Aller au contenu
  • S’inscrire

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'famille'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Les forums BD
    • Toute la BD
    • Projets participatifs
    • Petites Annonces BD
    • Liens BD vers ailleurs
  • Et si on parlait d'autre chose que la bande dessinée ?
    • Améliorons 1001BD
    • Films et séries TV
    • 1001 Jeux Video
    • Livres - Musique - Spectacles - Théatre - Musées
    • 1001 choses à dire
  • TEAM

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui contiennent…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


  1. Titre de l'album : Dad tome 11 - Flashbacks Scenariste de l'album : Nob Dessinateur de l'album : Nob Coloriste : Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Les souvenirs, c'est souvent ce que l'on a de plus précieux... Ce qui n'empêche pas de les partager ! La preuve par cinq, avec Dad et ses quatre filles, qui dans le tome 11 de leurs aventures vous offrent d'irrésistibles instantanés de leurs jeunes années. Retrouvez donc Dad jeune père, accompagné de Panda, Ondine, Roxane et Bébérénice d'abord toutes bébés, avant que les années ne les emmènent jusqu'à l'âge où vous les aviez découvertes dans le tome 1 ! Au programme, comme toujours : amour et humour. Mais surtout énormément d'émotion en découvrant les premières années de cette famille qui, l'air de rien, est un peu devenue la nôtre. D'ailleurs, après ce tome 11, vous n'aurez plus qu'une envie : revisiter vos souvenirs de lecture en reprenant toute la série ! Critique : En voila une idée qu'elle est bonne ! Quand on commence à avoir fait le tour des blagues familiales, qui obligent à garder les enfants "jeunes" car à la maison, pourquoi ne pas se retourner sur les épisodes que nous ne connaissons pas du passé de notre famille ? C'est ca la bonne idée ! Et c'est bien foutu. Un petit trop centré sur Panda à mon gout (ou il aurait fallut 3 tomes) mais très rigolo. La petite Panda est magique et Ondine très rigolote. Roxane entre peu en compte (quand je vous disais qu'il manquait un tome) et bébérenice nous dévoile.... ses origines ! On rigole bien tout au long d'un album qui nous surprend dans une série que l'on pensait ne plus pouvoir le faire. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dad-tome-11-flashbacks?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. poseidon2

    Dad tome 11 - Flashbacks

    En voila une idée qu'elle est bonne ! Quand on commence à avoir fait le tour des blagues familiales, qui obligent à garder les enfants "jeunes" car à la maison, pourquoi ne pas se retourner sur les épisodes que nous ne connaissons pas du passé de notre famille ? C'est ca la bonne idée ! Et c'est bien foutu. Un petit trop centré sur Panda à mon gout (ou il aurait fallut 3 tomes) mais très rigolo. La petite Panda est magique et Ondine très rigolote. Roxane entre peu en compte (quand je vous disais qu'il manquait un tome) et bébérenice nous dévoile.... ses origines ! On rigole bien tout au long d'un album qui nous surprend dans une série que l'on pensait ne plus pouvoir le faire.
  3. A en voilà un bon tome. Non pas que les précédents n'étaient pas bons, mais ils étaient, surtout le dernier, un peu de deçà. Celui-ci est particulièrement savoureux, car il se resserre sur la famille et nous montre des enfants qui grandissent, et des caractères qui changent. La grande sœur entre dans l'adolescence et cherche donc à montrer sa différence. Ce même si cela met en péril la triple entente et le club des enquêtrices. Cette scission remet la famille au cœur de l'histoire. Et, pour des personnes comme moi, cela redonne de l'intérêt à la lecture car cela permet d'avoir un vrai parallèle avec ce que l'on peut vivre avec nos enfants. Et permettra aux enfants de mieux s'identifier aux jeunes filles.
  4. Titre de l'album : Les sœurs Grémillet tome 6 - La villa des mystères Scenariste de l'album : Giovanni Di Gregorio Dessinateur de l'album : Alessandro Barbucci Coloriste : Alessandro Barbucci Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Une île. Des amis. La fête ! Bref : le séjour s'annonce bien pour les soeurs Grémillet, qui ont été invitées au mariage de Virginie, une amie de longue date de leur mère. Le seul souci, c'est Aurélie, la fille de la mariée, qui met rapidement le grappin sur Sarah et la pousse à se rebeller contre sa mère ! De quoi brouiller gravement la complicité des trois soeurs, qui pour la première fois, vont affronter séparées un grand défi : écumer l'île afin de retrouver les pièces d'un puzzle comportant un mystérieux message sur la notion de liberté... Barbucci et Di Gregorio, jamais à court d'émotions, brouillent entre elles leurs héroïnes, afin d'interroger la notion de liberté dans une parabole infiniment attachante, construite en huis-clos insulaire. Critique : A en voilà un bon tome. Non pas que les précédents n'étaient pas bons, mais ils étaient, surtout le dernier, un peu de deçà. Celui-ci est particulièrement savoureux, car il se resserre sur la famille et nous montre des enfants qui grandissent, et des caractères qui changent. La grande sœur entre dans l'adolescence et cherche donc à montrer sa différence. Ce même si cela met en péril la triple entente et le club des enquêtrices. Cette scission remet la famille au cœur de l'histoire. Et, pour des personnes comme moi, cela redonne de l'intérêt à la lecture car cela permet d'avoir un vrai parallèle avec ce que l'on peut vivre avec nos enfants. Et permettra aux enfants de mieux s'identifier aux jeunes filles. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-soeurs-gremillet-tome-6-la-villa-des-mysteres?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. The_PoP

