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1629, ou l'effrayante histoire des naufragés du Jakarta - Tome 2 - L'île rouge
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Titre de l'album : 1629, ou l'effrayante histoire des naufragés du Jakarta - Tome 2 - L'île rouge Scenariste de l'album : Xavier Dorison Dessinateur de l'album : Thimothée Montaigne Coloriste : Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : « Pour que le mal triomphe, il suffit que les hommes de bien ne fassent rien. » La traversée sanglante du Jakarta a pris fin sur les récifs des îles Abrolhos, un archipel perdu au large des côtes de l'Australie où les naufragés ont pu trouver refuge. Mais le naufrage est loin d'être la fin du cauchemar... Alors que le subrécargue, Pelsaert, est parti sur la grande chaloupe du Jakarta chercher de l'aide à Java, plus de 260 survivants se retrouvent sous l'autorité absolue de son second, Jéronimus Cornélius. En charge de l'organisation de la survie des naufragés, lui et les quelques mutins qui lui sont restés fidèles, ne vont en réalité s'atteler qu'à un objectif et un seul : faire disparaître ou massacrer tous les autres survivants afin, le jour dit, de pouvoir s'emparer du navire de secours et emporter avec eux les richesses du Jakarta restées sur l'île. L'archipel du bout du monde devient un enfer sur terre. Seuls Lucrétia Hans et une poignée de rescapés menés par Hayes vont avoir le courage de s'opposer à l'un des pires psychopathes de l'Histoire. À travers ce thriller haletant, une des sagas les plus époustouflantes de l'histoire maritime, Xavier Dorison et Thimothée Montaigne dressent un portrait à l'acide des mécanismes psychologiques et relationnels qui conduisent à la soumission des individus et des foules pour les conduire jusqu'au tréfonds de l'horreur. Critique : Rarement un communiqué de l'éditeur ne m'aura paru aussi vrai. Pour les lecteurs du premier tome, je doute que vous ayez résisté à l'envie de lire le second tellement ce premier opus nous avait fait fort impression. C'est bien simple je crois que ce tome 2 venant clôturer le récit était la sortie la plus attendue par bon nombre de gens autour de moi. L'histoire nous avait déjà marqué au fer rouge, avec cette galerie de personnages tous plus crédibles les uns que les autres, et ce début d'interrogation profonde sur la nature de l'âme humaine. Le tout était servi par le dessin époustouflant de Thimothée Montaigne. Rendez-vous compte, cet auteur avait pris la suite d'Alex Alice sur le second cycle du troisième testament, sans qu'un seul amateur de bande dessinée ne s'en offusque. On savait déjà son talent. On a ici l'époustouflante démonstration d'un génie de la bande dessinée qui rejoins les Matthieu Lauffray et autre Alex Alice au panthéon des dessinateurs actuels exceptionnels. Il se trouve en plus que je milite depuis longtemps pour faire reconnaitre à sa juste valeur le trop mésestimé à mon goût Xavier Dorison. Et bien son scénario sur ce 1629 est une nouvelle fois parfait, jusque dans sa conclusion impitoyable. Qu'on se mouille un petit peu la nuque juste avant de lire ceci, mais rendez-vous compte que cet auteur a accouché ces dernières années du Chateau des animaux, d'Undertaker, d'Ulysse & Cyrano, de Long John Silver et du Troisième Testament et du run sur Goldorak. Est-iol besoin d'en dire plus ? Chapeau bas, et qu'on lui batisse donc une statue, car la bd franco belge tient là l'un de ses génies. Mais intéressons nous davantage à ce tome 2. Il s'agit bien de la conclusion du diptyque, pas de frayeur de ce côté là. L'aventure humaine terrible et dramatique se poursuit, cette fois-ci après le naufrage, laissant les hommes livrés à eux même... ou presque, car Jeronimus est bien décidé à peser sur le cours des choses. C'est un réquisitoire implacable des lâchetés humaines qui va ainsi être brossé par nos deux auteurs, avec son lot de choix difficiles et de dilemmes effroyables. Le dessin de Thimothée Montaigne prend aux tripes et nous embarque, on passe de cases sublimes en cases sublimes sans jamais perdre en fluidité ni en lisibilité malgré la multitude de personnages. Ce diptyque est pour moi désormais un classique de la bd, à ne manquer sous aucun prétexte. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/1629-ou-l-effrayante-histoire-des-naufrages-du-jakarta-tome-2/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement -
Rarement un communiqué de l'éditeur ne m'aura paru aussi vrai. Pour les lecteurs du premier tome, je doute que vous ayez résisté à l'envie de lire le second tellement ce premier opus nous avait fait fort impression. C'est bien simple je crois que ce tome 2 venant clôturer le récit était la sortie la plus attendue par bon nombre de gens autour de moi. L'histoire nous avait déjà marqué au fer rouge, avec cette galerie de personnages tous plus crédibles les uns que les autres, et ce début d'interrogation profonde sur la nature de l'âme humaine. Le tout était servi par le dessin époustouflant de Thimothée Montaigne. Rendez-vous compte, cet auteur avait pris la suite d'Alex Alice sur le second cycle du troisième testament, sans qu'un seul amateur de bande dessinée ne s'en offusque. On savait déjà son talent. On a ici l'époustouflante démonstration d'un génie de la bande dessinée qui rejoins les Matthieu Lauffray et autre Alex Alice au panthéon des dessinateurs actuels exceptionnels. Il se trouve en plus que je milite depuis longtemps pour faire reconnaitre à sa juste valeur le trop mésestimé à mon goût Xavier Dorison. Et bien son scénario sur ce 1629 est une nouvelle fois parfait, jusque dans sa conclusion impitoyable. Qu'on se mouille un petit peu la nuque juste avant de lire ceci, mais rendez-vous compte que cet auteur a accouché ces dernières années du Chateau des animaux, d'Undertaker, d'Ulysse & Cyrano, de Long John Silver et du Troisième Testament et du run sur Goldorak. Est-iol besoin d'en dire plus ? Chapeau bas, et qu'on lui batisse donc une statue, car la bd franco belge tient là l'un de ses génies. Mais intéressons nous davantage à ce tome 2. Il s'agit bien de la conclusion du diptyque, pas de frayeur de ce côté là. L'aventure humaine terrible et dramatique se poursuit, cette fois-ci après le naufrage, laissant les hommes livrés à eux même... ou presque, car Jeronimus est bien décidé à peser sur le cours des choses. C'est un réquisitoire implacable des lâchetés humaines qui va ainsi être brossé par nos deux auteurs, avec son lot de choix difficiles et de dilemmes effroyables. Le dessin de Thimothée Montaigne prend aux tripes et nous embarque, on passe de cases sublimes en cases sublimes sans jamais perdre en fluidité ni en lisibilité malgré la multitude de personnages. Ce diptyque est pour moi désormais un classique de la bd, à ne manquer sous aucun prétexte.
