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  1. The_PoP

    L'homme qui aimait les plantes

    A la fois documentaire de voyage, de médecine et de plantes, ce petit ouvrage très particulier qui ne m'attirait pas du tout m'a pourtant été très agréable à lire. Je suis loin d'être un passionné de médecine douce, d'herboristerie, ou de pharmacologie, mais ici, c'est un peu plus que cela et il faut en rendre grâce aux auteurs, et au personnage choisi. Ce livre suinte la modestie, l'amour de la découverte et de l'exploration, et l'amour des autres et en soi c'est plus qu'agréable. Cette impression est renforcée par le dessin de Benoît Blary, très juste qui vient toujours souligner le propos. Bref, sans m'avoir passionné, je me suis retrouvé intéressé par ce récit et c'est déjà beaucoup. Pour les amateurs de médecine douce, de voyages et d'herboristerie, je ne peux que vous le conseiller. Seul regret, les sujets sont parfois un peu trop survolés, et on aurait probablement gagné à quelques pages supplémentaires permettant de ne pas passer trop vite sur des points qui méritaient je crois d'être plus développés.
  2. Titre de l'album : L'homme qui aimait les plantes Scenariste de l'album : Stéphane Piatzszek Dessinateur de l'album : Benoît Blary Coloriste : Benoît Blary Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : 80% des molécules qui nous soignent sont issues des plantes. Sur les 250 000 espèces de plantes existantes, nous n'en connaissons assez bien qu'un pour cent. Guidés par un expert au gré de ses choix scientifiques et de ses appétits de voyages, plongez dans les connaissances actuelles, les pratiques ancestrales et les enjeux de la botanique de demain. Critique : A la fois documentaire de voyage, de médecine et de plantes, ce petit ouvrage très particulier qui ne m'attirait pas du tout m'a pourtant été très agréable à lire. Je suis loin d'être un passionné de médecine douce, d'herboristerie, ou de pharmacologie, mais ici, c'est un peu plus que cela et il faut en rendre grâce aux auteurs, et au personnage choisi. Ce livre suinte la modestie, l'amour de la découverte et de l'exploration, et l'amour des autres et en soi c'est plus qu'agréable. Cette impression est renforcée par le dessin de Benoît Blary, très juste qui vient toujours souligner le propos. Bref, sans m'avoir passionné, je me suis retrouvé intéressé par ce récit et c'est déjà beaucoup. Pour les amateurs de médecine douce, de voyages et d'herboristerie, je ne peux que vous le conseiller. Seul regret, les sujets sont parfois un peu trop survolés, et on aurait probablement gagné à quelques pages supplémentaires permettant de ne pas passer trop vite sur des points qui méritaient je crois d'être plus développés. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-homme-qui-aimait-les-plantes?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Jean-Pierre Pécau poursuit sa série sur les machines de guerre et plus particulièrement le tank B1 Bis avec un lance-flamme installé par les soldats nazis, pour remplacer le canon. Cet album se déroule donc durant la seconde guerre mondiale à l'intérieur du tank avec l'équipe de soldats français et leur nouvelle recrue. Ce dernier a participé à la fabrication de ces machines de guerres avant de prendre part au combat quand son oncle a été exécuté par des nazis. On participe aux combats entre les tanks français et allemands dans les campagnes avec la bataille du village de Stone dans les Ardennes. Jean-Pierre Pécau maitrise les techniques scénaristiques des récits de guerres avec ses nombreuses séries sur ce thème, il insère des anecdotes tout au long de l'album pour accompagner l'histoire du B1Bis et des détails sur le moteur ou l'armement du tank. Un cahier technique sur le descriptif du tank termine l'album comme pour les tomes précédents. Les dessins de Senad Mavric et de Filip Andronik sont de qualité pour dépeindre cette triste période historique. L'histoire est bien construite et on se laisse très vite prendre dans ce récit de guerre avec le fameux tank B1bis.
  4. Titre de l'album : Machines de guerre tome 6 - Le boucher de Stonne : B1bis, la forteresse qui crache le feu Scenariste de l'album : Jean-Pierre Pécau Dessinateur de l'album : Senad Mavric & Filip Andronik Coloriste : Jean Verney Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Le char français B1bis fut de loin le char le plus redouté des Allemands durant la campagne de France, et une très mauvaise surprise pour eux qui ignoraient son existence. Invulnérable aux canons de leurs chars comme à tous leurs antichars, ils ne pouvaient compter que sur les pièces lourdes pour en venir à bout. Critique : Jean-Pierre Pécau poursuit sa série sur les machines de guerre et plus particulièrement le tank B1 Bis avec un lance-flamme installé par les soldats nazis, pour remplacer le canon. Cet album se déroule donc durant la seconde guerre mondiale à l'intérieur du tank avec l'équipe de soldats français et leur nouvelle recrue. Ce dernier a participé à la fabrication de ces machines de guerres avant de prendre part au combat quand son oncle a été exécuté par des nazis. On participe aux combats entre les tanks français et allemands dans les campagnes avec la bataille du village de Stone dans les Ardennes. Jean-Pierre Pécau maitrise les techniques scénaristiques des récits de guerres avec ses nombreuses séries sur ce thème, il insère des anecdotes tout au long de l'album pour accompagner l'histoire du B1Bis et des détails sur le moteur ou l'armement du tank. Un cahier technique sur le descriptif du tank termine l'album comme pour les tomes précédents. Les dessins de Senad Mavric et de Filip Andronik sont de qualité pour dépeindre cette triste période historique. L'histoire est bien construite et on se laisse très vite prendre dans ce récit de guerre avec le fameux tank B1bis. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/machines-de-guerre-le-boucher-de-stonne-b1bis-la-forteresse?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. alx23

