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  1. Dernier volume des Batman one day (ouf pour le budget des fans de DC) et un volume qui se finit cette minisérie de bien belle façon. Cet album s'éloigne de Batman et même de Gotham pour nous livrer un récit émouvant sur un personnage torturé. Un personnage qui passe trop souvent pour un des gros bourrins béta de l'univers de Batman et que nos auteurs nous pressent de bien belle façon. Graphiquement parlant rien a redire de Alejandro Germánico Benito González qui fait un travail de qualité pour un personnage "gluant" pas facile à apprivoiser. Un bon tome sur un personnage trop méconnu et sous-estimé dans le Bat-Verse.
  2. Kevin Nivek

    Batman Killing time

    Une histoire de Batman avec Tom King aux manettes , on en redemande tant il magnifie ses histoires . Il peut les complexifier aussi ! Le pitch mentionne un braquage de banque , quoi de plus naturel à Gotham city avec autant de vilains sillonnant les rues ,sauf que ! Sauf que l'ami Tom King intègre des éléments nouveaux tels la mythologie et surtout , il décompose sa narration en plusieurs lignes de temps ! Je ne parle pas de mythologie grecque liée à Wonder woman, mais plutôt la véritable légende hellène . Et lorsque je mentionne plusieurs timelines , attendez-vous à sauter les jours voire les heures , d'avant en arrière et inversement ! On peut éprouver une certaine difficulté à rester dans le récit , il est nécessaire de brancher son cerveau 😉 Mais c'est indéniablement bien réalisé , avec un suspens terrible et un souffle de renouveau dans l'approche narrative des super-héros , tellement bienvenu ! L'ancien analyste de la CIA s'entoure d'un dessinateur correspondant bien à ses standards , David Marquez et son trait "comics" dans la lignée d'un David Finch et autres collaborateurs de son Batman rebirth . Un dessin net , en rondeur , lumineux et détaillé . Le découpage cher à King en 6 petites cases , toujours aussi cinématographique , se retrouve ça et là en cours de lecture . Il s'agit clairement d'un one-shot de très bonne facture , avec un mais : une complexité exacerbée . Vous refermerez ce livre avec un sentiment de satisfaction mêlé à de l' incompréhension . Un fait regrettable certes , mais invitant à d'autres lectures réjouissantes, car les pages se tournent de façon compulsive dans ce polar "Gothamien" . On a hâte de le voir à l'oeuvre dans ce "DCU" que James Gunn veut mettre en place pour concurrencer de façon plus efficace le MCU !
  3. Titre de l'album : Batman Killing time Scenariste de l'album : Tom King Dessinateur de l'album : David Marquez Coloriste : David Marquez Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Gotham City, 4 mars, 16h46. Banque centrale. Un étrange client fait son apparition. Personne ne le sait, mais le braquage du siècle est sur le point d'avoir lieu, dans cette banque précisément. Trois malfrats ? Catwoman, le Pingouin et le Riddler ? s'associent pour mener à bien leur mission, juste histoire de tuer le temps... Critique : Une histoire de Batman avec Tom King aux manettes , on en redemande tant il magnifie ses histoires . Il peut les complexifier aussi ! Le pitch mentionne un braquage de banque , quoi de plus naturel à Gotham city avec autant de vilains sillonnant les rues ,sauf que ! Sauf que l'ami Tom King intègre des éléments nouveaux tels la mythologie et surtout , il décompose sa narration en plusieurs lignes de temps ! Je ne parle pas de mythologie grecque liée à Wonder woman, mais plutôt la véritable légende hellène . Et lorsque je mentionne plusieurs timelines , attendez-vous à sauter les jours voire les heures , d'avant en arrière et inversement ! On peut éprouver une certaine difficulté à rester dans le récit , il est nécessaire de brancher son cerveau 😉 Mais c'est indéniablement bien réalisé , avec un suspens terrible et un souffle de renouveau dans l'approche narrative des super-héros , tellement bienvenu ! L'ancien analyste de la CIA s'entoure d'un dessinateur correspondant bien à ses standards , David Marquez et son trait "comics" dans la lignée d'un David Finch et autres collaborateurs de son Batman rebirth . Un dessin net , en rondeur , lumineux et détaillé . Le découpage cher à King en 6 petites cases , toujours aussi cinématographique , se retrouve ça et là en cours de lecture . Il s'agit clairement d'un one-shot de très bonne facture , avec un mais : une complexité exacerbée . Vous refermerez ce livre avec un sentiment de satisfaction mêlé à de l' incompréhension . Un fait regrettable certes , mais invitant à d'autres lectures réjouissantes, car les pages se tournent de façon compulsive dans ce polar "Gothamien" . On a hâte de le voir à l'oeuvre dans ce "DCU" que James Gunn veut mettre en place pour concurrencer de façon plus efficace le MCU ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-killing-time/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Titre de l'album : Poison Ivy tome 1 - Cercle vertueux Scenariste de l'album : Neil Gaiman | Gwendolyn Willow Wilson Dessinateur de l'album : Marcio Takara | Brian Level | Danai Kilaidonis | Mark Buckingham Coloriste : Marcio Takara | Brian Level | Danai Kilaidonis Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Pamela Isley a été beaucoup de choses dans sa vie. Une super-vilaine, une scientifique, une