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Il était une fois un royaume où le roi est plus occupé à batifoler avec des mignons sélectionnés dès le plus jeune âge qu’à gérer son pays. Wolfang, le 4e prince, porté disparu depuis l’assassinat de sa mère, vit dans les bas quartiers avec une bande d’orphelins et compte bien rester anonyme. Afin de le retrouver, le roi prend des directives drastiques et fait rechercher tous les garçons portant son prénom, sous couvert d’une récompense, mais il les élimine tous. Afin de sauver un ami, Wolfgang finit par se rendre et rejoint le palais. Seulement, il n’est prince que de nom et en réalité, il n’a aucun soutien et est laissé à l’abandon. C’est là qu’il rencontre Shin Soohyuk, un « mignon » mais aussi un jeune homme très intelligent qui voit en lui un espoir pour le pays et qui va peu à peu l’aider à se construire (d’où le titre King’s maker !). S’il y a un certain nombre de points obscurs dans ce 1er tome, notamment les raisons pour lesquelles le roi fait rechercher activement son fils sans pour autant s’en occuper, l’histoire est plutôt agréable et l’on comprend bien que devenir roi (au sens politique du terme et non généalogique) n’est pas quelque chose d’inné et que cela mérite du travail. En dehors de cet aspect, il s’agit aussi d’une aventure avec des révoltes, des complots, des alliances à créer et une place à gagner. A ce stade, l’histoire manque encore de dynamisme que ce soit dans la narration ou le graphisme. J’attends la suite pour me prononcer, l’histoire a du potentiel et n’en ait encore qu’à ses prémices. Série finie en 129 chapitres.
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Titre de l'album : King's maker tome 1 Scenariste de l'album : HAGA Dessinateur de l'album : KANG Jiyoung Coloriste : Editeur de l'album : Taifu Note : Résumé de l'album : Wolfgang Goldenleonard, le quatrième prince du royaume, est de retour au palais après plusieurs années d'errance dans les rues. Il rejette tout de son statut, mais est intrigué par le mystérieux et dévoué Shin Soo Hyuk, un des protégés de son père, le tyran au pouvoir. Wolfgang finit tout de même par se plier aux usages de la royauté et apprend à exercer son nouveau rôle auprès de Soo Hyuk qui commence à voir en ce jeune prince sauvage et têtu, la personne qu'il attendait. Pourrait-il être celui qui allumera la flamme de la rébellion ? Critique : Il était une fois un royaume où le roi est plus occupé à batifoler avec des mignons sélectionnés dès le plus jeune âge qu’à gérer son pays. Wolfang, le 4e prince, porté disparu depuis l’assassinat de sa mère, vit dans les bas quartiers avec une bande d’orphelins et compte bien rester anonyme. Afin de le retrouver, le roi prend des directives drastiques et fait rechercher tous les garçons portant son prénom, sous couvert d’une récompense, mais il les élimine tous. Afin de sauver un ami, Wolfgang finit par se rendre et rejoint le palais. Seulement, il n’est prince que de nom et en réalité, il n’a aucun soutien et est laissé à l’abandon. C’est là qu’il rencontre Shin Soohyuk, un « mignon » mais aussi un jeune homme très intelligent qui voit en lui un espoir pour le pays et qui va peu à peu l’aider à se construire (d’où le titre King’s maker !). S’il y a un certain nombre de points obscurs dans ce 1er tome, notamment les raisons pour lesquelles le roi fait rechercher activement son fils sans pour autant s’en occuper, l’histoire est plutôt agréable et l’on comprend bien que devenir roi (au sens politique du terme et non généalogique) n’est pas quelque chose d’inné et que cela mérite du travail. En dehors de cet aspect, il s’agit aussi d’une aventure avec des révoltes, des complots, des alliances à créer et une place à gagner. A ce stade, l’histoire manque encore de dynamisme que ce soit dans la narration ou le graphisme. J’attends la suite pour me prononcer, l’histoire a du potentiel et n’en ait encore qu’à ses prémices. Série finie en 129 chapitres. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/king-s-maker-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Le secret du roi - Tome 1 - Bons baisers de Prusse Scenariste de l'album : Matias Istolainen Dessinateur de l'album : Benjamin Jurdic Coloriste : Teppe Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Son nom est Suzanne… Juste Suzanne. Hier encore, elle dirigeait la plus fine équipe de cambrioleurs de Paris, mais un léger accrochage avec les forces de l'ordre l'a convaincue d'entrer au service secret de Sa Majesté. Pour son baptême du feu, elle va devoir exercer ses talents dans un château prussien, entourée de ses nouveaux équipiers : Maximilien l'agent tout-terrain, Georges le lutteur hors-pair et Donatien le virtuose de l'infiltration. Pour une première mission, l'objectif est de taille : il