    Mediator, un crime chimiquement pur

    Ce roman graphique est né de la rencontre d'Irène Frachon pneumologue et une lanceuse d'alerte et d'Éric Giacometti un scénariste de bande dessinée et roman. Le scandale sur ce médicament a éclaté grâce au travail d'enquête très documenté d'Irène Frachon. Elle se souvenait d'un problème similaire avec le laboratoire Servier sur un autre médicament coupe-faim très dangereux pour la santé, une dizaine d'années auparavant. Cet album retrace donc l'histoire d’Éric Servier à la tête de ce laboratoire pharmaceutique et de tout cet empire qui représente une énorme fortune. En parallèle de tous les médicaments mise en vente par ce laboratoire, on suit l'affaire du Meditor de sa création jusqu'à son interdiction de vente. Les auteurs mettent également en avant les facilités pour le laboratoire Servier grâce à des appuis politiques. Les conflits d’intérêt sont trop grands et le médicament se retrouve sur le marché sans véritable contrôle de ses effets secondaires ou seulement de son efficacité par l’agence française du médicament. Les dessins de François Duprat conviennent bien au genre documentaire réaliste avec des parties schématisées pour mieux comprendre comme les maladies et effets sur la santé des patients. La conclusion est affolante sur tous les faux médicaments de ce laboratoire et le procès est en cours d’appel pour janvier 2023.
  6. Titre de l'album : Mediator, un crime chimiquement pur Scenariste de l'album : Éric Giacometti & Irène Frachon Dessinateur de l'album : François Duprat Coloriste : François Duprat Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : En 2007, au CHU de Brest, de nombreux cas d'atteintes cardiaques inexpliquées attirent l'attention de la pneumologue Irène Frachon. Ses recherches mettent en cause le Mediator, coupe-faim des laboratoires Servier, dont le principe actif avait conduit au retrait de l'Isoméride en 1997. Celui du Mediator sera effectif en 2009. Depuis, elle poursuit son combat pour l'indemnisation des milliers de victimes... Critique : Ce roman graphique est né de la rencontre d'Irène Frachon pneumologue et une lanceuse d'alerte et d'Éric Giacometti un scénariste de bande dessinée et roman. Le scandale sur ce médicament a éclaté grâce au travail d'enquête très documenté d'Irène Frachon. Elle se souvenait d'un problème similaire avec le laboratoire Servier sur un autre médicament coupe-faim très dangereux pour la santé, une dizaine d'années auparavant. Cet album retrace donc l'histoire d’Éric Servier à la tête de ce laboratoire pharmaceutique et de tout cet empire qui représente une énorme fortune. En parallèle de tous les médicaments mise en vente par ce laboratoire, on suit l'affaire du Meditor de sa création jusqu'à son interdiction de vente. Les auteurs mettent également en avant les facilités pour le laboratoire Servier grâce à des appuis politiques. Les conflits d’intérêt sont trop grands et le médicament se retrouve sur le marché sans véritable contrôle de ses effets secondaires ou seulement de son efficacité par l’agence française du médicament. Les dessins de François Duprat conviennent bien au genre documentaire réaliste avec des parties schématisées pour mieux comprendre comme les maladies et effets sur la santé des patients. La conclusion est affolante sur tous les faux médicaments de ce laboratoire et le procès est en cours d’appel pour janvier 2023. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mediator-un-crime-chimiquement-pur?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Difficile de parler de cet ouvrage objectivement au vu de l'actualité notamment de l'invasion de l'Ukraine par la Russie. Cet ouvrage s'inscrit en plein dans cette actualité pourtant, tentant de nous montrer et de nous expliquer comment Poutine a pu en arriver là. Pour tout passionné de géopolitique il est donc très intéressant, d'autant plus qu'il est écrit par un spécialiste américain de la Russie plutôt reconnu et sérieux. J'ai simplement deux bémols qui m'ont gênés pendant cette lecture pourtant ô combien instructive. Tout d'abord, dans le lien permanent fait à l'amérique et à sa politique intérieure et extérieure, je trouve l'auteur très très mesuré sur les faits reprochables aux américains. Je trouve que sa pertinence s'arrête là où commencent l'auto-critique nécessaire sur les actions de la diplomatie américaine. C'est particulièrement