes, mais aussi éviter un conflit qui pourrait signifier leur disparition à tous... Critique : David Chauvel poursuit l'aventure et l'exploration avec les vikings en terre inconnue face à des indiens de l'actuel Canada. On retrouve Sigrid en compagnie de ses sauveurs qui tente de se faire accepter de ce peuple vivant en harmonie avec la nature. Cependant, son ennemi juré à réussi à rejoindre la colonie viking avec pour mission de mener des guerriers pour récupérer par tous les moyens le mystérieux objet que Sigrid garde toujours sur elle. Le récit se base sur les dernières découvertes archéologiques montrant que les vikings ont découvert l’Amérique du nord, cinq siècles avant Christophe Colomb. Le scénariste imagine comment les deux civilisations différentes ont pu se rencontrer et échanger avec leur différence. La religion catholique n’est pas en reste avec l’histoire de la relique qui impacta les vikings et plus tard les indiens. La dessinatrice Maria Riccio succède à Patrick Pion dans un style relativement similaire mais on perd quand même en finesse de trait. Les couleurs de Lou assurent une cohérence entre les deux dessins. Sigrid est un dytique de qualité sur les aventures d’une viking voulant vivre avec les indiens. Avec cette suite on perd un peu du rythme du premier tome. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sigrid-tome-2-les-maitres-de-ce-pays?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Titre de l'album : Le Scorpion - Tome 14 - La tombe d'un dieu Scenariste de l'album : Stephen Desberg Dessinateur de l'album : Luigi Critone Coloriste : Luigi Critone Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Au Caire, le Scorpion a retrouvé Méjaï. Mais elle lui a interdit de se mêler de sa vie et de celle de leur enfant... qui semble avoir disparu. À bord d'une felouque descendant les eaux du Nil, le Scorpion compte bien découvrir la vérité, mais il a besoin d'argent. Ainsi se remet-il au service de la Sabbatéenne, une femme plus dangereuse encore, capable de percer les mystères du passé. La Sabbatéenne s'est lancée sur les traces du plus mystérieux des pharaons, Akhenaton, l'inventeur du dieu unique. Elle est persuadée qu'en trouvant sa tombe, elle pourra faire le lien avec son grand prêtre Tamose, le Moïse de la Bible, et l'exode vers la Palestine, aujourd'hui revendiquée par les juifs, les musulmans et les chrétiens d'Occident. Mais la quête tourne mal. Des hommes armés les attaquent. Le trésor de la tombe d'Akhenaton attire toutes les convoitises, et particulièrement celles du puissant Al Kabir, le maître de Méjaï qui possède la clé de ses secrets. Deuxième volet d'un nouveau cycle de la saga Le Scorpion, cet album, qui conjugue l'exotisme et la grande aventure chère à Stephen Desberg, est magnifié par le coup de pinceau et les couleurs éclatantes de Luigi Critone, digne successeur d'Enrico Marini. Critique : Mettons les choses au clair d'emblée, je suis un immense fan de la série Le Scorpion tant elle a enchanté ma passion pour la bd. La passation d'auteur entre Enrico Marini et Luigi Critone s'avérait donc périlleuse, et le tome 13, le précédent avait été plutôt rassurant finalement avec le démarrage d'un nouveau cycle. Las, je vous le dis sans cachotterie, quand j'ai reçu ce tome du Scorpion, c'est finalement la dernière bd que j'ai lue de ma commande. Et ce n'est pas vraiment bon signe tant je privilégie habituellement les séries plaisir, au rang duquel Le Scorpion fait habituellement figure de favori. Oui en feuilletant au préalable ce tome je n'ai pas eu envie de le lire plus que ça. Une impression d'ennui, d'une forme de statique dans le dessin, et certaines colorisation manquant de nuances pour moi m'ont refroidi. Méjaï a perdu de son charme et ce n'est pas peu significatif. C'était mes premières impression, et la lecture devait me dire si j'étais à côté de la plaque ou non. Le bilan est mitigé. Si globalement je ne me suis pas ennuyé, et que j'ai aimé les ramifications de l'enquêtes que Le Scorpion mène cette fois-ci, j'ai tout de même trouvé les scènes d'actions très plates, les scènes de séduction fades, et les couleurs parfois gênantes. Le soucis est que si l'idée de base de la série Le Scorpion avec ces "familles" imaginant la création d'une église catholique visant à préserver leurs intérêts était brillante, une fois ce cycle refermé la suite est compliquée. Alors même si Stephen Desberg nous livre un scénario intéressant, la baisse de l'ambiance film de Cape et d'épée d'époque que Marini avait su insuffler à sa série est désormais préjudiciable je trouve, et les passages narratifs ou les échanges un peu trop verbeux ne font que renforcer cette impression. Pourtant les dessins de Luigi Critone sont beaux, simplement les qualités de son dessin ne sont pas les mêmes que celles du dessin de son prédécesseur, et ce dynamisme bloque le souffle d'aventure épique qui devrait régner en maître sur cette série. Oui le tout manque de panache. Ce tome 14 marque donc pour moi le changement de style de la série Le Scorpion, et son retour dans le plus relatif anonymat des séries BD de qualité mais qui ne sont pas marquantes pour autant. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-scorpion-tome-14-la-tombe-d-un-dieu?