    Maman solo

    Titre de l'album : Maman solo Scenariste de l'album : Emmanuelle Friedmann Dessinateur de l'album : Sophie Ruffieux Coloriste : Sophie Ruffieux Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Louis qui ne supporte plus les contraintes de la vie de famille quitte le domicile et laisse Julie, seule avec leurs deux enfants en bas âge. Face aux épreuves qui se succèdent, horaires de travail, problème de garde, confinement et l'abandon total de Louis, Julie décide de reprendre sa vie en main. Elle déménage, change de métier et commence à imaginer qu'elle pourrait rencontrer quelqu'un... Critique : Depuis "ta deuxième vie commence quand tu comprends que tu n'en as qu'une", j'aime beaucoup ce que fait Sophie Ruffieux. Mais pour ceux qui ne l'ont jamais lue, à première vue, son trait un peu girly pourrait vous faire tourner la tête en mode déjà vu/lu cent fois. A seconde vue, le thème pourrait vous faire fuir, vous les gros ronchons de la bd au fond en mode, encore une bd "ouin ouin" et victime... Oui ça c'est ce qu'on pourrait penser avant de l'ouvrir. D'abord le trait de Sophie Ruffieux est plus doux, plus détaillé, et ses compositions de planches révèlent une belle maitrise de son sujet. On sent qu'elle aime ses personnages, même ceux qu'elle adorerait détester. Ensuite le scénario d'Emmanuelle Friedmann est bon, évitant souvent les clichés, ses personnages restent fins, crédibles et humains. Les gros lourds, les pas aimables, les détestables, nous surprennent par de petits détails révélant quand même leur humanité, tel son premier boss ou certains autres personnages. Evidemment le personnage ici du père reste difficile mais le point de vue de la maman solo sur lui reste touchant et pas si souvent que ça dans le jugement ou le mépris. Il y a de la colère certes, mais surtout et avant tout un combat, pour ses enfants et pour elle. Malheureusement cette bd fait écho à ce que l'on peut observer autour de nous, mais elle le fait avec un brin d'humour et beaucoup de tendresse pour ses personnages et leurs combats. Je vous encourage à la découvrir, c'est un beau moment de lecture qui ne tombe pas dans la facilité de chercher à trop nous émouvoir. Bravo Mesdames et merci pour ce moment de lecture. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/maman-solo/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. The_PoP