frappant sur les affaires wikileaks, Snowden et Assange. Simplement il vous faudra être bien armés en connaissances factuelles sur ses évènements pour mieux comprendre les limites de cette lecture. Toute enquête sur une personnalité politique finit nécessairement par être teintée du parti pris de l'auteur et cela ne me gêne en rien, mais ici cela manque parfois de nuance, et cela interroge malheureusement sur la crédibilité du reste des informations, tant la légèreté sur ces dossiers contraste avec le propos soutenu sur d'autres dossiers. Mon second grief concerne la chronologie peu claire. C'est dommage car si certains sauts dans le temps sont nécessaires pour comprendre ou interpréter une réaction, d'autres le sont moins et noient un peu le propos et la logique du dénouement. Ce Tsar par accident reste en tous cas une lecture majeure et passionnante de 259 pages ayant en plus le mérite de citer sa bibliographie et ses sources clairement en fin d'ouvrage. En cette période complexe, il faudra néanmoins je crois le lire avec un oeil critique mais nul doute que vous y apprendrez beaucoup de choses passionnantes sur la société russe et sur Vladimir Poutine.
  8. Titre de l'album : Tsar par accident - Mythes et mensonges de Vladimir Poutine Scenariste de l'album : Andrew S. Weiss Dessinateur de l'album : Brian "Box" Brown Coloriste : Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : Dans l'imaginaire collectif occidental, Vladimir Poutine est un personnage sournois et complotant constamment pour détruire ses ennemis dans le monde entier. Mais comment un officier intermédiaire du KGB sans distinction est-il devenu l'un des dirigeants les plus puissants de l'histoire russe ? Dans quelle mesure sa posture de leader intraitable est-elle une performance calculée ? Dans Tsar par accident, Andrew S. Weiss, un ancien expert russe de la Maison Blanche, et Brian Brown montrent dans un roman graphique captivant comment Poutine s'est présenté avec succès comme un cerveau politique rusé et hors du commun, et comment le reste du monde a interagi avec lui en l'estimant comme tel. Ils brisent tous ces mythes en révélant la vérité derrière la personnalité d'homme fort qu'il a passé sa carrière à cultiver. Critique : Difficile de parler de cet ouvrage objectivement au vu de l'actualité notamment de l'invasion de l'Ukraine par la Russie. Cet ouvrage s'inscrit en plein dans cette actualité pourtant, tentant de nous montrer et de nous expliquer comment Poutine a pu en arriver là. Pour tout passionné de géopolitique il est donc très intéressant, d'autant plus qu'il est écrit par un spécialiste américain de la Russie plutôt reconnu et sérieux. J'ai simplement deux bémols qui m'ont gênés pendant cette lecture pourtant ô combien instructive. Tout d'abord, dans le lien permanent fait à l'amérique et à sa politique intérieure et extérieure, je trouve l'auteur très très mesuré sur les faits reprochables aux américains. Je trouve que sa pertinence s'arrête là où commencent l'auto-critique nécessaire sur les actions de la diplomatie américaine. C'est particulièrement frappant sur les affaires wikileaks, Snowden et Assange. Simplement il vous faudra être bien armés en connaissances factuelles sur ses évènements pour mieux comprendre les limites de cette lecture. Toute enquête sur une personnalité politique finit nécessairement par être teintée du parti pris de l'auteur et cela ne me gêne en rien, mais ici cela manque parfois de nuance, et cela interroge malheureusement sur la crédibilité du reste des informations, tant la légèreté sur ces dossiers contraste avec le propos soutenu sur d'autres dossiers. Mon second grief concerne la chronologie peu claire. C'est dommage car si certains sauts dans le temps sont nécessaires pour comprendre ou interpréter une réaction, d'autres le sont moins et noient un peu le propos et la logique du dénouement. Ce Tsar par accident reste en tous cas une lecture majeure et passionnante de 259 pages ayant en plus le mérite de citer sa bibliographie et ses sources clairement en fin d'ouvrage. En cette période complexe, il faudra néanmoins je crois le lire avec un oeil critique mais nul doute que vous y apprendrez beaucoup de choses passionnantes sur la société russe et sur Vladimir Poutine. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tsar-par-accident?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. alx23