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Mettons les choses au clair d'emblée, je suis un immense fan de la série Le Scorpion tant elle a enchanté ma passion pour la bd. La passation d'auteur entre Enrico Marini et Luigi Critone s'avérait donc périlleuse, et le tome 13, le précédent avait été plutôt rassurant finalement avec le démarrage d'un nouveau cycle. Las, je vous le dis sans cachotterie, quand j'ai reçu ce tome du Scorpion, c'est finalement la dernière bd que j'ai lue de ma commande. Et ce n'est pas vraiment bon signe tant je privilégie habituellement les séries plaisir, au rang duquel Le Scorpion fait habituellement figure de favori. Oui en feuilletant au préalable ce tome je n'ai pas eu envie de le lire plus que ça. Une impression d'ennui, d'une forme de statique dans le dessin, et certaines colorisation manquant de nuances pour moi m'ont refroidi. Méjaï a perdu de son charme et ce n'est pas peu significatif. C'était mes premières impression, et la lecture devait me dire si j'étais à côté de la plaque ou non. Le bilan est mitigé. Si globalement je ne me suis pas ennuyé, et que j'ai aimé les ramifications de l'enquêtes que Le Scorpion mène cette fois-ci, j'ai tout de même trouvé les scènes d'actions très plates, les scènes de séduction fades, et les couleurs parfois gênantes. Le soucis est que si l'idée de base de la série Le Scorpion avec ces "familles" imaginant la création d'une église catholique visant à préserver leurs intérêts était brillante, une fois ce cycle refermé la suite est compliquée. Alors même si Stephen Desberg nous livre un scénario intéressant, la baisse de l'ambiance film de Cape et d'épée d'époque que Marini avait su insuffler à sa série est désormais préjudiciable je trouve, et les passages narratifs ou les échanges un peu trop verbeux ne font que renforcer cette impression. Pourtant les dessins de Luigi Critone sont beaux, simplement les qualités de son dessin ne sont pas les mêmes que celles du dessin de son prédécesseur, et ce dynamisme bloque le souffle d'aventure épique qui devrait régner en maître sur cette série. Oui le tout manque de panache. Ce tome 14 marque donc pour moi le changement de style de la série Le Scorpion, et son retour dans le plus relatif anonymat des séries BD de qualité mais qui ne sont pas marquantes pour autant.
  7. Titre de l'album : Le passage intérieur - Voyage essentiel en Alaska Scenariste de l'album : Maxime De Lisle Dessinateur de l'album : Mai Bach Coloriste : Mai Bach Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Premier livre de Maxime de Lisle et Bach Maï, Le Passage intérieur est un témoignage émouvant, une réflexion sur ce qu'est être Humain au milieu d'une nature si puissante et sauvage. C'est aussi un guide pratique pour ceux qui souhaitent se lancer dans une telle aventure. Le récit d'un moment essentiel, la prise de conscience de l'extrême fragilité de notre planète bleue. Critique : Le passage intérieur est un magnifique roman graphique sur une expédition menée par quatre amis pour traverser l'Alaska en kayak. Le scénariste Maxime De Lisle fait partie de cette expédition et nous propose de retracer toute cette aventure. L'auteur commence avec toute la préparation qu'il faudra aux membres pour se former et maitriser leur kayak. Les provisions essentielles qu'il faudra prendre ainsi que le matériel sans trop se charger de choses inutiles. L'expédition peut alors débuter et nous emmène dans des paysages de toute beauté. L'auteur insère également quelques informations écologiques avec le dérèglement climatique dont les effets négatives sont déjà très visibles en Alaska. Les dessins de Mai Bach en couleurs directes apportent la touche finale, pour donner une dimension incroyable à l'histoire. Les paysages sont terribles, les animaux très bien représentés. Plusieurs planches ont les dessins en noir et blanc avec quelques éléments en couleur dans les cases pour leurs donner de l'importance au départ et à la fin de l'aventure. Pour leur première bande dessinée, les deux auteurs du passage intérieur réussissent un tour de force pour nous passionner et suivre leur voyage. Les auteurs insèrent des conseils, des informations sur la nature pour mieux affronter les éléments. Les doubles planches nous permettent de nous perdre dans les paysages de l’Alaska. Je recommande la lecture de ce voyage incroyable. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/passage-interieur-voyage-essentiel-en-alaska?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Le passage intérieur est un magnifique roman graphique sur une expédition menée par quatre amis pour traverser l'Alaska en kayak. Le scénariste Maxime De Lisle fait partie de cette expédition et nous propose de retracer toute cette aventure. L'auteur commence avec toute la préparation qu'il faudra aux membres pour se former et maitriser leur kayak. Les provisions essentielles qu'il faudra prendre ainsi que le matériel sans trop se charger de choses inutiles. L'expédition peut alors débuter et nous emmène dans des paysages de toute beauté. L'auteur insère également quelques informations écologiques avec le dérèglement climatique dont les effets négatives sont déjà très visibles en Alaska. Les dessins de Mai Bach en couleurs directes apportent la touche finale, pour donner une dimension incroyable à l'histoire. Les paysages sont terribles, les animaux très bien représentés. Plusieurs planches ont les dessins en noir et blanc avec quelques éléments en couleur dans les cases pour leurs donner de l'importance au départ et à la fin de l'aventure. Pour leur première bande dessinée, les deux auteurs du passage intérieur réussissent un tour de force pour nous passionner et suivre leur voyage. Les auteurs insèrent des conseils, des informations sur la nature pour mieux affronter les éléments. Les doubles planches nous permettent de nous perdre dans les paysages de l’Alaska. Je recommande la lecture de ce voyage incroyable.