s'agit en effet de s'emparer d'un document qui pourrait permettre à la France de reprendre l'avantage dans la terrible guerre qui secoue alors l'Europe. Mais le moins que l'on puisse dire, c'est que le plan ne va pas se dérouler sans accroc… Critique : Comme vous le voyez par vous même, entre la couverture alléchante, et le pitch qui donne envie, Ce secret du roi a à priori toutes les armes sur le papier pour être une nouvelle belle série du Lombard que nous prendrons plaisir à lire, mais qu'en est-il vraiment ? Tout d'abord au niveau graphique, je pense que les planches de Benjamin Jurdic nous déstabilisent un peu, car l'on y retrouve bien son style grand public/jeunesse entrevu dans Happy End, mais cette fois-ci c'est beaucoup plus sanglant et une vraie violence est présente tout au long de l'album. Attention les planches sont belles et la mise en couleur est réussie, mais il m'est toujours délicat de percevoir un dessin pour un public large avec des scènes de violence crues. Pour le reste le scénario de Matias Istolainen est très bien car il nous pose le décor pour la suite en faisant un bon premier tome d'"introduction, tout en nous livrant une aventure presque complète et qui va à mille à l'heure mais sans nous perdre en route ? Que demander de plus ? Oui certains personnages sont encore trop peu esquissés, mais je ne doute pas que cela viendra par la suite. De l'aventure et de l'espionnage sous Louis XV ? Je dis oui et j'ai hâte d'en lire la suite. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-secret-du-roi-tome-1-bons-baisers-de-prusse/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Comme vous le voyez par vous même, entre la couverture alléchante, et le pitch qui donne envie, Ce secret du roi a à priori toutes les armes sur le papier pour être une nouvelle belle série du Lombard que nous prendrons plaisir à lire, mais qu'en est-il vraiment ? Tout d'abord au niveau graphique, je pense que les planches de Benjamin Jurdic nous déstabilisent un peu, car l'on y retrouve bien son style grand public/jeunesse entrevu dans Happy End, mais cette fois-ci c'est beaucoup plus sanglant et une vraie violence est présente tout au long de l'album. Attention les planches sont belles et la mise en couleur est réussie, mais il m'est toujours délicat de percevoir un dessin pour un public large avec des scènes de violence crues. Pour le reste le scénario de Matias Istolainen est très bien car il nous pose le décor pour la suite en faisant un bon premier tome d'"introduction, tout en nous livrant une aventure presque complète et qui va à mille à l'heure mais sans nous perdre en route ? Que demander de plus ? Oui certains personnages sont encore trop peu esquissés, mais je ne doute pas que cela viendra par la suite. De l'aventure et de l'espionnage sous Louis XV ? Je dis oui et j'ai hâte d'en lire la suite.
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On ne compte plus les adaptations des écrits de Jack London, films, séries tv, BD, en voici une qui rendra un bel hommage au romancier aventurier parti bien trop tôt rejoindre le grand nord éternel à 40 ans. Rompu aux joutes de cet exercice, Maxe L'Hermenier ayant déjà réalisé pour l'éditeur Jungle L'île du crâne et le Magicien d'Oz, réalise donc le scénario de L'appel de la forêt. Une aventure canine, celle d'un saint-bernard enlevé à ses maîtres californiens pour être vendu dans les étals boueux de Seattle au plus offrant. L'Alaska l'attend avec d'autres chiens de traineaux et de multiples rencontres qui façonneront sa vision du monde. Buck parle comme les autres chiens, dans des bulles aux couleurs différentes de celles des humains. Ce parti pris rend la lecture passionnante et renforce l'empathie envers ce colosse à poils. Sa corpulence sera son meilleur atout, liée à un sens d'adaptation important, cela l'aidera à traverser de nombreuses épreuves toutes plus difficiles que les autres. Dans les immensités enneigées, il va répondre à ce fameux appel de la forêt pour prendre son envol et ne plus vivre sous la domination des hommes. Une formidable allégorie sur l'apprentissage de la vie et le respect de la nature environnante. Pour illustrer cette aventure, Thomas Labourot réalise des planches soignées, d'un trait semi-réaliste précis et détaillé. Les personnages sont facilement reconnaissables, il en va de même pour les canidés qui semblent plus humains que certains véritables hommes. La dureté de cette vie est palpable, le vent est très bien illustré, voulant parfois sortir des pages pour venir vous chatouiller les narines 😉 . Les paysages enneigés sont parfaitement réalisés, le talent du dessinateur n'est plus à prouver ! Si vous aimez les écrits de Jack London, je ne peux que vous recommander cette lecture qui ravira aussi bien les petits que les grands.