    Taï Dam - Traverser le Mékong...

    Joël Alessandra dessine souvent des paysages de la garrigue où il habite avec sa femme Marijah, une artiste peintre et il désire toujours en apprendre davantage sur les origines de Taï Dam, de sa femme et questionne souvent ses beaux-parents. Il réussit à convaincre sa femme de faire un voyage en Asie avec en première escale en Thaïlande et ensuite au Vietnam. Ce roman graphique est le résultat de ce voyage à la recherche de la culture asiatique et de des origines de Marijah. L'auteur retrace tout ce voyage mais aussi l'histoire de l'Indochine qui est très peu connu des français à la part la guerre. Ensuite, on suit le parcours de ses beaux-parents et leurs enfants pour traverser le Mékong afin de rejoindre un camp de réfugiés en Thaïlande quand le mouvement révolutionnaire communiste a pris le pouvoir au Laos en 1973. Joël Alessandra réalise également la partie graphique avec beaucoup de soin pour dépeindre le voyage avec des aquarelles et quelques photos d’époques pour illustrer la réalité. Ce titre est un voyage magnifique en Asie à la rencontre d'un peuple, de sa culture et de son histoire. Taï Dam est BD autobiographie et documentaire intéressante.
  10. Titre de l'album : Taï Dam - Traverser le Mékong... Scenariste de l'album : Joël Alessandra Dessinateur de l'album : Joël Alessandra Coloriste : Joël Alessandra Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Arrivée en France avec ses parents en 1976, après la guerre du Vietnam, Marijah en sait peu sur ses origines Taï Dam. Son art exprime d'ailleurs ce manque, cette recherche inconsciente de son histoire. Encouragée par Joël, son compagnon, ils partent à la rencontre de ces « Taïs noirs » qui vivent entre Thaïlande, Vietnam et Laos. Retrouvailles familiales, paysages somptueux et histoire coloniale rythment ce périple initiatique qui la reconnecte à ses racines. Non sans quelques bouleversements... Critique : Joël Alessandra dessine souvent des paysages de la garrigue où il habite avec sa femme Marijah, une artiste peintre et il désire toujours en apprendre davantage sur les origines de Taï Dam, de sa femme et questionne souvent ses beaux-parents. Il réussit à convaincre sa femme de faire un voyage en Asie avec en première escale en Thaïlande et ensuite au Vietnam. Ce roman graphique est le résultat de ce voyage à la recherche de la culture asiatique et de des origines de Marijah. L'auteur retrace tout ce voyage mais aussi l'histoire de l'Indochine qui est très peu connu des français à la part la guerre. Ensuite, on suit le parcours de ses beaux-parents et leurs enfants pour traverser le Mékong afin de rejoindre un camp de réfugiés en Thaïlande quand le mouvement révolutionnaire communiste a pris le pouvoir au Laos en 1973. Joël Alessandra réalise également la partie graphique avec beaucoup de soin pour dépeindre le voyage avec des aquarelles et quelques photos d’époques pour illustrer la réalité. Ce titre est un voyage magnifique en Asie à la rencontre d'un peuple, de sa culture et de son histoire. Taï Dam est BD autobiographie et documentaire intéressante. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tai-dam-traverser-le-mekong?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. poseidon2

    Aristote

    L'adage dit que l'histoire est un éternel recommencement et en lisant ce Aristote, on se dit que c'est même pire. C'était, sur beaucoup de point, mieux avant... bien avant. C'est ce qui est quasiment choquant dans cette lecture : la Grèce à son apogée et à l'apogée du développement de la philosophie et de la psychologie, était un ensemble de régions démocratiques ou tous discutaient et où tout le monde avait le droit à la parole. Alors ou Aristote était un personnage hors norme et la découverte de sa vie rend la lecture de cet album intéressante. Mais la période de vie d'Aristote est vraiment de ce qui m'a charmé. Platon, Alexandre le grand, Sophocle et autres personnages connus de tous ont foulé le monde durant la même période. Une période chargé d'histoire et de textes qui ont façonné le monde moderne, et ce il y a plus de 2500 ans... Un livre dense, long à lire, mais passionnant. Pour tous les amateurs de Grèce antique et de philosophie.
  12. poseidon2

    Aristote

    Titre de l'album : Aristote Scenariste de l'album : Tassos Apostolidis Dessinateur de l'album : Alecos Papadatos Coloriste : Alecos Papadatos Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Athènes, 315 avant Jésus-Christ. Théophraste dirige le Lycée, un établissement d'enseignement fondé par Aristote. Quelques années plus tôt, il fut son ami et son disciple. Aujourd'hui, il transmet à ses élèves les préceptes de ce célèbre philosophe, selon lequel « la soif de connaissance et l'envie de découvrir la nature sont innées chez l'homme ». Curieux de tout, Aristote n'a cessé d'explorer le monde dans lequel il vivait, se passionnant pour la philosophie comme pour l'astronomie, la métaphysique et la biologie. Et surtout, il ne se doutait pas que ses théories seraient encore discutées plusieurs siècles après sa mort... Tassos Apostolidis et Alecos Papadatos racontent la vie d'Aristote, qui fut d'ailleurs le professeur d'Alexandre le Grand, et mettent en scène sa pensée. S'ils apportent une réponse à des questions essentielles, comme « Qu'est-ce qui définit un comportement éthique ? » ou « Quelle est la meilleure forme de gouvernement ? », ils n'en oublient pas pour autant de faire preuve d'humour. Lequel est aussi une forme de sagesse que ne dédaignait sans doute pas Aristote... Critique : L'adage dit que l'histoire est un éternel recommencement et en lisant ce Aristote, on se dit que c'est même pire. C'était, sur beaucoup de point, mieux avant... bien avant. C'est ce qui est quasiment choquant dans cette lecture : la Grèce à son apogée et à l'apogée du développement de la philosophie et de la psychologie, était un ensemble de régions démocratiques ou tous discutaient et où tout le monde avait le droit à la parole. Alors ou Aristote était un personnage hors norme et la découverte de sa vie rend la lecture de cet album intéressante. Mais la période de vie d'Aristote est vraiment de ce qui m'a charmé. Platon, Alexandre le grand, Sophocle et autres personnages connus de tous ont foulé le monde durant la même période. Une période chargé d'histoire et de textes qui ont façonné le monde moderne, et ce il y a plus de 2500 ans... Un livre dense, long à lire, mais passionnant. Pour tous les amateurs de Grèce antique et de philosophie. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/aristote?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. poseidon2