  9. poseidon2

    Cinq avril t1

    Nouvelle série d'aventures jeunesse chez Dupuis. Cette fois-ci, cette série se base dans un contexte historique. Pas n'importe lequel : L'intégration de la Bretagne au royaume de France via le mariage d'Anne de Bretagne aux rois de France. Période à la mode avec Le bossu de Montfaucon qui parait en parallèle (mais pour les adultes). Qui dit période historique dit besoin de rappeler les états des forces en présence et le pourquoi des tensions actuelles. Si cela est plutôt bien fait dans ce "Cinq avril", nos auteurs on voulut ajouter un côté fantastique avec un ajout de Léonard de Vinci et de ses inventions. SI cela rend le récit plus sympa et plus dynamique, cela le rend aussi plus lourd et plus dense. A mon avis un peu trop dense pour le public cible. Les adultes réussiront sans soucis à appréhender le côté historique et le côté aventureux, appréciant donc un album dynamique et dense, j'ai bien peur que le jeune public ne soit un peu noyer par ces explications historiques et "mystiques". Un album que je conseillerais de ce fait au plus de 12 ans.
  10. poseidon2

    Cinq avril t1

    Titre de l'album : Cinq avril t1 Scenariste de l'album : Duval Fred / Bussi Dessinateur de l'album : Monin Coloriste : Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : 5 avril 1510. Une noble mystérieuse dépose aux portes du château du Clos Lucé un nouveau-né portant pour seul bagage un étrange collier d'or. Baptisé « Cinq Avril » par les cuisinières qui le recueillent et pris sous l'aile éducatrice d'un autre résident du château - un certain Léonard de Vinci -, l'enfant grandit en énergie et en savoir, initié à de nombreux secrets. À la mort de son mentor, le jeune homme découvre une lettre posthume lui expliquant qu'il porte en lui le pouvoir de changer le cours de l'Histoire, et de sauver des millions de vies humaines pour les siècles à venir, s'il perce le secret de sa naissance... Traqué dès lors par le cardinal Sordi - un religieux brûlant de détruire l'héritage « impie » de Léonard - Avril doit fuir vers la Bretagne en quête de ses origines, guidé par les maigres indices laissés à sa disposition. Sur ses traces, l'ombre discrète et protectrice d'Ariane, la fille de son maître d'arme, formée depuis l'enfance à protéger Avril au prix de sa vie... La grande aventure sur fond de grande Histoire vient de commencer ! Fred Duval, scénariste unanimement reconnu pour ses talents, s'associe ici à l'écrivain Michel Bussi (Un Avion sans elle) dont il avait déjà adapté Les Nymphéas noirs. Noë Monin leur apporte son trait plein de vie et d'énergie. Critique : Nouvelle série d'aventures jeunesse chez Dupuis. Cette fois-ci, cette série se base dans un contexte historique. Pas n'importe lequel : L'intégration de la Bretagne au royaume de France via le mariage d'Anne de Bretagne aux rois de France. Période à la mode avec Le bossu de Montfaucon qui parait en parallèle (mais pour les adultes). Qui dit période historique dit besoin de rappeler les états des forces en présence et le pourquoi des tensions actuelles. Si cela est plutôt bien fait dans ce "Cinq avril", nos auteurs on voulut ajouter un côté fantastique avec un ajout de Léonard de Vinci et de ses inventions. SI cela rend le récit plus sympa et plus dynamique, cela le rend aussi plus lourd et plus dense. A mon avis un peu trop dense pour le public cible. Les adultes réussiront sans soucis à appréhender le côté historique et le côté aventureux, appréciant donc un album dynamique et dense, j'ai bien peur que le jeune public ne soit un peu noyer par ces explications historiques et "mystiques". Un album que je conseillerais de ce fait au plus de 12 ans. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/cinq-avril-tome-1-l-heritier-de-da-vinci?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. poseidon2

    Spirite t2 : Obsession

    Après un très bon tome 1, nous attendions avec impatience la confirmation de la qualité de la série avec ce tome 2. Et bien Mara ne nous a pas trompé sur la marchandise avec un tome 2 dans la ligne droite du précédent : Dynamique, interessant , mais surtout qui nous montre une vraie histoire d'aventure sur 3 tomes. C'est ce qui est, pour moi, le vrai point positif de ce tome 2 : la promesses d'une histoire maitrisée et refléchie en 3 tomes. En effet on a trop souvent des histoires qui sont plus des successions de one shot qu'une vraie histoire en 3tomes. Vous savez des tomes qui finissent avec des beaux cliffhangers mais qui se veulent etre marquant. Des tomes chocs qui mit ensemble forment une trame, à contrario d'une vraie histoire continue. Ici on ne parle pas de trame. C'est une histoire qui s'arrête et reprend, dans le tome suivant, à la page d'après. Et ca ca fait du bien aux amateurs d'histoires. C'est ce qu'il se passe dans ce tome 2. On recommence à la page suivant la fin du t1 et on continue. On continue à 200 à l'heure exactement comme le laissait penser la fin du premier tome. Plus d'introduction ni d'explication. L'histoire avance pleine de rythme et découverte. Une vraie belle et grande aventure qui se concluera avec brio dans le tome 3 à n'en pas douter.