activiste, une reine et... une morte. Dans un nouveau corps, et animée d'un objectif radical, Ivy quitte Gotham et celle qui l'y retenait pour entreprendre la plus grande mission de sa vie, un cadeau qui guérira enfin les maux de notre planète : l'extinction de l'humanité. Critique : Batman Infinite tome 2 et 3 nous a livré le mini arc "State of Fear" qui a vu Pamela Isley acquérir le pouvoir de contrôle totale sur la Sève en devenant sa reine. Contrôle qui lui faisait perdre la raison et dont seul l'amour de Harley Quinn a triomphé. On retrouve donc un premier run centré sur Poison Ivy qui fait office de reboot et de point de départ. En fait c'est, étrangement, plus un point final qu'un point de départ, car ce tome nous présente une Poison Ivy qui ne sait plus où elle doit se placer, en pleine cure de désintoxication de son overdose de pouvoir en tant que reine. Ce premier tome est particulièrement réussi. Porté par une narration sous forme de courrier à Harley qui mêle réflexion sur sa vie et son auto-psychanalyse, ce premier tome est au final un one shot dense, violent et assez profond sur les thèmes chers au personnage : la place de l'homme sur terre, les dégâts qu'il cause et le remède "facile" de la suppression de la menace. Si on ajoute un véritable méchant qui revient aux sources des débuts de Poison Ivy, on a tout ce qu'il faut pour en faire un point de départ réussi pour qui souhaiterait suivre les aventures de Pamela Isley. Je conseille quand même a toute personne souhaitant se lancer dans l'aventure de faire l'effort de lire les Batman infinite, colonne vertébrale de tous ces spin off "Infinite" Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/poison-ivy-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Batman Infinite tome 2 et 3 nous a livré le mini arc "State of Fear" qui a vu Pamela Isley acquérir le pouvoir de contrôle totale sur la Sève en devenant sa reine. Contrôle qui lui faisait perdre la raison et dont seul l'amour de Harley Quinn a triomphé. On retrouve donc un premier run centré sur Poison Ivy qui fait office de reboot et de point de départ. En fait c'est, étrangement, plus un point final qu'un point de départ, car ce tome nous présente une Poison Ivy qui ne sait plus où elle doit se placer, en pleine cure de désintoxication de son overdose de pouvoir en tant que reine. Ce premier tome est particulièrement réussi. Porté par une narration sous forme de courrier à Harley qui mêle réflexion sur sa vie et son auto-psychanalyse, ce premier tome est au final un one shot dense, violent et assez profond sur les thèmes chers au personnage : la place de l'homme sur terre, les dégâts qu'il cause et le remède "facile" de la suppression de la menace. Si on ajoute un véritable méchant qui revient aux sources des débuts de Poison Ivy, on a tout ce qu'il faut pour en faire un point de départ réussi pour qui souhaiterait suivre les aventures de Pamela Isley. Je conseille quand même a toute personne souhaitant se lancer dans l'aventure de faire l'effort de lire les Batman infinite, colonne vertébrale de tous ces spin off "Infinite"
  6. Titre de l'album : Batman - one bad day - Catwoman Scenariste de l'album : Gwendolyn Willow Wilson Dessinateur de l'album : Jamie McKelvie Coloriste : Jamie McKelvie Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Alors que Selina Kyle n'était qu'une adolescente, sa mère a dû se résoudre à vendre une broche dont elle avait héritée à un prêteur sur gages peu scrupuleux. Quelques années plus tard, lorsque Catwoman apprend que ce bijou est en réalité d'une valeur inestimable, elle n'a plus qu'une idée en tête : reprendre ce trésor familial à tout prix ! Mais cette course effrénée ne risque-t-elle pas de déterminer le reste de son existence ? Contenu vo : Batman - One Bad Day: Catwoman. Critique : Bon décidément cette collection n'est pas moi. Encore une fois, on nous présente ici, à assez cher, une histoire hors contexte et surtout hors d'un vrai intérêt pour les amateurs de DC. On se concentre sur l'aspect voleuse de Catwoman et on lui invente un passé cherchant à faire ressortir son côté "gentille" mais... voleuse quand même. Batman parait ringard au possible et complètement à côté de ses pompes en mode amoureux transit qui laisse faire sa bien-aimée. C'est sans véritable intérêt sauf pour ceux qui ne connaissent pas du tout le personnage. Graphiquement c'est pas loin du service minimum ce qui fait de ce Catwoman l'un des moins intéressant de la série. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-one-bad-day-catwoman?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. poseidon2

    Batman - one bad day - Catwoman

    Bon décidément cette collection n'est pas moi. Encore une fois, on nous présente ici, à assez cher, une histoire hors contexte et surtout hors d'un vrai intérêt pour les amateurs de DC. On se concentre sur l'aspect voleuse de Catwoman et on lui invente un passé cherchant à faire ressortir son côté "gentille" mais... voleuse quand même. Batman parait ringard au possible et complètement à côté de ses pompes en mode amoureux transit qui laisse faire sa bien-aimée. C'est sans véritable intérêt sauf pour ceux qui ne connaissent pas du tout le personnage. Graphiquement c'est pas loin du service minimum ce qui fait de ce Catwoman l'un des moins intéressant de la série.