    L'affaire Markovic

    Avec presque 40 années de décalage et la mort de la plupart des protagonistes, on peut parler de cette affaire comme d'une partie de l'histoire de France. Pas la partie la plus glorieuse, mais une partie que l'on ne peut cacher : l'après-guerre et sa politique faite de barbouze et de coups fourrés. J'avoue qu'en tant que "jeune" je n'avais jamais entendu parler de cette affaire. et après lecture de ce récit, je trouve cela surréaliste que cela se soit vraiment passé !, c'est plus gros que ce que n'importe quel scénariste hollywoodien du moment ne pourrait écrire : Des Stars de ciné, des premiers ministres, une implication du président, un patron de la pègre, un corbeau... Cela serait un film, on dirait que les auteurs ont cherché à en mettre trop ! C'est édifiant sur le monde politique de l'époque qui n'avait pas besoin de réseaux sociaux pour diffamer quelqu'un.
  14. Titre de l'album : L'affaire Markovic Scenariste de l'album : Jean-Yves Le Naour Dessinateur de l'album : Emmanuel Cassier Coloriste : Emmanuel Cassier Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : Une des plus sales affaires de la Ve république. Le 1er octobre 1968, le corps de Stefan Markovic, un Yougoslave travaillant pour Alain Delon, est retrouvé dans une décharge. À partir de cette sordide histoire criminelle s'échafaude un incroyable complot politique destiné à mêler le nom des Pompidou à l'affaire. Une histoire de guerre de succession, de coup bas, d'affaire de moeurs inventée de toute pièce dans le but d'empêcher Georges Pompidou d'accéder à la présidence, par tous les moyens, même les plus sales. Critique : Avec presque 40 années de décalage et la mort de la plupart des protagonistes, on peut parler de cette affaire comme d'une partie de l'histoire de France. Pas la partie la plus glorieuse, mais une partie que l'on ne peut cacher : l'après-guerre et sa politique faite de barbouze et de coups fourrés. J'avoue qu'en tant que "jeune" je n'avais jamais entendu parler de cette affaire. et après lecture de ce récit, je trouve cela surréaliste que cela se soit vraiment passé !, c'est plus gros que ce que n'importe quel scénariste hollywoodien du moment ne pourrait écrire : Des Stars de ciné, des premiers ministres, une implication du président, un patron de la pègre, un corbeau... Cela serait un film, on dirait que les auteurs ont cherché à en mettre trop ! C'est édifiant sur le monde politique de l'époque qui n'avait pas besoin de réseaux sociaux pour diffamer quelqu'un. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-affaire-markovic-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Après un premier tome qui ne m'avaient guère passionné, le personnage de Chaplin me laissant jusqu'ici assez froid et loin de l'image que j'avais de lui, le tome 2 avait relancé mon intérêt pour cette série, ébauchant alors déjà ce tome 3 venu me réconcilier définitivement avec cette trilogie. En effet, c'est ici que l'on prend enfin la mesure de Chaplin puisque je suis persuadé que l'artiste ne devient grand que lorsqu'il sert un idéal plus grand que son ego. Les failles de l'homme exposées avec lucidité forment alors un beau contrepoint au génie de l'artiste. Ce Chaplin qui sut se réinventer, sortir du chemin tracé, s'opposer, et jeter un regard acerbe et toujours pertinent près d'un siècle plus tard sur sa société pour ainsi rentrer dans l'Histoire est passionnant. Ses deux contrepoints, formé ici dans ce tome 3 avec l'évolution d'Hitler et le personnage de Hoover, permettent de mieux mesurer la difficulté de ce qu'il entreprit et fit. Cette trilogie mérite d'être lue puisqu'il s'agit finalement de l'une des seules biographies sérieuses et couvrant une vaste partie de sa vie consacrée à ce génie que fut Chaplin. Bravo Messieurs, une belle fin en apothéose pour tout passionné d'histoire et de cinéma. Les liens vers les chroniques des précédents tomes :
  16. Titre de l'album : Chaplin - Tome 3 - Contre John Edgar Hoover Scenariste de l'album : Laurent Seksik Dessinateur de l'album : David Francois Coloriste : David Francois Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : Après avoir connu ascension fulgurante, succès incontesté et premiers échecs, Charlie Chaplin traverse, à l'aube de ses 40 ans, une période de doutes. Désintéressé par les louanges d'Hollywood, et surtout marqué par la misère sociale et l'instabilité politique grandissante, le prodige du cinéma envisage de mettre un terme à sa carrière. C'est sa rencontre avec l'actrice Paulette Goddard qui lui donnera un nouveau souffle créatif et lui permettra de prendre le virage dont son oeuvre avait besoin. Délaissant la comédie au profit d'un ton plus engagé, Chaplin s'attelle à ce qui resteront ses films les plus marquants : Les Temps Modernes et Le Dictateur. Critique : Après un premier tome qui ne m'avaient guère passionné, le personnage de Chaplin me laissant jusqu'ici assez froid et loin de l'image que j'avais de lui, le tome 2 avait relancé mon intérêt pour cette série, ébauchant alors déjà ce tome 3 venu me réconcilier définitivement avec cette trilogie. En effet, c'est ici que l'on prend enfin la mesure de Chaplin puisque je suis persuadé que l'artiste ne devient grand que lorsqu'il sert un idéal plus grand que son ego. Les failles de l'homme exposées avec lucidité forment alors un beau contrepoint au génie de l'artiste. Ce Chaplin qui sut se réinventer, sortir du chemin tracé, s'opposer, et jeter un regard acerbe et toujours pertinent près d'un siècle plus tard sur sa société pour ainsi rentrer dans l'Histoire est passionnant. Ses deux contrepoints, formé ici dans ce tome 3 avec l'évolution d'Hitler et le personnage de Hoover, permettent de mieux mesurer la difficulté de ce qu'il entreprit et fit. Cette trilogie mérite d'être lue puisqu'il s'agit finalement de l'une des seules biographies sérieuses et couvrant une vaste partie de sa vie consacrée à ce génie que fut Chaplin. Bravo Messieurs, une belle fin en apothéose pour tout passionné d'histoire et de cinéma. Les liens vers les chroniques des précédents tomes : Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/chaplin-tome-3-contre-john-edgar-hoover?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Il faut reconnaitre que la mention "chaine youtube" sur une BD ça a plutôt tendance à me faire fuir. Cependant on a pu voir avec Nota Bene par exemple un certain intérêt à certaines, aussi c'est sans trop d'à priori que je me suis lancé à la lecture de cet album, n'ayant pas lu le premier. Premier point, c'est plutôt joli, le dessin est parfois un peu lesé sur ce genre d'ouvrages mais là, sans être dans le haut de gamme de la bd, on est sur un travail très propre d'Adrien Martin. On va suivre alors le périple d'un jeune journaliste parti à la découverte du fonctionnement des narcotrafics. Bon ça c'est ce qui est dit dans le titre, et pour être honnête quand on me dit géopolitique et narcotrafic, je m'attends plus à un truc très détaillé et fourmillant d'imbrication politiques et géopolitiques majeures qu'à ce que j'ai lu. Et en fait c'est probablement mieux ainsi, le journaliste prenant le parti, avec ses propres moyens d'aller à la rencontre des producteurs à l'origine de ses drogues, les paysans qui subsistent du narcotrafic en produisant opium ou coca. Ce qui rend le récit plus vivant, plus humain, et plus intéressant, cette partie étant généralement délaissée. Ainsi si vous n'y apprendrez probablement guère plus que ce que vous soupçonniez, cette enquête à taille humaine se révèle toutefois intéressante par l'image qu'elle dessine de ses protagonistes.