  12. Titre de l'album : Spirite t2 : Obsession Scenariste de l'album : Mara Dessinateur de l'album : Mara Coloriste : Mara Editeur de l'album : Drakoo Note : Résumé de l'album : Chasser les fantômes ou chercher à les comprendre, à vous de choisir... New York, 1931. Les fantômes existent, les spiritologues les étudient. Boris Voynich, spécialiste des ectoplasmes, est assassiné sous les yeux de son jeune protégé Ian Davenport. Le chasseur de fantômes s'associe avec une journaliste, Nell Lovelace, afin de résoudre cette sordide affaire. Ensemble, ils mettent la main sur des informations capitales lors d'une soirée de gala qui devient la cible du terrifiant et énigmatique meurtrier de Boris, Arthur Arroway. Obsédé par une féroce vendetta personnelle, il capture Ian et Nell et les emmène à bord de son dirigeable géant. Les deux prisonniers échafaudent alors un plan d'évasion désespéré en compagnie d'une autre captive, l'aviatrice Mary Pickett. Critique : Après un très bon tome 1, nous attendions avec impatience la confirmation de la qualité de la série avec ce tome 2. Et bien Mara ne nous a pas trompé sur la marchandise avec un tome 2 dans la ligne droite du précédent : Dynamique, interessant , mais surtout qui nous montre une vraie histoire d'aventure sur 3 tomes. C'est ce qui est, pour moi, le vrai point positif de ce tome 2 : la promesses d'une histoire maitrisée et refléchie en 3 tomes. En effet on a trop souvent des histoires qui sont plus des successions de one shot qu'une vraie histoire en 3tomes. Vous savez des tomes qui finissent avec des beaux cliffhangers mais qui se veulent etre marquant. Des tomes chocs qui mit ensemble forment une trame, à contrario d'une vraie histoire continue. Ici on ne parle pas de trame. C'est une histoire qui s'arrête et reprend, dans le tome suivant, à la page d'après. Et ca ca fait du bien aux amateurs d'histoires. C'est ce qu'il se passe dans ce tome 2. On recommence à la page suivant la fin du t1 et on continue. On continue à 200 à l'heure exactement comme le laissait penser la fin du premier tome. Plus d'introduction ni d'explication. L'histoire avance pleine de rythme et découverte. Une vraie belle et grande aventure qui se concluera avec brio dans le tome 3 à n'en pas douter. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/spirite-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Il est difficile d'écrire cette chronique après avoir lu La république du crâne dans le même weekend, puisqu'en effet il est difficile de ne pas comparer les deux bandes dessinées, les deux auteurs principaux étant les mêmes, même si pour Cosaques, Vincent Brugeas et Ronan Toulhoat sont renforcés fort à propos par le travail remarquable de Yoann Guillo, mais j'y reviendrais plus tard. J'écrirais donc cette chronique en mettant souvent en parallèle les deux ouvrages car je vous sais nombreux à avoir lu La république du crâne. On est ici également sur de la bd d'aventure historique, appuyé sur une forte thématique de recherche de liberté, finalement bien plus proche de La république du crâne qu'il ne peut y sembler au premier abord. L'emplacement géographique choisi pour cette bd prendra fort malheureusement un douloureux écho avec notre actualité mais il nous apporte de la fraicheur puisqu'on en ignore à peu près tout, même pour les plus férus d'histoire. Ceci dit il y a une différence très importante entre les deux, et qui explique en, grande partie la note légèrement inférieure attribué sur Cosaques. Il ne s'agit ici que d'un premier tome et non d'une histoire complète aboutie. Et malheureusement, on craint ici l'effet Ira Déi, à savoir une série avec de fortes promesses, qui peuvent finalement décevoir si les chiffres de ventes ne suivant pas, la série doit s'arrêter. L'histoire de ce Cosaques avance vite, à un rythme soutenu, mais agréable et la fin de ce tome 1 ne nous laisse pas en plan au beau milieu de l'intrigue, ce qui reste agréable. Reste que j'ai toutefois eu du mal à discerner le fil conducteur de la série à venir et les futurs enjeux de la trame principale. Il faut cependant je crois faire confiance à Vincent Brugeas pour nous livrer une intrigue qui devrait gagner en intensité sur les prochains tomes. Côté dessin, on touche au très très beau. Si le trait de Ronan Toulhoat est habituellement puissant et sans concession sur ses personnages, accentuant souvent leurs émotions au profit d'un certains esthétisme ou réalisme, il nous livre ici des planches plus conventionnelles par rapport à son style habituel, mais dont les personnages et l'action sont toujours le centre, quitte parfois à nous présenter des décors et des arrières plans un poil trop évanescent pour les amateurs de paysages. Il n'empêche qu'une fois que j'ai fait la fine bouche ainsi, je ne peux que constater que l'influence de Yoann Guillo est ici toute bénéfique tant les planches, l'ambiance, les personnages dégagent une harmonie et une cohérence qui donne envie de tourner chaque pages et d'y revenir. Ses mises en couleurs, toutes en nuances, renforcent les ambiances de chaque planches et me rappellent beaucoup le travail d'Alex Alice. Le travail de Yoann Guillo avait déjà été mis en avant à juste titre sur Goldorak, il faut ici tirer son chapeau car il réussit à bonifier encore une fois le travail d'un artiste pourtant déjà merveilleux. Une fois refermé, ce Cosaques m'a moins marqué que ma lecture de la République du Crâne puisqu'il ne s'agit que d'un début d'histoire, mais il m'est resté, une fois la dernière page refermée, comme une impression de jeune Scorpion, ce qui est plutôt remarquable. Croisons les doigts pour le succès en librairie de ce Cosaques, et l'inspiration de Vincent Burgeas, afin de nous retrouver avec une série dont on dévorera chaque nouveau tome avec un immense plaisir.