- 3 commentaires
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En ce moment j'enchaine les bonnes surprises en manga. Celle ci n'est pas une vraie surprise car la série est globalement excellente. Mais comme toute série, elle avait eu son coup de mou il y a quelques tomes... et bien celui-ci est tout bonnement excellent. Il fait avancer notre histoire avec de plus en plus de référence à ce monde oublié mais surtout éclair sur des éléments clefs comme la véritable fonction du Codeholder. Des éléments qui poussent nos héros dans une mission qui est en train de changer avec un ensemble de nation qui va se battre contre Lasteraser. Un manga super dynamique, un dessin au top, des combats dantesques et une histoire qui avance toujours bon train. Bref une des séries d'aventure du moment
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Titre de l'album : Why nobody remembers my world ? tome 11 Scenariste de l'album : Arikan Dessinateur de l'album : Arikan Coloriste : Editeur de l'album : Doki-Doki Note : Résumé de l'album : Pourquoi personne ne se souvient du monde d'avant ? La Grande Guerre pour la suprématie du monde qui opposa les cinq races se solda par la victoire de l'humanité menée par le héros Sid. Mais soudain, le monde est réécrit sous les yeux du jeune Kai qui se retrouve projeté dans un monde dans lequel les humains ont perdu la Grande Guerre des cinq races.Alors que Kai et ses camarades explorent une vaste zone afin d'en apprendre plus sur le mode de vie des spectres et essayer de les attirer dans un piège, ils aperçoivent tout à coup un Tombeau. Guidés par Six Luminess, ils décident de partir en exploration à l'intérieur du bâtiment dans lequel ils trouvent une statue de pierre du Maître des anges Alfreya, le héros des Célestins.Après plusieurs combats, Kai se retrouve face au coriace Lasteraser et prend conscience de la véritable puissance de son épée !Un jeune homme dont l'existence a été effacée va tenter de remettre en place le monde tel qu'il était avant ! Critique : En ce moment j'enchaine les bonnes surprises en manga. Celle ci n'est pas une vraie surprise car la série est globalement excellente. Mais comme toute série, elle avait eu son coup de mou il y a quelques tomes... et bien celui-ci est tout bonnement excellent. Il fait avancer notre histoire avec de plus en plus de référence à ce monde oublié mais surtout éclair sur des éléments clefs comme la véritable fonction du Codeholder. Des éléments qui poussent nos héros dans une mission qui est en train de changer avec un ensemble de nation qui va se battre contre Lasteraser. Un manga super dynamique, un dessin au top, des combats dantesques et une histoire qui avance toujours bon train. Bref une des séries d'aventure du moment Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/why-nobody-remembers-my-world-tome-11?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Mongolie - tome 2 Scenariste de l'album : Lele Vianello Dessinateur de l'album : Lele Vianello Coloriste : Editeur de l'album : Mosquito Note : Résumé de l'album : Le Dalaï-Lama a chargé les redoutables moines guerriers Dob-Dobs de son monastère d'escorter l'ingénieur anglais Gordon. Ce dernier doit récupérer le trésor que le Baron Ungern avait caché dans les montagnes avant sa mort. Las, une espionne russe a dérobé les plans... Critique : Il me tardait vraiment de lire la suite de cette aventure, la "faute" à un premier tome frôlant la perfection ! L'aventure avec un grand A dans les régions reculées de l'Himalaya et les steppes mongoles. Ajoutez à cela une galerie de personnages truculents avec cet ingénieur Gordon embarqué malgré lui dans cette chasse au trésor accompagné de moines tibétains tuant tout ce qui bouge et n'appréciant guère sa compagnie; une femme fatale leur volant les plans à la fin du premier tome; mais aussi de nouvelles têtes dans cette histoire avec un chef de guerre assez opiniâtre 😉 . La troupe de Gordon débute donc l'histoire assez mal embarquée, démunie des précieux plans menant au trésor du baron fou Ungern. En effet cette mystérieuse russe borgne a retrouvé son mari et lui propose de retrouver et garder l'or pour eux. Ce dernier peine à retrouver les grâces des dirigeants du parti et souhaite leur offrir le butin. Le récit suit donc deux chemins parallèles avec Gordon et son équipe, puis le couple russe aux motivations diverses. Dans l'immensité de ces territoires qui plus est, instables au niveau politique, il faut composer avec les tributs locales jalonnant le désert, les espions russes et la présence des anglais. Les retrouvailles s'annoncent explosives, notre "héros" parviendra t'il à ramener l'or au Dalaï-Lama ? Etant donnée la fin de cet album, je pense que l'auteur vénitien nous réserve un troisième tome car tout n'est pas résolu. Ce sera avec l'immense plaisir de continuer cette quête et de contempler son trait aux encrages profonds. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mongolie-tome-2/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Il me tardait vraiment de lire la suite de cette aventure, la "faute" à un premier tome frôlant la perfection ! L'aventure avec un grand A dans les régions reculées de l'Himalaya et les steppes mongoles. Ajoutez à cela une galerie de personnages truculents avec cet ingénieur Gordon embarqué malgré lui dans cette chasse au trésor accompagné de moines tibétains tuant tout ce qui bouge et n'appréciant guère sa compagnie; une femme fatale leur volant les plans à la fin du premier tome; mais aussi de nouvelles têtes dans cette histoire avec un chef de guerre assez opiniâtre 😉 . La troupe de Gordon débute donc l'histoire assez mal embarquée, démunie des précieux plans menant au trésor du baron fou Ungern. En effet cette mystérieuse russe borgne a retrouvé son mari et lui propose de retrouver et garder l'or pour eux. Ce dernier peine à retrouver les grâces des dirigeants du parti et souhaite leur offrir le butin. Le récit suit donc deux chemins parallèles avec Gordon et son équipe, puis le couple russe aux motivations diverses. Dans l'immensité de ces territoires qui plus est, instables au niveau politique, il faut composer avec les tributs locales jalonnant le désert, les espions russes et la présence des anglais. Les retrouvailles s'annoncent explosives, notre "héros" parviendra t'il à ramener l'or au Dalaï-Lama ? Etant donnée la fin de cet album, je pense que l'auteur vénitien nous réserve un troisième tome car tout n'est pas résolu. Ce sera avec l'immense plaisir de continuer cette quête et de contempler son trait aux encrages profonds.