  8. poseidon2

    Batman - nocturne tome 1

    Batman Nocturne est une série qui démarre sur la famille Arkham et son lien historique avec Gotham. Un peu comme l'avait fait Sean Murphy avec son Curse of the White Knight, Ram V nous livre une histoire remontant aux sources de Gotham.... et je dois bien avouer que ce lien est quand même bien tiré par les cheveux. Si l'ensemble est sympa, porté par un Rafael Albuquerque de haut niveau, elle est pour l'instant un peu plombée par ce démarrage sorti de nul part. En effet on ne comprend pas bien pourquoi ces méchants débarquent et la seule solution qu'il nous ait donné est qu'ils n'ont pas digéré… la destruction de l'asile qui porte leur nom… Bref pas bien crédible et, si on fait confiance à Ram V, cela semble pour l'instant un peu forcé. Comme si après l'idée de Sean Murphy, chez DC quelqu'un avait dit : on va faire pareil dans la branche principale.
  9. Titre de l'album : Batman - nocturne tome 1 Scenariste de l'album : Ram V. Dessinateur de l'album : Rafael Albuquerque Coloriste : Rafael Albuquerque Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Il y a quelque chose de pourri au royaume de Gotham. Peu importe les épreuves que Bruce surmonte, et les pistes qu'il poursuit, le plus grand détective du monde n'arrive pas à trouver la source de la peur rampante qu'il ressent - comme si ses démons intérieurs s'emballaient et lui annonçaient sa mort imminente. Pendant ce temps, de vrais démons rôdent dans l'ombre et enveloppent la Cité de leurs ténèbres alors qu'une mélodie séculaire hante la nuit de Gotham. Le rideau se lève, la complainte sinistre s'élève... et Batman pourrait cette fois rester à terre. Critique : Batman Nocturne est une série qui démarre sur la famille Arkham et son lien historique avec Gotham. Un peu comme l'avait fait Sean Murphy avec son Curse of the White Knight, Ram V nous livre une histoire remontant aux sources de Gotham.... et je dois bien avouer que ce lien est quand même bien tiré par les cheveux. Si l'ensemble est sympa, porté par un Rafael Albuquerque de haut niveau, elle est pour l'instant un peu plombée par ce démarrage sorti de nul part. En effet on ne comprend pas bien pourquoi ces méchants débarquent et la seule solution qu'il nous ait donné est qu'ils n'ont pas digéré… la destruction de l'asile qui porte leur nom… Bref pas bien crédible et, si on fait confiance à Ram V, cela semble pour l'instant un peu forcé. Comme si après l'idée de Sean Murphy, chez DC quelqu'un avait dit : on va faire pareil dans la branche principale. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-nocturne-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. poseidon2

    Batman - One bad day - Bane

    Ahhh enfin un tome de One Bad Day qui arrive à la cheville de celui de Tom King. Une vraie belle histoire qui se révèle être autre chose qu'une énième présentation d'un méchant iconique. Ici, on est plus dans la rédemption d'un méchant de Batman. Méchant qui a toujours été ambivalent avec une histoire qui l'a transformé et donc il fut plus l'esclave qu'un méchant souhaitant faire le mal. Joshua Williamson nous livre une histoire touchante et plaisante à lire avec un Bane très humain. Un récit qui n'oublie pas de nous livrer des beaux combats portés par un dessin brut collant bien à l'histoire. Un des meilleurs qui validerait presque le tarif…
  11. Titre de l'album : Batman - One bad day - Bane Scenariste de l'album : Joshua Williamson Dessinateur de l'album : Howard Porter Coloriste : Howard Porter Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Si Eduardo Dorrance doit sa stature colossale au venom, c'est également à ce stéroïde qu'il doit ses plus gros ennuis. Sevré depuis longtemps maintenant, Bane a définitivement raccroché son masque de criminel pour se parer de celui d'un catcheur sur le déclin. Aussi, quand il apprend qu'une nouvelle source de venom existe, il va tout faire pour la détruire, afin que personne ne soit victime du poison qui a ruiné sa vie. Critique : Ahhh enfin un tome de One Bad Day qui arrive à la cheville de celui de Tom King. Une vraie belle histoire qui se révèle être autre chose qu'une énième présentation d'un méchant iconique. Ici, on est plus dans la rédemption d'un méchant de Batman. Méchant qui a toujours été ambivalent avec une histoire qui l'a transformé et donc il fut plus l'esclave qu'un méchant souhaitant faire le mal. Joshua Williamson nous livre une histoire touchante et plaisante à lire avec un Bane très humain. Un récit qui n'oublie pas de nous livrer des beaux combats portés par un dessin brut collant bien à l'histoire. Un des meilleurs qui validerait presque le tarif… Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-one-bad-day-bane?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Titre de l'album : Red hood : Souriez Scenariste de l'album : Chip Zdarsky Dessinateur de l'album : Eddy Barrows Coloriste : Eddy Barrows Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Jason Todd est de retour à Gotham City et les problèmes de la ville le poussent à porter le masque à nouveau. La menace numéro un : une nouvelle drogue envahit la ville et son influence grandissante devient extrêmement problématique. Alors qu'il enquête sur l'origine de ce nouveau fléau, l'ancien Robin croisera inévitablement la route du Chevaler Noir. Red Hood et Batman arriveront-ils à unir leurs forces pour arrêter ce nouveau fléau ? Critique : Jason Todd est un héros qui a le vent en poupe. Bien aidé par la mode actuelle d'avoir des héros ambivalents, ce red hood nous livre une histoire dans l'univers à part de ce anti héros. SI l'histoire est globalement sympathique, avec un nouveau méchant et une nouvelle drogue qui pollue la vie de Gotham, on pourra reprocher à ce Red Hood de s'obliger à nous re-re-re- repeter l'histoire de Jason Todd en tant que Robin. On se retrouve avec toute une partie qui coupe l'histoire principale et qui ennuiera le lecteur averti. Ce tome est plus un tome de présentation pour nouveau lecteur que pour lecteur averti. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/red-hood-souriez/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. poseidon2

    Red hood : Souriez

    Jason Todd est un héros qui a le vent en poupe. Bien aidé par la mode actuelle d'avoir des héros ambivalents, ce red hood nous livre une histoire dans l'univers à part de ce anti héros. SI l'histoire est globalement sympathique, avec un nouveau méchant et une nouvelle drogue qui pollue la vie de Gotham, on pourra reprocher à ce Red Hood de s'obliger à nous re-re-re- repeter l'histoire de Jason Todd en tant que Robin. On se retrouve avec toute une partie qui coupe l'histoire principale et qui ennuiera le lecteur averti. Ce tome est plus un tome de présentation pour nouveau lecteur que pour lecteur averti.