    Maman solo

    Depuis "ta deuxième vie commence quand tu comprends que tu n'en as qu'une", j'aime beaucoup ce que fait Sophie Ruffieux. Mais pour ceux qui ne l'ont jamais lue, à première vue, son trait un peu girly pourrait vous faire tourner la tête en mode déjà vu/lu cent fois. A seconde vue, le thème pourrait vous faire fuir, vous les gros ronchons de la bd au fond en mode, encore une bd "ouin ouin" et victime... Oui ça c'est ce qu'on pourrait penser avant de l'ouvrir. D'abord le trait de Sophie Ruffieux est plus doux, plus détaillé, et ses compositions de planches révèlent une belle maitrise de son sujet. On sent qu'elle aime ses personnages, même ceux qu'elle adorerait détester. Ensuite le scénario d'Emmanuelle Friedmann est bon, évitant souvent les clichés, ses personnages restent fins, crédibles et humains. Les gros lourds, les pas aimables, les détestables, nous surprennent par de petits détails révélant quand même leur humanité, tel son premier boss ou certains autres personnages. Evidemment le personnage ici du père reste difficile mais le point de vue de la maman solo sur lui reste touchant et pas si souvent que ça dans le jugement ou le mépris. Il y a de la colère certes, mais surtout et avant tout un combat, pour ses enfants et pour elle. Malheureusement cette bd fait écho à ce que l'on peut observer autour de nous, mais elle le fait avec un brin d'humour et beaucoup de tendresse pour ses personnages et leurs combats. Je vous encourage à la découvrir, c'est un beau moment de lecture qui ne tombe pas dans la facilité de chercher à trop nous émouvoir. Bravo Mesdames et merci pour ce moment de lecture.
  7. Titre de l'album : Emma et Capucine tome 8 - Le premier jour de ma nouvelle vie ! Scenariste de l'album : Jérôme Hamon Dessinateur de l'album : Lena Sayaphoum Coloriste : Lena Sayaphoum Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Capucine et Emma semblent plus épanouies que jamais et continuent de tracer leur chemin dans la danse. Mais l'année scolaire touche bientôt à sa fin et les soeurs doivent faire face à de nouveaux défis. Emma et Jake commencent tous deux un stage, elle dans un magasin vendant des articles de danse, lui dans une société de production. Le stage de Jake le passionne mais il est frustré de ne pas pouvoir toucher au matériel mis à sa disposition et montrer de quoi il est capable. Toute la bande décide donc de réaliser un nouveau clip. Mais Jake n'étant pas satisfait du résultat, Emma propose de l'aider en se chargeant de la chorégraphie. Et si c'était l'occasion pour Emma de se découvrir un nouveau talent ? Capucine, quant à elle vit son rêve et danse à l'Opera Bastille entourée de ses meilleures amies et des danseurs qu'elle admire. Mais son trio est mis en péril par le départ de Manon, qui part à New York l'année prochaine. Capucine accuse le coup mais elle peut compter sur le soutien de Maël et de sa soeur, prêts à tout pour l'aider. Critique : Un tome Feel Good puissance mille avec ce tome 8. Un tome qui fait du bien et ce même s'il est un peu trop vite lu. Un tome qui nous montre deux sœurs, ainsi que leurs parents, épanouis et bien dans leurs bottes. Que ce soit en termes de vie amoureuse qu'en termes de danse, notre petite famille respire la tranquillité et ca fait du bien au moral. Fini les soucis de cœur ou les problématiques de poursuite d'étude. Place à une grande et belle entente pour une famille qui donne envie et qui nous fait nous dire que oui un instant de bonheur familial c'est possible. Sans chercher plus, cet album est ce qu'il nous faut dans cette période triste de début d'automne. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/emma-et-capucine-tome-8-le-premier-jour-de-ma-nouvelle-vie?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Un tome Feel Good puissance mille avec ce tome 8. Un tome qui fait du bien et ce même s'il est un peu trop vite lu. Un tome qui nous montre deux sœurs, ainsi que leurs parents, épanouis et bien dans leurs bottes. Que ce soit en termes de vie amoureuse qu'en termes de danse, notre petite famille respire la tranquillité et ca fait du bien au moral. Fini les soucis de cœur ou les problématiques de poursuite d'étude. Place à une grande et belle entente pour une famille qui donne envie et qui nous fait nous dire que oui un instant de bonheur familial c'est possible. Sans chercher plus, cet album est ce qu'il nous faut dans cette période triste de début d'automne.
  9. Titre de l'album : La fille aux cheveux turquoise Scenariste de l'album : Elena Triolo Dessinateur de l'album : Elena Triolo Coloriste : Elena Triolo Editeur de l'album : Anspach editions Note : Résumé de l'album : Toscane, 1871, Giovannina, petite fille de 7 ans vit sur le magnifique domaine Il Bel Riposo propriété des Lorenzini, où son père est jardinier. Un jour, alors qu'elle se se cache après avoir commis une bêtise, elle est découverte par Carlo. Le fantasque frère du propriétaire est traumatisé par la mort de sa petite soeur, Marianna. Carlo est aussi journaliste et écrivain, sous le pseudonyme de Collodi. Entre ces deux êtres que tout sépare (âge, sexe, statut social...) va naître une improbable amitié qui durera toute leur vie, et même au-delà de la mort, pour donner naissance à l'un des chefs-d'oeuvre de la littérature italienne et mondiale : Pinocchio. Critique : C'est une histoire méconnue , du moins de ce côté des Alpes , que la relation entre le créateur de Pinocchio et une "muse" plutôt précoce ! Fin du XIXème siècle en Toscane , un domaine familial bourgeois et son lot de domestiques , reçoit pour les vacances les riches propriétaires . Giovannina est la fille du jardinier en poste et vit telle une enfant de son âge . Elle est rayonnante par ses cheveux blonds "vénitiens" et peut se montrer impétueuse . Ainsi , lors d'une bévue , elle va faire la rencontre de Carlo , le frère du propriétaire . Va naître une amitié que ni l'âge ou l'éloignement et les convenances sociales , voire même la mort , ne sauront briser ou entacher . Mais surtout , c'est un chef d'oeuvre de littérature mondiale qui va germer : l'histoire du petit pantin de bois Pinocchio et la fée bleue . Elena Triolo va user de toutes ces scènes de vie quotidiennes , parfois futiles , mais toujours empreintes de sincérité pour nous faire comprendre comment est née cette oeuvre . Elle dépeint la Toscane sur presque 100 ans , car nous allons suivre pas à pas la vie de Giovannina sur toute une génération . Un dialogue en voix off jalonne les pages du récit , il correspond aux échanges entre la jeune fille et l'écrivain . Elle est littéralement la protagoniste principale de cette BD , elle , la petite fille devenant une femme , celle qui pourrait bien être la fée bleue à l'origine du conte de fées de Collodi . Peu à peu l'écrivain s'efface et Giovannina occupe l'espace au sein d'une Italie changeante , le fascisme de Mussolini , la seconde guerre mondiale et son cortège de morts et de privations, la libération , sans oublier les nombreuses interrogations d'une jeune fille devenant femme . De l'émotion à revendre , sans pour autant sombrer dans le pathos et une grande dame toujours guidée par un optimisme débordant . Le style graphique de l'autrice italienne peut paraître scolaire et simpliste , voire enfantin , mais il prend tout son sens au fil des pages . Les nombreux prix remportés par cette oeuvre en Italie sont amplement mérités . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-fille-aux-cheveux-turquoise/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. C'est une histoire méconnue , du moins de ce côté des Alpes , que la relation entre le créateur de Pinocchio et une "muse" plutôt précoce ! Fin du XIXème siècle en Toscane , un domaine familial bourgeois et son lot de domestiques , reçoit pour les vacances les riches propriétaires . Giovannina est la fille du jardinier en poste et vit telle une enfant de son âge . Elle est rayonnante par ses cheveux blonds "vénitiens" et peut se montrer impétueuse . Ainsi , lors d'une bévue , elle va faire la rencontre de Carlo , le frère du propriétaire . Va naître une amitié que ni l'âge ou l'éloignement et les convenances sociales , voire même la mort , ne sauront briser ou entacher . Mais surtout , c'est un chef d'oeuvre de littérature mondiale qui va germer : l'histoire du petit pantin de bois Pinocchio et la fée bleue . Elena Triolo va user de toutes ces scènes de vie quotidiennes , parfois futiles , mais toujours empreintes de sincérité pour nous faire comprendre comment est née cette oeuvre . Elle dépeint la Toscane sur presque 100 ans , car nous allons suivre pas à pas la vie de Giovannina sur toute une génération . Un dialogue en voix off jalonne les pages du récit , il correspond aux échanges entre la jeune fille et l'écrivain . Elle est littéralement la protagoniste principale de cette BD , elle , la petite fille devenant une femme , celle qui pourrait bien être la fée bleue à l'origine du conte de fées de Collodi . Peu à peu l'écrivain s'efface et Giovannina occupe l'espace au sein d'une Italie changeante , le fascisme de Mussolini , la seconde guerre mondiale et son cortège de morts et de privations, la libération , sans oublier les nombreuses interrogations d'une jeune fille devenant femme . De l'émotion à revendre , sans pour autant sombrer dans le pathos et une grande dame toujours guidée par un optimisme débordant . Le style graphique de l'autrice italienne peut paraître scolaire et simpliste , voire enfantin , mais il prend tout son sens au fil des pages . Les nombreux prix remportés par cette oeuvre en Italie sont amplement mérités .
  11. Chic , la brigade des cauchemars revient ! Après un septième tome riche en découvertes , avec pas mal de masques tombés , le prolifique Franck Thilliez continue de nous régaler avec une nouvelle aventure trépidante . Mordicus découvert au tome précédent s'avère être une némésis de premier ordre et le brouillard l'entourant demeure épais , Elisa semble cacher de lourds secrets , c'est dans cette ambiance lourde que la brigade se remet au travail en accueillant une nouvelle patiente : Jane . En pénétrant son esprit , l'équipe se retrouve projetée en plein western saupoudré d'une dose de vampires . De nouvelles menaces en perspective pour nos héros ! Une nouvelle fois , le récit va à 100 à l'heure , l'enquête se complexifie au fil des pages , aussi bien les parties "fantasmagoriques" que réelles . Il s'agira probablement d'un diptyque , car la fin nous laisse songeur et dans l'attente d'une suite , trèèèès rapidement 😉 Cette saga mérite amplement le succès qui lui est attribué , elle parvient à chaque tome à nous tenir en haleine , tout en se renouvelant constamment . Un véritable coup de force du romancier et du dessinateur en chef : Yomgui Dumont ! Son trait semi-réaliste est plaisant , son découpage fluide et quelle bonne idée de mettre en noir et blanc les cases de dialogues au micro des "adultes" du laboratoire communiquant avec les ados voyageant dans les rêves . L'immersion est totale ! Une nouvelle réussite pour ce duo talentueux .
  12. Titre de l'album : La brigade des cauchemars tome 8 - Jane Scenariste de l'album : Franck Thilliez Dessinateur de l'album : Yomgui Dumont Coloriste : Drac Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Une série BD de Franck Thilliez, le maître du thriller français ! En pleine enquête pour découvrir qui la menance, La Brigade des Cauchemars est obligée de reprendre du service. Une inconnue est retrouvée à proximitée de la clinique de la mémoire. Elle ne sait plus qui elle est et semble étrangement ne posséder qu'un seul souvenir : une ville au milieu du désert où chacun craint la tombée de la nuit... Critique : Chic , la brigade des cauchemars revient ! Après un septième tome riche en découvertes , avec pas mal de masques tombés , le prolifique Franck Thilliez continue de nous régaler avec une nouvelle aventure trépidante . Mordicus découvert au tome précédent s'avère être une némésis de premier ordre et le brouillard l'entourant demeure épais , Elisa semble cacher de lourds secrets , c'est dans cette ambiance lourde que la brigade se remet au travail en accueillant une nouvelle patiente : Jane . En pénétrant son esprit , l'équipe se retrouve projetée en plein western saupoudré d'une dose de vampires . De nouvelles menaces en perspective pour nos héros ! Une nouvelle fois , le récit va à 100 à l'heure , l'enquête se complexifie au fil des pages , aussi bien les parties "fantasmagoriques" que réelles . Il s'agira probablement d'un diptyque , car la fin nous laisse songeur et dans l'attente d'une suite , trèèèès rapidement 😉 Cette saga mérite amplement le succès qui lui est attribué , elle parvient à chaque tome à nous tenir en haleine , tout en se renouvelant constamment . Un véritable coup de force du romancier et du dessinateur en chef : Yomgui Dumont ! Son trait semi-réaliste est plaisant , son découpage fluide et quelle bonne idée de mettre en noir et blanc les cases de dialogues au micro des "adultes" du laboratoire communiquant avec les ados voyageant dans les rêves . L'immersion est totale ! Une nouvelle réussite pour ce duo talentueux . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-brigade-des-cauchemars-tome-8-jane/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Titre de l'album : Retour à Tomioka Scenariste de l'album : Laurent Galandon Dessinateur de l'album : Michaël Crouzat Coloriste : Andrès Garrido Martin , Clara Patino Bueno Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Osamu partage avec sa grand-mère son goût pour le merveilleux. Proche des yôkai, ces créatures magiques et malicieuses, il se tient loin des humains depuis qu'ils ont fui Tomioka après l'accident nucléaire de Fukushima. Mais lorsque Bâ-chan décède, Osamu ne peut se résoudre à l'enterrer loin de leur maison. Il convainc alors sa soeur, Akiko, de fuguer pour déposer ses cendres au pied de l'autel familial, au coeur de la zone interdite... Critique : Et voilà , premier coup de coeur pour cette rentrée littéraire avec cet excellent Retour à Tomioka , du talentueux Laurent Galandon . Avec pour toile de fond la catastrophe de Fukushima , il dresse le portrait d'une partie des habitants ayant souffert de ce drame , tout en amenant un optimisme pour l'avenir , d'une sincérité émouvante . " Parce que s'adresser aux jeunes sur les thèmes contemporains , comme ceux soulevés dans le livre , c'est planter les graines de l'analyse critique chez les adolescents et les adultes en devenir" . Cette déclaration du scénariste représente l'essence même de cette aventure familiale . Pas un pamphlet contre le nucléaire , mais une prise de conscience par le biais d'une aventure somme toute humaine . Il incorpore avec talent le traditionalisme nippon ainsi que les croyances avec les fameux yokais que les plus jeunes peuvent apercevoir . Lorsque sa grand-mère décède , le jeune Osamu se lance dans une quête désespérée mais aussi initiatique pour ramener les cendres de la défunte sur l'autel familial en pleine zone contaminée et interdite au public . On plonge avec notre intrépide héros dans les méandres des rues abandonnées , avec les commerces et autres maisons laissées à la nature reprenant ses droits . Accompagné de sa soeur Akiko , ils accompliront l'impensable car , sans passé , sans tradition , on ne peut nourrir d'ambitions futures , surtout dans un pays à l'histoire aussi riche que le Japon . De la tension , de l'émotion , une course poursuite haletante dans un milieu naturel si particulier . Pour sa première oeuvre dans le monde de la BD , Michaël Crouzat réalise de jolies planches avec des personnages aux traits "manga" , très fidèles aux arts dessinés locaux . Il a puisé dans de nombreuses photographies prises sur les lieux , dans un grand soucis de conformité et respect , pour mieux nous immerger . Une réussite totale ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/retour-a-tomioka/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Kevin Nivek