  18. Titre de l'album : L'aventure géopolitique - Tome 2 - Le narcotrafic Scenariste de l'album : Ludovic Danjou Dessinateur de l'album : Adrien Martin Coloriste : Adrien Martin Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Après avoir exploré les enjeux de la déforestation sur notre planète, Gildas nous embarque maintenant au coeur du narcotrafic. Du petit producteur colombien au consommateur occidental en passant par les exploitations en Afghanistan, le youtubeur-reporter cherche à comprendre les chemins empruntés par la drogue, ses impacts sociaux, humains et économiques. Critique : Il faut reconnaitre que la mention "chaine youtube" sur une BD ça a plutôt tendance à me faire fuir. Cependant on a pu voir avec Nota Bene par exemple un certain intérêt à certaines, aussi c'est sans trop d'à priori que je me suis lancé à la lecture de cet album, n'ayant pas lu le premier. Premier point, c'est plutôt joli, le dessin est parfois un peu lesé sur ce genre d'ouvrages mais là, sans être dans le haut de gamme de la bd, on est sur un travail très propre d'Adrien Martin. On va suivre alors le périple d'un jeune journaliste parti à la découverte du fonctionnement des narcotrafics. Bon ça c'est ce qui est dit dans le titre, et pour être honnête quand on me dit géopolitique et narcotrafic, je m'attends plus à un truc très détaillé et fourmillant d'imbrication politiques et géopolitiques majeures qu'à ce que j'ai lu. Et en fait c'est probablement mieux ainsi, le journaliste prenant le parti, avec ses propres moyens d'aller à la rencontre des producteurs à l'origine de ses drogues, les paysans qui subsistent du narcotrafic en produisant opium ou coca. Ce qui rend le récit plus vivant, plus humain, et plus intéressant, cette partie étant généralement délaissée. Ainsi si vous n'y apprendrez probablement guère plus que ce que vous soupçonniez, cette enquête à taille humaine se révèle toutefois intéressante par l'image qu'elle dessine de ses protagonistes. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-aventure-geopolitique-tome-2-le-narcotrafic?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Titre de l'album : Les frères Michelin, histoire d'un empire Scenariste de l'album : Mayen Dessinateur de l'album : Napey Coloriste : Poupelin Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Tout le monde connaît aujourd'hui les célèbres pneus, cartes routières et autres guides gastronomiques siglés Michelin. Leur histoire se confond avec celle de la France. Pourtant, cet empire eut bien failli ne jamais voir le jour, n'eut été la détermination de deux frères : André, entrepreneur fantasque doué d'un génie sans pareil pour les « coups de com », et Edouard, artiste reconverti avide d'innovation. Ensemble, ils auront connu succès et crises à la taille de leur destin. Critique : Après le très remarquable documentaire BD sur Renault, les éditions Le Lombard récidivent en nous proposant un documentaire bd biographique sur les frères Michelin et leur grande saga industrielle familiale. Le scénario présenté par Mayen est plus que bien ficelé puisqu'au gré des souvenirs du narrateur on remonte ainsi toute la fresque familiale. Certains passages restent un peu sous exploité et d'autres m'ont parus un peu flous, notamment sur les liens généalogiques familiaux qui nous perdent parfois un peu en route. On aurait aussi aimé en savoir un peu plus sur leur partage de l'entreprise familiale et de sa richesse aussi. Mais les auteurs nous brode cette saga familiale de manière intéressante, plaisante et instructive alors ne boudons pas notre plaisir. Je me demande simplement si ce one shot n'aurait pas gagné à adopter la pagination plus ambitieuse du tome consacré à Renault. Côté graphisme on est sur quelque chose d'assez simple, il faut bien le reconnaître. On y gagne en clareté ce que l'on y perd en intérêt pour le dessin. Ceci étant les scènes sont limpides, les personnages reconnaissables facilement et le tout se lit de manière agréable. Je recommande cet opus aux amateurs de l'histoire des débuts de l'industrie française notamment, et aux origines des empires et inventions qui emplissent nos quotidiens même si au final le résultat se révèle un cran en dessous du coup de maître sur Renault. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-freres-michelin-histoire-d-un-empire?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Après le très remarquable documentaire BD sur Renault, les éditions Le Lombard récidivent en nous proposant un documentaire bd biographique sur les frères Michelin et leur grande saga industrielle familiale. Le scénario présenté par Mayen est plus que bien ficelé puisqu'au gré des souvenirs du narrateur on remonte ainsi toute la fresque familiale. Certains passages restent un peu sous exploité et d'autres m'ont parus un peu flous, notamment sur les liens généalogiques familiaux qui nous perdent parfois un peu en route. On aurait aussi aimé en savoir un peu plus sur leur partage de l'entreprise familiale et de sa richesse aussi. Mais les auteurs nous brode cette saga familiale de manière intéressante, plaisante et instructive alors ne boudons pas notre plaisir. Je me demande simplement si ce one shot n'aurait pas gagné à adopter la pagination plus ambitieuse du tome consacré à Renault. Côté graphisme on est sur quelque chose d'assez simple, il faut bien le reconnaître. On y gagne en clareté ce que l'on y perd en intérêt pour le dessin. Ceci étant les scènes sont limpides, les personnages reconnaissables facilement et le tout se lit de manière agréable. Je recommande cet opus aux amateurs de l'histoire des débuts de l'industrie française notamment, et aux origines des empires et inventions qui emplissent nos quotidiens même si au final le résultat se révèle un cran en dessous du coup de maître sur Renault.
  21. poseidon2