  14. Titre de l'album : Batman - one bad day - Mr. Freeze Scenariste de l'album : Gerry Duggan Dessinateur de l'album : Matteo Scalera Coloriste : Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Un manteau de givre et de glace s'abat sur Gotham City et fait entrer la cité dans son hiver le plus rude. Le froid est tel que Mr. Freeze peut désormais sortir à l'air libre, libéré de son armure réfrigérée. Et le Chevalier Noir sait qu'il n'en est que plus dangereux, d'autant qu'en apparence les intentions de Victor Fries paraissent on ne peut plus honorables : après tout, son seul désir est de sauver sa femme, Nora. C'est en tout cas ce qu'il confesse à Robin, ralliant le jeune équipier à sa cause. Mais Batman n'est pas dupe, et les rigueurs de l'hiver ne tarderont pas à lui donner raison. Critique : Nouvel opus des aventures de Batm , euh non , des ennemis de Batman 🙂 Veuillez excuser cette maladresse inopportune ! Mr Freeze ( non ce n'est pas un bâtonnet glacé à la grenadine) fait des siennes dans une ville de Gotham sous un manteau neigeux . Pour l'arrêter , nos intrépides héros , oui , je dis bien "nos héros" car pour la première fois dans cette série "bad guys" , est incorporé Robin , le jeune compagnon de Bruce Wayne . Les auteurs ont voulu imprimer un caractère old school au récit avec des costumes "rétros" , celui de Batman est gris , similaire à celui d'Adam West . Il en va de même pour les batmobiles décapotables et imprégnées du look des 30 glorieuses . Mais rassurez-vous , nous sommes bel et bien à une époque contemporaine où les ordinateurs et autres labos de recherches sont à la pointe du progrès . Gerry Duggan a voulu donner de l'envergure à ce méchant pas comme les autres , en imaginant Batman lui tendre la main afin de sauver sa femme cryogénisée . La suite ne se déroulera pas exactement comme prévue ! J'espérais en savoir un peu plus sur ce vilain givré , mais sa vie passée en couple est succincte , le récit s'attarde peu à sa relation amoureuse ainsi que la tragédie à venir . Au lieu de cela , il nous propose un Bruce Wayne se déguisant en alcoolo en quête d'indices et donne un ton assez humoristique à la relation Batman / Robin . Cela plaira à certains , moins sûr pour une grande majorité d'autres ! Scalera et son trait (dont je ne suis pas un grand fan) assure le boulot dans son style si particulier : un dessin avec des proportions taillées à la serpe , dans un trait arrondi ! Je mets la moyenne car cela finit sur une note amusante et empreinte de sincérité sur Freeze ; il en aurait fallu un peu plus ... Décidément , tout le monde n'est pas Tom King ! NDLR : Note gloable remontée à 3/5 pour refléter l'avis de @poseidon2 qui a bien plus apprécié de tome. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-one-bad-day-mr-freeze/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Nouvel opus des aventures de Batm , euh non , des ennemis de Batman 🙂 Veuillez excuser cette maladresse inopportune ! Mr Freeze ( non ce n'est pas un bâtonnet glacé à la grenadine) fait des siennes dans une ville de Gotham sous un manteau neigeux . Pour l'arrêter , nos intrépides héros , oui , je dis bien "nos héros" car pour la première fois dans cette série "bad guys" , est incorporé Robin , le jeune compagnon de Bruce Wayne . Les auteurs ont voulu imprimer un caractère old school au récit avec des costumes "rétros" , celui de Batman est gris , similaire à celui d'Adam West . Il en va de même pour les batmobiles décapotables et imprégnées du look des 30 glorieuses . Mais rassurez-vous , nous sommes bel et bien à une époque contemporaine où les ordinateurs et autres labos de recherches sont à la pointe du progrès . Gerry Duggan a voulu donner de l'envergure à ce méchant pas comme les autres , en imaginant Batman lui tendre la main afin de sauver sa femme cryogénisée . La suite ne se déroulera pas exactement comme prévue ! J'espérais en savoir un peu plus sur ce vilain givré , mais sa vie passée en couple est succincte , le récit s'attarde peu à sa relation amoureuse ainsi que la tragédie à venir . Au lieu de cela , il nous propose un Bruce Wayne se déguisant en alcoolo en quête d'indices et donne un ton assez humoristique à la relation Batman / Robin . Cela plaira à certains , moins sûr pour une grande majorité d'autres ! Scalera et son trait (dont je ne suis pas un grand fan) assure le boulot dans son style si particulier : un dessin avec des proportions taillées à la serpe , dans un trait arrondi ! Je mets la moyenne car cela finit sur une note amusante et empreinte de sincérité sur Freeze ; il en aurait fallu un peu plus ... Décidément , tout le monde n'est pas Tom King ! NDLR : Note gloable remontée à 3/5 pour refléter l'avis de @poseidon2 qui a bien plus apprécié de tome.