    Retour à Tomioka

    Et voilà , premier coup de coeur pour cette rentrée littéraire avec cet excellent Retour à Tomioka , du talentueux Laurent Galandon . Avec pour toile de fond la catastrophe de Fukushima , il dresse le portrait d'une partie des habitants ayant souffert de ce drame , tout en amenant un optimisme pour l'avenir , d'une sincérité émouvante . " Parce que s'adresser aux jeunes sur les thèmes contemporains , comme ceux soulevés dans le livre , c'est planter les graines de l'analyse critique chez les adolescents et les adultes en devenir" . Cette déclaration du scénariste représente l'essence même de cette aventure familiale . Pas un pamphlet contre le nucléaire , mais une prise de conscience par le biais d'une aventure somme toute humaine . Il incorpore avec talent le traditionalisme nippon ainsi que les croyances avec les fameux yokais que les plus jeunes peuvent apercevoir . Lorsque sa grand-mère décède , le jeune Osamu se lance dans une quête désespérée mais aussi initiatique pour ramener les cendres de la défunte sur l'autel familial en pleine zone contaminée et interdite au public . On plonge avec notre intrépide héros dans les méandres des rues abandonnées , avec les commerces et autres maisons laissées à la nature reprenant ses droits . Accompagné de sa soeur Akiko , ils accompliront l'impensable car , sans passé , sans tradition , on ne peut nourrir d'ambitions futures , surtout dans un pays à l'histoire aussi riche que le Japon . De la tension , de l'émotion , une course poursuite haletante dans un milieu naturel si particulier . Pour sa première oeuvre dans le monde de la BD , Michaël Crouzat réalise de jolies planches avec des personnages aux traits "manga" , très fidèles aux arts dessinés locaux . Il a puisé dans de nombreuses photographies prises sur les lieux , dans un grand soucis de conformité et respect , pour mieux nous immerger . Une réussite totale !
  15. Kevin Nivek