    Amy pour la vie

    Titre de l'album : Amy pour la vie Scenariste de l'album : Christophe Cazenove Dessinateur de l'album : Jerome Derache / Cecile Coloriste : Jerome Derache / Cecile Editeur de l'album : Bamboo Note : Résumé de l'album : L'amour est un mot à 4 pattes. Chaque chien entre dans notre vie pour nous enseigner quelque chose. Amy, jeune fille non-voyante de 8 ans, récupère enfin Kita, le chien que ses parents lui avaient offert alors qu'il était bébé. Après plusieurs mois passés en centre de formation de chien guide, Kita va désormais partager chaque minute de chaque journée de la vie de sa jeune maîtresse. Ils vont tout faire ensemble, les découvertes de la vie, des amis... et les bêtises aussi. Critique : Voici quelques années que Bamboo s'est lancé dans les BD instructives à destination du jeune publique. Les sujets se suivent et ne se ressemblent pas. Sur ce coup, Christophe Cazenove traite des chiens d'aveugles et de leurs importances dans la vie des personnes mal voyantes. Comme sur les autres BDs, ce "Amy pour la vie" est une alternance des pages de BDs et de pages instructive sur l'apport et l'apprentissage des chiens d'aveugles ou encore sur la vie des aveugles. Si ces passages sont vraiment intéressants, le reste de la BD est, quant à elle, vraiment orientée très jeune publique. Si notre Amy est très gentille et un peu espiègle, ses aventures ne feront pas forcément rire les parents, là où elles plairont aux enfants. Cela nous donne, pour finir, une BDs qui est intéressante à faire lire aux enfants, mais qui ne se prêtera peut-être pas à une relecture. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/amy-pour-la-vie-tome-1-les-yeux-fermes?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. poseidon2