  16. Titre de l'album : Batman - One bad day : Le pingouin Scenariste de l'album : John Ridley Dessinateur de l'album : Giuseppe Camuncoli , Can Smith Coloriste : Arif Prianto Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Autrefois, le Pingouin avait un empire. Alors au sommet de la pègre de Gotham, il avait institué des règles strictes, s'était imposé des limites. Mais pour certains, les limites sont faites pour être franchies. C'est en tout cas ainsi que résonnait Umbrella Man, avant de prendre à son maître tout ce qu'il avait et de répandre le chaos dans la ville. Cobblepot est aujourd'hui un homme brisé, frayant à travers les rues poisseuses de Gotham, un revolver à la main. Muni d'une unique balle, il a bien l'intention de réagir, car l'heure de la vengeance a sonné. Contenu vo : Batman - One Bad Day: Pingouin. Critique : Après un second tome sur Double-face , il est vrai assez décevant , voici un nouveau One bad day sur le Pingouin , qui est bien supérieur à son prédécesseur . On débute par la vision d'un Oswald Cobblepot méconnaissable , assis sur un banc avec Gotham city le narguant au loin . Une barbe de 3 jours , une tenue vestimentaire délabrée , plus un sou en poche , il se rapproche plus d'un clochard que du roi de la pègre qu'il a été . Au fil des pages ,on apprend qu'un dénommé Umbrella Man (son ancien homme de main) lui a spolié son empire et règne d'une main de fer sur la délinquance locale . Tel Napoléon remontant la France en gagnant de nouveaux partisans , il va petit à petit effectuer son retour en s'associant avec des petites frappes . Il va aussi découvrir pourquoi son empire s'est effondré , entre autres pour sa façon dédaigneuse d'évoluer avec ses pairs et autres "employés" . Il va ainsi effectuer un travail d'introspection personnelle , comme une psychanalyse, et se servir de cela pour changer , évoluer afin d'être un leader à nouveau respecté mais surtout , apprécié ! Mais on est à Gotham city , et un homme à la cape noire rôde dans l'ombre , va t'il laisser cette marche vers les sommets se concrétiser ?? Au delà d'un scénario judicieux et bien écrit , il est à noter le travail plus que sympathique du dessin à 4 mains des deux artistes . Un trait semi-réaliste , avec des couleurs ternes , vieillies , comme notre pingouin en fâcheuse posture . Un jeu de reflets lumineux , et des visages assez expressifs . Il se dénote un parfum de Killing joke en tournant ces pages , le trait se veut vraiment en digne héritier de l'oeuvre culte de Alan Moore . Un très bon opus que ce One bad day , épisode 3 . Le prochain du mois de juin sera centré sur Mr Freeze 🙂 Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-one-bad-day-le-pingouin/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Après un second tome sur Double-face , il est vrai assez décevant , voici un nouveau One bad day sur le Pingouin , qui est bien supérieur à son prédécesseur . On débute par la vision d'un Oswald Cobblepot méconnaissable , assis sur un banc avec Gotham city le narguant au loin . Une barbe de 3 jours , une tenue vestimentaire délabrée , plus un sou en poche , il se rapproche plus d'un clochard que du roi de la pègre qu'il a été . Au fil des pages ,on apprend qu'un dénommé Umbrella Man (son ancien homme de main) lui a spolié son empire et règne d'une main de fer sur la délinquance locale . Tel Napoléon remontant la France en gagnant de nouveaux partisans , il va petit à petit effectuer son retour en s'associant avec des petites frappes . Il va aussi découvrir pourquoi son empire s'est effondré , entre autres pour sa façon dédaigneuse d'évoluer avec ses pairs et autres "employés" . Il va ainsi effectuer un travail d'introspection personnelle , comme une psychanalyse, et se servir de cela pour changer , évoluer afin d'être un leader à nouveau respecté mais surtout , apprécié ! Mais on est à Gotham city , et un homme à la cape noire rôde dans l'ombre , va t'il laisser cette marche vers les sommets se concrétiser ?? Au delà d'un scénario judicieux et bien écrit , il est à noter le travail plus que sympathique du dessin à 4 mains des deux artistes . Un trait semi-réaliste , avec des couleurs ternes , vieillies , comme notre pingouin en fâcheuse posture . Un jeu de reflets lumineux , et des visages assez expressifs . Il se dénote un parfum de Killing joke en tournant ces pages , le trait se veut vraiment en digne héritier de l'oeuvre culte de Alan Moore . Un très bon opus que ce One bad day , épisode 3 . Le prochain du mois de juin sera centré sur Mr Freeze 🙂
  18. Deuxième tome de One Bad day centrant chaque numéro sur un adversaire de Batman. Ce coup-ci on s'intéresse à Double face. Mis à part le tarif qui reste toujours cher de mon point de vue pour 70 pages, je trouve que cette histoire-ci est très moyenne. Le suspens tourne très court par l'évidence du scenario. Une fois la présentation de Harvey Dent passée, si jamais certain ignoraient le passé du personnage, on a donc une aventure des plus simple et sans surprise. Ce qui est vraiment bizarre, c'est que le prix aurait tendance à aiguiller vers un album pour fan uniquement alors que le contenu semble plus dédié à des non-connaisseurs. Bref un album cher sans Tom king aux commandes.