  14. Titre de l'album : Cosaques - Tome 1 - Le hussard ailé Scenariste de l'album : Vincent Brugeas Dessinateur de l'album : Ronan Toulhoat & Yoann Guillo Coloriste : Yoann Guillo Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : 1634. Écoeuré après une bataille sanglante, un jeune hussard polonais décide de déserter. Il est accueilli par une étrange peuplade de guerriers ivres de libertés : les Cosaques. Mais la guerre semble le suivre où qu'il aille. Le nouveau Cosaque devra bientôt reprendre les armes pour défendre ses amis. Critique : Il est difficile d'écrire cette chronique après avoir lu La république du crâne dans le même weekend, puisqu'en effet il est difficile de ne pas comparer les deux bandes dessinées, les deux auteurs principaux étant les mêmes, même si pour Cosaques, Vincent Brugeas et Ronan Toulhoat sont renforcés fort à propos par le travail remarquable de Yoann Guillo, mais j'y reviendrais plus tard. J'écrirais donc cette chronique en mettant souvent en parallèle les deux ouvrages car je vous sais nombreux à avoir lu La république du crâne. On est ici également sur de la bd d'aventure historique, appuyé sur une forte thématique de recherche de liberté, finalement bien plus proche de La république du crâne qu'il ne peut y sembler au premier abord. L'emplacement géographique choisi pour cette bd prendra fort malheureusement un douloureux écho avec notre actualité mais il nous apporte de la fraicheur puisqu'on en ignore à peu près tout, même pour les plus férus d'histoire. Ceci dit il y a une différence très importante entre les deux, et qui explique en, grande partie la note légèrement inférieure attribué sur Cosaques. Il ne s'agit ici que d'un premier tome et non d'une histoire complète aboutie. Et malheureusement, on craint ici l'effet Ira Déi, à savoir une série avec de fortes promesses, qui peuvent finalement décevoir si les chiffres de ventes ne suivant pas, la série doit s'arrêter. L'histoire de ce Cosaques avance vite, à un rythme soutenu, mais agréable et la fin de ce tome 1 ne nous laisse pas en plan au beau milieu de l'intrigue, ce qui reste agréable. Reste que j'ai toutefois eu du mal à discerner le fil conducteur de la série à venir et les futurs enjeux de la trame principale. Il faut cependant je crois faire confiance à Vincent Brugeas pour nous livrer une intrigue qui devrait gagner en intensité sur les prochains tomes. Côté dessin, on touche au très très beau. Si le trait de Ronan Toulhoat est habituellement puissant et sans concession sur ses personnages, accentuant souvent leurs émotions au profit d'un certains esthétisme ou réalisme, il nous livre ici des planches plus conventionnelles par rapport à son style habituel, mais dont les personnages et l'action sont toujours le centre, quitte parfois à nous présenter des décors et des arrières plans un poil trop évanescent pour les amateurs de paysages. Il n'empêche qu'une fois que j'ai fait la fine bouche ainsi, je ne peux que constater que l'influence de Yoann Guillo est ici toute bénéfique tant les planches, l'ambiance, les personnages dégagent une harmonie et une cohérence qui donne envie de tourner chaque pages et d'y revenir. Ses mises en couleurs, toutes en nuances, renforcent les ambiances de chaque planches et me rappellent beaucoup le travail d'Alex Alice. Le travail de Yoann Guillo avait déjà été mis en avant à juste titre sur Goldorak, il faut ici tirer son chapeau car il réussit à bonifier encore une fois le travail d'un artiste pourtant déjà merveilleux. Une fois refermé, ce Cosaques m'a moins marqué que ma lecture de la République du Crâne puisqu'il ne s'agit que d'un début d'histoire, mais il m'est resté, une fois la dernière page refermée, comme une impression de jeune Scorpion, ce qui est plutôt remarquable. Croisons les doigts pour le succès en librairie de ce Cosaques, et l'inspiration de Vincent Burgeas, afin de nous retrouver avec une série dont on dévorera chaque nouveau tome avec un immense plaisir. Autres infos : Encore ! Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/cosaques-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Titre de l'album : Nottingham - Tome 2 - La Traque Scenariste de l'album : Vincent Brugeas et Emmanuel Herzet Dessinateur de l'album : Benoît Dellac Coloriste : Denis Béchu Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Pour mieux mener son combat contre le Prince Jean, le shérif de Nottingham a créé un mythe : la « capuche de Sherwood ». Mais la ligne est fine entre légende et mensonge. Et si les premières rassemblent, les seconds divisent. Au sortir du braquage de l'or de Morville et de ses conséquences sanglantes, les alliés d'hier sont aujourd'hui à couteaux tirés... lorsqu'ils se parlent encore. William est empêtré dans la toile de ses secrets. Et cette dernière l'empêche de voir que, depuis Londres, le Prince Jean prépare sa riposte... Critique : Bon quand le plus grand défaut d'un tome d'une série de BD en cours est d'être trop court c'est que globalement c'est une réussite. C'est exactement le cas avec ce Nottingham, qui après un premier tome qui m'avait enthousiasmé confirme bien mon intérêt avec ce tome 2 toujours dynamique et graphiquement superbe. L'histoire avance tranquillement et même si, une fois la bd refermée, on se demande si ce n'était pas trop court, quand on prend le temps d'y repenser, la réponse devient évidente : c'était très bon et on en veut juste encore. Une narration maîtrisée et fluide, sans fioritures mais mettant en avant le parfum d'aventure et de romanesque de ce Robin des bois sauce moyenâgeuse. Le dessin et l'ambiance me rappelle furieusement le Troisième Testament, et ce n'est pas un mince compliment dans ma bouche. Reste que, ne nous leurrons pas, du fait d'enjeux moins élevés, le parfum épique qui en ressort au final est moindre. Ne boudons pas pour autant notre plaisir, car en série médiévale réaliste, je n'ai guère d'équivalent à ce Nottingham à vous proposer en ce moment. Un bonbon ! Autres infos : chaudement recommandé Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/nottingham-tome-2-la-traque?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. The_PoP