    Fais un voeu

    Illustrateur et travaillant dans l'animation , avec des contrats chez Hasbro et Netflix animations entre autres , Jeff Victor s'est lancé dans une production personnelle avec ce roman graphique jeunesse pétillant . D'un trait rond et souple , aux couleurs dynamiques lumineuses , il dépeint la vie dans une station-service au fin fond du désert américain de Avery , jeune fille à moitié garçon manqué . Son quotidien est marqué par l'absence totale de visiteurs et de clients , une vie isolée avec juste son père en gérant de station , la maman étant décédée à sa naissance . Aussi lorsqu'elle découvre une lanterne dans le désordre de la remise et qu'elle la frotte par mégarde , la magie intervient dans un fracas de rebondissements et révélations surprenantes ! Au fil des chapitres vous serez emportés par les aventures d'Avery qui va faire de curieuses rencontres et découvrir des secrets la concernant . Le rythme est soutenu , les pages se tournent rapidement , adapté aux jeunes enfants , il y a peu de textes et de grandes cases avec les acteurs au premier plan . Chaque fin de chapitre ménage le suspens pour la suite , donc on peut très bien faire durer le plaisir ou enchainer la lecture jusqu'à la fin , clôturant l'histoire . L'auteur se réserve le droit d'une suite si le succès est au rendez-vous . Réussir à surprendre avec un génie dans la lampe , de nos jours , cela mérite le respect et je lui souhaite le meilleur pour cette aventure menée tambours battants !
  16. Kevin Nivek

    Fais un voeu

    Titre de l'album : Fais un voeu Scenariste de l'album : Jeff Victor Dessinateur de l'album : Jeff Victor Coloriste : Jeff Victor Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Que ferais-tu si tu trouvais une lampe magique et que tu découvrais qu’en fait c’est TOI, le génie ? Dans la station-service de son père, au milieu du désert, Avery rêvasse en regardant la poussière voler. Pour faire passer le temps, elle s’entraîne à faire des tours de magie… sans grand succès. Jusqu’au jour où Avery fait une découverte inattendue qui va bouleverser sa vie. Critique : Illustrateur et travaillant dans l'animation , avec des contrats chez Hasbro et Netflix animations entre autres , Jeff Victor s'est lancé dans une production personnelle avec ce roman graphique jeunesse pétillant . D'un trait rond et souple , aux couleurs dynamiques lumineuses , il dépeint la vie dans une station-service au fin fond du désert américain de Avery , jeune fille à moitié garçon manqué . Son quotidien est marqué par l'absence totale de visiteurs et de clients , une vie isolée avec juste son père en gérant de station , la maman étant décédée à sa naissance . Aussi lorsqu'elle découvre une lanterne dans le désordre de la remise et qu'elle la frotte par mégarde , la magie intervient dans un fracas de rebondissements et révélations surprenantes ! Au fil des chapitres vous serez emportés par les aventures d'Avery qui va faire de curieuses rencontres et découvrir des secrets la concernant . Le rythme est soutenu , les pages se tournent rapidement , adapté aux jeunes enfants , il y a peu de textes et de grandes cases avec les acteurs au premier plan . Chaque fin de chapitre ménage le suspens pour la suite , donc on peut très bien faire durer le plaisir ou enchainer la lecture jusqu'à la fin , clôturant l'histoire . L'auteur se réserve le droit d'une suite si le succès est au rendez-vous . Réussir à surprendre avec un génie dans la lampe , de nos jours , cela mérite le respect et je lui souhaite le meilleur pour cette aventure menée tambours battants ! Autres infos : Type de l'album : Livre pour enfants Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/fais-un-voeu/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Titre de l'album : The Ichinose family's deadly sins tome 3 Scenariste de l'album : Taizan5 Dessinateur de l'album : Taizan5 Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Kôzô fait une révélation des plus surprenantes à Tsubasa : en réalité, ils seraient coincés dans une boucle temporelle et auraient déjà vécu leur réveil à l'hôpital 2 000 fois ! Encore sous le choc, Tsubasa décide d'aller demander des éclaircissements au faux Kakeru, qui lui répond qu'ils comprendront tout en retrouvant leurs souvenirs liés à l'accident. Tsubasa et le reste de la famille s'empressent alors de chercher des indices et mettent la main sur un album photo qui pourrait bien leur apporter quelques réponses... Critique : Mais qu'est-il réellement arrivé à la famille Ichinose ??? Taizan5 mène suffisamment bien son récit pour que l'on se pose toujours la question à la fin de ce tome 3.... c'est-à-dire à la moitié de l'histoire. Et pourtant. Pourtant, le milieu de ce tome trois nous ouvre grand une porte de sortie.... Mais Taizan5, bien décidé à brouiller les pistes jusqu'au bout, nous refroidit assez vite. Est-ce vraiment une "sortie" ? Si oui est-ce vraiment une bonne chose de sortir ? On se pose toujours autant de questions sur le passé de Tsubasa et le lien étrange qui lie les différents membres de la famille. Ce qui est particulièrement remarquable, c'est que taizan5 réussi à nous projeter dans la tête de Tsubasa. On se pose les mêmes questions que lui durant ce tome 3...Et ne pas avoir "globalement compris" au milieu d'un manga en 6 tomes c'assez rare pour être souligné. Vivement le mois de septembre pour lire le tome 4 ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-ichinose-family-s-deadly-sins-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Mais qu'est-il réellement arrivé à la famille Ichinose ??? Taizan5 mène suffisamment bien son récit pour que l'on se pose toujours la question à la fin de ce tome 3.... c'est-à-dire à la moitié de l'histoire. Et pourtant. Pourtant, le milieu de ce tome trois nous ouvre grand une porte de sortie.... Mais Taizan5, bien décidé à brouiller les pistes jusqu'au bout, nous refroidit assez vite. Est-ce vraiment une "sortie" ? Si oui est-ce vraiment une bonne chose de sortir ? On se pose toujours autant de questions sur le passé de Tsubasa et le lien étrange qui lie les différents membres de la famille. Ce qui est particulièrement remarquable, c'est que taizan5 réussi à nous projeter dans la tête de Tsubasa. On se pose les mêmes questions que lui durant ce tome 3...Et ne pas avoir "globalement compris" au milieu d'un manga en 6 tomes c'assez rare pour être souligné. Vivement le mois de septembre pour lire le tome 4 !
  19. poseidon2