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Alors je pensais que j'avais enfin trouvé LE manga qui aurait 5/5 sur l'intégralité des tomes (autre que Sky Wars) ! Et bien non, c'est manqué pour Helck ! Bon ok un 4 c'est deja bien. Mais ce tome marque un peu le pas. Il endosse le rôle ingrat de tome de transition. Un tome qui nous prépare pour les deux derniers tomes qui s'annoncent dantesque mais un tome qui ne dépasse pas sa fonction. On en apprend un peu plus sur la guerre en cours, les différentes stratégies de chacun et leurs rôles. On réapprend à côtoyer les héros du tournoi et Helck est sur le retour... mais bref ce n'est pas vraiment l'intensité des tomes précédents… M'enfin, on se consolera avec les deux prochains tome à venir qui, étant les deux derniers de la série, marqueront surement les esprits !
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Titre de l'album : Helck tome 6 Scenariste de l'album : Nanaki Nanao Dessinateur de l'album : Nanaki Nanao Coloriste : Editeur de l'album : Doki-Doki Note : Résumé de l'album : Un mystérieux héros qui dit vouloir exterminer tous ses semblables ?! Attention, voici l'incroyable Helck ! "S'il te plaît, accepte ce que je te demande" dit le héros.Helck a terminé le récit de son passé épique.Après avoir tout écouté attentivement, Vermilio décide de lui révéler sa véritable identité.Pendant ce temps, dans l'Empire, le château de Shin est attaqué par l'armée humaine... Critique : Alors je pensais que j'avais enfin trouvé LE manga qui aurait 5/5 sur l'intégralité des tomes (autre que Sky Wars) ! Et bien non, c'est manqué pour Helck ! Bon ok un 4 c'est deja bien. Mais ce tome marque un peu le pas. Il endosse le rôle ingrat de tome de transition. Un tome qui nous prépare pour les deux derniers tomes qui s'annoncent dantesque mais un tome qui ne dépasse pas sa fonction. On en apprend un peu plus sur la guerre en cours, les différentes stratégies de chacun et leurs rôles. On réapprend à côtoyer les héros du tournoi et Helck est sur le retour... mais bref ce n'est pas vraiment l'intensité des tomes précédents… M'enfin, on se consolera avec les deux prochains tome à venir qui, étant les deux derniers de la série, marqueront surement les esprits ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/helck-tome-6?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Thorgal - Tome 42 - Ozurr le varègue Scenariste de l'album : Yann Dessinateur de l'album : F. Vignaux Coloriste : Gaétan Georges Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : De retour au village, Thorgal a retrouvé Aaricia, Louve et la sérénité ; Il aide désormais Jolan à construire son propre foyer. Un matin, un vaisseau inconnu mouille au large du port : Özurr, un belliqueux mercenaire Varègue est de retour au village après en avoir été banni pendant trente ans. Il revient la tête haute, riche et prêt à payer le weirgild, le prix du sang. Thorgal va être amené à affronter le terrible Özurr au cours d'un duel sans merci, face à un adversaire pour lequel tous les coups bas sont permis. Critique : Si vous lisez régulièrement mes chroniques ici, vous savez que je regrette un peu que la série mère de thorgal n'ai pas connue une belle fin quand les auteurs en ont eu l'occasion, ou sur un épisode de thorgal saga. Parce que oui 42 tomes cela commence à peser sur les épaules de notre "viking" préféré, et même si F. Vignaux et Yann sont des auteurs talentueux, que raconter qui n'ai pas déjà été un peu fait sur l'un des 41 tomes précédents ? Bon une fois ceci dit, intéressons nous de plus près à cet album-ci. F. Vignaux signe encore de bien belles planches et des ambiances réussies avec une mise en couleur fine de Gaétan Georges. Seul petit bémol, parfois le dessin semble un peu trop flou sur certains personnages de second plan mais c'est assez mineur. En vrai je trouve que depuis le Thorgal saga, son travail s'est bonifié. On est sur du haut niveau en fantasy, et un héritage du maître Rosinski qui me semble respecté dans l'esprit. Le scénario de Yann est lui plus convenu, et on retrouve un gros air de déjà lu à ce tome-ci qui ressemble davantage à un tome de transition pour amorcer un nouveau cycle. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/thorgal-tome-42-ozurr-le-varegue?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Si vous lisez régulièrement mes chroniques ici, vous savez que je regrette un peu que la série mère de thorgal n'ai pas connue une belle fin quand les auteurs en ont eu l'occasion, ou sur un épisode de thorgal saga. Parce que oui 42 tomes cela commence à peser sur les épaules de notre "viking" préféré, et même si F. Vignaux et Yann sont des auteurs talentueux, que raconter qui n'ai pas déjà été un peu fait sur l'un des 41 tomes précédents ? Bon une fois ceci dit, intéressons nous de plus près à cet album-ci. F. Vignaux signe encore de bien belles planches et des ambiances réussies avec une mise en couleur fine de Gaétan Georges. Seul petit bémol, parfois le dessin semble un peu trop flou sur certains personnages de second plan mais c'est assez mineur. En vrai je trouve que depuis le Thorgal saga, son travail s'est bonifié. On est sur du haut niveau en fantasy, et un héritage du maître Rosinski qui me semble respecté dans l'esprit. Le scénario de Yann est lui plus convenu, et on retrouve un gros air de déjà lu à ce tome-ci qui ressemble davantage à un tome de transition pour amorcer un nouveau cycle.