    Nottingham - Tome 2 - La Traque

    Bon quand le plus grand défaut d'un tome d'une série de BD en cours est d'être trop court c'est que globalement c'est une réussite. C'est exactement le cas avec ce Nottingham, qui après un premier tome qui m'avait enthousiasmé confirme bien mon intérêt avec ce tome 2 toujours dynamique et graphiquement superbe. L'histoire avance tranquillement et même si, une fois la bd refermée, on se demande si ce n'était pas trop court, quand on prend le temps d'y repenser, la réponse devient évidente : c'était très bon et on en veut juste encore. Une narration maîtrisée et fluide, sans fioritures mais mettant en avant le parfum d'aventure et de romanesque de ce Robin des bois sauce moyenâgeuse. Le dessin et l'ambiance me rappelle furieusement le Troisième Testament, et ce n'est pas un mince compliment dans ma bouche. Reste que, ne nous leurrons pas, du fait d'enjeux moins élevés, le parfum épique qui en ressort au final est moindre. Ne boudons pas pour autant notre plaisir, car en série médiévale réaliste, je n'ai guère d'équivalent à ce Nottingham à vous proposer en ce moment. Un bonbon !
  17. Le tome 4 de Sasha et Tomcrouz nous emmène toujours plus loin dans les voyages dans le temps pour Sasha à la recherche de son papa. Evidemment c'est aussi un prétexte pour de belles aventures et la découvertes de périodes historiques intéressantes. Toujours éducative sans trop forcer le trait, intéressante même pour un adulte, avec une bonne gestion des boucles temporelles et une vraie densité dans l'histoire, ce Sasha & Tomcrouz est toujours une belle réussite pour initier les plus jeunes à l'aventure en BD. Cette intelligence du scénario, souvent subtil, est mise au service d'un trait certes à destination des enfants, mais qui ne manque pas de finesse et de raffinement. Pour les plus jeunes, c'est du tout bon.
  18. Titre de l'album : Sacha et Tomcrouz - Tome 4 - Cambriolage sur le nil Scenariste de l'album : Anaïs Halard Dessinateur de l'album : Bastien Quignon Coloriste : Bastien Quignon Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Jade, Tomcrouz et Sacha sont coincés en Chine. Seule solution : créer une boucle temporelle afin de repartir vers le passé et retrouver le parchemin égaré. Pour cela, direction l'Égypte au XIXe siècle. Leur objectif ? Cambrioler un dangereux collectionneur et lui voler un éventail datant de la période dans laquelle ils sont bloqués. Parviendront-ils à leurs fins ?... Critique : Le tome 4 de Sasha et Tomcrouz nous emmène toujours plus loin dans les voyages dans le temps pour Sasha à la recherche de son papa. Evidemment c'est aussi un prétexte pour de belles aventures et la découvertes de périodes historiques intéressantes. Toujours éducative sans trop forcer le trait, intéressante même pour un adulte, avec une bonne gestion des boucles temporelles et une vraie densité dans l'histoire, ce Sasha & Tomcrouz est toujours une belle réussite pour initier les plus jeunes à l'aventure en BD. Cette intelligence du scénario, souvent subtil, est mise au service d'un trait certes à destination des enfants, mais qui ne manque pas de finesse et de raffinement. Pour les plus jeunes, c'est du tout bon. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sacha-et-tomcrouz-tome-4-cambriolage-sur-le-nil?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. The_PoP

    Mezkal

    Ahah après deux première chroniques de bd classique, voici la chronique du premiuer ovni de cette rentrée, et on le doit à l'éditeur Soleil, une fois n'est pas coutume, surtout qu'il ne s'agit pas de la collection métamorphose. Mezkal est une quête initiatique, envoyant un jeune américain sur les traces de son âme, puis de sa bien aimée, puis de son père au Mexique. Et pas n'importe quel Mexique, mais bien celui des gangs, des narcos mais aussi des chamans. Entre réflexions blasées, rares messages d'espoirs, et défouloir souvent gratuit, Mezkal est définitivement à part. Sans surprise je ne vous cache pas que sexe, violence, et drogues seront au programme de cette BD qui n'est définitivement pas à mettre entre toutes les mains. Le style graphique se devant d'être à la hauteur d'une telle créativité débridée du scénariste, le dessin de Jef, dont je ne suis pas toujours friand colle ici comme un gant au propos avec ses planches parfois sublimes, toujours très inégales, et flirtant souvent avec l'absurde. Une fois Mezkal refermé, vous n'aurez probablement pas passé un mauvais moment de lecture. Reste à savoir ce que vous en retirerez in fine, et là c'est je crois bien plus aléatoire tant le message porté reste brumeux et opaque. Une façon finalement de ne pas répondre aux questions soulevées ?