  19. Titre de l'album : Batman - One bad day : double face Scenariste de l'album : Mariko Tamaki Dessinateur de l'album : Javier Fernandez Coloriste : Javier Fernandez Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Si Harvey Dent n'avait pas été défiguré à l'acide, peut-être aurait-il pu continuer à oeuvrer du côté de la loi en tant que procureur. Peut-être serait-il resté l'allié de Batman, aux côtés de Jim Gordon... Quoi qu'il en soit, Harvey Dent est aujourd'hui libre, apparemment débarrassé de sa double-personnalité criminelle. Mais lorsque son père de 88 ans est menacé, l'ancien monstre de foire menace de réapparaître. Tout se jouera à pile ou face. Critique : Deuxième tome de One Bad day centrant chaque numéro sur un adversaire de Batman. Ce coup-ci on s'intéresse à Double face. Mis à part le tarif qui reste toujours cher de mon point de vue pour 70 pages, je trouve que cette histoire-ci est très moyenne. Le suspens tourne très court par l'évidence du scenario. Une fois la présentation de Harvey Dent passée, si jamais certain ignoraient le passé du personnage, on a donc une aventure des plus simple et sans surprise. Ce qui est vraiment bizarre, c'est que le prix aurait tendance à aiguiller vers un album pour fan uniquement alors que le contenu semble plus dédié à des non-connaisseurs. Bref un album cher sans Tom king aux commandes. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-one-bad-day-double-face?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Titre de l'album : Batman - One bad day - Le sphynx Scenariste de l'album : Tom King Dessinateur de l'album : Mitch Gerards Coloriste : Mitch Gerads Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Un homme vient d'être tué en plein jour. Et son cadavre porte la marque du Sphinx. Mais les raisons du crime ne semblent pas être claires... En revanche, le modus operandi du criminel implique comme toujours de nombreuses énigmes pour retracer sa piste. Et les règles du jeu sont strictes. Batman devra mettre tout son talent de détective au service de ce nouveau jeu de piste pour comprendre les véritables motivations du meurtrier. Critique : Nouvelle saga chez DCcomics avec 8 tomes centrés sur les adversaires historiques de l'homme chauve-souris , ici , le sphynx , puis viendront dans l'ordre chronologique : double-face , le pingouin , Mr Freeze et Bane . Il en reste trois , on peut imaginer le joker , l'épouvantail et poison Ivy ! Il est rageant de critiquer cet opus de Tom King ! On connait sa propension à user de la psychologie des personnages , et il trouve un terreau fertile ici avec Nygma le sphynx , mais est-ce un cahier des charges imposé par DC qui lui impose seulement 72 pages ??? Comment voulez-vous rentrer dans l'univers d'un personnage aussi riche , découvrir son passé et les raisons qui ont fait de lui un vilain reconnu en si peu de pages ? Ajoutez à ceci la patte de King qui se complait dans les histoires à tiroirs avec plusieurs temporalités : le passé de Nygma et le présent avec son combat contre Batman . D'autant qu'il parvient à mettre au défi l'homme de la nuit sur sa plus grande peur , son leitmotiv le plus respecté : ne jamais tuer ! Poussé dans des retranchements incroyables , il est vrai assez faciles d'un point de vue scénaristique parfois , quelle décision prendra le héros de Gotham city ? Vous le découvrirez en ouvrant les pages de grandes qualités signées par le compère de Tom King sur Strange Aventures et Sheriff of Babylon . Il impose le vert en fond permanent et parvient à nous plonger de son trait réaliste et sombre dans une épouvante liée aux décisions du sphynx . Les regards sont durs et inquiétants avec des dialogues ciselés au batarang . Les deux artistes méritent définitivement mieux que ces 72 pages vendues 15 euros ... J'ai aimé , mais je suis déçu , c'est presque une énigme ça 😉 Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-one-bad-day-le-sphinx/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Nouvelle saga chez DCcomics avec 8 tomes centrés sur les adversaires historiques de l'homme chauve-souris , ici , le sphynx , puis viendront dans l'ordre chronologique : double-face , le pingouin , Mr Freeze et Bane . Il en reste trois , on peut imaginer le joker , l'épouvantail et poison Ivy ! Il est rageant de critiquer cet opus de Tom King ! On connait sa propension à user de la psychologie des personnages , et il trouve un terreau fertile ici avec Nygma le sphynx , mais est-ce un cahier des charges imposé par DC qui lui impose seulement 72 pages ??? Comment voulez-vous rentrer dans l'univers d'un personnage aussi riche , découvrir son passé et les raisons qui ont fait de lui un vilain reconnu en si peu de pages ? Ajoutez à ceci la patte de King qui se complait dans les histoires à tiroirs avec plusieurs temporalités : le passé de Nygma et le présent avec son combat contre Batman . D'autant qu'il parvient à mettre au défi l'homme de la nuit sur sa plus grande peur , son leitmotiv le plus respecté : ne jamais tuer ! Poussé dans des retranchements incroyables , il est vrai assez faciles d'un point de vue scénaristique parfois , quelle décision prendra le héros de Gotham city ? Vous le découvrirez en ouvrant les pages de grandes qualités signées par le compère de Tom King sur Strange Aventures et Sheriff of Babylon . Il impose le vert en fond permanent et parvient à nous plonger de son trait réaliste et sombre dans une épouvante liée aux décisions du sphynx . Les regards sont durs et inquiétants avec des dialogues ciselés au batarang . Les deux artistes méritent définitivement mieux que ces 72 pages vendues 15 euros ... J'ai aimé , mais je suis déçu , c'est presque une énigme ça 😉