    Marée haute

    Titre de l'album : Marée haute Scenariste de l'album : Isaac Sánchez Dessinateur de l'album : Isaac Sánchez Coloriste : Isaac Sánchez Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Badalone, côte espagnole, années 90. Pour offrir un lieu de détente et de baignade malgré la pollution des plages, de singuliers commerces fleurissent. Regroupant restaurant et piscine en bord de mer, les baños apportent vie et touristes dans des banlieues jadis abandonnées. C'est dans un de ces établissements insolites que grandit Isaac. Entre événements marquants et portraits d'habitués, il raconte, au rythme des saisons, ses souvenirs, parfois fantasmés. Critique : Amis amateurs d'histoire de famille, ou de tranche de vie tout court, ce Marée haute est fait pour vous. On retrouve tout ce que l'on aime quand on apprécie ce genre de récit : Une histoire, vraie, de l'émotion, des personnages authentiques et une ambiance qui fait rapidement du lecteur l'un des membres de cette famille. La particularité de cet album de Isaac Sánchez est de faire de la maison elle-même un membre à part de cette famille. Un membre avec qui il échange souvent. Un membre spectateur du changement induit par les années qui passent autant que par les modes. Une maison qui sait forcément tout ce qui se passe entre ses murs : les rigolades autant que les secrets et les mensonges. Le carnet de photo-reportage du retour sur les lieux des sons enfance de notre auteur est particulièrement touchant, encrant cette histoire dans la réalité. Une belle lecture d'été, que se soit pour les nostalgiques ou pour les amateurs de récits familiaux. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/maree-haute-9782808504911?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. poseidon2

    Marée haute

    Amis amateurs d'histoire de famille, ou de tranche de vie tout court, ce Marée haute est fait pour vous. On retrouve tout ce que l'on aime quand on apprécie ce genre de récit : Une histoire, vraie, de l'émotion, des personnages authentiques et une ambiance qui fait rapidement du lecteur l'un des membres de cette famille. La particularité de cet album de Isaac Sánchez est de faire de la maison elle-même un membre à part de cette famille. Un membre avec qui il échange souvent. Un membre spectateur du changement induit par les années qui passent autant que par les modes. Une maison qui sait forcément tout ce qui se passe entre ses murs : les rigolades autant que les secrets et les mensonges. Le carnet de photo-reportage du retour sur les lieux des sons enfance de notre auteur est particulièrement touchant, encrant cette histoire dans la réalité. Une belle lecture d'été, que se soit pour les nostalgiques ou pour les amateurs de récits familiaux.
  21. poseidon2

    Adieu coach

    Titre de l'album : Adieu coach Scenariste de l'album : Joachim Guilloteau Dessinateur de l'album : Boris Guilloteau Coloriste : Boris Guilloteau Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : Cinq vieux briscards replongent dans la mêlée pour sauver le club de leur jeunesse. Quand Marius, le vieil entraîneur emblématique de l'Union Rugby de Voissy, tire sa révérence, c'est tout son club qui part à la dérive. Il n'y a plus d'argent dans les caisses, plus d'équipe masculine et un projet immobilier prêt à faire main basse sur son terrain... Paulo, Le Doc, Biquette, Gino et Charly, cinq vieux briscards, vont alors tout tenter pour sauver le club de leur enfance. Mais ce n'est pas facile de faire à nouveau l'union sacrée, car le temps a passé et maintenant, il presse. Et si la solution venait de l'équipe féminine ? Critique : Quand le coach emblématique d'un club de rugby disparait, c'est l'âme du club qui s'en va. C'est ce que nous montre cet album avec la difficile question du rebond après la disparition de celui qui tenait la tête hors de l'eau d'une structure à but de souffle. Si cette aventure humaine est pas mal cliché sur les anciens joueurs de rugby, elle reste assez touchante, surtout quand on est sportif. Elle m'a fait me projeter sur l'éventuelle fermeture de mon club de cœur et du déchirement que cela serait. Mais serais-je prêt à m'impliquer comme les font nos protagonistes ? C'est la question que soulève cette sympathique histoire : râler et se plaindre c'est bien, mais agir c'est mieux. Une belle aventure humaine pour un one shoot sympathique qui ravira les "vieux" fans de sports. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/adieu-coach?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. poseidon2