  20. The_PoP

    Mezkal

    Titre de l'album : Mezkal Scenariste de l'album : Kevan Stevens Dessinateur de l'album : Jef Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Un jeune américain part à l'aventure après la mort de sa mère. Il va croiser une jeune femme au sang indien sur laquelle veille un chaman aux étranges pouvoirs. Mais aussi l'un des plus grands cartels mexicains pour qui il va être forcé de travailler. Vananka n'aura qu'une idée en tête : retrouver sa bien-aimée, détenue par une famille de Hell's Angels... Critique : Ahah après deux première chroniques de bd classique, voici la chronique du premiuer ovni de cette rentrée, et on le doit à l'éditeur Soleil, une fois n'est pas coutume, surtout qu'il ne s'agit pas de la collection métamorphose. Mezkal est une quête initiatique, envoyant un jeune américain sur les traces de son âme, puis de sa bien aimée, puis de son père au Mexique. Et pas n'importe quel Mexique, mais bien celui des gangs, des narcos mais aussi des chamans. Entre réflexions blasées, rares messages d'espoirs, et défouloir souvent gratuit, Mezkal est définitivement à part. Sans surprise je ne vous cache pas que sexe, violence, et drogues seront au programme de cette BD qui n'est définitivement pas à mettre entre toutes les mains. Le style graphique se devant d'être à la hauteur d'une telle créativité débridée du scénariste, le dessin de Jef, dont je ne suis pas toujours friand colle ici comme un gant au propos avec ses planches parfois sublimes, toujours très inégales, et flirtant souvent avec l'absurde. Une fois Mezkal refermé, vous n'aurez probablement pas passé un mauvais moment de lecture. Reste à savoir ce que vous en retirerez in fine, et là c'est je crois bien plus aléatoire tant le message porté reste brumeux et opaque. Une façon finalement de ne pas répondre aux questions soulevées ? Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mezkal?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Titre de l'album : Sangre - Tome 3 - Hovanne l'irrésolue Scenariste de l'album : Christophe Arleston Dessinateur de l'album : Adrien Floch Coloriste : Claude Guth Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Introduite au manoir de Mermillade, Sangre enquête pour savoir laquelle des jeunes nobles a eu un passé secret de pirate sous l'identité d'Hovanne. Un exercice difficile dans cette société d'oisifs où tout est basé sur le prestige personnel. Critique : Voici déjà le troisième tome de la saga Sangre imaginée par l'inépuisable Christophe Arleston dont on reconnait immédiatement les habitudes : mondes imaginaires foisonnants et nouveaux, scénario d'aventure assez classique, humour, action et héroïnes débridées. Pour les habitués, il n'y aura pas de révolution sur ce tome là d'autant que la partie graphique est dans la ligne directe des productions soleil qui ont fait le succès de l'éditeur : dessins fluides, scènes bien travaillées quoique relativement simples et sans chichis et visages et personnage universels. C'est bien, c'est propre, c'est efficace, du scénario au dessin. On aime ou on n'aime pas. Personnellement je lis toujours ça avec plaisir bien que la lecture reste rapide, peu réellement marquante et un peu chiche sur l'envie donnée d'en découvrir plus. Du coup j'ai quand même du mal à vous dire quelles seraient les spécificités de ce Sangre par rapport à un Ythaq ou un Lanfeust des Etoiles si ce n'est le thème de la Vengeance ou la solitude relative de notre héroïne. Cette série est je crois prévue en 7 tomes. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sangre-tome-3-hovanne-l-irresolue?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Voici déjà le troisième tome de la saga Sangre imaginée par l'inépuisable Christophe Arleston dont on reconnait immédiatement les habitudes : mondes imaginaires foisonnants et nouveaux, scénario d'aventure assez classique, humour, action et héroïnes débridées. Pour les habitués, il n'y aura pas de révolution sur ce tome là d'autant que la partie graphique est dans la ligne directe des productions soleil qui ont fait le succès de l'éditeur : dessins fluides, scènes bien travaillées quoique relativement simples et sans chichis et visages et personnage universels. C'est bien, c'est propre, c'est efficace, du scénario au dessin. On aime ou on n'aime pas. Personnellement je lis toujours ça avec plaisir bien que la lecture reste rapide, peu réellement marquante et un peu chiche sur l'envie donnée d'en découvrir plus. Du coup j'ai quand même du mal à vous dire quelles seraient les spécificités de ce Sangre par rapport à un Ythaq ou un Lanfeust des Etoiles si ce n'est le thème de la Vengeance ou la solitude relative de notre héroïne. Cette série est je crois prévue en 7 tomes.