    Amy pour la vie

    Voici quelques années que Bamboo s'est lancé dans les BD instructives à destination du jeune publique. Les sujets se suivent et ne se ressemblent pas. Sur ce coup, Christophe Cazenove traite des chiens d'aveugles et de leurs importances dans la vie des personnes mal voyantes. Comme sur les autres BDs, ce "Amy pour la vie" est une alternance des pages de BDs et de pages instructive sur l'apport et l'apprentissage des chiens d'aveugles ou encore sur la vie des aveugles. Si ces passages sont vraiment intéressants, le reste de la BD est, quant à elle, vraiment orientée très jeune publique. Si notre Amy est très gentille et un peu espiègle, ses aventures ne feront pas forcément rire les parents, là où elles plairont aux enfants. Cela nous donne, pour finir, une BDs qui est intéressante à faire lire aux enfants, mais qui ne se prêtera peut-être pas à une relecture.
  23. Et hop un peu de culture en Bande dessinée avec comme but ici de nous faire redécouvrir le Moyen Âge que l'on pensait pourtant, à tord, connaître. Arnaud de la Croix nous livre ici un véritable exercice de vulgarisation réussie puisqu'à travers 20 dates clés du Moyen Âge, il réussit à nous donner un aperçu, nécessairement plus juste et moins caricatural que les souvenirs que nos cours d'histoires nous ont laissés. Côté illustrations, Phlippe Bercovici, que l'on connait surtout en bd pour ses "Femmes en blanc" nous livre une partition juste et vivante, qui permet à un genre pourtant réputé austère de rester agréable à lire. Je ne peux que recommander cette bd si comme moi vous êtes amateurs d'histoire, encore plus quand elle se met à votre portée.
  24. Titre de l'album : La véritable histoire du moyen âge Scenariste de l'album : Arnaud de la Croix Dessinateur de l'album : Philippe Bercovici Coloriste : Sylvie Sabater Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Le Moyen Âge a souvent été dépeint comme une période obscurantiste, aux antipodes de notre ère moderne. Que nenni ! Les noms de ses acteurs résonnent encore aujourd'hui et tissent la tapisserie complexe d'une époque souvent dépeinte de manière très caricaturale. Laquelle nous enseigne combien nos fameuses « racines » poussaient jusqu'en Orient, et qu'on est toujours le barbare d'un autre. D'anecdote en portrait, de philosophe en roi, redécouvrons les Lumières des Âges Sombres ! Critique : Et hop un peu de culture en Bande dessinée avec comme but ici de nous faire redécouvrir le Moyen Âge que l'on pensait pourtant, à tord, connaître. Arnaud de la Croix nous livre ici un véritable exercice de vulgarisation réussie puisqu'à travers 20 dates clés du Moyen Âge, il réussit à nous donner un aperçu, nécessairement plus juste et moins caricatural que les souvenirs que nos cours d'histoires nous ont laissés. Côté illustrations, Phlippe Bercovici, que l'on connait surtout en bd pour ses "Femmes en blanc" nous livre une partition juste et vivante, qui permet à un genre pourtant réputé austère de rester agréable à lire. Je ne peux que recommander cette bd si comme moi vous êtes amateurs d'histoire, encore plus quand elle se met à votre portée. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-veritable-histoire-du-moyen-age-en-20-dates-cles?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Titre de l'album : Chroniques Diplomatiques - Tome 1 - Iran 1953 Scenariste de l'album : Tristan Roulot Dessinateur de l'album : Christophe Simon Coloriste : Alexandre Carpentier Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Téhéran, 1953. En nationalisant les puits de pétrole, le Premier Ministre Mossadegh a totalement rebattu les cartes... et excité les convoitises ! La France a misé sur son plus jeune ambassadeur, Jean d'Arven. Fin connaisseur de la région, il mène le bal diplomatique tandis que dans les coulisses, son ami Jacques se salit les mains pour la cause. Mais ils sont loin de se douter que les Américains s'apprêtent à écrire une nouvelle page des relations internationales : le coup d'état intérieur. Critique : Ce Chroniques Diplomatiques est une belle surprise de cette rentrée. On revient avec cette BD légèrement romancée sur le coup d'état de 1953 en Iran et pour nous Français c'est une belle occasion de mieux comprendre la diplomatie mondiale et le rôle joué parfois par la France dans ce ballet parfois sanglant. On suit ici deux héros plutôt réussis pris dans la tourmente de ces évènements. Le graphisme de Christophe Simon est très réussi pour coller au sérieux de ce genre de BD. J'ai été passionné de la première page à la dernière par cette histoire dynamique et menée tambour battant tant je ne connaissais rien de cette crise et tant les enjeux dans cette région du globe me semblent à chaque fois tellement étrangers. häte de voir si nous retrouverons nos personnages sur le second tome ou si celui-ci prendra place sans eux, comme une série de one shot auto-conclusifs. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/chroniques-diplomatiques-tome-1-iran-1953?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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