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Les nouvelles aventures de Barbe-Rouge - Tome 4 - Chasseur d'esclaves
The_PoP a posté un sujet dans Toute la BD
Titre de l'album : Les nouvelles aventures de Barbe-Rouge - Tome 4 - Chasseur d'esclaves Scenariste de l'album : Jean-Charles Kraehn Dessinateur de l'album : Stefano Carloni Coloriste : Stefano Carloni Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Révolté par le sort qui leur est réservé, Baba quitte soudainement le Faucon-Noir pour vivre auprès d'esclaves en fuite. C'est alors que Peet le Bordelais propose un marché abject à Barbe-Rouge : l'aider à retrouver l'île où Baba s'est rendu, et à capturer les Negmarrons qui s'y trouvent. En échange, il libérera indemne la fille d'Éric et Concha, qu'il vient de kidnapper. Obligés d'accepter, Barbe-Rouge et Éric jouent un double-jeu particulièrement risqué... Une histoire en deux tomes sur fonds de commerce triangulaire, narrée avec talent par Jean-Charles Kraehn et dessiné avec virtuosité par Stefano Carloni. Critique : Allez hop, on avait oublié d'en parler de celui-là mais début septembre on a vu passer le tome 4 des nouvelles aventures de barbe-rouge. Pour rappel cette série mythique de ma jeunesse a été relancée jusqu'ici avec succès grâce à une qualité certaine. Et bien ce tome 4 ne fait pas exception à la règle, car si j'ai trouvé le scénario de Jean-Charles Kraehn parfois un brin facile et rapide, il a le mérite de laisser la part belle à l'aventure, aux parfums de rhume t d'antilles et à nos personnages bien connus. Les dessins de Stefano Carloni sont toujours aussi réussis, donnant beaucoup de charme à la série et la rapprochant des ténors du genre (1629, Raven, Barracuda par exemple). Bon on n'est pas encore tout à fait sur le même niveau mais cela reste très plaisant, car le lecteur d'aventure pirates en bd a été très très bien habitué ces dernières années. L'héritage franco belge est bien assimilé et digéré sans pour autant dénaturer l'original et c'est un plaisir de voir cette série renaître et évoluer ainsi. Je ne peux que recommander les nouvelles aventures de barbe rouge pour tout amateur de piraterie en bd qui se respecte ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-nouvelles-aventures-de-barbe-rouge-tome-4-chasseur-d-esclaves/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement -
Allez hop, on avait oublié d'en parler de celui-là mais début septembre on a vu passer le tome 4 des nouvelles aventures de barbe-rouge. Pour rappel cette série mythique de ma jeunesse a été relancée jusqu'ici avec succès grâce à une qualité certaine. Et bien ce tome 4 ne fait pas exception à la règle, car si j'ai trouvé le scénario de Jean-Charles Kraehn parfois un brin facile et rapide, il a le mérite de laisser la part belle à l'aventure, aux parfums de rhume t d'antilles et à nos personnages bien connus. Les dessins de Stefano Carloni sont toujours aussi réussis, donnant beaucoup de charme à la série et la rapprochant des ténors du genre (1629, Raven, Barracuda par exemple). Bon on n'est pas encore tout à fait sur le même niveau mais cela reste très plaisant, car le lecteur d'aventure pirates en bd a été très très bien habitué ces dernières années. L'héritage franco belge est bien assimilé et digéré sans pour autant dénaturer l'original et c'est un plaisir de voir cette série renaître et évoluer ainsi. Je ne peux que recommander les nouvelles aventures de barbe rouge pour tout amateur de piraterie en bd qui se respecte !
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Il fallait bien que cela arrive un jour. Je pense que l'ensemble des 6 premiers tomes fut un coup de coeur pour moi, y compris d'ailleurs les 2 tomes du spin off sur vénus. Alex Alice est pour moi parmi ce qui se fait de mieux en bd depuis vingt ans. Pourtant je vous avoue que j'ai eu une pointe de déception pour cet album au niveau graphique. Alors attention hein, je dis bien juste une pointe, cela reste très beau, n'en doutez point. Mais j'ai trouvé parfois un petit manque de détails, quelques visages moins expressifs et empathiques que d'habitude. C'est suffisamment rare chez Alex Alice pour que cela m'ai surpris. Les paysages et décors restent superbes, et les couleurs toujours aussi belles. Notez aussi que c'est terriblement subjectif, peut être que j'ai été influencé par un état d'esprit moins positif au moment de ma lecture, ou par la profusion de superbes sorties récentes. Je ne sais pas trop vous dire, mais le fait est que je me suis senti moins immergé dans son dessin, une fois n'est pas coutume. Par contre niveau scénario on reste sur du très bon, dans la lignée des tomes précédents, de l'aventure, un brin d'humour, des personnages bien pensés, des rebondissements et cette extraordinaire capacité à nous créer du merveilleux sous les yeux. Tout simplement enchanteur. A noter qu'une fois encore la couverture est sublime. Bref pour les amateurs de la série foncez quand même sur ce tome, il n'y a pas d'équivalent à ma connaissance sur ce genre là, et pour les autres, et bien commencez par le tome 1 🙂
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Direction les Cyclades avec la fameuse île Santorin comme destination pour nos jeunes aventuriers ! La quête de la pierre philosophale se poursuit dans un rythme effréné, car Masque d'Acier est toujours à leur trousse avec la tempétueuse Salamandre. Une fois de plus, tout va très vite pour nos archéologues en herbe dans ce second tome riche en rebondissements ! La course poursuite vers ce "trésor" va les soumettre à de nouvelles énigmes, tâches d'autant plus difficiles sous la pression de Masque d'Acier qui a créé deux automates s'avérant être de fins limiers aux nombreuses ressources. Les retrouvailles vont être épiques et vous laisser sur une fin, énigmatique 😉 ! L'attente du quatrième tome sera longue ! Alexandre Saint-Genez nous gratifie une nouvelle fois de son dessin rond et lumineux, avec des planches aérées, une grande palette de couleurs accompagnée d'effets visuels sympas dans les parties sous-marines. Académique et efficace, on sent la patte de Barbucci qui chapeaute la direction artistique.