  23. Suite et fin de Skyward avec ce tome 3 qui dans la lignée du tome 2 nous propose une conclusion finalement assez terre-à-terre d'une trilogie de science fiction au concept de base ambitieux et original. Quelque part j'ai quelques regrets sur cette série, pourtant très agréable à lire, car je trouve que le postulat de départ est un peu galvaudé par un scénario global manquant d'ampleur entre le second et le troisième tome. J'aurais aimé je crois un souffle héroïque un peu plus présent, et une dramaturgie peut être plus oppressante, alors que finalement on reste plutôt sur de l'aventure enjouée dont les enjeux semblent finalement pas si cruciaux. Bref, c'est mon seul bémol concernant cette série, et je crois que c'est sincèrement car je deviens difficile, ou peut être parce que le tome 1 avait suscité en moi de trop grands espoirs. Mais un postulat aussi simple qu'important ouvrait de si grands possibles que les auteurs n'ont pu finalement les développer autant que je l'aurais souhaité. Graphiquement le boulot de Lee Garbett est plus que propre et la série reste tout du long un plaisir à lire, fluide et bien maitrisé.
  24. Titre de l'album : Skyward - Tome 3 - Réparer le monde Scenariste de l'album : Joe Henderson Dessinateur de l'album : Lee Garbett Coloriste : Antonio Fabella Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : La quête de Willa s'achève... Parviendra-t-elle à restaurer le monde d'avant le Jour G ? Depuis son départ de Chicago, Willa a connu son lot de bleus au coeur et affronté bien des épreuves. Tempêtes mortelles, insectes géants mangeurs de chair humaine, fermiers terroristes sur le point de mener une révolte dans sa ville natale... Et si la jeune femme est plus que jamais déterminée à remplir la promesse faite à son père, rien ne la prépare aux révélations qui l'attendent. Sa force et son courage seront testés au-delà de tout ce qu'elle aurait pu imaginer. À l'instar du monde post-Jour G, Willa est sens dessus dessous, et rien ne sera jamais plus comme avant, tandis que sa quête trouve une résolution des plus inattendues. Troisième et dernier tome de la série portée par Joe Henderson, scénariste et showrunner (Lucifer) et Lee Garbett (Lucifer, Loki: Agent of Asgard). Nommée à l'Eisner Award de la meilleure nouvelle série en 2019, Skyward est désormais en route pour le grand écran. Critique : Suite et fin de Skyward avec ce tome 3 qui dans la lignée du tome 2 nous propose une conclusion finalement assez terre-à-terre d'une trilogie de science fiction au concept de base ambitieux et original. Quelque part j'ai quelques regrets sur cette série, pourtant très agréable à lire, car je trouve que le postulat de départ est un peu galvaudé par un scénario global manquant d'ampleur entre le second et le troisième tome. J'aurais aimé je crois un souffle héroïque un peu plus présent, et une dramaturgie peut être plus oppressante, alors que finalement on reste plutôt sur de l'aventure enjouée dont les enjeux semblent finalement pas si cruciaux. Bref, c'est mon seul bémol concernant cette série, et je crois que c'est sincèrement car je deviens difficile, ou peut être parce que le tome 1 avait suscité en moi de trop grands espoirs. Mais un postulat aussi simple qu'important ouvrait de si grands possibles que les auteurs n'ont pu finalement les développer autant que je l'aurais souhaité. Graphiquement le boulot de Lee Garbett est plus que propre et la série reste tout du long un plaisir à lire, fluide et bien maitrisé. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/skyward-tome-3-reparer-le-monde?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Titre de l'album : Tarzan - Tome 2 - Au centre de la Terre Scenariste de l'album : Christophe Bec Dessinateur de l'album : Rob de la Torre & Stefano Raffaelle Coloriste : Dave Stewart Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Parti en expédition à la recherche de la légendaire cité d'Opar et de ses trésors, Tarzan va vivre l'une de ses plus palpitantes aventures. Elle le mènera à bord d'un zeppelin jusqu'à Pellucidar, la terre creuse, monde souterrain préhistorique regorgeant de dangers dont il pourrait bien ne pas revenir indemne. Critique : Un changement de dessinateur entre un tome 1 réussi et un tome 2 c'est peu courant. Mais un nouveau changement de dessinateur au milieu du tome 2 ça l'est encore moins. J'ai donc posé la question à l'éditeur et dès que j'aurais la réponse promis je vous tiens informé des raisons de cette curiosité. Il faut reconnaitre que si à, première vue, ce n'est guère engageant, le premier tome de Tarzan nous avait ceci dit laissé une très belle impression. Soyons francs, je m'étais régalé à l'époque et c'est donc avec grand plaisir que j'ai dévoré ce tome 2. L'histoire est forcément plus originale que le premier tome puisque celui-ci retraçait simplement la légende de Tarzan telle qu'on la connait. Ce second opus nous livre une histoire moins connue écrite par Edgar Rice Burroughs autour de son personnage de Tarzan. Se déroulant juste après la fin du tome précédent, on y retrouve Tarzan mêlé à une aventure ou le fantastique et l'esprit de Jules Vernes cohabitent afin de livrer au roi de la jungle de nouveaux défis. Si l'on pourrait rester dubitatif sur la cohérence de l'ensemble, le gosse que je suis resté à globalement beaucoup aimé se replonger dans l'univers des histoires d'aventures se son enfance une nouvelle fois. Vous l'aurez compris, sio ce tome 2 est pour moi un cran en dessous du premier, ne prenons donc pas ce Tarzan aussi sérieusement que le précéndent qui brillait par sa noirceur et son atmosphère et ne boudons pas pour autant notre plaisir avec ce Tarzan intrépide et sauvage. A noter que la couverture est réalisée par l'excellent Eric Bourgier. Autres infos : D'après l'oeuvre d'Edgar Rice Burroughs Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tarzan-tome-2-au-centre-de-la-terre?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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