  22. poseidon2

    Batman : Flashpoint Beyond

    Ahhhh enfin 🙂 Enfin un album pour ceux qui suivent. Non pas que je n'aime pas la tendance aux mises en avant des one shot. Surtout qu'ils sont globalement bons. Non c'est plus que lorsque l'on suit une série complète, avoir un album un peu compliqué qui a des racines dans les 10 dernières années et que l'on comprend ces racines... Et bien on découvre la "puissance" des comics de super héros. Je sais bien que c'est dommage pour ceux qui ne suivent pas. Mais il y a les one shots pour ca. Et ici on est dans le one shot pour fans. On retrouve avec plaisir le monde de flashpoint... oui oui cela du flashpoint de 2011 avec Thomas Wayne en tant de batman cruel et violent. Cet univers alternatif ou superman avait été enchainé par les Américains à son arrivée sur la terre, ou les amazones et les Atlantes se faisaient la guerre pour régner sur l'Europe et ou Flash n'a jamais existé. inventé par Geoff Johns qui avait été le déclencheur de Flashpoint, revient ici sur les personnages qu'il a créés pour nous offrir une nouvelle conclusion qui ouvre des portes pour un univers changeant radicalement de l'univers Infinite en cours. Une vraie réussite qui ravira les fans.
  23. Titre de l'album : Batman : Flashpoint Beyond Scenariste de l'album : Geoff Johns / Tim Sheridan / Jeremy Adams Dessinateur de l'album : Eduardo Risso / Mikel Janín / Xermánico Coloriste : Eduardo Risso / Mikel Janín / Xermánico Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : LE MONDE DE FLASHPOINT, À l'ORIGINE DU GRAND BOULEVERSEMENT DE 2011, EST DE RETOUR ! Après avoir tout sacrifié pour aider Flash à remodeler l'univers et sauver la vie de Bruce Wayne, Thomas Wayne se réveille dans un monde qu'il croyait disparu. Contraint d'enfiler à nouveau le masque de Batman, il arpente les rues de Gotham à la recherche de réponses. Une quête qui pourrait bien l'envoyer aux quatre coins du monde ; notamment en Europe. Critique : Ahhhh enfin 🙂 Enfin un album pour ceux qui suivent. Non pas que je n'aime pas la tendance aux mises en avant des one shot. Surtout qu'ils sont globalement bons. Non c'est plus que lorsque l'on suit une série complète, avoir un album un peu compliqué qui a des racines dans les 10 dernières années et que l'on comprend ces racines... Et bien on découvre la "puissance" des comics de super héros. Je sais bien que c'est dommage pour ceux qui ne suivent pas. Mais il y a les one shots pour ca. Et ici on est dans le one shot pour fans. On retrouve avec plaisir le monde de flashpoint... oui oui cela du flashpoint de 2011 avec Thomas Wayne en tant de batman cruel et violent. Cet univers alternatif ou superman avait été enchainé par les Américains à son arrivée sur la terre, ou les amazones et les Atlantes se faisaient la guerre pour régner sur l'Europe et ou Flash n'a jamais existé. inventé par Geoff Johns qui avait été le déclencheur de Flashpoint, revient ici sur les personnages qu'il a créés pour nous offrir une nouvelle conclusion qui ouvre des portes pour un univers changeant radicalement de l'univers Infinite en cours. Une vraie réussite qui ravira les fans. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/flashpoint-beyond?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Cette chronique a été faite à partir de l'édition en N&B. J'ai pour habitude d'user souvent du poncif selon lequel peu d'auteurs BD arrivent à conjuguer magnifiquement scénario & dessin. Mais je garde toujours en tête que Sean Murphy fait partie de ceux là et son run sur Batman dans le premier White Knight était aussi remarquable au dessin qu'original et sympa au scénario. C'est donc peu dire que j'attendais avec impatience ce second run. Le trait de Sean Murphy fait toujours mouche chez moi, et ce second tome est dans la lignée directe du premier, excellent. Raison pour laquelle j'ai privilégié la version en noir et blanc comme pour le premier tome. Je trouve en plus que cela convient merveilleusement bien au sombre et sérieux univers de Batman. Les amateurs du dessin de Sean Murphy seront comblés comme d'habitude, les autres le découvriront avec intérêt je pense. L'histoire nous prend par contre à contre pied, en effet là où le premier tome nous scotchait par une inversion des rôles saisissante doublée d'une remise en cause des acquis des fans de Batman, ce Curse of the White Knight se révèle presque plus classique, avec un scénario se rapprochant