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Titre de l'album : L'alchimiste - tome 3 Scenariste de l'album : Maxime Fontaine, Nicolas Beuglet Dessinateur de l'album : Alexandre Saint-Genez, Alessandro Barbucci Coloriste : Piky Hamilton Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Espéranza et Basile plongent cette fois au coeur du plus majestueux des continents oubliés : la célèbre Atlantide. Ils n'ont pas le temps d'en admirer les merveilles : le Masque d'acier, revanchard, déploie les grands moyens. Il envoie Salamandre à leurs trousses, flanquée cette fois de deux cyborgs de son invention, aussi élégants que mortels. Pourchassés sans relâche, les deux enfants doivent résoudre l'énigme la plus effrayante de leur périple : celle détenue par une armée entière de géants. Critique : Direction les Cyclades avec la fameuse île Santorin comme destination pour nos jeunes aventuriers ! La quête de la pierre philosophale se poursuit dans un rythme effréné, car Masque d'Acier est toujours à leur trousse avec la tempétueuse Salamandre. Une fois de plus, tout va très vite pour nos archéologues en herbe dans ce second tome riche en rebondissements ! La course poursuite vers ce "trésor" va les soumettre à de nouvelles énigmes, tâches d'autant plus difficiles sous la pression de Masque d'Acier qui a créé deux automates s'avérant être de fins limiers aux nombreuses ressources. Les retrouvailles vont être épiques et vous laisser sur une fin, énigmatique 😉 ! L'attente du quatrième tome sera longue ! Alexandre Saint-Genez nous gratifie une nouvelle fois de son dessin rond et lumineux, avec des planches aérées, une grande palette de couleurs accompagnée d'effets visuels sympas dans les parties sous-marines. Académique et efficace, on sent la patte de Barbucci qui chapeaute la direction artistique. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-alchimiste-tome-2/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Le studio Peyo ne faiblit guère, et malgré les sorties de la sortie dérivée du village des filles, voici un nouveau tome de la série principale. Et c'est toujours aussi bien un album des schtroumpfs. Pas de grosses surprises certes mais une histoire nouvelle à chaque fois, qui termine (bien) en fin d'album et qui fait sourire tout en amenant quelques réflexions à nos chères têtes blondes (ou brunes, ou autre m'enfin vous voyez l'idée). Le dessin de Miguel Diaz Vizoso est dans la lignée des standards pour les schtroumpfs. C'est une affaire de famille quand même et en cela la continuité est bien assurée, bravo !
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Les Schtroumpfs - Tome 42 - Les Schtroumpfs et la cape magique
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Titre de l'album : Les Schtroumpfs - Tome 42 - Les Schtroumpfs et la cape magique Scenariste de l'album : Thierry Culliford & Alain Jost Dessinateur de l'album : Miguel Diaz Vizoso Coloriste : Nine Culliford Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Un matin, après avoir été victime d'une mauvaise blague du Schtroumpf Farceur, le Schtroumpf Peureux se réveille en ne craignant plus rien ni personne. Quelques instants plus tard, c'est le Schtroumpf Gourmand qui perd l'appétit, et ensuite le Schtroumpf Paresseux qui devient hyperactif... Tous ont porté pendant quelques instants une vieille cape poussiéreuse trouvée dans une malle. Cette cape magique va très vite semer la zizanie dans le village ! Critique : Le studio Peyo ne faiblit guère, et malgré les sorties de la sortie dérivée du village des filles, voici un nouveau tome de la série principale. Et c'est toujours aussi bien un album des schtroumpfs. Pas de grosses surprises certes mais une histoire nouvelle à chaque fois, qui termine (bien) en fin d'album et qui fait sourire tout en amenant quelques réflexions à nos chères têtes blondes (ou brunes, ou autre m'enfin vous voyez l'idée). Le dessin de Miguel Diaz Vizoso est dans la lignée des standards pour les schtroumpfs. C'est une affaire de famille quand même et en cela la continuité est bien assurée, bravo ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-schtroumpfs-tome-42-les-schtroumpfs-et-la-cape-magique/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement-
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Après un diptyque centré sur Lou aux prises avec des pirates, la saga Carthago se poursuit pour un avant-dernier tome avec les péripéties de Donavan. Hélas oui, la série de Christophe Bec débutée en 2007, ayant donné lieue à des histoires annexes avec Carhago Adventures, va prendre bientôt fin pour une ultime histoire 😞 . Nous retrouverons donc Lou Melville et Donavan pour on l'espère des retrouvailles et un feu d'artifice de révélations. En effet ce tome va vous laisser sur une dernière page énigmatique, donnant envie de lire la suite très rapidement; l'ombre de Feiersinger planant sur nos deux héros désirant s'affranchir du "centenaire" des Carpates. Dans ce tome plutôt introductif, Donovan se retrouve piégé avec son vieux compagnon de route Tuak, dans une grotte. Les rations s'épuisent, l'eau vient à manquer, de graves décisions seront prises dans cette histoire aux forts accents de survivalisme ! Ayant repris la série depuis le tome 6, Ennio Bufi poursuit son oeuvre avec la réalisation de planches propres et soignées. Son trait réaliste est toujours aussi percutant, servi par une coloration aux jolis dégradés. Attendez-vous à une aventure plutôt sombre car l'essentiel se déroule sous terre, mais la lumière et les effets visuels sur les visages sont particulièrement réussis. Ceci dit, tout ne tourne pas autour de Donavan, Bec segmente les phases de "spéléologie" en nous plongeant dans le passé de Lou et sa relation avec Feiersinger. De petites révélations venant à point nommé et annonciatrices d'un final riche, clôturant je l'espère une saga de grande qualité. Monsieur Bec, on attend votre dénouement avec impatience !