    Adieu coach

    Quand le coach emblématique d'un club de rugby disparait, c'est l'âme du club qui s'en va. C'est ce que nous montre cet album avec la difficile question du rebond après la disparition de celui qui tenait la tête hors de l'eau d'une structure à but de souffle. Si cette aventure humaine est pas mal cliché sur les anciens joueurs de rugby, elle reste assez touchante, surtout quand on est sportif. Elle m'a fait me projeter sur l'éventuelle fermeture de mon club de cœur et du déchirement que cela serait. Mais serais-je prêt à m'impliquer comme les font nos protagonistes ? C'est la question que soulève cette sympathique histoire : râler et se plaindre c'est bien, mais agir c'est mieux. Une belle aventure humaine pour un one shoot sympathique qui ravira les "vieux" fans de sports.
  23. Titre de l'album : Le gigot du dimanche Scenariste de l'album : Philippe Pelaez Dessinateur de l'album : Espé Coloriste : Espé Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : Mémé est peut-être très vieille, mais elle a toute sa tête et surtout, un gros paquet de Louis d'or cachés dans sa maison... Pilou, 11 ans, se rend tous les dimanches avec ses parents à Gaillac, petite ville du Tarn, pour y manger le traditionnel gigot préparé par son arrière-grand-mère, Mémé. Aujourd'hui, une semaine après l'élection de François Mitterrand, les dissensions sont importantes au sein de la famille même si chacun a toujours la même idée en tête : découvrir l'endroit où Mémé a caché son magot. Pourtant, la maison de Gaillac pourrait receler des secrets bien plus précieux que quelques pièces d'or... Critique : En voilà une véritable histoire normale au sens basique de "normal". Une histoire de famille comme beaucoup de famille en vivent. Un repas du dimanche ou tout le monde se force à venir diner en famille pour faire plaisir à la mamie. Mamie qui, et la ca change un petit peu, a des secrets dont celui d'une fortune de famille qui attise la convoitise des enfants et petits enfants qui se demandent quand ils vont bien pouvoir hériter. L'originalité de cet album est apportée par le narrateur. Arrière-petit-fils et dernier-né de la famille, il a 6 ans et livre un regard frais et sans filtre sur ces problèmes d'adultes. L'histoire n'est peut-être pas super original, mais la lecture est agréable… comme un dimanche en famille ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-gigot-du-dimanche/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. poseidon2

    Le gigot du dimanche

    En voilà une véritable histoire normale au sens basique de "normal". Une histoire de famille comme beaucoup de famille en vivent. Un repas du dimanche ou tout le monde se force à venir diner en famille pour faire plaisir à la mamie. Mamie qui, et la ca change un petit peu, a des secrets dont celui d'une fortune de famille qui attise la convoitise des enfants et petits enfants qui se demandent quand ils vont bien pouvoir hériter. L'originalité de cet album est apportée par le narrateur. Arrière-petit-fils et dernier-né de la famille, il a 6 ans et livre un regard frais et sans filtre sur ces problèmes d'adultes. L'histoire n'est peut-être pas super original, mais la lecture est agréable… comme un dimanche en famille !
  25. Titre de l'album : Un dernier été au cimetière Scenariste de l'album : SantaMatita Dessinateur de l'album : SantaMatita Coloriste : SantaMatita Editeur de l'album : Ankama Note : Résumé de l'album : La réponse des personnages de cet ouvrage est vraiment particulière, puisqu'ils choisissent de passer leurs congés au cimetière. Une occupation qui pourrait sembler macabre, mais qui est finalement un moyen d'apprécier pleinement la vie. Chaque été, tel un camping improbable, le cimetière se peuple d'une foule variée et hétéroclite. Chacun passe ses vacances dans les cryptes et les tombeaux familiaux, créant ainsi une communauté insolite et partageant joies et chagrins. Mais cette année, une annonce vient bouleverser les vacanciers : le cimetière doit fermer ses portes... Critique : Pour son premier roman graphique , l'autrice italienne SantaMatita ne s'économise pas sur l'originalité ! On y suit en effet toute une galerie de personnages sur la route des grandes vacances d'été vers une destination pour le moins incongrue : le cimetière . On arrive , on déballe , les enfants courent se retrouver , on s'installe , mais la crypte ou le tombeau remplace la tente ! Les protagonistes se présentent au fil des pages , une famille venant du désert du Nevada pour la première fois , une autre habituée depuis des années , puis certains y vivant à l'année , faisant même pousser des tomates au pied du caveau . On découvre tout ce microcosme lié par la proximité du camping et un deuil proche ou lointain , comme dénominateur commun . Les secrets vont tomber , d'autant plus qu'un événement va venir bouleverser ce biotope : pour des raisons de sécurité et de risque d'éboulements , le cimetière doit fermer ses portes ! SantaMatita s'épargne les cases détaillées , elle use d'un graphisme type aquarelle et reste dans une certaine simplicité . Peu d'arrière-plans , elle se concentre sur les personnages et leurs motivations . Des visages sans traits , mais facilement reconnaissables à travers les cheveux ou la tenue vestimentaire . Il en va de même pour les caveaux et autres cryptes , toutes plus originales que les autres , avec chacune leur personnalité propre . Comment un univers silencieux et austère comme un cimetière peut déborder de vie sous le trait amusé de l'illustratrice italienne ! De l'humour , un peu de suspens , de la peine , des surprises , et une petite dose de fantômes (rêvés ou pas 😉 ) , voilà le cocktail estival de SantaMatita ! Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/un-dernier-ete-au-cimetiere/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
×
×
  • Créer...