parfois de ce que Nolan a pu faire au cinéma dans sa trilogie. Au menu donc un super méchant en tête d'affiche pourtant pas forcément star habituellement de l'univers Batman, un Joker toujours trouble et maniant quelques ficelles, une Harley Queen Omniprésente dans un rôle à contre emploi également, une Catwoman absente des débats et des grosses prises de risques sur le destin de personnages emblématiques de Batman. Les fans absolu crieront peut être au scandale. Moi non. En vrai j'ai retrouvé cette sensation propre aux lectures de Game of Throne ou le lecteur se rend compte que l'auteur ne s'est donné aucune limite quand au destin de certains personnages que l'on adore pourtant. Ce qui rend la lecture d'autant plus stressante et passionnante. Alors oui, l'effet whaou est moindre sur ce tome-ci, et le méchant mis en avant n'est probablement pas à la hauteur d'un Batman pourtant dans les cordes, l'intrigue est moins originale que dans le premier tome et Sean Murphy utilise probablement un peu trop parfois des ficelles scénaristiques un peu grosses. Ceci dit je l'ai tout de même dévoré en une seule fois, avec ce côté addictif ou l'on a un peu plus envie de tourner la prochaine page. Et à la fin je crois que ça compte aussi. Si Curse of the White Knight est comme son illustre ainé pas exempt de défauts, il n'en reste pas moins remarquable par ses nombreuses qualités.
  25. Titre de l'album : Batman - Curse of the White Knight - Edition N&B Scenariste de l'album : Sean Murphy Dessinateur de l'album : Sean Murphy Coloriste : Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Le fléau Jack Napier est de nouveau derrière les barreaux, mais la sérénité est loin d'être de retour à Gotham, et encore moins au Manoir Wayne, où Bruce peine à retrouver équilibre et sérénité. Son pire ennemi n'a pas seulement ébranlé ses convictions et sa raison d'être, il a également durablement saccagé l'image de Batman et sa légitimité aux yeux des habitants de sa ville. La disparition d'Alfred n'est pas sans séquelle non plus, bien qu'elle laisse derrière lui un héritage inattendu : le journal d'Edmond Wayne daté de 1685, premier de sa lignée à s'être installé à Gotham et adversaire d'un certain Lafayette Arkham, dont les ossements ont été récemment découvert dans la cellule du Joker. Critique : Cette chronique a été faite à partir de l'édition en N&B. J'ai pour habitude d'user souvent du poncif selon lequel peu d'auteurs BD arrivent à conjuguer magnifiquement scénario & dessin. Mais je garde toujours en tête que Sean Murphy fait partie de ceux là et son run sur Batman dans le premier White Knight était aussi remarquable au dessin qu'original et sympa au scénario. C'est donc peu dire que j'attendais avec impatience ce second run. Le trait de Sean Murphy fait toujours mouche chez moi, et ce second tome est dans la lignée directe du premier, excellent. Raison pour laquelle j'ai privilégié la version en noir et blanc comme pour le premier tome. Je trouve en plus que cela convient merveilleusement bien au sombre et sérieux univers de Batman. Les amateurs du dessin de Sean Murphy seront comblés comme d'habitude, les autres le découvriront avec intérêt je pense. L'histoire nous prend par contre à contre pied, en effet là où le premier tome nous scotchait par une inversion des rôles saisissante doublée d'une remise en cause des acquis des fans de Batman, ce Curse of the White Knight se révèle presque plus classique, avec un scénario se rapprochant parfois de ce que Nolan a pu faire au cinéma dans sa trilogie. Au menu donc un super méchant en tête d'affiche pourtant pas forcément star habituellement de l'univers Batman, un Joker toujours trouble et maniant quelques ficelles, une Harley Queen Omniprésente dans un rôle à contre emploi également, une Catwoman absente des débats et des grosses prises de risques sur le destin de personnages emblématiques de Batman. Les fans absolu crieront peut être au scandale. Moi non. En vrai j'ai retrouvé cette sensation propre aux lectures de Game of Throne ou le lecteur se rend compte que l'auteur ne s'est donné aucune limite quand au destin de certains personnages que l'on adore pourtant. Ce qui rend la lecture d'autant plus stressante et passionnante. Alors oui, l'effet whaou est moindre sur ce tome-ci, et le méchant mis en avant n'est probablement pas à la hauteur d'un Batman pourtant dans les cordes, l'intrigue est moins originale que dans le premier tome et Sean Murphy utilise probablement un peu trop parfois des ficelles scénaristiques un peu grosses. Ceci dit je l'ai tout de même dévoré en une seule fois, avec ce côté addictif ou l'on a un peu plus envie de tourner la prochaine page. Et à la fin je crois que ça compte aussi. Si Curse of the White Knight est comme son illustre ainé pas exempt de défauts, il n'en reste pas moins remarquable par ses nombreuses qualités. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-curse-of-the-white-knight-ed-nb?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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