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Titre de l'album : Carthago tome 15 - Au cœur des ténèbres Scenariste de l'album : Christophe Bec Dessinateur de l'album : Ennio Bufi Coloriste : Andrea Meloni Editeur de l'album : Les humanoides associés Note : Résumé de l'album : En 2027, l’apocalypse nucléaire vient d’avoir lieu. Les vieux amis Donovan et Tuak, piégés dans une caverne avec leurs chiens, doivent convoquer ce qu’il leur reste de force physique et mentale pour espérer retrouver leurs proches et découvrir ce qu’il reste du monde qu’ils ont connu. Mais ce n’est peut-être pas de la surface que viendront les secours… Critique : Après un diptyque centré sur Lou aux prises avec des pirates, la saga Carthago se poursuit pour un avant-dernier tome avec les péripéties de Donavan. Hélas oui, la série de Christophe Bec débutée en 2007, ayant donné lieue à des histoires annexes avec Carhago Adventures, va prendre bientôt fin pour une ultime histoire 😞 . Nous retrouverons donc Lou Melville et Donavan pour on l'espère des retrouvailles et un feu d'artifice de révélations. En effet ce tome va vous laisser sur une dernière page énigmatique, donnant envie de lire la suite très rapidement; l'ombre de Feiersinger planant sur nos deux héros désirant s'affranchir du "centenaire" des Carpates. Dans ce tome plutôt introductif, Donovan se retrouve piégé avec son vieux compagnon de route Tuak, dans une grotte. Les rations s'épuisent, l'eau vient à manquer, de graves décisions seront prises dans cette histoire aux forts accents de survivalisme ! Ayant repris la série depuis le tome 6, Ennio Bufi poursuit son oeuvre avec la réalisation de planches propres et soignées. Son trait réaliste est toujours aussi percutant, servi par une coloration aux jolis dégradés. Attendez-vous à une aventure plutôt sombre car l'essentiel se déroule sous terre, mais la lumière et les effets visuels sur les visages sont particulièrement réussis. Ceci dit, tout ne tourne pas autour de Donavan, Bec segmente les phases de "spéléologie" en nous plongeant dans le passé de Lou et sa relation avec Feiersinger. De petites révélations venant à point nommé et annonciatrices d'un final riche, clôturant je l'espère une saga de grande qualité. Monsieur Bec, on attend votre dénouement avec impatience ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/carthago-tome-15-au-coeur-des-tenebres/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Raven tome 3 - Furies (Fin) Scenariste de l'album : Mathieu Lauffray Dessinateur de l'album : Mathieu Lauffray Coloriste : Mathieu Lauffray Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : En piégeant Lady Darksee, Raven fait preuve d'une audace folle. Non seulement, il avait déjà récupéré les émeraudes, mais en plus, il isole la capitaine pirate de son équipage resté au camp. Malheureusement, pour les rescapés du naufrage, la situation est critique : le comte est assassiné par Drago, le second de Darksee, et le « Capricorne » qui devait permettre à tout ce petit monde de s'enfuir de cet enfer, est échoué sur la plage. La menace des cannibales est plus que jamais présente et amis et ennemis d'autrefois devront s'entendre pour faire face à cette menace mortelle. Mais gare aux coups bas ! La conclusion de la grande saga de pirates de ces dernières années ! Critique : On était tous d'accord, chez 1001bd, pour dire que le plus dur serait quasiment de rater la fin de cette trilogie, tellement les deux précédents étaient bons. Et bien si Lauffray a fait dans la facilité( i e il nous livre une bonne fin), il l'a fait d'une très belle façon ! En effet, ce tome est plus que bon, il est excellent. Graphiquement, on n'avait aucun doute tellement le style "pirate" lui va à merveille depuis Long John Silver. Mais encore fallait-il terminer ce scenario"dans les règles" comme dit monsieur mouche. Et ce tome trois deviendrait presque la définition de la règle tellement c'est une fin... digne des codes de la piraterie ! Des combats, des trahisons, du bluff, des navires, des trésors, mais aussi un héros aux grandes illusions et une Némésis qui n'a pas dit son dernier mot. On en prend plein les yeux et on se téléporte immédiatement sur les mats du Capricorne en criant : Libérer la grand voile !! Le début était haletant, la fin est, elle, succulente de décontraction. Allez ce soir, c'est l'ile aux trésors, puis relecture de Long Joh Silver ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/raven-tome-3-furies?ref=44 Voir la totalité de enregistrement